Archive pour le Tag 'présidentielles'

Présidentielles 2027 : de nouvelles têtes ?

Présidentielles 2027 : de nouvelles têtes ?

Il y a encore quelques jours voire quelques semaines on s’attendait à une bataille pour les présidentielles de 2027 avec comme principaux leaders Philippe, Mélenchon, Le Pen. Or on pourrait s’orienter vers une nouvelle liste remplaçant l’ancienne avec Retailleau, Bardella, Ruffin ou encore Glucksmann.

Parmi les nouvelles options, c’est le profil anti Macron ( beau parleur mais inefficace et contradictoire) qui risque d’orienter les électeurs vers de nouvelles têtes. Bref l’opinion publique semble souhaiter des candidats moins bavards mais plus actifs manifestant notamment une réelle autorité et une réelle efficacité dans tous les champs régaliens. On assisterait à un certain rejet des grands orateurs et des technocrates pour des personnages moins « brillants » mais plus audibles sur le terrain.

Le sondage d’aujourd’hui d’Odoxa vient bouleverser beaucoup de pronostics mêmes si évidemment rien n’est joué; reste que se manifeste la surtout un besoin de conviction réelle, de simplicité et d’efficacité. Le rejet des anciennes têtes de la droite pourrait coïncider aussi avec le rejet des anciennes têtes de la gauche comme celle de Mélenchon par exemple

Présidentielles 2027: Glucksmann pour une union de la gauche sans Mélenchon

Présidentielles 2027: Glucksmann pour une union de la gauche sans Mélenchon

Le député européen Raphaël Glucksmann appelle la gauche à se « rassembler sans LFI » pour un « projet puissant » lors de la prochaine élection présidentielle, dans une interview à La Tribune Dimanche ce 16 mars.

En 2027, « nous devons nous rassembler sans LFI », et « forger un projet puissant », appelle-t-il.

Raphaël Glucksmann assure notamment que son parti, Place publique, fondé en 2018, se tient « prêt à bâtir une offre politique commune avec les socialistes qui sera ensuite ouverte aux humanistes et écologistes qui veulent partir au combat avec nous ». Les deux partis étaient déjà alliés pour les européennes de 2019 et de 2024.

Plaidant pour un « cap clair », l’eurodéputé récuse toute « alliance nationale » avec La France insoumise et son leader Jean-Luc Mélenchon, avec lesquels il se dit « aux antipodes ».

Présidentielles 2027 : Darmanin candidat pour le bloc central

Présidentielles 2027 : Darmanin candidat pour le bloc central

Darmanin,  l’actuel ministre de la justice, souhaiterait une primaire qui désignerait pour le bloc central un  seul candidat aux  élections présidentielles de 2027.Il n’est pas sûr Édouard Philippe adhère à cette procédure lui qui se considère déjà comme le candidat légitime du bloc central.

Invité de BFMTV dimanche soir, l’ancien ministre de l’Intérieur se dit même prêt à la confrontation, ouvrant la porte à «un processus de sélection qu’on appelle la primaire» au sein du camp présidentiel. À condition que «ce ne soit pas évident de dire quel est le meilleur d’entre nous» et que «personne ne se dégage totalement» d’ici à deux ans.

Une hypothèse que l’élu de Tourcoing (Nord) envisage sérieusement, avec un objectif : que le bloc central n’ait «qu’un seul candidat» au premier tour de la présidentielle de 2027. Faute de quoi le second tour se jouera selon lui entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, et la figure du Rassemblement national (RN) finira par s’imposer face à son adversaire de La France Insoumise (LFI). «Mon souhait, c’est qu’on ne perde pas de temps, ayons un ou une chef, ayons un projet sur lequel on peut discuter», a-t-il sommé. Dans le cas contraire, «on ne sera pas au second tour : on sera sans doute très contents d’être soi-même, mais on sera tout seul et les Français nous en voudrons énormément.»

 

Politique–Présidentielles: le mandat à vie , la nouvelle martingale du pouvoir

Présidentielles: le mandat à vie , la nouvelle martingale du pouvoir
Jusque-là on avait trouvé différentes méthodes pour se maintenir au pouvoir avec quelques combines anti démocratiques notamment qui consistent à fixer le score d’une élection avant même de dépouiller les bulletins. Ainsi en Chine, Russie et dans bien d’autres pays autoritaires, on aboutit à des résultats de près de 90 % en faveur d’un président. Encore un peu et on dépassera les 100 % !

Désormais on a trouvé une technique encore plus efficace qui consiste tout simplement à se passer d’élections démocratiques. Il suffit pour cela d’adopter le concept de mandat à vie. C’est chose fait en Chine, en Russie dans d’autres dictatures et même aux États-Unis on s’interroge sur un troisième mandat de Trump. Pourquoi pas aussi un mandat à vie qui permettrait de s’affranchir totalement de la contrainte démocratique et en même temps pour l’oligarchie de piller  un peu plus les richesses d’un pays.

