Archive pour le Tag 'présidentielles'

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Carla Bruni-Sarkozy : « Nicolas travaille tout le temps, il n’arrête jamais …J’ai peur qu’il meure… », c’est beau l’amour !

Carla Bruni-Sarkozy : « Nicolas travaille tout le temps, il n’arrête jamais …J’ai peur qu’il meure… », c’est beau l’amour !

Carla Bruni-Sarkozy a pris la parole hier soir pour défendre son mari en course pour un deuxième et dernier mandat. Alors que Nicolas Sarkozy s’est dit prêt à arrêter la politique s’il n’était pas réélu le 6 mai, Carla Bruni-Sarkozy a confié sur France 5 avoir « peur pour lui » et dit comprendre son envie de changer de vie.

Affaire Béthencourt : Patrice de Maistre lâche le morceau : 800 000 euros pour la campagne de Sarkozy

Affaire Béthencourt : Patrice de Maistre lâche le morceau : 800 000 euros pour la campagne de Sarkozy

Patrice de Maistre a été placé en détention à la demande d’un juge d’instruction qui a évoqué deux retraits de 400.000 euros chacun sur la fortune Bettencourt au premier semestre de 2007. Selon l’ordonnance du juge, l’argent pourrait avoir financé frauduleusement la campagne présidentielle victorieuse de Nicolas Sarkozy. Lors d’une audience publique, il est apparu très fatigué. Et c’est  en sanglots qu’il s’est exprimé sur ces retraits : « Je n’ai rien fait de ce qui m’est reproché. Ce que je n’ai pas fait, c’est d’arrêter un système qui existait depuis quarante ans. Je ne comprends pas, ni de près ni de loin, pourquoi je dois être incarcéré. »

 

Frédéric Mitterrand, la vertu : la victoire de la gauche, une catastrophe

Frédéric Mitterrand, la vertu : la victoire de la gauche, une catastrophe

 

Le vertueux ministre de la culture ades compétnces pour juger .Il a estimé que « l’arrivée de la gauche au pouvoir serait une catastrophe » dans une interview publiée par Aujourd’hui en France/Le Parisien lundi. Le neveu du président François Mitterrand a prédit que « Nicolas Sarkozy a de très fortes chances de gagner » avant d’affirmer que « l’arrivée de la gauche au pouvoir serait une catastrophe. Surtout dans la situation économique actuelle ». Interrogé sur son sentiment sur la « droitisation de la campagne de Nicolas Sarkozy, le ministre a jugé que le président-candidat « fait avec le Front national ce que François Mitterrand faisait avec le Parti communiste ». « Mélenchon est devenu l’ennemi officiel de François Hollande, l’allié objectif de Nicolas Sarkozy » a également déclaré M. Mitterrand. Inutile de s’inquiéter pour l’avenir de Frédéric Mitterrand, il sait prendre les virages politiques quand il faut. Fasciné par le général de Gaulle dès son enfance, mais contraint à une « nécessaire solidarité familiale » vis-à-vis de son oncle, François Mitterrand, il est longtemps politiquement inclassable : séduit par la personnalité de Bernard Tapie, il adhère au Mouvement des radicaux de gauche (MRG) en juin 1993, soutient Jacques Chirac à la présidence de la République en 1995 et ne prend pas position lors de l’élection présidentielle de 2007. Le 23 juin 2009, Frédéric Mitterrand est nommé ministre de la Culture et de la Communication dans le gouvernement Fillon II remanié Il succède alors à Christine Albanel, affaiblie par la censure partielle de la loi Hadopi contre le piratage sur Internet. Interviewé par France 2, il confirme sa nomination avant qu’elle ne soit annoncée officiellement par le secrétaire général de l’Élysée, Claude Guéant. François Mitterrand, Chirac, Tapie, Sarkozy les jalons du slalom politique de Frédéric la vertu.

 

 

L’abstention en tête au premier tour, crainte de Hollande

L’abstention en tête au premier tour, crainte de Hollande

 

A  La Réunion, le candidat socialiste a donc exhorté à voter dès le premier tour de la présidentielle, car « l’abstention est le risque », puis il a appelé au « rassemblement de toute la gauche réunionnaise » pour gagner contre Nicolas Sarkozy. A trois semaines du premier tour, François Hollande a assuré que « bien plus que la dispersion, c’est l’abstention qui est le risque dans cette élection présidentielle ». « Rien n’est joué par rapport au premier tour, parce qu’il y a encore de la volatilité », « parce que si l’abstention est forte, tous les sondages sont démentis, je dis bien tous », a-t-il pronostiqué. « On est tout près de l’instant décisif. C’est dans ces trois dernières semaines que tout va se cristalliser », a-t-il martelé, avant de lancer : « je vous demande de venir dès le 22 avril voter ». Pour mobiliser les électeurs, l’élu de Corrèze a donc mis les bouchées doubles, tenant quatre meetings en 24 heures samedi midi à Mayotte, le soir à Saint-Denis-de la Réunion, puis dimanche matin, à Saint-Louis dans un fief du Parti communiste réunionnais et à la mi-journée, à Saint-Joseph dans celui du socialiste Patrick Lebreton. Outre l’abstention, le candidat socialiste a insisté sur le « rassemblement de la gauche réunionnaise », un sujet d’autant plus d’actualité que le Parti communiste réunionnais avait boudé un de ses meetings. « Je prends la gauche réunionnaise dans l’état où elle est, à la fois forte et en même temps multiple au sein du PS et du PCR. Forcer tout le monde à venir au même endroit au même moment, ce n’était pas la bonne solution », a-t-il déminé, en se gardant bien d’attaquer Jean-Luc Mélenchon. Puis François Hollande a loué la stratégie des dirigeants du PCR, qui « ont eu cette intelligence, cette lucidité, ce sens de la responsabilité de comprendre que c’était au premier tour qu’allait s’engager le mouvement qui allait permettre de gagner, de battre celui qui est là, plus pour très longtemps ».

 

Présidentielles ; la campagne déçoit, environ 32% d’abstention

Présidentielles ; la campagne déçoit, environ 32% d’abstention

Environ 32% des français sont tentés par l’abstention aux présidentielles. La campagne ne semble guère mobiliser et l’abstention pourrait atteindre un chiffre record. L’élection présidentielle ne passionne pas les Français. Concernant le premier tour, les intentions d’abstention des électeurs s’accroissent, passant de 29% lors de la précédente étude à 32%, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche. Un tel niveau d’abstention constituerait un record, au-dessus des 28,4% enregistrés lors de l’échéance de 2002. Et si les émissions politiques font de très bonnes audiences, les Français ne semblent pas intéressés par la campagne. Hélène, jeune avocate parisienne était une accro des débats politiques en 2002 et en 2007 mais depuis deux semaines, elle a arrêté de suivre la campagne. « On a l’impression que ça dure depuis un an », confie-t-elle au micro d’Europe1. Et puis les candidats n’évoquent pas les sujets qui l’intéresse: « On ne parle pas du logement, des salaires, de la santé, du pouvoir d’achat. On est encore dans l’attente et on a rien ». Une campagne axée sur l’économie dans les discours des candidats et sur les plateaux télé. Claude, retraité, regrette que cette campagne soit trop technique. « Ils nous sortent des graphiques, des chiffres, parlent en pourcentage, mais ce n’est pas très explicite », explique t-il au micro d’Europe1. Mira, 20 ans, est une étudiante en droit. Le 22 avril prochain, elle va donc voter pour la première fois mais ne semble pas très enthousiaste. « En 2007, il y avait un engouement, une ferveur pour Nicolas Sarkozy ou pour Ségolène Royal. Là, il n’y a aucune candidat qui me fait rêver », témoigne-t-elle au micro d’Europe1. Et d’ajouter : »avec les médias, on entend Sarkozy le matin, Hollande l’après-midi et Mélenchon le soir. C’est assez difficile d’identifier qui est qui. » Autre apport de ce sondage, une majorité de Français rejette l’idée d’un deuxième tour opposant François Hollande à Nicolas Sarkozy. Seuls 43% des interrogés souhaitent cette confrontation lors du prochain scrutin électoral. Enfin, 28% privilégient un deuxième vote qui opposerait le candidat socialiste à un autre candidat et 25% pour un match entre Nicolas Sarkozy et un autre adversaire.

