Archive pour le Tag 'prince'

Covid Royaume-Uni : un pot festif de Boris Johnson la veille des funérailles du prince Philip

Covid Royaume-Uni : un pot festif de Boris Johnson la veille des funérailles du prince Philip

Boris Johnson se rapproche de plus en plus de la sortie en effet un pot festif a été organisé à Downing Street résidence du Premier ministre la veille des funérailles du prince Philip. Une nouvelle révélation  du journal The Telegraph,  qui s’ajoute à d’autres montrant le caractère irresponsable et irrévérencieux de Boris Johnson.  Ce dernier de plus en plus critiqué au sein même de sa majorité pourrait bien être amené à démissionner de son poste.

 

En cause aussi sa piètre gestion du brexit qui jusque-là n’a pas donné les résultats escomptés et notamment créer une vaste pagaille des approvisionnements.

Enfin la politique sanitaire est également particulièrement contestée puisque le Royaume-Uni fait parti des pays les plus touchés avec des mesures très contradictoires d’une part, très laxiste d’autre part qui ont grandement favorisé les contaminations

A la Une partout: le prince Harry en crise avec avec la famille royale ou la nullité des grands médias

A la Une partout: le prince Harry et Meghan en crise avec  avec la famille royale  ou la nullité des grands médias

 Sur la plupart des grands médias, on titre à la Une: divorce entre le prince Harry et la reine. Il s’agit pour les non-initiés de la famille royale britannique. Un événement évidemment capital au plan mondial. Alors que la guerre menace entre l’Iran et les États-Unis, que la terre enregistre encore des records mondiaux en matière de température, que la croissance s’écroule partout, que la bulle financière menace d’éclater, que la démocratie est de plus en plus bafouée dans les démocratures,  les grands médias considèrent comme un événement mondial sans doute historique la mésentente du prince Harry avec la famille royale. Mieux, on est informé que le prince Harry veut travailler pour devenir indépendant !

Avec la fortune dont il dispose déjà, il pourra dispenser de cette formalité qu’on appelle le travail. Bref, la grande presse déjà dans une situation économique catastrophique s’enfonce dans l’anecdotique et la médiocrité. Pour s’en persuader, il suffit  d’examiner rapidement les versions Internet de tous les grands journaux mêmes ceux considérés comme les plus sérieux. Bref, tout le monde verse dans le sensationnalisme, le populisme et le superficiel. Pour les questions les plus sérieuses, on se contente de reprendre les dépêches d’agence, du gouvernement ou des grandes institutions.

Cela évite de prendre parti et de ne pas mécontenter les groupes de pression financiers qui désormais maîtrisent les médias aussi bien privés que publiques. L’exemple le plus caricatural est sans doute celui d’Europe 1, devenu une radio complètement marginale alors qu’elle a occupé  le haut du palmarès aussi bien pour l’information économique et politique que pour la musique mais il y a de cela 40 ou 50 ans. Depuis c’est une sorte de mélange de Paris-Match, de JDD et de Closer. Le résultat de la politique éditoriale imposée par Bolloré, l’un des plus fervents soutien financier de Macron.

 

Mort de Khashoggi : le prince héritier saoudien sérieusement soupçonné

Mort de Khashoggi : le prince héritier saoudien sérieusement soupçonné

 

 

Dans les dictatures comme celle d’Arabie Saoudite (mais ceci vaut aussi dans de nombreux autres pays comme l’Iran, la Russie ou la Chine)  on ne s’embarrasse pas de formalités accessoires pour supprimer un ennemi politique. Il suffit de l’accuser tout simplement d’avoir la rage ou mieux qu’il a été détenteur d’une barrette de drogue. Dans les cas, les plus pressés on fait même l’impasse sur le motif d’inculpation et on liquide l’intéressé. Ce qui s’est passé pour l’opposant Jamal Khashoggi  Dans un rapport rédigé au terme de six mois d’enquête, la rapporteure spéciale des Nations unies, Agnès Callamard, indique que “M. Khashoggi a été la victime d’une exécution délibérée, préméditée, une exécution extrajudiciaire dont l’Etat d’Arabie saoudite est responsable au regard du droit international lié aux droits de l’homme”.La CIA et plusieurs pays occidentaux sont convaincus que le meurtre a été commandité par le prince héritier lui-même.L’équipe d’Agnès Callamard, qui s’est rendue à Istanbul cet hiver, s’est appuyée sur des documents fournis par les enquêteurs turcs et des informations obtenues dans le cadre des procès saoudiens.“Les enregistrements effectués par des agents des services de renseignement turcs et d’autres pays suggèrent qu’un sédatif a pu être injecté à M. Khashoggi et qu’il a été étouffé à l’aide d’un sac en plastique”, écrivent les auteurs du rapport.Recep Tayyip Erdogan, le président turc, a promis de son côté que les assassins de Khashoggi seraient punis et répondraient de leurs actes.

