Archive pour le Tag 'presque'

Sécurité sociale : un nouveau déficit de presque 20 milliards en 2024

Sécurité sociale : un nouveau déficit de presque 20 milliards en 2024

 

Alors qu’on cherche désespérément 20 milliards d’économies et 40 milliards de nouvelles fiscalités pour le budget 2025, la sécurité sociale apporte d’ores et déjà sa contribution négative pour 2024 avec un déficit qui va approcher les 18 milliards. Bref de quoi ternir encore un peu plus la situation déjà catastrophique du pays. Ce qui n’empêche nullement par exemple la nouvelle gauche populaire (NF P) de proposer un programme de dépenses de 50 milliards supplémentaires pour le budget 2025 ! Des propositions tellement hors-sol qu’elles ont été à peine évoquées dans les grands médias.

Le déficit de la Sécurité sociale atteindra 18 milliards en 2024, selon plusieurs sources ayant eu connaissance du projet de budget de la sécurité sociale (PLFSS 2025). Cette nouvelle estimation assombrit encore celle publiée en mai par la Commission des comptes de la Sécurité sociale, qui avait déjà tiré la sonnette d’alarme en tablant sur un déficit 2024 de 16,6 milliards, contre 10,5 milliards initialement programmés dans le budget adopté l’année dernière par le Parlement.

Par ailleurs, pour 2025, le gouvernement prévoit un déficit de 15,7 milliards d’euros, selon un avant-projet de PLFSS publié par le média Contexte, mercredi en début d’après-midi. En 2024, le dérapage du déficit de la Sécurité sociale est tiré par celui de la branche maladie, qui approcherait cette année les 14,6 milliards, contre 11,4 anticipés au printemps. Pour 2025, le gouvernement prévoit diverses mesures d’économies pour redresser la barre, atteignant 15 milliards d’euros.

 

Prix et Grande consommation : inflation presque bloquée mais maintien des prix à haut niveau

Prix et  Grande consommation : inflation presque bloquée mais maintien des prix à haut niveau

 

 

Certes l’inflation des prix des produits de grande consommation en rayons est quasiment revenue à zéro sur un an, selon les dernières données analysées par le panéliste Circana et s’affiche à +0,5% entre avril 2023 et avril 2024, soit une forte diminution par rapport à mars 2024 (+2,6%). Reste que les prix globalement continue de légèrement augmenter en moyenne et surtout que ces prix demeurent à un très haut niveau.

Ce chiffre de +0,5% ne signifie pas que les prix de tous les produits ont arrêté de grimper. Circana parle d’un «équilibre» entre des produits dont les prix baissent et d’autres dont les étiquettes gonflent encore. Car on retrouve des prix encore en progression au rayon liquides (+1,7%) et épicerie (+1,1%). Dans le détail, les produits les plus inflationnistes en avril sur un an sont les fromages à la coupe (+11,9%), les purées de pommes de terre déshydratées (+9,8%), les flageolets en conserve (+9,6%), les huiles (+7,8%) et le maïs en conserves (+7,8%).

À l’inverse, le rayon entretien/hygiène (DPH) est fortement déflationniste, à -2,4% sur un an.

Invité sur BFMTV/RMC fin mars, le PDG de Système U Dominique Schelcher avait déjà rapporté une telle tendance. «Il y a un rayon où il y a des baisses significatives en ce moment, ce sont les produits d’entretien. C’est la conséquence de la nouvelle loi qui a changé la règle sur les promotions dans ce rayon, qui fait qu’il y a un peu moins de promotions sur les produits d’entretien et d’hygiène, par contre les prix des produits du quotidien dans ces rayons baissent du coup, jusqu’à 5% et même plus», a indiqué le dirigeant de l’enseigne.

Ainsi, sur un an, quatre des cinq produits les plus déflationnistes font partie de ces rayons : les colorations (-7,4%), les soins du visage (-6,2%), les après shampooings et soins (-6%) et les soins du corps (-5,5%). Et au mois le mois, si l’inflation globale continue sa phase de décroissance (-0,3% sur un mois), ce sont les produits d’hygiène et d’entretien qui tirent les prix à la baisse (-1,6%). En l’espace d’un mois, les soins du visage ont ainsi vu leurs étiquettes baisser en moyenne de plus de 9%, les colorations de près de 8% et les après shampooings et shampooings d’environ 5%.

