Archive pour le Tag 'prison'

États-Unis : réouverture de la prison d’Alcatraz

États-Unis : réouverture de la prison d’Alcatraz

Donald Trump a annoncé la réouverture et la modernisation de l’emblématique prison d’Alcatraz, dans la baie de San Francisco, pour y enfermer les criminels les plus violents.

Donald Trump estime que la remise en fonction de l’établissement, fermé en mars 1963, sera un «symbole de loi, d’ordre et de justice». L’établissement, où avaient été emprisonnés les plus grands chefs de la mafia et notamment Al Capone, a été fermé après seulement 29 ans de service en raison de coûts de fonctionnement trop importants, selon le Bureau des prisons américain.

Sarkozy–corruption libyenne : sept ans de prison demandés

Sarkozy–corruption libyenne : sept ans de prison demandés


Le parquet national financier (PNF) réclame une peine jamais envisagée pour un ancien président de la République : 7 ans de prison ferme, 300.000 euros d’amende, 5 ans d’inéligibilité.

Le Parquet national financier a eu la main lourde pour l’ensemble des prévenus qui, pour beaucoup, encouraient 10 ans de prison : 3 ans pour l’ancien ministre Brice Hortefeux comme pour Thierry Gaubert, 5 pour l’« agent de corruption » Alexandre Djouhri, 6 pour son alter ego en fuite Ziad Takieddine, autant pour l’ancien dignitaire libyen Béchir Saleh également en cavale. Pour Éric Woerth, la sentence maximale est requise (1 an pour financement illégal de la campagne de 2007). Les peines de privation de liberté sont assorties d’amendes qui vont jusqu’à 3 millions d’euros pour M. Takieddine, 4 millions pour M. Djouhri et 6 millions pour M. Saleh.

Dictature en Turquie : Erdogan met son concurrent en prison

Dictature en Turquie : Erdogan met son concurrent en prison

La philosophie de Poutine qui consiste à s’asseoir sur la démocratie et à imposer la répression fait école en Turquie. Ainsi Erdogan a-t-il décidé de mettre son principal concurrent, maire d’Istanbul, en prison pour des motifs bidons. Par ailleurs des centaines de proches du maire d’Istanbul ont également été arrêtés.

La rue a réagi avec des manifestations partout dans le pays pour protester contre cette dérive dictatoriale.

Recep Tayyip Erdogan a choisi le scénario du pire. Son principal rival, Ekrem Imamoglu, celui qui promettait de battre le président turc aux prochaines élections, selon les prévisions de quasiment tous les sondages, a été emprisonné dimanche matin après quatre jours de garde à vue.

Boucherie en Syrie :528.500 morts et 60 000 en prison

Boucherie en Syrie :528.500 morts et 60 000 en prison

Une véritable boucherie sous le régime d’Assad. En effet, la guerre en Syrie a fait plus de 528.500 morts, a indiqué ce mercredi l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) après près de 14 ans d’un conflit dévastateur déclenché par la répression d’un soulèvement prodémocratie par le régime de Bachar el-Assad, renversé le 8 décembre.

Plus de 181.939 civils figurent parmi les plus de 528.592 personnes tuées depuis le début de la guerre en 2011, dont au moins 15.207 femmes et 25.284 enfants, ainsi que des combattants, selon l’Observatoire.

Ce bilan inclut les décès de l’année 2024, mais aussi des milliers d’autres morts durant les années de guerre que l’ONG n’a pu vérifier que dernièrement. Au total pour l’année 2024, l’OSDH rapporte la mort de 6777 personnes. tervention d’acteurs internationaux et l’afflux de djihadistes du monde entier, sur un territoire morcelé par la guerre.Depuis plus d’un demi-siècle la famille Assad régnait sans partage sur la Syrie, réprimant toute opposition et muselant les libertés publiques.
L’OSDH, depuis 2011, a pu catégoriquement vérifier la mort de plus de 64.000 personnes dans les geôles de l’ancien pouvoir «à cause de la torture, la négligence médicale ou des mauvaises conditions» de détention.

