Archive pour le Tag 'provisoire'

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Alstom Belfort : une solution très politique, provisoire et incongrue

Alstom Belfort : une solution très politique, provisoire et incongrue

 

 

C’est à l’évidence une solution très politique qui va être annoncée pour sauver Alstom Belfort pour résumer on va commander 15 rames TGV et leurs 3o motrices pour circuler sur des lignes aujourd’hui secondaires par rapport à la grande vitesse. Les lignes ou circulent des trains inter cités dont la vitesse maximale ne dépasse pas 200 km/h et souvent contrainte de circuler à 150 voir nettement moins compte tenu de l’état déplorable des infrastructures. En résumé des TGV c’est pour rouler à 320 et qui ne dépasseront pas les 150 km heures en moyenne. Il est clair que ces lignes inter cités avaient besoin d’un coup de jeune puisque la moyenne d’âge du matériel est de 34 ans (notamment les anciens corail). Mais la priorité aurait dû concerner la réhabilitation des infrastructures constellées de ralentissements justifiés par le mauvais état de la voie. Une solution donc assez incongrue d’autant plus que c’est  l’Etat lui-même qui achète le matériel sans même savoir par avance qui va exploiter ces lignes (la SNCF ou d’autres puisque les lignes inter cités vont être ouvertes à la concurrence). Il faudra que l’État loue un très bas prix ces TGV inadaptés aux lignes desservies s’il veut trouver des opérateurs candidats pour exploiter des lignes en perte de vitesse. En bref c’est le contribuable qui paiera. La solution est provisoire mais  elle peut assurer le plan de charge pendant environ deux ans ;  au-delà la problématique va se reposer. En effet ce qui est en cause c’est l’avenir du transport ferroviaire, de son environnement, c’est-à-dire de la politique des transports caractérisés par la plus grande incohérence depuis 30 ans sauf en milieu urbain. La cohérence se situe surtout dans l’intervention financière de l’État en matière de matériel alors qu’il devrait concentrer son action sur la gestion et le financement des infrastructures comme pour la route. De ce point de vue,  la réintégration de la gestion des infrastructures dans la récente réforme de la SNCF constitue une aberration d’autant plus qu’on a oublié de traiter la question du financement et de la dette. Bien entendu cette solution sera bien accueillie par les salariés de Belfort, elle permettra de sauvegarder l’emploi pendant un moment mais l’avenir de la filière ferroviaire n’étant  pas réglé les mêmes problèmes ce poseront d’ici quelques années pour Alstom et pas simplement à Belfort. Le plan de sauvetage du site Alstom de Belfort, qui sera présenté aujourd’hui mardi par le secrétaire d’Etat à l’Industrie, comprend une commande publique de 16 rames TGV et de leurs 32 motrices, cela représente un coût de près de 500 millions d’euros, dont on ignore à ce stade comment il sera financé   Ce site sera par ailleurs transformé par Alstom en centre européen de la maintenance ferroviaire, soit un investissement de 70 millions d’euros. Le groupe y produira aussi à l’avenir des autobus électriques.

Retraites complémentaires : un accord de principe….provisoire

Retraites complémentaires : un accord de principe….provisoire

 

De toute évidence ce plan pour assainir financièrement les mes Ce que pense auusi  L’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy Raymond Soubie estime que le plus gros des mesures reste à prendre. La CFDT, la CFTC et la CFE-CGC ont finalement accepté les mesures proposées par le MEDEF concernant les retraites complémentaires. Désormais, c’est sur des « détails » que les syndicats continuent à négocier.  »La question est de savoir, par exemple, si la pénalité pour ceux qui ne partiraient pas avant 63 ans sera de 10% on non, et si elle durera deux ou trois ans », détaille l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy Raymond Soubie, invité sur RTL.   Le principe adopté est le suivant : « Ceux qui partent à la retraite avant 63 ans auront un malus, ceux qui partiront après 63 ans auront un bonus« , décrypte l’expert en gestion des ressources humaines. Mais cette mesure sur l’âge du départ à la retraite n’est pas la plus importante, estime Raymond Soubie. « Les vraies mesures qui vont rapporter de l’argent, ce sont les mesures purement financières, qui consistent à continuer à sous-indexer les pensions des régimes complémentaires(en clair baisser les pensions NDLR), ainsi qu’une hausse des cotisations patronales et salariales », déclare-t-il. Des mesures qui devraient faire légèrement baisser le pouvoir d’achat des retraités, et coûter aux entreprises 400 millions d’euros supplémentaires.

