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Prochaines élections européennes : 37 listes ou la dérive démocratique

Prochaines élections européennes : 37 listes ou la dérive démocratique

 

Il est clair que les Français déjà peu intéressés par les élections européennes avec un taux d’abstention de 50 à 60 % risquent d’être encore un peu plus déboussolés par le nombre démentiel de listes à savoir 37. Ou la dérive d’une démocratie qui hésite entre autocratie et anarchie. Autocratie par exemple avec Macron et anarchie avec des marginaux gauchistes, corporatistes, ésotériques ou encore identitaires.

Les conditions de cette élection sont évidemment à revoir totalement si on ne veut pas qu’un jour l’abstention atteigne les 80 %.

37 listes ont déposé leur candidature pour les élections européennes du 9 juin en France, soit trois de plus qu’en 2019, selon un arrêté du ministère de l’Intérieur publié ce samedi 18 mai au Journal officiel.

De nombreuses listes défendant l’environnement, la souveraineté française, mais aussi les enfants ou la langue internationale espéranto, s’ajoutent aux candidatures des principales formations politiques. Une liste Free Palestine est également présente, menée par le président de l’Union des démocrates musulmans français (UDMF), Nagib Azergui, qui avait déjà été candidat en 2019.

 

Récapitulatif des 37 listes candidates

Liste Pour une humanité souveraine – Tête de liste: M. Fidèl.
Liste Pour une démocratie réelle : décidons nous-mêmes! – Tête de liste: Philippe Ponge.
Liste La France fière – Tête de liste: Marion Maréchal.
Liste La France Insoumise (LFI) – Tête de liste: Manon Aubry.
Liste La France revient! – Rassemblement national (RN) – Tête de liste: Jordan Bardella.
Liste Europe Écologie (EELV) – Tête de liste: Marie Toussaint.
Liste Free Palestine – Tête de liste: Nagib Azergui.
Liste Parti animaliste (PA) – Tête de liste: Hélène Thouy.
Liste Parti révolutionnaire communistes – Tête de liste: Olivier Terrien.
Liste Parti pirate (PP) – Tête de liste: Caroline Zorn.
Liste Besoin d’Europe – Renaissance – Modem – Horizons – Udi – Parti Radical – Tête de liste: Valérie Hayer.
Liste PACE – parti des citoyens européens, pour l’armée européenne, pour l’Europe sociale, pour la planète! – Tête de liste: Audric Alexandre.
Liste Équinoxe : Écologie pratique et renouveau démocratique- Tête de liste: Marine Cholley.
Liste Écologie positive et territoires – Tête de liste: Yann Wehrling.
Liste Asselineau-Frexit, pour le pouvoir d’achat et pour la paix – Union populaire Républicaine (UPR) – Tête de liste: François Asselineau.
Liste Paix et décroissance – Tête de liste: Michel Simonin.
Liste Pour une autre Europe – Tête de liste: Jean-Marc Fortané.
Liste La droite pour faire entendre la voix de la France en Europe – Les Républicains (LR) – Tête de liste: François-Xavier Bellamy.
Liste Lutte ouvrière (LO) – Tête de liste: Nathalie Arthaud.
Liste Changer l’Europe – Nouvelle Donne (ND) – Tête de liste: Pierre Larrouturou.
Liste Nous le peuple – Tête de liste: Georges Renard-Kuzmanovic.
Liste Pour un monde sans frontières ni patrons, urgence révolution! – NPA Révolutionnaires (NPA) – Tête de liste: Selma Labib.
Liste Pour le pain, la paix, la liberté!, présentée par le Parti des travailleurs – Tête de liste: Camille Adoue.
Liste l’Europe ça suffit! – Les Patriotes (LP) – Tête de liste: Florian Philippot.
Liste Non! Prenons-nous en mains – Tête de liste: Edouard Husson.
Liste Forteresse Europe – liste d’unité nationaliste – Tête de liste: Pierre-Marie Bonneau.
Liste Réveiller l’Europe Parti socialiste (PS) – Place publique (PP) – Tête de liste: Raphaël Glucksmann.
Liste Non à l’UE et à l’OTAN, Communistes pour la paix et le progrès social – Tête de liste: Charles Hoareau.
Liste Alliance rurale – Tête de liste: Jean Lassalle.
Liste France libre – Tête de liste: Francis Lalanne.
Liste Europe Territoires Écologie – Parti Radical de Gauche (PRG) – Régions et Peuples Solidaires – Volt – MDP – MDC – Tête de liste: par Guillaume Lacroix.
Liste La ruche citoyenne – Tête de liste: Lorys Elmayan.
Liste Gauche unie pour le monde du travail – Parti communiste (PCF) – Gauche républicaine et socialiste (GRS) – Tête de liste: Léon Deffontaines.
Liste Défendre les enfants – Tête de liste: Gaël Coste-Meunier.
Liste Écologie au centre (EAC) – Tête de liste: Jean-Marc Governatori.
Liste Démocratie représentative – Tête de liste: Hamada Traoré.
Liste Esperanto langue commune – Europe Démocratie Espéranto (EDE) – Tête de liste: Laure Patas d’Illiers.

