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Les petits patrons veulent un premier ministre à profil social

 Ce lundi, Michel Picon, président de l’Union des entreprises de proximité (U2P), lui, a plaidé pour une nomination à Matignon d’un « patron social ». Au micro de RMC ce lundi, il a explicitement proposé Jean-Dominique Senard, président de Renault, comme une figure capable de rassembler, alors qu’en ce moment c’est, selon lui, « le festival de Cannes des nominations, tous les matins il y a un nouveau ».

Selon Michel Picon, les politiques « s’écharpent » trop souvent au détriment des réels intérêts du pays. Pour sortir de cette impasse, il prône un retour aux fondamentaux du dialogue social, incarné par des figures du monde syndical ou entrepreneurial. Jean-Dominique Senard, souvent qualifié de « patron social », est, à ses yeux, le candidat idéal. Ce dernier, qui a fait ses preuves chez Michelin, Total et aujourd’hui Renault, est reconnu pour sa capacité à trouver des compromis dans des environnements difficiles.

Michel Picon a également mentionné Sophie Thiéry, présidente de la Commission Travail Emploi du Cese, comme autre personnalité capable de jouer un rôle clé dans la politique actuelle. Elle pourrait, selon lui, apporter un regard neuf, notamment sur les questions de qualité de vie au travail. Cette dernière, également directrice RSE chez Aésio mutuelle, a déjà travaillé Jean-Dominique Senard lors de leur pilotage commun du rapport « Re-considérer le travail » remis en avril 2023 dans le cadre des Assises du travail du Conseil National de la Refondation, qui proposait notamment de renforcer les moyens de la médecine du travail.

 

Profil bas : la stratégie de Marine Le Pen

Profil bas : la stratégie  de Marine Le Pen

La lutte contre l’extrême droite est régulièrement présentée comme une priorité par le président de la République et par la majorité des autres partis politiques. Pourtant, Marine Le Pen et le RN n’ont jamais été aussi proches du pouvoir. Alors que le RN est passé de 18,7 % des voix en 2022 à 33,15%  (en intégrant les voix d’Éric Ciotti et ses amis) en 2024 dans le cadre du premier tour des élections législatives, cette popularité croissante met en lumière le succès d’une stratégie inédite. Cette dernière, marquée par l’absence et la discrétion, tranche avec l’omniprésence médiatique des responsables politiques en général, et d’Emmanuel Macron et de Jean-Luc Mélenchon en particulier.

 

par ,Enseignant-chercheur en stratégie et en sciences politiques, INSEEC Grande École dans The Conversation  

25 avril 2022 : le second tour de l’élection présidentielle vient de rendre son verdict et Emmanuel Macron est réélu face à Marine Le Pen. La bataille des législatives commence… et Marine Le Pen annonce qu’elle part en vacances. Sa décision ne peut que surprendre avant une échéance électorale de cette importance et alors que certains responsables politiques présentent les élections législatives comme le 3ᵉ tour de l’élection présidentielle qui pourrait forcer Emmanuel Macron à cohabiter si le camp présidentiel n’est pas majoritaire à l’Assemblée nationale.

L’opposition entre le camp présidentiel mené par Emmanuel Macron et une Nupes naissante menée par Jean-Luc Mélenchon prend dès lors toute la lumière. L’opposition est assez frontale entre d’un côté un président réélu qui perçoit le danger que représente la grande coalition de gauche et un leader insoumis qui caresse l’espoir de s’installer à Matignon.

Face à une dynamique électorale bien moins porteuse que lors des législatives de 2017 pour son mouvement, Emmanuel Macron se positionne alors comme un rempart face au danger que signifierait l’arrivée au pouvoir d’une coalition de gauche dominée par les Insoumis. Son discours de l’entre deux tours devant l’avion présidentiel à quelques minutes d’un départ pour rendre visite à des militaires français en Roumanie, appelant au sursaut républicain face à la menace des extrêmes, vient parfaitement illustrer cette posture.

Cette stratégie rappelle alors l’attitude de Charles de Gaulle dénonçant la chienlit de mai 68 et se posant en rempart face aux désordres de l’époque. Le mouvement gaulliste avait ensuite largement remporté les législatives de 1968 après la dissolution décidée par le chef de l’État.