Si la (longue) parenthèse inflationniste, qui aura duré plus de deux ans, semble se refermer, les prix ne reviendront pas à leur niveau d’avant, comme l’ont assez répété les distributeurs. Et certains produits ont vu leur prix particulièrement gonfler : «par rapport à il y a un an, nous payons l’huile d’olive 25% plus chère, le jus d’orange (100% pur jus) 11% plus cher et le chocolat à pâtisser 7% plus cher», a détaillé Emily Mayer sur LinkedIn. D’autres produits ont tout de même vu leur prix baisser depuis un an, à l’image de l’huile de tournesol (-25%), des fruits surgelés (-10%), du jambon de volaille et des soins du visage (-6%).

Grande consommation : inflation presque bloquée mais maintien des prix à haut niveau

Grande consommation : inflation presque bloquée mais maintien des prix à haut niveau

 

 

Certes l’inflation des prix des produits de grande consommation en rayons est quasiment revenue à zéro sur un an, selon les dernières données analysées par le panéliste Circana et s’affiche à +0,5% entre avril 2023 et avril 2024, soit une forte diminution par rapport à mars 2024 (+2,6%). Reste que les prix globalement continue de légèrement augmenter en moyenne et surtout que ces prix demeurent à un très haut niveau.

Ce chiffre de +0,5% ne signifie pas que les prix de tous les produits ont arrêté de grimper. Circanaparle d’un «équilibre» entre des produits dont les prix baissent et d’autres dont les étiquettes gonflent encore. Car on retrouve des prix encore en progression au rayon liquides (+1,7%) et épicerie (+1,1%). Dans le détail, les produits les plus inflationnistes en avril sur un an sont les fromages à la coupe (+11,9%), les purées de pommes de terre déshydratées (+9,8%), les flageolets en conserve (+9,6%), les huiles (+7,8%) et le maïs en conserves (+7,8%).

À l’inverse, le rayon entretien/hygiène (DPH) est fortement déflationniste, à -2,4% sur un an.

Invité sur BFMTV/RMC fin mars, le PDG de Système U Dominique Schelcher avait déjà rapporté une telle tendance. «Il y a un rayon où il y a des baisses significatives en ce moment, ce sont les produits d’entretien. C’est la conséquence de la nouvelle loi qui a changé la règle sur les promotions dans ce rayon, qui fait qu’il y a un peu moins de promotions sur les produits d’entretien et d’hygiène, par contre les prix des produits du quotidien dans ces rayons baissent du coup, jusqu’à 5% et même plus», a indiqué le dirigeant de l’enseigne.

Ainsi, sur un an, quatre des cinq produits les plus déflationnistes font partie de ces rayons : les colorations (-7,4%), les soins du visage (-6,2%), les après shampooings et soins (-6%) et les soins du corps (-5,5%). Et au mois le mois, si l’inflation globale continue sa phase de décroissance (-0,3% sur un mois), ce sont les produits d’hygiène et d’entretien qui tirent les prix à la baisse (-1,6%). En l’espace d’un mois, les soins du visage ont ainsi vu leurs étiquettes baisser en moyenne de plus de 9%, les colorations de près de 8% et les après shampooings et shampooings d’environ 5%.

Si la (longue) parenthèse inflationniste, qui aura duré plus de deux ans, semble se refermer, les prix ne reviendront pas à leur niveau d’avant, comme l’ont assez répété les distributeurs. Et certains produits ont vu leur prix particulièrement gonfler : «par rapport à il y a un an, nous payons l’huile d’olive 25% plus chère, le jus d’orange (100% pur jus) 11% plus cher et le chocolat à pâtisser 7% plus cher», a détaillé Emily Mayer sur LinkedIn. D’autres produits ont tout de même vu leur prix baisser depuis un an, à l’image de l’huile de tournesol (-25%), des fruits surgelés (-10%), du jambon de volaille et des soins du visage (-6%).

 

Réchauffement climatique : la limite de 1,5°C déjà presque atteinte

Réchauffement climatique : la limite de 1,5°C déjà presque atteinte

La hausse des concentrations de CO2 dans l’atmosphère cette année s’annonce supérieure aux niveaux compatibles avec des trajectoires de réchauffement du climat respectant la limite de 1,5°C, selon une étude du service de météorologie britannique, qui s’appuie sur les relevés d’une station de référence à Hawaï.

