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Antisémitisme–Un moldave proche de la Russie commanditaire présumé des étoiles de David à Paris

Antisémitisme–Un moldave proche de la Russie commanditaire présumé des étoiles de David à Paris


Le 27 octobre, un couple composé d’un homme et d’une femme moldaves en situation irrégulière avait été interpellé, en flagrant délit, dans le 10e arrondissement de Paris. En garde à vue, ils ont expliqué avoir été rémunéré et avoir agi à la demande d’un tiers. Le commanditaire présumé des étoiles de David bleues taguées à Paris et en région parisienne fin octobre a été identifié par les enquêteurs. Il s’agi est un homme d’affaires moldave du nom d’Anatoli Prizenko, qui avait pour seul but d’inspirer et de « soutenir » les juifs d’Europe, selon les justifications qu’il a avancées à BFMTV.

Mais L’enquête a été confiée à un juge d’instruction. « Il y a beaucoup d’éléments troublants dans ce dossier qui ramènent vers la piste d’un tiers extérieur, en lien avec des intérêts russes »

Selon Anatoli Prizenko, il n’y avait « que deux » taggueurs, payés. « La somme n’était pas très élevée, a-t-il ajouté. Toutes les informations du financement vont être données pendant notre conférence de presse. Il n’y a aucun secret, ce n’est vraiment pas une très grosse somme. »

D’autres auteurs sont encore recherchés, puisqu’une soixantaine d’étoiles ont été découvertes le 31 octobre dans le 14e arrondissement de Paris, ainsi que d’autres en Île-de-France, à Saint-Denis et Saint-Ouen notamment, sur des murs de lieux de vie ou de bâtiments professionnels de la communauté juive, mais aussi sur d’autres bâtiments n’ayant aucun lien avec la religion.

Toutes ces étoiles ont été faites dans la nuit du 30 au 31 octobre, et il apparaît « qu’une même équipe a pu faire ces différents marquages au cours d’un seul périple », a indiqué le parquet de Paris à BFMTV. Un deuxième couple ayant opéré cette nuit-là en Seine-Saint-Denis et dans les Hauts-de-Seine a été identifié, et ce en présence d’une troisième personne qui a photographié ces dégradations. Ce deuxième couple a quitté le territoire français.

Un moldave proche de la Russie commanditaire présumé des étoiles de David à Paris

Un moldave proche de la Russie commanditaire présumé des étoiles de David à Paris


Le 27 octobre, un couple composé d’un homme et d’une femme moldaves en situation irrégulière avait été interpellé, en flagrant délit, dans le 10e arrondissement de Paris. En garde à vue, ils ont expliqué avoir été rémunéré et avoir agi à la demande d’un tiers. Le commanditaire présumé des étoiles de David bleues taguées à Paris et en région parisienne fin octobre a été identifié par les enquêteurs. Il s’agi est un homme d’affaires moldave du nom d’Anatoli Prizenko, qui avait pour seul but d’inspirer et de « soutenir » les juifs d’Europe, selon les justifications qu’il a avancées à BFMTV.

Mais L’enquête a été confiée à un juge d’instruction. « Il y a beaucoup d’éléments troublants dans ce dossier qui ramènent vers la piste d’un tiers extérieur, en lien avec des intérêts russes »

Selon Anatoli Prizenko, il n’y avait « que deux » taggueurs, payés. « La somme n’était pas très élevée, a-t-il ajouté. Toutes les informations du financement vont être données pendant notre conférence de presse. Il n’y a aucun secret, ce n’est vraiment pas une très grosse somme. »

D’autres auteurs sont encore recherchés, puisqu’une soixantaine d’étoiles ont été découvertes le 31 octobre dans le 14e arrondissement de Paris, ainsi que d’autres en Île-de-France, à Saint-Denis et Saint-Ouen notamment, sur des murs de lieux de vie ou de bâtiments professionnels de la communauté juive, mais aussi sur d’autres bâtiments n’ayant aucun lien avec la religion.

Toutes ces étoiles ont été faites dans la nuit du 30 au 31 octobre, et il apparaît « qu’une même équipe a pu faire ces différents marquages au cours d’un seul périple », a indiqué le parquet de Paris à BFMTV. Un deuxième couple ayant opéré cette nuit-là en Seine-Saint-Denis et dans les Hauts-de-Seine a été identifié, et ce en présence d’une troisième personne qui a photographié ces dégradations. Ce deuxième couple a quitté le territoire français.

Fresnes : deux smartphones chez un terroriste présumé

Fresnes : deux smartphones chez un terroriste présumé

 

La preuve sans doute que la crise des prisons est loin d’être résolue en particulier à Fresnes la plus vieille et la plus grande prison française. On a en effet découvert des smartphones dans la cellule d’un homme en détention provisoire dans le dossier d’une tentative d’attentat avortée l’automne dernier à Paris. ;  Le détenu a pu communiquer avec l’extérieur entre les 12 décembre et 6 février derniers, notamment en postant des messages sur Facebook. Rappelons que très récemment Macron a visité cette prion mais sans la presse ! Curieux d’annoncer une visite du président de la république à la prison de Fresnes mais  hors la présence de la presse. Peut-être pas aussi étonnant que cela car la plus vieille et la plus grande prison de France est dans un état lamentable avec un taux d’occupation de 200 %. Une prison (en service en 1898 et qui n’a guère changé depuis) qui ressemble à une vieille usine du XIXe siècle où les conditions d’hygiène et de sécurité sont particulièrement douteuses. En plus,  avec un mélange de toutes les catégories de détenus. Dans cette prison comme dans d’autres, les personnels pénitentiaires ont des raisons objectives pour protester contre leurs conditions de travail. Macron  aurait pu se rendre en toute discrétion dans l’établissement pénitentiaire mais il n’a pu s’empêcher d’annoncer sa visite à l’avance pour montrer tout l’intérêt qu’il porte à la problématique de détention et au personnel chargé de l’assurer. Mais en évitant que la presse et les caméras en particulier ne rendent compte de l’état de vétusté de l’établissement pénitentiaire et de l’impossibilité pour le personnel d’assurer les meilleures conditions de sécurité et encore moins leur rôle et pédagogique  pour la réinsertion des détenus. À Fresnes, où le Contrôleur général des lieux de privation de liberté a constaté «des violations graves des droits fondamentaux» et «des conditions de vie indignes», le président «souhaite mieux appréhender toutes les problématiques du milieu carcéral», a expliqué l’Élysée. Cette visite n’avait toutefois pas été inscrite à l’agenda officiel du chef de l’État qui a  souhaité visiter la prison sans la presse !

 




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