Archive pour le Tag 'prochainement'

Déconfinement : quand ?….. Prochainement, peut-être (Macron)

Déconfinement : quand ?….. Prochainement,  peut-être (Macron)

 

Les propos très prudents du chef de l’État traduisent une extrême prudence quant à l’effectivité d’un processus de des confinements. Interrogé lundi le chef de l’État a déclaré que la levée  des mesures seraient très progressive est sans doute assez modestes.

 

Quelques commerces, des terrasses(!), Et la suppression de la limite des 10 km pourraient constituer la première phase.

 

Le tout semble conditionné  par l’évolution des indicateurs pour l’instant qui ne sont pas encore très convaincants si l’on se réfère nombre d’hospitalisés toujours en hausse. Le niveau de contamination par département pourrait aussi être pris en compte pour un éventuel déconfinement territorialisé; (actuellement le taux d’incidence varie de 100 à 600 selon les départements).

 

« On va sans doute fixer un seuil de taux d’incidence », a prévenu le président, excluant une réouverture des établissements dès « fin mai, ­courant juin » dans les zones les plus touchées.

 

 

« On va essayer de le décaler un peu, car 19 heures, c’est tôt », a expliqué le chef de l’État qui a ajouté : » ces premières phases doivent être très précautionneuses, parce qu’il faut éviter que ça reparte de manière non contrôlée », a mis en garde Emmanuel ­Macron.

Emmanuel Macron a aussi émis l’hypothèse d’une vaccination annuelle contre le Covid-19 : « Peut-être que chaque année, un peu comme la grippe, il faudra se revacciner quand il revient, pour se protéger. »  .

Taxe numérique : une taxe internationale prochainement ?

Taxe numérique : une taxe internationale prochainement ?

Jusque-là les États-Unis s’étaient opposés au principe d’une taxe internationale en considérant qu’il fallait laisser le choix du lieu d’imposition au GAFA. La question qui va de se poser est de savoir d’abord quelle sera l’ampleur de cette taxe. Aussi dans lequel lieu géographique elle pourra être perçue.

 

Il se pourrait bien que les États-Unis veuillent récupérer le produit de l’imposition. Une imposition qui pourrait par ailleurs être assez marginale au regard des énormes chiffres d’affaires brassées par les GAFA. De toute manière même en France où a été instaurée cette taxe le rendement fiscal est ridicule entre 300 et 400 millions pour des dizaines de milliards de chiffres d’affaires( chiffre d’affaires pratiquement d’ailleurs impossibles à évaluer actuellement).

 

La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen, a déclaré aux ministres des Finances du groupe G20, que Washington abandonnerait une partie litigieuse de la proposition, qui avait été mise sur la table fin 2019 par l’administration Trump, à savoir une disposition dite «refuge» (safe harbour), a-t-il indiqué. Celle-ci visait à donner l’option aux entreprises de choisir entre le nouveau régime fiscal négocié au sein de l’OCDE et le système actuel.

 

Il faut désormais «conclure sans délais» les négociations en cours au sein de l’OCDE, a enjoint le ministre des Finances Bruno Le Maire dans une déclaration faite lors d’une réunion avec ses homologues du G20, estimant que c’était «à portée de main, surtout maintenant que les États-Unis ont confirmé renoncer» à la disposition litigieuse.

Janet Yellen a en outre annoncé que Washington allait «s’engager fermement sur les deux piliers du projet» de réforme de la fiscalité internationale, selon le responsable du Trésor.

Coronavirus : encore la promesse d’un vaccin très prochainement

Coronavirus : encore la promesse d’un vaccin très prochainement

 

C’est presque quotidiennement qu’on nous annonce la sortie d’un nouveau traitement voire d’un nouveau vaccin.

Moderna est engagée dans les médecines transformatrices basées sur l’acide ribonucléique messager (ARNm). Elle a créé une plateforme pour améliorer les propriétés pharmaceutiques sous-jacentes des médicaments à base d’ARNm. Cette plateforme se compose de trois domaines : les technologies ARNm, les technologies d’administration et les processus de fabrication. Elle poursuit la science de l’ARNm

Afin de minimiser l’activation indésirable du système immunitaire par l’ARNm et de maximiser la puissance de l’ARNm une fois dans les cellules cibles, elle a fait progresser en parallèle un pipeline de développement diversifié de 21 programmes, dont 10 sont entrés dans des études cliniques et trois autres ont des IND ouvertes.

