Archive pour le Tag 'prête'

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Turquie : pas prête à entrer dans l’union européenne !

Turquie : pas prête à entrer dans l’union européenne !

 

C’est pas demain que la Turquie pourra entrer  dans l’Union européenne avec les conceptions démocratiques du parti au pouvoir. D’abord l’attentat contre les forces kurdes d’opposition est inexcusable ensuite le président s’est comporté en partisan en ne manifestant même pas la compassion qui s’imposait. à la veille des législatives. Ces atteintes permanentes  à la démocratie, la position ambigües de la Turquie vis-à-vis de l’Etat Islamique constituent à l’évidence des obstacles à toute perspective d’entrée de la Turquie dans l’union européenne.  A la veille des élections législatives en Turquie, le chef du parti d’opposition pro-kurde HDP a donc fustigé samedi la réaction du président Recep Tayyip Erdogan au double attentat qui a fait 2 morts et des centaines de blessés lors d’un meeting électoral du HDP vendredi à Diyarbakir.   »Il faut qu’il s’excuse (auprès des proches des victimes), qu’il leur exprime sa tristesse. Il devrait aller à Diyarbakir. N’est-il pas le président de 77 millions de personnes? Il faut qu’il dépose des fleurs là où ces gens ont été tués », a déclaré Selahattin Demirtas, le chef du HDP, lors d’une réunion électorale dans la partie asiatique d’Istanbul.  Tayyip Erdogan s’est rendu vendredi à un meeting après les attentats sans les mentionner dans son discours, a accusé Demirtas. Le président turc a dénoncé par la suite une « provocation » destinée à saper les élections de dimanche.  Erdogan espère que l’AKP, le parti islamo-conservateur au pouvoir, obtiendra la majorité des deux tiers (au moins 367 des 550 élus du Parlement) nécessaire à l’adoption de pouvoirs élargis pour le chef de l’Etat. Mais s’il passe le seuil des 10% des suffrages, le HDP pourrait remettre en cause ce scénario. Le président turc, qui a finalement présenté vendredi soir ses condoléances, a répliqué à Demirtas lors d’un meeting dans l’est de la Turquie. Il a déclaré que c’était au chef du HDP de s’excuser d’être l’instigateur d’une vague de violences qui a fait plusieurs dizaines de morts en octobre dernier. De nombreux Kurdes se sont rendus samedi sur le lieu des explosions pour y déposer des œillets rouges.  Selon des sources médicales, plus de 200 personnes ont été hospitalisées.

 

La BCE prête … à ne pas faire grand chose !

La BCE prête … à ne pas faire grand chose !

 

Il est évident qu’après le discours de la présidente de la FED qui a expliqué que la politique monétaire devait servir l’emploi, le discours de Draghi, présidente de la BCE est pari assez plat. Pour résumer, il indiqué que la BCE était prête à faire des ajustements. Autrement dit pas grand chose, d’abord parce que l’Allemagne ne veut pas de cette politique accommodantes ensuite parce que Draghi lui-même est incompétent.  La Banque centrale européenne (BCE) se tient prête à procéder à de nouveaux ajustements de sa politique monétaire, a déclaré vendredi son président, Mario Draghi. « Je suis confiant que la série de mesures annoncées en juin entraînera la hausse de la demande que nous souhaitons et nous nous tenons prêts à ajuster encore notre politique », a dit Mario Draghi lors de la traditionnelle réunion annuelle de banquiers centraux à Jackson Hole, dans le Wyoming. La BCE a annoncé début juin un ensemble de mesures destinées à lutter contre la faiblesse de l’inflation, à relancer le crédit et à soutenir la reprise au sein de la zone euro. L’institut d’émission a abaissé ses taux directeurs jusqu’à tester le passage en territoire négatif de son taux de dépôt et a offert aux banques de nouvelles facilités de refinancement à long terme. Cette dernière mesure, baptisée TLTRO, a suscité un « intérêt significatif » de la part des banques, a déclaré vendredi Mario Draghi. De nouvelles mesures d’assouplissement de la part de la BCE pourraient notamment prendre la forme d’un programme d’achats massifs d’actifs à l’instar de ceux déployés par la Réserve fédérale américaine, la Banque d’Angleterre ou la Banque du Japon. Mario Draghi, qui n’a pas mentionné spécifiquement le recours à cet outil dans son discours de vendredi ni donné d’éléments de calendrier pour d’éventuelles nouvelles mesures, s’est félicité d’une évolution positive dans la lutte contre le risque déflationniste au sein de la zone euro. « Nous avons déjà enregistré des mouvements des taux de change qui devraient soutenir à la fois la demande globale et l’inflation, qui devraient bénéficier en outre des divergences prévisibles de politique entre la zone euro et les Etats-Unis », a-t-il dit. La zone euro est confrontée à une inflation très basse, une croissance très faible et un fort chômage, ce qui justifie une politique d’assouplissement de la part de la Banque centrale européenne.

