Archive pour le Tag 'prix'

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Secteur Automobile : Forte hausse des prix des voitures d’occasion

 Secteur Automobile : Forte hausse des prix des voitures d’occasion

 

La cote Argus a dû revoir ses références en raison de la hausse des prix de l’occasion.. Une nécessité, selon sa maison mère, afin de coller aux soubresauts que l’industrie automobile a connus au cours des deux dernières années.

« Les prix de vente des voitures d’occasion ont augmenté d’environ 30% en deux ans. Ce n’était jamais arrivé sur un laps de temps aussi court. Comme nous avons constaté un écart qui devenait beaucoup trop fort entre les prix de vente des voitures d’occasion et nos cotes qui sont forcément plus basses, nous avons rectifié nos courbes de dépréciation pour s’assurer qu’elles collent plus au marché », explique dans un communiqué Olivier Flavier, vice-président Mobility France du groupe Adevinta, maison mère de L’Argus et propriétaire du Bon Coin.

L’un des facteurs explicatifs c’est la nouvelle grosse déprime des ventes de voitures neuves en Europe. Il y a la hausse des prix des voitures neuves mais surtout les inquiétudes des automobilistes vis-à-vis des mutations vers la voiture électrique encore beaucoup trop chère et insuffisamment fiable. S’ajoute à cela en Europe une réglementation kafkaïenne qui est en train de tuer son industrie.

 

En 2022, le marché européen des ventes de voitures neuves est retombé à son niveau de 1993, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles (Acea) qui compile les ventes de l’ensemble des constructeurs dans les vingt-sept pays de l’Union. Malgré une légère amélioration des ventes depuis le mois d’août, le marché a reculé de 4,6 % sur l’année, avec 9,3 millions de véhicules neufs écoulés. En 2019, c’était 15,3 millions

Les ventes de véhicules neufs restent à un niveau très bas depuis 2020 et la crise sanitaire. Après le choc des confinements, d’autres crises se sont ajoutées: le manque de semi-conducteurs, les perturbations de la chaîne logistique, les pénuries de certains composants liées à la guerre en Ukraine, l’inflation des coûts. Pis, en Europe, la demande est encore plus en berne qu’en Amérique du Nord ou en Chine.

 

Automobiles : Forte hausse des prix des voitures d’occasion

Automobiles : Forte hausse des prix des voitures d’occasion

 

La cote Argus a dû revoir ses références en raison de la hausse des prix de l’occasion.. Une nécessité, selon sa maison mère, afin de coller aux soubresauts que l’industrie automobile a connus au cours des deux dernières années.

« Les prix de vente des voitures d’occasion ont augmenté d’environ 30% en deux ans. Ce n’était jamais arrivé sur un laps de temps aussi court. Comme nous avons constaté un écart qui devenait beaucoup trop fort entre les prix de vente des voitures d’occasion et nos cotes qui sont forcément plus basses, nous avons rectifié nos courbes de dépréciation pour s’assurer qu’elles collent plus au marché », explique dans un communiqué Olivier Flavier, vice-président Mobility France du groupe Adevinta, maison mère de L’Argus et propriétaire du Bon Coin.

 

Prix Immobilier: tendance à la baisse

Prix Immobilier: tendance à la baisse

Les prix de l’immobilier risquent de s’inscrire dans une tendance baissière durable.

Selon l’observatoire CSA/Crédit Logement, sur l’ensemble de l’année 2022, le nombre de prêts accordés aux particuliers a ainsi diminué de 20,5 % par rapport à l’année précédente, sous l’effet de la remontée des taux d’emprunt. Le taux moyen des crédits accordés par le secteur privé était de 2,22 % au quatrième trimestre 2022, contre 1,05 % pour la même période en 2021.

En cause, d’abord des niveaux de prix excessifs atteints  au cours des dernières années. Il faut aussi prendre en compte la hausse de l’inflation qui mécaniquement affecte le pouvoir d’achat des futurs acquéreurs. Aussi la remontée des taux d’intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d’usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d’un certain taux d’endettement, y est pour beaucoup, car elle exclut des acquéreurs du marché

« Les délais et les négociations sont plus longs, les discussions portent sur beaucoup de détails et les vendeurs sont restés sur une estimation immobilière qui date un peu », explique à l’AFP Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris. « Entre le moment où le vendeur prend conscience que le prix est décalé par rapport au marché et celui où il l’ajuste, cela prend du temps », relève quant à lui le président de Century 21 France, Charles Marinakis.

