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« Primaire populaire »-Taubira : pour tuer une deuxième fois la gauche

« Primaire populaire »-Taubira :  pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois ce courant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir .Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Primaire populaire: des bobos, urbanisés jeunes et socialement à l’aise

  • Primaire populaire: des bobos, urbanisés jeunes et socialement à l’aise

 

La primaire dite populaire sera tout sauf une véritable consultation vraiment démocratique. Elle a d’abord été initiée par des personnalités en général aisées  de la même manière que ceux qui vont y participer. Sociologiquement, les partisans de cette démarche très majoritairement sont plutôt des bobos, urbanisés et appartiennent à des classes qui ne sont pas vraiment populaires.

À peu près le même public qu’on retrouve dans les organisations d’extrême-gauche ou surtout chez les écolos d’Europe écologie les Verts. Ils sont de gauche bien sûr mais plutôt tendance gauchiste, anarchiste, utopiste voire révolutionnaire. En tout cas plutôt radicaux.Beaucoup sont fonctionnaires ou équivalents

Pour l’ensemble de cette population, c’est davantage le mouvement qui compte que le contenu du programme. Pour preuve Taubira va sans doute emporter cette élection puisqu’elle est la seule candidate en réalité. La contradiction la plus flagrante c’est que cette primaire populaire devait à l’origine favorisée l’union de la gauche. Par cette opération on va diviser  un peu plus une gauche déjà complètement éclatée. En outre on confiera à Taubira le soin de représenter l’union, elle qui a déjà fait tomber la gauche en 2002 en se maintenant face à Jospin. Bref une opération totalement irresponsable, improductive et qui en quelque sorte va continuer de tuer un peu plus la gauche en tout cas de la déconsidérer.

Une primaire populaire sans candidat et sans peuple !

Une primaire populaire sans candidat et sans peuple !

 

 

Cette « primaire populaires » restera sans doute une sorte d’ovni dans le paysage politique. En effet, ce qui le caractérise c’est d’abord son aspect très élitiste de couches sociales favorisées très marquées à gauche. Les sondages démontrent d’ailleurs que les milieux populaires s’intéressent très peu à la politique et encore moins à la gauche.

La primaire populaire va donc se dérouler sans le peuple et il serait intéressant de procéder à une analyse sociologique des 467 000 personnes qui se sont inscrites pour ce scrutin. Il faudra sans doute sortir une loupe pour déceler les représentants des couches sociales populaires. La deuxième incongruité concerne les candidats. En effet on compte à six ou sept candidats dont la moitié refusent le principe de cette consultation. En clair, les principaux intéressés susceptibles de figurer en tête réfutent la consultation.

Peu importe les gauchistes et autres utopistes qui soutiennent cette initiative ont maintenu ces candidats . Une drôle de conception de la démocratie.

En réalité ,la seule candidate un peu connu et Taubira qui serait l’incarnation de l’union de la gauche. Une curieuse incarnation puisque c’est elle qui a fait perdre Jospin en raison du maintien de sa candidature en 2002. Il s’agit une nouvelle fois d’une candidature qui ne repose sur rien, sur aucun programme réel et sur aucune force structurée. Une candidature qui aura simplement pour objet de ridiculiser encore un peu plus la gauche. 

Présidentielle-Primaire populaire : La dernière cérémonie funéraire pour enterrer la gauche

Primaire populaire : La dernière cérémonie funéraire pour enterrer la gauche

 

Il y a forcément un côté sympathique dans cette volonté des nostalgiques de l’union de la gauche de vouloir rapiécer les liens complètement usés entre les différentes forces dites progressistes. Le premier obstacle est d’abord celui de Mélenchon qui a décidé depuis le début d’organiser ses obsèques politiques à l’occasion de sa dernière candidature aux présidentielles. L’homme qui a réalisé près de 20 % n’atteindra même pas la moitié de ce score la mais il aura tenté de se faire une place » révolutionnaire » dans l’histoire du pays. De leur côté ,les écolos poussés par des vents favorables aux municipales surtout du fait  de l’abstention veulent enfin prendre le leadership aus socialistes. Des socialistes effectivement en pleine décomposition qui pourrait ne recueillir que 3 à 4 % d’après les derniers sondages et mourir peu de temps après l’élection présidentielle de 2022. Ce que souhaite en tout cas le maire du Mans qui considère qu’il faut reconstruire un nouveau parti socialiste. Conclusion, la fameuse primaire populaire pourrait au mieux avec les gauchistes recueillir 5 à 6 %. Un véritable enterrement du concept même d’union de la gauche. Une gauche dont la mort semble certaine et qui est sans doute même très souhaitable pour que renaisse une autre sociologie, un autre fonctionnement démocratique, une autre idéologie et un nouveau projet. Il faudra bien encore cinq ans pour que ce projet-là se révèle autrement plus sérieux que l’illusion actuelle d’une primaire populaire.