Des pays de plus en plus séduits par cette nouvelle démocratie notamment ceux qui se retrouvent dans ce concept fumeux de « Sud global » où on trouve surtout des pays autoritaires voire dictatoriaux. Assurés d’un mandat à vie, ces présidents deviennent rapidement à moitié fous menacent la paix, les équilibres internationaux et volent leur propre pays.

Présidentielles: le mandat à vie , la nouvelle martingale du pouvoir

Présidentielles: le mandat à vie , la nouvelle martingale du pouvoir
Jusque-là on avait trouvé différentes méthodes pour se maintenir au pouvoir avec quelques combines anti démocratiques notamment qui consistent à fixer le score d’une élection avant même de dépouiller les bulletins. Ainsi en Chine, Russie et dans bien d’autres pays autoritaires, on aboutit à des résultats de près de 90 % en faveur d’un président. Encore un peu et on dépassera les 100 % !

Désormais on a trouvé une technique encore plus efficace qui consiste tout simplement à se passer d’élections démocratiques. Il suffit pour cela d’adopter le concept de mandat à vie. C’est chose fait en Chine, en Russie dans d’autres dictatures et même aux États-Unis on s’interroge sur un troisième mandat de Trump. Pourquoi pas aussi un mandat à vie qui permettrait de s’affranchir totalement de la contrainte démocratique et en même temps pour l’oligarchie de piller  un peu plus les richesses d’un pays.

Des pays de plus en plus séduits par cette nouvelle démocratie notamment ceux qui se retrouvent dans ce concept fumeux de « Sud global » où on trouve surtout des pays autoritaires voire dictatoriaux. Assurés d’un mandat à vie, ces présidents deviennent rapidement à moitié fous menacent la paix, les équilibres internationaux et volent leur propre pays.

Marine Le Pen, comme Mélenchon, aussi dans les starting-blocks pour les présidentielles

Marine Le Pen, comme Mélenchon, aussi dans les starting-blocks pour les présidentielles

 

Marine Le Pen , comme Mélenchon, hypothèque déjà la fin de Macron;  du coup , elle est aussi dans les starting-blocks pour des présidentielles anticipées.

Elle estime que Macron a perdu la quasi-totalité de son pouvoir compris celui de choisir son premier ministre puisque par exemple il a dû s’incliner face à Bayrou alors qu’il aurait voulu nommer Lecornu pour Matignon.

Il y a aussi la faiblesse de Bayrou qui ne semble pas tout à fait en phase avec l’ampleur des défis et surtout leur urgence. Voir à cet égard le temps aussi qu’il met pour constituer un gouvernement où la mollesse de son intervention à l’Assemblée nationale.

Dans une interview au Parisien publiée ce mardi soir, la chef des troupes nationalistes à l’Assemblée assume «se préparer à une présidentielle anticipée»«Par précaution, compte tenu de la fragilité d’Emmanuel Macron, du peu de leviers institutionnels qu’il lui reste», prend-elle soin de préciser aussitôt. Marine Le Pen rejoint la rhétorique de Jean-Luc Mélenchon qui appelle à une destitution ou un départ du président de la République pour mieux avancer ses pions.

 Si le chef de l’État avait écarté toute démission lors de son allocution télévisée post-censure début décembre, son ancien adversaire de 2017 et 2022 maintient la pression. Et juge à l’inverse qu’«il y a beaucoup de raisons qui pourraient pousser Emmanuel Macron à mettre fin à son mandat», en citant les «problématiques» qui risquent de parcourir le bloc central, entraver la relation dans le couple exécutif, ou bien venir «des marchés financiers.»
Notons cependant que c’est peut-être joué avec le feu que de prévoir déjà une sorte de crise de régime qui contraindrait le président à démissionner. Il n’est pas du tout certain que la tri-répartition qui génère l’immobilité politique en France soit à alors  modifiée même après des élections législatives.

 

Sondage présidentielles: Marine Le Pen largement en tête

Sondage  présidentielles: Marine Le Pen largement en tête

Un sondage Ifop pour Le Figaro Magazine et Sud Radio révèle que Marine Le Pen améliorerait son score au premier tour de l’élection présidentielle. En fonction des candidats face à elle à gauche et chez les macronistes, elle recueille entre 36 et 38 % des intentions de vote.

 

Selon l’enquête, réalisée auprès de 1 107 personnes entre le 6 et le 9 décembre, Marine Le Pen progresse ainsi de deux points dans les intentions de vote par rapport au mois de septembre dernier. Si l’élection présidentielle de 2027 avait lieu aujourd’hui, elle serait la première qualifiée au second tour avec entre 36 et 38 % des suffrages.