La technologie de Moderna, fondée sur l’ARN messager, n’a jamais prouvé son efficacité contre d’autres virus. Elle vise à donner au corps les informations génétiques nécessaires pour déclencher préventivement la protection contre le coronavirus.

Ses programmes de développement de thérapies et de vaccins couvrent les maladies infectieuses, l’oncologie, les maladies cardiovasculaires et les maladies génétiques rares.

Dernière phase des essais cliniques sur 30.000 volontaires, c’est la phase déterminante des essais, qui permettra de voir, sur un très grand échantillon de personnes saines, si le vaccin est plus efficace qu’un placebo pour empêcher la contamination par le nouveau coronavirus. Le protocole a été finalisé avec l’Agence américaine des médicaments (FDA), et l’essai sera mené en collaboration avec les Instituts nationaux de santé (NIH).

 

Moderna est, avec l’université d’Oxford qui a aussi lancé un essai à grande échelle sur 10.000 volontaires et attend des premiers résultats en septembre, partie parmi les tout premiers dans la course mondiale au vaccin. La biotech a reçu 483 millions de dollars du gouvernement américain. Elle a annoncé le 18 mai des premiers résultats encourageants sur un petit nombre de volontaires (ici, 8), dans le cadre de la première phase des essais cliniques.

La phase 2, qui comprendra 600 volontaires, a commencé fin mai. La vaccination se fait en deux doses séparées de 28 jours. La moitié des participants reçoit un placebo, de façon aléatoire. Si la dose retenue pour les essais (100 μg) se révélait efficace, Moderna a prévu de pouvoir produire 500 millions de doses par an, et « possiblement jusqu’à 1 milliard ».

Il est clair que les groupes pharmaceutiques internationaux sont lancés dans une lutte de recherche légitime mais qui ce confond parfois avec la recherche de profits financiers liés en particulier à la remontée du niveau des actions.. Ainsi chaque jour ou presque l’un des grands groupes pharmaceutiques( en fait cinq à six dans le monde pour 50 à 60 usines de production). – Le groupe pharmaceutique américain Eli Lilly déclare par exemple  avoir un médicament spécifiquement conçu pour traiter le COVID-19 autorisé à être utilisé dès septembre si tout se déroule comme prévu pour l’une des deux thérapies à base d’anticorps qu’il teste actuellement, a déclaré son responsable scientifique à Reuters mercredi. Notons que les principales informations ne viennent pas des laboratoires de recherche mais des industries pharmaceutiques dans certaines d’ailleurs évertue  à démolir d’éventuels progrès qui pourraient être faits chez les concurrents. Pire le groupe pharmaceutique américain en cause avance l’idée que son traitement serait même plus efficace et plus utile qu’un vaccin avec une utilisation à caractère préventif. Bref un traitement à tout faire. Pas de doute que la bourse va réagir favorablement.

Selon Daniel Skovronsky, ces thérapies pourraient être plus utiles qu’un vaccin dans le cadre d’une utilisation généralisée comme traitement contre le COVID-19 si elles s’avèrent efficaces. Elles pourraient également être utilisées à titre préventif contre la maladie.

“Pour l’indication du traitement, en particulier, cela pourrait aller assez vite”, a-t-il déclaré à Reuters. “Si en août ou septembre, nous constatons que les personnes qui ont été traitées ne progressent pas vers l’hospitalisation, cela constituerait une donnée importante et pourrait conduire à l’autorisation d’utilisation en urgence”.

“Cela vous place donc dans la période de l’automne : septembre, octobre, novembre n’est pas déraisonnable”, a-t-il dit.

Les vaccins actuellement développés et testés ne seront probablement pas prêts avant la fin de l’année au plus tôt.

Au début du mois, Eli Lilly a annoncé avoir commencé à tester deux traitements d’anticorps distincts chez les patients atteints de COVID-19. L’un, actuellement désigné LY-CoV555, est développé en partenariat avec la société biotechnologique canadienne AbCellera. L’autre, JS016, est développé en collaboration avec le fabricant chinois de médicaments Shanghai Junshi Biosciences.

Tous deux fonctionnent en bloquant une partie de la protéine du virus qu’il utilise pour pénétrer dans les cellules humaines et se répliquer.

