Archive pour le Tag 'présidentielle'
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Présidentielle 2017 : et encore un cadidat à 1% avec Philippe Poutou (NPA)
Encore un candidat de plus pour 2017 avec Philippe Poutou (NP A). Un motif de satisfaction : les élections présidentielles ne connaissent pas de crises de vocation. Si l’on compte les candidats déclarés et ce qui ont l’intention de se révéler, on doit sans doute parvenir maintenant à une trentaine de candidats. Soit à peu près 25 responsables susceptibles d’obtenir chacun autour de 1 %. Peut-on pour autant parler d’avancée démocratique avec une telle multitude de prétendants à la magistrature suprême ? Beaucoup en effet ne se présentent que pour obtenir ultérieurement un poste ministériel. Pour d’autres il s’agit d’une problématique existentielle, l’occasion d’apparaître pendant quelques semaines dans les médias. Il y a aussi les candidatures de témoignages de partis marginaux qui tentent de donner une légitimité à leurs orientations farfelues et irresponsables. En fait cette overdose de candidature ne grandit guère la démocratie, elle discrédite plutôt un système politique plus proche du cirque que de l’agora. Juridiquement on objectera que toute candidature est légitime sous réserve qu’elle reçoive les parrainages nécessaires. Mais d’une certaine manière il est plus facile d’être candidat à la fonction présidentielle que d’être candidat maire dans une petite commune. Du coup se pose les limites d’une démocratie et ses déviances qui ne sont guère de nature à réconcilier les français avec la politique. Cinq ans après sa première participation, Philippe Poutou briguera donc l’Élysée sous l’étiquette du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) en 2017. Le NPA, réuni à l’Université de Nanterre pour sa Conférence nationale ces 19 et 20 mars, a désigné Philippe Poutou dans une déclaration votée « à plus de 95%« , a indiqué Jean-Marc Bourquin, responsable communication du mouvement. En 2012, Philippe Poutou avait obtenu 1,15% des voix au premier tour. Il se voulait alors le « porte-parole de ceux qui trinquent ». Né le 14 mars 1967 à Villemomble (Seine-Saint-Denis), de père facteur et de mère sans emploi, ce réparateur de machines-outils de l’usine automobile Ford de Blanquefort (Gironde) s’est fait connaître à travers son combat à la CGT pour la sauvegarde des emplois au sein de son usine. Au NPA, il a repris le flambeau d’Olivier Besancenot. Il s’agit de la troisième candidature de gauche pour l’élection présidentielle de 2017, après Jean-Luc Mélenchon, le fondateur du Parti de gauche, et Nathalie Arthaud pour Lutte ouvrière : tous trois étaient déjà là cinq ans plus tôt.
Sondage Présidentielle 2017 : Hollande dehors
D’après tous les sondages, notamment le dernier celui de TNT Sofres, Hollande sera battu dans tous les cas en 2017. Il ne parviendra même pas à se qualifier pour le second tour. Hollande est coincé autour de 20 % des voix dans toutes les hypothèses. Marine Le Pen pourrait, elle, figurer en tête du premier tour mais serait de toute façon balayée au second par un candidat de droite. Saufs événements exceptionnels difficilement prévisibles, Hollande n’a donc aucune chance pour 2017. Dès lors si la gauche voulait concourir avec quelques chances de succès et lui faudrait par exemple soutenir quelqu’un comme Valls ou un autre. N’importe quel autre candidat de la gauche ferait mieux que Hollande qui de toute façon n’en a cure, ne croit qu’en sa bonne étoile et s’assoit totalement sur l’intérêt général fut-il réduit