Archive pour le Tag 'prioritaires'

Les politiques publiques prioritaires

 

 

Les politiques publiques prioritaires

Stagnation des revenus, hausse des dépenses contraintes, retrait des services publics, sécurité et justice : le chercheur  Nicolas Desquinabo  liste, dans une tribune au « Monde », les quatre chantiers sur lesquels une coalition entre la gauche et le centre peut trouver un compromis.

 

L’obtention de la majorité absolue par l’extrême droite a été évitée, mais les moteurs de cette dynamique pourraient devenir encore plus puissants. Une coalition trop large et/ou inefficace ne pourra qu’aggraver encore les insatisfactions au cœur de l’idée d’« essayer l’extrême droite ».

De nombreuses analyses convergent pour souligner le rôle majeur de quatre problèmes publics souvent cumulés dans ce vote croissant :

la stagnation des revenus réels du travail de la majorité de la population ;

– la hausse vertigineuse de ses dépenses contraintes ;

– le retrait des services publics de proximité dans de nombreux territoires ;

– et l’inefficacité des réponses de police-justice.

Si ces constats sont largement partagés, quelles politiques publiques mener pour améliorer significativement ces situations en moins de trois ans ? Et quels compromis devraient se faire entre les gauches et une partie du centre pour engager ces politiques efficaces ?

Premier chantier, « desmicardiser la France » nécessite à la fois d’indexer la majorité des salaires sur l’inflation et de refonder les allègements de cotisations actuels, qui incitent les employeurs à augmenter le moins possible leurs salariés proches du smic. Des propositions à gauche vont déjà dans ce sens, mais les programmes restent centrés sur les minima, qui sont nécessaires mais de plus en plus insuffisants.

De l’autre côté, le centre gauche doit abandonner son fétichisme de l’abaissement sans fin du coût du travail, qui a pu être efficace dans certains cas mais dont la coûteuse inutilité est dorénavant démontrée par l’essentiel des travaux scientifiques (voir notamment « Baisses de charges : stop ou encore », CAE, 2019 ou « Evaluation du CICE », France Stratégie 2020).

Sondage- Emploi et pouvoir d’achat de thèmes prioritaires pour les chefs d’entreprise

Sondage- Emploi et pouvoir d’achat de thèmes prioritaires pour les patrons 

Interrogés dans le cadre de la Grande consultation des entrepreneurs (CGE) par OpinionWay,( pour les CCI)  près de 80% des répondants estiment que l’emploi et le pouvoir d’achat devraient faire partie des thèmes prioritaires .

 

Malgré le renchérissement du prix de l’énergie et des matières premières, les chefs d’entreprise affichent un optimisme en hausse. Les dirigeants d’entreprise étant sûrement rassurés par la reprise relativement limitée de l’épidémie de Covid-19, l’indicateur de l’optimisme s’établit ce mois-ci à 102. C’est la deuxième fois qu’il repasse au-dessus de la barre symbolique des 100 depuis décembre 2019. L’indicateur est légèrement plus haut pour les petites entreprises : 102 pour celles comptant 0 à 9 salariés contre 99 pour les entreprises plus grandes.  Le premier tour de l’élection présidentielle se tenant dans bientôt 5 mois, les chefs d’entreprise jugent que les sujets économiques doivent y prendre une place primordiale. 82% estiment ainsi que l’emploi devra être un thème prioritaire dans la campagne. 78% citent le pouvoir d’achat, qui est aussi le premier critère cité par l’ensemble des Français (55%) .

Les préoccupations énergétiques apparaissent plus secondaires. Une entreprise sur quatre a investi pour sa transition numérique ou énergétique  La digitalisation et la crise environnementale sont des enjeux chaque année plus prégnants pour les entreprises. En réaction, près d’un quart des dirigeants déclare que son entreprise a investi en 2021 pour sa transition énergétique ou numérique (23%). Pour l’année prochaine, 17% des dirigeants déclarent que leur entreprise devrait investir dans au moins une de ces transitions.  On observe d’ailleurs un renouvellement assez important des entreprises qui investissent : parmi celles qui ont l’intention d’investir en 2022,4 45% n’auront pas investi en 2021.

