Archive pour le Tag 'présidents'

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Rémunération des conférences des anciens présidents : une honte démocratique

Rémunération des conférences des anciens présidents : une honte démocratique

Des anciens présidents qui se font rémunérer à chaque conférence entre 100 000 et 400 1000 $ : un véritable scandale démocratique. Cela démontre à l’évidence les liens qu’entretiennent ces anciens dirigeants avec l’argent. Pourtant ces anciens présidents ne sont pas sans ressources. En général, on leur a même attribué de confortables retraites voir même une logistique coûteuse et cela durant toute leur vie. Même François Hollande qui avait dénoncé ce procédé tombe dans le piège de la cupidité. En effet,  lui aussi touche de l’ordre  100 000 € par conférence. Il avait pourtant promis de refuser d’être payé. Pour s’excuser il affirme que cette rémunération est reversée à sa fondation. Reste à savoir si ce n’est pas pour des motifs fiscaux ! Le pire de cette affaire c’est que souvent la présence d’un ancien chef d’État lors d’une conférence n’apporte pas réellement de plus-value. On se sert d’un nom, d’une fonction pour attirer les gogos souvent très fortunés contents de se pavaner avec une ancienne vedette politique . On peut comprendre qu’à la limite le conférencier soit indemnisé pour ses frais de déplacement mais cette rémunaration  est particulièrement honteuse et même minable

La fin des privilèges pour les présidents de l’Assemblée nationale ?

La fin des privilèges pour les présidents de l’Assemblée nationale ?

 

Une fin des privilèges qui fait ruer dans les brancards. Une voiture avec chauffeur, un collaborateur et un bureau au Palais-Bourbon : ce sont les avantages dont bénéficient pendant dix ans les anciens présidents de l’Assemblée nationale. Sont actuellement concernés Bernard Accoyer (2007-2012) et Claude Bartolone (2012-2017). Patrick Ollier, éphémère président de trois mois en 2007, a rendu voiture et bureau en juin. Mais l’actuel occupant du perchoir, François de Rugy (LREM), risque fort d’en être privé à la fin de son mandat. Les trois questeurs de l’Assemblée nationale, les deux députés LREM Florian Bachelier et Laurianne Rossi ainsi que la figure des Constructifs Thierry Solère veulent mettre fin à ces privilèges à compter du 1er janvier. « Est-ce qu’il est légitime que des anciens présidents ou des députés honoraires conservent ce type d’avantages? Tout ça n’a pas de sens et doit être toiletté », souligne Thierry Solère. Économie attendue pour le budget du Parlement : 330.000 euros par an. Mais la proposition fait grincer pas mal de dents : « Beaucoup l’ont appris dans la presse, notamment les anciens présidents », peste un pilier. François de Rugy a également été placé devant le fait – presque – accompli.

 

Avec Trump, l’ère des présidents fous

Avec Trump, l’ère des présidents fous

 