Euro trop fort : la BCE prête à prendre des mesures….un jour !

Euro trop fort : la BCE prête  à prendre des mesures….un jour !

 

Finalemenet La Banque centrale européenne (BCE) va peut-être  à prendre des mesures pour réagir à l’euro fort et à la faible inflation, a déclaré le président de la BCE, Mario Draghi, ce samedi 12 avril. Draghi comprend vite mais il lu fauta du temps. Finalemenet il suit la politique de autres banques centrales mais avec 2 ou trois ans de retard.  La BCE répugne généralement à s’étendre sur le sujet des taux de change. Mais ce samedi, son président a déclaré lors d’une conférence de presse à Washington : « Si nous voulons que la politique monétaire reste aussi accommodante qu’elle l’est aujourd’hui, une poursuite de l’appréciation du taux de change (de l’euro) pourrait nécessiter une action monétaire ». Mario Draghi a reconnu que le niveau de l’euro, que le nouveau Premier ministre français Manuel Valls juge trop élevé, jouait « un rôle de plus en plus important » dans les prises de décision de la BCE. Le niveau de la monnaie unique, qui a évolué vendredi à son plus haut niveau depuis trois semaines, pèse sur la compétitivité des exportateurs européens et a pour effet de ralentir l’inflation, que la BCE est chargée de maintenir au niveau optimal pour l’économie, soit un peu moins de 2% selon elle. Répétant que son institution était prête autant à « un nouvel assouplissement monétaire », c’est-à-dire une baisse de taux, qu’à des « mesures non-conventionnelles », le chef de la BCE a indiqué qu’il ne fallait « pas être complaisant » face à la faible inflation en zone euro. Celle-ci était de 0,5% en mars.  Lors de sa conférence de presse en marge des réunions à Washington du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, Mario Draghi a pris le temps de décrire les effets néfastes liés à des prix trop peu dynamiques. En clair, il a indiqué que le danger ne venait pas seulement d’une menace de déflation, phénomène de baisse généralisée des prix et des salaires, mais aussi d’une inflation basse, qu’il a jugé « mauvaise ». Une hausse trop molle des prix « rend le processus d’ajustement plus difficiles dans les pays sous pression », à savoir les pays du sud de l’Europe, et « complique le désendettement à la fois des secteurs public et privé », a-t-il expliqué.  Mario Draghi a multiplié les signaux de bonne volonté, alors que la politique de la BCE a été abondamment commentée ces derniers jours à Washington. Le Comité monétaire et financier international (CMFI), l’instance politique du FMI, a, lui, estimé ce samedi que l’institution de Francfort « devrait envisager des actions supplémentaires si la faible inflation devait se prolonger ».

La Banque mondiale prête à un trafiquant de drogue

La Banque mondiale prête à un trafiquant de drogue

 