Les grandes entreprises sont les plus nombreuses à avoir investi dans chacune des transitions en 2021. En tout, 40% des entreprises comptant 10 salariés ou plus ont investi dans une de ces transitions, contre 21% des entreprises plus petites.  Parmi les entreprises qui ont investi pour la transition énergétique ou numérique, 25% ont demandé une aide publique, et 21% l’ont obtenue.

Les transitions énergétique et numérique s’inscrivent dans le contexte plus large d’une forte reprise de l’économie, malgré les pénuries de matières premières et d’équipement qui peuvent être déplorées. D’autres investissements profitent de cette situation favorable. La part des entreprises qui comptent embaucher dans les 12 prochains se maintient ainsi à un niveau historiquement haut (12%, -1 point par rapport à septembre). Cela va de pair avec un regard assez positif sur l’innovation : 45% jugent que c’est avant tout un investissement. 20% portent un regard plus ambivalent, et estiment qu’il s’agit d’une prise de risque (+4 points par rapport à septembre).

Emploi et pouvoir d’achat de thèmes prioritaires pour les chefs d’entreprise

Emploi et pouvoir d’achat de thèmes prioritaires pour les chefs d’entreprise

Interrogés dans le cadre de la Grande consultation des entrepreneurs (CGE) par OpinionWay,( pour les CCI)  près de 80% des répondants estiment que l’emploi et le pouvoir d’achat devraient faire partie des thèmes prioritaires .

 

Malgré le renchérissement du prix de l’énergie et des matières premières, les chefs d’entreprise affichent un optimisme en hausse. Les dirigeants d’entreprise étant sûrement rassurés par la reprise relativement limitée de l’épidémie de Covid-19, l’indicateur de l’optimisme s’établit ce mois-ci à 102. C’est la deuxième fois qu’il repasse au-dessus de la barre symbolique des 100 depuis décembre 2019. L’indicateur est légèrement plus haut pour les petites entreprises : 102 pour celles comptant 0 à 9 salariés contre 99 pour les entreprises plus grandes.  Le premier tour de l’élection présidentielle se tenant dans bientôt 5 mois, les chefs d’entreprise jugent que les sujets économiques doivent y prendre une place primordiale. 82% estiment ainsi que l’emploi devra être un thème prioritaire dans la campagne. 78% citent le pouvoir d’achat, qui est aussi le premier critère cité par l’ensemble des Français (55%) .

Les préoccupations énergétiques apparaissent plus secondaires. Une entreprise sur quatre a investi pour sa transition numérique ou énergétique  La digitalisation et la crise environnementale sont des enjeux chaque année plus prégnants pour les entreprises. En réaction, près d’un quart des dirigeants déclare que son entreprise a investi en 2021 pour sa transition énergétique ou numérique (23%). Pour l’année prochaine, 17% des dirigeants déclarent que leur entreprise devrait investir dans au moins une de ces transitions.  On observe d’ailleurs un renouvellement assez important des entreprises qui investissent : parmi celles qui ont l’intention d’investir en 2022,4 45% n’auront pas investi en 2021.

Les grandes entreprises sont les plus nombreuses à avoir investi dans chacune des transitions en 2021. En tout, 40% des entreprises comptant 10 salariés ou plus ont investi dans une de ces transitions, contre 21% des entreprises plus petites.  Parmi les entreprises qui ont investi pour la transition énergétique ou numérique, 25% ont demandé une aide publique, et 21% l’ont obtenue.

Les transitions énergétique et numérique s’inscrivent dans le contexte plus large d’une forte reprise de l’économie, malgré les pénuries de matières premières et d’équipement qui peuvent être déplorées. D’autres investissements profitent de cette situation favorable. La part des entreprises qui comptent embaucher dans les 12 prochains se maintient ainsi à un niveau historiquement haut (12%, -1 point par rapport à septembre). Cela va de pair avec un regard assez positif sur l’innovation : 45% jugent que c’est avant tout un investissement. 20% portent un regard plus ambivalent, et estiment qu’il s’agit d’une prise de risque (+4 points par rapport à septembre).

