Archive pour le Tag 'promesse'

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Où est la promesse de Gattaz de créer 1 million d’emplois ? (Sapin)

Où est la promesse de Gattaz de créer 1 million d’emplois  ?  (Sapin)

 

Sapin se moque du pin’s de Gattaz «  un million d’emplois » mais Gattaz pourrait tout autant se moquer du pin’s virtuel de Sapin «  inversion du chômage ». Pour une fois Sapin a raison d’interroger Gattaz sur sa promesse de créer 1 million d’emplois. Une promesse par ailleurs bien démagogique car en économie on peut espérer améliorer la compétitivité puis de créer des emplois mais pas de les chifffrer de manière auusi irresponsable et démagogique. Il est clair que Gattaz a lancé sa campagne ‘ »1 million d’emplois » uniquement pour faire baisser la fiscalité. Pari réussi, mais sa promesse, elle, est non seulement discréditée mais même maintenant oubliée par Gattaz qui ne veut même plus s’engager dans le cadre du pacte de responsabilité. Le ministre des Finances était l’invité de France Inter ce dimanche. Michel Sapin a mis au défi le patron du Medef Pierre Gattaz de « tenir sa promesse » de créer un million d’emplois.  Michel Sapin appelle le patron du Medef à « tenir sa promesse« . Pierre Gattaz avait en effet promis la création d’un million d’emplois avec la mise en place du pacte

Fiscalité : promesse de remise à plat

Fiscalité : promesse de remise à plat

 

Une belle promesse de Ayrault, remettre à plat a fiscalité qui pourrait bien finir en eau de boudin ; En effet il promet la reforme pour 2015, donc à réaliser en moins d’un an. Or il y a environ 300 taxes en France ! La remise en cause fiscale devrait concerner les modalités mais aussi sa nature et son niveau autant dire une vraie révolution au pays de la bureaucratie qui caractérise le système politique et administratif. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a annoncé le lancement d’une « remise à plat » de la fiscalité française au moment où les dernières hausses d’impôt annoncées par son gouvernement suscitent l’hostilité de nombreux secteurs économiques. Dans une interview dans l’édition de mardi du quotidien Les Echos, publiée lundi soir sur le site internet du journal, il assure que cet exercice, qu’il entend boucler à temps pour préparer le budget 2015, se fera « à prélèvements obligatoires constants ». Au delà de la concertation déjà promise sur l’imposition des entreprises, « nous avons besoin d’un débat beaucoup plus global, sur la fiscalité des entreprises, sur la fiscalité des ménages -aussi bien nationale que locale- et sur le financement de la protection sociale. Tout est lié », déclare le chef du gouvernement. Il insiste sur la nécessité d’ »un véritable débat sur le niveau de la dépense publique, qui est élevé aujourd’hui, et la modernisation du modèle social français. » Dans ce contexte, la question d’une fusion entre l’impôt sur le revenu et la CSG (contribution sociale généralisée), promise par François Hollande lors de sa campagne présidentielle, « fera partie du débat ». Ces annonces marquent un revirement du gouvernement, alors que le ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Moscovici, déclarait encore au début du mois qu’il n’y avait pas de volonté de bouleverser le système fiscal tant que la croissance ne serait pas franchement repartie. « Jusqu’ici, nous avons répondu à l’urgence pour redresser la barre. Il nous faut désormais bâtir pour l’avenir », explique Jean-Marc Ayrault, qui maintient le cap de la lutte contre les déficits. « Nous allons réaliser 15 milliards d’euros d’économies en 2014, mais il faudra continuer au moins au même rythme en 2015, en 2016, en 2017″, souligne-t-il. Pour lancer le processus, il annonce qu’il rencontrera dans les prochains jours les partenaires sociaux. « L’ensemble des groupes parlementaires, de la majorité comme de l’opposition, seront consultés », dit-il, pour indiquer que, au terme de la concertation, « le gouvernement prendra ses responsabilités comme il l’a fait pour les retraites, et fera ses propositions au Parlement. » En attendant, il exclut de revenir sur les hausses de la TVA prévues au 1er janvier, qui sont contestées par plusieurs secteurs (artisans, restaurateurs, ambulanciers…). « Revenir sur la hausse de la TVA pour certains secteurs, ce serait revenir sur la baisse du coût du travail. Et cela, il n’en est pas question », dit-il en rappelant qu’elle doit permettre de financer en partie le crédit d’impôt compétitivité emploi. « Nous n’allons pas détruire ce que nous sommes en train de construire. L’amélioration de la compétitivité des entreprises est dans l’intérêt de tous les Français. »

 

Déficit ; Hollande va tenir les comptes, encore une promesse bidon

Déficit ; Hollande va tenir les comptes, encore une promesse bidon

 

Cette promesse de tenir les comptes révèle à nouveau les contradictions de Hollande ; car cette promesse est une promesse d’austérité qui va à l’encontre de la croissance ; par ailleurs dans les faits, il laissera filer le déficit autour de 4% mais il aura alors renforce encore les doutes sur la clarté de sa politique. Pas étonnant que le moral des ménages ait attient depuis hier son plus bas historique.  François Hollande a promis vendredi de « tenir » la dépense de l’Etat en France pour empêcher un dérapage des déficits publics, après la publication par la Cour des comptes d’un rapport mettant en garde le gouvernement contre tout relâchement. Selon la Cour, l’atonie de la croissance économique risque en effet de placer le déficit public français aux alentours de 4,0% fin 2013 au lieu des 3,7% prévus par le gouvernement. Lors d’une conférence de presse tardive, en marge du Conseil européen à Bruxelles, le président français a admis que si la croissance économique restait aussi faible qu’elle l’est en ce moment, l’objectif de 3,7% serait difficile à atteindre. « Il est à craindre que nous ayons moins de recettes que prévu » et donc « un peu plus de déficit » à la fin de l’année, a-t-il expliqué. « Qu’est-ce que nous avons à faire compte tenu de cette perspective? » a poursuivi François Hollande. « D’abord tout faire pour qu’il y ait plus de croissance au second semestre. » « Mais ce que doit faire la France dans l’année 2013, c’est tenir la dépense publique », a-t-il ajouté. « La dépense 2013 doit être strictement égale pour l’Etat à la dépense 2012. » Il a rappelé que les lettres-plafond adressées aux ministres dans le cadre de la préparation du budget 2014 prévoyaient 1,5 milliard d’euros de dépenses en moins qu’en 2013 l’an prochain. Il a cependant assuré qu’il n’y aurait pas de prélèvements supplémentaires pour 2013. « Si les recettes rentraient moins bien faute de croissance au second semestre, les gels de dépenses qui ont déjà été décidés se traduiraient en annulations de crédits », a-t-il en revanche précisé. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, avait estimé jeudi que « pour 2013, malheureusement, du fait de l’absence de croissance, ce que dit la Cour des comptes est vrai ». Le gouvernement, qui refuse d’actualiser son budget 2013, semble ainsi assumer le risque d’un léger dérapage budgétaire anticipé par de nombreux économistes, qui ne redoutent pas de réaction violente des marchés financiers. François Hollande a ironisé sur les dirigeants de l’opposition qui le pressent de faire des économies. « Ceux qui nous demandent de faire des économies (…) sont toujours ceux qui ont laissé filer la dépense, comme peut-être un remords », a-t-il dit. « Ils s’en veulent tellement d’avoir laissé déraper les comptes publics qu’ils nous demandent, qu’ils nous supplient de faire des économies à leur place. »

 

SMIC : promesse de hausse non tenue ; hausse limitée à l’inflation, soit 3 centimes par heure !

SMIC : promesse de hausse non tenue ;  hausse limitée à l’inflation, soit 3 centimes par heure !

 

Le ministre du Travail a annoncé hier que la prochaine hausse du Smic en janvier (1 425,67 euros bruts mensuels pour 35 heures hebdomadaires), ne comporterait pas de coup de pouce. Selon un expert, la hausse, qui sera officiellement annoncée aux partenaires sociaux aujourd’hui, devrait donc se limiter à environ +0,3 %, soit 3 centimes de plus par heure travaillée (9,40 euros aujourd’hui).  Sapin a par ailleurs déclaré que la réforme du mode de calcul du salaire minimum, qui doit aussi être dévoilée aujourd’hui, ne comporterait pas d’indexation sur la croissance, contrairement à ce que le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault avait annoncé en juillet, reprenant une idée de François Hollande. « Aujourd’hui, ça n’aurait pas beaucoup de sens de vouloir indexer sur la croissance », a lancé le ministre. « Par contre, le jour venu, avec une croissance plus forte, il sera évidemment nécessaire que l’augmentation du Smic permette aux smicards aussi de participer aux fruits de la croissance », a-t-il toutefois ajouté. Le jour venu ce n’est pas demain matin d’une part parce qu’on est condamné à une croissance molle pendant des années (quand ce ne sera pas la récession), d’autre par parce qu’en réalité l’objectif est de limiter la hausse des salaires pour des raiosn de compétitivité. Dernier point en faiat cette hausse du SMIC sur l’indice général de l’inflation ne rend pas compte de la réalité des dépenses des smicards, à cet égard l’indice INSSE est obsolète. Les smicards consacrent en effet essentiel de leurs revenus à des dépenses contraintes qui sont elles en forte augmentation logement, transport, énergie, alimentation, fiscalité localement).Pour autant les experts gouvernementaux se refusent à mettre en place une autre forme d’indexation.

 

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