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Du côté de la Nupes, la domination de la France Insoumise dessine une stratégie marquée par la critique du président réélu et par une personnalisation de la campagne autour de la figure de Jean-Luc Mélenchon, légitimée par ses 21,95 % obtenus au premier tour de l’élection présidentielle.

À côté de cette omniprésence médiatique, la campagne législative de Marine Le Pen – de retour de vacances – et du RN semble peu audible. Elle permet pourtant au mouvement d’extrême droite de faire élire, à la surprise générale, 89 députés dans le cadre d’un scrutin majoritaire historiquement défavorable au RN avant 2022.

La « stratégie de la cravate »

Après sa réélection de 2022, Emmanuel Macron déclare que « ce vote l’oblige » et qu’il doit par conséquent tenir compte des votes qui se sont portés sur sa candidature pour faire uniquement barrage à Marine Le Pen et faire évoluer sa pratique du pouvoir.

La séquence, qui va de sa réélection en juin 2022 aux élections européennes de 2024, est pourtant marquée par l’utilisation répétée du 49.3 par son gouvernement pour faire passer des lois parfois très contestées, comme la réforme des retraites. Sa grande conférence de presse télévisée du 16 janvier 2024, devant le gouvernement et une assemblée de journalistes n’ayant droit qu’à quelques questions, illustre aussi une verticalité persistante de sa pratique du pouvoir en droite ligne de son premier quinquennat.

Du côté de la Nupes, la stratégie de « guérilla » parlementaire défendue par Jean-Luc Mélenchon et menée par les députés de la France Insoumise créé la polémique – notamment pendant les discussions concernant la réforme des retraites. Elle semble mal passer dans l’opinion publique et finit par faire exploser la coalition de gauche suite aux attentats du Hamas sur le sol israélien.

Marine Le Pen, quant à elle réélue députée, impose aux 89 députés du RN à l’Assemblée la « stratégie de la cravate ». Il s’agit d’être bien habillés, courtois et respectueux. En dehors de quelques dérapages comme l’affaire des propos racistes de Grégoire de Fournas, la tactique est globalement respectée par les élus RN. Leur attitude tranche avec les violents échanges opposant notamment régulièrement les députés insoumis et les membres du gouvernement ou certains députés de la majorité présidentielle.

Rétrospectivement, la stratégie de Marine Le Pen et du RN lors des législatives de 2022 a pu paraître surprenante et contre-productive. Alors que c’est elle qui est arrivée en seconde position à l’élection présidentielle, elle semble laisser la place de première opposante au pouvoir à Jean-Luc Mélenchon.

La suite semble pourtant légitimer cette stratégie visant à ne pas faire de vagues et à faire profil bas. Elle se révèle, lors des travaux de l’Assemblée nationale élue en 2022, cohérente avec son travail de dédiabolisation mis en place à son arrivée à la tête du parti frontiste.

Surtout, elle la distingue de ses deux principaux rivaux de l’élection présidentielle, qui finissent par apparaître l’un comme l’autre plus clivants.

Au-delà de la question de savoir si la stratégie de dramatisation des enjeux choisie par Emmanuel Macron et celle du combat permanent et de la polémique adoptée par Jean-Luc Mélenchon sont utiles à leur camp, ces deux stratégies semblent légitimer, par contraste, celle de Marine Le Pen. Et ainsi accompagner une montée progressive du RN, désormais aux portes du pouvoir.

En laissant le champ libre à Jordan Bardella pour un éventuel poste de premier ministre, Marine Le Pen semble vouloir rester sur cette ligne qui lui a particulièrement réussi ces deux dernières années. Mais une telle stratégie présente aussi des risques… surtout si le RN accède au pouvoir à la suite des législatives actuelles.

En cas d’échec, Marine Le Pen pourrait aborder les prochaines élections présidentielles à la tête d’un mouvement rendu potentiellement moins populaire par la pratique du pouvoir.

À l’inverse, la possibilité que Jordan Bardella profite de son nouveau rôle pour gagner en popularité et se sente dès lors légitime pour se présenter à la prochaine présidentielle, à l’instar d’Édouard Balladur suite à la cohabitation de 1993, n’est pas à exclure.