Le pétrole en hausse provisoire

Le pétrole en hausse…. provisoire

 

 

L’opep  a annoncé une reprise de la demande qui a tiré le pétrole à la hausse. Une hausse qui pourrait cependant être provisoire car il n’y a aucune certitude sur le maintien de la demande compte tenu du ralentissement économique mondial. En fait l’OPEP  commence à être très inquiète de la baisse des prix qui hypothèquent les ressources des pays producteurs. Le pétrole était orienté à la hausse lundi en Asie, en raison notamment de déclarations de l’OPEP laissant les investisseurs anticiper une augmentation de la demande. Le cours du baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en novembre gagnait 0,93% à 50,09 dollars dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de Brent, la référence européenne du brut, également pour livraison en novembre, s’appréciait de 0,78% à 53,06 dollars. Vendredi, les cours du pétrole avaient légèrement monté à New York, gagnant 20 cents à 49,63 dollars sur le Mercantile Exchange (Nymex), mais baissé à Londres, perdant 40 cents à 52,65 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE).

Migrants: Sarkozy prône un statut de réfugié provisoire

Migrants: Sarkozy prône un statut de réfugié provisoire

Pour une  fois Sarkozy n’a peut être pas complètement tort de critiquer les limites de la politique en matière d’immigration. De toute manière la politique de quotas de Bruxelles sera rapidement obsolète. On prévoit en effet d’accueillir environ 150 000 réfugiés alors que l’ONU prévoit une arrivée de près d’un million de personnes d’ici 2016. Pour autant Nicolas Sarkozy qui critique le statut des réfugiés et Schengen ne parle pas de l’essentiel à savoir des facteurs explicatifs de ces migrations. En clair comment lutter contre l’État islamique, quelle politique européenne dans ce domaine, quelle coalition internationale, quelles forces aussi bien aériennes que terrestres, quelles transitions démocratiques, quels type de rapports nouveaux avec ces pays etc.  Finalement comme la plupart des responsables politiques on ne traite pour l’instant que les questions d’urgence ce qui d’un point de  vue humanitaire se comprend parfaitement ; pour autant on   ne s’attaque pas aux causes essentielles. Ceci étant  la proposition de Sarkozy d’accorder un statut de réfugié politique provisoire pourrait peut-être  permettre de se donner du  temps et d’aborder de manière plus globale la politique de migration sur le long terme. Nicolas Sarkozy reste hostile en effet aux quotas de migrants sans l’établissement d’une politique migratoire européenne commune et dénonce l’alignement de François Hollande sur la chancelière allemande Angela Merkel dans le débat actuel.  Dans une interview au Figaro, à paraître jeudi, le président des Républicains voit dans le revirement du chef de l’Etat, qui était initialement hostile aux quotas, « une nouvelle illustration de l’absence de stratégie, de vision et d’autorité ». « La France a vocation à fixer un cap en Europe et non pas à se retrouver à la traîne. Les Français constatent chaque jour que François Hollande a perdu toute maîtrise des événements », dit-il. Pour Nicolas Sarkozy, les quotas « ne peuvent être que la conséquence d’une nouvelle politique d’immigration européenne, et en aucun cas le préalable ! » L’ex-président de la République voudrait la création d’un statut de réfugié de guerre, distinct du droit d’asile, pour ceux « qui sont obligés de fuir provisoirement leurs pays en voie de désintégration » et qui « ont vocation à rentrer chez eux une fois la paix rétablie ». « Ces derniers doivent être distingués des réfugiés politiques qui, eux, ont droit à un visa de dix ans », assure-t-il.

Bourses : après la chute le rebond… provisoire

Bourses : après la chute le rebond… provisoire

 

 