Avec Trump, on peut se demander si nous n’entrons pas dans l’ère des présidents fous. Pas forcement des présidents idiots mais des présidents égocentriques, exhibitionnistes et provocateurs. Bref des présidents dangereux pour l’équilibre du monde ; parmi ceux-là, la il faut compter Poutine qui se croit encore à la tête des services secrets soviétiques et qui utilisent les mêmes méthodes aussi bien à l’intérieur de la Russie pour tuer toute opposition qu’à l’extérieur pour satisfaire son expansionnisme. Dans le même temps, le peuple russe complètement sous informé vit toujours dans la misère et la dépression économique. La place manque évidemment pour citer tous les présidents, on n’en compte partout en Asie avec le dangereux président de la Corée  qui affame son pays, avec Assad en Syrie qui a tué des centaines de milliers de citoyens syriens, avec Erdogan en Turquie qui conforte chaque jour son statut de dictateur. Bien d’autres encore un peu partout dans toutes les régions du monde. En Europe y compris avec récemment Berlusconi, dans certains pays de l’Est. D’une certaine façon aussi en France avec Sarkozy et Hollande qui eux aussi ont tout dit et le contraire sans parler de leurs frasques. En cause sans doute un environnement économique, social et sociétal complexe particulièrement anxiogène. L’environnement qui fait émerger une demande d’homme miracle qui résoudra d’un coup de baguette magique tous les problèmes et fera disparaître tous les fantasmes toutes les peurs. Forcément les suffrages se portent sur les plus démagogiques, les plus populistes, les plus extravagants qui promettent le changement de manière brutale en renversant les tables. Heureusement nombre de pays résistent  à cette  de vagues de marchands d’illusions mais la tendance est inquiétante. À l’origine de la montée en puissance des déments de la politique : une incapacité des peuples à saisir la nature des transformations structurelles. Pas étonnant le monde a évolué en quelques dizaines d’années bien davantage que pendant des siècles et des millénaires avec des progrès scientifiques extraordinaires mais aussi des dégâts humains et environnementaux. Cette complexité n’est pas davantage comprise par nombre de responsables politiques qui font l’impasse sur l’analyse et préfère promettre, toujours plus et pour tout le monde. Suprême contradiction ce sont souvent les couches populaires et moyennes victimes des inégalités qui font le plus confiance aux démagogues et même parfois livrent leur sort  aux  mains de millionnaires ou de milliardaires. Outre les catastrophes économiques et sociales à prévoir,  le risque majeur est de favoriser le retour d’une vraie guerre.

 

Le temps des présidents fous ?

Le temps des présidents fous ?

 

On peut légitimement se demander si l’environnement économique et social plein d’incertitudes n’est pas favorable à l’émergence d’une vague de présidents fous. Le plus bel exemple est sans doute celui de Poutine dont le pays est enfoncé dans une crise économique grave caractérisée par une récession, le chômage et la misère sociale. Mais un Poutine qui sait masquer ses échecs économiques par un rideau de fumée politique en interne en intervenant sur plusieurs théâtres diplomatiques et militaires, ce qui flatte le nationalisme russe. Un nationalisme russe d’autant plus facile à flatter qu’une grande partie de l’opinion est complètement sous informée puisque toute opposition a été éliminée même physiquement. L’intervention de Poutine en Syrie se révélera catastrophique pour la Russie car malheureusement rien ne peut être tiré d’une Syrie  disposant de très peu de richesses naturelles et complètement détruite. La victoire diplomatique de Poutine constitue une aventure catastrophique pour l’économie et les finances russes. Un Poutine psychologiquement dérangé qui veut restaurer la grandeur de l’ancienne Russie voire de l’URSS que le PIB de ce pays et de l’ordre de celui de l’Italie. Pour indication le salaire moyen en Russie este d’un peu plus de 400 dollars. Trump est  un autre exemple de ces présidents psychologiquement déséquilibré. Devant le désarroi des couches moyennes, il a promis tout et n’importe quoi y compris le recours à des conflits avec la Chine. Sans doute le scénario le plus dangereux pour l’équilibre et la paix dans le monde. Il faut citer aussi Cameron  et Boris Johnson en Grande-Bretagne. L’ancien Premier ministre britannique pour se faire élire a dû promettre un référendum mais  les défenseurs du oui ne savent plus quelle stratégie adopter. Le pire est sans doute Boris Johnson d’abord opposé au brexit l’un des plus fervents partisans. Des responsables qui sont pris au piège de leurs contradictions démagogiques. D’autres pays font aussi émerger des dirigeants mentalement perturbés comme dans certains pays de l’Est de l’Europe. Même des pays comme la France ou l’Allemagne voient émerger des vagues de populisme encouragé par des aventuriers politiques. En France aussi on peut parfois douter de l’intégrité mentale de certains responsables qui soutiennent notamment le nationalisme, la xénophobie et la haine. C’est responsable politiques fous surfent  évidemment sur la vague de mécontentement lié aux  évolutions structurelles économiques, technologiques voire sociétales. Pour la quasi-totalité de ces responsables le simplisme et la caricature font office de programmes puisque ce programme se réduit à désigner des boucs émissaires étrangers responsables des difficultés. Le désarroi et la peur de nombre de populations pourrait favoriser l’élection de nouveaux présidents fous au cours de la période à venir avec toutes les conséquences dramatiques possibles.