Benalla : le témoignage des caprices du prince Macron

Benalla : le témoignage  des caprices du prince Macron

 

 

 

 

Bavure mais pas encore une affaire d’État mais elle pourrait le devenir. D’une certaine manière, elle est  du caractère un peu autocratique de la gouvernance de Macron. Macron s’est affranchie de toute intermédiation qui pourrait de freiner voire de remettre en cause ses décisions. C’est le cas évidemment de ses collaborateurs à l’Élysée mais aussi du gouvernement, du Parlement et du parti En marche. Toutes ces institutions sont complètement cadenassées, que la terreur règne lorsqu’une oreille dépasse. Pas étonnant que la politique de communication des conseillers  de Macron, des ministres ou des députés se limite à la langue de bois. Par contre, le monarque républicain s’autorise quelques libertés dans ses expressions dont certaines dérapent comme dans ses décisions, voir l’exemple de cette piscine de Brégançon d’un montant de 30 000 €. Sans parler du rituel couteux qu’impose le président pour redonner sa Majesté à la fonction. En réalité, le président de la république ne dispose d’aucun filtre, d’aucun intermédiaire, d’aucun conseiller susceptible de l’éclairer car l’éclairage est pour lui symbole de  contrariété. Macron joue  avec les instruments de la république comme un ado prolongé ;  il manque de toute évidence de maturité et d’équilibre. Dernier exemple en date, quand l’Élysée a limité le parcours des bleus sur les Champs-Élysées à 12 minutes quand Macron, lui, s’est accaparé l’équipe de France pendant plusieurs heures se livrant  à des mimiques de vestiaire peu compatibles avec la fonction. Un peu hors sol, macro, décide de tout, tout le temps et seul. Il en a été ainsi avec Benalla avec lequel forcément il a établi des liens non seulement dans les voyages officiels mais aussi pendant les vacances. L’ordre de ne pas inquiéter Benalla est donc venu d’en haut et on comprend mieux l’embarras des autorités administratives, du cabinet présidentiel ou encore du ministre de l’intérieur. Il y aura  sans doute d’autres bavures car le profil psychologique de macro s’accommode mal de la modération que pourrait lui suggérer des conseillers un peu avisé. Ces derniers préfèrent se taire  plutôt que de prendre le risque de contrarier le monarque.

Légion d’honneur: Le prince héritier d’Arabie saoudite décoré «à sa demande» ?

Légion d’honneur: Le prince héritier d’Arabie saoudite décoré «à sa demande» ?

Le magazine Causette affirme jeudi que cette décoration serait intervenue à la demande du royaume. On sait bien que ces distinctions ont surtout un caractère symbolique pour récompenser les mérites dans de nombreux domaines y compris des domaines plus ou moins ésotériques voire douteux. Dès lors  pour éviter les confusions il serait peut-être utile de réfléchir à une distinction spécifique uniquement destinée aux relations diplomatiques d’autant que ce n’est pas la première fois que la France récompense des responsables de pays à régime dictatoriaux. Le mensuel féminin publie un échange de mails entre l’ambassadeur de France en Arabie saoudite, Bertrand Besancenot, et le conseiller de François Hollande pour le Moyen-Orient, David Cvach : « Cher David, écrit l’ambassadeur, je me permets de t’envoyer la copie jointe de la proposition de décoration pour le prince Mohamed ben Nayef. Je sais que certains s’interrogent sur l’opportunité de décorer maintenant le prince héritier, peu de temps après la campagne médiatique contre l’Arabie Saoudite en France. Certes, le royaume n’a pas bonne presse… ». Bertrand Besancenot précise ensuite : « Il me paraît indispensable de répondre à sa demande de recevoir la Légion d’Honneur, à un moment où il souhaite renforcer sa stature internationale ». Puis dans un autre mail publié par Causette, Jérôme Bonnafont, directeur de la section Afrique du Nord et Moyen-Orient du cabinet de Jean-Marc Ayrault au ministère des Affaires étrangères, donne ses conseils sur la communication : « Il faut que ce soit discret vis-à-vis des médias mais sans dissimulation », écrit-il, en recommandant d’évoquer la lutte contre Daesh et d’ajouter « pour faire bonne mesure, des éléments droit de l’homme dans les éléments se langage bien sur. » .