aux dimensions de son courant politique. Interrogés les 14 et 15 décembre, soit au lendemain du second tour des régionales, par TNS Sofres, les Français ne veulent toujours pas de François Hollande comme prochain président de la République. Dans le cas où Nicolas Sarkozy serait désigné par la primaire comme le candidat de la droite, il recueillerait 24 % d’intentions de vote si François Bayrou (10,5 %) se présentait. Dans ce cas, François Hollande ne recueillerait que 19 % quand Marine Le Pen, elle, en engrangerait 26 %. Au second tour, les Républicains remporteraient l’élection. La présidente du FN serait dans l’incapacité de remporter l’élection. Face à elle, Nicolas Sarkozy recueillerait 64 % des voix. De son côté, Alain Juppé atteint les 70 % avec des reports de voix impressionnants de 100 % des électeurs UDI et Modem au premier tour, de 94 % du Front de gauche et de 95 % du PS… mais seulement 86 % de la part des électeurs Républicains. «Il est clair qu’Alain Juppé possède la capacité de captation la plus large en étant le seul à devancer Marine Le Pen. Autre enseignement de ce sondage, l’échec du Front national et singulièrement celui de Marine Le Pen au second tour des régionales, n’est pas perçu comme un élément déstabilisateur dans la mobilisation du vote FN. «Les électeurs frontistes sont toujours les plus déterminés et sûrs de leur choix, note Emmanuel Rivière. 96 % des sympathisants FN voteraient Le Pen quand 80 % des sympathisants LR choisiraient Sarkozy et seulement 72 % Juppé». La surprise, à gauche vient du Front de gauche où, même au lendemain des élections régionales désastreuses pour Jean-Luc Mélenchon, ce dernier recueillerait entre 10,5 et 12 % des intentions de vote. Cécile Duflot, si elle était candidate ne capterait pas plus de 3 %.
Sondage Présidentielle 2017 premier tour : Hollande éliminé dans tous les cas et Marine Le Pen à 29%
Sondage Présidentielle 2017 premier tour : Hollande éliminé dans tous les cas et Marine Le Pen à 29%
Dans tous les cas Hollande serait éliminé, avec une marge encore plus importante si le candidat de la droite est Juppé. Alain Juppé devancerait en effet largement François Hollande au premier tour de l’élection présidentielle et serait au coude-à-coude avec Marine Le Pen, si le scrutin avait lieu dimanche, selon un sondage IFOP-Fiducial publié vendredi. Dans l’hypothèse d’une candidature de Nicolas Sarkozy pour Les Républicains (LR), celui-ci ne devancerait l’actuel chef de l’Etat que de deux points, 23% contre 21%, loin derrière Marine Le Pen, à 28%. François Bayrou recueillerait 12% des intentions de vote, Jean-Luc Mélenchon 8%, Nicolas Dupont-Aignan 3,5% et Cécile Duflot 2%, selon cette enquête pour Sud Radio et Lyon capitale. Si Alain Juppé était le candidat LR, il obtiendrait 27% des suffrages au premier tour, deux points derrière la présidente du Front national (29%), mais loin devant François Hollande, crédité de 19% d’intentions de vote. Dans ce cas de figure, si François Bayrou était également candidat, il recueillerait 9% des voix, Jean-Luc Mélenchon 8%, Nicolas Dupont-Aignan 3% et Cécile Duflot 2%. Si François Bayrou n’était pas candidat, Alain Juppé arriverait cette fois en tête avec 31,5% des intentions de votes, devant Marine Le Pen (29%), et loin devant François Hollande à 20,5%. Jean-Luc Mélenchon serait à 9%, Nicolas Dupont-Aignan à 4% et Cécile Duflot à 3%. Dans tous les cas de figure, Nathalie Arthaud (LO) et Philippe Poutou (NPA) oscillent entre 1% et 2%.
Présidentielle 2017 : Christine Lagarde candidate ? Au secours !
