Archive pour le Tag 'prix'

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Prix des Cigarettes : le marché parallèle se développe

Prix des Cigarettes : le marché parallèle se développe

Avec la décsion européenne d’autoriser l’achat de 10 paquets à l’étranger par personne, la France se trouve handicapée par ses pris, les plus hauts d’Europe. Du coup le marché parallèle qui représentait déjà près de 20% pourrait atteindre 25%  Les pays frontaliers les plus intéressants financièrement pour les fumeurs sont l’Andorre (3,19 euros en moyenne), l’Espagne (4,65 euros) et le Luxembourg (4,80 euros). Chez nos autres voisins, les tarifs ne sont pas bien plus élevés : 4,30 euros au Portugal, 4,70 euros en Autriche, 5 euros en Italie ou encore 5,26 euros en Allemagne et en Belgique. Les Pays-Bas ne son pas très loin de la France, avec en moyenne 6,32 euros pour un paquet.  La palme du pays le plus cher de l’Union-Européenne revient au Royaume-Uni, avec un paquet moyen à 9,53 euros, juste devant l’Irlande qui le facture en moyenne à 9,40 euros. Même s’il y a un peu plus de trajet, les cigarettes les moins coûteuses de l’UE sont en Lituanie : 2,06 euros.  Le prix du tabac a été augmenté en juillet dernier de 20 centimes en France. Selon Le Figaro, la nouvelle hausse du prix du tabac en janvier 2014 ne devrait pas dépasser les 20 centimes, contre les 40 centimes initialement prévus.

 

Allemagne : hausse des prix

Allemagne : hausse des prix

L’inflation annuelle s’est légèrement accélérée en Allemagne, ce qui peut laisser entrevoir une hausse des prix à la consommation plus marquée que prévu dans l’ensemble de la zone euro. Si tel était être le cas, Banque centrale européenne (BCE) se sentirait moins pressée d’agir pour soutenir l’activité alors que le spectre de la déflation a conduit certains responsables de la BCE à évoquer de possibles nouvelles mesures. Harmonisée aux normes européennes (IPCH), l’inflation de novembre est ressortie à 1,6% sur un an et à 0,2% sur un mois en Allemagne, première économie de la zone euro, selon des chiffres publiés jeudi par l’Office fédéral de la statistique. Les économistes avaient anticipé en moyenne une inflation sur un an de 1,3% en normes IPCH – celles retenues par la BCE pour fixer sa politique monétaire. Alors que le consensus pour l’inflation de novembre dans la zone euro – donnée qui sera publiée vendredi – est actuellement de 0,8%, l’économiste en chef de Berenberg Bank Holger Schmieding pense que les statistiques allemandes pourraient se traduire par une hausse des prix à la consommation de 0,9%. « (Les données en provenance d’Allemagne) devraient quelque peu apaiser les craintes déflationnistes dans la zone euro. C’est un nouvel argument en faveur d’un statu quo de la politique monétaire de la BCE (…)’, a-t-il ajouté. L’existence ou non de risques déflationnistes est au coeur des débats de la BCE depuis quelques semaines, certains responsables voulant à tout prix éviter que la zone euro ne connaisse une baisse prolongée des prix, se rappelant que ce phénomène avait plombé l’économie japonaise pendant dix ans. Il y a trois semaines, la BCE a surpris les intervenants de marché en ramenant son principal taux directeur à un nouveau plus bas niveau historique, l’institution voulant ainsi répondre au ralentissement marqué de l’inflation observé le mois dernier, signe de faiblesse de la reprise économique de la zone euro. Au mois d’octobre, l’inflation est tombée à 0,7% dans la zone euro alors que l’objectif officiel de la BCE est une hausse des prix à la consommation légèrement inférieure à 2%.

 

Immobilier : baisse des prix

Immobilier : baisse des prix

 

Les prix des logements anciens ont diminué de 0,2% en France au troisième trimestre, après avoir déjà baissé de 0,3% au premier comme au deuxième trimestres, selon les chiffres provisoires corrigés des variations saisonnières publiés jeudi par l’Insee. Les prix des maisons se sont repliés de 0,4% au troisième trimestre, tandis que ceux des appartements ont augmenté de 0,1%. Sur un an, les prix accusent un recul de 1,4% (-1,6% pour les maisons et -1,2% pour les appartements). L’Insee avait annoncé en première estimation pour le deuxième trimestre un recul de 0,1%. Les prix en Ile-de-France ont baissé de 0,3% au troisième trimestre, ceux des appartements diminuant de 0,6% et ceux des maisons augmentant de 0,3%. Sur un an, ils baissent de 1,2% (-1,6% pour les appartements et -0,5% pour les maisons). S’agissant de Paris seul, les prix des appartements ont reculé de 0,5% sur le trimestre et de 2,1% sur un an. En province, les prix ont diminué de 0,1%% au troisième trimestre (-0,5% pour les maisons mais +0,8% pour les appartements). Sur un an, ils décroissent de 1,5% (-0,8% pour les appartements et -1,8% pour les maisons). Le nombre de transactions a poursuivi son redressement, avec un volume de 689.000 sur les douze derniers mois, en hausse de 2,2% par rapport au total à fin juin.