 

Troisième dans un sondage, le phénomène Mélenchon

Le phénomène politique Mélenchon

 

Peu d’experts auraient pronostiqué un tel redressement de l’extrême gauche à travers le Front de Gauche. Pour une  grande part, cette remontée tient à la posture et au talent de Mélenchon. Une posture délibérément de dénonciation des injustices, des abus, de toutes sortes mais aussi du système. Certes Marine Lepen se positionne aussi sur ce créneau mais avec l’intolérance, le racisme et la xénophobie en plus. On a en outre du mal à adhérer à l’idée que le front national défend les plus démunis même si pour des raisons électorales le discours de Marine va dans ce sens. Finalement Mélenchon prend une partie de la place de la gauche traditionnelle : radicale et anticapitaliste. Il faut dire que le PS peine à convaincre de sa radicalité et de sa capacité de rompre avec la seule logique du profit. Certes avec Hollande, le PS a progressé sur ce terrain mais l’électorat reste dubitatif sur les convictions réelles du PS dans ce domaine. En même temps l’exercice est difficile pour le PS car il lui faut aussi convaincre qu’il est en situation de gouvernance responsable. De ce point de vue, on ne peut guère reprocher de dépenses outrancières à Hollande ; on peut par contre lui faire reproche de ne pas mettre au centre du débat les questions relatives au rôle de l’Etat et  ses dépenses. Mélenchon ne s’embarrasse pas de ce difficile équilibre, il ne cherche pas à gouverner mais à influencer la ligne politique de la gauche. Mélenchon connait le fonctionnement du système politique, son mode de reproduction, ses liens avec les forces économiques dominantes. Il frappe donc fort. On  peut effectivement le taxer de populisme car s’il est crédible dans la dénonciation, il l’est moins dans la proposition ; autant sans doute du fait de ses convictions que par son manque de compétence économique , manque de compétence qui vaut pour toute la gauche  mais aussi pour la droite puisque l’essentiel du personnel politique est composé de fonctionnaires qui entretiennent des relations ésotériques avec l’économie réelle. Mélenchon ajoute évidemment son talent d’orateur, son équilibre à lui c’est celui du tribun et de l’intellectuel ; deux qualités que ne possèdent pas conjointement les  autres candidats. D’où par parenthèse l’absence de la thématique de la culture dans le débat des présidentielles (sauf sur l’école pour Hollande). Dommage car fondamentalement, c’est l’insuffisance de culture qui plombe l’avenir du pays, l’insuffisance d’ouverture sur le monde, les technologies, les processus de production et d’échanges, les équilibre environnementaux, la nouvelle donne mondiale économique sociale et précisément culturelle ; simplement la compréhension de la crise. De ce fait,  la France se ratatine sur elle même, ne croit plus dans son avenir, dans son personnel politique. Mélenchon donne une respiration à cette campagne qui n’atteint pas un grand niveau. Pour de nombreuses raisons qui sont difficile d’évoquer sans perdre des voix, en tout cas c’est ce que pensent les dir.com. Si le PS est gênée par la place que prend Mélenchon, l’extrême droite l’est également car il y a pour une  partie consanguinité de l’électorat et Mélenchon n’a jamais voulu insulter l’électeur de Marine Le Pen. Mélenchon contraint à radicaliser la campagne dans un affrontement droite gauche et de ce fait Bayrou se retrouve écrasé par les deux grandes forces. Il n’y a guère que L’UPM qui se réjouit du score de Mélenchon qui affaiblit Hollande au premier tour. Un mauvais calcul en fait car, ce score renforce Hollande au second tour. Pour tout dire, Mélenchon trouble «  la sérénité »  de la campagne.

Mélenchon passe en troisième position devant Marine Lepen d’après un sondage LH2-Yahoo

Mélenchon passe en troisième position devant Marine Lepen d’après un sondage LH2-Yahoo

Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche, se hisse à la troisième place dans un sondage LH2-Yahoo sur les intentions de vote à la présidentielle, avec 15%, soit une progression de quatre points par rapport au précédent sondage du même institut, qui avait été rendu public le 18 mars. Le président sortant, Nicolas Sarkozy, stagne avec 27,5% et demeure derrière le candidat socialiste François Hollande, qui, à 28,5%, reste en tête mais recule de deux points, d’après la nouvelle enquête, diffusée dimanche. Quant à Marine Le Pen, la candidate du Front nationale, elle perd un point à 13,5% et régresse à la quatrième place. François Bayrou, candidat du Modem, cède 0,5 point à 12%. Eva Joly, la candidate des Verts, cède 0,5 point à 2% d’intentions de vote. Philippe Poutou (NPA) et Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière) obtiendraient l’un et l’autre 0,5%. Au second tour, François Hollande l’emporte largement, avec 54%, mais recule d’un point par rapport au précédent sondage LH2/Yahoo. Les reports de voix au second tour des électeurs de Marine Le Pen vers Nicolas Sarkozy se maintiennent à 43% (-1 point) et progressent fortement, chez les électeurs de François Bayrou, vers le candidat de l’UMP (+18 points, à 32%).

 

Présidentielle : les noms de parrains de Marine Le Pen

Présidentielle : les  noms de parrains de Marine Le Pen

Liste pour Marine Le Pen parue au JO.