Sans compter qu’une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale avant 2027 est une possibilité déjà envisagée par le camp présidentiel (il faudra attendre au moins un an pour le faire).

Dans tous les cas, il y a fort à parier que Marine Le Pen soit obligée de s’exposer davantage et de laisser de côté une stratégie pourtant couronnée de succès, si elle veut un jour accéder à la présidence de la République.

« Compétent » et « humain »: Le profil des patrons français

« Compétent » et « humain »: Le profil des patrons français

Une large majorité des travailleurs définissent leur patron avec un adjectif positif, selon une étude publiée par le site d’apprentissage Preply au mois de mai. Selon ce sondage effectué sur 1 500 salariés, une grande majorité d’entre eux ont « tendance à attribuer un adjectif positif à leur patron ». Le mot « compétent » est celui qui ressort le plus, chez 18,3% des sondés. Les Français interrogés sont 17,1% à trouver leur patron  »digne de confiance », 17% à le qualifier d’« humain » ou encore 14,4% à le définir comme « respectueux ».

Seule une minorité de travailleurs ont répondu par des adjectifs négatifs : ils sont ainsi 6,1% à déplorer le côté « méprisant » et 5,5% le côté  »autoritaire » de leur patron. Et ce ne sont que 4,1% des sondés à trouver leur supérieur « incompétent »« Ainsi, sans surprise, les travailleurs Français interrogés estiment qu’ils ont une très bonne relation avec leur patron », note Preply. « Près d’un quart d’entre eux, 26,64%, l’évaluent à 8/10 et plus des trois quarts, 76,7%, ne donnent pas une note inférieure à 7/10. Ils ne sont que 1,4% à donner la note la plus basse, 1/10″, rapporte également le sondage.

Plus globalement, les sondés qualifient positivement leur quotidien au travail, avec 26% qui le trouvent « enrichissant » ou encore près de 20% l’estimant « stimulant ». Les adjectifs négatifs représentent environ un tiers des réponses, avec 17,3% de « routinier » ou encore 14,3% de « stressant ».


*Méthodologie :

Preply, la plateforme de cours d’anglais en ligne, a mené cette étude en effectuant un sondage afin de recueillir 1 500 réponses de salariés à travers 10 grandes villes de France : avec un quota de 150 personnes par ville. Les questions concernaient entre autres, l’appréciation de l’expérience quotidienne au travail, la relation avec le patron ainsi qu’un mot pour décrire les deux éléments mentionnés, etc… Preply a choisi plusieurs mots à consonance positive ou négative pour déterminer le ressenti des sondés. La plateforme a ensuite récolté les données et analysé les résultats.

Encore des professeurs menacés et encore le même profil

Encore des professeurs menacés et encore le même profil


Encore des Enseignant menacés par des islamistes est presque à chaque fois, on va rapidement trouver des circonstances psychiatriques pour expliquer la menace. Le problème c’est que la plupart des candidats criminels sont affectés de dérèglements psychologiques graves nourris par la drogue et-ou la propagande islamiste.

Deux mois jour pour jour après l’assassinat du professeur Dominique Bernard, un grave incident s’est produit ce mercredi 13 décembre au collège des Hautes-Ourmes à Rennes. Une élève de 12 ans a menacé sa professeur d’anglais avec un couteau avant d’être maîtrisée, a appris Le Figaro auprès d’une source policière, confirmant les informations de Ouest-France
Cette fois encore on va assister un déni de réalité. La plupart de ces attentats sont en effet le fait d’étrangers déréglés. Dans le cas présent il s’agit d’une fillette de 12 ans d’origine mongole. Autant de pays où les règles de civilisation moderne ont du mal à pénétrer et qui plongeait dans des sociétés contemporaines ne parviennent pas à gérer les limites de la liberté notamment matière de laïcité.

François Kraus , directeur du Pôle Politique et Actualités de l’Ifop, publie une étude Ifop-Elmaniya.tv sur le sens que les Français musulmans donnent à la laïcité et la place qu’ils accordent aujourd’hui à la religion à l’école et dans la société.