 

 

Régime sec pour les anciens présidents

Régime sec pour les anciens présidents 

 

Le populisme est à la mode dans la plupart des composants politiques du pays dans la perspective de 2017. Au plus haut sommet de l’État ont fait dans le populisme monarchique. Ainsi François Hollande en prévision de 2017 évidemment remet-t-il en cause une partie des privilèges des anciens présidents de la république. Des privilèges qui peuvent effectivement se discuter dans la mesure où les intéressés ont accumulé des fortunes de différentes manières qui leur permettent de vivre largement sans l’aide financière de l’État. On peut comprendre évidemment que les mesures de sécurité de ses anciens présidents soient prises en compte par la collectivité, pour le reste c’est plus que discutable comme le sont d’ailleurs certains petits avantages que s’octroient  par exemple ministres, députés et sénateurs. Reste que les sommes en cause pour importante qu’elle soit demeurent  marginale par rapport aux dépenses ou à l’endettement de l’État. Une mesure qui aurait été mieux comprise si elle était intervenue au tout début du mandat de François Hollande. La disposition a été publiée discrètement mercredi au Journal Officiel. Elle instaure une dégressivité des moyens accordés aux anciens présidents de la République.  »Au-delà » de ces cinq années, le nombre des « collaborateurs permanents » passe de sept à trois, celui des agents de service de deux à un, selon ce décret. Pour les anciens présidents « investis avant le 15 mai 2012″, en l’occurrence Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, ce délai de cinq années « court à compter de la date d’entrée en vigueur du présent décret ». Avant cette réforme, un ancien Président percevait une dotation annuelle de 65.000 euros, mais bénéficiait également d’un appartement de fonction, d’une voiture avec chauffeurs, a le droit à sept collaborateurs, deux personnels de maison, aux billets de trains et avions gratuits… François Hollande avait demandé fin 2013 au vice-président du Conseil d’Etat, Jean-Marc Sauvé, et à Didier Migaud, Premier président de la Cour des Comptes, d’ »évaluer les moyens » mis à disposition par l’Etat pour les anciens présidents de la République en proposant des « évolutions ». Ce rapport, dévoilé par Mediapart le 20 septembre, chiffre les dépenses engagées à 10,3 millions d’euros annuels, dont l’essentiel (6,8 millions) pour les dépenses de protection.

(Avec agences)

Sarkozy et Hollande aussi mauvais » présidents

Sarkozy et Hollande aussi mauvais » présidents

Deux Français sur trois jugent que François Hollande et son prédécesseur Nicolas Sarkozy ont été globalement des présidents de la République « aussi mauvais » l’un que l’autre, selon un sondage Odoxa pour France 2. Près de 62% renvoient les deux hommes dos à dos, jugeant qu’ils ont été tous les deux « aussi mauvais » à l’Elysée, 25% pensent que Nicolas Sarkozy a été meilleur président et 12% que c’est le chef de l’Etat sortant qui l’a été. Les Français ne sont d’ailleurs que, respectivement, 33% et 27% à souhaiter que Nicolas Sarkozy et François Hollande jouent à l’avenir un rôle aussi important qu’aujourd’hui voire plus important. Ils sont très nettement distancés par Alain Juppé (68%) et Marine Le Pen (50%). 72% des Français veulent carrément que François Hollande se retire de la vie politique, un chiffre comparable à celui pour son prédécesseur (66%), et qui atteint 49% pour Marine Le Pen, 31% pour Alain Juppé.

Supprimer les avantages des anciens présidents (Lemaire)

Supprimer  les  avantages des anciens présidents (Lemaire)

 