Les secteurs prioritaires du plan de relance

Les secteurs prioritaires du plan de relance

 

 

Près de la moitié de l’aide européenne (40 milliards)sera dédiée à la transition écologique, avec 5,8 milliards d’euros pour la rénovation énergétique des bâtiments, 4,4 milliards pour moderniser le réseau ferroviaire et 1,9 milliard pour développer l’hydrogène décarboné, indique la Commission dans un communiqué.

Un peu plus de 8 milliards d’euros seront consacrés à la numérisation des entreprises, des écoles et administrations, tandis que le reste de l’enveloppe doit financer notamment des dépenses en faveur de l’emploi et de l’apprentissage des jeunes, la modernisation du système de santé et des programmes de formation professionnelle.

La France se situe dans les clous des critères de Bruxelles, qui fixait au moins 37 % de dépenses pour la transition écologique et 20 % pour la transition numérique.

 

Bruxelles « considère que le plan de la France prévoit un vaste ensemble de réformes et d’investissements qui (…) contribuent à relever efficacement l’ensemble ou une partie non négligeable des défis économiques et sociaux recensés dans les recommandations adressées à la France », a indiqué la Commission dans son communiqué, sans mentionner la sensible question de la réforme des retraites, réclamée de longue date par l’UE.

 

Dans son plan, Paris a repris une bonne partie des réformes adoptées depuis 2017: politique du logement, loi climat ou encore la loi de simplification de l’action publique et de la vie des entreprises.

L’UE a commencé à emprunter sur les marchés financiers à la mi-juin pour financer ce plan destiné à surmonter les conséquences économiques de la pandémie.

Le recours commun à l’emprunt permettra de verser 672 milliards d’euros de subventions et prêts aux pays membres. « Du jamais vu depuis le plan Marshall », selon Ursula von der Leyen.

Parmi les domaines d’avenir sur lesquels la France veut investir en priorité figure l’informatique quantique. Ces technologies s’appuient sur les propriétés physiques de la matière à l’échelle de l’infiniment petit (atome, ion, etc.) et permettront un jour de résoudre des problèmes inatteignables pour les plus puissants ordinateurs classiques. Allié à l’intelligence artificielle (IA), le quantique est considéré comme le grand saut technologique de la prochaine décennie, susceptible de bouleverser des secteurs comme la santé, la chimie ou la défense nationale. C’est donc un enjeu crucial pour la souveraineté et la compétitivité.

En janvier, la France a présenté une stratégie nationale et un plan d’investissements de 1,8 milliard d’euros sur cinq ans, financé en partie par le plan France Relance, pour se donner les moyens d’accélérer dans ce domaine. Environ 800 millions seront consacrés au développement de simulateurs et d’accélérateurs quantiques qui permettent déjà de réfléchir et de travailler

Santé-Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran sont-ils prioritaires ?

Santé-Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran  sont-ils prioritaires ?

 

Progressivement on apprend que certaines personnalités sont vaccinées alors que visiblement elles sont loin de faire partie des populations prioritaires. Rappelons que pour l’instant la  priorité concerne les plus de 75 ans et les personnes présentant de très graves pathologies. Si l’on en juge par le reportage complaisant sur Véran  qui montre son torse, on ne peut pas dire que le ministre de la santé soit réellement physiquement déficient. Ni qu’il soit prioritaire en tant que de médecin puisqu’il y a longtemps qu’il n’a pas vu un patient. Il en est de même pour Nicolas Sarkozy qui ,lui, a 66 ans et qui a été vacciné. Pour la justifier l’entourage de Sarkozy précise que c’est sur prescription médicale. En fait la même prescription pour être faite à ces millions de Français qui sont réellement prioritaires et qui attendent en vain une date de vaccination car tous les centres ou presque sont aujourd’hui fermés et où ne répondent plus à aucune sollicitation faute de vaccin.