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Mme Marine Le Pen

M. Marcel FISCHER, maire délégué d’une commune associée, RAULECOURT (MEUSE) ; M. Daniel LODE, maire de TORCE-VIVIERS-EN-CHARNIE (MAYENNE) ; M. Daniel FREBOURG, maire de PLEINE-SEVE (SEINE-MARITIME) ; M. Patrick ANDRE, maire de SAINT-GERMAIN-SUR-MEUSE (MEUSE) ; Mme Danièle GUILBERT, maire de PUYSEGUR (GERS) ; M. Serge LAURENCE, maire de MENSKIRCH (MOSELLE) ; M. Gino CECCHINI, maire de JAU-DIGNAC-ET-LOIRAC (GIRONDE) ; M. Micaël BORDAS, maire de SAINT-MARTIN D’AOÛT (DRÔME) ; M. Patrick DILIGENT, maire de BUXEUIL (AUBE) ; M. Jean-Richard SULZER, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Wallerand DE SAINT JUST, conseiller régional de PICARDIE (SOMME) ; M. Jean-Marie PILOIS, maire d’ANTHELUPT (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Léon Paul MORGUE, maire de VERNAS (ISERE) ; Mme Anne-Marie DELBART, maire de WOIMBEY (MEUSE) ; M. François BECHECLOUX, maire de MENIL-ANNELLES (ARDENNES) ; M. Gérard JANUS, maire de FORT-LOUIS (BAS-RHIN) ; M. Jérôme THOMAS, maire délégué d’une commune associée, SAINT-MARTIN-SUR-OREUSE (YONNE) ; Mme Françoise COOLZAET, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Claude DUBERSEUIL, maire délégué d’une commune associée, ONVILLERS (SOMME) ; M. Marcel STEPHAN, conseiller régional de BOURGOGNE (NIEVRE) ; M. Eric SAMYN, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (ARDENNES) ; M. Christian LEFEVRE, maire de SAINT-PIERREMONT (AISNE) ; M. Bernard FRANCOIS, maire de HARDECOURT-AUX-BOIS (SOMME) ; M. Denis DEROUX, maire de BATHERNAY (DRÔME) ; M. Georges DE BERTOULT, maire de PLOYART-ET-VAURSEINE (AISNE) ; M. Jean-Pierre CUVILLIEZ, maire de SAUDEMONT (PAS-DE-CALAIS) ; M. Hervé DE CHANGY, maire de MURON (CHARENTE-MARITIME) ; M. Mickaël ADAM, maire de MOUILLY (MEUSE) ; M. Siméon MENUGE, maire de GAUDIEMPRE (PAS-DE-CALAIS) ; Mme Geneviève LEGAULT, épouse GRARDEL, maire de MONCHEAUX-LES-FREVENT (PAS-DE-CALAIS) ; M. Bernard MARANDAT, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Guy HINZELIN, maire de FIMENIL (VOSGES) ; M. Jacques GUERIN, maire de RIEUX (MARNE) ; Mme Huguette FATNA, conseiller régional d’ALSACE (BAS-RHIN) ; Mme Françoise DESCHAMPS, maire d’AVESNES-EN-BRAY (SEINE-MARITIME) ; M. Paul SERET, maire de ROCQUIGNY (AISNE) ; Mme Marie-Odile RAYE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAUCLUSE) ; Mme Blanche SIGRIST-CHAUSSAT, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (RHÔNE) ; M. Claude MICHEL, maire de CRIQUIERS (SEINE-MARITIME) ; M. Christian ALEXANDRE, maire de HERONCHELLES (SEINE-MARITIME) ; M. Nicolas DESPRES, maire de CHASEREY (AUBE) ; M. Jean WOLFARTH, maire de BOURBACH-LE-BAS (HAUT-RHIN) ; M. Frédéric BOCCALETTI, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAUCLUSE) ; M. Alain TOURNEBISE, maire de LONGCHAMP-SUR-AUJON (AUBE) ; M. Dominique BODET, maire de SAUVIGNAC (CHARENTE) ; M. Stéphane ROUSSEL, maire de VANNAIRE (CÔTE-D’OR) ; M. Olivier PALAZY, maire de MONTAURIOL (TARN) ; M. Norbert HEMMERTER, maire de METTING (MOSELLE) ; M. Christian COTELLE, conseiller régional d’ALSACE (BAS-RHIN) ; M. Lucien RICHARD, maire de MAGNY (HAUT-RHIN) ; M. Gérald ERZEN, maire de SANZEY (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Philippe EYMERY, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Jean-Pierre PETITET, maire de MESNIL-LETTRE (AUBE) ; Mme Sandrine NEYENS, maire de GLAND (YONNE) ; M. Francis CABANNE, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (HERAULT) ; M. Alfred PERRIN, maire de VOELFLING-LES-BOUZONVILLE (MOSELLE) ; M. Michel AUGOYAT, maire de LA CHAPELLE DU MONT DE FRANCE (SAÔNE-ET-LOIRE) ; Mme Mireille D’ORNANO, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (ISERE) ; M. Jacques RENAUD, maire de PAYSSOUS (HAUTE-GARONNE) ; Mme Nicole PEOT, maire de SAINTE-GENEVIEVE-DES-BOIS (LOIRET) ; M. Bernard MENAUCOURT, maire de TROISFONTAINES-LA-VILLE (HAUTE-MARNE) ; M. Jean-Pierre GUINCHARD, maire de MALANS (DOUBS) ; M. Pierre RIOULT, maire de SAINTE-MARIE-DU-BOIS (MAYENNE) ; M. Arnaud FORMET, maire de LA VOIVRE (HAUTE-SAÔNE) ; Mme Hélène ZOUROUDIS, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (HERAULT) ; M. Jean-Paul DISPARD, conseiller général de BRIGNOLES (VAR) ; M. Dany GIRARDIN, maire de BERLING (MOSELLE) ; M. Jean-François PARDIGON, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (GARD) ; M. Bernard LAHONDES, maire de SERMAISE (MAINE-ET-LOIRE) ; M. Jean-Luc LECOUR, maire de GRENANT-LES-SOMBERNON (CÔTE-D’OR) ; M. Alain BARANGER, maire de PIERREFITTE-ES-BOIS (LOIRET) ; M. René MEYER, maire de SOMMECAISE (YONNE) ; M. Gilbert COUTARD, maire de MESANGUEVILLE (SEINE-MARITIME) ; M. Dominique VINA, maire de CHANVILLE (MOSELLE) ; M. Régis LALLE, maire de SALON (AUBE) ; Mme Sandrine LEROY, conseiller régional de PICARDIE (OISE) ; M. Jean-Pierre GAUBIAC, maire de MOULES-ET-BAUCELS (HERAULT) ; Mme Isabelle VOINCHET, maire de BALOT (CÔTE-D’OR) ; M. Maurice MAGAUD, maire de POYOLS (DRÔME) ; M. Christian ROCCO, maire délégué d’une commune associée de SAINT-REMY DE SALERS (CANTAL) ; M. Patrick BATTISTA, maire de NIEVROZ (AIN) ; M. Alain JOURDAIN, maire de FONTANES-DE-SAULT (AUDE) ; M. Jean-René BRUN, maire de SAINT-ARROMAN (GERS) ; Mme Bernadette THOMAS, maire de THEY-SOUS-VAUDEMONT (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Michel AUMONT, maire de SAINT-SAUVEUR-LA-POMMERAYE (MANCHE) ; Mme Armelle DE PIERREFEU, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAR) ; M. Alban BATAILLE, maire de MONFERRAN-PLAVES (GERS) ; Mme Sophie MONTEL, conseiller régional de FRANCHE-COMTE (DOUBS) ; Mme Maryse URBAIN, maire de PAROY-SUR-SAULX (HAUTE-MARNE) ; M. Jean-Luc DAUBANTON, maire délégué d’une commune associée, ARGENTOLLES (HAUTE-MARNE) ; M. Pascal GUY, maire de LA CELLE-SOUS-GOUZON (CREUSE) ; M. François DUPARAY, maire de SAINT-AMBREUIL (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Christophe SCHERTZ, maire de NIEDERSTEINBACH (BAS-RHIN) ; M. Thierry BESSON, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (MARNE) ; M. Lucien COSTA, maire de POPOLASCA (HAUTE-CORSE) ; M. Franck DETCHEVERRY, conseiller territorial de SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON ; Mme Marie-José ROCHE, maire de VAUMORT (YONNE) ; M. Bernard LOUVANCOUR, maire de RUFFIAC (LOT-ET-GARONNE) ; M. Michel FOURTIER, maire de BELLENOD-SUR-SEINE (CÔTE-D’OR) ; M. Jean-Pierre GROUSSARD, maire d’OMONT (ARDENNES) ; M. Yves GENTIL, maire d’ANNOISIN-CHATELANS (ISERE) ; M. Yannick RENAUDIN, maire de BRIENNE-SUR-AISNE (ARDENNES) ; M. Paul GREVET, maire de PIERREVAL (SEINE-MARITIME) ; Mme Françoise GROLET, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE) ; M. Bruno GOLLNISCH, représentant au Parlement européen ; M. Alain FRANCHEQUIN, maire de VEZET (HAUTE-SAÔNE) ; M. Didier FRECHOU, maire de PEYRISSAS (HAUTE-GARONNE) ; M. Jean-Claude CHATELAIN, maire de BEAUCOURT-SUR-L’ANCRE (SOMME) ; M. Dany CORDIER, maire de CHAUMESNIL (AUBE) ; M. Gérard MASSE, maire de SAINT-LAURENT-DE-LA-BARRIERE (CHARENTE-MARITIME) ; M. Bernard SADET , assemblée des Français de l’étranger ; M. Jean-Yves NARQUIN, maire de VILLEDIEU-LE-CHÂTEAU (LOIR-ET-CHER) ; M. Michel ABRAHAM, maire de THEMERICOURT (VAL-D’OISE) ; M. Patrick BINDER, conseiller régional d’ALSACE (HAUT-RHIN) ; M. Jean-François CERCLEY, maire délégué d’une commune associée, AUBIGNEY (HAUTE-SAÔNE) ; M. Eric FOURNIER, maire de BALNOT-SUR-LAIGNES (AUBE) ; M. Michel LEPOIVRE, maire de SAINT-AUBIN-DE-COURTERAIE (ORNE) ; M. Jean-Jacques ADOUX, maire du HAMEL (OISE) ; M. Jean-Marc STILLER, maire de PACY-SUR-ARMANCON (YONNE) ; M. Christian GEOFFROY, maire de PERCEY-LE-GRAND (HAUTE-SAÔNE) ; M. Thierry LABORDE, maire de NEUFFONS (GIRONDE) ; M. Gilles SAUMET, maire de SAINT-MAURICE-DE-LIGNON (HAUTE-LOIRE) ; M. Thierry DURAND, maire de CRUZY-LE-CHÂTEL (YONNE) ; M. Charles POLI, maire de PRUNO (HAUTE-CORSE) ; M. Alain MICHEL, maire de LESTRE (MANCHE) ; M. Joël BAZIN, maire de DOMESMONT (SOMME) ; M. Dominique PADIEU, conseiller régional de PICARDIE (AISNE) ; M. Sébastien DESBUREAUX, maire de HENU (PAS-DE-CALAIS) ; M. Alfred SLOVENCIK, maire d’UHRWILLER (BAS-RHIN) ; M. Michel GUERIN, maire de MULCEY (MOSELLE) ; Mme France JAMET, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (HERAULT) ; M. Raymond HERBRETEAU, maire des VENTES-DE-BOURSE (ORNE) ; M. Nicolas BAY, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME) ; M. Gabriel TRANNIN, maire de LECHELLE (PAS-DE-CALAIS) ; M. Gérard FESSELET, maire de CHAVANNES-LES-GRANDS (TERRITOIRE DE BELFORT) ; M. André-Luc BLANC, maire délégué d’une commune associée, ARGENS (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Olivier DELBE, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Gérard FABRE, maire de MERIAL (AUDE) ; M. Yves GELSZINNIS, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE) ; M. Vincent MICHELETTI, maire de CASALABRIVA (CORSE-DU-SUD) ; M. Loïc TRICHET, maire de SAINT-GEORGES-DE-POINTINDOUX (VENDEE) ; M. Jean-Marie LAURENCEAU, président d’une communauté de communes, REGION DU LION D’ANGERS (MAINE-ET-LOIRE) ; Mme Chrystelle SAULIERE, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (EURE) ; M. Jean LAMBERT, maire de GOURAINCOURT (MEUSE) ; M. Pierre FAUVEL, maire de SAINT-CÔME-DU-MONT (MANCHE) ; M. Sylvain PINON, maire de DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES (YONNE) ; M. Joseph GRAFF, maire de HOLLING (MOSELLE) ; M. Eric VILAIN, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE) ; M. Michel VERGER, maire du BREVEDENT (CALVADOS) ; M. François GAUTHIER, maire de FONTAINEBRUX (JURA) ; M. Jacky DAGONNEAU, maire de SAINT-EVROULT-DE-MONTFORT (ORNE) ; M. Jacques SAINT-MARTIN, maire de FRANCON (HAUTE-GARONNE) ; M. Régis MEHL, maire de BRIAS (PAS-DE-CALAIS) ; M. André VARLET, maire de REUIL (MARNE) ; M. Maurice MARY, maire de CHARMONT-SOUS-BARBUISE (AUBE) ; M. Gabriel DOCHY, maire de GIZAUCOURT (MARNE) ; M. Vincent ROZES, maire d’OUST (ARIEGE) ; M. Alexandre DENAMIEL, maire de PEZARCHES (SEINE-ET-MARNE) ; M. Bernard VALLIET, maire de MALZY (AISNE) ; M. François GOSSLER, maire de BANNAY (MOSELLE) ; M. René DEMEOCQ, maire délégué d’une commune associée, MESSAIS (VIENNE) ; M. Gilbert HANTZO, maire de WITTRING (MOSELLE) ; M. Maurice MENESPLIER, maire de MONVIEL (LOT-ET-GARONNE) ; M. Jean PERY, maire de VILLERS-BOUTON (HAUTE-SAÔNE) ; M. Jean-Pierre OSSART, maire de BOISBERGUES (SOMME) ; M. Henri LAMBERT, maire délégué d’une commune associée, VERNOIS-LE-FOL (DOUBS) ; M. Antoine MALVOS, maire délégué d’une commune associée, SAINT-GERMAIN-LA-GÂTINE (EURE-ET-LOIR) ; M. André CAËR, maire de NEUVILLE-SUR-MARGIVAL (AISNE) ; M. Pierre NOUVEAU, maire délégué d’une commune associée, LA VILLENEUVE-SUR-VINGEANNE (CÔTE-D’OR) ; M. Philippe LOISEAU, conseiller régional du CENTRE (EURE-ET-LOIR) ; M. Patrick LORIAU, maire de GOUMOIS (DOUBS) ; M. Fabrice BLANC, maire délégué d’une commune associée, CARNIOL (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Charles HURTEBISE, maire de FOSSEMANANT (SOMME) ; M. Denis KRYZS, maire de BROUVILLE (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Alain ARNOULD, maire de SAINT-JEAN-SAINT-GERMAIN (INDRE-ET-LOIRE) ; M. Vincent LANGEVIN, maire de GONFREVILLE (MANCHE) ; M. Paul LAMOITIER, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Jean-Paul ROSATI, maire d’EYGALIERS (DRÔME) ; M. Luc BREUIL, maire de RIBEAUCOURT (MEUSE) ; M. Gilbert FAURE, maire de VILLACERF (AUBE) ; M. André MARTIN, maire de TORTEQUESNE (PAS-DE-CALAIS) ; M. Jacques EUVRARD, maire de COURTESOULT-ET-GATEY (HAUTE-SAÔNE) ; M. Jean DECHAMBRE, maire de PONT-SUR-VANNE (YONNE) ; Mme Michelle VANROSSOM, épouse ANTONIOTTI, maire de VALLICA (HAUTE-CORSE) ; M. Pascal FEAU, maire de DESSIA (JURA) ; M. Francis BOUVENOT, maire de BOURG-SAINTE-MARIE (HAUTE-MARNE) ; M. Robert LUDOT, maire de CHAMPFLEURY (AUBE) ; M. Philippe LEJOSNE, maire de WAMIN (PAS-DE-CALAIS) ; M. Philippe AUBRUN SASSIER, maire de LACS (INDRE) ; Mme Monique MENAGE, maire de RUSSY (CALVADOS) ; M. Jacques LE TOUZE, maire de SOMME-SUIPPE (MARNE) ; M. René HANOT, maire de CHÂTELRAOULD-SAINT-LOUVENT (MARNE) ; M. Guy LEMOINE, maire d’OUDALLE (SEINE-MARITIME) ; Mme Christine HERZOG, maire de HERTZING (MOSELLE) ; M. Johnny MOGLIA, maire de CHERMIZY-AILLES (AISNE) ; M. Didier VAIL, maire de LA MAISON-DIEU (NIEVRE) ; M. Claude CORTIADE, maire de MONTEGUT-BOURJAC (HAUTE-GARONNE) ; M. André VAUBOURG, maire de CHAMPLIVE (DOUBS) ; M. Olivier EYRAUD, conseiller général de REYRIEUX (AIN) ; M. Sébastien COPIN, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES) ; M. Gérard MARCHAND, maire de BRACHAY (HAUTE-MARNE) ; M. Fernand GODOT, maire de BOULAGES (AUBE) ; M. Christian BRESSOULALY, maire d’IVRY-EN-MONTAGNE (CÔTE-D’OR) ; M. Michel THIEBAUT, maire d’EVOSGES (AIN) ; M. Jean-Pierre DESCHAMPS, maire de FLEURY (AISNE) ; M. Gilles GUINCHARD, maire délégué d’une commune associée, ALAISE (DOUBS) ; M. Bernard ENCLOS, maire de SAINT-BLAISE-LA-ROCHE (BAS-RHIN) ; M. Daniel COUREUIL, maire délégué d’une commune associée, MOIDREY (MANCHE) ; M. Robert NICOLAS, maire de BELLAFFAIRE (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Henri DE ROGIER, maire de GEZIER ET FONTENELAY (HAUTE-SAÔNE) ; Mme Lydia SEROIN, épouse SCHENARDI, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES) ; M. Jean-Pierre GROS, maire d’ALIEZE (JURA) ; M. Jean-Claude CASTEL, maire de CORBIERES (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Laurent COMAS, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Gérard BOUCHER, maire délégué d’une commune associée, ECOMAN (LOIR-ET-CHER) ; Mme Joëlle MELIN, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Robert LEMARIEY, maire de FRESNE-CAUVERVILLE (EURE) ; M. Luc BEJEAN, maire de MONTEPLAIN (JURA) ; M. Jean MICHEL, maire de VIELS MAISONS (AISNE) ; M. Pascal CREPEAUX, maire de CHAMPS (AISNE) ; M. Régis PIONNIER, maire d’ANSAUVILLE (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; Mme Denise PICOT, épouse BROSSERON, maire de CHAUMONT (YONNE) ; Mme Martine METZGER, épouse BINDER, conseiller régional d’ALSACE (HAUT-RHIN) ; M. Jean ICART, conseiller général de NICE-2 (ALPES-MARITIMES) ; M. Pierre BOULANGER, maire de MENARMONT (VOSGES) ; Mme Chantal ODILE, conseiller régional de LORRAINE (VOSGES) ; M. Désiré SUSINI, maire d’OLMICCIA (CORSE-DU-SUD) ; M. Gabriel DE PEYRECAVE, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (LOIRE) ; M. Jean-Philippe PUTTI, maire de VALLE-D’ALESANI (HAUTE-CORSE) ; M. Jean DERAMECOURT, maire d’EPECAMPS (SOMME) ; M. Jean-Louis BISCONS, maire de SAINT-MICHEL-LABADIE (TARN) ; M. Anicet HAUPAIS, maire de LONGEVILLE-SUR-MOGNE (AUBE) ; M. Jacques CARRE, maire de NOLLEVAL (SEINE-MARITIME) ; M. Jean-Claude ALTHERR, conseiller régional d’ALSACE (BAS-RHIN) ; M. Pierre MERY, maire de FOURNOLS (PUY-DE-DÔME) ; M. André PERIER, maire de CAMPROND (MANCHE) ; M. Michel POLY, maire de GIVRY-LES-LOISY (MARNE) ; M. Vincent CHAMPENOIS, maire de BRUMETZ (AISNE) ; M. Pascal ERRE, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (MARNE) ; M. Ange CHERUBINI, maire de FARINOLE (HAUTE-CORSE) ; M. Denis GRAS, maire de LA CHAZE-DE-PEYRE (LOZERE) ; M. Stéphane ORSONI, maire d’OCCHIATANA (HAUTE-CORSE) ; M. Jean-Luc LASSERRE, maire de MARIGNAC-LASPEYRES (HAUTE-GARONNE) ; M. Bernard MONGENET, maire de DUESME (CÔTE-D’OR) ; M. Lucien POMEDIO, maire de SAINT-PERDOUX (DORDOGNE) ; M. Didier L’HUILLIER, maire de LHOR (MOSELLE) ; M. Ernest Igino TEAGAI, maire de TATAKOTO, POLYNESIE FRANCAISE) ; M. Benoît DUPRE, maire de GRECOURT (SOMME) ; Mme Françoise VERNALDE, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Bruno BILDE, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; Mme Monique SGARD, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Michel