Quels sont les principaux enseignements à tirer de cette étude ?

François KRAUS. – La principale conclusion de l’étude est que dans leur grande majorité, les musulmans échappent au mouvement de sécularisation qui affecte depuis des siècles le reste de la société française. Or, leur haut degré de religiosité s’accompagne non seulement d’un niveau d’orthopraxie très marqué – spécialement sur le plan alimentaire et vestimentaire – mais aussi de tout un ensemble des revendications d’expression religieuse dans la vie quotidienne (école, rue, sport…) qui rentrent en opposition frontale avec l’arsenal législatif ou réglementaire actuel.

Encore un professeur menacé et encore le même profil

Encore un professeur menacé et encore le même profil


Encore un professeur menacé de mort par un élève de 12 ans. Et cette fois on va rapidement trouver des circonstances psychiatriques pour expliquer la menace. Le problème c’est que la plupart des candidats criminels sont affectés de dérèglements psychologiques graves nourris par la drogue et la propagande islamiste.

Deux mois jour pour jour après l’assassinat du professeur Dominique Bernard, un grave incident s’est produit ce mercredi 13 décembre au collège des Hautes-Ourmes à Rennes. Une élève de 12 ans a menacé sa professeur d’anglais avec un couteau avant d’être maîtrisée, a appris Le Figaro auprès d’une source policière, confirmant les informations de Ouest-France
Cette fois encore on va assister un déni de réalité. La plupart de ces attentats sont en effet le faite d’étrangers déréglés. Dans le cas présent il s’agit d’une fillette de 12 ans d’origine mongole. Autant de pays où les règles de civilisation moderne ont du mal à pénétrer et qui plongeait dans des sociétés contemporaines ne parviennent pas à gérer les limites de la liberté notamment matière de laïcité.

François Kraus , directeur du Pôle Politique et Actualités de l’Ifop, publie une étude Ifop-Elmaniya.tv sur le sens que les Français musulmans donnent à la laïcité et la place qu’ils accordent aujourd’hui à la religion à l’école et dans la société.

Quels sont les principaux enseignements à tirer de cette étude ?

François KRAUS. – La principale conclusion de l’étude est que dans leur grande majorité, les musulmans échappent au mouvement de sécularisation qui affecte depuis des siècles le reste de la société française. Or, leur haut degré de religiosité s’accompagne non seulement d’un niveau d’orthopraxie très marqué – spécialement sur le plan alimentaire et vestimentaire – mais aussi de tout un ensemble des revendications d’expression religieuse dans la vie quotidienne (école, rue, sport…) qui rentrent en opposition frontale avec l’arsenal législatif ou réglementaire actuel.

Attaque à Paris : encore le même profil

Attaque à Paris : encore le même profil

Après cette attaque à Paris qui a fait un mort et deux blessés, après la mort de Thomas a crée Paul, les autorités n’ont pas cette fois dissimulée le profil du criminel. Il s’agit comme souvent d’un extrémiste à moitié débile et en plus comme souvent aussi récidivistes.. on peut imaginer cependant que certains essaieront encore de faire passer cette affaire pour un fait divers et non pour un phénomène national.

Une personne a été tuée et deux autres blessées, ce samedi soir, à Paris, dans une attaque au couteau. Les faits se sont déroulés quai de Grenelle, dans le 15e arrondissement de la capitale.

L’individu a commencé son équipée mortelle peu après 21 heures entre le quai de Grenelle et Bir-Hakeim. Il attaque d’abord le touriste allemand. Il prend ensuite la fuite en traversant le pont de Bir-Hakeim grâce à l’intervention d’un chauffeur de taxi qui a vu la scène. Il rejoint le 16e arrondissement. C’est à ce moment qu’il est poursuivi par un équipage de policiers du 7e arrondissement et qu’il attaque les deux autres personnes.

L’assaillant, Armand R., Français né en France à Neuilly-sur-Seine en 1997, aurait crié «Allah akbar» au chauffeur de taxi et aux policiers, avant d’être interpellé, a expliqué Gérald Darmanin. L’individu, qui habite chez ses parents dans l’Essonne, est connu des services de renseignement pour son accointance avec l’islam radical et pour des troubles psychologiques, a appris Le Figaro de source policière. Gérald Darmanin a précisé que le suspect est «sous traitement psychiatrique et neurologique».