Inflation : prix à la consommation -0,2% en septembre, +0,9% sur un an

Inflation : prix à la consommation -0,2% en septembre, +0,9% sur un an

 

 

Les prix à la consommation en France auraient  diminué en septembre de 0,2% par rapport à août, mais progressé de 0,9% sur un an, a annoncé mardi l’Institut national de la statistique et des études économiques. Un indice qui ne prend pas en compte les impôts ! La baisse sur un mois « résulterait  principalement de celle, saisonnière, des prix de certains services à la fin de la période estivale et, dans une moindre mesure, du repli des prix de l’alimentation ( dans quel  supermarché ?), en particulier des produits frais », a relevé l’Insee dans un communiqué.

 

Logements anciens : baisse des prix

Logements anciens : baisse des prix

 

Une très légère baisse des prix qui laisse interrogatif sur la pertinence de l’indice des notaires car la tendance baissière est en faiat plus accentuée et surtout très variable selon les zones. Les prix des logements anciens ont baissé de 1,1% en moyenne sur un an au deuxième trimestre en France, selon l’indice notaires-Insee publié mercredi. Cette baisse recouvre un recul légèrement plus prononcé pour les appartements (-1,2%) que pour les maisons (-1,0%).Par rapport au trimestre précédent, selon les données provisoires corrigées des variations saisonnières (CVS), les prix affichent une légère hausse (+0,2%) qui tient à une progression de 0,5% pour les maisons, alors que ceux des appartements ont reculé de 0,2%. En Ile-de-France, les prix des logements anciens ont diminué de 1,2% sur un an (-1,1% pour les appartements et -1,5% pour les maisons) et de 0,6% sur le trimestre (-0,7% pour les appartements

 

Carburant : prix en baisse

Carburant : prix en baisse

Les prix des carburants ont poursuivi leur repli général au cours de la semaine passée, l’essence tombant même à des plus bas depuis neuf mois. La détente des cours du pétrole brut et une appréciation de l’euro expliquent largement ce phénomène. Le litre de gazole, carburant privilégié des Français avec environ 80% des ventes, valait ainsi en moyenne 1,3415 euro dans les stations-service hexagonales en fin de semaine dernière, contre 1,3625 euro une semaine plus tôt, selon les relevés hebdomadaires publiés ce lundi 30 septembre par le ministère de l’Ecologie et de l’énergie. Le gazole reste ainsi à ses plus bas niveaux de l’été. Les prix de l’essence ont également dégringolé d’environ deux centimes, revenant à leurs plus bas niveaux depuis la fin décembre. Ce mouvement continue de refléter la décrue sensible des cours du pétrole brut, sur fond d’apaisement des tensions autour de la Syrie, du réchauffement des relations Iran/Occident, et de reprise de la production pétrolière libyenne. Ces facteurs ont fait baisser les cours internationaux du pétrole brut ces dernières semaines (avec un baril de Brent passé de 115 dollars au début du mois à environ 107 actuellement, soit une baisse de 6%). Cette chute a également été amplifiée, au bénéfice des consommateurs européens de carburants, par un net mouvement d’appréciation de l’euro par rapport au dollar depuis le début du mois de septembre.

Immobilier : rebond des prix du neuf dans les grandes villes ? Du pipeau !

Immobilier : rebond des prix du neuf dans les grandes villes ? Du pipeau !