 

Primaire populaire : La dernière cérémonie funéraire pour enterrer la gauche

Primaire populaire : La dernière cérémonie funéraire pour enterrer la gauche

 

Il y a forcément un côté sympathique dans cette volonté des nostalgiques de l’union de la gauche de vouloir rapiécer les liens complètement usés entre les différentes forces dites progressistes. Le premier obstacle est d’abord celui de Mélenchon qui a décidé depuis le début d’organiser ses obsèques politiques à l’occasion de sa dernière candidature aux présidentielles. L’homme qui a réalisé près de 20 % n’atteindra même pas la moitié de ce score la mais il aura tenté de se faire une place » révolutionnaire » dans l’histoire du pays. De leur côté ,les écolos poussés par des vents favorables aux municipales surtout du fait  de l’abstention veulent enfin prendre le leadership aus socialistes. Des socialistes effectivement en pleine décomposition qui pourrait ne recueillir que 3à 4 % d’après les derniers sondages et mourir peu de temps après l’élection présidentielle de 2022. Ce que souhaite en tout cas le maire du Mans qui considère qu’il faut reconstruire un nouveau parti socialiste. Conclusion, la fameuse primaire populaire pourrait au mieux avec les gauchistes recueillir 5 à 6 %. Un véritable enterrement du concept même d’union de la gauche. Une gauche dont la mort semble certaine et qui est sans doute même très souhaitable pour que renaisse une autre sociologie, un autre fonctionnement démocratique, une autre idéologie et un nouveau projet. Il faudra bien encore cinq ans pour que ce projet-là se révèle autrement plus sérieux que l’illusion actuelle d’une primaire populaire.

 

Présidentielle 2022 : Hidalgo pour une primaire pour cacher la déroute

Présidentielle 2022 : Hidalgo pour une primaire pour cacher la déroute

 

Officiellement Anne Hidalgo pour renforcer les chances de la gauche propose une primaire afin désigner le candidat unique . Une proposition également faite par Arnaud Montebourg. Officieusement ,il s’agit plutôt de trouver une issue à la déroute électorale d’Anne Hidalgo qui pourrait ne recueillir que 3% %.

 

De toute manière ,l’addition de toutes les voies potentielles selon les sondages actuels donne seulement entre 20 et 25 % à toute la gauche. Autant dire que la défaite est à peu près assurée et  que l’union n’y change rien. Cela d’autant plus que les divergences idéologiques sont énormes. Pourtant Anne Hidalgo affirme « La gauche doit se retrouver, se rassembler pour gouverner. Il faut organiser une primaire de cette gauche, arbitrée par nos concitoyens. Ils seront très, très nombreux car ils souhaitent retrouver l’espoir 

Un peu plus tôt dans la soirée, Arnaud Montebourg avait lancé un appel du même type, constatant les faiblesses des candidatures de gauche – dont la sienne, jaugée à 2 %.

Présidentielle 2022 : Anne Hidalgo veut une primaire pour cacher la déroute

Présidentielle 2022 : Anne Hidalgo veut une primaire pour cacher la déroute

 

Officiellement Anne Hidalgo pour renforcer les chances de la gauche propose une primaire afin désigner le candidat unique . Une proposition également faite par Arnaud Montebourg. Officieusement ,il s’agit plutôt de trouver une issue à la déroute électorale d’Anne Hidalgo qui pourrait ne recueillir que 3% %.

 

De toute manière ,l’addition de toutes les voies potentielles selon les sondages actuels donne seulement entre 20 et 25 % à toute la gauche. Autant dire que la défaite est à peu près assurée et  que l’union n’y change rien. Cela d’autant plus que les divergences idéologiques sont énormes. Pourtant Anne Hidalgo affirme « La gauche doit se retrouver, se rassembler pour gouverner. Il faut organiser une primaire de cette gauche, arbitrée par nos concitoyens. Ils seront très, très nombreux car ils souhaitent retrouver l’espoir 

Un peu plus tôt dans la soirée, Arnaud Montebourg avait lancé un appel du même type, constatant les faiblesses des candidatures de gauche – dont la sienne, jaugée à 2 %. 