Dans un sondage de Harris, 50% des Français interrogés estiment qu’elle ferait « une bonne présidente ». La preuve sans doute que les Français sont globalement assez incultes en matière d’économie. Dans ce classement, Christine Lagarde est suivie par Martine Aubry (40%), Ségolène Royal (36%) Commentaire de Jean-Daniel Lévy, le directeur du département politique et opinion de Harris Interactive, contacté par RTL.fr. Ainsi, l’ancienne ministre de l’Économie profiterait d’une image « de force par-delà les frontières car c’est une personne qui a discours un clair et une zone de compétences bien établie« , ajoute Jean-Daniel Lévy. On rêve en prenant connaissance de ce sondage et des commentaires. Lagarde, Aubry, Ségolène candidates potentielles à la présidentielle. Ou l’incompétence sacralisée par des marchands d’opinions tout auusi ignares que les personnalités évoquées. Lagarde qui a accordé « sans y prêté attention » 400 millions à tapie ; Lagarde qui a mené la politique économique catastrophique de Sarkozy (auusi inefficace que celle de Hollande), Lagarde enfin et surtout dont la qualité essentielle est de savoir lire les communiqué du FMI (avant ceux de Bercy ,dixit Alain Minc) ; Bref, une nulle totale mais quelle classe, quel accent anglais ! Aubry qui a mis en place les 35 heures et tué la compétitivité de la France, Ségolène enfin, la folle, qu’on devrait interner pour sa mauvaise foi et ses contradictions permanentes sur l’environnement et le reste. Selon Bruno Cautrès, chercheur au CNRS et au Cevipof joint par RTL.fr, ce sondage traduit « une opinion à un certain niveau de généralité » de voir Christine Lagarde « jouer un rôle au sein de la politique française mais il ne s’agit pas de préférences directement traduisibles politiquement et encore moins d’intentions de vote ». Les personnalités politiques sont « plus appréciées lorsqu’elles se tiennent à l’écart de l’actualité. On l’a observé avec Jacques Chirac qui est devenu plus populaire après la fin de sa présidence. Même chose pour Nicolas Sarkozy avant qu’il prenne la tête des Républicains », explique-t-il. Et cette observation s’applique également à Christine Lagarde, qui est toujours dans la sphère publique mais loin du territoire français. Mais il existe « un cas particulier Christine Lagarde », selon le chercheur au CNRS. »Elle a toujours eu une image de technocrate qui s’est imposée par son aura, sa compétence et son travail. Et dire qu’on paye des chercheurs au CNRES pour sortir de telles âneries. Sans aussi un sociologue ou spécialiste de la politique qui ignore tout de l’économie.
Présidentielle 2017 : avec Mariton encore un candidat à la primaire de la droite
Avec Mariton, Ils devraient être au moins 7 présents au primaire de la droite, peut-être même 8 si NKM se décide voire une dizaine. Jusqu’alors un leader s’était toujours dégagé et on s’était abstenu de formalités démocratiques pour désigner le candidat aux présidentielles. Pour ne pas être en reste avec le PS la droite se lance donc dans un périlleux exercice. Périlleux pourquoi ? Parce que ce n’est pas vraiment dans la culture de la droite de désigner son chef de cette manière et c’est aussi en contradiction avec l’esprit des institutions de la Ve République qui ont pour philosophie de ne pas laisser les élections présidentielles prisonnières des parties politiques. Le risque évidemment c’est que les différents candidats se battent comme des chiffonniers et se laissent entraîner dans les surenchères. En outre cette campagne pour les primaires qui a déjà commencé a fait apparaître d’assez fortes contradictions entre les candidats. Cette campagne est sans doute prématurée car les préoccupations majeures des Français ne concernent pas le fonctionnement interne des parties mêmes lorsqu’il s’agit de déterminer leur chef. La préoccupation majeure concerne la croissance l’emploi et la fiscalité. D’une certaine manière cette bataille des chefs au sein de la droite risque d’apparaître un peu décalée. Il y a donc un candidat de plus à cette primaire avec Marie temps ; ce dernier avait déjà annoncé qu’il n’excluait pas de se présenter à la primaire de la droite et du centre pour les élections présidentielles de 2017 et qu’il se donnait jusqu’à la fin de l’année pour y réfléchir. Ce dimanche 20 septembre, Hervé Mariton a officialisé sa décision lors d’une interview au Figaro. Le député Les Républicains de la Drôme devrait donc se