L’accord de Paris de 2015 a pour ambition de maintenir l’augmentation de la température moyenne mondiale bien en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre les efforts pour limiter l’augmentation de la température à 1,5°C. Mais cette limite la plus ambitieuse – qui se comprend comme une moyenne de température sur au moins 20 ans – est considérée comme de plus en plus difficile à conserver par les experts. «La hausse estimée des concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone pour cette année est bien au-dessus des trois scénarios compatibles avec la limite de 1,5°C soulignés dans le rapport du Giec», a résumé Richard Betts, chercheur au Met Office.

Le climat actuel marque déjà un réchauffement d’environ 1,2°C ou 1,3°C par rapport à 1850-1900. Et au rythme actuel d’émissions, le Giec prévoit que le seuil de 1,5°C a une chance sur deux d’être atteint en moyenne dès les années 2030-2035. «Pour conserver le réchauffement sous 1,5°C, l’accumulation du CO2 devra ralentir substantiellement ces prochaines années et s’arrêter d’ici le milieu du siècle. Mais la prévision pour 2024 ne témoigne pas d’un tel ralentissement», a mis en garde Richard Betts.

Climat: la limite de 1,5°C déjà presque atteinte

Climat: la limite de 1,5°C déjà presque atteinte

La hausse des concentrations de CO2 dans l’atmosphère cette année s’annonce supérieure aux niveaux compatibles avec des trajectoires de réchauffement du climat respectant la limite de 1,5°C, selon une étude du service de météorologie britannique, qui s’appuie sur les relevés d’une station de référence à Hawaï.

L’accord de Paris de 2015 a pour ambition de maintenir l’augmentation de la température moyenne mondiale bien en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et de poursuivre les efforts pour limiter l’augmentation de la température à 1,5°C. Mais cette limite la plus ambitieuse – qui se comprend comme une moyenne de température sur au moins 20 ans – est considérée comme de plus en plus difficile à conserver par les experts. «La hausse estimée des concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone pour cette année est bien au-dessus des trois scénarios compatibles avec la limite de 1,5°C soulignés dans le rapport du Giec», a résumé Richard Betts, chercheur au Met Office.

Le climat actuel marque déjà un réchauffement d’environ 1,2°C ou 1,3°C par rapport à 1850-1900. Et au rythme actuel d’émissions, le Giec prévoit que le seuil de 1,5°C a une chance sur deux d’être atteint en moyenne dès les années 2030-2035. «Pour conserver le réchauffement sous 1,5°C, l’accumulation du CO2 devra ralentir substantiellement ces prochaines années et s’arrêter d’ici le milieu du siècle. Mais la prévision pour 2024 ne témoigne pas d’un tel ralentissement», a mis en garde Richard Betts.

Marseille Chicago : presque 100 épisodes de violence meurtrière

Marseille Chicago : presque 100 épisodes de violence meurtrière

Marseille ressemble de plus en plus à Chicago avec presque 100 épisodes de violence meurtrière depuis le début de l’année et presque 50 victimes. Encore évidemment un règlement de comptes avec des tirs de kalachnikov sur fond de trafic de drogue. Le plus grave c’est que les violences depuis quelque temps semblent être le fait de mafias spécialisées dans le règlement de comptes.

Une femme et un homme ont été tués par balles, samedi soir, dans les quartiers nord. Les règlements de comptes sur fond de trafic de drogue ont fait 48 victimes en 2023.

Samedi soir, à Marseille, cinq jeunes âgés de 19 à 29 ans, venus des environs de Toulon, ont été victimes d’un règlement de comptes d’une extrême violence. Vers 22 h 40, sur le parking d’un fast-food des quartiers nord, dans le 16e arrondissement, ils ont été « rafalés » par des tirs de kalachnikov, alors qu’ils étaient tous les cinq à l’intérieur de leur véhicule. Les policiers de la police technique et scientifique, qui ont travaillé durant toute la nuit sur la scène de crime, ont retrouvé sur place une vingtaine de douilles de calibre 7.62.

L
Le conducteur, directement visé par un déluge de tirs, est décédé quasiment sur le coup. Il avait 22 ans. La personne située sur le siège avant, décédée elle aussi, en avait 25. Quant aux trois passagers arrière, le plus âgé – 29 ans – a reçu des balles au thorax, et son pronostic vital est toujours engagé alors que les deux autres, un jeune homme et une jeune femme de 19 ans, ont été plus légèrement blessés.