2022-Primaire écolo d’EELV?: L’écologie ou le gauchisme

2022-Primaire écolo  d’EELV?:  L’écologie ou le gauchisme

Le duel entre Yannick Jadot et Sandrine Rousseau pour savoir qui va représenter Europe écologie les Verts lors des élections présidentielles est à la fois une bataille de personnalités et de projets de société. Yannick Jadot, député européen, propose une écologie modérée qui tienne compte des réalités tandis que Sandrine Rousseau en fait complètement abstraction avec des propositions complètement hors sol par exemple quand elle propose un revenu minimum pour tous de 850 € ( pourquoi pas 1500 ou 3000 €) et la rupture totale avec la croissance.

 

D’un côté, c’est un réformiste et de l’autre une révolutionnaire gauchiste dont la radicalité constitue le principal programme. Bref Sandrine Rousseau veut une rupture avec tous sans trop savoir quelles en seront les conséquences sociales et économiques. Une position qui séduit assez les bobos, les fonctionnaires et les extrémistes de gauche. Deux courants d’idées complètement opposées avec d’un côté une préoccupation écologique st une démarche réformiste. De l’autre une perspective ultra gauchiste en matière écologique tout autant qu’en matière sociale économique.

 

Le drame évidemment pour les écolos c’est qu’ils risquent  de choisir Sandrine Rousseau, phénomène médiatique apparu soudainement au lieu d’un responsable connu et bénéficiant d’une certaine popularité.

Dans les sondages actuels on donne seulement 2 % à Sandrine Rousseau. Il est probable que l’intéressée ne fera guère plus de 5 % à l’occasion des élections présidentielles condamnant à nouveau Europ écologie les Verts à jouer les utilités.

C’est d’ailleurs devenu une sorte de tradition dans ce parti de choisir le plus radical mais aussi le moins compétent est le moins populaire.

Primaire écolo d’EELV ?: L’écologie ou le gauchisme

Primaire écolo  d’EELV ?:  L’écologie ou le gauchisme

Le duel entre Yannick Jadot et Sandrine Rousseau pour savoir qui va représenter Europe écologie les Verts lors des élections présidentielles est à la fois une bataille de personnalités et de projets de société. Yannick Jadot, député européen, propose une écologie modérée qui tienne compte des réalités tandis que Sandrine Rousseau en fait complètement abstraction avec des propositions complètement hors sol par exemple quand elle propose un revenu minimum pour tous de 850 € ( pourquoi pas 1500 ou 3000 €) et la rupture totale avec la croissance.

 

D’un côté, c’est un réformiste et de l’autre une révolutionnaire gauchiste dont la radicalité constitue le principal programme. Bref Sandrine Rousseau veut une rupture avec tous sans trop savoir quelles en seront les conséquences sociales et économiques. Une position qui séduit assez les bobos, les fonctionnaires et les extrémistes de gauche. Deux courants d’idées complètement opposées avec d’un côté une préoccupation écologique st une démarche réformiste. De l’autre une perspective ultra gauchiste en matière écologique tout autant qu’en matière sociale économique.

 

Le drame évidemment pour les écolos c’est qu’ils risquent  de choisir Sandrine Rousseau, phénomène médiatique apparu soudainement au lieu d’un responsable connu et bénéficiant d’une certaine popularité.

Dans les sondages actuels on donne seulement 2 % à Sandrine Rousseau. Il est probable que l’intéressée ne fera guère plus de 5 % à l’occasion des élections présidentielles condamnant à nouveau Europ écologie les Verts à jouer les utilités.

C’est d’ailleurs devenu une sorte de tradition dans ce parti de choisir le plus radical mais aussi le moins compétent est le moins populaire.

Primaire écolo d’EELV ?: L’écologie ou le gauchisme

Primaire écolo  d’EELV ?:  L’écologie ou le gauchisme

 

Le duel entre Yannick Jadot et Sandrine Rousseau pour savoir qui va représenter Europe écologie les Verts lors des élections présidentielles est à la fois une bataille de personnalités et de projets de société. Yannick Jadot, député européen, propose une écologie modérée qui tienne compte des réalités tandis que Sandrine Rousseau en fait complètement abstraction avec des propositions complètement hors sol par exemple quand elle propose un revenu minimum pour tous de 850 € ( pourquoi pas 1500 ou 3000 €) et la rupture totale avec la croissance.

