Archive pour le Tag '(PRG)'

Le PRG Refuse le mariage forcé de Mélenchon

Le PRG Refuse le mariage forcé de Mélenchon

 

«Les candidat(e)s du PRG se présenteront sur leurs valeurs républicaines, laïques, solidaristes, écologistes et pro-européennes», déclare le parti de centre gauche, à l’heure où la France insoumise plaide pour la «désobéissance» aux traités européens. «Pour le PRG, la laïcité, l’universalisme et la construction européenne ne sont pas négociables», insiste le communiqué du parti.

Guillaume Lacroix, président du PRG évoque un «pôle de radicalité autour de Jean-Luc Mélenchon». Au-delà des valeurs, c’est sur la «méthode» que le conseiller régional d’Auvergne-Rhône-Alpes se dit en désaccord avec la nouvelle alliance de gauche, qu’il perçoit comme une «forme de mariage forcé». «Je préfère l’union libre», déclare Guillaume Lacroix. Il reconnaît n’avoir «pas cherché» à s’allier au candidat de l’Union populaire, arrivé en troisième position au premier tour de l’élection présidentielle. Une rencontre informelle a tout de même eu lieu il y a «une dizaine de jours» entre Jean-Luc Mélenchon et le président du PRG, selon ce dernier.

 

 

Présidentielle: Le PRG annule son soutien à Taubira

Présidentielle: Le PRG annule son soutien à  Taubira

 

 

Le patron du parti radical de gauche , Guillaume Lacroix, retire son soutien à Taubira. « Nous avons enclenché derrière la démarche de Christiane Taubira qui s’est construite sur le rassemblement des candidats de gauche (…) Mais je prends acte après des semaines et des semaines de discussions avec l’ensemble des responsables politiques de gauche, tous confondus, que cette forme d’union là ne se fera pas », a-t-il reconnu.

Le rassemblement des candidats étant donc largement compromis – « Il faut à un moment l’accepter » – le président du PRG a désolidarisé son parti de Christiane Taubira qui « a fait évoluer sa campagne sur une campagne de citoyenneté basée sur 400 000 votants, fondée sur les comités Taubira, sur la jeunesse. » « Je salue cet élan et ce souffle autour d’une candidature à gauche. Ce n’est pas si souvent. Seulement le mandat du PRG était un mandat autre et donc le PRG en tant que tel se met en retrait », a-t-il conclu.

Certains élus du PRG seraient tentés de soutenir Emmanuel Macron, ou encore que le soutien a été retiré en raison des liens, souvent forts dans les exécutifs locaux, entre le PRG et le PS qui a encore redit lundi, par la voix de son premier secrétaire, un soutien ferme à sa candidate.

2017 : et encore une de plus pour la gauche Sylvia Pinel (PRG)

2017 : et encore une de plus pour la gauche Sylvia Pinel (PRG)

 

La jeune oligarque, comme la plupart, sitôt après ses études est entrée en politique ; elle  veut aussi exister et se présente donc comme candidate en 2017 sans passer par les primaires. Avec cette candidature la gauche risque d’atteindre le record de divisions possibles. Il y aura  en effet comme traditionnellement les candidats de l’extrême gauche, le PRG, aussi la candidature de Mélenchon, la candidature du parti socialiste, celle des écolos et la candidature de Macron. Tout cela pour se partager au mieux 25 % des voix voire 30 % dans le meilleur des cas. Ce qui signifie que ces  différents candidats à gauche auront bien du mal à atteindre 10 % pour les plus importants. Bref une véritable opération organisée pour faire éclater la gauche voir pour faciliter sa disparition. Cette candidature  du PRG permettra au moins à l’opinion publique de se rappeler que Sylvia Pinel issue du groupuscule parti radical de gauche (PRG). Le seul intérêt de cette candidature pour l’intéressée,  c’est sans doute de rappeler qu’elle a été a été ministre du commerce puis ministre du logement. On aura bien eu mal à se souvenir des projets et surtout des réalisations de l’intéressée dans un gouvernement pléthorique où plus de la moitié ne sert qu’à faire de la représentation.  Réunis samedi à Paris pour une convention nationale consacrée au programme et à la stratégie du parti pour 2017, les militants se sont prononcés en faveur de cette candidature directe par 344 voix pour, 46 voix contre et 18 absentions. Un vote qui donne vraiment un minimum de légitimité puisque s’appuyant sur un électorat de 400 personnes! Même les écolos font mieux

Un nouveau frondeur : Baylet (PRG) !

Un nouveau frondeur : Baylet (PRG) !