Premier constat : les trois hommes sont tous « défavorablement connus de la justice » pour des faits de violence en lien avec le trafic de stupéfiants dans la région de Toulon, indiquait dimanche le procureur de Marseille, Nicolas Bessone, lors d’une conférence de presse. Les deux jeunes femmes, dont celle qui a trouvé la mort, sont en revanche inconnues des services.

Au regard du mode opératoire et du profil des victimes, il ne fait guère de doute, selon le nouveau procureur de Marseille, qu’il s’agisse d’un nouveau « narchomicide ».
Le macabre compteur des morts à Marseille dans des fusillades monte désormais à 48, sans compter les 113 blessés. Des chiffres qui donnent le vertige – en 2022, ils étaient 31 sur toute l’année – dans un contexte de guerre de clans entre trafiquants à la violence décomplexée, qui n’hésitent pas à recourir à des équipes ultraréactives pour mener à bien leurs missions mortelles.

Aviation Chine : Lancement du C919, copie conforme ou presque de l’Airbus 320…. construit en Chine !

Aviation Chine : Lancement du C919, copie conforme ou presque de l’Airbus 320…. construit en Chine !

Le C919 va rivaliser avec les avions étrangers comme le Boeing 737 MAX et l’Airbus A320. Une concurrence qui n’est pas étonnante puisque l’Airbus 320 est aussi largement construit en Chine.

En avril, Airbus a d’ailleurs annoncé son intention de doubler ses capacités de production en Chine. Un accord a également été signé pour la construction d’une deuxième chaîne d’assemblage à Tianjin, dans le nord-est du pays, dédiée à l’A320. Le premier site d’assemblage de Tianjin, ouvert en 2008, produit actuellement quatre A320 par mois, mais Airbus espère augmenter cette cadence à six par mois d’ici la fin de l’année 2023.

La mise en service du C919 sur les vols réguliers entre Shanghai et Chengdu est une étape significative pour China Eastern Airlines. Cela témoigne de l’engagement de la Chine à développer son industrie aéronautique et à devenir un acteur majeur sur la scène mondiale.

Sécheresse : Les niveaux d’eau « presque » reconstitués

Sécheresse : Les niveaux d’eau presque reconstitués ?

« Le niveau des rivières est relativement élevé » cet hiver 2023, estime l’hydrologue Vazken Andreassian mais « il y a encore quelques points noirs ».

« On est dans un hiver normal avec des sols normalement réalimentés », explique mercredi 24 janvier sur franceinfo Vazken Andreassian, hydrologue à l’Institut national pour la recherche en agriculture, alimentation et environnement (Inrae) après la présentation du plan anti-sécheresse par le gouvernement sur la qualité, la quantité d’eau et la gestion de crise après un été caniculaire.

Une affirmation peut-être un peu rapide car dans nombre de régions les fossés sont loin de déborder et il y a encore un déficit des nappes phréatiques NDLR

En ce milieu d’hiver, quel est l’état des sols et des nappes phréatiques ?
Vazken Andreassian : On est dans un hiver normal avec des sols normalement réalimentés. Il y a encore quelques points noirs avec des rivières dont le niveau reste très bas parce que la sécheresse s’est prolongée pendant ce début d’hiver. Par exemple, dans les Pyrénées-Orientales, il y a trois fleuves qui coulent vers la Méditerranée et il n’y a vraiment pas d’eau dans ces trois rivières. Pour le reste, le niveau des rivières est relativement élevé. Les barrages, réservoirs, qui alimentent Paris en eau se remplissent normalement. On a presque oublié la sécheresse. Je dis bien presque.

Il va falloir prévoir les autres ?
Ce que dit le ministre, c’est qu’il faut les prévoir, oui. Il faut se mettre dans une perspective d’un climat qui évolue. L’événement qu’on a connu l’été dernier n’était pas exceptionnel puisqu’il s’était déjà produit en 1976 mais il pourrait devenir plus fréquent et dans ce cas-là, il faut commencer dès maintenant à se préparer pour anticiper.