Le Echos reprennent  les arguments du lobby immobilier en annonçant une reprise des prix du neuf dans les grandes villes ; En faat cette information se fonde sur un site internet qui ne peut prendre en compte le prix réel de la transaction ; il y a en effet une grande différence entre les prix affiché et les prix de transaction. Au mieux dans les grandes villes les prix cessent de baisser. En outre ce qui domine c’est la baisse de transactions. Après un premier semestre difficile, les prix de l’immobilier neuf sont repartis à la hausse l’été dernier dans six des principales villes de France. A Paris et Toulouse notamment, l’inversion de tendance, qui reste à confirmer, est spectaculaire. Depuis le début de l’année, les prix de l’immobilier neuf étaient orientés à la baisse, selon les chiffres du baromètre du portail Trouver-un-logement-neuf.com . Mais la tendance semble être en train de s’inverser en cette rentrée 2013, conformément au constat dressé cette semaine par les promoteurs immobiliers . Selon le site internet qui étudie les prix du neuf dans 10 grandes localités, sur un mois, les prix sont repartis à la hausse dans six villes, du moins pour les trois pièces, la surface de référence dans le neuf.

 

Prix des fruits et légumes : jusqu’à +30%

Prix des fruits et légumes : jusqu’à +30%

 

 

Mauvais et chers, c’est le bilan des fruits et légumes en 2013 Par rapport à l’été 2012, le prix moyen des légumes rejoint ainsi celui enregistré en 2008, année de mauvaises récoltes, et celui des fruits atteint un plus haut jamais enregistré, selon l’Observatoire des fruits et légumes 2013 qui porte sur deux relevés effectués durant l’été.  La courgette (+32,6%), la poire (+31,4%) et la pomme (+30,4%) présentent les hausses les plus marquées, selon l’association de défense des consommateurs.  L’augmentation la plus sage concerne la nectarine (+5,35%) et un seul produit, la cerise, voit son prix baisser.  Le prix moyen d’un kilo de fruits atteint 3,78 euros en 2013, et 2,21 euros pour les légumes, mais les tarifs varient bien sûr selon les points de vente.  Un panier composé d’un kilo de chacun des 8 fruits et 8 légumes du panel coûte 43,05 euros en hard-discount, 51,57 euros en hyper ou supermarché et 55,24 euros au marché. Ce panier revient donc 12 euros plus cher au marché que dans un hard-discount.  Familles Rurales note que sur les 16 produits du panel, 10 provenant de l’étranger reviennent moins cher au consommateur, une proportion en hausse par rapport aux années précédentes.  L’écart de prix entre les fruits et légumes conventionnels et les produits biologiques reste important (70% plus cher pour les fruits bio et 73% de plus pour les légumes bio).  Après une baisse des prix l’année dernière, ils repartent à la hausse, les produits bio étant davantage soumis aux aléas climatiques. Néanmoins, leur augmentation (+19% pour les fruits bio et +15% pour les légumes) reste en ligne avec celle des produits conventionnels, relève Familles Rurales.  Les mauvaises conditions météo, constatées depuis début 2013, et une demande tardive en fruits et légumes d’été sont en grande partie responsable de ces hausses des prix, avaient expliqué plus tôt dans l’été des responsables agricoles à l’AFP.  Familles Rurales n’apporte quant à elle aucun élément d’explication à cette flambée.  Pour cette étude, l’association Familles Rurales a déployé 76 veilleurs qui ont relevé les prix de 8 fruits et 8 légumes à deux dans 37 départements français, pendant les semaines du 10 au 16 juin et du 8 au 14 juillet.

 

Mobile : des prix de 1 à 8 en Europe

Mobile : des prix de 1 à 8  en Europe

La Lituanie est numéro un du prix à la minute, loin devant les Pays-Bas qui arrivent en dernière place. La Commission européenne veut remédier à la situation et présentera à la rentrée des mesures visant à renforcer le marché unique des télécommunications.
 Un appel sur mobile dans le pays d’origine coûte en moyenne 14,7 centimes par minute aux Pays-Bas contre 1,9 centime en Lituanie. Parmi les autres pays où les coups de fil coûtent chers, il y a le Luxembourg (14,6 centimes la minute), la Belgique (13,8 centimes) et la France (12,7 centimes). La moyenne au sein de l’UE est de 9,1 cents. Ces écarts ne s’expliquent pas par des différences de qualité ou de prix de revient des services, ni par des différences de pouvoir d’achat entre les États membres, note la Commission. Les écarts de prix pour les autres catégories de biens et services de base sont bien inférieurs. Par exemple, pour acheter un litre de lait, où que vous soyez dans l’UE, il vous en coûtera entre 69 et 99 centimes, soit une différence de prix de 43 %.En conséquence, les chiffres pour les appels téléphoniques « montrent clairement que les 28 marchés nationaux des télécommunications que compte l’Europe aujourd’hui ne constituent pas un avantage pour les consommateurs comme le ferait un marché unique.  Il est donc essentiel pour toute l’UE d’agir rapidement pour mettre en place un véritable marché unique, afin que notre continent soit véritablement connecté », a estimé la commissaire chargé des Nouvelles technologies, Neelie Kroes.

