Archive pour le Tag 'prêt'

Minerais Ukraine. Zelinsky toujours prêt un accord juste

Minerais Ukraine. Zelinsky toujours prêt un accord juste

 

En dépit de la honteuse altercation de la part de Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est redit prêt dimanche à signer l’accord sur les minerais négocié avec les États-Unis 

«Si nous avons accepté de signer l’accord sur les minéraux, alors nous sommes prêts à le signer», «nous sommes constructifs», a-t-il ajouté, après que Washington a laissé planer dimanche l’idée que le dirigeant ukrainien pourrait devoir partir s’il ne changeait pas de comportement !!! La manifestation évidente du nouvel impérialisme américain qui intervient sans état d’âme dans la gestion interne de pays étrangers. Finalement comme Poutine. Des interventions notamment qui ont aussi eu lieu en Allemagne et en Grande-Bretagne

Pour le président américain Donald Trump, il s’agit d’une compensation pour l’aide militaire et financière versée par les États-Unis depuis trois ans à Kiev face à l’invasion russe. Il ne comporte en revanche aucun engagement sur des garanties de sécurités américaines à l’Ukraine, réclamées par Kiev.Trump Trump réclamait au départ le remboursement de 500 milliards! En définitive l’Europe comme les États-Unis ont dépensé chacun de l’ordre de 100 milliards (mais sans exigence de remboursement de la part de l’Europe).

Malgré l’ingérence des États-Unis vis-à-vis du président ukrainien , Zelensky a reçu dimanche à Londres un soutien chaleureux de ses alliés lors d’un sommet auquel participait une quinzaine de dirigeants européens ainsi que le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau.

La France et le Royaume-Uni se sont dits prêts à mener une «coalition des bonnes volontés» afin de contribuer à la sécurité de l’Ukraine pour appuyer une future cessation des combats.

 

OQTF algériens: Barrot « Prêt à prendre des sanctions » !

OQTF algériens: Barrot « Prêt à prendre des sanctions » !

 

Face au décalage entre les propos durs vis-à-vis de l’Algérie qui refuse de reprendre les OQTF et l’action molle du gouvernement, le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a annoncé sur BFMTV avoir pris des « mesures de restriction de circulation et d’accès au territoire national pour certains dignitaires algériens » et dit être « prêt à en prendre davantage » sur fond de crise diplomatique avec Alger.

 

Pas forcément de quoi convaincre les sceptiques sur la volonté réelle de clarifier la situation entre la France et l’Algérie concernant les OQTF. Cela d’autant plus que l’Algérie a besoin de cette  éternelles martingale qui consiste à se victimiser vis-à-vis de la France pour mettre un voile pudique sur la dictature, le détournement des richesses et la situation économique et sociale désastreuse.

Le ministre a justifié ces mesures par le refus d’Alger d’accueillir certains ressortissants en situation irrégulière expulsés de France, dont l’assaillant de l’attentat de Mulhouse, mais aussi par l’incarcération de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal.

« Ce sont des mesures réversibles qui s’éteindront dès lors que la coopération à laquelle nous appelons reprendra », a expliqué Jean-Noël Barrot sur notre plateau. Mais si aucune évolution n’est observée, « je suis prêt à prendre davantage de mesures », a-t-il affirmé.

Le chef de la diplomatie s’est également dit « prêt à aller à Alger », si cela permet « de débloquer un certain nombre de situations ».

Jean-Noël Barrot a toutefois assumé une position plus nuancée que son collègue le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau qui veut engager un « rapport de force » avec Alger. « Ce n’est pas toujours avec les outils les plus durs qu’on obtient des résultats. D’ailleurs on a pu le mesurer par le passé, puisque lorsqu’on a durci le ton avec l’Algérie on a fait baisser le nombre d’expulsions », a souligné le ministre des Affaires étrangères.

Politique-Trump prêt à signer la mort de l’Ukraine et de l’Europe

Politique-Trump prêt à signer la mort de l’Ukraine et de l’Europe

Dans une tribune au « Monde », un collectif de personnalités et de citoyens parmi lesquels Daniel Cohn-Bendit, Ariane Mnouchkine, le général Vincent Desportes et Adam Michnik, appelle à la mise en place d’une coalition entre Etats européens accordés sur quelques mesures vitales pour un pays qui défend sa liberté et protège les nôtres.