Selon son réseau d’agences, en Ile-de-France, les délais entre la publication d’une annonce et la signature d’un compromis de vente se sont allongés de deux jours pour les maisons et de six pour les appartements. Et nettement plus à Paris et sa petite couronne. « Il y a de l’attentisme côté acquéreurs, et du coup ça se répercute sur les vendeurs », témoigne Romain Gonzalez, directeur d’une agence Guy Hoquet à Issy-les-Moulineaux. « On a beau anticiper depuis août, en leur disant que ça va baisser, tant que ça n’est pas figé, écrit partout, ça ne baisse pas », dit-il.

 

Economie-Prix immobilier: tendance baissière

Economie-Prix immobilier: tendance baissière

 

 

 

Les prix de l’immobilier risquent de s’inscrire dans une tendance baissière durable. En cause, d’abord des niveaux de prix excessifs atteints  au cours des dernières années. Il faut aussi prendre en compte la hausse de l’inflation qui mécaniquement affecte le pouvoir d’achat des futurs acquéreurs. Aussi la remontée des taux d’intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d’usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d’un certain taux d’endettement, y est pour beaucoup, car elle exclut des acquéreurs du marché. Conséquence: ces derniers négocient davantage avant de signer.

« Les délais et les négociations sont plus longs, les discussions portent sur beaucoup de détails et les vendeurs sont restés sur une estimation immobilière qui date un peu », explique à l’AFP Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris. « Entre le moment où le vendeur prend conscience que le prix est décalé par rapport au marché et celui où il l’ajuste, cela prend du temps », relève quant à lui le président de Century 21 France, Charles Marinakis.

Selon son réseau d’agences, en Ile-de-France, les délais entre la publication d’une annonce et la signature d’un compromis de vente se sont allongés de deux jours pour les maisons et de six pour les appartements. Et nettement plus à Paris et sa petite couronne. « Il y a de l’attentisme côté acquéreurs, et du coup ça se répercute sur les vendeurs », témoigne Romain Gonzalez, directeur d’une agence Guy Hoquet à Issy-les-Moulineaux. « On a beau anticiper depuis août, en leur disant que ça va baisser, tant que ça n’est pas figé, écrit partout, ça ne baisse pas », dit-il.

Prix immobilier: tendance baissière

Prix immobilier: tendance baissière

 

 

 

Les prix de l’immobilier risquent de s’inscrire dans une tendance baissière durable. En cause, d’abord des niveaux de prix excessifs atteints  au cours des dernières années. Il faut aussi prendre en compte la hausse de l’inflation qui mécaniquement affecte le pouvoir d’achat des futurs acquéreurs. Aussi la remontée des taux d’intérêt, conjuguée à la réglementation sur le taux d’usure, qui interdit aux banques de prêter au-delà d’un certain taux d’endettement, y est pour beaucoup, car elle exclut des acquéreurs du marché. Conséquence: ces derniers négocient davantage avant de signer.

« Les délais et les négociations sont plus longs, les discussions portent sur beaucoup de détails et les vendeurs sont restés sur une estimation immobilière qui date un peu », explique à l’AFP Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris. « Entre le moment où le vendeur prend conscience que le prix est décalé par rapport au marché et celui où il l’ajuste, cela prend du temps », relève quant à lui le président de Century 21 France, Charles Marinakis.

Selon son réseau d’agences, en Ile-de-France, les délais entre la publication d’une annonce et la signature d’un compromis de vente se sont allongés de deux jours pour les maisons et de six pour les appartements. Et nettement plus à Paris et sa petite couronne. « Il y a de l’attentisme côté acquéreurs, et du coup ça se répercute sur les vendeurs », témoigne Romain Gonzalez, directeur d’une agence Guy Hoquet à Issy-les-Moulineaux. « On a beau anticiper depuis août, en leur disant que ça va baisser, tant que ça n’est pas figé, écrit partout, ça ne baisse pas », dit-il.

Prix de l’électricité: Le scandale de la spéculation

Prix de l’électricité: Le scandale de la spéculation

 


Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptait  sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors que le pays t l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires !

« En voulant concilier ouverture à la concurrence et préservation pour les consommateurs du bénéfice de la compétitivité du parc nucléaire existant, l’organisation des marchés de l’électricité a abouti à une construction complexe et régulièrement remise en cause », Observe de manière très diplomatique la Cour des comptes dans un rapport sur l’organisation des marchés de l’électricité.

Plus grave encore, « la combinaison des principaux outils d’intervention publique ne garantit plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome en termes de stabilité et de compétitivité des prix .

EDF est contraint de fournir ses concurrents au prix de 42 € le mégawatt heure pour un prix d’achat à l’étranger qui a pu atteindre jusqu’à 1000 € au sommet de la crise.

Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptait sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale afin de concurrencer la France sur le plan énergétique . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors qu’elle produit l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires. .

Les rapporteurs de la rue Cambon pointent en particulier la méthode de calcul des tarifs réglementés d’EDF établie par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Comme l’avait déjà souligné l’UFC-Que Choisir en mai 2021, ils démontrent qu’en intégrant le coût d’approvisionnement des fournisseurs alternatifs sur les marchés de gros dès qu’ils n’ont plus d’Arenh (1), elle fait fortement augmenter le tarif réglementé, le déconnectant de plus en plus des coûts de production du parc nucléaire d’EDF. Ainsi révisé, le tarif réglementé est trop exposé au marché, il n’est plus à même d’assurer la stabilité des prix aux consommateurs. Sans le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement, il aurait ainsi bondi de 35 % TTC le 1er février dernier. La Cour des comptes appelle à réformer son mode de calcul pour le protéger des variations des prix de marché.

Autre outil mis en cause, celui de l’Arenh, qui impose à EDF de fournir jusqu’à 100 TWh d’électricité produite par son parc nucléaire à ses concurrents au prix de 42 € le mégawattheure. Si ce dispositif a privé EDF de 7 milliards de revenus sur la période 2011-2021, il lui a cependant permis de couvrir largement ses coûts. Mais ils vont augmenter fortement en 2022 du fait de la faible production de son parc nucléaire. La Cour souligne que les mécanismes de régulation ne fonctionnent plus, que ce soit en France ou en Europe.

Enfin, le mécanisme de capacité qui rémunère le dernier moyen de production appelé pour faire face aux pointes de consommation « est à l’origine de transferts financiers qui peuvent excéder les nécessités de la sécurité d’approvisionnement ». Coût estimé à la charge des consommateurs : de 500 millions à 1,2 milliard par an.

La Cour des comptes conclut que ces trois outils d’intervention publique ne sont pas maîtrisés et qu’ils ne garantissent plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome. Elle recommande une nouvelle régulation pérenne qui supprimerait les effets pervers des mécanismes en place et protégerait les consommateurs de la volatilité des prix.

 

Prix-Inflation: le tripatouillage de l’INSEE

Prix et Inflation: le tripatouillage de l’INSEE

 

Comme par hasard,  l’INSEE sort des chiffres de plus en plus bas de l’inflation. Il y a d’a bord le niveau ramené à 5.9 % au lieu  de 6.2 en novembre. Un calcul déjà obsolète car il ne tient pas compte de la modification structurelle de la consommation des ménages. Et hier l’INSEE sort un chiffre d’inflation en moyenne qui minimise encore l’inflation à 5.2. le seul problème c’est que les tarifs et prix augmentent le plus souvent en fonction du niveau et non de la moyenne. Bref ,le bricolage méthodologique habituelle surtout pour éteindre lesdemandes d’ajustement des salaires et épargnes.

L’inflation en France s’est envolée à 5,2% en moyenne sur l’année 2022 a annoncé l’Insee ce vendredi. Et la hausse pourrait se poursuivre en 2023 avec un pic atteint en début d’année. 

L’institut de statistiques confirme ainsi sa première estimation pour décembre. « L’inflation de décembre a surpris à la baisse. Elle s’explique principalement par ce qui s’est passé sur les marchés du pétrole et du gaz. 2022 s’est finie sur une meilleure note que prévu. Cela ne veut pas dire que l’on a fini de parler de l’inflation. Le pic d’inflation est devant nous, » analyse l’économiste d’ING, Charlotte de Montpellier, interrogée par La Tribune.