BEHR, maire de LENGELSHEIM (MOSELLE) ; M. Yves PILLEMENT, maire de WALY (MEUSE) ; Mme Christelle SIMON, conseiller régional de PICARDIE (OISE) ; M. Hugues DUCATELLE, maire de MARCHE-ALLOUARDE (SOMME) ; M. Jean-Claude DOUBLET, maire de BUZANCY (AISNE) ; M. Rémy BOURSOT, conseiller régional de BOURGOGNE (CÔTE-D’OR) ; M. Jean-Pierre GASNAULT, maire de LANDERROUET-SUR-SEGUR (GIRONDE) ; M. Hubert COUDOUR, maire de CEZAY (LOIRE) ; M. Michel DECUPPER, maire de LECHÂTELET (CÔTE-D’OR) ; M. Michel LEMOSQUET, maire de BOISROGER (MANCHE) ; M. Gilles GODEFROY, conseiller régional du CENTRE (INDRE-ET-LOIRE) ; M. Jean-Louis BOUGUEREAU, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAR) ; M. Jean-Michel MOYEMONT, maire d’AVELANGES (CÔTE-D’OR) ; M. Pierre THIERY, maire de VAUX-LES-MOURON (ARDENNES) ; M. Dominique CARTIER, maire de LA MOTTE-TILLY (AUBE) ; Mme Marie-Claude AUCOUTURIER, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; Mme Judith SINNGRUN, maire de ROSIERES-SUR-MANCE (HAUTE-SAÔNE) ; Mme Monique LARTIGUE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES) ; M. Christophe BOUDOT, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (RHÔNE) ; Mme Irina KORTANEK, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Thierry GOURLOT, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE) ; M. Christian THOUVENOT, maire de GERBECOURT-ET-HAPLEMONT (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Luc HISPART, maire délégué d’une commune associée, BRAUCOURT (HAUTE-MARNE) ; M. Patrice LOMBARD, maire de FRESSE (HAUTE-SAÔNE) ; Mme Nicole DE LACHEISSERIE, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (AIN) ; M. Jean-Paul LECLERC, maire de VATIMONT (MOSELLE) ; Mme Valérie LAUPIES, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Claude CHAMPY, maire de NOYANT-ET-ACONIN (AISNE) ; M. Pascal LEMMENS, maire de SAINT-PIERRE-LES-BITRY (OISE) ; Mme Elisabeth PHILIPPE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Patrick NODINOT, maire de MONES (HAUTE-GARONNE) ; M. Daniel LAVOISIER, maire d’ACHIET-LE-PETIT (PAS-DE-CALAIS) ; M. Jean Antoine SANGUINETTI, maire de SANTA-LUCIA-DI-MORIANI (HAUTE-CORSE) ; Mme Sandrine PERIDIER, maire de SAINT-BONNET-DU-GARD (GARD) ; M. Yanick CHICOT, maire de SAINT-REMY-SUR-CREUSE (VIENNE) ; Mme Andrée GERVAIS, maire de BIONVILLE (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Eric BOUCHER, maire de FRAISNES-EN-SAINTOIS (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Roland COLLINET, maire de BREUILH (DORDOGNE) ; M. Pascal GENTY, maire délégué d’une commune associée, ANDEVANNE (ARDENNES) ; Mme Dominique BILDE-PIERRON, conseiller régional de LORRAINE (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Hubert MATHIEU, maire délégué d’une commune associée, LOUTREMANGE (MOSELLE) ; M. Jean-Michel ROMAIN, maire du PIN (CALVADOS) ; M. Jean-Pierre LELARGE, maire de LOUVERGNY (ARDENNES) ; M. Daniel MONNERET, maire de VILLARD-SAINT-SAUVEUR (JURA) ; M. Jean-Paul CHASTAN, maire d’EYROLES (DRÔME) ; M. Alain CARRIERE, maire de GOLANCOURT (OISE) ; M. Raoul CHANCEAU, maire de BORDEAUX-EN-GÂTINAIS (LOIRET) ; M. Bernard CLAVE, maire de HOLVING (MOSELLE) ; M. Benoît CHATEL, maire de LONGUEVILLE (CALVADOS) ; M. Jean Paul PELTIER, maire de BARONVILLE (MOSELLE) ; M. Jean-Charles BAULE, maire de NOGARET (HAUTE-GARONNE) ; M. Olivier VERLET, maire délégué d’une commune associée, JUBECOURT (MEUSE) ; M. Armand ENTAJAN, maire de LECUSSAN (HAUTE-GARONNE) ; M. Jean RENAUT, maire de SILLY-EN-SAULNOIS (MOSELLE) ; M. Thierry NAUDINOT, maire de BELAN-SUR-OURCE (CÔTE-D’OR) ; Mme Nathalie PIGEOT, conseiller régional de LORRAINE (MOSELLE) ; M. Alain GUTH, maire de MORVILLE-SUR-NIED (MOSELLE) ; M. Brice MARTIN, maire de ROSNAY-L’HÔPITAL (AUBE) ; M. Roger COLLIGNON, maire de VASSINCOURT (MEUSE) ; M. Jacques BOCQUET, maire de TRICOT (OISE) ; M. Noël FENOUILLOT, maire de BOUSSERAUCOURT (HAUTE-SAÔNE) ; Mme Christiane BUTTIER, conseiller régional de LORRAINE (MEUSE) ; M. Gabriel COLLIGNON, maire délégué d’une commune associée, GUIRLANGE (MOSELLE) ; M. Thierry JACQUET, maire de SASSEY-SUR-MEUSE (MEUSE) ; M. Jean-Claude CHARLOT, maire de CHASSEY (CÔTE-D’OR) ; M. Marcel SPILMANN, maire de SAINT-LYE (AUBE) ; M. Jean GROSSE, maire de SAINT-JEAN KOURTZERODE (MOSELLE) ; M. Gérard MARTINEAU, maire de BEAUMONT-LA-RONCE (INDRE-ET-LOIRE) ; Mme Thérèse THORETTON, maire de COURCY (CALVADOS) ; Mme Monique MILLEREAUX, maire de SAINT-MORE (YONNE) ; M. Jean-Luc MANOURY, conseiller régional de LORRAINE (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; M. Jean Luc ETIENNE, maire de FOVILLE (MOSELLE) ; M. Honoré LESCOAT, maire de TREOGAN (CÔTES-D’ARMOR) ; M. François GENEVOIS, maire d’UZELLE (DOUBS) ; M. Jean-Marie HUTINET, maire de MAIZIERES-SUR-AMANCE (HAUTE-MARNE) ; Mme Marie-Hyacinthe PAOLI, maire de SAN-DAMIANO (HAUTE-CORSE) ; M. Napoléon CASTELLI, maire de CARCHETO-BRUSTICO (HAUTE-CORSE) ; Mme Nathalie PARENT, maire de SOURANS (DOUBS) ; M. Patrice POIREL, maire de MARTINCOURT (MEURTHE-ET-MOSELLE) ; Mme Danièle FIETIER, maire de CHÂTEAUVIEUX-LES-FOSSES (DOUBS) ; M. Jean-Pierre CLAEYS, maire de GRASSAC (CHARENTE) ; Mme Véronique POURCHOT, maire de DEVILLAC (LOT-ET-GARONNE) ; M. Jean-François ALLIGNE, maire de SAINT-MEDARD (CHARENTE-MARITIME) ; M. Dominique MARTIN, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (HAUTE-SAVOIE) ; M. Thierry DOUCE, maire de SAINT-QUENTIN-LE-PETIT (ARDENNES) ; M. Dominique BRUCHET, maire de GINCLA (AUDE) ; Mme Mylène TROSZCZYNSKI, conseiller régional de PICARDIE (SOMME) ; Mme Vannina LUCIANI, maire de MOCA-CROCE (CORSE-DU-SUD) ; M. Marcel PARISOT, maire d’ABBENANS (DOUBS) ; M. Fabrice BARDOT, maire délégué d’une commune associée, HARGEVILLE-SUR-CHEE (MEUSE) ; Mme Véronique CHARPENTIER, maire de CHAVIGNY (AISNE) ; M. Laurent SUTTER, maire de ROHRWILLER (BAS-RHIN) ; Mme Marine LE PEN, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Jean-Louis ESPUCHE, maire de DAMMARTIN-MARPAIN (JURA) ; M. Christophe COLIN, maire de LUXIOL (DOUBS) ; Mme Isabelle OZON, conseiller territorial de SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON ; M. Alain GUYOT, maire de BARJON (CÔTE-D’OR) ; Mme Sophie ROBERT, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (LOIRE) ; M. Francis CANNAUX, maire de SAINT-JUVIN (ARDENNES) ; M. Henri DESCHIEN, maire de DONCOURT-SUR-MEUSE (HAUTE-MARNE) ; M. Jean-Marie BARRAUD DUCHERON, maire de BELLEFONDS (VIENNE) ; M. Georges GERARD, maire de VAVRAY-LE-PETIT (MARNE) ; M. Jean-Louis BERNE, maire de CASTILLON-DU-GARD (GARD) ; Mme Elisabeth LALANNE DE HAUT, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME) ; M. Charles BERTHOLLET, maire de ROUVRAY (YONNE) ; M. Christian GRANGIS, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (ARDECHE) ; M. Alain DESBOVES, maire d’ANCIENVILLE (AISNE) ; Mme Marie-Christine BOUTONNET, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (MARNE) ; M. Patrick MELLING, maire de VILLESAVOYE (AISNE) ; M. André FONTAINE, maire délégué d’une commune associée, VILLIERS-SUR-MARNE (HAUTE-MARNE) ; M. Roger JEANMAIRE, maire de GELVECOURT-ET-ADOMPT (VOSGES) ; Mme Rose-Noële PIERRE, maire de SAINT-JEAN-DU-CORAIL-DES-BOIS (MANCHE) ; M. Antoine ALLARD, maire de BROUVILLER (MOSELLE) ; M. André MARCHI, maire de ROSAZIA (CORSE-DU-SUD) ; M. Henry GERMAIN, maire de SAINTE-FOY (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Julien SANCHEZ, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (HERAULT) ; M. Christian THIBAUT, maire des BORDES-AUMONT (AUBE) ; Mme Marie-Christiane COLAS, conseiller régional de BOURGOGNE (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Jean-Edouard SYLVESTRE, maire de LA POTERIE-AU-PERCHE (ORNE) ; M. Fabrice BAGNON, maire d’ABONCOURT-SUR-SEILLE (MOSELLE) ; M. Bernard BELGUISE, maire délégué d’une commune associée, LINCHEUX-HALLIVILLERS (SOMME) ; M. Nicolas PELARD, maire de