 

Viré du sénat le président du micro parti radical de gauche n’est pas content et rejoint les frondeurs godillots du PS. Il menace ! En fait il ne dispose que d’une dizaine députés élus surtout garce au soutien du PS. Baylet n’est pas content car d’après les accords avec le PS il aurait du être élu au sénat. En faiat Baylet va rejoindre les frondeurs godillots du PS :   parler fort mais agir peu.  Cela s’appelle mettre la pression chez les radicaux de gauche comme chez les frondeurs socialistes. Dimanche, le PRG a exigé le retrait de nombreuses mesures. Dans le cas contraire, les derniers alliés du PS au sein de la majorité gouvernementale quitteront ce gouvernement. Le président du Parti radical de gauche, Jean-Michel Baylet a décidé de soumettre à François Hollande et Manuel Valls, qu’il rencontrera lundi, un « pacte de gouvernement ». Il déplore notamment le non-respect d’accords électoraux. « Le débat est vif et dense chez les radicaux car ils s’interrogent beaucoup quant à la nécessité de rester dans la majorité gouvernementale », écrit Jean-Michel Baylet au Premier ministre. Parmi ces projets, dont le PRG demande le retrait, il y a la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu qui « n’est pas acceptable ». Il réclame également l’abandon de quatre mesures de la politique familiale figurant dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale : « La baisse des aides à la garde d’enfant, la réduction de la prime à la naissance pour le deuxième enfant, le décalage de la prime d’accueil au jeune enfant, et le partage du congé parental. »  Le PRG compte trois ministres dans le gouvernement de Manuel Valls, six sénateurs et une dizaine de députés. Le soutien de ces derniers peut s’avérer important pour le PS. Les socialistes disposent en théorie de la majorité absolue mais doivent parfois compter sur l’aide des radicaux lorsque certains frondeurs s’abstiennent. La menace ne semble pas inquiéter le PS outre mesure. En privé, plusieurs socialistes brocardent le PRG, roi de la manœuvre et de la négociation. Jean-Michel Baylet « est un patron de parti blessé (battu lors des dernières sénatoriales NDLR) et qui, d’une certaine façon, demande réparation« , a commenté un membre de la direction du PS. En public, ce dimanche, plusieurs voix ont appelé à l’apaisement. Jean-Christophe Cambadélis, qui a plaidé pour l’union de la gauche aux élections départementales et régionales de 2015, s’est dit « prêt à discuter, à échanger et à trouver les moyens d’une sortie par le haut de cette situation ». Interrogé par France 5 sur les menaces des radicaux, Jean-Yves Le Drian a répondu, impavide: « Ecoutez, on va voir« . « Nous avons avec le PRG une longue histoire qui ne va pas s’arrêter là« , a observé le ministre de la Défense.

 

Jean-Michel Baylet (PRG) en correctionnelle

Jean-Michel Baylet  (PRG) en correctionnelle

 

Le président du Parti radical de Gauche (PRG) Jean-Michel Baylet a été renvoyé devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour infraction au code des marchés publics en tant que président du Conseil général du Tarn-et-Garonne, a-t-on appris samedi auprès de son avocat. Cette décision, qui concerne des faits remontant à 2003, a été prise par le juge Jean-Michel Gentil, en première ligne dans l’instruction de l’affaire Bettencourt et qui, à ce titre, a mis en examen l’ancien chef de l’Etat Nicolas Sarkozy pour « abus de faiblesse ». « Je trouve que cette affaire n’a que trop duré, elle aurait pu être réglée en quatre mois après l’ouverture de l’information judiciaire qui remonte à six ans », a dit à Reuters l’avocat de Jean-Michel Baylet, Me Jean-Yves Dupeux. « Depuis la mise en examen en 2009, le juge Gentil a rendu une première ordonnance de renvoi pour des faits pour lesquels Jean-Michel Baylet n’avait pas été mis en examen. Le parquet avait été obligé de faire appel. On a perdu là un an et demi! », a-t-il ajouté. Il est reproché à l’ancien candidat à la primaire socialiste en vue de l’élection présidentielle de 2012 d’avoir effectué quatre commandes pour le bulletin trimestriel du Conseil général auprès de deux sociétés dans lesquelles des proches étaient dirigeants ou actionnaires. La première est la société Hima Com dont la Dépêche du Midi, quotidien régional présidé par Jean-Michel Baylet lui-même, détient 10% des parts, et la deuxième est la société SA Viking détenue par Marie-France Baylet et Jean-Benoît Baylet, respectivement son épouse et son fils, selon le journal Sud-Ouest qui révélait la décision du juge dans son édition de samedi. « Il est renvoyé pour un total de factures de 25.000 euros » a dit son avocat. « Ce n’est pas lui qui a signé le marché mais un directeur des services. Mais comme il est responsable des marchés publics, c’est sur lui que ça retombe. C’est bien sûr un justiciable comme un autre, mais ça a beaucoup trop duré », a dit Me Jean-Yves Dupeux. Pour l’avocat, qui devrait plaider la prescription des faits, la justice « a mieux à faire que ça pour une affaire de plus dix ans, d’autant qu’il s’agit d’un marché qui a été effectué à un prix du marché, en conformité et avec la qualité qu’on est en droit d’attendre dans ce type de prestation ». L’affaire pourrait être jugée dans le courant du mois de juin.

 




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