retrouver opposé à Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, Nadine Morano, Xavier Bertrand et peut-être le président du parti, Nicolas Sarkozy. Hervé Mariton, qui était déjà candidat à la présidence de l’UMP, devenu depuis Les Républicains, l’an dernier, explique se présenter « parce que (je) pense que l’intérêt de la France commande qu’un candidat libéral porte le projet d’une société ouverte, pour rendre aux personnes et à la société civile la maîtrise de leur destin ». Il estime être bien placé « pour tirer les leçons de la tragédie de François Hollande au pouvoir », « mais également de l’échec de 2012″, rappelant qu’il sera le seul candidat de cette primaire à ne pas avoir fait partie de l’exécutif du quinquennat de Nicolas Sarkozy. Son programme sera détaillé dans un livre publié à la fin 2015 et intitulé « Le printemps des libertés ».« Je n’ai pas d’objectif chiffré en tête, mais j’espère être l’heureuse surprise de cette primaire. Si, au minimum, je réitère mon score lors de l’élection à la présidence de l’UMP (6,32%, NDLR) et que quelques mois plus tard, je suis nommé Premier ministre, je ne me plaindrai pas ! Si je peux peser sur la ligne de la droite et du centre pour 2017, je prends », affirme Hervé Mariton,
Présidentielle 2017 : François Bayrou l’outsider
Présidentielle 2017: DSK devant Hollande !
À la question de savoir quelle personnalité ferait le meilleur candidat pour porter les couleurs de la gauche, 37% des sondés répondent volontiers DSK. Seul Manuel Valls fait mieux avec 47% des suffrages. Ce classement est complété par Ségolène Royal (32%), Martine Aubry (28%), Arnaud Montebourg (24%) et… l’actuel locataire de l’Élysée. François Hollande n’obtient que 23% d’opinions favorables .(D’après un sondage Viavoice pour Libération. ). Chez les sympathisants de gauche, l’ancien patron du FMI n’arrive toutefois qu’en cinquième position loin derrière Manuel Valls et Martine Aubry. François Hollande se classe troisième, ex æquo avec Ségolène Royal. Pour le directeur de Viavoice, « ces résultats expriment avant tout un désir de rupture vis-à-vis de ce qui est ». Quelques jours après sa relaxe dans l’affaire du Carlton de Lille, Dominique Strauss-Kahn représenterait le candidat de la transgression dans un duel Nicolas Sarkozy-François Hollande que les Français veulent à tout prix éviter. D’autant que si 63% des Français désapprouvent la politique mise en oeuvre par l’actuel gouvernement, près de la moitié d’entre eux (48%) estiment que les Républicains ne feraient pas mieux. Idem pour le Front national.
Présidentielle 2017 :non à Hollande pour 77%
Curieuse démocratie, il a suffi qu’une poignée de militants socialistes votent la motion majoritaire pour légitimer la candidature de Hollande en 2017. Pourtant les Français ne veulent pas de cette candidature à 77%. Ils vont comprendre quand les dirigeants socialistes ? La candidature de Hollande relève de l’imposture démocratique puisqu’en même temps il se dispense des primaires ! Si la motion soutenue par le gouvernement a remporté 60% des votes lors du Congrès un Français sur cinq est favorable à une candidature de François Hollande. Si la motion portée par Jean-Christophe Cambadélis est venue valider la ligne du président de la République et de son gouvernement, sa cote de popularité peine toujours à décoller. 77% des Français rejettent une possible candidature de François Hollande à la présidentielle de 2017, selon un sondage Odoxa pour « Le Parisien/iTÉLÉ ». Même les sympathisants de gauche votent majoritairement contre leur chef de file (54%), alors que le pourcentage monte à 90% chez les sympathisants de droite. Des chiffres en léger mieux malgré tout alors qu’ils n’étaient que 15% à appeler de leurs vœux un second mandat présidentiel, contre 21% ce samedi 23 mai. Si les frondeurs ont subi une lourde défaite lors du Congrès du PS, la route est donc encore longue pour François Hollande surtout que les résultats de la motion de Jean-Christophe Cambadélis est à nuancer avec le faible taux de participation des socialistes. Mais le chef d’État ne compte pas baisser les bras alors que pour 58% des Français, ce dernier est déjà en campagne pour 2017. Une situation qu’il avait largement décriée chez son prédécesseur Nicolas Sarkozy, lors d’un meeting au Grand-Quevilly en février 2012 : « Le président candidat et désormais candidat président. Quel bouleversement », rappelle Le Parisien.