 
L’Ukraine vit des heures angoissantes. L’armée russe, forte d’un budget militaire de 106 milliards d’euros, qu’elle veut porter à 135 milliards en 2025, poursuit son invasion au prix de dizaines de milliers de morts et de la destruction systématique des infrastructures vitales de l’Ukraine : ses centrales énergétiques, ses hôpitaux, ses usines.Malgré la résistance héroïque des Ukrainiens, elle gagne du terrain grâce aux demi-mesures et aux retards de l’aide apportée par leurs alliés, qui se gardent bien de désigner la seule issue admissible de cette guerre : le retrait de la Russie dans ses frontières.

Tétanisés par les rodomontades de Donald Trump, les gouvernements européens se préparent-ils mezza voce à accepter, avec un lâche soulagement, que la nouvelle administration américaine négocie un accord de cessez-le-feu au détriment de la volonté ukrainienne ?
La trahison de l’Ukraine signerait l’arrêt de mort du projet européen : triomphant aujourd’hui, Poutine reprendrait dans deux, cinq ou sept ans ses guerres de conquête contre l’Ukraine, mais aussi contre la Géorgie, la Moldavie ou les pays baltes. L’ensemble du continent glisserait vers l’abîme. Notre sécurité, nos libertés et nos valeurs sont directement menacées. Il faut donc agir, vite.
L’OTAN est suspendue au bon vouloir de la Maison Blanche. L’Union européenne (UE) se heurte à l’indécision et à la pusillanimité de certains chefs d’Etat et de gouvernement, et au double jeu du premier ministre hongrois Viktor Orban. C’est pourquoi, nous appelons à la mobilisation de tous les citoyens européens : si l’OTAN ne prend pas rapidement ses responsabilités pour inviter l’Ukraine à rejoindre l’Alliance atlantique, il faut que se mette en place une coalition des Etats européens volontaires ….

Ukraine : le Royaume-Uni prêt à envoyer des troupes

 Ukraine : le Royaume-Uni prêt à envoyer des troupes

 

Le Royaume-Uni est prêt à «envoyer ses propres troupes sur le terrain si nécessaire» pour donner des garanties de sécurité à l’Ukraine, a annoncé Keir Starmer, le premier ministre britannique dans un long article publié par le Telegraph . 

 

«Le Royaume-Uni est prêt à jouer un rôle de premier plan dans l’accélération des travaux sur les garanties de sécurité pour l’Ukraine», écrit-il. «Cela passe par un soutien accru à l’armée ukrainienne, pour laquelle le Royaume-Uni s’est déjà engagé à verser 3 milliards de livres sterling par an jusqu’en 2030 au moins. Mais cela signifie également que nous sommes prêts et disposés à contribuer aux garanties de sécurité pour l’Ukraine en envoyant nos propres troupes sur le terrain si nécessaire», ajoute-t-il.

«Je ne dis pas cela à la légère», dit Keir Starmer. «Je ressens très profondément la responsabilité que représente le fait de mettre potentiellement en danger des militaires britanniques. Mais tout rôle visant à garantir la sécurité de l’Ukraine contribue à garantir la sécurité de notre continent et de notre pays. La fin de cette guerre, lorsqu’elle arrivera, ne peut pas simplement devenir une pause temporaire avant que Poutine n’attaque à nouveau», explique le premier ministre britannique.

Politique-Trump prêt à signer la mort de l’Ukraine et de l’Europe

Politique-Trump prêt à signer la mort de l’Ukraine et de l’Europe

Dans une tribune au « Monde », un collectif de personnalités et de citoyens parmi lesquels Daniel Cohn-Bendit, Ariane Mnouchkine, le général Vincent Desportes et Adam Michnik, appelle à la mise en place d’une coalition entre Etats européens accordés sur quelques mesures vitales pour un pays qui défend sa liberté et protège les nôtres.

 

L’Ukraine vit des heures angoissantes. L’armée russe, forte d’un budget militaire de 106 milliards d’euros, qu’elle veut porter à 135 milliards en 2025, poursuit son invasion au prix de dizaines de milliers de morts et de la destruction systématique des infrastructures vitales de l’Ukraine : ses centrales énergétiques, ses hôpitaux, ses usines.Malgré la résistance héroïque des Ukrainiens, elle gagne du terrain grâce aux demi-mesures et aux retards de l’aide apportée par leurs alliés, qui se gardent bien de désigner la seule issue admissible de cette guerre : le retrait de la Russie dans ses frontières.