réutilisation des eaux usées, c’est le futur ?
C’est une très bonne idée. Ça pose des problèmes bactériologiques donc il faut suivre mais c’est une bonne idée. On y croit beaucoup à l’Inrae mais je ne pense pas que ça va suffire parce que si on a une évolution du climat, avec plus de pluie en hiver et moins en été, ça va poser un problème pour l’agriculture que l’on qualifiait de pluviale, c’est-à-dire qui pouvait se satisfaire de ce que la pluie lui apportait. Alors oui, il faut adapter l’agriculture mais on ne peut pas tout adapter dans l’agriculture parce que dans ce cas-là ça veut dire accepter de moins manger.
« On est à présent huit milliards sur terre et on doit se nourrir. La planète a besoin d’un développement de l’irrigation. Ça ne veut pas dire qu’il faut faire n’importe quoi mais je ne suis pas sûr qu’on pourra éviter à l’avenir de construire un petit nombre de grands barrages, de réservoirs, comme ceux qu’on a construits dans les années 1960-1970. »

Croissance aussi presque nulle au second trimestre (Banque de France)

Croissance aussi presque nulle au second trimestre (banque de France)

La Banque de France a estimé mercredi que l’économie française devrait croître encore à un rythme modéré, de 0,2%, au deuxième trimestre après environ 0.25% au premier. Lundi, l’Insee avait publié une prévision de croissance de 0,25% pour le deuxième trimestre, après la stagnation du produit intérieur brut (PIB) enregistrée au premier, signe du net ralentissement de l’activité économique après la forte reprise de 2021.Bref des différences infimes mais qui confirme qu’on est loin des prévisions de 4 % de croissance  retenus par le gouvernement alors que l’inflation flambe et devrait atteindre autour de 5 % fins 2022

Macron: une «Lettre aux Français» très banale, Intemporelle et presque bâclée

Macron: une «Lettre aux Français» très banale, Intemporelle et presque bâclée

Macron a déclaré sa candidature par une lettre français au demeurant très banale qui survole les préoccupations les plus importantes des Français et s’appuie sur des considérations très générales un peu intemporelles et trop générales.Rien sur des enjeux essentiels comme la compétitivité, la dérive des déficits et des dettes, la question des retraites, le financement de la dépendance et rien sur la réforme de l’État.

« Depuis cinq ans, nous avons traversé ensemble nombre d’épreuves. Terrorisme, pandémie, retour de la violence, guerre en Europe : rarement, la France avait été confrontée à une telle accumulation de crises. Nous avons fait face avec dignité et fraternité.

Nous avons tenu bon sans jamais renoncer à agir. Grâce aux réformes menées, notre industrie a pour la première fois recréé des emplois et le chômage a atteint son plus bas niveau depuis quinze ans. Grâce au travail de tous, nous avons pu investir dans nos hôpitaux et notre recherche, renforcer nos armées, recruter policiers, gendarmes, magistrats et enseignants, réduire notre dépendance aux énergies fossiles, continuer à moderniser notre agriculture. Grâce à nos efforts, nous avons, avant la pandémie, réduit nos déficits et, tout au long du quinquennat, baissé les impôts de manière inédite. Tout cela nous a permis d’être crédibles et de convaincre nos principaux voisins de commencer à bâtir une Europe-puissance, capable de se défendre et de peser sur le cours de l’Histoire.

Nous n’avons pas tout réussi. Il est des choix qu’avec l’expérience acquise auprès de vous je ferais sans doute différemment. Mais les transformations engagées durant ce mandat ont permis à nombre de nos compatriotes de vivre mieux, à la France de gagner en indépendance. Et les crises que nous traversons depuis deux ans montrent que c’est bien ce chemin qui doit être poursuivi.

Nous connaissons des bouleversements d’une rapidité inouïe : menace sur nos démocraties, montée des inégalités, changement climatique, transition démographique, transformations technologiques. Ne nous trompons pas : nous ne répondrons pas à ces défis en choisissant le repli ou en cultivant la nostalgie. C’est en regardant avec humilité et lucidité le présent, en ne cédant rien de l’audace, de la volonté et de notre goût de l’avenir que nous réussirons. L’enjeu est de bâtir la France de nos enfants, pas de ressasser la France de notre enfance.

Voilà pourquoi je sollicite votre confiance pour un nouveau mandat de Président de la République. Je suis candidat pour inventer avec vous, face aux défis du siècle, une réponse française et européenne singulière. Je suis candidat pour défendre nos valeurs que les dérèglements du monde menacent. Je suis candidat pour continuer de préparer l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants. Pour nous permettre aujourd’hui comme demain de décider pour nous-mêmes.

