Archive pour le Tag 'primaire'

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Primaire UMP: un « scrutin bidouillé » ? ( Juppé)

Primaire UMP: un « scrutin  bidouillé » ? ( Juppé)

Il a bien raison de se méfier Juppé à propos du scrutin concernant les primaires de l’UMP,. Ce n’est pas hasard si Sarkozy a pris les rênes du parti mais pour le maitriser et assurer sa candidature pour 2017. Sarko c’est le champion de la magouille dans tous les domaines ( financement du parti, financement des campagnes électorales, affaire Tapie etc.). et sil s’est plié à la nécessité des primaires c’est bien parce qu’il en a été contraint par ses concurrents, aussi par l’opinion. C’est une  vielle tradition à l’UMP de tripatouiller les scrutins , voir l’affaire de la dernière élection à la présidence de l’UMP où Copé a truqué les résultats pour que Fillon ne soit pas élu. Sil le faut on inventera des milliers et des milliers d’adhérents et pour le financement on fera comme d’habitude ‘( voir les affaires judicaires en cours). Une pratique qui ne concerne pas seulement l’UMP, le PS lui aussi à volé la victoire à Ségolène pour la direction du parti. Dans un entretien accordé à La Tribune, Alain Juppé a mis en garde contre un éventuel « scrutin bidouillé » lors de la prochaine primaire UMP pour l’élection présidentielle de 2017, critiquant implicitement Nicolas Sarkozy. « S’il s’agit d’une primaire ouverte à tous les sympathisants de la droite et du centre, j’aurai ma chance. En revanche, si le scrutin est bidouillé pour rééditer le scénario de l’élection du président de l’UMP, cette élection ne sera pas de nature à créer une véritable dynamique. Si la deuxième option prévaut, je me présenterai donc, je l’ai déjà annoncé, au premier tour de l’élection présidentielle en 2017″ a répondu le maire de Bordeaux. Alain Juppé a également reproché implicitement au président de l’UMP d’exciter le sentiment anti-musulman ». « Sur les menus dans les cantines, par exemple, il faut laisser le choix aux élèves. C’est ce qui se passe à Bordeaux comme dans toutes les villes et cela fonctionne très bien. De même, voir une étudiante avec un foulard sur la tête à l’université ne m’indigne pas. Calmons-nous! Exciter le sentiment anti-musulman ne sert à rien », a-t-il poursuivi.

Accès à la cantine pour tous en primaire :qui va payer ?

Accès à la cantine pour tous en  primaire :qui va payer ?

 

Une mesure sociale évidente car il était indigne de refuser des enfants à la cantine dans le primaire. Mais encore uen mesure non financée puisqu’il est seulement prévu que le coût qui pourrait en résulter sera compensé par la dotation globale. Or cette dotation globale doit diminuer. Autrement dit la fiscalité locale va augmenter ( même si les enjeux financiers de cette mesure  ne sosnt pas dramatiques). C’est un peu comme les travaux d’activités périscolaires, votés par le parlement mais financé par les communes.   Les députés français ont adopté en première lecture jeudi une proposition de loi qui vise à garantir le droit d’accès à la restauration scolaire, les cantines, pour tous les enfants scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires. Tous les groupes, à l’exception de l’UMP qui a qualifié ce texte « d’affichage », ont voté cette proposition de loi présentée par le groupe des radicaux de gauche. « L’inscription à la cantine des écoles primaires, lorsque ce service existe, est un droit pour tous les enfants scolarisés. Il ne peut être établi aucune discrimination selon la situation de famille », dispose le texte. Certaines communes, pour des raisons diverses comme la situation familiale ou le lieu de résidence, interdisent l’accès d’enfants à leurs cantines alors que les jurisprudences condamnent toutes les discriminations. Six millions d’élèves, la moitié des écoliers et les deux tiers des collégiens et lycéens, sont inscrits dans les cantines. Quelque 400 millions de repas sont servis chaque année dans les écoles pour un coût moyen de 7 euros facturé aux parents en moyenne à hauteur de 2,5 à 3 euros. Six cents millions de repas sont servis dans les collèges et lycées pour un coût par repas d’environ 9 euros facturé en moyenne de 3,5 à 4 euros.  Le coût est évalué à près de 1,5 milliard d’euros pour les communes et à 3,5 milliards d’euros pour les départements et les régions. La proposition de loi prévoit une compensation financière, notamment par le biais de la dotation globale de fonctionnement, pour les charges qui pourraient résulter pour les communes de ce droit obligatoire à l’accès.