MULCENT (YVELINES) ; M. Jacky BOUSSEL, maire d’ECHENAY (HAUTE-MARNE) ; M. Marcel MELLI, maire de SAINT-URCISSE (LOT-ET-GARONNE) ; M. Roland BOILLOT, conseiller régional de FRANCHE-COMTE (DOUBS) ; M. Charly LEFEBVRE, maire de DARGIES (OISE) ; M. Jean-Pierre MOUGET, conseiller régional de FRANCHE-COMTE (JURA) ; M. Frédéric BAUD, maire d’EVILLERS (DOUBS) ; M. Stéphane RAVIER, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Claude LEFEVRE, maire de VIGNEUX-HOCQUET (AISNE) ; M. Jean-Pierre LECLERCQ, maire d’EPENOUSE (DOUBS) ; M. Alain BOUTRON, maire d’ANZELING (MOSELLE) ; Mme Stelliane BETTEFORT, maire du CERCUEIL (ORNE) ; M. Daniel LHOMME, maire de TERREFONDREE (CÔTE-D’OR) ; M. Richard SCHALCK, maire de SIEGEN (BAS-RHIN) ; Mme Valérie HUART, maire de LANOUX (ARIEGE) ; M. Jean-Jacques GUILBERT, maire de CRECY-AU-MONT (AISNE) ; M. Bernard VILA, maire de MUSSY-LA-FOSSE (CÔTE-D’OR) ; M. Freddy BAUDRIN, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Franck BRIFFAUT, conseiller régional de PICARDIE (AISNE) ; M. Louis ALIOT, conseiller régional de LANGUEDOC-ROUSSILLON (PYRENEES-ORIENTALES) ; M. Benjamin TEHEURA, maire délégué d’une commune associée, TEHURUI, POLYNESIE FRANCAISE) ; M. Marcel MUSELET, maire de SAINT-DENOEUX (PAS-DE-CALAIS) ; Mme Joëlle REGAIRAZ, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (SAVOIE) ; M. Philippe LECOQ, conseiller régional du CENTRE (LOIRET) ; M. Alain CORNEVIN, maire délégué d’une commune associée, LANNES (HAUTE-MARNE) ; Mme Mathilde CYROT-LALUBIN, maire de SERGENON (JURA) ; M. James DUBOIS, maire de SAINT-REMY-DE-LA-VANNE (SEINE-ET-MARNE) ; M. François FORET, maire de MARCILLY-LA-GUEURCE (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Olivier LAMBERT, maire de HAGNICOURT (ARDENNES) ; M. Jean-Pierre GIRODON, maire de BOUFFRY (LOIR-ET-CHER) ; M. Jean-Claude DE ROYERE, maire de MOUZENS (DORDOGNE) ; M. Didier PARTOUT, maire de SAINT-LEGER-SOUS-BRIENNE (AUBE) ; M. Philippe MOQUET, maire de BARON (OISE) ; M. Carl Anton GUASTALLI, maire de PIAZZOLE (HAUTE-CORSE) ; M. Charles BELLINI, maire de VALLECALLE (HAUTE-CORSE) ; M. Raymond JOURDAIN, maire de SANCOINS (CHER) ; M. Guy JULO, maire de POULAINES (INDRE) ; M. Alain GASPARD, maire de CHAMPIGNY-SUR-VEUDE (INDRE-ET-LOIRE) ; Mme Françoise MUNIER, maire de SAINT-MARTIN-SUR-ARMANCON (YONNE) ; Mme Chantal BOJANEK, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Frédéric BROGNIART, maire de BERNIERES-LE-PATRY (CALVADOS) ; M. Jean-Marie VIEVILLE, maire de VRIGNY (MARNE) ; M. Christian LAUNAY, conseiller régional de BOURGOGNE (SAÔNE-ET-LOIRE) ; M. Bernard DUVERGER, maire de SAINT-LUCIEN (EURE-ET-LOIR) ; M. Francis SAVOYE, maire de COUIN (PAS-DE-CALAIS) ; M. Edouard FERRAND, conseiller régional de BOURGOGNE (YONNE) ; M. Denis LANDART, maire de LA GRANDVILLE (ARDENNES) ; Mme Marie-Thérèse COSTA-FESENBECK, conseiller régional, LANGUEDOC-ROUSSILLON (GARD) ; M. Gérard RUMEAU, maire de CHÂTEAUPONSAC (HAUTE-VIENNE) ; M. Alain PERSIN, maire d’AMBERIEUX (RHÔNE) ; M. Alain HERMIL-BOUDIN, maire de LAVARS (ISERE) ; M. Pascal FRIQUOT, maire de CLAMANGES (MARNE) ; M. Bernard BERNIER, maire de TANCOIGNE (MAINE-ET-LOIRE) ; M. Jean-Louis MEUNIER, maire de VENERE (HAUTE-SAÔNE) ; M. Michel RICHARD, maire de LA BASSE-VAIVRE (HAUTE-SAÔNE) ; M. Gérard VONAU, maire de FROENINGEN (HAUT-RHIN) ; M. David RACHLINE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAR) ; M. Alain SOGNI, conseiller régional du CENTRE (CHER) ; M. Robert SENNERICH, conseiller régional de FRANCHE-COMTE (HAUTE-SAÔNE) ; Mme Marie-Hélène PONTVIANNE, assemblée des Français de l’étranger ; M. Michel GUINIOT, conseiller régional de PICARDIE (OISE) ; M. Michel PERRIN, conseiller régional de CHAMPAGNE-ARDENNE (HAUTE-MARNE) ; M. Bernard PERSON, maire de SAINT-UTIN (MARNE) ; M. Jean-Claude MANFE, maire de CHANGY (MARNE) ; M. Jean-Marc MAURICE, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (PAS-DE-CALAIS) ; M. Jean-François JALKH, conseiller régional de LORRAINE (VOSGES) ; M. Jean-François BOULARD, maire de LONGUEVILLE-SUR-AUBE (AUBE) ; M. André RIGONI, maire de MELLES (HAUTE-GARONNE) ; M. Joseph GUGLIELMI, maire de FELCE (HAUTE-CORSE) ; M. Jean-Luc JEUDY, maire de LA LONGINE (HAUTE-SAÔNE) ; Mme Chantal DWIEL-BURGEAT, maire de BURCY (SEINE-ET-MARNE) ; M. Guy MICHEL, maire de SAINT-DISDIER (HAUTES-ALPES) ; M. Joël VARLET, maire de GERMINON (MARNE) ; M. Daniel FRESNAIS, maire de CLEREY-LA-CÔTE (VOSGES) ; M. Pierre NIQUOT, maire de CANTILLAC (DORDOGNE) ; M. Jean-Pierre BECQUET, maire de FRETTECUISSE (SOMME) ; M. Gérard JACQUES, maire de CIGOGNE (INDRE-ET-LOIRE) ; M. Christian DE LANGHE, maire de SAINT-MARTIN-LA-CAMPAGNE (EURE) ; M. Jean-Claude FONDACCI DE PAOLI, maire de RAPALE (HAUTE-CORSE) ; M. Hubert DE MESMAY, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (ALPES-MARITIMES) ; M. Gérald GERIN, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (BOUCHES-DU-RHÔNE) ; M. Charles PERROT, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (LOIRE) ; M. Bruno GAUGNION, maire de SOUDAINE-LAVINADIERE (CORREZE) ; M. Michel JESER, maire de LACADEE (PYRENEES-ATLANTIQUES) ; Mme Geneviève BERAUD SUBERVILLE , assemblée des Français de l’étranger ; M. Thierry SALLES, maire de FRONTIGNAN-SAVES (HAUTE-GARONNE) ; M. Michel CHASSIER, conseiller régional du CENTRE (LOIR-ET-CHER) ; M. Claude JUILLET, maire de CHAMPAGNE-EN-VALROMEY (AIN) ; M. Jean-Michel DUBOIS, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (EURE) ; M. Eugène CAVAILLE, maire d’USCLAS-DU-BOSC (HERAULT) ; M. Lucien HICKEL, maire de GERY (MEUSE) ; M. Joël SAINT LAURENT, maire de MONTIES (GERS) ; M. Dominique GREMIAUX, maire de BEAUMONT (VIENNE) ; M. Cyril TETUANUI, maire de TUMARAA, POLYNESIE FRANCAISE) ; Mme Yvonne DOLAT, épouse DRIAT, maire de FRESNOY-LE-CHÂTEAU (AUBE) ; M. Georges SAMSON, maire de BRETIGNY (OISE) ; M. Gilbert HAEHNEL, maire de RIMSDORF (BAS-RHIN) ; M. Pierre GOUJON, maire de THIZY (YONNE) ; M. André ESMIEU, maire délégué d’une commune associée, VALSAINTES (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE) ; M. Michel ADOLPHE, maire de LA LOGE-POMBLIN (AUBE) ; M. Francis ARCHINTINI, maire de SAINT-CHRIST-BRIOST (SOMME) ; M. Thibaut DE LA TOCNAYE, conseiller régional de PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR (VAUCLUSE) ; M. André AMIOT, maire de SORTOSVILLE (MANCHE) ; M. Jeannot NUSSBAUM, maire d’INGOLSHEIM (BAS-RHIN) ; M. Maurice FAUROBERT, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (ISERE) ; Mme Josette ROMUALDO, conseiller régional de BOURGOGNE (CÔTE-D’OR) ; M. Patrick LOUIS, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (RHÔNE) ; M. Vincent MULLER, maire de PETIT-TENQUIN (MOSELLE) ; Mme Marie-Estelle PREJEAN, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME) ; M. Robert MOUREAU, maire de SIGUER (ARIEGE) ; M. Régis PERCHERON, maire de BLANDAINVILLE (EURE-ET-LOIR) ; M. Gilbert SOMEIL, maire de VALBOIS (MEUSE) ; M. Gilles DELAUR, maire de LIMOUSIS (AUDE) ; M. Yannick DESSAINT, maire d’ERCOURT (SOMME) ; M. Jean-Claude COURMONT-LEPAPE, maire de HEDOUVILLE (VAL-D’OISE) ; M. Jean Nicolas IMPERINETTI, maire de PIANO (HAUTE-CORSE) ; M. Claude SCHMITT, maire de DIMBSTHAL (BAS-RHIN) ; M. Pierre BIRMES, maire de PUYLAROQUE (TARN-ET-GARONNE) ; M. Eric QUENARDEL, maire de BEAULIEU (ORNE) ; M. Pierre HECQUET DE BEAUFORT, maire délégué d’une commune associée, HOCQUINCOURT (SOMME) ; M. François DE RUNZ, maire délégué d’une commune associée, PAROIS (MEUSE) ; Mme Nathalie ACS, conseiller régional de NORD -PAS-DE-CALAIS (NORD) ; M. Philippe PIGNARD, maire de CLEPPE (LOIRE) ; M. Dominique MASSIAS, maire de PRASVILLE (EURE-ET-LOIR) ; M. Roland TETERCHEN, maire de FAILLY (MOSELLE) ; M. Thierry LEGIER, conseiller régional de HAUTE-NORMANDIE (SEINE-MARITIME) ; M. Joël CHEVAL, conseiller régional de RHÔNE-ALPES (DRÔME) ; M. Jean LUCIANI, maire de MONCALE (HAUTE-CORSE).