 

Immobilier : baisse des prix en Europe

Immobilier : baisse des prix en Europe

Selon les dernières statistiques de la Banque centrale européenne (BCE), les prix de la pierre dans les dix-sept pays de la monnaie commune sont ainsi au plus bas depuis mi-2006. L’indice de référence, calculé pour l’ensemble de la zone par la BCE, s’établit en effet à 96,46 points (contre 97,7 fin 2012), à comparer à un plus haut de 102,4 atteint au troisième trimestre 2008. Cette érosion des prix de l’immobilier en Europe recouvre évidemment des réalités contrastées. Comme en matière de croissance, de déficits ou d’emploi, les évolutions sont parfaitement divergentes selon que l’on parle de l’Allemagne ou des pays de la périphérie en crise profonde. Le prix de la pierre est ainsi à son plus haut historique en Allemagne avec un indice qui atteint 113,3 à fin mars 2013, contre 100 fin 2010. La hausse est donc très rapide outre-Rhin, au point qu’elles commencent à inquiéter les autorités financières du pays. Idem en Autriche, où les prix sont aussi à leur record historique. En Espagne en revanche, où le dégonflement de la bulle immobilière est au cœur de la crise économique, la dégringolade est patente: les prix ont chuté de 35 % depuis leur plus haut de 2008. En Irlande, la chute atteint 50 % et commence tout juste à se stabiliser. En Grèce, elle est de 30 %, contre moins de 10 % au Portugal. En Italie, la crise de 2008 avait à peine fait frémir le marché immobilier. Ce n’est plus le cas depuis quelques mois, et la baisse qui s’est amorcée fin 2011 s’est nettement accélérée depuis le troisième trimestre 2012. La France, dans ce domaine, continue d’être un cas particulier. Les prix de son immobilier n’ont commencé que très récemment (fin 2012) à fléchir. Avant cela, ils avaient progressé de façon continue et vigoureuse depuis le trou d’air de fin 2008.

Immobilier: baisse des prix en Ile-de-France

Immobilier: baisse des prix en  Ile-de-France

Le marché immobilier n’arrive pas à repartir en Ile-de-France. Selon l’indice Notaires-INSEE, publié ce lundi 15 juillet, les prix des logements anciens ont légèrement augmenté au premier trimestre, de 0,2%. Mais sur un an, ils ont baissé de 1,5%.  En parallèle, les taux des crédits immobiliers ont atteint des plus bas historiques. Pour autant, le nombre de ventes de logements anciens, sur 12 mois, atteint 665.000 à fin avril, soit une chute de 17%.  Les notaires craignent même une crise de solvabilité des ménages. Dans leur communiqué, ils expliquent: « on peut désormais craindre que ce mouvement de baisse des taux arrive à son terme ». Et ils ajoutent: « certains économistes estiment qu’ils pourraient augmenter de deux points sur les deux années à venir. Même si, dans cette hypothèse, les prix pourraient globalement enregistrer un recul, il est peu probable que les acquéreurs dans leur ensemble gagnent du pouvoir d’achat, de sorte que cela contribuera à bloquer de nouveau le marché ». Si une telle situation se produisait, les primo-accédants les plus modestes seraient les plus pénalisés. « L’absence d’aide dans l’ancien est durement ressentie », ajoutent les notaires.

 

Tabac : hausse des prix, objectif santé ou fiscal ?

Tabac : hausse des prix, objectif santé ou fiscal ?

 