 

D’un côté, c’est un réformiste et de l’autre une révolutionnaire gauchiste dont la radicalité constitue le principal programme. Bref Sandrine Rousseau veut une rupture avec tous sans trop savoir quelles en seront les conséquences sociales et économiques. Une position qui séduit assez les bobos, les fonctionnaires et les extrémistes de gauche. Deux courants d’idées complètement opposées avec d’un côté une préoccupation écologique st une démarche réformiste. De l’autre une perspective ultra gauchiste en matière écologique tout autant qu’en matière sociale économique.

 

Le drame évidemment pour les écolos c’est qu’ils risquent  de choisir Sandrine Rousseau, phénomène médiatique apparu soudainement au lieu d’un responsable connu et bénéficiant d’une certaine popularité.

Dans les sondages actuels on donne seulement 2 % à Sandrine Rousseau. Il est probable que l’intéressée ne fera guère plus de 5 % à l’occasion des élections présidentielles condamnant à nouveau Europ écologie les Verts à jouer les utilités.

C’est d’ailleurs devenu une sorte de tradition dans ce parti de choisir le plus radical mais aussi le moins compétent est le moins populaire.

Primaire EELV: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

Primaire EELV: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

 

Comme souvent les militants d’Europe écologie les Verts risquent de choisir le candidat le moins pertinent et le moins populaire. Yannick Jadot , le modéré est en effet affronté Sandrine Rousseau  dont la radicalité dans tous les domaines est essentiellement ce qui la caractérise. Bref une sorte de wokisme franchouillard qui condamnerait les hommes, le progrès, le nucléaire et qui favorise les approches essentialistes qui divisent contre l’universalisme. Une reprise des thèses universitaires américaines.

Finalement Sandrine Rousseau parle très peu d’écologie mais beaucoup de sociéts. Rien ou à peu près sur l’économie alors qu’elle est parait-il diplômé d’économie industrielle. ( Il est vrai qu’en France on distribue les diplômes d’économiste – comme ceux de sociologue ou encore de politiste–un peu comme des petits pains)

Jusque-là il ne semble pas que Sandrine Rousseau produit d’analyse économique très pertinente et très connue sur le plan national. Ainsi condamne-t-elle EPR sans autre analyse. En tant qu’ancienne fonctionnaire elle est évidemment pour la décroissance. Une position confortable quand on est assuré de recevoir son salaire de l’État. Un mal récurrent chez les écolos.

Rousseau appartient clairement à ce courant Islamogauchiste et wokiste qui risque de renvoyer une nouvelle fois le parti Vert un rôle marginal. Les sondages ne donnent à l’intéressée pour les présidentielles que de l’ordre de 2 % ! Le pire c’est que l’appareil d’Europe écologie les Verts va sans doute continuer de soutenir Sandrine Rousseau contre Yannick Jadot. Un vrai suicide collectif !

Primaire écolo : la radicalité pour argument Sandrine Rousseau et des analyses à coups de serpe

Primaire écolo : la radicalité pour argument Sandrine Rousseau et des analyses à coups de serpe

 

À l’extrême gauche, Mélenchon n’a qu’à bien se tenir car en matière de radicalité Sandrine Rousseau va bientôt figurer au hit-parade. t sa principale caractéristique. D’ailleurs elle ne prend même pas le temps de justifier ses propositions. Être radical pour elle constitue en soi un programme. Preuve lors du débat avec Yannick Jadot, Elle a surtout accusé ce dernier de n’être pas assez radicale assez «radical». «J’ai lu ton programme. Je vois à quel point il n’y a pas de transformation suffisante pour permettre d’atteindre les objectifs du Giec», l’a-t-elle interpellé. «L’écologie de gouvernement que tu proposes est une écologie qui ne va pas au bout du chemin», a-t-elle jugé. La réponse du concerné ne s’est pas fait attendre: «Si gouverner, c’est renoncer, il faut arrêter de faire de la politique. Il faut s’engager dans les mouvements sociaux». «

En matière de déplacements, l’ancienne porte-parole d’Europe écologie les Verts s’est prononcée pour la « démobilité ». Une idée globalement intéressante mais concrètement qui ne précise pas comment doivent être assurés les déplacements domicile travail pour ceux qui se lèvent tôt ( dontles transports collectifs sont inadaptés), pour ceux qui ne disposent pas d’alternative à l’automobile notamment en zone diffuse (banlieue, zone rurale,). Par contre à juste titre, Sandrine Rousseau milite pour une voiture beaucoup plus légère moins consommatrice d’énergie et moins polluante.