Les présidents français coûtent trop cher estime Bruno Lemaire. On ne peut qu’être d’accord avec lui. Il coûte surtout cher du fait de leur gestion calamiteuse depuis une quarantaine d’années quand à commencé la spirale de l’endettement ( 2000 milliards en 2016). Ils coûtent  cher ensuite par le train de vie généreusement accordé par l’État.  Le coût des anciens présidents de la République est estimé à 10,3 millions d’euros par an par la Cour des comptes et le Conseil d’Etat, une estimation proche de celle du député PS René Dosière. Le rapport confidentiel des deux institutions, remis à l’été 2014 à François Hollande, son commanditaire, préconise une révision des avantages alloués aux anciens présidents dans un «souci de modernisation, de transparence et de maîtrise de la dépense publique», comme l’a révélé Mediapart le 20 septembre. Dans le contrat présidentiel de Bruno Le Maire, un pavé de 1012 pages rendu public dimanche, une fiche est justement consacrée aux privilèges des anciens chefs de l’Etat comme l’a souligné . Le candidat s’attaque aux avantages qui leur sont dévolus, dont il juge qu’ils «entretiennent l’image du faste républicain et de privilèges extraordinaires», bien loin du renouveau qu’il désire incarner. L’ancien ministre de l’Agriculture avance deux propositions dans intitulée «anciens présidents de la Républiques (sic): pour un statut uniformisé». Celui que les sondages désignent comme le troisième homme de la primaire propose de «préciser les moyens humains et financiers (budget global, secrétariat, transport) des ex-locataires de l’Elysée et de limiter ces avantages à une durée de dix ans». Une fois cette période écoulée, «seul pourra être maintenu le bénéfice du service de protection des hautes personnalités» et ce «uniquement si une analyse de risque le justifie», projette le député d’Eure. Depuis une loi de 1955, les anciens présidents ont droit à une dotation de 65.000 euros bruts par an en plus d’une rémunération par le Conseil constitutionnel. En 1985, une lettre de Laurent Fabius, alors premier ministre, précise qu’il est mis à leur disposition un appartement et une voiture de fonction ainsi que neuf personnes (dont un chef de cabinet, deux assistants, trois secrétaires et deux personnes affectées au service de leur appartement de fonction). En sus, leurs déplacements sont gratuits sur l’ensemble des réseaux publics ferroviaire, aérien et maritime, le tout dans la meilleure classe. Si cette première proposition est novatrice, la seconde l’est beaucoup moins. Le Maire souhaite également mettre fin à la présence des anciens locataires de l’Élysée au Conseil constitutionnel, en vertu de laquelle une rémunération leur est versée. Une idée déjà soumise par Jean-Louis Debré, ancien président du Conseil constitutionnel, et reprise par son successeur Laurent Fabius. La mesure permettrait de modestes économies, de «144 000 € à 168 000 € par président de la République» d’après l’équipe de Le Maire. Mais la réforme est surtout justifiée par le risque de conflits d’intérêt pour les anciens présidents, explique le candidat. Celui qui se veut héraut du renouveau reprend ainsi une promesse de campagne non tenue par François Hollande. Et pour cause: pour que les «ex» de l’Elysée ne soient plus «membres de droit» du Conseil constitutionnel, il faut entreprendre une révision de la Constitution. Une procédure compliquée puisqu’elle nécessite l’adhésion des trois cinquièmes des parlementaires réunis en Congrès ou un référendum.