Un dispositif international pour les prochaines pandémies ?

Un dispositif international pour les prochaines pandémies ?.

 

La « déclaration de Carbis Bay » proposée par le G7 afin indique que les membres s’engagent à favoriser un dispositif international pour faire face aux prochaines pandémies.

Reste que les modalités de ce dispositif paraissent particulièrement vagues. En outre n’est pas tranchée la question stratégique du partage des traitements médicaux préventifs ou curatifs en cas de crise grave

« Avec cet accord, les principales démocraties dans le monde vont s’engager à empêcher une pandémie mondiale de se produire une nouvelle fois, pour que les ravages causés par le Covid-19 ne se répètent jamais », a déclaré Boris Johnson.

 

Le document comprend une série d’engagements pour empêcher une nouvelle pandémie. Il s’agira de réduire le délai pour développer des vaccins, des traitements et des diagnostics, avec l’espoir que le monde soit prêt en moins de 100 jours pour faire face à une maladie soudaine.

Cette déclaration ne tranche pas donc  l’épineuse question de la suspension des brevets sur les vaccins, afin d’accélérer leur production. Les Etats-Unis et la France sont pour, mais l’Allemagne s’y oppose.

Pour Oxfam, le G7 est trop tendre avec l’industrie pharmaceutique. « Cette déclaration ne résout pas les problèmes fondamentaux qui empêchent les vaccins d’être accessibles à la majorité de l’humanité », quitte à renoncer à la propriété privée sur le brevets, selon l’ONG.

Etat, assurance chômage et retraites, chômage, Etat : pédale douce pour les prochaines réformes.

Etat, assurance chômage et retraites, chômage, Etat : pédale douce pour les prochaines réformes.

Il est clair que le gouvernement risque de mettre la pédale douce pour les prochaines réformes concernant la réforme de l’État, l’indemnisation du chômage et surtout la réforme des retraites. Cela pour plusieurs raisons. Il y a d’abord l’environnement social notamment caractérisé par la colère des gilets jaunes. Le moins que l’on puisse  dire c’est que l’environnement social n’est guère favorable à la mise en œuvre de réformes qui mettraient en cause la protection des salariés. Certes le mouvement des gilets jaunes  risque de se tasser sérieusement dans les jours et semaines à venir. Un phénomène d’usure bien connue dans les conflits sociaux sans parler de la trêve des confiseurs. Mais cette mise entre parenthèses des gilets jaunes pourrait représenter plus tard un risque de réveil à l’occasion de la première réforme sociale qui viendra sur le tapis. Cette fois d’ailleurs le mécontentement pourrait ne pas être seulement exprimé par les gilets  jaunes mais aussi par les syndicats. La seconde raison qui milite en faveur d’une grande prudence vis-à-vis des réformes : réside dans le fait que les réformes déjà réalisées n’ont pas permis d’obtenir de résultats miraculeux ni sur le plan économique, ni sur le plan social. La réforme dite du travail n’a pas apporté grand chose d’autant qu’elle a été largement amputée de sa disposition centrale visait à décentraliser la négociation. La réforme de la formation permanente quant à elle ne modifie qu’à la marge les anciennes dispositions. Pour parler clair on a été incapable de mettre le paquet sur la formation des chômeurs et les organisations de formation continue se gaver  des 35 milliards annuels de collecte. Politiquement le gouvernement ne peut plus tenir le rythme et devra en rabattre sur le contenu. Actuellement En position de faiblesse, le gouvernement aura des difficultés  à opérer une réforme de l’État qu’il n’a même pas réussi à engager alors que les conditions étaient favorables. L’obstacle le plus important pour le gouvernement sera constitué par la réforme des retraites dont on dit vouloir modifier les modalités et qui viserait  à passer à passer d’un système en annuités avec des prestations déterminées à un système à points ; le slogan du gouvernement c’est qu’un euro de retraite versée aurait la même valeur les salariés. Une remise en cause donc des régimes sociaux mais aussi un vaste programme de toutes les retraites avec une incitation payer des retraites complémentaires via les assurances privées.