 

2017 : pour virer Hollande primaire à gauche pour 75% des Français

2017 : pour virer Hollande primaire à gauche pour  75% des Français

 

Comment virer Hollande François Hollande qui ne fédère que 24% des Français sur son éventuelle candidature en 2017. Pour les trois quarts des interrogés, la gauche devrait organiser des primaires pour choisir son candidat à l’élection présidentielle, selon un sondage Odoxa pour L’Expressla presse régionale et France Inter rendu public mardi 25 novembre. Priés de dire s’ils pensent que la gauche devrait organiser des primaires pour choisir son candidat à la prochaine présidentielle ou s’ils estiment que la gauche n’a pas à organiser de primaires, car en tant que président de la République sortant, François Hollande devrait être le candidat naturel de la gauche, 75% ont choisi la première option. Un peu moins d’un quart, 24%, se sont prononcés contre un primaire de la gauche. 1% ne s’est pas prononcé. Chez les sympathisants de gauche, 73% se sont déclarés pour une primaire à gauche, 26% contre. La proportion en faveur de cette primaire est plus importante, à 75%, parmi les sympathisants de droite, contre 24%.

 

Primaire UMP 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Primaire UMP 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

En recul de trois points par rapport à une précédente enquête de juillet, l’ancien Président est désormais devancé par Alain Juppé dans les intentions de vote (35% contre 47%). Le maire de Bordeaux, pour sa part, est en progression de 15 points. Suivent Bruno Le Maire – qui pour l’heure pas candidat à cette élection – avec 10% (+2 points), François Fillon avec 5% (-2 points) et Xavier Bertrand avec 2% (-1 point). Les marges d’erreurs sont néanmoins importantes, de l’ordre de six points, le sondage ayant été réalisé auprès d’un échantillon de 1.224 personnes, dont 336 comptent participer à la primaire. En effet, ce sont 28% des sondés qui manifestent leur intention de participer à la primaire à droite. Un chiffre en hausse de quatre points en trois mois et qui va au-delà des seuls sympathisants de l’UMP Les sympathisants UMP, d’ailleurs, restent de leur côté favorables à l’ex-président. Nicolas Sarkozy recueille 51% des intentions de vote des adhérents au parti (-3 points) devant Alain Juppé 37% (+8 points). François Fillon est troisième, avec 7%, devant Bruno Le Maire et Xavier Bertrand, crédités chacun de 2% des intentions de vote.

 

Sarkozy : OK pour une primaire en 2017

Sarkozy : OK pour  une primaire en  2017

 

 