Après deux mandats, la question du candidat macroniste qui remplacera Emmanuel Macron lors de ce scrutin se pose. Le sondage teste ainsi les candidatures de deux anciens Premiers ministres, celle du nouveau secrétaire général du parti présidentiel Gabriel Attal et celle du président du parti Horizons Edouard Philippe. Tous deux se qualifieraient pour le second tour, Gabriel Attal avec 20 % des voix contre 38 % pour Marine Le Pen, Edouard Philippe avec 25 % contre 36 % pour la candidate RN. Un score en tout cas plus faible que les près de 28 % obtenus par Emmanuel Macron en 2022.

Parmi les personnalités testées face à la présidente des députés RN, on retrouve également toutes les forces politiques candidates à l’élection présidentielle de 2022. Le sondage considère ainsi que la gauche partira divisée au premier tour, avec une candidature de Jean-Luc Mélenchon, de Marine Tondelier, d’Olivier Faure et de Fabien Roussel. Dans ce scénario, aucun des candidats de gauche ne serait en position de se qualifier au second tour. C’est le chef de file de La France insoumise qui réaliserait le meilleur score, recueillant 12 % des intentions de vote au premier tour, contre près de 22 % en 2022.

À droite, c’est la candidature de Laurent Wauquiez qui est testée, sans grand succès. Le président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale recueillerait entre 6 et 8 % des suffrages, le plaçant devant les candidats communiste, écologiste et socialiste, mais derrière Jean-Luc Mélenchon.

Enfin, le sondage envisage l’hypothèse selon laquelle Marine Le Pen serait déclarée inéligible au mois de mars, comme l’ont requis les procureurs dans le cadre du procès sur les assistants parlementaires européens du parti. Dans ce cas, elle devrait très probablement être remplacée par Jordan Bardella, qui a déjà mené la campagne des dernières élections législatives.

L’enquête d’Ifop teste ainsi une candidature du président du Rassemblement national, face à Edouard Philippe. Dans cette configuration, comme Marine Le Pen, Jordan Bardella se qualifierait au second tour en première position avec 34 % des voix, contre 26 % pour son adversaire.

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

Élections présidentielles   États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

 

 On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

 

 On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Politique- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ?

Politique- Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur ? On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur

Élections présidentielles États-Unis : les Américains vont-ils choisir un abruti et un voleur
On peut à juste titre s’interroger sur le risque que pourraient prendre les Américains en choisissant comme futur président un abruti et un voleur. On objectera qu’en France le niveau politique général bien qu’affaibli est cependant supérieur à celui des États-Unis ou le fric commande tout. En outre, le fait d’avoir choisi l’inconsistant Macron nous discrédite un peu quant à la pertinence de nos choix politiques. La France a en effet élu un adolescent condescendant et incompétent là où il y avait besoin de maturité et de vision stratégique.

Aux États-Unis où tout est permis on peut exprimer toutes les promesses, dire toutes les insultes y compris les plus personnelles. Trump fait du Trump. Ce qu’il a toujours fait en évitant d’ailleurs de faire des études et en trichant en permanence sur son patrimoine porté à bout de bras par des banques auxquels il a menti mais qui d’une façon ou d’une autre sont contraintes d’être solidaire des folies du milliardaire.

La vérité c’est que Trump n’a aucun projet, aucune visée stratégique voire aucune idéologie. Il peut changer de position à chaque instant en l’enveloppant dans son délire verbal inconsistant et d’une pauvreté intellectuelle qui désarme.

Il promet tout simplement de régler tous les problèmes mondiaux d’un claquement de doigt. En face évidemment les autres grandes puissances électriques politiques se réjouissent de la médiocrité d’un tel responsable notamment Poutine et les Chinois..
L’Europe subira sans doute aussi les conséquences de ce choix irrationnel avec la volonté américaine de ce désengager d’un continent qui présente moins d’intérêt pour elle que par exemple la zone asiatique.

Notons cependant que l’ascension de Trump est également due à un excès de bureaucratisation chez les démocrates englués eux aussi comme en Europe et en France dans des systèmes procéduriers et le copinage.

 

Sondage présidentielles États-Unis : Harris en tête

Sondage présidentielles  États-Unis : Harris en tête

 

À quatre semaines de la présidentielle américaine, Kamala Harris a pris une légère avance de 3 points sur Donald Trump, selon un sondage du New York Times publié ce mardi. La vice-présidente démocrate recueille 49% des intentions de vote à l’échelle nationale, contre 46% pour son rival républicain. La candidate de 59 ans effectue notamment une percée auprès des républicains qui sont 9% à la soutenir, selon ce sondage réalisé avec l’université Siena College.