Tétanisés par les rodomontades de Donald Trump, les gouvernements européens se préparent-ils mezza voce à accepter, avec un lâche soulagement, que la nouvelle administration américaine négocie un accord de cessez-le-feu au détriment de la volonté ukrainienne ?
La trahison de l’Ukraine signerait l’arrêt de mort du projet européen : triomphant aujourd’hui, Poutine reprendrait dans deux, cinq ou sept ans ses guerres de conquête contre l’Ukraine, mais aussi contre la Géorgie, la Moldavie ou les pays baltes. L’ensemble du continent glisserait vers l’abîme. Notre sécurité, nos libertés et nos valeurs sont directement menacées. Il faut donc agir, vite.
L’OTAN est suspendue au bon vouloir de la Maison Blanche. L’Union européenne (UE) se heurte à l’indécision et à la pusillanimité de certains chefs d’Etat et de gouvernement, et au double jeu du premier ministre hongrois Viktor Orban. C’est pourquoi, nous appelons à la mobilisation de tous les citoyens européens : si l’OTAN ne prend pas rapidement ses responsabilités pour inviter l’Ukraine à rejoindre l’Alliance atlantique, il faut que se mette en place une coalition des Etats européens volontaires ….

Trump prêt à signer la mort de l’Ukraine et de l’Europe

Trump prêt à signer la mort de l’Ukraine et de l’Europe

Dans une tribune au « Monde », un collectif de personnalités et de citoyens parmi lesquels Daniel Cohn-Bendit, Ariane Mnouchkine, le général Vincent Desportes et Adam Michnik, appelle à la mise en place d’une coalition entre Etats européens accordés sur quelques mesures vitales pour un pays qui défend sa liberté et protège les nôtres.

 

 

L’Ukraine vit des heures angoissantes. L’armée russe, forte d’un budget militaire de 106 milliards d’euros, qu’elle veut porter à 135 milliards en 2025, poursuit son invasion au prix de dizaines de milliers de morts et de la destruction systématique des infrastructures vitales de l’Ukraine : ses centrales énergétiques, ses hôpitaux, ses usines.

Malgré la résistance héroïque des Ukrainiens, elle gagne du terrain grâce aux demi-mesures et aux retards de l’aide apportée par leurs alliés, qui se gardent bien de désigner la seule issue admissible de cette guerre : le retrait de la Russie dans ses frontières.

Tétanisés par les rodomontades de Donald Trump, les gouvernements européens se préparent-ils mezza voce à accepter, avec un lâche soulagement, que la nouvelle administration américaine négocie un accord de cessez-le-feu au détriment de la volonté ukrainienne ?
La trahison de l’Ukraine signerait l’arrêt de mort du projet européen : triomphant aujourd’hui, Poutine reprendrait dans deux, cinq ou sept ans ses guerres de conquête contre l’Ukraine, mais aussi contre la Géorgie, la Moldavie ou les pays baltes. L’ensemble du continent glisserait vers l’abîme. Notre sécurité, nos libertés et nos valeurs sont directement menacées. Il faut donc agir, vite.
L’OTAN est suspendue au bon vouloir de la Maison Blanche. L’Union européenne (UE) se heurte à l’indécision et à la pusillanimité de certains chefs d’Etat et de gouvernement, et au double jeu du premier ministre hongrois Viktor Orban. C’est pourquoi, nous appelons à la mobilisation de tous les citoyens européens : si l’OTAN ne prend pas rapidement ses responsabilités pour inviter l’Ukraine à rejoindre l’Alliance atlantique, il faut que se mette en place une coalition des Etats européens volontaires ….

Prêt à taux zéro pour le logement ?

Prêt à taux zéro pour le logement ?

 

Le prêt à taux zéro pour la maison individuelle, une proposition de la ministre du logement. De quoi peut-être relancer un secteur en pleine crise. Reste à savoir comment financer la différence avec l’argent au taux réel alors que la France va déjà emprunter  globalement autour de 300 milliards cette année. Face à l’ampleur de la crise du logement, la ministre du logement plaide pour des mesures en faveur de la maison individuelle. Elle défend par ailleurs les obligations pesant sur les passoires énergétiques.