Sur un an, l’inflation a bondi en moyenne de 5,2% en 2022 contre 1,6% en 2021. « + 5,2 % pour l’ensemble des ménages, + 6 % pour les 20 % des ménages les plus modestes (c’est l’indice utilisé pour l’indexation du SMIC). Evidemment, l’énergie mène la danse : + 23,1 % en moyenne annuelle en 2022, +29 % pour les seuls produits pétroliers, +41 % pour le gaz en dépit du bouclier tarifaire », a expliqué de son côté le directeur général de l’Insee, Jean-Luc Tavernier sur le réseau social Linkedin, ce vendredi.

En effet, la moindre générosité du bouclier tarifaire et la levée de la ristourne sur les carburants risquent d’accroître les pressions inflationnistes sur l’économie tricolore. « Il y a toute une série d’ajustements qui arrive en début d’année. Il devrait y avoir un impact de la hausse du bouclier tarifaire. Va-t-on atteindre le pic symbolique de 7% ? Rien n’est sûr mais un pic est attendu au cours du premier semestre », souligne Charlotte de Montpellier.

S’agissant du second semestre, la plupart des économistes s’attendent à un coup de frein de l’indice des prix à la consommation. « La deuxième partie de l’année devrait voir une inflation ralentir à 5%. Il ne faut pas négliger l’impact des pressions inflationnistes sur l’alimentaire. Il y a aussi une pression sur les salaires via l’indexation sur le SMIC, » ajoute l’économiste. Mais la France pourrait figurer en tête de classement des pays européens les pl

Consommation: une loi pour faire augmenter les prix !

Consommation: une loi pour faire augmenter les prix !

 

 Un loi pour peser sur le pouvoir de négociation des distributeurs mais qui va faire augmenter les prix 

 Une proposition de loi dénoncée par les distributeurs et  le patron du groupe Leclerc qui dénonce un projet « scandaleux » qui « limite les promotions » et qui « promet d’être chaud sur les tickets de caisse ».

La principale modification concerne l’article 3 du texte qui prévoyait qu’en cas de non accord au 1er mars entre les distributeurs et les industriels, les prix fixés soient ceux des fournisseurs et une rupture de contrat en cas de désaccord des distributeurs.  Jusqu’à maintenant, si aucun accord de prix n’était trouvé entre les distributeurs et les industriels à la fin de la date butoir des négociations, soit au 1er mars, le prix restait identique à celui qui existait avant les négociations. Une injustice selon le député Renaissance, qui préfère « un retour à zéro sur les négociations » et la rediscussion du contrat entre les parties prenantes. Pour les distributeurs, cet article entraînera une hausse des prix allant jusqu’à 30% sur le panier moyen.

« Nous connaissons les hausses de prix exigées par les industriels, elles sont de 20% à 30%. Les industriels auront tout intérêt à ne pas se mettre d’accord avec les distributeurs pour, in fine, que leur demande d’augmentation de prix aboutisse », estime le groupe Système U.

Une situation balayée par Frédéric Descrozaille qui estime que « les industriels savent bien qu’ils ne peuvent pas demander des hausses de prix trop importantes ». Même son de cloche du côté du directeur de l’Institut de liaisons des entreprises de consommation (Ilec), Richard Panquiault, qui voit cet article comme une position médiane, où aucune des deux parties n’aurait l’ascendant sur l’autre.

« Cette loi  est à haut risque pour tout le monde. Il entraîne des conséquences tellement importantes entre les deux parties que ça les forcera à trouver un accord parce que, pour les industriels, le plus risqué serait une rupture de contrat. Pour moi, le plus dangereux est de rester dans la situation actuelle. »

« Avec cette loi, nous sommes dans un contre-effet économique de ce qui se fait actuellement et qui est plutôt en faveur d’une aide aux petites entreprises », souligne Boris Ruy, avocat spécialisé en conseil et contentieux de la concurrence et de la distribution.

Une loi pour le moins importunes au moment où les prix s’nvolenet officiellemenet de 12% mais plus vraisemblablemenet de 20%.

Un effet que dément fermement le député, estimant que « ça ne se joue pas entre les multinationales et les petites entreprises, mais entre les marques nationales et les marques de distributeurs ». Selon lui, les distributeurs ont trop de marge sur leurs marques et répercutent l’inflation dessus massivement. En octobre dernier, le cabinet Nielsen IQ annonçait une inflation de 13,5% pour les premiers prix,12% pour les marques de distributeurs (MDD) standards contre 8% pour les marques nationales.