 

Cependant elle se prononce pour une taxe carbone qui va surtout pénaliser les plus pauvres. Le problème d’Europe écologie les Verts c’est que ce parti ri risque de voter pour la plus radicale comme candidat mais le moins populaire auprès de l’électorat. L’égérie du « wokisme »  en France ne recueille  en effet que de leur de 2 % dans les sondages pour les élections présidentielles.

Primaire des écologistes: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

Primaire des écologistes: le triomphe du « Wokisme » et une débâcle électorale annoncée ?

 

Comme souvent les militants d’Europe écologie les Verts risquent de choisir le candidat le moins pertinent et le moins populaire. Yannick Jadot , le modéré est en effet affronté Sandrine Rousseau  dont la radicalité dans tous les domaines est essentiellement ce qui la caractérise. Bref une sorte de wokisme franchouillard qui condamnerait les hommes, le progrès, le nucléaire et qui favorise les approches essentialistes qui divisent contre l’universalisme. Une reprise des thèses universitaires américaines.

Finalement Sandrine Rousseau parle très peu d’écologie mais beaucoup de sociéts. Rien ou à peu près sur l’économie alors qu’elle est parait-il diplômé d’économie industrielle. ( Il est vrai qu’en France on distribue les diplômes d’économiste – comme ceux de sociologue ou encore de politiste–un peu comme des petits pains)

Jusque-là il ne semble pas que Sandrine Rousseau produit d’analyse économique très pertinente et très connue sur le plan national. Ainsi condamne-t-elle EPR sans autre analyse. En tant qu’ancienne fonctionnaire elle est évidemment pour la décroissance. Une position confortable quand on est assuré de recevoir son salaire de l’État. Un mal récurrent chez les écolos.

Rousseau appartient clairement à ce courant Islamogauchiste et wokiste qui risque de renvoyer une nouvelle fois le parti Vert un rôle marginal. Les sondages ne donnent à l’intéressée pour les présidentielles que de l’ordre de 2 % ! Le pire c’est que l’appareil d’Europe écologie les Verts va sans doute continuer de soutenir Sandrine Rousseau contre Yannick Jadot. Un vrai suicide collectif !

Présidentielle 2022 : et une « Primaire populaire » à gauche pour compliquer encore la situation

Présidentielle 2022 : et une « Primaire populaire » pour compliquer encore la situation

 

En plus d’un candidat socialiste, de Mélenchon, d’un candidat écolo, on pourrait compter un candidat issu d’une primaire populaire . A un mois de la clôture des parrainages citoyens pour désigner un candidat commun à gauche pour la présidentielle, la « Primaire populaire » annonce 83 000 inscrits samedi 11 septembre, a assuré l’association samedi à Marseille.

La clôture des parrainages est prévue le 11 octobre, date à laquelle seront alors connus les cinq femmes et cinq hommes pré-sélectionnés par les citoyens inscrits sur la plateforme sécurisée Neovote « pour faire gagner l’écologie et la justice sociale en 2022″, a expliqué Samuel Grzybowsi, porte-parole de cette « Primaire populaire »

Deux mois après l’ouverture de ces parrainages citoyens, ce sont pour l’instant Christiane Taubira, ancienne ministre de la Justice sous la présidence Hollande, et François Ruffin, député des Insoumis qui mènent la danse. Ils devancent plusieurs des candidats déclarés à la présidentielle : Sandrine Rousseau (2e), Anne Hidalgo (4e) et Delphine Batho (5e) côté femmes, Eric Piolle (4e), Jean-Luc Mélenchon (5e) et Yannick Jadot (6e) côté hommes. Les autres candidats potentiels parrainés par les citoyens sont pour l’heure Clémentine Autain (3e), proche de Mélenchon, d’un côté, l’économiste Gaël Giraud (2e) et l’Eurodéputé Pierre Larrouturou (3e), chantre de la semaine de quatre jours, de l’autre. Ce dernier, fondateur de Nouvelle Donne, est le seul pour l’instant à s’être porté candidat à la présidentielle via cette « primaire populaire ». Sandrine Rousseau et Eric Piolle ont annoncé qu’ils y participeraient s’ils remportaient la primaire des écologistes. Jean-Luc Mélenchon a pour l’instant refusé de s’y engager.

Montebourg : la primaire pour les autres pas pour lui !

Montebourg : la primaire pour les autres pas pour lui !