En juillet 2016, ce même individu avait été interpellé par la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure). Il était soupçonné de vouloir commettre une action violente à l’aide d’une arme blanche à La Défense. Pour ces faits, il a été condamné la même année à quatre ans de prison, «effectués», a ajouté Gérald Darmanin..

Fiasco au Stade de France: Darmanin fait profil bas

Fiasco au Stade de France: Darmanin fait profil bas 

 

Dans l’affaire de la pagaille au Stade de France, Darmanin ne s’est pas clairement déjugé mais il a cependant sur le fond reconnu des insuffisances et sur la forme, il a nettement baissé d’un ton. Après son audition au Sénat , Darmanin  laisse encore place aux interrogations et à l’ambiguïté. L’affaire n’est pas simple car il y a eu en la circonstance conjonction de facteurs ayant contribué au fiasco. Il y a bien évidemment l’affaire des faux billets et l’insuffisance de cryptage de l’organisateur du match à savoir la fédération française de football. La responsabilité incombe aussi stadiers visiblement en nombre insuffisant. Les pouvoirs publics en charge non pas du contrôle des billets mais de la sécurité ont réagi de manière fort peu appropriée comme  si les supporters étaient considérés comme des délinquants potentiels. C’est ajouté  aussi là-dessus la venue de 200 à 300 petits voyous venus dépouiller les supporters anglais.

A noté le grand courage résidents de la république et de la première ministre. Leur silence assourdissant témoigne à l’évidence de leurs difficultés à se positionner quand il s’agit de questions concrètes, surtout en période électorale.

Attaque d’une policière à La Chapelle-sur-Erdre : toujours le même profil pour l’auteur

Attaque d’une policière à La Chapelle-sur-Erdre : toujours le même profil pour l’auteur

Encore un délinquant bien connu d’origine étrangère, psychologiquement dérangée tissée  notamment radicalisé en prison.. D’origine sénégalaise, l’homme de 39 ans est né à Saint-Nazaire, deuxième d’une frarie de huit enfants. Ses antécédents judiciaires sont nombreux : 72 mentions au total, pour des faits allant de l’usage de stupéfiants et du vol avec arme, à des violences volontaires. Sorti de prison en mars dernier, il avait été condamné par la cour d’assises du Nord à huit ans de détention après avoir séquestré, armé d’un fusil, un couple de personnes âgées à qui il espérait dérober de l’argent.

L’intéressé était inscrit dans le Fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), un fichier créé en mars 2015 et qui recense, selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, un peu plus de 8.000 individus connus pour des positions extrêmes et susceptibles de menacer la sûreté de l’État.

 Ndiaga Dieye semble avoir, d’après le procureur, respecté scrupuleusement ses obligations de réinsertion et de soin en prenant son traitement et en rencontrant le service pénitentiaire d’insertion et de probation. En réalité, un parcours d’insertion relativement virtuel comme pour la plupart des détenus.

Le profil psychologique des complotistes

Le profil psychologique des complotistes

Les croyances en des conspirations tous azimuts intriguent les chercheurs. Quel est le profil psychologique de ces adeptes de la cabale ? Dans sa chronique au « Monde », Sylvie Chokron, Directrice de recherches au CNRS détaille les dernières connaissances en la matière.

Chronique

« Le coronavirus a été créé de toutes pièces en laboratoire ! » « Les vaccins qu’on nous propose sont destinés à nous implanter une puce électronique. » Et pourquoi pas nous connecter à la 5G en même temps ? Les théories du complot sont toutes plus délirantes les unes que les autres et même, parfois, contradictoires. Ainsi, ceux qui prétendaient que la princesse Diana avait été assassinée étaient également les plus enclins à penser qu’elle avait falsifié sa propre mort.

On a souvent avancé que les personnes les plus exposées à ce type de croyances souffraient d’un sentiment de persécution, c’est-à-dire d’une tendance paranoïde. Néanmoins, le nombre important de théories qui émergent régulièrement ainsi que le fait qu’un nombre non négligeable de nos concitoyens y adhèrent suggèrent que ces croyances ne sont pas nécessairement liées à un trouble mental avéré.