L’entourage de Nicolas Sarkozy n’a pas précisé les raisons de cette prescription, en soulignant que l’ancien président, « comme tout citoyen, a le droit à une vie privée et au secret médical« . Interrogé jeudi sur cette information à l’occasion de la conférence de presse hebdomadaire sur l’évolution de l’épidémie, le ministre de la Santé Olivier Véran avait invoqué « le secret médical ».

« Il en va de Nicolas Sarkozy comme de n’importe quel Français, il a le droit au secret médical, donc je n’ai pas à en connaître s’il a été vacciné avant l’heure. Nous devons tous respecter les règles, nous avons tous des droits et des devoirs. Ils s’imposent à chacun d’entre nous, y compris celui de bénéficier du secret médical. Pas de commentaire donc », a-t-il déclaré. De son côté, Nicolas Sarkozy s’agacerait des lenteurs de la stratégie vaccinale du gouvernement, jugeant qu’il faut accélérer l’arrivée de vaccins pour mettre en place des « vaccinodromes ».

Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran sont-ils prioritaires ?

Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran  sont-ils prioritaires ?

 

 

Progressivement on apprend que certaines personnalités sont vaccinées alors que visiblement elles sont loin de faire partie des populations prioritaires. Rappelons que pour l’instant la  priorité concerne les plus de 75 ans et les personnes présentant de très graves pathologies. Si l’on en juge par le reportage complaisant sur Véran  qui montre son torse, on ne peut pas dire que le ministre de la santé soit réellement physiquement déficient. Ni qu’il soit prioritaire en tant que de médecin puisqu’il y a longtemps qu’il n’a pas vu un patient. Il en est de même pour Nicolas Sarkozy qui ,lui, a 66 ans et qui a été vacciné. Pour la justifier l’entourage de Sarkozy précise que c’est sur prescription médicale. En fait la même prescription pour être faite à ces millions de Français qui sont réellement prioritaires et qui attendent en vain une date de vaccination car tous les centres ou presque sont aujourd’hui fermés et où ne répondent plus à aucune sollicitation faute de vaccin.

L’entourage de Nicolas Sarkozy n’a pas précisé les raisons de cette prescription, en soulignant que l’ancien président, « comme tout citoyen, a le droit à une vie privée et au secret médical« . Interrogé jeudi sur cette information à l’occasion de la conférence de presse hebdomadaire sur l’évolution de l’épidémie, le ministre de la Santé Olivier Véran avait invoqué « le secret médical ».

« Il en va de Nicolas Sarkozy comme de n’importe quel Français, il a le droit au secret médical, donc je n’ai pas à en connaître s’il a été vacciné avant l’heure. Nous devons tous respecter les règles, nous avons tous des droits et des devoirs. Ils s’imposent à chacun d’entre nous, y compris celui de bénéficier du secret médical. Pas de commentaire donc », a-t-il déclaré. De son côté, Nicolas Sarkozy s’agacerait des lenteurs de la stratégie vaccinale du gouvernement, jugeant qu’il faut accélérer l’arrivée de vaccins pour mettre en place des « vaccinodromes ».

Coronavirus : les défis européens prioritaires

Coronavirus : les défis européens prioritaires

 

Dacian Ciolos  ,  député européen et président d’un groupe centriste évoque les défis européens prioritaires dans l’Opinion

Le premier cas de Covid était détecté sur notre Continent voici un an. Et une nouvelle fois l’épidémie flambe, et contraint les Européens à prendre des décisions difficiles. Toutefois, cette année, malgré l’inquiétude liée aux « variants », nous pouvons espérer retrouver un vent de liberté, grâce aux vaccins et nous aurons du pain sur la planche pour surmonter les cinq défis : sanitaire, économique, climatique, migratoire et démocratique.

A l’image du « pot au noir » bien connu des marins où se succèdent grains et vents faibles avant de toucher les alizés, nous sommes dans une transition, sans qu’il soit possible de prédire avec exactitude quand nous retrouverons des vents stables. La cohésion et la recherche de solutions communes seront la clef.