Régions: des présidents délégués pour saboter un peu plus la réforme

Régions: des présidents délégués pour saboter un peu plus la réforme

Ce devait être la grande réforme territoriale malheureusement tout cela risque de ce transformer en dépenses supplémentaires. La principale raison c’est que cette  réforme était justifiée par la perspective de suppression des départements. Or le lobby des élus s’est opposé à cette suppression des départements qui offrent tellement de débouchés politiques. Par ailleurs dernièrement une fois encore pour ménager les intérêts des mêmes lobbys on a décidé de créer un poste de président délégué dans les cinq anciennes capitales des régions désormais rattachées à d’autres. Des présidents délégués qui s’intercaleront  entre le président et les dizaines et dizaines de vice-présidents par région. Du coup il faut s’attendre dans les cinq anciennes capitales régionales concernées au maintien de superstructures au service de ce fameux président délégué. Notons aussi par parenthèse que si l’on a décidé de regrouper certaines régions par contre l’administration, elle  reste en l’état même si quelques déplacements géographiques sont prévus. Autant dire qu’au total la réforme risque de se concrétiser par des dépenses supplémentaires. C’est un des grands problèmes du pays à savoir la multiplicité des échelons politiques et administratifs. Tout cela engendre une fiscalité qui plombe la compétitivité. Chaque échelon administratif, chaque échelon politique comble en effet son vide existentiel en multipliant législation, contrôle, sanction, subvention  et fiscalité. Bref le phénomène classique des superstructures. Une nouvelle polémique vise donc la réforme des régions. Alors que Manuel Valls a exprimé sa volonté de voir la création d’une nouvelle fonction, celle de président délégué, la droite estime que la facture serait supérieure à 110 millions d’euros par an. Un coût supplémentaire, selon la droite, qui est pour cette dernière due à un problème spécifique à la future grande région Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon. Le président sortant de la région Languedoc-Roussillon, Damien Alary, s’est fait doubler par Carole Delga, déjà présente au gouvernement, pour une candidature dans cette nouvelle région. Ce dernier souhaite donc être deuxième sur la liste, mais Sylvia Pinel, du Parti radical de gauche, la souhaite aussi. Comme les socialistes doivent faire de place à leurs partenaires, la situation est complexe. La droite dénonce ainsi la création de cette nouvelle fonction, estimant qu’elle ne sert qu’à résoudre ce conflit. Le poste de président délégué de région reviendrait alors à Damien Alary, tandis que Sylvia Pinel aurait celui de vice-présidente.   « Il est tout à fait normal d’imaginer qu’il puisse y avoir, pour que chaque territoire garde sa force, sa spécificité, une présidence déléguée. Cette présidence déléguée ne représente en rien de nouveaux coûts, contrairement à ce que j’ai entendu, au contraire », a expliqué le Premier ministre, Manuel Valls. Cette justification n’a néanmoins pas été appréciée par la droite et les écologistes, jugeant ce poste inutile.

 

Affaire Julie Gayet- Faut-il protéger les maîtresses des présidents de la République ?

Affaire Julie Gayet- Faut-il protéger les maîtresses   des présidents de la République ?

Evidemment, c’est même une priorité, une mission régalienne essentielle. Julie Gayet comme toutes les autres, les anciennes, les actuelles, les futures ;  cela  fait du monde car Mitterrand , Giscard, Chirac, Sarko et Hollande ne marqueront peut-être pas l’ histoire par leurs compétence de gestionnaire mais par leur prodigalité amoureuse. Dès lors puisque la  France a adopté la monarchie républicaine, il importe d’en tirer les conséquences et de protéger maitresses et bâtards du roi. Et même leur octroyer des charges royales- comme sous l’ancien régime-  qui leur permettent d’s saurer leurs vieux jours. Il ne manque pas de postes inutiles et bien rémunérés au sein  de l’appareil d’Etat. On devrait même protéger les amours de tous les ministres, des députés, des sénateurs, des conseillers ministériels soit quelques milliers de personnes. De quoi occuper au moins 10 000 policiers voire 100 000, on pourrait même  créer  un corps délite spécialisé un peu comme le GIGN mais formé à la protection des amours clandestines. Ainsi Julie Gayet s la compagne officielle de François Hollande, est transportée et protégée par des fonctionnaires de l’Etat.  Julie Gayet protégée et transportée, aux frais de l’Etat. Vendredi, le magazine Closer a publié des photos de l’actrice, « véhiculée par deux fonctionnaires de l’Etat », dont un officier du Groupe de sécurité de la présidence de la République, lors d’un déplacement privé le 5 février. Elle faisait ce jour-là un aller-retour à Rennes pour assister au tournage d’un film qu’elle produit, précise l’hebdomadaire people. Qui a eu la confirmation après le bouclage que le monospace qui a conduit l’actrice était bien la « propriété de l’Etat ». Selon les révélations de Closer, il semble que Julie Gayet bénéficie d’un « accompagnement rapproché ». Elle est accompagnée d’un officier de sécurité, un policier armé. « Il facilite ses déplacements, peut être contact avec les commissariats, les tenir au courant du déplacement. Aussi, il dissuade ou repousse un éventuel agresseur », détaille Jean-Pierre Diot, également vice-président de la Fédération française de protection rapprochée. Autour de l’actrice, il y a également un conducteur de sécurité, lui aussi un policier armé, qui est affecté à la voiture.   »Au total ce ne sont pas deux hommes mais plutôt quatre car il faut bien qu’ils se relaient pour assurer une protection 24 heures sur 24″.Sapin, le fidèle toutou de Hollan de, interrogé sur Itélé  ne voit pas là une entorse aux principes d’égalité républicaine.