Montebourg : « Je ne suis pas le prince Potemkine »

Montebourg : « Je ne suis pas le prince Potemkine »

 

Pour Montebourg, c’est clair,  il n’est pas là pour cacher la misère aux yeux du monarque ( Hollande). Il conteste évidemment la politique d’austérité de  Hollande mais au passage égratigne Sapin, le nouvel « ami de la bonne fiance ». Arnaud Montebourg estime qu’il ne s’écarte pas de la ligne du gouvernement quand il propose de consacrer un tiers des 50 milliards d’euros d’économies publiques prévues sur la période 2015-2017 aux ménages sous forme de baisses d’impôts. « Je suis chargé de trouver des solutions pour remettre en marche l’économie », a déclaré vendredi sur France Inter le ministre de l’Economie et du Redressement productif. « J’ai expliqué qu’il fallait amplifier une politique déjà menée par le Premier ministre » avec les baisses d’impôts pour les ménages modestes prévues dans le projet de loi de finances rectificative débattu au Parlement, a-t-il ajouté. Lors d’un discours sur le redressement économique de la France, Arnaud Montebourg a fustigé jeudi les politiques d’austérité imposées selon lui par l’Union européenne et défendu la nécessité d’un rythme moins contraignant de consolidation budgétaire. Sans remettre en cause le programme d’économies de 50 milliards d’euros, il a proposé qu’il serve pour un tiers à réduire les déficits, un tiers à baisser les charges des entreprises et un tiers à réduire la fiscalité des ménages. Il se démarque ainsi du Pacte de responsabilité et de solidarité qui fait la part belle aux entreprises et ne prévoit jusqu’ici que cinq milliards d’euros de baisses d’impôts pour les ménages les plus modestes dans les trois ans qui viennent. Interrogé sur LCI/Radio Classique, le ministre des Finances Michel Sapin a voulu retenir qu’Arnaud Montebourg défendait « les deux piliers qui font la cohérence de la politique gouvernementale », à savoir les baisses de charges pour redresser la compétitivité des entreprises et les économies qui serviront à les financer. « Je ne l’ai pas entendu prendre rendez-vous pour 2017″, a-t-il dit en réaction à ceux qui ont vu dans le discours du ministre de l’Economie une véritable déclaration de politique générale. Arnaud Montebourg a indiqué sur France Inter que ses « coups de griffe » visaient non pas la politique suivie jusqu’à présent « mais l’Union européenne et l’ensemble des dirigeants européens » alors que les résultats de l’UE en termes de croissance sont « catastrophiques ».   »Il faut se réveiller, bouger un peu tout le monde », a-t-il déclaré en ajoutant qu’il était dans son rôle en tant que ministre de l’Economie et qu’il n’était pas le « prince Potemkine, le conseiller de Catherine II de Russie qui déployait des décors sur le passage de la tsarine pour cacher la misère. » A la question de savoir ce qu’il ferait s’il n’était pas suivi, il a répondu : « Je ne me situe pas dans cette perspective (…) mais on ne peut pas rester dans le statu quo, c’est cela mon message. »  Arnaud Montebourg a par ailleurs égratigné Michel Sapin pour avoir déclaré le week-end dernier « Mon amie, c’est la finance, la bonne finance », même s’il l’a bien distinguée de la « mauvaise finance », dans un clin d’œil au grand discours électoral de François Hollande, début 2012 au Bourget, quand il avait proclamé « Mon véritable adversaire, c’est la finance. » Pour le ministre de l’Economie, son colocataire de Bercy a peut-être voulu faire un bon mot « mais si c’était un bon mot, il a raté son objectif ».

 




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