Il n’y a pas d’indépendance sans force économique. Il nous faudra donc travailler plus et poursuivre la baisse des impôts pesant sur le travail et la production. Pour ne pas nous laisser imposer par d’autres les technologies qui rythmeront demain notre quotidien, il nous faudra aussi continuer d’investir dans notre innovation et notre recherche afin de placer la France en tête dans les secteurs qui, comme les énergies renouvelables, le nucléaire, les batteries, l’agriculture, le numérique, ou le spatial feront le futur et nous permettront de devenir une grande Nation écologique, celle qui la première sera sortie de la dépendance au gaz, au pétrole et au charbon.

C’est à la condition de cette reconquête productive par le travail que nous pourrons préserver et même améliorer ce modèle social auquel nous tenons tant et qui a fait ses preuves.

Nous lutterons contre les inégalités, non pas tant en cherchant à les corriger toujours trop tard qu’en nous y attaquant à la racine. Nous ferons en sorte que tous les enfants de France aient les mêmes chances, que la méritocratie républicaine redevienne une promesse pour chacun. Pour cela, la priorité sera donnée à l’école et à nos enseignants, qui seront plus libres, plus respectés et mieux rémunérés.

Nous investirons pour permettre à chacun de vivre le grand âge à domicile tant qu’il le peut, pour rendre les maisons de retraite plus humaines. Nous poursuivrons sans relâche notre travail pour l’inclusion de nos compatriotes en situation de handicap. En matière de santé, nous opérerons la révolution de la prévention et ferons reculer les déserts médicaux.

La force de notre modèle social est là : dans cet investissement dans l’humain tout au long de la vie, qui donne confiance aux familles et a fait de la France l’un des pays d’Europe à la plus forte natalité.

Défendre notre singularité française implique enfin de promouvoir une certaine manière d’être au monde. Un art de vivre millénaire, enraciné dans chaque région, chaque canton, chaque ville et chaque village que ce soit en métropole ou dans nos outre-mer. Une histoire, une langue, une culture que lorsque l’on est Français, on se doit de connaître, d’aimer, de partager. Une citoyenneté, qui ne repose pas seulement sur des droits, mais sur des devoirs et un engagement de chaque jour. Parce que le respect des lois n’est pas négociable, nous poursuivrons l’investissement dans nos forces de sécurité et notre justice. Nous encouragerons l’engagement avec une ambition simple : former non pas seulement des individus et des consommateurs, mais des citoyens. Faire des républicains.

Tout au long de mon mandat, j’ai vu partout un esprit de résistance à toute épreuve, une volonté d’engagement remarquable, une inlassable envie de bâtir. Je l’ai retrouvée dans notre pays mais aussi en allant à la rencontre de nos compatriotes vivant à l’étranger. En chaque lieu, j’ai perçu le désir de prendre part à cette belle et grande aventure collective qui s’appelle la France.

C’est pourquoi le moment électoral qui s’ouvre est si important. Cette élection présidentielle déterminera les directions que le pays se donne à lui-même pour les cinq années à venir et bien au-delà. Bien sûr, je ne pourrai pas mener campagne comme je l’aurais souhaité en raison du contexte. Mais avec clarté et engagement j’expliquerai notre projet, notre volonté de continuer à faire avancer notre pays avec chacun d’entre vous.

Ensemble, nous pouvons faire de ces temps de crises le point de départ d’une nouvelle époque française et européenne.

Avec vous. Pour vous. Pour nous tous.

Vive la République !

Vive la France ! »

 

Emmanuel Macron

 

Ukraine : L’Onu condamne la Russie presque unanimement

Ukraine : L’Onu condamne la Russie presque unanimement

 

Seuls 4 pays marginaux à la botte  de la Russie n’ont pas voté la condamnation de la Russie à l’ONU (Russie évidemment, Biélorussie, Corée du Nord, Érythrée et Syrie). Même la Chine s’est abstenue manifestant ainsi implicitement son désaccord avec la guerre en Ukraine. La Chine qui a d’ailleurs demandée que la guerre soit reportée après les JO en cours !. » Le vote a été approuvé massivement par 141 pays, 5 s’y opposant, et 35 s’abstenant dont la Chine, sur les 193 membres que compte l’organisation.

Initié par l’Union européenne en coordination avec l’Ukraine, le texte, qui bénéficiait d’une centaine de co-parrainages, « déplore » également « dans les termes les plus vifs l’agression de la Russie contre l’Ukraine » et affirme « son attachement à la souveraineté, l’indépendance, l’unité et l’intégrité territoriale » de ce pays, y compris de « ses eaux territoriales ».