6 millions : le coût des anciens présidents de la république

6 millions : le coût des anciens présidents de la république

Officiellement la France est en démocratie en fait notre pays vit sous le régime bâtard de la monarchie républicaine qui tente de combiner démocratie et privilèges. Exemple le coût des anciens présidents de la république : 6 millions par an ! Certes ce n’est la une somme susceptible de peser lourdement sur le budget de l’Etat mais le coût de ce privilège ajouté aux autres- retraites des parlementaires, indemnités et autres petits avantages des élus en général- prouve que la noblesse républicaine sévit encore dans le pays. Dès lors, une telle situation discrédite  d’entrée ceux qui sont censés représenter l’intérêt général et c’est tout le drame du système politique. Un système politique fondé qui produit des oligarques qui toute leur vie durant vivent de la politique et qui comme les anciens présidents de la république en vivent encore largement lorsqu’ils sont en retraite ou même lorsqu’ils ne sont nullement en retraite comme Sarkozy (demain sans doute Hollande).Giscard  est  le plus cher au budget de l’État, avec 2,5 millions d’euros par an, devant Nicolas Sarkozy (2,2 millions) et Jacques Chirac (1,5 million), selon une nouvelle évaluation du député PS René Dosière établie à partir de données des ministères. «Plus de six millions d’euros par an, c’est le coût global à la charge de l’État des anciens présidents», écrit sur son blog René Dosière, spécialiste de longue date du budget de l’Elysée. Le député de l’Aisne rappelle que le statut d’ancien président est réglé «sur la seule base d’une lettre personnelle» en 1985 de Laurent Fabius, alors premier ministre, à Giscard. Les anciens présidents bénéficient d’un appartement de fonction meublé au service duquel sont affectés deux personnes. Ils ont droit à deux policiers pour leur protection rapprochée, une voiture de fonction avec deux chauffeurs et sept collaborateurs permanents. Selon une réponse de Matignon du 13 janvier à une question écrite de René Dosière, les dépenses de fonctionnement (principalement les baux des appartements) représentaient en 2014 une dépense de 343.307 euros pour Valéry Giscard d’Estaing, 309.342 euros pour Nicolas Sarkozy et 242.816 euros pour Jacques Chirac.  Les dépenses de personnel sont supportées par les ministères mettant à disposition ces collaborateurs. Ainsi le 6 janvier, le ministre de la Défense précisait à René Dosière «que 2 sous-officiers de l’armée de terre et 3 sous-officiers de la marine sont mis à la disposition de Valéry Giscard d’Estaing pour un coût global annuel de respectivement 109.130 euros et 177.566 euros». De son côté, le ministère des Finances écrit qu’il «met à la disposition de Nicolas Sarkozy un agent, auprès de Jacques Chirac deux agents et auprès de Valéry Giscard d’Estaing trois agents pour un coût global en 2013 de 511.605 euros». Les «indemnités de sujétion particulière» (qui compensent les heures supplémentaires) sont versées par Matignon et s’élevaient en 2014 à 124.600 euros pour le personnel de Jacques Chirac, 155.198 euros pour Valéry Giscard d’Estaing et 299.574 euros pour Nicolas Sarkozy. En outre, René Dosière attend encore une réponse du ministère de l’Intérieur sur le coût de la sécurisation des domiciles des anciens chefs de l’État. Dans l’attente de cette réponse, René Dosière fait notamment son évaluation sur la base d’un rapport du Sénat qui indiquait que 15 gendarmes étaient mobilisés en 2010 à temps plein pour garder la résidence privée de Valéry Giscard d’Estaing à Authon (Loir-et-Cher) et 6 pour celle de Jacques Chirac à Bity (Corrèze), soit un coût respectif annuel de 1,1 et 0,4 million d’euros selon le député (70.000 euros par gendarme). Le coût de la sécurité de Nicolas Sarkozy s’élèverait lui à environ 700.000 euros.

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