L’essayiste David Desgouilles n’exclut pas que l’ancien ministre réussisse une percée s’il conjugue souveraineté économique et fermeté en matière de sécurité et d’immigration. Toutefois parmi des contradictions il y a le faite que Montebourg est l’initiateur du concept de primaire qu’il  ne veut pas s’appliquer à lui-même (interview dans le Figaro, extrait)


Arnaud Montebourg va annoncer, début septembre, sa candidature à la présidentielle. Un sondage l’a crédité de 5 % des intentions de vote. Pour autant il ne représente aucune formation politique établie. Est-ce une candidature de témoignage ?

David DESGOUILLES. - Qui peut aujourd’hui prévoir ce qui va se passer d’ici au mois d’avril 2022 ? La situation sanitaire, mais aussi internationale, rendent aléatoire toute tentative de prévision. D’autant qu’une frange toujours plus croissante des électeurs se décident lors des dernières semaines voire les derniers jours de la campagne.

Il y a cinq ans, les chances d’Emmanuel Macron, qui ne représentait lui non plus aucune formation politique établie, étaient minces selon la plupart des observateurs. Quant à Jean-Luc Mélenchon, il a bondi de 6% dans les sondages fin janvier 2017 à près de 20% dans les urnes trois mois plus tard.

Ce qui compte, c’est de parvenir à trouver un espace politique, grâce à un projet cohérent et audible, puis de créer une dynamique. Arnaud Montebourg en est-il capable ? C’est possible mais il est impossible de préciser un taux de probabilité sans manquer de sérieux.

À gauche, Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel et les Verts se sont déjà positionnés pour 2022. Montebourg ne risque-t-il pas d’être un candidat de plus dans une présidentielle embouteillée ?

Montebourg a déjà eu l’occasion de préciser qu’il ne s’inscrivait plus dans un clivage droite-gauche. Il a fait comprendre également que cette fois, il ne passerait pas par une primaire, souhaitant s’adresser directement et immédiatement aux Français.

C’est ce qu’il a de mieux à faire car telle est le véritable esprit de l’élection présidentielle dans la Ve République. Mais je ne peux m’empêcher de sourire à ce retour aux sources gaulliennes, puisqu’il fut l’un des militants les plus zélés d’une VIe République et également l’une des chevilles ouvrières de l’importation du système des primaires en France.

 

Y a-t-il un espace politique pour le souverainisme qu’Arnaud Montebourg semble vouloir incarner ? Pourquoi ?

Je ne pense pas qu’il limite son projet à un souverainisme «de gauche». Il devrait plutôt aller vers un souverainisme plus complet. Ce souverainisme-là, qui ne souffrirait d’aucun angle mort, a sans doute un espace politique, pour peu qu’il soit décliné avec intelligence, de manière audible et compréhensible par le plus grand nombre.

Notre crise est avant tout démocratique, on le constate avec la contestation, assez soutenue par l’opinion, contre le passe sanitaire. Le sentiment de dépossession démocratique est extrêmement répandu dans le pays. La souveraineté est la clef de tout ça. Les peuples veulent «reprendre le contrôle». Celui qui convaincra les électeurs qu’ils reprendront ce contrôle grâce à lui peut emporter la décision. Plus facile à dire qu’à faire, j’en conviens…

 

On connaît les positions d’Arnaud Montebourg sur le plan économique (made in France, relocalisations, etc.), moins sur les questions de société (immigration, sécurité). Est-ce son talon d’Achille pour convaincre de larges pans de la population française?

En effet, on les connaît peu. Je ne conseillerais pas à Arnaud Montebourg d’être une forme de miroir inversé de ce qui se passe à droite sur les questions de souveraineté. Xavier Bertrand mais aussi l’ex-commissaire européen Michel Barnier, de manière surprenante, insistent aujourd’hui sur la souveraineté juridique du pays, et font des propositions en ce sens, mais seulement sur les questions d’immigration et de sécurité. C’est à mon sens insuffisant pour convaincre les classes populaires de revenir vers eux.

Le même dilemme, mais dans l’autre sens, se pose à Arnaud Montebourg : s’il délaisse ces sujets régaliens de souveraineté et ne se concentre que sur les sujets de souveraineté économique, il sera borgne lui aussi et ne convaincra pas les classes populaires, un peu comme Jean-Pierre Chevènement en 2002. En est-il conscient ? C’est possible puisqu’il semble ne pas vouloir inscrire sa campagne «à gauche». Nous en saurons sans doute davantage à partir du 4 septembre.

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