Phénomène classique après plusieurs jours de fortes baisses, la bourse connaît un rebond. Une progression entre 2et 3 % pourrait être atteinte par le CAC aujourd’hui mardi. Des rebonds qui pourraient être enregistrés pendant  quelques jours mais insuffisants pour combler les baisses précédentes. Les bourses vont connaître jusqu’à la fin de l’année des mouvements assez erratiques avec des rebonds qui ne changeront pas toutefois la tendance structurelle à la baisse. En cause le tassement mondial de la croissance notamment en Chine ainsi que des menaces sur son système financier Les principales Bourses européennes sont attendues en léger rebond mardi à l’ouverture, au lendemain d’un «lundi noir» sur les places financières de la planète dans le sillage des marchés chinois. La glissade s’est néanmoins poursuivie mardi matin à la Bourse de Shanghai. En Suisse, le pré-SMI calculé par la banque Julius Baer montrait une progression de 0,57%. D’après les premières indications disponibles, le CAC 40 parisien pourrait ouvrir en hausse, le Dax à Francfort devrait gagner entre 2,2% et 2,4% à l’ouverture, tandis que le FTSE à Londres devrait afficher une hausse comprise entre 1% et 1,1%. L’indice paneuropéen FTSEurofirst 300 a chuté de 5,4% lundi, effaçant environ 450 milliards d’euros (486 milliards de francs) de capitalisation, sa perte la plus importante sur une séance depuis l’automne 2008, après la chute de Lehmann Brothers. Lundi, les marchés boursiers américains ont perdu plus de 3,5%, leur cinquième séance consécutive de baisse, les craintes des investisseurs ayant été attisées comme dans le reste du monde par la chute des Bourses chinoises. La glissade s’est poursuivie mardi matin à la Bourse de Shanghai, qui a ouvert sur un recul de 6,3%, au plus bas depuis décembre dernier. L’indice composite cède encore plus de 6% vers 05h55 GMT. Les autres grandes places financières asiatiques sont repassées dans le vert, à l’exception de Tokyo qui cède près de 3% à l’approche de la clôture d’une séance en dents de scie.

 

Sondage : Hollande en hausse provisoire

Sondage : Hollande en hausse provisoire

 

Comme prévu, la popularité de Hollande remonte après l’affaire grecque. Mais le phénomène pourraiat être temporaire comme après le 11 janvier et l’engagement au Mali. Fondamentalement Hollande est attendu sur le chômage et là rien ne peut être acquis. La cote de popularité de François Hollande progresse de cinq points à 28% d’opinions favorables, un niveau encore bas mais que le président français n’avait plus atteint depuis février, selon un baromètre BVA pour Orange et iTélé diffusé samedi. Son Premier ministre, Manuel Valls, voit sa cote gagner trois points à 41% d’opinions favorables contre 58% d’opinions défavorables. François Hollande voit sa popularité progresser « au sortir d’une séquence plus maîtrisée » avec l’accord sur une nouvelle aide à la Grèce et son entretien télévisé du 14-Juillet, selon BVA. Si 28% des personnes interrogées disent avoir une bonne opinion du chef de l’Etat, 71% (contre 76% lors de l’enquête datée du 3 juillet) disent en avoir une mauvaise dont 40% une très mauvaise.  La politique menée par le président et son gouvernement est jugée efficace par 20% des sondés contre 14% début juillet. Elle n’avait plus atteint ce niveau depuis septembre 2013.

 

Grèce : un Grexit provisoire ? un enfumage

Grèce : un Grexit provisoire ? un enfumage

 

Les faucons de l’Europe ne manquent pas culot avec leur concept de Grexit provisoire. De toute évidence ce n’est guère l’honnêteté, ni la psychologie qui les étouffent. (Ce qui évidemment ne dédouane pas les grecs de leur inconsistance), c’est pourtant ce qu’ils ont proposé au cours des négociations : un Grexit provisoire. Un peu comme si un patron proposait à son salarié uen licenciement provisoire. Il est clair que si la Grèce devait quitter »provisoirement » la zone euro elle n’aurait aucune chance d’y revenir d’autant que le processus serait enclenché pour virer d’autres pays. Cette proposition est par ailleurs complètement incohérente car on propose une sortie provisoire avec promesse de restructurer ( diminuer) la dette. Pourquoi les grecs en situation de paiement auraient quelque chose à faire de cette restructuration puisque le défaut effacerait la totalité de cette dette.  Les ministres des Finances de la Zone euro ont quand même  transmis dimanche aux chefs d’Etat un document qui évoque noir sur blanc l’option d’une « sortie temporaire de la zone euro » de la Grèce, selon une copie obtenue par l’AFP. Cette hypothèse avait été mentionnée par l’Allemagne, tandis que François Hollande s’y montré hostile. « En cas d’échec à trouver un accord, la Grèce se verrait proposer de négocier rapidement une sortie temporaire de la zone euro, avec la possibilité de restructurer sa dette », selon ce document. Ce passage figure entre crochets pour signifier qu’il n’a pas emporté l’adhésion de tous les ministres et qu’il revient aux chefs d’Etat de trancher. Si un accord est trouvé, l’éventuel programme d’aide serait évalué entre 82 et 86 milliards d’euros, selon le même document. « L’Eurogroupe prend note du fait qu’un éventuel programme aurait besoin de financements compris entre 82 et 86 milliards d’euros (…). L’Eurogroupe invite les institutions (Commission européenne, FMI, BCE, ndlr) à explorer les possibilités de réduire cette enveloppe » par la fiscalité ou les privatisations, est-il précisé.