Le député assure vouloir « tenir bon » sur cet article, admettant tout de même que sa version initiale, sans recours à un mois de délai avec un médiateur pour discuter de la fin du contrat, représentait une « bombe atomique ». Les changements effectués par la commission des Affaires économiques ce mercredi n’ont cependant pas atténué la colère des distributeurs.

Prix de l’électricité en baisse: : récession et climat en cause

Prix de l’électricité en baisse: : récession et climat en cause

Lundi, le prix du gaz a chuté au plus bas depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, avec un mégawattheure (MWh) vendu pour le lendemain à 73 euros après à 300 euros le MWh après l’annonce d’une réduction des livraisons par Moscou.

Pour l’électricité : alors que, le 12 décembre dernier, le MWh de courant s’échangeait à 750 euros pour une moyenne lundi à 170 euros en moyenne.

En cause, la consommation en baisse de l’ordre de 15% cours des six derniers mois . Le résultat d’une baisse de l’activité économique et d’une certaine sobriété
Il faut aussi prendre en compte la météo particulièrement clémente.

Difficile de prévoir l’avenir soumise aux fluctuations météorologiques, à la situation géo politique et à l’énorme spéculation de certains acteurs en particulier sur l’électricité.

La France pourrait se libérer largement des contraintes de cette spéculation si elle parvenait à remettre en marche la totalité du parc nucléaire y compris de Fessenheim. Encore faudrait-il aussi abandonner le système de marché des prix de l’électricité complètement incohérent. Un système imposé par l’Allemagne la commission européenne et qui se fondait sur un pétrole russe bon marché.

Électricité : le scandale de la spéculation et des prix

Électricité : le scandale des prix


L’envolée des prix de l’électricité découle directement de la libéralisation du marché de 1996 voulue par l’Allemagne et la commission européenne. Du coup, nombre de parasites « énergéticiens » qui ne produisent rien, qui ne transportent rien sont venus sur le marché. Avec le prix de l’électricité alignéesur celui du gaz, ces intermédiaires ont réalisé d’immenses profits et alimenté largement l’inflation. Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptait sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors que le pays dispose l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires !

« En voulant concilier ouverture à la concurrence et préservation pour les consommateurs du bénéfice de la compétitivité du parc nucléaire existant, l’organisation des marchés de l’électricité a abouti à une construction complexe et régulièrement remise en cause », Observe de manière très diplomatique la Cour des comptes dans un rapport sur l’organisation des marchés de l’électricité.

Plus grave encore, « la combinaison des principaux outils d’intervention publique ne garantit plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome en termes de stabilité et de compétitivité des prix EDF est contraint de fournir ses concurrents au prix de 42 € le mégawatt heure pour un prix d’achat à l’étranger qui a pu atteindre jusqu’à 1000 € au sommet de la crise.

Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptait sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale afin de concurrencer la France sur le plan énergétique . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors qu’elle produit l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires. .

Les rapporteurs de la rue Cambon pointent en particulier la méthode de calcul des tarifs réglementés d’EDF établie par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Comme l’avait déjà souligné l’UFC-Que Choisir en mai 2021, ils démontrent qu’en intégrant le coût d’approvisionnement des fournisseurs alternatifs sur les marchés de gros dès qu’ils n’ont plus d’Arenh , elle fait fortement augmenter le tarif réglementé, le déconnectant de plus en plus des coûts de production du parc nucléaire d’EDF.

Ainsi révisé, le tarif réglementé est trop exposé au marché, il n’est plus à même d’assurer la stabilité des prix aux consommateurs. Sans le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement, il aurait ainsi bondi de 35 % TTC le 1er février dernier. La Cour des comptes appelle à réformer son mode de calcul pour le protéger des variations des prix de marché.

Autre outil mis en cause, celui de l’Arenh, qui impose à EDF de fournir jusqu’à 100 TWh d’électricité produite par son parc nucléaire à ses concurrents au prix de 42 € le mégawattheure. Si ce dispositif a privé EDF de 7 milliards de revenus sur la période 2011-2021, il lui a cependant permis de couvrir largement ses coûts. Mais ils vont augmenter fortement en 2022 du fait de la faible production de son parc nucléaire. La Cour souligne que les mécanismes de régulation ne fonctionnent plus, que ce soit en France ou en Europe.