La campagne de vaccination est la première pierre de l’Europe de la santé. Elle porte une ambition forte : que chaque Européen soit sur un pied d’égalité dans l’accès au vaccin. Les autorisations doivent continuer à se faire avec sérieux et sans délai inutile ; la transparence dans les achats être la plus totale.

Après la gestion des urgences et la négociation du plan de relance historique, l’Europe ne peut se reposer sur ses acquis. Il faudra finaliser et mettre en œuvre les plans nationaux, lancer les projets et faire preuve de réactivité pour être à la hauteur du « whatever it takes » jusqu’au bout. Une question se pose d’ailleurs déjà : laisserons-nous les Etats-Unis prendre le large notamment avec le nouveau plan de 1900 milliards de dollars ?

Reconstruire, innover et transformer sera central, notamment en s’appuyant sur le Green Deal et ses déclinaisons, l’économie circulaire ou le mécanisme d’inclusion carbone aux frontières par exemple. Les défis économiques et climatiques ne sont pas derrière nous.

L’Europe avancera d’autant plus vite qu’elle sera à même d’approfondir, en même temps, sa dimension citoyenne et démocratique, et qu’elle sera solide sur ses valeurs communes à la fois en interne et en externe, y compris avec la Chine

Agenda digital. Nous passerons, aussi, à la vitesse supérieure sur l’agenda digital. L’urgence à reprendre en main notre destin en la matière n’est plus à démontrer. Cette année doit permettre de tracer notre propre chemin numérique, alors que l’Amérique « laisse faire », et la Chine en a fait l’instrument de son totalitarisme. C’est un enjeu à la fois économique et démocratique.

Au-delà, notre Union devra bâtir une politique d’asile et de migration commune, dossier majeur pour les prochains mois, tout autant que celui de nos relations avec notre périphérie orientale et méditerranéenne, et les Balkans occidentaux.

Sur l’ensemble de ces sujets, l’Europe avancera d’autant plus vite qu’elle sera à même d’approfondir, en même temps, sa dimension citoyenne et démocratique, et qu’elle sera solide sur ses valeurs communes à la fois en interne et en externe, y compris avec la Chine. Le mécanisme d’Etat de droit doit être pleinement appliqué. Nous avons vu aux Etats-Unis l’importance d’une justice indépendante.

Et nous devons saisir l’occasion de la Conférence sur le futur de l’Union comme une véritable opportunité de clarifier non seulement notre fonctionnement, mais aussi d’associer étroitement les citoyens dans la définition d’un avenir partagé à l’échelle du continent.

et libéral Renew Europe depuis 2019. Il est ancien Premier ministre de Roumanie. Sa chronique «Europa» est publiée en alternance avec celle de Manfred Weber, président du groupe PPE, chaque dimanche sur lopinion.fr et le lundi dans le journal.

 

Agenda européen : travailleurs détachés et commerce prioritaires pour la France

Agenda européen : travailleurs détachés et commerce prioritaires pour la France

 

En visite en Estonie (qui doit présider l’union économique),  Edouard Philippe a rappelé le calendrier pour relancer l’Europe. . « Nous avons (…) décidé d’avancer sur les questions relatives aux procédures de réciprocité en matière commerciale, au contrôle des investissements étrangers, notamment dans les secteurs stratégiques, à la réactivité accrue en matière de procédures antidumping et bien entendu à la question très sensible en France et très importante pour l’Union du cadre des travailleurs détachés », a-t-il ajouté. Le président français, Emmanuel Macron, veut convaincre ses partenaires d’aller plus loin sur ces sujets que les conclusions du Conseil européen de la semaine dernière. Sur la question sensible des investissements, le Conseil s’est ainsi borné à « salue(r) l’initiative de la Commission visant à maîtriser la mondialisation et, entre autres, à analyser les investissements réalisés par des pays tiers dans des secteurs stratégiques, dans le plein respect des compétences des États membres ». La question du durcissement des règles encadrant le régime des travailleurs détachés ne figurait quant à elle pas à l’agenda du Conseil. Preuve que sur ce dossier les oppositions notamment des pays de l’Est sont encore importantes.




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