Grèce : compromis partiel et provisoire

Grèce : compromis partiel et provisoire

 

Il fallait s’y attendre il n’y aura pas de solution définitive et durable mais un accord bâtard qui en appellera d’autres concernant la Grèce. Impossible en effet de régler le problème central : celui du remboursement des 315 milliards de dettes. On va donc régler le court terme, prévoir des solutions sur le moyen terme avec des conditions pour le gouvernement d’Athènes. Des conditions de toute manière hypothétiques et dont on s’apercevra d’ici quelques mois ou années qu’elles ne sont que très partiellement appliquées. En cause l’ampleur de la dette ( avec des taux qui vont remonter dans le monde entier), la croissance quasi nulle, le chômage et la pauvreté qui limitent les marges de manouvre en matière d’austérité. Sans parler au plan interne de l’opposition qui monte vis-à-vis de Tsipras. Certes  Athènes n’a jamais été aussi proche d’un accord avec ses créanciers internationaux, a déclaré mardi le principal négociateur grec, Euclide Tsakalotos, mais qui a ajouté que tout accord prévoirait « au moins une solution partielle » au problème de l’endettement excessif du pays. « Il y a un débat en ce moment même au sein des équipes techniques (…) il est évident qu’ils soulèveront des objections sur certains points mais nous avançons sur ces éléments, nous sommes plus proches que jamais », a-t-il déclaré à la télévision publique ERT depuis Bruxelles. « Nous avons un critère dans ces négociations: que la solution soit viable. » A la question de savoir si la Grèce rembourserait la somme de 1,6 milliard d’euros qu’elle doit au FMI le 30 juin, il a dit: « l’accord comprendra une part de financement et ce financement inclura au moins une solution partielle à la dette et nous serons donc capables de respecter nos engagements. »  Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, va rencontrer mercredi le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, et la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, selon un communiqué du bureau du Premier ministre publié mardi soir. La réunion devrait avoir lieu à Bruxelles à midi, quelques heures avant une réunion des ministres de Finances de la zone euro pour discuter des propositions visant à débloquer les négociations entre la Grèce et ses créanciers internationaux.

Grèce : vers une nouvelle solution provisoire ?

Grèce : vers une  nouvelle solution provisoire ?

 

Dans la nuit la Grèce a adressé de nouvelles propositions qui semblent mieux accueillies par Bruxelles. Une réunion des chefs d’Etat aura lieu aussi aujourd’hui. Il semblerait qu’un compromis soit possible. Sans doute un nouveau compromis bâtard et provisoire. De toute manière l’Europe est coincée .  La Grèce est complètement insolvable. Elle ne peut rembourser sa dette sans restructuration ; Autant dire sans abandon d’une  grande partie par les créanciers. Impossible de rembourser 315 milliards, même pas de faire face aux échéances de  fin juin et de  juillet. La Grèce ne pourra faire face à ses échéances que si on lui prête. Le défaut coûterait évidemment très cher à la Grèce mais encore davantage  au système monétaire. On risque même de déclencher une  crise alors que les incertitudes planent sur la solidité de la reprise. Ce pourraiat être même le déclencheur d’une  crise financière majeure notamment obligataire. Avec pour conséquence en particulier une brutale remontée des taux qui tuerait la croissance. Il fait aussi prendre en compte qu’en cas de défaut c’est environ 60 milliards de prêts de la France qui envolerait et 90 pour l’Allemagne. Du coup, on peut s’attende à un compromis bâtard comme savent le faire les autorités bruxelloises. Un nouveau petit prêt pour une  durée limitée ( sorte de facilité de trésorerie) avec des engagements  grecs dont on  ne sait pas sils sont tenables. De toute manière le problème grec est ingérable sauf sur le très long terme mais on voit mal Bruxelles s’engager de manière durable compte tenu des contradictions internes en Europe .  Finalement on pourraiat aboutir à un compromis type Hollande , c’est à dire mou qui ne change rien mais qui sauve la face…pour un moment. Bref une  sorte de décalage temporaire pour gager du temps ou…. en perdre !

Livret A : un rebond provisoire

Livret A : un rebond provisoire

 

 

Sans doute un rebond provisoire car pour la première fois depuis avril 2014, le collecte du livret A a été positive sur un mois, en mars 2015, à 110 millions d’euros. Avec le livret de développement durable (LDD), qui bénéficie quasiment des mêmes conditions que le livret A, la collecte globale atteint 260 millions d’euros en mars. Ces montants laissent-ils espérer une reprise de la collecte sur les livrets d’épargne préférés des français dans les prochains mois ? Pas si sûr. En effet traditionnellement, « le mois de mars réussit au Livret A car il s’agit d’un mois tranquille pour les dépenses. Les soldes de janvier et février sont passées tout comme le premier tiers provisionnel de l’impôt sur le revenu. Les ménages reconstituent leur trésorerie en prévision des dépenses de printemps et d’été », détaille Philippe Crevel, président du cercle des épargnants. Le niveau combiné de collecte est même assez faible, selon lui, pour un mois de mars (1,18 milliard d’euros en 2014). Pas de raison de s’emballer donc. Un autre phénomène semble apparaître : dans un premier temps très réticents à placer leur épargne sur un produit financier qui sert seulement 1% .

 

Tarifs du gaz : baisse provisoire

Tarifs du gaz : baisse provisoire

Après les hausses passées et avant les hausses futures (de l’ordre de 30% d’ici 2017), les prix du gaz baisseront en moyenne de 1,28% au 1er août. Une baisse liée à la nouvelle méthode de calcul appliquée par GDF Suez depuis le 1er juillet. La ministre de l’Energie, Ségolène Royal, avait pris un arrêté visant à garantir la stabilité des tarifs réglementés.  Nouvelle baisse des prix du gaz. Appliqués par GDF Suez, les tarifs hors taxe baisseront en moyenne de 1,28% au 1er août. Cette diminution annoncée par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), est liée à la nouvelle méthode de calcul appliquée.  En juillet, la ministre de l’Energie, Ségolène Royal, avait pris un arrêté visant à réduire les hausses et les baisses trop importantes et à introduire une certaine stabilité des prix. Cet arrêté suivait la préconisation de la CRE, le gendarme français de l’énergie, qui estimait nécessaire d’augmenter de 45,8% à environ 60% la part d’indexation sur les prix de marché dans le calcul. En clair, la CRE invitait GDF Suez à tenir davantage compte des prix du marché dans la formule de calcul.

 

UMP : sauvetage provisoire ?

UMP : sauvetage provisoire ?

 

Une bel unanimité pour sauver le parti mais jusqu’à quand ? Premier défi : redéfinir une ligne politique pour arrêter de faire le grand écart entre les libéraux et les populistes réactionnaires. Deuxième défi : gérer le cas Sarkozy. Sans conteste Sarko pourrait obtenir la majorité pour la présidence de l’UMP et au-delà pour se présenter en 2017. Problème toutefois avec ses casseroles juridiques, Sarko risque d’entrainer tout l’UMP vers l’effondrement. Dernier défi mettre fin à la guerre des chefs (prétendants aux hautes fonctions en 2017) L’UMP a donc affiché mardi son unité en s’accordant à l’unanimité sur une période de transition, encore incertaine, qui la mènera d’ici novembre à un congrès de refondation dont les sarcocystes pourraient faire une rampe de lancement pour l’ancien président. Au terme de plus de deux heures de débats, le bureau politique du parti a entériné l’installation d’un « triumvirat » composé des anciens Premiers ministres Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon et doté de larges pouvoirs. Il assurera l’intérim à compter du 15 juin, date effective de la démission du président Jean-François Copé, emporté par l’affaire Bygmalion. Le trio sera assisté du vice-président délégué sortant Luc Chatel au poste de secrétaire général. Le congrès extraordinaire appelé à désigner le futur président du parti aura lieu « au plus tard en novembre ». « Il y a eu un vote unanime sur une résolution qui précise le rôle, la place des anciens Premiers ministres, le calendrier, le périmètre de leur action qui est très important », a dit à Reuters le député Bernard Accoyer. Les trois « sages » ont proposé au bureau politique, qui l’a acceptée, la nomination de Luc Chatel au poste de secrétaire général, précise la motion. Des secrétaires généraux adjoints et un trésorier national seront nommés le 17 juin à leur initiative, lors d’un nouveau bureau politique. D’autres nominations seront actées « sans délai » pour assurer la transition.

Etats –Unis : fin de crise provisoire

Etats –Unis : fin de crise provisoire

 

Barack Obama a signé tôt jeudi matin la loi votée un peu plus tôt par le Sénat et la Chambre des représentants qui permet de relever provisoirement le plafond de la dette, évitant ainsi le risque de défaut de paiement des Etats-Unis et de rétablir le financement des services fédéraux, a annoncé la Maison blanche. Le président américain n’avait pas attendu l’adoption définitive par le Congrès de ce compromis de dernière minute pour promettre la fin immédiate du « shutdown », la fermeture partielle des administrations entamée le 1er octobre. « Le gouvernement va reprendre ses activités immédiatement après la signature de la loi », avait dit Barack Obama lors d’une brève déclaration à la presse à la Maison blanche, après le vote du Sénat. La directrice du Bureau du budget, Sylvia Mathews Burwell, a précisé par la suite dans un communiqué que les employés fédéraux devaient se préparer à être de retour au bureau jeudi matin.Le texte de compromis élaboré par Harry Reid et Mitch McConnell, les chefs de files respectifs des démocrates et des républicains au Sénat, a été adopté à une large majorité par les deux chambres du Congrès. Le Sénat, dominé par les démocrates, a été le premier à se prononcer en faveur de ce compromis destiné à sortir les Etats-Unis de l’impasse budgétaire avant la date butoir du 17 octobre, au-delà de laquelle la première puissance économique mondiale risquait de ne plus pouvoir honorer ses engagements financiers. Les sénateurs, qui ont voté par 81 voix contre 18 en faveur du texte de loi, ont été imités un peu plus tard par les élus de la Chambre des représentants, à majorité républicaine. Malgré un baroud d’honneur de 144 républicains, qui se sont opposés à l’accord, le texte a été voté par 285 élus, 68 de plus que la majorité requise.

Retraites: une réforme provisoire avant la prochaine

Retraites: une réforme provisoire avant la prochaine

Allongement de l’âge de départ et augmentation des cotisations les deux points principaux de la réforme qui en appellera certainement d’autres ! A moins évidemment que la croissance revienne de manière significative et durable ; ce qui supposerait notamment moins de pression fiscale, le contraire de la réforme !     . L’exécutif prévoit d’augmenter de 0,15 point les cotisations patronales en 2014. De 2015 à 2017, elles progresseront ensuite de 0,05 point par an. Un effort identique sera demandé aux employés, via les cotisations salariales. Matignon explique d’ailleurs que cet effort représente une ponction de 2,15 euros par mois pour un SMIC. Au total, la mesure doit rapporter 2 milliards d’euros en 2014. Un gain qui gonflera jusqu’à 6,4 milliards en 2040, selon les projections de Matignon.  La réforme telle que le gouvernement l’envisage, prévoit un allongement de la durée de cotisation, à partir de 2020.  Dès cette date, il sera demandé aux assurés de cotiser un trimestre de plus par an. La durée de cotisation passera ainsi à 43 ans en 2035. Via cet ajustement, 5,6 milliards d’euros devraient rentrer dans les caisses publiques en 2040.  Les retraités ayant élevé trois enfants ou plus bénéficient d’une majoration de leur pension de 10%. Jusqu’à maintenant cette « prime » de 10% n’était pas intégrée dans le calcul de l’impôt sur le revenu. Ce ne sera plus le cas. Une des pistes d’économies possibles aurait pu être de désindexer la revalorisation des pensions sur l’inflation. Le gouvernement ne l’a pas retenu. Toutefois, il a choisi de changer la date où cette revalorisation a lieu chaque année. Elle passera ainsi du 1er avril au 1er octobre. Une modification qui doit rapporter 600 millions d’euros l’année prochaine. Ce compte, dont la création est prévue pour 2015, concerne les salariés ayant connus des carrières pénibles, c’est-à-dire remplissant l’un des dix critères retenus par le gouvernement (travail de nuit, exposition à des substances dangereuses, manipulation de charges lourdes etc…). Le dispositif permet aux bénéficiaires de cumuler des points pour ensuite racheter des trimestres ou suivre une formation pour exercer un emploi moins pénible. Il sera financé par les entreprises via des cotisations. Le gouvernement évalue son coût à 2 milliards en 2035.

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