Certes les taux d’intérêt pour les crédits immobiliers ont diminué mais on est évidemment loin des taux zéro. Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a annoncé mercredi 8 janvier que le taux d’intérêt moyen des crédits immobiliers s’est établi « en dessous de 3,4 % en novembre, contre 4 % en janvier » 2024. Invité du « 20 heures » de France 2, il a expliqué que cette « baisse forte » découle de la diminution de l’inflation. « L’inflation, qui était la maladie aiguë de l’économie française, est en voie de guérison », a-t-il estimé, prévoyant qu’elle s’établira  »autour de 1,5 % » en 2025.

« Cela entraîne deux conséquences positives, la première, c’est du pouvoir d’achat et la seconde, c’est la baisse des taux d’intérêts », a poursuivi François Villeroy de Galhau. « D’ailleurs les Français recommencent à emprunter. C’est une bonne nouvelle pour un redémarrage progressif de l’immobilier », a ajouté le gouverneur.

 

 

Liban : l’Iran prêt à négocier ?

 Liban : l’Iran prêt à négocier ?

 

Dans le Figaro on laisse entendre que le président du Parlement serait désormais prêt à négocier avec Paris pour un cessez-le-feu au Liban. Ce serait en tout cas la position du président du Parlement iranien En faveur de la résolution de l’ONU qui prévoit que seule l’armée libanaise peut être déployée dans le sud du pays.

Ce serait en tout cas la preuve que l’Iran prend conscience de sa fragilité militaire face à Israël. Le plus curieux c’est que l’Iran passe par la France pour adresser cette demande indirecte à Israël alors que la France est largement discréditée au Moyen-Orient et même au Liban. En cause l’exhibitionnisme de macro qui cherche à redorer son image à l’international quitte à adopter des positions contradictoires.

 

 

 

Guerre au Liban : l’Iran prêt à négocier avec la France pour un cessez-le-feu

Partager

Le Liban prêt à négocier mais pas le Hezbollah !

Le Liban  prêt à négocier mais pas le  Hezbollah !

 

Poussé par les occidentaux et même par certains voisins arabes, ce qui reste de l’État libanais serait prêt à négocier sur les bases de l’accord de 2006 qui prévoient le retrait militaire libanais à 30 km de la frontière avec Israël. Le seul problème est que cette État libanais n’a guère de pouvoir actuellement à peu près entièrement dans les mains du Hezbollah et derrière de l’Iran.

Officiellement le premier ministre libanais Najib Mikati a cependant déclaré que le Liban était prêt à appliquer pleinement la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui prévoit notamment le retrait du Hezbollah de la région libanaise située au sud du fleuve Litani, à environ 30 km de la frontière avec Israël, a appris Reuters après avoir consulté un compte rendu à l’issue d’une rencontre entre les autorités libanaises.

«Le Liban est prêt à appliquer la résolution 1701 et, dès l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, à envoyer l’armée libanaise dans la zone située au sud du fleuve Litani pour qu’elle y remplisse toutes ses fonctions, en coordination avec les artisans de la paix de l’ONU», a annoncé Najib Mikati. Il a ajouté que le parlement se réunirait ensuite pour élire un président de consensus, alors que le Liban ne dispose plus de président de la République depuis le départ de Michel Aoun en 2022.

Immobilier : recentrage du prêt à taux zéro (PTZ)

Immobilier : recentrage du prêt à taux zéro (PTZ)

Le PTZ ,prêt à taux zéro, un prêt complémentaire à un crédit classique sera réservé entre 2024 et 2027 à l’achat d’un logement neuf dans l’immobilier collectif en zone tendue, c’est-à-dire là où l’offre d’habitats est inférieure à la demande, ainsi qu’à l’acquisition d’un bien ancien en zone détendue à condition de le rénover. Le nouveau prêt à taux zéro vise surtout à concentrer davantage les populations urbaines alors que le rêve des Français et de posséder une maison individuelle

Le PTZ ne financera plus les constructions de maisons individuelles neuves, au regard de la politique gouvernementale de la zéro artificialisation nette (ZAN) des sols.