 

La dernière enquête d’opinion du New York Times , publiée mi-septembre, plaçait les deux candidats à la Maison Blanche à égalité parfaite à l’échelle nationale, chacun à 47%.

Présidentielles: « moi aussi » (Hollande) !

Présidentielles: « moi aussi » (Hollande) !

 

Après Édouard Philippe qui s’est sans doute trompé  calendrier en affirmant qu’il était prêt pour les présidentielles y compris avant 2027, on va voir défiler une liste de candidats à la candidature suprême. Et François Hollande, toujours là d’affirmer « moi aussi ». Bref le retour des caciques. Ne manque plus que l’annonce de Sarkozy !Et bien sûr de Ségolène Royal !
Cela démontre à l’évidence le décalage énorme entre l’intérêt personnel des candidats et l’intérêt général. Un intérêt général qui plaide en priorité pour la nomination d’un gouvernement afin surtout que la France dispose d’un budget et répondre aux questions les plus urgentes du moment.La crise politique actuelle se nourrit bien sûre de l’invraisemblable dissolution de l’assemblée mais aussi de l’attitude irresponsable de la plupart des grands leaders politiques qui pensent surtout à l’élection présidentielle et non à la crise économique et sociale qui va s’ajouter à la crise politique.

L’élu de Corrèze a  été interrogé sur une éventuelle nouvelle candidature personnelle pour l’Élysée. Ce à quoi il a répondu: « Non, je ne l’envisage pas aujourd’hui. » Avant de préciser: « Je ne l’écarte pas non plus. ». Encore du « en même temps » mais à la sauce Hollande.

Sondages présidentielles américaines : Kamala Harris devant Trump

Sondages présidentielles américaines : Kamala Harris devant Trump

De nouveaux sondages publiés samedi aux États-Unis donnent Kamala Harris gagnante face à Donald Trump dans trois États clés, les Swings States, inversant la tendance de ces derniers mois, au moment où la campagne des Républicains bat de l’aile face au nouvel élan côté démocrate.

Mais la dynamique favorable côté démocrate depuis le retrait de Joe Biden au profit de Kamala Harris n’empêche pas les électeurs, selon les sondages, de préférer Donald Trump sur les grands thèmes de la campagne que sont l’économie et l’immigration. D’après ces mêmes sondages, les personnes interrogées la considèrent toutefois comme plus intelligente et dotée d’un meilleur profil pour gouverner le pays.

Mélenchon veut des présidentielles tout de suite

Mélenchon veut des présidentielles tout de suite

 

Mélenchon en rajoute sur la chienlit provoquée par Macron avec la dissolution de l’Assemblée nationale. Mélenchon veut le départ du chef de l’État en cas d’assemblée nationale à majorité introuvable. Comme ce sera vraisemblablement le cas. Le problème, c’est que l’organisation précipitée de présidentielles en rajoute une couche sur le désordre politique mais aussi économique qui va s’installer pendant des mois en France. En effet on ne peut pas bâcler une campagne présidentielle. Il faut au moins six mois pour l’organiser et permettre à la démocratie de jouer tout son rôle dans la sérénité. Or aujourd’hui il n’y a aucun courant qui remporte la majorité en France, aucun vrai leader qui s’impose, beaucoup de prétendants mais très peu d’hommes d’État. Ne parlons pas des programmes politiques qui ne sont que des catalogues de promesses qui seront vite oubliées une fois les élections législatives passées.

La France a un urgent besoin de redressement économique et de justice sociale, aussi d’autorité. Replonger immédiatement dans une campagne électorale serait favoriser un chaos encore plus grand.

Invité jeudi soir de TF1, l’ancien candidat à la présidentielle a affirmé que la France serait en effet «ingouvernable» si le chef de l’État restait à son poste.

Que se passerait-il si le pays, à l’issue des élections législatives dont le second tour se tiendra dimanche, était complètement ingouvernable ? Si aucune majorité, d’un côté comme de l’autre, ne se dégageait des urnes ? L’hypothèse, impensable il y a encore quelques semaines, pourrait bien se concrétiser, à la vue du sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio qui, malgré une courte avance pour RN, n’accorde la victoire absolue à aucun bloc.

 

Invité jeudi soir du «20 heures» de TF1, Jean-Luc Mélenchon a anticipé un scénario : avec une majorité introuvable, «la solution pour sortir de l’impasse, c’est qu’(Emmanuel Macron) s’en aille.» «C’est d’ailleurs assez normal, c’est lui qui est le responsable de la pagaille», a-t-il cinglé, en s’appuyant sur l’épisode du cartel des gauches, rassemblant radicaux et socialistes, qui avaient poussé à la démission en 1924 le président Alexandre Millerand  !

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