 

Ces dernières années, fort heureusement, de nombreuses recherches visent à comprendre quels sont les processus cognitifs, depuis la perception jusqu’à l’analyse des informations qui favorisent ce type de croyances. Michiel van Elk, de l’université d’Amsterdam, a tout d’abord montré que la propension à croire à une théorie paranormale ou conspirationniste pourrait être liée à un biais perceptif. Les détails d’une information seraient traités avant la globalité de celle-ci, alors que c’est habituellement l’inverse qui est attendu. 

Pas de hasard

Sebastian Dieguez et ses collègues de l’université de Fribourg ont, quant à eux, tenté de comprendre si le fait d’adhérer à une théorie du complot était lié à un refus d’accepter le rôle du hasard comme explication possible d’un phénomène. Ces auteurs ont ainsi mené trois études visant à corréler les idées conspirationnistes et l’acceptation du hasard comme cause potentielle d’un événement et n’ont trouvé aucun lien entre ces deux facteurs. Le fait que les complotistes évoquent une théorie pour expliquer des faits en clamant souvent que « de toute façon rien n’arrive par accident » ne recouvre donc aucune disposition particulière vis-à-vis du rôle du hasard.

Très récemment, Nico Pytlik, Daniel Soll et Stephanie Mehl, de l’université de Marbourg, en Allemagne, ont demandé à 519 sujets d’indiquer leur degré de croyance vis-à-vis de 20 théories complotistes. Etait aussi mesurée la propension des participants à tirer des conclusions rapides à partir d’informations communiquées. Les résultats montrent cette fois clairement que le degré de croyance dans une théorie conspirationniste est corrélé à la tendance des participants à tirer des conclusions très rapidement à partir de très peu d’informations.

 

Erdogan : la Turquie fait profil bas avec l’UE

Erdogan : la Turquie fait profil bas avec l’UE

la Turquie avait déjà peu protesté contre les sanctions américaines suite à l’achat par la Turquie de matériel de défense russe. Erdogan fait aussi profil bas avec l’union économique. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé son souhait d’ouvrir « une nouvelle page » avec l’Union européenne lors d’un entretien téléphonique avec le président du Conseil européen Charles Michel. Il s’agit du premier contact de ce niveau depuis les sanctions décidées la semaine dernière contre son pays.

 

Profil de l’assassin de Nice : de la drogue à l’endoctrinement islamique

Profil de l’assassin de Nice : de la drogue à l’endoctrinement islamique

 

Finalement progressivement on commence à définir le profil de l’assassin de Nice. Un individu assez inculte qui s’est perdu dans la drogue et l’alcool en Tunisie et qui s’en est sorti par la thérapie islamiste

. C’est le profil habituel de nombre de terroristes. Des individus assez insignifiants, sans instruction, souvent délinquants et qui brutalement se soignent avec la drogue meurtrière de l’idéologie islamiste. Le problème c’est que ces personnages sont facilement manipulables par des responsables islamiques bien à l’abri et bien nourris qui poussent  cette jeunesse perdue vers l’irréparable.

SONDAGE Edouard Philippe, un profil plus présidentiel que Macron

SONDAGE Edouard Philippe, un profil plus présidentiel que Macron

En matière de popularité, l’écart ne cesse de grandir entre d’une part le président de la république, d’autre part le premier ministre. Une raison fondamentale à savoir qu’Édouard Philippe présent un profil plus présidentiel que Macron qui s’agite un peu dans tous les sens. D’après le baromètre mensuel Ifop Emmanuel Macron stagne à 29% de satisfaits, le même chiffre que le mois dernier, Édouard Philippe, lui, gagne 7 points et se hisse à 41% de satisfaits. Soit un écart de 12 points entre le Président et son Premier ministre… « C’est la première fois depuis le début du quinquennat qu’on a un écart assez net de popularité, et même un déséquilibre entre Macron et Philippe, note Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Il y a une sorte de petit état de grâce d’Édouard Philippe, déconnecté de la popularité présidentielle alors que, précédemment, Macron tirait Philippe vers le haut ou vers le bas. » « Symboliquement, il sort comme le grand gagnant de la séquence », note Frédéric Dabi, qui constate que, comme François Fillon avec Nicolas Sarkozy, « l’image de Philippe se construit désormais en décalque, voire en rupture avec celle de Macron : ce dernier donne l’image d’un président hautain et arrogant alors que Philippe apparaît calme et posé, modeste et rassurant. » Un différentiel de perception qui ne devrait pas ravir le Président.