L’onu comdamne la Russie presque unanimement

L’Onu condamne la Russie presque unanimement

 

Seuls 4 pays marginaux à la mode de la Russie n’ont pas voté la condamnation de la Russie à l’ONU (Russie évidemment, Biélorussie, Corée du Nord, Érythrée et Syrie). Même la Chine s’est abstenue manifestant ainsi implicitement son désaccord avec la guerre en Ukraine. La Chine qui est d’ailleurs demandée que la guerre soit reportée après les JO en cours !. » Le vote a été approuvé massivement par 141 pays, 5 s’y opposant, et 35 s’abstenant dont la Chine, sur les 193 membres que compte l’organisation.

Initié par l’Union européenne en coordination avec l’Ukraine, le texte, qui bénéficiait d’une centaine de co-parrainages, « déplore » également « dans les termes les plus vifs l’agression de la Russie contre l’Ukraine » et affirme « son attachement à la souveraineté, l’indépendance, l’unité et l’intégrité territoriale » de ce pays, y compris de « ses eaux territoriales ».

Covid: Le variant omicron presque hégémonique

  • Covid: Le variant omicron presque hégémonique
  • Le variant omicron occupe désormais une place hégémonique en Europe et en France. Le variant Omicron est à l’origine de la plupart des nouvelles infections (95% des tests positifs) et la majorité des hospitalisations (73% des entrées hospitalières et 54% des admissions en soins critiques), selon un nouveau rapport de la Drees.
  • Parmi les personnes testées positives, la probabilité d’être hospitalisé avec Omicron est plus faible qu’avec Delta, notamment pour les personnes âgées entre 40 ans et 80 ans. Et toujours selon la Drees, c’est surtout le risque d’aller en soins critiques qui est particulièrement réduit avec Omicron par rapport à Delta, ce pour tous les statuts vaccinaux.
  • Le vaccin, et plus particulièrement la dose de rappel, sont efficaces pour lutter contre les hospitalisations après infection par Omicron, même si l’efficacité est réduite par rapport au variant Delta.
  • Le problème en France c’est que actuellement la France n’est pas en capacité capacité de distinguer par séquençage significatif le variant omicron première version ( BA1) du nouveau variant deuxième version omicron (BA2). Et a fortiori d’évaluer l’efficacité des vaccins et de leur rappel pour chaque type de virus évoqué . Il est dans particulièrement prématuré de considérer la nouvelle version d’Omicron comme une sorte de rhume presque classique. Témoin le nombre d’hospitalisations toujours très importants même si la tendance à légèrement se tasser.

 

MESSI AU PSG: c’est presque fait

MESSI AU PSG: c’est presque fait

L’arrivée de Messi à Paris est presque bouclée. Et le meilleur footballeur mondial pourrait faire sa rentrée lors du match Reims-PSG, programmé dimanche 29 août pour la 4e journée du championnat où le match suivant contre Clermont au Parc des Princes. Ils devraient ensuite participer à la première journée de la phase de poules de Ligue des champions, fixée au 14-15 septembre, soit quelques jours avant le choc face à l’Olympique Lyonnais en championnat le 19 septembre.

Foot Euro: couvre-feu maintenu …presque

  • Foot Euro: couvre-feu maintenu …presque 

Officiellement il n’y aura pas de dérogation au couvre-feu en France qui permettrait à des supporters de suivre le match dans son établissement recevant du public  (café par exemple). Par contre, le ministre de l’intérieur a indiqué pour ce qui le concerne qu’il y aurait une certaine bienveillance pour les matchs concernant la France.

L’horaire du couvre-feu reste fixé à 23 heures », a toutefois précisé Beauvau à BFMTV. Et d’ajouter: « La mansuétude ne s’appliquera que pour permettre de rentrer à son domicile à l’issue du match. Elle ne saurait être un prétexte pour pouvoir prolonger la soirée dans des bars, restaurants ou sur la voie publique ».

Par ailleurs selon un autre ministère ,  le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, «seules des fans zones avec des spectateurs assis peuvent être mises en place jusqu’au 29 juin, dans le respect de la jauge et des mesures sanitaires prescrites »

 

Conclusion couvre-feu doit être respectée sauf quand on peut y déroger 

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