Enfin, le mécanisme de capacité qui rémunère le dernier moyen de production appelé pour faire face aux pointes de consommation « est à l’origine de transferts financiers qui peuvent excéder les nécessités de la sécurité d’approvisionnement ». Coût estimé à la charge des consommateurs : de 500 millions à 1,2 milliard par an.

La Cour des comptes conclut que ces trois outils d’intervention publique ne sont pas maîtrisés et qu’ils ne garantissent plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome. Elle recommande une nouvelle régulation pérenne qui supprimerait les effets pervers des mécanismes en place et protégerait les consommateurs de la volatilité des prix.

Forte baisse des prix de l’énergie : récession et climat en cause

Forte baisse des prix de l’énergie : récession et climat en cause

Lundi, le prix du gaz a chuté au plus bas depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, avec un mégawattheure (MWh) vendu pour le lendemain à 73 euros après à 300 euros le MWh après l’annonce d’une réduction des livraisons par Moscou.

Pour l’électricité : alors que, le 12 décembre dernier, le MWh de courant s’échangeait à 750 euros pour une moyenne lundi à 170 euros en moyenne.

En cause, la consommation en baisse de l’ordre de 15% cours des six derniers mois . Le résultat d’une baisse de l’activité économique et d’une certaine sobriété
Il faut aussi prendre en compte la météo particulièrement clémente.

Difficile de prévoir l’avenir soumise aux fluctuations météorologiques, à la situation géo politique et à l’énorme spéculation de certains acteurs en particulier sur l’électricité.

La France pourrait se libérer largement des contraintes de cette spéculation si elle parvenait à remettre en marche la totalité du parc nucléaire y compris de Fessenheim. Encore faudrait-il aussi abandonner le système de marché des prix de l’électricité complètement incohérent. Un système imposé par l’Allemagne la commission européenne et qui se fondait sur un pétrole russe bon marché.

Électricité : le scandale des prix

Électricité : le scandale des prix

Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptaiter sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors que le pays dispose l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires !

« En voulant concilier ouverture à la concurrence et préservation pour les consommateurs du bénéfice de la compétitivité du parc nucléaire existant, l’organisation des marchés de l’électricité a abouti à une construction complexe et régulièrement remise en cause », Observe de manière très diplomatique la Cour des comptes dans un rapport sur l’organisation des marchés de l’électricité.

Plus grave encore, « la combinaison des principaux outils d’intervention publique ne garantit plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome en termes de stabilité et de compétitivité des prix EDF est contraint de fournir ses concurrents au prix de 42 € le mégawatt heure pour un prix d’achat à l’étranger qui a pu atteindre jusqu’à 1000 € au sommet de la crise.

Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptait sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale afin de concurrencer la France sur le plan énergétique . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors qu’elle produit l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires. .

Les rapporteurs de la rue Cambon pointent en particulier la méthode de calcul des tarifs réglementés d’EDF établie par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Comme l’avait déjà souligné l’UFC-Que Choisir en mai 2021, ils démontrent qu’en intégrant le coût d’approvisionnement des fournisseurs alternatifs sur les marchés de gros dès qu’ils n’ont plus d’Arenh , elle fait fortement augmenter le tarif réglementé, le déconnectant de plus en plus des coûts de production du parc nucléaire d’EDF.

Ainsi révisé, le tarif réglementé est trop exposé au marché, il n’est plus à même d’assurer la stabilité des prix aux consommateurs. Sans le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement, il aurait ainsi bondi de 35 % TTC le 1er février dernier. La Cour des comptes appelle à réformer son mode de calcul pour le protéger des variations des prix de marché.

Autre outil mis en cause, celui de l’Arenh, qui impose à EDF de fournir jusqu’à 100 TWh d’électricité produite par son parc nucléaire à ses concurrents au prix de 42 € le mégawattheure. Si ce dispositif a privé EDF de 7 milliards de revenus sur la période 2011-2021, il lui a cependant permis de couvrir largement ses coûts. Mais ils vont augmenter fortement en 2022 du fait de la faible production de son parc nucléaire. La Cour souligne que les mécanismes de régulation ne fonctionnent plus, que ce soit en France ou en Europe.