Le troisième anticorps candidat au traitement de Lilly agit sur une partie différente du virus et sera très probablement testé en combinaison avec l’un ou les deux autres, a expliqué Daniel Skovronsky. La question n’est pas de savoir si le traitement de la société pharmaceutique américaine est efficace ou pas, elle les peut-être mais encore faudrait-il la soumettre au méthodologies qui permettent de vérifier son efficacité et de contrôler ses contre-indications. À ce rythme pas de doute une autre industrie va sans doute annoncer un traitement va avoir un besoin dun caccuin  dans les jours qui viennent !

 

La société est l’une des cinq entreprises sur lesquelles l’administration du président Donald Trump aurait misé dans le cadre de son opération « Warp Speed » (à la vitesse de la lumière), selon le New York Times, avec AstraZeneca (partenaire industriel du vaccin d’Oxford), Johnson & Johnson, Merck, et Pfizer. Le but est de fabriquer 300 millions de doses de vaccins d’ici janvier 2021.

 

Prisonniers : des centaines prochainement libérés ?

Prisonniers : des centaines prochainement libérés ?

Une annonce qui tombe mal, en pleine polémique sur la libération de trois détenus à Chartres la semaine dernière. Dans son édition à paraître mercredi, le Canard Enchaîné révèle qu’à cause d’une grosse erreur juridique datant de 2004, des dizaines, voire des centaines de détenus en France pourraient être libérés. Car ces détenus « purgent des peines prescrites » et « sont donc retenus illégalement« , indique le Canard Enchaîné. Le 26 juin dernier, la Cour de cassation rend un arrêt qui corrige une décision datant de 2004. A cette date, Dominique Perben est alors ministre de la Justice. Le 15 décembre 2004 exactement, l’ex-ministre de la Justice promulgue un décret (et c’est bien le problème) sur les conditions de prescription des peines (délai au bout duquel la peine ne peut plus être exécutée). Ce décret indique que les prescriptions peuvent être interrompues (et donc les peines être appliquées) par les « actes ou décisions du ministère public » ou par ceux « du juge de l’application des peines ».  Très bien, sauf que la Cour de cassation vient de considérer que ces conditions ne pouvaient être fixées que par une loi, et non par un décret. Conclusion : le décret promulgué par Dominique Perben sur la prescription des peines n’aurait aucune valeur. Et ainsi toutes les suspensions de prescription établies d’après ce décret seraient caduques. Toujours selon le Canard Enchaîné, l’ex-ministre de la Justice Michel Mercier se serait rendu compte de l’erreur en 2012 et aurait rectifié le tir. Mais l’imbroglio juridique concernerait encore tous les condamnés dont une prescription de peine aurait été suspendue avant cette date. Rien que dans la juridiction d’Aix-en-Provence, pour laquelle l’hebdomadaire a pu obtenir les chiffres, ils seraient 245 détenus potentiellement concernés.  Mais tous ne sont pas forcément libérables. Ainsi, depuis le début de l’été, les parquets généraux reçoivent la consigne d’examiner individuellement les cas des « personnes condamnées et écrouées au delà du délai de prescription de la peine » (20 ans pour les crimes, 5 ans pour les délits), et éventuellement de procéder à la « levée d’écrou ». Une fois libres, certains de ces détenus pourraient également demander réparation. Dans un communiqué, le ministère de la Justice publié mardi soir, a confirmé avoir demandé « la vérification des condamnations susceptibles d’entrer dans le champ de cette jurisprudence restrictive sur la base d’une estimation (…) qui s’élèverait à 3.499 pour l’ensemble des ressorts » des cours d’appel. La Chancellerie affirme que « de nouvelles instructions ont été données pour que les vérifications se terminent sans délai« . Les condamnations concernées sont celles prononcées avant la loi du 27 mars 2012. « En l’état des vérifications qui sont terminées pour 10 cours d’appel (sur 36 en France, ndlr), pour un total de 628 condamnations, 4 personnes, dont les peines délictuelles (de 4 à 10 mois pour des faits de violences conjugales, vol aggravé et dégradation, abus de confiance, falsification de chèques et usage notamment) avaient été ramenées à exécution, ont donc été élargies« , et donc remises en liberté, a précisé le ministère.




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