 

Election Présidentielle : la liste des parrains des candidats rendue publique

Election Présidentielle : la liste des  parrains des candidats rendue publique

Le Journal officiel a publié samedi les noms de 500 parrains par candidat, tirés au sort. Ces 5.000 noms ont été tirés au sort parmi les 14.790 parrainages qu’avait validés le Conseil constitutionnel le 19 mars. Il s’agit d’élus -maires, députés, conseillers généraux ou régionaux, notamment -de collectivités de tailles petites, moyennes ou grandes, chaque parrainage ayant la même valeur. Parmi les élus les plus connus dont le nom a été tiré au sort, figurent les ministres Thierry Mariani, Nadine Morano ou encore Patrick Ollier (pour Nicolas Sarkozy), les anciens ministres Alain Richard et Michèle André (François Hollande), les écologistes Yves Cochet, José Bové ou Antoine Waechter (Eva Joly), François Bayrou (pour lui-même). A noter que Philippe Poutou (NPA) a reçu le parrainage du leader nationaliste corse Jean-Guy Talamoni, conseiller à l’Assemblée de Corse. Marine Le Pen pour sa part a été parrainée par son compagnon Louis Aliot (élu de Languedoc-Roussillon) et aussi par son garde du corps Thierry Légier, par ailleurs conseiller régional de Haute-Normandie. 47.000 élus étaient habilités à parrainer un candidat, mais en pratique, compte tenu des cumuls de mandats, ils étaient 42.000 environ. Le système de parrainage a été institué en 1962, le nombre de signatures nécessaires étant passé en 1976 de 100 à 500, pour tenter de dissuader les candidatures farfelues. La candidate du Front national Marine Le Pen avait saisi le Conseil constitutionnel en février dernier pour lui demander de rétablir l’anonymat des parrainages, arguant que la publicité des noms des parrains facilitait « les pressions et les menaces » sur les élus.  La haute juridiction l’avait déboutée, jugeant que la règle de la publicité n’était pas contraire au « principe du pluralisme des courants d’idées et d’opinions » d’une démocratie. Outre Marine Le Pen, qui n’a pas rendu public le nombre exact de parrainages dont elle dispose, plusieurs candidats avaient franchi difficilement la barre, comme Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière, 521 signatures), Philippe Poutou (NPA, 572 parrainages) ou Nicolas Dupont-Aignan (708 signatures). La surprise était venu de Jacques Cheminade, déjà candidat à l’Elysée en 1995 (0,28% au premier tour), qui est parvenu à se qualifier pour la compétition officielle en déposant 538 parrainages.

 

Sarkozy : «Non au RMI Jeunes, oui à la banque de la Jeunesse», Hollande réplique « un RMI pour les anciens et une banque pour les vieux »

Sarkozy : «Non au RMI Jeunes, oui à la banque de la Jeunesse», Hollande réplique «  un RMI pour les anciens et une banque pour les vieux »

. Avec Sarkozy, Hollande dit «s’attendre à tout». Réagissant à l’annonce de Nicolas Sarkozy, cet après-midi, d’une banque pour la jeunesse, le candidat socialiste attaque : «Cet après-midi, il a promis une banque pour les jeunes, mais ce qui compte ce n’est pas de créer je ne sais quelle banque pour les jeunes.» «Ce qui compte c’est réformer le système bancaire dans son entier.» François Hollande prévient les Réunionnais : «Je m’attends à tout pendant encore trois semaines : il dira tout ce qu’il n’a pas pu faire et qu’il voudrait faire pour les cinq ans qui viennent.». C’est vrai comme nous sommes le  premier avril aurait pu répliquer en demandant » un RMI pour les anciens et une banque pour les vieux ».Voilà le niveau de la campagne, le caniveau. Placé presque systématiquement en tête dans les intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle, Nicolas Sarkozy a recommencé à croire à une victoire le 6 mai prochain, face à François Hollande.  Alors qu’il a placé la sécurité et l’immigration au cœur de sa campagne, le candidat UMP a défendu le droit des victimes, tout en attaquant «la pensée unique» des magistrats. Cet après-midi, c’est sur le terrain de la jeunesse qu’il est monté au créneau lors d’un meeting porte de Versailles avec les Jeunes UMP. Dans une charge contre son rival socialiste qu’il accuse de défendre une politique d’assistanat, «une injure à la jeunesse», il a annoncé la création d’une banque destinée à financer les projets des jeunes entrepreneurs.  François Hollande, toujours donné vainqueur au second tour, est, lui, en déplacement dans l’océan Indien. Confronté à la progression du candidat du Front de Gauche, il assure ne rien changer sur le fond à sa campagne. En revanche, il s’est fait très offensif sur la forme, attaquant à Mayotte comme à La Réunion le «candidat sortant», «président des promesses non tenues».  Autre candidat qui entend maintenir le cap face «au spectacle» donné par le PS et l’UMP, François Bayrou. Alors que l’UMP s’est lancé dans une opération séduction des électeurs centristes, le leader du MoDem prône «une loi qui change sévèrement les règles de financement de la vie publique en France». Dans sa ligne de mire : les «soupçons» sur le financement de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, sur fond d’affaire Bettencourt.