Encore une nouvelle hausse pour des motifs affichés de santé ; en fait aussi une prime à la contrebande qui représente maintenant près de 30% des ventes. Pas sûr qu’au final la recette fiscale soit plus importante même si l’objectif santé ne peut être contesté. Le prix des cigarettes augmentera lundi de 20 centimes par paquet. Le tabac à rouler, lui, augmente directement de 40 centimes. Cette décision fait suite à la hausse de la fiscalité du tabac intervenue au 1er juillet au nom des impératifs de santé publique. Selon les experts, le tabac tuerait 73.000 personnes chaque année en France. En faisant passer le paquet le moins cher à 6,30 euros, Bernard Cazeneuve, ministre du Budget français, espère faire baisser le nombre de fumeurs en France. Il a expliqué dans un communiqué que la précédente hausse des prix de 40 centimes en novembre 2012, a eu un « effet dissuasif avéré sur la consommation ». Selon lui, les ventes de tabac auraient reculé de près de 9% au premier semestre. Cela ne suffit pas aux associations anti-tabagisme, telle qu’Alliance, qui estime que cette augmentation « sera une fois de plus sans effet sur le comportement des fumeurs ». Cette nouvelle inflation s’inscrit dans une progression constante des prix depuis un an et la hausse atteint « environ 10% en moins d’un an« . Les prix du tabac en France sont les plus élevés d’Europe continentale, ce qui, selon le ministre du Budget, reflète l’action du gouvernement pour modérer la consommation. Bernard Cazeneuve a ajouté que « cette détermination » française est aussi le signe d’un positionnement «  en faveur d’une convergence vers des prix du tabac élevés dans l’ensemble de l’Union ». S’attendant à une nouvelle baisse des ventes, les buralistes préparent la riposte. L’organisation d’une grève administrative à partir de lundi a pour but principal de sensibiliser les clients. La plupart des 27.000 buralistes français n’enverront pas à l’administration les « déclarations de stock » qu’ils sont censés remplir à chaque changement de prix. D’autre part, ils sont appelés à entreposer une affiche « destinée à interpeller les 10 millions de clients du réseau sur ce qu’ils payent réellement« . En effet 80% du prix de chaque paquet de cigarettes revient à l’Etat sous formes de taxes, soient 15,5 milliards d’euros affectés à la sécurité sociale en 2012. Si cette hausse est moins importante que celle annoncée au moins de juin, elle sera probabalement suivie d’une seconde augmentation du prix, au cours de l’automne. 

 

Poste : hausse importante du prix du timbre

Poste : hausse importante du prix du timbre

 

La Poste prévoit de fortes augmentations des tarifs d’acheminement du courrier d’ici 2018 sur fond de sévère diminution des lettres transportées au profit des e-mails, assure jeudi le Parisien citant un document interne de l’entreprise. Selon ce « projet stratégique 2013-2018″, les hausses prévues dépasseraient l’inflation de 1% en 2014 et 2015 et de 3% en 2016, 2017 et 2018.  Ces projections doivent cependant être avalisées par l’Autorité de régulations des communications électroniques et des postes (Arcep). Pour la période 2013-2015, l’Arcep a préconisé que l’évolution du prix moyen des tarifs postaux soit limitée à une augmentation de 1% en sus de l’inflation, correspondant donc au document cité. Le prix des timbres les plus utilisés – soit la lettre prioritaire et la Lettre verte – est passé respectivement en janvier 2013 de 0,60 euro à 0,63 euro, et de 0,57 à 0,58 euro. Selon la Poste, le nombre de lettres transportées en France devraient baisser de 6% par an d’ici 2018.

 

Immobilier : stagnation des prix en Ile de France

Immobilier : stagnation des prix en Ile de France

Les notaires constatent une stagnation et restent très prudents sur l’avenir du marché.   »Lorsque l’on compare avril 2013 à janvier 2013 avec un très léger fléchissement de 0,2% tous logements confondus, de 0,3% pour les appartements anciens et un prix unitaire stable à 301.600 euros pour les maisons anciennes ».  A Paris, le prix au mètre carré ressort à 8.280 euros. D’après les indicateurs avancés des notaires sur les prix issus des avant-contrats de vente à Paris, les prix se maintiendraient cet été aux alentours de 8.250 euros le mètre-carré

 

Consommation des ménages : +0.5% en mai, en cause le prix des denrées alimentaires

Consommation des ménages : +0.5%  en mai, en cause le prix des denrées alimentaires

 

La consommation des ménages français en biens a augmenté de 0,5% en mai par rapport au mois précédent du fait d’un rebond des achats alimentaires, selon les données publiées vendredi par l’Insee.  La baisse du mois d’avril a été révisée à -0,5% contre -0,3% annoncé auparavant. Seize économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un chiffre en baisse de 0,1% en mai, leurs prévisions s’échelonnant entre -1,0% et +0,2%. Dans un communiqué, l’Insee fait état d’une hausse de 0,4% des dépenses en bien durables le mois dernier, après +1,3% en avril, due notamment à l’automobile (+0,9% après +2,0%). Les achats en équipement du logement ont en revanche baissé légèrement (-0,1% après +0,4%). Les achats de textile cuir ont quant à eux baissé de 1,5%, après un rebond de +1,5% en avril. Après une forte hausse en mars (+2,6%) et une chute en avril (-3,4%), la consommation en produits alimentaires a rebondi de 1,4% en mai. Les dépenses de consommation des ménages en énergie se sont légèrement contractées (-0,3%) après quatre mois consécutifs de hausse liée aux températures plus basses que d’habitude.

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