Samuel Paty : 13 et 15 ans de prison pour haine contre le professeur décapité

 Samuel Paty : 13 et 15 ans de prison pour haine contre le professeur décapité

Les deux amis du terroriste Abdoullakh Anzorov qui, le 16 octobre 2020 a décapité Samuel Paty, ont écopé des plus lourdes peines pour complicité d’assassinat terroriste (réclusion criminelle à perpétuité encourue), alors que l’accusation avait pourtant demandé une requalification des faits en association de malfaiteurs terroriste criminelle (trente ans de réclusion criminelle encourus).

Azim Epsirkhanov, réfugié tchétchène de 23 ans, a été condamné à 16 ans de réclusion criminelle et Naïm Boudaoud, né à Evreux le 18 janvier 2002, à la même peine de 16 ans. La Cour a jugé qu’ils connaissaient la dangerosité de leur ami et qu’ils lui ont fourni une aide logistique directe. Le 16 décembre, le parquet avait requis contre Epsirkhanov et Boudaoud à respectivement 16 ans et 14 ans de réclusion criminelle.

Hong Kong: prison ferme pour 45 militants démocrates

Hong Kong: prison ferme pour 45 militants démocrates

Prison ferme pour tous  les   militants  coupables d’avoir organisé à l’été 2020 une primaire officieuse destinée à sélectionner des candidats de l’opposition en vue des élections législatives.

Les politiciens Au Nok-hin, Andrew Chiu, Ben Chung et le militant australo-hongkongais Gordon Ng, désignés comme «têtes pensantes», ont été condamnés à des peines allant jusqu’à 7 ans et 3 mois d’emprisonnement.

Tunisie: La démocratie en prison

Tunisie: La démocratie en prison

 

On ne fait pas dans la dentelle dans les pays qui ont du mal avec la démocratie. Récemment,  c’était vrai au Venezuela le vrai vainqueur est menacé de prison. Même chose aussi en Tunisie où l’un des candidats à l’élection du 6 octobre a également été placé en détention provisoire. Le problème c’est que le modèle russe illibéral semble faire école dans certains pays qui voient maintenant des vertus dans des formes de dictatures.

 

Le candidat à l’élection présidentielle du 6 octobre en Tunisie, Ayachi Zammel, a été placé en détention provisoire mercredi, dans le cadre d’une enquête pour des soupçons de «falsification de parrainages», ont annoncé ses avocats. Cette décision intervient aprèsl’exclusion de la course de trois autres candidats, considérés comme des rivaux sérieux du président sortant, Kais Saied – en lice pour un second mandat – par l’Autorité électorale (Isie) en début de semaine.

Le président Saied, élu démocratiquement en 2019, est accusé de dérive autoritaire depuis un coup de force le 25 juillet 2021 par lequel il s’est octroyé les pleins pouvoirs.

Il fait partie des trois candidats retenus dans une liste «définitive» dévoilée lundi par l’Isie, aux côtés de M. Saied et de Zouhair Maghzaoui, 59 ans, un ancien député de la gauche panarabiste. La justice reproche à M. Zammel d’avoir enfreint les règles sur les parrainages, comme les trois candidats écartés par l’Isie malgré la décision la semaine passée du Tribunal administratif de les réintégrer dans la course présidentielle.

Abdellatif Mekki, ancien dirigeant du mouvement islamo-conservateur Ennahdha, Mondher Zenaïdi, ancien ministre du régime Ben Ali, et Imed Daïmi, conseiller de l’ex-président Moncef Marzouki, également proche d’Ennahdha avaient été disqualifiés le 10 août avec 14 autres postulants notamment pour manque de parrainages suffisants.

 

Affaire Benalla: un an de prison ferme

Affaire Benalla:  un an de prison ferme

 

L’ancien collaborateur de l’Élysée Alexandre Benalla a été définitivement condamné à un an de prison ferme pour des violences commises sur des manifestants le 1er mai 2018. 
La Cour de cassation a rejeté mercredi le pourvoi formé par l’ex-chargé de mission de l’Elysée Alexandre Benalla, rendant définitive sa condamnation à un an de prison ferme dans l’affaire des violences du 1er-Mai 2018.