Reuters : Sarkozy en tête de justesse au second tour d’après l’IFOP-Fiducial -Paris Match

Reuters-Présidentielles : Sarkozy en tête de justesse au second tour d’après l’IFOP-Fiducial -Paris Match

 

Cette fois Sarkozy passe en tête non seulement au premier tour mais aussi au second d’après la très scientifique enquête quotidienne de l’IFOP –Fiducial Paris Match largement diffusée par Europe  et le JDD. Ce sondage observe d’abord la remontée de Sarkozy au premier tour qu’il avait été le premier à pronostiquer et à influencer en toute déontologie. Pour le second tour, l’IFOP a imaginé une alliance entre Sarkozy, Le Pen et Mélenchon. A la question : «  dans l’hypothèse, complètement invraisemblable d’une alliance entre Sarkozy, Marine Lepen et Mélenchon, pensez vous que le candidat président pourrait gagner le second tour, » 51% ont donc répondu oui. Ce qui permet à l’IFOP d’envisager maintenant la victoire de Sarkozy. Pour L’IFOP, c’est le premier avril tous les jours ; le sondage quotidien indique que l’enquête est faite auprès de 300 personnes par internet, mais il est effectué depuis quelques semaines auprès de quelques dizaines de journalistes de Paris Match, du JDD et d’Europe 1. Un sondage forcément scientifique  et indépendant. Et là ce n’est pas un poisson d’avril.

Sarkozy : invente une banque pour les jeunes ! Pourquoi pas une autre pour les femmes, une pour les quadragénaire, une pour les blonds, une pour les chauves, une pour les culs de jatte etc.

Sarkozy : invente une banque pour les jeunes ! Pourquoi pas une autre pour les femmes, une pour les quadragénaires, une pour les blonds, une pour les chauves,  une pour les culs de jatte etc.

Le  candidat de l’UMP a longuement fustigé à la porte de Versailles à Paris  l’assistanat, « cette dépendance pour la jeunesse », et promis le soutien de l’Etat à ceux qui veulent « travailler, étudier (ou) conquérir leur place ». Notamment en annonçant la création, s’il est réélu, d’une « banque pour la jeunesse » destinée à financer leurs projets.   »Je dis non à un RMI jeune, non à un RSA jeune mais je dit oui à une banque de la jeunesse (…) qui se portera caution pour tous ceux qui n’ont pas la chance d’avoir une famille qui peut les aider », a-t-il promis.  Autre annonce, le doublement, sans autre précision du nombre de bénéficiaires du service civique, qui a recruté depuis sa création il y a deux ans quelque 22.000 volontaires et envisage de porter ce nombre à 70.000 en 2014. Le président sortant n’a par contre pas prononcé un mot sur le chômage des jeunes, un fléau qui touche pourtant 20% des actifs de moins de 25 ans.  Contrairement aux usages de ses dernières sorties, Nicolas Sarkozy a surpris en s’abstenant de toute charge violente contre son rival socialiste François Hollande, toujours favori des sondages.  Malgré les encouragements insistants de son auditoire, qui a haché son discours de très nombreux « on va gagner » ou « Nicolas président ! », le chef de l’Etat s’est contenté de fustiger, au détour d’une plaidoirie pour la loi Hadopi, les « démagogues » et « apôtres du jeunisme ». Une allusion au candidat du PS qui veut remplacer cette loi protégeant les droits d’auteur.  A défaut d’entendre les paroles combatives de leur candidat, les jeunes de l’UMP ont pu satisfaire leur volonté d’en découdre en écoutant la « première partie » de la réunion, particulièrement virulente.  Pendant plus d’une heure, ministres et ténors de l’UMP se sont succédé à la tribune pour éreinter François Hollande et tordre le coup à l’idée que la jeunesse serait « l’apanage de la gauche ». Un défi puisqu’en 2007, Ségolène Royal avait raflé 63% des suffrages des 18-24 ans au second tour.  Le patron des jeunes de l’UMP Benjamin Lancar a ouvert le feu. « Imaginez comme cela doit être dur et déprimant d’être jeune et d’avoir François Hollande comme candidat ! », a-t-il raillé. « Protégez-nous de cette gauche qui veut nous enlever notre avenir », a enchaîné le conseiller régional Geoffroy Didier.  Même le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand y est allé de sa critique en fustigeant la « gauche caviar » ou la « gauche bobo »… Quant au secrétaire général de l’UMP Jean-François Copé, il a conclu sans nuance en désignant François Hollande comme « le candidat anti-jeune par excellence ».

 

Présidentielles-Financement des campagnes: réduire les financements occultes, d’après Bayrou

Présidentielles-Financement des campagnes: réduire les financements occultes, d’après Bayrou

« Je propose qu’on change la loi sur le financement des campagnes présidentielles. Je souhaite qu’on ait un financement public intégral pour tous les candidats qui dépasseront 5% au premier tour avec une interdiction des dons des particuliers », a expliqué François Bayrou à Bastia en pleine polémique sur un éventuel financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy par la famille Bettencourt.   »Je propose également un plafonnement sévère à 10 millions contre le double aujourd’hui des dépenses de campagne, ce qui permettra de remettre de l’égalité entre les candidats », a poursuivi M. Bayrou.  Interrogé sur le maintien en détention de Patrice de Maistre, ex-conseiller financier de Liliane Bettencourt, François Bayrou a estimé que la décision de la cour d’appel de Bordeaux ouvrait « un champ d’inquiétude et de suspicion très grand sur le financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy ».   »J’imagine que la cour s’est prononcée sur des éléments précis. En tout cas, il faut sortir de ces suspicions qui jettent une ombre sur la manière dont la démocratie française fonctionne », a-t-il ajouté rappelant avoir déjà proposé l’organisation d’un référendum sur la moralisation de la vie publique avec la suppression « des micro-partis qui ne sont pas autre chose qu’une manière de tourner la loi ».   »C’est la raison pour laquelle je propose que l’on sorte de tout cela par des décisions nouvelles et tranchées », a-t-il insisté.  Selon lui, les dons des particuliers aux candidats « sont souvent organisés pour détourner la loi. On cite l’exemple de puissances financières qui donnent de l’argent à leurs collaborateurs pour que chacun d’entre eux cotise aux campagnes. Si c’est vrai, c’est choquant », a-t-il déclaré.  Cette suppression des dons des particuliers aux candidats à la présidentielle « fera faire des économies à l’Etat car ils donnent droit à défiscalisation », a-t-il fait valoir.   »Quand on regarde les déséquilibres de moyens entre les uns et les autres, alors on s’aperçoit qu’il y a un problème dans la démocratie française », a-t-il dit.   »Je suis donc pour une loi qui change sévèrement les règles de financement de la vie publique en France », a conclu le candidat du MoDem.   »La démocratie américaine, sa principale faiblesse est de dépendre de puissances financières qui financent les campagnes électorales. Et bien, je considère qu’en France, on doit écarter ce type de financement pour avoir une loi stricte qui dise: il y a un financement public, tous les candidats sont à égalité et on évite la gabegie, les gaspillages ».   »Avec 10 millions d’euros, il y a largement de quoi faire une campagne électorale », a-t-il fait valoir en soulignant que le financement de la sienne ne dépasserait pas 7 à 8 millions d’euros.

 

A Besançon, Sarkozy se reconvertit en comique troupier (une reconversion nécessaire pour éviter l’incontournable chômage)

A Besançon, Sarkozy se reconvertit en comique troupier (une reconversion nécessaire pour éviter l’incontournable chômage)

« Lorsque je suis rentré en campagne, on m’a expliqué +mais pourquoi vous allez en campagne ? C’est fini, vous avez perdu+ », a-t-il lancé, « +vous avez vu les observateurs, vous avez vu les sondeurs, vous avez vu les pronostiqueurs, c’est pas la peine d’y aller, M. Sarkozy, c’est pas la peine, c’est fait+ ».   »Le lendemain où on m’a dit ça, j’ai vu un journal, il y avait M. Hollande qui disait: +je suis le prochain président+. Ah! Je me suis dit +il y a quelque chose qui a changé dans la Constitution de la Ve république, c’est plus les Français qui décident ? », a poursuivi le chef de l’Etat.  Je suis rentré en campagne avec la passion dont je suis capable. Et tout d’un coup je vois que les choses commencent à changer. Tout d’un coup je vois que les mines commencent à s’allonger. Et tout d’un coup je m’aperçois que certains qui étaient tout contents de faire campagne quand ils étaient tout seuls, ils trouvent que c’est plus compliqué quand je suis là », s’est amusé Nicolas Sarkozy, « oui, mais je suis là ! »   »Pendant des mois, ils ont fait campagne ensemble. C’est Ségolène qui voulait pas de François qui voulait pas de Martine et qui était pas soutenu par Laurent », a moqué le président en référence à la primaire socialiste. « Ils m’avaient oublié, c’était fini, ils étaient tranquilles, ils avaient fait un petit club, le petit club des socialistes heureux, heureux de se regarder le nombril, heureux de se contenter, heureux de se féliciter », a-t-il ajouté.   »Imaginez la migraine. Tous les matins ils doivent se dire +mon Dieu, il est encore en campagne+ », a encore ironisé M. Sarkozy. Avant de conclure en promettant une belle surprise à ses adversaires.

 

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