Pour répondre indirectement à Juppé, Sarkozy a été contraint d’accepter le principe des primaires. Restent à savoir dans quelles conditions elles seront organisées, sans doute aux siennes puisqu’il a jugé nécessaire de prendre la direction de l’UMP. Nicolas Sarkozy a en effet accepté jeudi l’organisation d’une primaire à droite pour l’élection présidentielle de 2017 dans son premier meeting depuis son retour en politique, dans lequel il a esquissé les grandes lignes d’un programme de gouvernement. Devant 2.000 personnes réunies dans un gymnase de Lambersart (Nord), près de Lille, et autant à l’extérieur, l’ancien chef de l’Etat, qui a annoncé la semaine dernière sa volonté de briguer la présidence de l’UMP en novembre, est apparu tel qu’en 2012. Il a d’emblée clarifié sa position sur la primaire présidentielle de 2016 que ses rivaux à droite, les anciens Premiers ministre Alain Juppé et François Fillon, le soupçonnaient de vouloir escamoter. « Il y aura des primaires, qui pourrait de bonne foi douter qu’il en fût autrement ? », a-t-il dit, levant l’ambiguïté qu’il avait jusqu’ici savamment entretenue. S’il est élu à la tête de l’UMP, a-t-il ajouté, il s’efforcera de « mettre fin aux querelles, aux disputes dérisoires qui ont ridiculisé notre famille politique ces deux dernières années » grâce à un « grand rassemblement ». « Nous aurons besoin de l’expérience et du talent qui est grand d’Alain Juppé. Nous aurons besoin de François Fillon avec qui j’ai travaillé pendant cinq années en pleine confiance », a-t-il poursuivi en affichant sa règle : « Tu veux une grande place, tu vas travailler beaucoup. » Il a ébauché les grandes lignes de son programme pour redresser l’économie et restaurer le crédit du politique. « Le nombre de fonctionnaires devra être réduit et il nous faudra sans doute accepter pour l’Etat comme pour les collectivités territoriales que les recrutements dans la fonction publique ne soient pas tous soumis à la règle du statut à vie car ce n’est plus adapté aux exigences du monde moderne », a-t-il expliqué à une salle acquise à sa cause.  Pour Nicolas Sarkozy, un chômeur ne pourra plus percevoir d’allocations s’il refuse un travail et l’octroi du RSA devra être conditionné à « l’exercice d’une activité au service de la communauté », un emprunt aux thèses de Laurent Wauquiez. « Nous devons travailler davantage, les Français peuvent l’entendre et peuvent le comprendre », a-t-il poursuivi en estimant que « vacances, jours fériés et RTT » ne pouvaient plus être, comme actuellement, le « but ultime » des Français. Il s’en est pris aux syndicats « qui sont sortis de leur rôle en appelant comme un seul homme à voter pour le candidat socialiste » en 2012 et dénoncé les étrangers qui ne veulent pas « s’adapter » à la société française. L’ancien président a proposé d’utiliser le référendum, citant les exemples de la réduction, selon lui indispensable, du nombre de parlementaires, et de la réforme territoriale. Il s’est en revanche montré prudent sur le mariage homosexuel, une réforme de la gauche qu’une partie de son électorat veut abroger, promettant un débat. « Nous déciderons sereinement des conséquences à tirer de ce triste épisode, j’entends les propositions tranchées des uns et des autres », a-t-il dit. « Je n’ai nullement l’intention de fermer [le débat] avant même qu’il ait été ouvert. »

 

 

Sarko : OK pour une primaire à l’UMP

Sarko : OK pour une primaire à l’UMP

Nicolas Sarkozy devait s’imposer naturellement comme l’unique candidat. Sauf que le message n’a pas pris. Ni politiquement, ni médiatiquement. Alors les sarkozystes ajustent leur communication. Brice Hortefeux, celui qui ne parle jamais sans l’aval de Nicolas Sarkozy, l’expliquait début juin au Monde :  » Une primaire est utile lorsqu’il y a incertitude. Elle devient inutile lorsqu’un choix s’impose naturellement car elle encourage des combats stériles. » Sous-entendu : Nicolas Sarkozy n’est pas de ce niveau-là. Ultra-sarkozyste et co-fondateur de la Droite forte, Geoffroy Didier, quelques jours plus tôt, était sur la même longueur d’onde : « Tout exercice démocratique est salutaire mais si Nicolas Sarkozy décidait librement de revenir à la politique à l’occasion du Congrès UMP, il s’imposerait naturellement comme le prochain candidat à la présidentielle. Les primaires sont saines par principe mais elles peuvent devenir superflues du fait des circonstances politiques. » Mais leur message n’a pas entraîné une vague de soutien parmi les cadres de l’UMP. Au contraire, Bruno Le Maire s’est lancé dans une campagne pour la présidence du parti. Même le très sarkozyste Christian Estrosi s’est déclaré candidat pour la primaire de 2016, sauf si son ami se présente. Roger Karoutchi, proche de l’ancien chef d’Etat et fervent partisan de la primaire, n’a pas changé d’avis. Les « prises de guerre » de Nicolas Sarkozy comme François Baroin ou Gérald Darmanin continuent de rouler pour leur champion, François Fillon et Xavier Bertrand. Du coup, le message a changé. Invité de RTL dimanche, Brice Hortefeux a dit ne pas être « opposé au principe » d’une primaire. « J’ai souvent exprimé des réserves » mais « jamais d’hostilité ». « Si cela permet d’aider à ce qu’il y ait une candidature » unique « de l’opposition, je pense qu’il ne faut rien écarter », a-t-il déclaré. Il y a trois jours, au Talk du Figaro, Geoffroy Didier assurait que la primaire devait « avoir lieu ». En privé, d’autres sarkozyste encore assurent que leur patron devra passer par cette étape, devenue obligatoire. Reste à convaincre Nicolas Sarkozy lui-même.

 

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