On sait depuis longtemps que les fonds de la Banque mondiale ne servent qu’en partie aux pays les plus pauvres et que les fonds sont souvenait détournés ou gaspillés. On ignorait que ces financements pouvaient aussi servir le trafic de drogue.  Une filiale de la Banque mondiale a été en effet sévèrement critiquée en interne vendredi pour ne pas avoir procédé à des vérifications suffisantes avant l’attribution d’un prêt à une société hondurienne soupçonnée d’être impliquée dans des meurtres et du trafic de drogue. Avant de donner son feu vert en 2009 à un prêt de 30 millions de dollars à Corporacion Dinant, une société basée à Tegucigalpa, la Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale spécialisée dans les prêts au secteur privé, aurait dû approfondir son enquête, estime le Compliance Advisor Ombudsman (CAO), un organisme de surveillance interne à la Banque. Une recherche standard dans la presse, comme le demande la réglementation de la Banque mondiale, aurait permis de savoir que le propriétaire de Dinant était accusé d’avoir organisé le meurtre d’un défenseur de l’environnement et que ses propriétés étaient réputées être des points de ravitaillement pour les trafiquants de drogue, indique le CAO dans un rapport publié vendredi. Le CAO dit ne pas avoir cherché à vérifier l’authenticité des articles de presse et souligne que l’homme d’affaires a été acquitté des accusations de meurtre. Mais, souligne le CAO, leur simple existence aurait dû servir d’alerte dans la mesure où la réputation de la Banque mondiale était susceptible d’être atteinte. « Le personnel de la SFI ou bien était au courant de ces allégations et n’a pas cherché à les traiter », ou bien n’a pas mené les recherches requises dans la presse, indique le CAO. Le prêt accordé en 2009 était destiné à aider Dinant à développer ses activités dans l’huile de palme et dans l’agroalimentaire. Le CAO a lancé son audit sur le projet en 2012. Via ce prêt, la SFI s’est retrouvée indirectement impliquée dans l’un des différends fonciers les plus épineux d’Amérique centrale. Depuis l’approbation du prêt, des articles de presse ont affirmé que Dinant avait contribué à l’éviction de fermiers par la force dans la région fertile où elle opère et que « l’utilisation inappropriée » de ses forces de sécurité s’était traduit par des décès multiples, indique le CAO.

 

Espagne : la commison européenne prête à lâcher du lest sur l’austérité

Espagne : la commison européenne prête à lâcher du lest sur l’austérité

 

Sans le dire ouvertement la commison européenne change stratégie vis-à-vis de l’Espagne car sa politique drastique d’austérité est un échec sur le plan de la croissance et de l’emploi mais aussi en matière de dette publique. L’Espagne compte le taux de chômage le plus élevé de la zone euro après la Grèce, avec 26,02% de la population active, et 55,13% chez les moins de 25 ans.  Le chômage des jeunes est la première préoccupation du gouvernement. Toutes les politiques économiques du gouvernement ont un seul objectif: réduire le taux de chômage, et en particulier celui des jeunes », a de son côté affirmé Luis de Guindos. Olli Rehn s’est dit « conscient de la situation difficile que vivent de nombreux Espagnols ». Si 2013 sera « une nouvelle année difficile » pour le pays, elle devrait toutefois également être celle du « tournant vers la reprise », a-t-il ajouté.  Interrogé sur la possibilité d’une révision des objectifs de déficit publics fixés par la Commission européenne à l’Espagne, Olli Rehn a laissé ouverte cette possibilité, invitant à attendre la prochaine publication des prévisions de croissance de l’Union européenne, le 22 février.  Dans ses recommandations en matière de réduction du déficit, la Commission européenne « tient compte des perspectives de croissance et de la marge de manoeuvre budgétaire de chaque pays », a-t-il souligné.  S’il s’avère que la situation économique de l’Espagne s’est « détériorée de façon importante, nous pouvons réviser le rythme de réduction du déficit », a ajouté le commissaire.  L’Espagne, qui a enregistré un déficit de 9,4% du PIB en 2011, s’est engagée à le réduire à 6,3% en 2012, puis à 4,5% en 2013 et 2,8% en 2014. Mais le seuil visé pour 2012 devrait être largement dépassé selon nombre d’analystes.  La Commission européenne a elle-même reconnu la semaine dernière dans un rapport qu’il serait « très difficile » pour l’Espagne de respecter cet objectif, en partie du fait du dérapage budgétaire de certaines régions autonomes. Les chiffres du déficit public pour 2012, qui doivent être publiés dans quelques jours, « mettront en évidence l’énorme effort fourni par toutes les administrations publiques pour réduire le déficit », a de son côté affirmé Luis de Guindos.  Le ministre n’a toutefois pas précisé si l’Espagne respecterait l’objectif de 6,3%.  Luis de Guindos a également assuré que les efforts de réduction du déficit étaient « équitablement répartis » entre l’Etat central et les régions autonomes, alors que certaines d’entre elles, telles la Catalogne, affirment le contraire.

 

 

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