Présidentielle 2017 : 21% pour Hollande
Après la parenthèse du 11 janvier, Hollande glisse à nouveau lentement vers les abimes. 77% des Français restent opposés à ce que François Hollande brigue un second mandat en 2017. Certes ces événements du 11 janvier lui ont permis de regagner un peu de popularité mais il est largement devancé par Valls (51%) . A noter cependant que Sarko ne fait pas mieux et que la baatille du premier tour pour se qualifier est encore loin d’être jouée. Seul un Français sur cinq (21%) souhaite que le président François Hollande se représente en 2017, selon un sondage BVA pour Orange et iTélé publié samedi. Mais cette proportion a doublé par rapport à une enquête de novembre dernier où le chef de l’Etat récoltait 10%. En revanche, ils sont 77% à être opposés à ce que François Hollande brigue un second mandat. Une proportion identique à celle observée la semaine dernière par le même institut pour son prédécesseur Nicolas Sarkozy (77% ne veulent pas qu’il se présente en 2017 contre 22%). Pour François Hollande, «ce score reste bien sûr très médiocre, mais il est toutefois en progression de 11 points par rapport au mois de novembre (…) avant notamment les attentats de Paris et la grande marche du 11 janvier», note Eric Bonnet, directeur des études politiques chez BVA Opinion. D’après lui, la progression est «spectaculaire» chez les électeurs de gauche (45%, +25) et les sympathisants socialistes (58%, +30). Et selon cette étude, si François Hollande ne se représente pas, c’est son Premier ministre Manuel Valls qui serait de très loin le candidat PS préféré des Français (51%, +5 par rapport à novembre). Il arrive très nettement devant le maire de Lille, Martine Aubry, (22%, -3) et l’ancien ministre de l’Economie, Arnaud Montebourg, (18%, -2). La proportion est encore plus forte chez les sympathisants PS pour Manuel Valls (64%, +15). Par ailleurs, 37% (+11 par rapport à juillet) des Français pensent que la situation de la France sera meilleure qu’aujourd’hui à la fin du mandat de François Hollande contre 61% (-10) qui pensent qu’elle sera moins bonne.
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Présidentielle 2017 : Aurélie Filippetti « veut des primaires », il n y aura que ça !
Aurélie Filippetti, une des rares responsables socialistes qui ait un peu de culture (elle est agrégée de lettres) veut des primaires en 2017 ; de ce point de vue elle sera servie car entre Hollande, Valls, Hamon ou encore Sapin, c’est le concours des bonnets d’âne sur le plan culturel. Certains objecteront avec raison que ce n’est pas la spécificité des socialistes que cela vaut pour la droite et l’extrême droite. Sans doute pas un motif suffisant pour que le système oligarchique ne fasse émerger que des primates y compris à la présidence de la république. Sarkozy, Hollande, Valls et même Marine Lepen, de purs produits du système d’une nullité culturelle affligeante et qui plus est bien loin des réalités économiques et sociales. Un double handicap en quelque sorte. Selon l’ancienne ministre, Aurélie Phipetti, le Parti socialiste ne pourra renouer avec le succès qu’en étant « novateur » et en proposant « un projet pour le pays ». Un projet qui passerait d’abord par le choix d’un candidat pour la prochaine présidentielle. « Je suis favorable à des primaires », rappelle la députée, qui ne semble pas voir François Hollande en candidat idéal à sa succession. Tu m’étonnes !