Dans le même temps, du fait de l’effondrement du crédit immobilier, le montant maximum du prêt à taux zéro va passer de 80.000 à 100.000 euros. De même que les plafonds de revenus vont être revus pour que les classes moyennes et les plus modestes y soient éligibles. Enfin, le PTZ couvrira plus de communes que précédemment.

Macron prêt à recevoir les syndicats ! Ou La suprême hypocrisie

Macron prêt à recevoir les syndicats ! Ou La suprême hypocrisie

Il y a quelque chose de surréaliste dans les propos toujours contradictoires du chef de l’État qui pratique « le même temps », c’est-à-dire la politique de slalom dont on ne sait pas où elle va sinon dans le mur. Il y a encore quelques jours alors que l’intersyndicale avait demandé un rendez-vous à l’Élysée, Macon très dédaigneux avait opposé un refus. Cette fois c’est lui qui laisse entendre qu’il serait prêt à recevoir les syndicats après avoir craché dessus notamment sur la CFDT.

Le président de la république et même contraint de faire son mea culpa auprès de Laurent Berger. Un exercice un peu contre nature. Emmanuel Macron a en effet adressé un message à l’attention des représentants syndicaux. Deux jours après avoir déploré que ces derniers – et notamment Laurent Berger – n’aient pas proposé de «compromis», le chef de l’État a «remercié» le patron de la CFDT «de son esprit de responsabilité et de sa volonté d’apaisement que je partage».

Le problème est que la pseudo bonne volonté affichée par ma Macon est une hypocrisie de plus. En effet dans l’hypothèse d’une réception des syndicats, il n’est pas question pour lui qu’on traite de la question centrale de la réforme des retraites mais d’autres sujets sociaux.

Emmanuel Macron se dit ouvert à des sujets précis mais surtout pas à la réforme des retraites. Macon a affirmé être «totalement disponible ainsi que le gouvernement pour avancer» sur une liste de sujets bien précis, à savoir «l’usure professionnelle, les fins de carrière, les reconversions, les conditions de travail, la rémunération dans certaines branches…» Pour ce qui est de la réforme des retraites, celle-ci est «devant le Conseil constitutionnel, et il est évident que nous attendrons la décision du conseil constitutionnel».

Poutine prêt de capituler ?

Poutine prêt de capituler ?

On imagine mal Poutine en train de capituler officiellement. L’intéressé atteint de mégalomanie chronique ne reconnaîtra sans doute jamais la défaite qu’il est en train de subir en Ukraine. En effet les forces ukrainiennes ne cessent de d’avancer au point d’ailleurs que les autorités militaires russes ont reconnu leur retraite de la zone Kherson, point particulièrement stratégique.

Certes Poutine tente d’obtenir une trêve relative sur le terrain pour refaire ses forces. Le problème pour lui c’est qu’en face les forces de l’Ukraine vont aussi se développer et sans doute surpasser celle de la Russie sur deux points centraux , d’une part la technologie, d’autre part la volonté sans faille des ukrainiens à défendre leur territoire.

Poutine semble mettre la pédale douce déclarant même qu’il ne souhaite plus détruire l’Ukraine mais participer à des négociations. Une position dont il faut toujours se méfier quand elle émane de Poutine mais qui paraît logique suite au recul des forces russes mais aussi des pressions internationales y compris de la Chine.

Vladimir Poutine n’envisage pas non plus « dans l’immédiat » de nouvelles frappes « massives » en Ukraine, après celles du début de semaine lancées en représailles de la destruction partielle du pont de Crimée qu’il impute à Kiev. « Actuellement, il y a d’autres objectifs. Pour l’instant, après on verra », a-t-il déclaré, assurant que la Russie faisait « tout comme il faut » en Ukraine. Le président russe a également affirmé ne pas avoir « pour objectif de détruire l’Ukraine ».

Medef : Prêt à discuter pour contourner les blocages politiques

Medef : Prêt à discuter pour contourner les blocages politiques

 

Le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux a invité mardi les syndicats de salariés et les organisations patronales à trouver des «consensus» pour contourner une éventuelle paralysie politique liée à la fragmentation de la nouvelle Assemblée nationale. «On ne peut pas rester cinq ans immobiles, les partenaires sociaux doivent aussi former des majorités, des majorités de circonstance», a estimé le patron de la première organisation patronale sur RMC/BFMTV.

Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a répondu favorablement à cette proposition mardi soir. «On va entrer dans une période un peu particulière (sur le plan politique, NDLR), raison de plus pour que (…) la société civile (…) les partenaires sociaux aient toute leur place pour dire leur mot», a déclaré M. Berger sur BFM Business. «Sur l’évolution du travail, sur la question de l’emploi et des difficultés de recrutement,(…) sur la question du partage de la valeur dans les entreprises, (…) les organisations syndicales et patronales peuvent faire des propositions, et oui c’est leur rôle», a-t-il poursuivi, citant encore le «sujet de la transition écologique dans les entreprises» et «la formation professionnelle».

Macron prêt à tout pour sauver sa peau

Macron prêt à tout pour sauver sa peau

 

 

 

 

 

 

Pour Macron, l’heure n’est plus aux élucubrations philosophiques aux postures monarchiques. L’enjeu est plus terre-à-terre, il s’agit ni plus ni moins de sauver sa peau. Pour cela, l’intéressé sera prêt à faire toutes les concessions y comprise en abandonnant ses propres orientations notamment par exemple la fameuse réforme des retraites inutile puisqu’elle est déjà largement en route avec en particulier l’allongement régulier de la date de départ.

 

Macron aura d’autant moins de mal à changer d’orientations que ces dernières sont assez floues et contradictoires. Par exemple quand il affirme ouvrir largement le débat avec les organisations démocratiques et qu’en même temps il décide de créer un machin type convention citoyenne, justement pour n’avoir pas affronté les organisations compétentes. Au lieu de cela,  on prend des citoyens au hasard qu’on peut manipuler et qu’on peut d’ailleurs renvoyer chez eux sans tenir compte de leurs propositions. Une attitude évidemment impossible au sein du Parlement qui demeure légitimement le lieu d’élaboration des orientations législatives.

 En fait, le pouvoir de Macron ne tient plus qu’à un fil. Il s’abrite encore derrière une première ministre de papier sans aucune expérience politique et sans légitimité. Nombre de ses soutiens doutent  du président, certains à L’Elysée souhaitent partir,  d’autres ont été éliminés par le suffrage universel.

 Macron va s’efforcer de trouver une combinaison plus ou moins machiavélique pour donner l’illusion du rassemblement national. Le problème c’est que cette tentative va se heurter à la posture égocentrique de l’intéressé .

 Si les concessions ne suffisent pas Macron pourra aussi se résoudre totalement à l’immobilisme du moment qu’ il peut donner l’illusion de conserver le pouvoir pour inscrire son nom dans l’histoire. Mais le problème de Macron est insoluble car il est détesté par environ 70 % de la population. Certes juridiquement il a été élu président mais c’est surtout Marine Le Pen qui a été rejetée pour la seconde fois lors des élections Présidentielles. Une nouvelle fois donc Macron a été élu par défaut mais sa  relation avec l’opinion est toujours aussi détestable. Le moment venu, inévitablement la question de sa démission se posera.

Adhésion à l’Otan: Zelensky prêt à un compromis

Adhésion à l’Otan: Zelensky prêt à un compromis

 

«S’agissant de l’Otan, j’ai tempéré ma position sur cette question il y a déjà un certain temps, lorsque nous avons compris» que «l’Otan n’était pas prête à accepter l’Ukraine», a  déclaré le président ukrainien dans cette interview diffusée lundi soir. «L’Alliance a peur de tout ce qui est controversé, et d’une confrontation avec la Russie», a-t-il déploré. Il a ajouté ne pas vouloir être le président d’un «pays qui implore à genoux» pour une telle adhésion.

Le président Poutine a aussi reconnu peu avant d’engager son invasion deux «républiques» séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine en guerre depuis 2014 avec les forces de Kiev. Il réclame maintenant que leur indépendance soit aussi reconnue par l’Ukraine.

Interrogé sur cette exigence russe, le président Zelensky s’est dit sur ABC ouvert au dialogue. «Je parle de garanties de sécurité. Je pense que s’agissant de ces territoires temporairement occupés», «qui n’ont été reconnus que par la Russie», «nous pouvons discuter et trouver un compromis sur l’avenir de ces territoires», a-t-il expliqué.

1234



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol