Archive pour le Tag 'prononce'

Sécurité routière–Ralentisseurs : le conseil d’État se prononce enfin contre des non-conformités

Sécurité routière–Ralentisseurs : le conseil d’État se prononce enfin contre des non-conformités

La plupart des dispositions en matière de sécurité routière relève de la responsabilité de l’État. On voit mal en effet comment il pourrait en être autrement car les risques sont très importants et doivent être gérés de manière cohérente. Une exception cependant dans les communes où la responsabilité appartient aux élus locaux. La plupart complètement incompétents et qui multiplient par exemple les ralentisseurs dans des conditions techniques complètement adhérentes. Le conseil d’État vient donc de donner raison à des associations et renvoie la décision devant la cour de Marseille pour insuffisance de motivation.

En fait, il serait temps que l’État se ressaisisse de cette question pour fixer les règles techniques trop flous du décret du 27 mai 1984 qui évoque les ralentisseurs de vitesse. Des outils souvent mal placés, trop hauts et quelquefois dangereux.

L’Assemblée nationale ferait bien de se ressaisir de cette question comme d’ailleurs le gouvernement pour réfléchir à la cohérence de la politique de sécurité routière qui ne peut être différente d’une ville à une autre car les flux de transport, eux, ignorent les frontières des communes.

La plus haute juridiction administrative a décidé de renvoyer l’affaire devant la cour administrative d’appel de Marseille pour une «clarification dans la définition des ralentisseurs».

La décision, attendue par de nombreux automobilistes et motards, vient de tomber. Le conseil d’État a donné en partie raison à deux associations, Pour une mobilité sereine et durable (PUMSD) et la Fédération française des motards en colère du Var, qui contestent la conformité des ralentisseurs sur la voie publique. La plus haute juridiction administrative «annule l’arrêt de la cour administrative d’appel de Marseille le 11 avril 2022» et «renvoie l’affaire» devant cette même cour pour «insuffisance de motivations».

Sécurité routière–Ralentisseurs : le conseil d’État se prononce enfin contre des non-conformités

Sécurité routière–Ralentisseurs : le conseil d’État se prononce enfin contre des non-conformités

La plupart des dispositions en matière de sécurité routière relève de la responsabilité de l’État. On voit mal en effet comment il pourrait en être autrement que les risques sont très importants et doivent être gérés de manière cohérente. Une exception cependant dans les communes où la responsabilité appartient aux élus locaux. La plupart complètement compétents et qui multiplie par exemple les ralentisseurs dans des conditions techniques complètement adhérentes. Le conseil d’État vient donc de donner raison à des associations et renvoie la décision devant la cour de Marseille pour insuffisance de motivation.

En faite, il serait temps que l’État se ressaisisse de cette question pour fixer des modèles IT techniques trop flous du décret du 27 mai 1984 qui évoque les ralentisseurs de vitesse. Des outils souvent mal placés, trop haut et quelquefois dangereux.

L’Assemblée nationale ferait bien de se ressaisir de cette question comme d’ailleurs le gouvernement pour réfléchir à la cohérence de la politique de sécurité routière qui ne peut être différente d’une ville à une autre care les flux de transport, eux, ignorent les frontières des communes.

La plus haute juridiction administrative a décidé de renvoyer l’affaire devant la cour administrative d’appel de Marseille pour une «clarification dans la définition des ralentisseurs».

La décision, attendue par de nombreux automobilistes et motards, vient de tomber. Le conseil d’État a donné en partie raison à deux associations, Pour une mobilité sereine et durable (PUMSD) et la Fédération française des motards en colère du Var, qui contestent la conformité des ralentisseurs sur la voie publique. La plus haute juridiction administrative «annule l’arrêt de la cour administrative d’appel de Marseille le 11 avril 2022» et «renvoie l’affaire» devant cette même cour pour «insuffisance de motivations».

L’Afrique ne se prononce pas sur l’Ukraine

L’Afrique ne se prononce pas sur l’Ukraine

 

 

Président en exercice de l’Union africaine (UA), Macky Sall explique que l’Afrique ne se prononce pas sur l’Ukraine par peur légitime sans doute des conséquences économiques et sociales pour le continent.(Le Monde)

Reste cependant que cette position n’est pas glorieuse et que l’Europe  aurait dû depuis longtemps envisagé un plan massif de soutien alimentaire aux pays pauvres de l’Afrique qui vont être les plus touchés NDLR

Lors de cet échange, Macky Sall a demandé le déblocage des céréales et des engrais d’Ukraine et de Russie qui ne parviennent plus sur le continent depuis le début de la guerre en février et menacent la sécurité alimentaire de millions d’Africains.

Vous vous êtes dit rassuré par votre rencontre avec Vladimir Poutine. Quelles assurances avez-vous reçues de sa part ?

Ce qui me rassure tout d’abord, c’est que l’on a pu expliquer longuement les attentes du continent africain. Celles qui relèvent de la Russie et celles qui relèvent des autres parties telles que l’Union européenne (UE) ou les Etats-Unis, qui ont imposé des sanctions ayant entraîné des difficultés d’approvisionnement. Ce que m’a dit Vladimir Poutine, c’est qu’en fonction des disponibilités dans le port d’Odessa et à condition que l’Ukraine enlève les mines qu’elle a posées, la Russie est disposée à ne pas intervenir dans cette région pendant ces opérations [de transport de céréales] qui se feraient avec le concours des Nations unies ou d’autres partenaires.

Pour vous, ce sont les sanctions occidentales qui sont responsables de ce blocage ou, comme le dit le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, le Kremlin qui entretient volontairement l’insécurité alimentaire ?

Nous subissons les deux maux. Il y a d’abord les conséquences de la guerre en Ukraine. Mais les sanctions qui ont frappé la Russie, avec notamment le blocage du système de paiement Swift, ont handicapé des pays comme les nôtres pour accéder aux produits russes. Pour le paiement du gaz, un mécanisme a pu être trouvé.

Nous demandons donc qu’il en aille de même pour les difficultés logistiques dans les ports et permettre le paiement des céréales et des engrais avec lesquels nous cultivons. Nous produisons en moyenne avec 17 kg d’engrais par hectare quand en Europe, 100 kg par hectare sont utilisés. Notre agriculture est déjà peu productive. Mais s’il n’y a plus d’engrais ou que le prix est multiplié par trois, il y aura véritablement un risque de famine dans les prochains mois.




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