Six ans après ce scandale qui a secoué le premier quinquennat d’Emmanuel Macron, la décision de la plus haute juridiction judiciaire confirme la condamnation en appel d’Alexandre Benalla à trois ans de prison dont un an ferme, prononcée le 29 septembre 2023 par la cour d’appel de Paris.

 

Alexandre Benalla, 32 ans, n’ira pas en prison: la cour d’appel avait en effet aménagé la partie ferme de sa peine. C’est un juge d’application des peines (JAP) qui en déterminera les conditions (par exemple sous bracelet électronique).

 

Celui qui vit aujourd’hui en Suisse et travaille dans le privé reste visé en France par trois enquêtes. L’une porte sur son rôle dans la signature de contrats avec des oligarques russes alors qu’il était en poste à l’Elysée.

Une information judiciaire, ouverte en février 2019 pour « entrave à la manifestation de la vérité », vise à déterminer s’il a dissimulé des preuves, notamment deux coffres-forts.

Enfin, une troisième enquête, lancée en avril 2019, porte sur des soupçons de « faux témoignage » de Alexandre Benalla et Vincent Crase devant la commission d’enquête du Sénat.

Violences- deux ans de prison suite à l’agression d’un brancardier

Violences-  deux ans de prison suite à l’agression d’un brancardier

Enfin la justice se réveille à  Challans (Vendée) avec  quatre ans d’emprisonnement, dont deux fermes, par le tribunal judiciaire des Sables-d’Olonne. L’auteur  a été condamné pour «violence sur personnel de santé (avec une ITT supérieure à huit jours, ndlr) et dégradation de mobilier urbain».

Le  prévenu, un jeune homme musclé encadré de plusieurs policiers, reconnaît avoir frappé un brancardier car son père et son cousin, brûlés, n’étaient pas pris en charge assez vite à ses yeux. Ce que contredit l’image de la vidéo surveillance de l’hôpital diffusée à l’audience: trois minutes après l’entrée aux urgences des deux hommes, le personnel les conduit vers une salle de prise en charge.

On y voit ensuite le prévenu- très alcoolisé– effectuer des allers-retours entre l’intérieur et l’extérieur, puis frapper d’un violent coup de poing dans la nuque et par-derrière un brancardier qui sort déjeuner. Ce dernier gît au sol, inconscient un long moment pendant que des collègues lui viennent en aide. Ensuite, le prévenu défonce la porte d’entrée en verre des urgences avant de quitter les lieux avec ses proches.

 

Drogue à Bordeaux: prison avec sursis pour un trafiquant

Drogue à Bordeaux:  prison avec sursis pour un trafiquant 

Un verdict qui en dit long sur le fossé entre les discours de lutte contre la drogue et les mesures concrètes. Un quadragénaire pratiquant le chemsex a été condamné lundi à Bordeaux à dix mois de prison dont neuf avec sursis pour trafic de stupéfiants.

Le prévenu, resté un mois en détention provisoire, est ressorti libre du tribunal correctionnel. Le parquet avait requis trois ans d’emprisonnement dont 18 mois avec sursis.

En épluchant ses comptes bancaires et son compte Telegram intitulé «Astrotrip», les enquêteurs ont retrouvé la trace de 42.000 euros de virements reçus et d’une centaine de clients. «C’est un problème de santé publique majeur et on le voit à Bordeaux», a déclaré la représentante du ministère public Marion Mare dans ses réquisitions. «On joue aux apprentis chimistes sans rien contrôler, on est sur une dangerosité maximum de dérapage qui peut conduire à la mort.» Cette affaire est jugée après les décès de trois hommes pratiquant le chemsex depuis la mi-mars à Bordeaux. Le parquet n’a établi «aucun lien» entre ces dossiers, ni avec celui jugé lundi.

 

25 ans de prison pour le champion des cryptomonnaies

25 ans de prison pour le champion des cryptomonnaies

 

 Sam Bankman-Fried, le confondateur de la plateforme d’échange de cryptomonnaies FTX, dont la faillite en novembre 2022 avait durablement éprouvé l’industrie des cryptomonnaies a écopé de 25 ans de prison. Il est coupable de sept chefs d’accusation retenus contre lui, dont ceux de «fraude»«blanchiment» et «conspiration». Plus globalement c’est aussi le résultat du laxisme des autorités monétaires qui autorisent une monnaie fictive ne reposant sur aucun actif et objet de toutes les spéculations.

L’intéressé utilisait l’argent des clients de FTX pour prendre des positions risquées, acheter des biens immobiliers, prêter de l’argent à ses cadres ou faire des dons à des hommes politiques. Face à cela, Sam Bankman-Fried a toujours clamé son innocence, concédant seulement quelques «erreurs»

Les procureurs américains espéraient une peine entre 40 et 50 années de prison. La peine de Sam Bankman Fried sera bien inférieure à celle de Bernard Madoff, auquel son nom est souvent associé dans le monde des escrocs financiers. Ce dernier avait été condamné en 2009 à 150 années de prison pour une fraude pyramidale qui avait fait perdre près de 65 milliards de dollars à 4800 clients. Il y est mort.

La justice a finalement tranché pour faire de SBF un exemple pour tous ceux qui seraient tentés de réaliser le même type de fraude. « Si FTX avait été une petite entreprise, la peine de SBF aurait sûrement été moins lourde. Mais FTX était le symbole du mauvais côté de la crypto, et, par cette peine, la justice envoie un message à tout l’écosystème », interprète Arnaud Touati.

Cette décision fait écho à une autre ayant aussi frappé le monde des crypto-actifs à peu près au même moment, l’année dernière. En novembre 2023, l’emblématique patron de la plateforme Binance, Changpeng Zhao, a décidé de démissionner à l’issue d’un procès visant son entreprise. La justice avait démontré que la plateforme aux plus de 100 millions d’utilisateurs aurait facilité des transactions illicites et autorisé certaines effectuées par des individus associés à des groupes criminels.

 

 

Trois ans de prison pour un hackeur

Trois ans de prison pour un hackeur

Le Français Sébastien Raoult, extradé en janvier 2023 du Maroc vers les États-Unis, a été condamné à trois ans de prison ferme, pour escroquerie informatique ( Pillage et revente de données) et usurpation d’identité aggravée par le tribunal de Seattle ce mardi 9 janvier.

Sébastien Raoult avait plaidé coupable d’escroquerie informatique en novembre dernier. Le juge l’a également condamné à rembourser cinq millions de dollars pour les pertes causées aux firmes victimes, selon un communiqué du parquet.

Une fois les données volées, les pirates marchandent leur restitution contre de l’argent ou des bitcoins.

Metz: le responsable d’un meurtre sauvage remis en liberté après un an de prison

Metz: le responsable d’un meurtre sauvage remis en liberté après un an de prison


Le suspect, âgé de 17 ans au moment des faits, avait été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire le 10 octobre 2022.

Un peu plus d’un an après la mort d’un homme de 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau à Maizières-lès-Metz (Moselle), le suspect a été mis en liberté sous contrôle judiciaire, a-t-on appris mercredi 29 novembre du procureur de la République de Metz. La décision avait été frappée d’appel par le parquet, a précisé à l’AFP le magistrat Yves Badorc. Mais elle a été confirmée par la cour d’appel de Metz dans un arrêt du 16 novembre.

Les raisons de cette mise en liberté «sont qu’au sens des critères juridiques pour le maintenir en détention, (les juges) ont estimé que la détention provisoire ne se justifiait plus», a indiqué à l’AFP l’avocat de la famille de la victime, Me Alexandre Bernard. Le mis en examen a également proposé des éléments d’insertion, «un projet de logement notamment», a expliqué le conseil.

Le suspect, âgé de 17 ans au moment des faits, avait été interpellé dès le lendemain. Il a été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire le 10 octobre 2022. Une source au sein de la gendarmerie avait à l’époque dénombré 26 blessures par arme blanche.