Enfin, le mécanisme de capacité qui rémunère le dernier moyen de production appelé pour faire face aux pointes de consommation « est à l’origine de transferts financiers qui peuvent excéder les nécessités de la sécurité d’approvisionnement ». Coût estimé à la charge des consommateurs : de 500 millions à 1,2 milliard par an.

La Cour des comptes conclut que ces trois outils d’intervention publique ne sont pas maîtrisés et qu’ils ne garantissent plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome. Elle recommande une nouvelle régulation pérenne qui supprimerait les effets pervers des mécanismes en place et protégerait les consommateurs de la volatilité des prix.

Le scandale de la spéculation des prix de l’électricité

Le scandale de la spéculation des prix de l’électricité

Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptait er sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors que le pays t l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires !

« En voulant concilier ouverture à la concurrence et préservation pour les consommateurs du bénéfice de la compétitivité du parc nucléaire existant, l’organisation des marchés de l’électricité a abouti à une construction complexe et régulièrement remise en cause », Observe de manière très diplomatique la Cour des comptes dans un rapport sur l’organisation des marchés de l’électricité.

Plus grave encore, « la combinaison des principaux outils d’intervention publique ne garantit plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome en termes de stabilité et de compétitivité des prix .

EDF est contraint de fournir ses concurrents au prix de 42 € le mégawatt heure pour un prix d’achat à l’étranger qui a pu atteindre jusqu’à 1000 € au sommet de la crise.

Cette régulation des prix a été voulue par l’Allemagne qui alors comptait sur le faible coût du pétrole russe comme ressource principale afin de concurrencer la France sur le plan énergétique . La France est prisonnière d’un système dénoncé y compris par la Cour des Comptes alors qu’elle produit l’énergie la moins chère du monde quand évidemment on ne ferme pas de centrales nucléaires. .

Les rapporteurs de la rue Cambon pointent en particulier la méthode de calcul des tarifs réglementés d’EDF établie par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Comme l’avait déjà souligné l’UFC-Que Choisir en mai 2021, ils démontrent qu’en intégrant le coût d’approvisionnement des fournisseurs alternatifs sur les marchés de gros dès qu’ils n’ont plus d’Arenh (1), elle fait fortement augmenter le tarif réglementé, le déconnectant de plus en plus des coûts de production du parc nucléaire d’EDF. Ainsi révisé, le tarif réglementé est trop exposé au marché, il n’est plus à même d’assurer la stabilité des prix aux consommateurs. Sans le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement, il aurait ainsi bondi de 35 % TTC le 1er février dernier. La Cour des comptes appelle à réformer son mode de calcul pour le protéger des variations des prix de marché.

Autre outil mis en cause, celui de l’Arenh, qui impose à EDF de fournir jusqu’à 100 TWh d’électricité produite par son parc nucléaire à ses concurrents au prix de 42 € le mégawattheure. Si ce dispositif a privé EDF de 7 milliards de revenus sur la période 2011-2021, il lui a cependant permis de couvrir largement ses coûts. Mais ils vont augmenter fortement en 2022 du fait de la faible production de son parc nucléaire. La Cour souligne que les mécanismes de régulation ne fonctionnent plus, que ce soit en France ou en Europe.

Enfin, le mécanisme de capacité qui rémunère le dernier moyen de production appelé pour faire face aux pointes de consommation « est à l’origine de transferts financiers qui peuvent excéder les nécessités de la sécurité d’approvisionnement ». Coût estimé à la charge des consommateurs : de 500 millions à 1,2 milliard par an.

La Cour des comptes conclut que ces trois outils d’intervention publique ne sont pas maîtrisés et qu’ils ne garantissent plus l’atteinte des objectifs initiaux de la loi Nome. Elle recommande une nouvelle régulation pérenne qui supprimerait les effets pervers des mécanismes en place et protégerait les consommateurs de la volatilité des prix.

Des prix de l’énergie en baisse

Des prix de l’énergie en baisse !

Lundi, le prix du gaz a chuté au plus bas depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, avec un mégawattheure (MWh) vendu pour le lendemain à 73 euros après à 300 euros le MWh après l’annonce d’une réduction des livraisons par Moscou.