Catalogne : «Un risque d’affrontements dans les prochaines semaines»

Catalogne : «Un risque d’affrontements dans les prochaines semaines»

Selon la chercheuse Barbara Loyer, Madrid et Barcelone sont désormais «dans une impasse». En principe, la situation est claire: la Catalogne se proclame comme un État à part entière au même titre que l’Espagne ou la France. Pour  Barbara Loyer, directrice de l’Institut français de géopolitique à Paris 8, cette résolution «n’a rien de symbolique». «La feuille de route des autorités catalanes est assez claire. Ils se sont inspirés du modèle slovène – la Slovénie est devenue indépendante en 1991. Madrid n’a pas pris la mesure de l’ampleur de la grogne en Catalogne et ils ont été pris au piège», analyse la chercheuse. Selon elle, les dirigeants favorables à l’indépendance n’ont pas agi à l’aveugle et ont étudié depuis «plusieurs années les modalités que devrait prendre la République autonome de Catalogne. En cela, ce n’est absolument pas symbolique mais réel».  Pour Barbara Loyer, «Madrid et Barcelone ont opté, depuis le début de la crise, pour l’option la plus radicale». «Jusqu’en 2010, une négociation avec la Catalogne était possible pour lui accorder plus d’autonomie, mais le gouvernement espagnol n’a pas répondu aux attentes des Catalans et leurs velléités d’indépendance se sont accrues. Aujourd’hui, le risque est de ne pas pouvoir revenir en arrière», analyse-t-elle.  Selon elle, «le risque d’affrontements est important dans les prochaines semaines car la société civile est fragmentée». «Je ne vois pas comment il est possible de sortir de cette impasse», indique-t-elle.  «Je n’ai pas de boule de cristal, mais si Madrid et la Catalogne campent sur leurs positions, sans véritable référendum, il y a un risque d’affrontements importants. «

Miracle des prochaines élections : la baisse d’impôt avancée à janvier

Miracle des prochaines élections : la baisse d’impôt avancée à  janvier

Une baisse d’impôt qui tient du miracle ou plutôt de la proximité des élections. Pas une baisse massive non mais une  diminution qui concernera les 5 millions de contribuables les moins imposés  sur le revenu.  Il a en effet déposé un amendement de dernière minute au projet de loi de finances pour 2017 qui prévoit d’appliquer dès le mois de janvier la baisse d’impôt sur le revenu (IR) de 20 % présentée en septembre dernier. En clair, les cinq millions de ménages concernés par la mesure - c’est-à-dire les célibataires dont le revenu fiscal de référence ne dépasse pas 18 500 euros par an (ou par lissage 20 500 euros) ou les couples gagnant moins de 37 000 euros par an - verront leur facture fiscale diminuer dès janvier 2017 s’ils sont mensualisés, ou dès février 2017 s’ils payent par tiers provisionnel. Sans l’amendement, ils auraient dû attendre fin août-début septembre, date de règlement définitif de l’impôt sur les revenus de 2016, pour profiter du cadeau fiscal. Car habituellement les mensualités d’IR payées en année N (par exemple 2017) sont calculées en divisant par dix le montant de l’impôt payé l’année précédente et ne prennent donc pas en compte les mesures votées en loi de finances à l’automne précédent (ici, 2016). L’amendement du gouvernement vise à redonner du «pouvoir d’achat aux Français dès janvier (pour ceux qui sont mensualisés)», a assuré sur Twitter le secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert. «Plutôt que d’attendre le mois d’août, nous avons choisi de rendre dès le mois de janvier - ou février pour ceux qui sont au tiers - une partie de la baisse d’impôt», a renchéri Bercy

 

 

 

Emploi, investissements, impôts : les prochaines réformes de Valls…avant l’été

Emploi, investissements,  impôts : les prochaines réformes de Valls…avant l’été

 

Nouvelle série de reformes envisagées par le gouvernement qui concerneront l’emploi, les investissements et les impôts. Pour les impôts les mesures en fait ont déjà été décidées pour les contribuables modestes. La vraie  reforme concerne les conditions d’embauche et surtout de licenciement dans les PME. .Pour les investissements on voit mal les mesures significatives compte tenu de l’étroitesse des marges de manœuvre surtout pour les investissements publics.  Le locataire de Matignon a rappelé les nouveaux textes qui seront votés «avant l’été». «Mon gouvernement redoublera d’énergie, avec comme priorité l’emploi, l’emploi, l’emploi», a promis le premier ministre dimanche soir. À Matignon, on envisage des mesures en faveur de l’investissement, d’une meilleure distribution des crédits non dépensés du CICE ou encore pour faciliter l’emploi dans les PME.  Le gouvernement a déjà indiqué qu’il planche sur la création d’un nouveau contrat de travail dans les PME. «J’ai demandé au gouvernement d’ouvrir un chantier pour encourager les embauches dans les petites entreprises, afin de leur donner plus de facilité et plus de souplesse», avait indiqué François Hollande au Parisien.  «Il faut que les patrons ne se sentent pas pieds et poings liés», confie un ministre aux Echos. L’idée de ce contrat pourrait être de permettre à l’employeur de licencier simplement le salarié embauché si les résultats économiques ne sont pas au rendez-vous, rapporte le journal économique.  Ce dispositif demandé par le patronat viendrait ainsi compléter l’assouplissement des plans de sauvegarde de l’emploi et la réforme des prud’hommes inscrits dans la loi Macron. Il viserait spécifiquement à faciliter l’embauche




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