L’ Émission politique : Édouard Philippe adopte un profil bas

L’Émission politique : Édouard Philippe adopte un profil bas

 

On ne peut pas dire que l’interview politique télévisée du Premier ministre Édouard Philippe marquera l’histoire politique. En effet sur la plupart des sujets,  le premier ministre a adopté un profil bas se contentant d’une part de justifier le positionnement du gouvernement et de l’Élysée et sur bien d’autres sujets se contentant d’indiquer qu’il était ouvert. Bref qui n’avait pas arrêté encore de position officielle. Ce fut le cas notamment sur la PMA vis-à-vis de laquelle il ce déclare personnellement assez favorable. Concernant l’indemnisation du chômage, il ne serait pas non plus opposé à une « certaine dégressivité » des indemnités. Même attitude prudente concernant son avenir politique Édouard Philippe n’est pas totalement opposé à une éventuelle candidature à la mairie de Paris (convoitée par d’autres notamment par Griveaux). Pour tout dire sur la plupart des sujets le Premier ministre ne se mouille pas trop. C’est sans doute d’abord dans son tempérament. Contrairement à Macon, Édouard Philippe ne sollicite pas la provocation pour appuyer ses analyses et ses propositions. La prudence du Premier ministre peut aussi s’expliquer par l’évolution de sa popularité dans l’opinion publique. Jusqu’à une période récente, le premier ministre se maintenait dans les sondages évitant de chuter en même temps que Macron. Désormais il semble bien que la chute soit irréversible aussi bien pour le président que pour le premier ministre. Dernier exemple de la prudence du Premier ministre à propos de   “L’affaire Benalla”», Édouard Philippe a estimé qu’il avait «assez dit tout ce qu’il (en) pensait». «Je crois que les Français ont compris plus vite que les autres que cette affaire n’était pas une affaire d’État, qu’elle ne traduisait rien d’une organisation (supposée) au plus haut sommet de l’État, mais qu’il s’agissait d’une affaire individuelle assez déplorable», a-t-il martelé. «Je veux bien que l’on dise tout ce qu’on veut sur cette affaire. D’ailleurs, tout a été dit, redit et surdit», a-t-il pesté. Estimant que «la sanction a été immédiate», il a concédé que l’on puisse considérer qu’elle n’avait «pas été suffisante». «C’est un bon débat, mais elle a été immédiate», a-t-il conclu, déplorant qu’il y ait eu «beaucoup, beaucoup, beaucoup de bruit et assez peu de choses» sur le sujet. Enfin le Premier ministre a réitéré sa soumission à Macron : Contrairement à de nombreux chefs de gouvernement sous la Ve République, le locataire de Matignon a assuré qu’il ne convoitait pas l’Élysée. «Plus je suis premier ministre, plus je vois forcément ce que c’est que d’être président de la République, et cela m’encourage à faire mon boulot», a-t-il assuré. Affirmant que le président est «un homme avec qui [il] a appris à travailler», Édouard Philippe a estimé qu’il ne s’agissait «pas d’un ami». «

 