Violences à Sainte Soline–demande de prison avec sursis

Violences à Sainte Soline–demande de prison avec sursis


On peut effectivement contester la pertinence écologique des bassines envisagées à Sainte Soline. Mais les protestations ont occasionné des violences rarement atteintes qui sont intolérables. Des mois et des mois après les événements , l’affaire revient donc devant les tribunaux où ont été requis des peines de prison avec sursis.

Huit mois après les violents heurts entre militants environnementaux et forces de l’ordre, six à douze mois de prison avec sursis ont été requis, mardi 28 novembre, à l’encontre de neuf prévenus, soupçonnés d’avoir organisé des manifestations interdites contre les « bassines » à Sainte-Soline (Deux-Sèvres). Le tribunal correctionnel de Niort a mis sa décision en délibéré au 17 janvier.

À noter le curieux argumentaire très politique et ambiguë du procureur Julien Wattebled qui a demandé au tribunal de « trouver un équilibre entre la liberté d’expression et le maintien de la cohésion sociale », tout en décrivant un département où « la peur règne depuis trop longtemps ». « Notre rôle est de dire stop, car on a depuis cet été des annonces de surenchères qui vous disent que ce sera encore plus fort », a-t-il lancé, alors qu’une prochaine mobilisation anti- »bassines » est annoncée en juillet prochain dans le Poitou, juste avant les Jeux olympiques de Paris.

politique- condamné à de la prison Sarkozy alias M. Bismuth fait appel !

Politique- condamné à de la prison Sarkozy alias M. Bismuth fait appel !


Une affaire déjà vieille de 15 ans et vaut à Monsieur Bismuth, le faux nom de Sarkozy une peine de prison. L’affaire est loin d’être terminée puisque l’ancien président fait appel à la Cour de cassation. Nicolas Sarkozy, a été condamné en appel à trois ans de prison, dont un an ferme, une première dans l’histoire de la République et pour un ancien chef de l’Etat. Une condamnation en appel pour « corruption et trafic d’influence » qui intervient dans l’affaire des « écoutes ». Cette décision vient confirmer le jugement de première instance en 2021.

L’ancien président de 68 ans a été condamné aux côtés de son avocat historique Thierry Herzog et l’ancien haut magistrat Gilbert Azibert, eux aussi, reconnus coupables d’avoir noué un « pacte de corruption » avec Nicolas Sarkozy en 2014 et condamnés à la même peine. L’ex-président a été en outre condamné à une privation de ses droits civiques pendant trois ans, ce qui le rend inéligible, tout comme Gilbert Azibert. Me Herzog s’est vu, lui, infliger une interdiction d’exercer sa profession d’avocat pour une durée de trois ans également.

Le récent jugement est en lien avec une autre affaire toujours en cours celle du financement de la campagne de Sarkozy par Kadhafi. Fin 2013, les juges d’instruction chargés de l’enquête sur les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de 2007 décident de brancher les deux lignes de Nicolas Sarkozy. Celui qui a occupé les fonctions de président de la République de 2007 à 2012 est soupçonné d’avoir réceptionné plusieurs millions d’euros entre 2006 et 2007 par l’intermédiaire du Franco-libanais Ziad Takieddine pour financer sa campagne. Nicolas Sarkozy était alors ministre de l’Intérieur. Une information judiciaire a été ouverte le 19 avril 2013 et c’est dans ce cadre que les juges Serge Tournaire et René Grouman décident de le mettre sur écoute.

Lors de ces écoutes, les juges découvrent des éléments compromettants concernant une autre affaire. Ils découvrent, en effet, l’existence d’une troisième ligne téléphonique, officieuse et achetée le 11 janvier 2014 sous l’identité de « Paul Bismuth », une connaissance de lycée de Me Herzog. Elle est, d’ailleurs, uniquement dédiée aux échanges entre les deux hommes. Et on découvrn alors que les lignes secrètes visent notamment à entretenir des liens avec un haut magistrat qui donne des in formations sur les dossiers et les gamelles de Sarkozy.

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