Pour l’électricité : alors que, le 12 décembre dernier, le MWh de courant s’échangeait à 750 euros pour une moyenne lundi à 170 euros en moyenne,
En cause, la consommation en baisse de l’ordre de 15% cours des six derniers mois . Le résultat d’une baisse de l’activité économique et d’une certaine sobriété
Il faut aussi prendre en compte la météo particulièrement clémente.

Difficile de prévoir l’avenir soumise aux fluctuations météorologiques, à la situation géo politique et à l’énorme spéculation de certains acteurs en particulier sur l’électricité.

La France pourrait se libérer largement des contraintes de cette spéculation si elle parvenait à remettre en marche la totalité du parc nucléaire y compris de Fessenheim. Encore faudrait-il aussi abandonner le système de marché des prix dee l’électricité complètement incohérent.

Prix de l’énergie :Un coût supplémentaire d’environ 1000 € par ménage

Prix de l’énergie :Un coût supplémentaire d’environ 1000 € par ménage

Des calculs assez alambiqués de l’INSEE tentent de minimiser l’envol des prix de l’énergie sur les ménages. D’après une récente étude, l’INSEE affirme que la perte serait comprise entre 500 et presque 1000 € en fonction de la localisation des ménages. Une segmentation pas forcément pertinente . On se demande bien aussi pourquoi on a pris la période de janvier 21 à juin 2022 au lieu de calculer sur un an. En outre, la segmentation entre ville et ruralité ne rend pas compte des situations concrètes. En effet, les situations à l’intérieur de ces zones sont très différentes selon l’ampleur et la nature des parcours travail domicile, selon la nature du chauffage, selon la nature et l’isolation des bâtiments, selon la composition du ménage notamment.

En fait,il est possible de se livrer à un calcul très simple : en moyenne les Français dépensent 1000 € pour le chauffage et 1000 € pour le déplacement soit 2000 €. Or les prix de l’énergie ont augmenté de 50 % en moyenne sur l’année. Résultat une perte de 1000 € en moyenne évidemment avec des dispersions autour de cette moyenne.

En modélisant les dépenses supplémentaires liées à la hausse des prix de l’énergie et des carburants et les aides apportées par l’Etat, l’Insee calcule que les ménages ont perdu en moyenne « 720 euros » entre janvier 2021 et juin 2022, à consommation égale.(On se demande bien pourquoi l’INSEE ne calcule pas tout simplement sur un an !). Mais tous ne sont pas touchés de la même manière. La baisse de pouvoir d’achat des ménages ruraux vivant hors unité urbaine « est plus grande que celle des autres ménages », note l’institut statistique, puisqu’ils ont perdu en moyenne « 910 euros » sur la période. Ceux résidant dans des communes de moins de 20 000 habitants ont perdu en moyenne « 780 euros », contre « 650 euros » pour ceux habitant dans des communes de 200 000 à deux millions d’habitants. Ceux qui perdent le moins sont les ménages vivant en agglomération parisienne, puisqu’en moyenne ils n’ont « que » « 580 euros » en moins, note l’Insee. En cause : la moindre utilisation, à Paris, de la voiture, pour des trajets en outre beaucoup plus courts. Par ailleurs, le mode de chauffage est plus souvent le gaz ou l’électricité en ville, tandis que le fioul et le bois sont plus répandus hors agglomération. Or, ces deux modes de chauffage ont fait l’objet d’aides beaucoup plus tardives, non prises en compte dans cette étude.

Mais en dépit de ce soutien accru, les 30% de ménages les plus modestes accusent une perte de leur revenu disponible deux fois supérieure à celle des 30% des ménages les plus favorisés. Et ce car les dépenses d’énergie et de carburants « représentent pour les ménages les plus modestes une plus grosse part de leur revenu disponible que pour les autres ménages ». En clair : quand bien même ils ont été davantage aidés, le budget dédié au chauffage et aux déplacements est tel que la perte de pouvoir d’achat est, au regard de leurs revenus, plus importante.
Enfin, l’Insee note que les effets défavorables peuvent se conjuguer : dans les communes les plus rurales, « les 30% les plus pauvres perdent en moyenne 2,7% de leur revenu disponible malgré les aides perçues, alors que dans l’agglomération de Paris, le revenu disponible des 10% les plus aisés ne diminue au total que de 0,7% en moyenne ».

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