Le profil des électeurs du Front National : colérique, raciste et facho

Le profil des électeurs du Front National : colérique, raciste et facho

Selon le sondage Ifop-Fiducial réalisé pour le JDD et Sud Radio, la  motivation du vote lepéniste est d’abord « le rejet des autres partis ». Pour autant, « l’adhésion » au FN est revendiquée par 40% de ses électeurs (et 51% de ceux qui ont voté plusieurs fois pour lui) – et en nette augmentation (13% donnaient cette réponse en 1997). Plus précisément, 43% expliquent leur vote par la défiance envers les autres formations, mais 35% partagent « le constat » du FN sur l’état du pays et 34% adhèrent à ses «  solutions sur l’immigration », soit bien plus qu’à ses propositions économiques et sociales (19%). Pour identifier ces « valeurs », l’Ifop a soumis à son panel une série d’affirmations en invitant chaque sondé à y souscrire ou à s’y opposer. L’écart se révèle manifeste, parfois abyssal, entre les réponses lepénistes et les autres. Ainsi, 86% des sympathisants FN (contre 50% de ceux qui n’ont jamais voté pour ce parti) disent qu’ »on ne se sent plus chez soi » en France, 84% (contre 50%) qu’on ne s’y sent pas « en sécurité« , 80% que l’immigration coûte plus qu’elle ne rapporte (contre 57%), 73% que l’islam est incompatible avec la République (contre 43%). Ils sont même 63% à considérer qu’il y a « trop de libertés » dans notre pays et 74% souhaitent le rétablissement de la peine de mort, alors que ce sujet ne figure plus au programme officiel du FN.  Malgré l’enracinement de son parti, Marine Le Pen conserve un profil spécialement clivant. Seuls 20% des Français lui prêtent une stature de chef d’État, 20% à peine la trouvent compétente, 17% honnête. Même chez ses partisans, elle ne recueille qu’une approbation relative : une courte majorité pense qu’elle appliquerait son programme à l’Élysée (54%) et la trouve sincère (51%) ; une minorité la trouve compétente (48%) et honnête (40%).

 

* Notre le  JDD-Sud Radio a été réalisé par l’institut Ifop et Fiducial. L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 966 personnes ayant déjà voté pour le Front national, extrait d’un échantillon de 3.200 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 31 mars au 5 avril 2017.

 

Tueur fou de Copenhague :toujours le même profil

Tueur fou de  Copenhague :toujours le même profil

Avec les précautions oratoires de la langue de bois la plupart des grands médias n’osent pas dire clairement que le tueur fou de Copenhague est d’ascendance étrangère, du moyen ou proche orient sans doute. Comme les part des autres assassins ( pas tous ). Avec le même profil, un marginal incapable de s’insérer dans une démocratie, délinquant , condamné pour violences et trafic. Bref un habitué de la prison, un voyou tout simplement. Un raté qui a fini par se convaincre qu’on pouvait donner une légitimité à sa marginalité imbécile et violente grâce au secours d’une religion de bazar, l’islamisme radical  Nul doute qu’il devait aussi être inculte et qu’il ignore tout du Coran et du reste. Comme les assassins de France, comme ceux qui les supportent, comme ceux qui sont partis faire le djihad, ceux qui s’y préparent . Ceux qui pensent  qu’entrer dans un magasin avec une kalachnikov en tuant n’importe qui relève de l’exploit révolutionnaire et spirituel ,  bref la connerie à l’Etat pur. Ce ne sont pas seulement les forces de police qu’il faut mobiliser mais des troupes de psychiatres pour ces barbares sortis tout droit de la préhistoire.  La police de Copenhague a donc indiqué dimanche après-midi que l’auteur présumé des fusillades qui ont coûté la vie à deux personnes à Copenhague samedi et la nuit dernière avait 22 ans et était né au Danemark. Il était déjà connu des services de police pour des actes de violence et pour détention d’armes. Plusieurs médias danois ont indiqué qu’il se nommait Omar El-Hussein.  On en sait un peu plus dimanche soir sur l’auteur présumé des attaques de Copenhague, abattu vers 4h du matin dans le quartier populaire de Nørrebro par les policiers danois sur lesquels il avait ouvert le feu.  Selon les médias danois, il a été identifié comme Omar El-Hussein. Né au Danemark, il était âgé de 22 et fiché pour « plusieurs délits dont des infractions à la législation sur les armes et des violences », a annoncé la police dans un communiqué.  »Il est également connu pour ses liens avec des bandes de délinquants », a-t-elle ajouté, sans confirmer son nom. L’homme était également connu des services de renseignements qui ont indiqué travailler « sur l’hypothèse selon laquelle la personne en question a pu être inspirée par les événements qui se sont déroulés à Charlie Hebdo à Paris ».

 




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