Présidentielle 2017 : Juppé nettement favori face à Marine Le Pen
Juppé, cest pas vraimenet nouveau , ni vraimenet très sexy mais les français semblent fatigués des calemots qui font le contraire de ce qu’ils disesnt. En cas d’un face-à-face entre Alain Juppé et Marine Le Pen, 49% des sondés choisiraient donc le maire UMP de Bordeaux, 21% la présidente du Front national et 30% ne se prononceraient pour « aucune de ces deux personnalités », selon un sondage Ifop publié ce dimanche 15 juin par Atlantico. Nicolas Sarkozy ferait moins bien. L’ancien président recueille les faveurs de 41% des sondés, contre 19% pour Marine Le Pen. La part des sondés ne se prononçant pour aucun des deux augmente alors de 10 points, à 40%. François Fillon recueille quant à lui 44%, contre 22% pour Mme Le Pen (34% pour aucun des deux). Autre fait notable à droite, Nicolas Sarkozy est celui qui recueille le plus de soutien parmi les sondés se disant proches du FN (17%, contre 80% pour Marine Le Pen), nettement plus que Alain Juppé (5%-93%) et François Fillon (7%-91%). Manuel Valls devance Nicolas Sarkozy et François Fillon avec 45%, mais face au Premier ministre, les soutiens de Marine Le Pen s’élèvent à 24% (31% pour aucun des deux). Enfin, François Hollande ne recueille que 33%, contre 29% pour la présidente du FN (38% pour aucun des deux).
Sondage Présidentielle 2017 : ni Hollande, ni Sarkozy
11% seulement des Français estiment que François Hollande ferait un bon candidat pour le PS en 2017 et 39% que Nicolas Sarkozy le serait pour l’UMP, selon un sondage Ipsos/Steria publié dimanche soir*. Selon ce sondage, réalisé avant le scrutin européen, le meilleur candidat pour le PS serait Manuel Valls et pour l’UMP, Alain Juppé. Dans le détail, l’actuel chef du gouvernement ferait un bon candidat PS en 2017 pour 49% des Français, Martine Aubry pour 25%, Ségolène Royal 19%, Arnaud Montebourg 14% et François Hollande 11%. Si l’on prend en compte les seuls sympathisants de gauche, Manuel Valls ferait un bon candidat pour 60% d’entre eux, François Hollande pour 24%.Côté UMP, Alain Juppé ferait un bon candidat pour 49% des Français, Nicolas Sarkozy pour 39%, François Fillon pour 31% et Jean-François Copé pour 9%. Si on prend en compte les seuls sympathisants de la droite et du centre, Alain Juppé comme Nicolas Sarkozy ferait un bon candidat pour 66% d’entre eux. Le retour de Nicolas Sarkozy n’est souhaité que par 38% des Français, 62% y étant opposés. S’il est souhaité par 86% des sympathisants UMP, il ne l’est que par 45% des sympathisants UDI, selon ce sondage réalisé pour France Télévisions, Radio France, Le Point, LCP/Public Sénat, France 24.
Hollande-Gayet : « La fonction présidentielle est discréditée », (Hervé Morin). ou l’emphase pour combler l’indigence
Hervé Morin qui n’a pas écrit ‘ « Voyage au bout de la nuit » comme dirait Lucchini s’emporte et considère que Hollande a déconsidéré la fonction de président. Il pousse un peu le bouchon l’ami Morin. Certes cette anecdote révélée est plutôt dérangeante pour Hollande mais il n’ya pas mort d’homme. Encore moins atteinte à l’intégrité de la république ; Morin confond la transparence politique avec la propreté des slips. En fait Morin n’a jamais eu grand chose de très pertinent à dire, il n’a jamais pesé beaucoup et utilise l’emphase pour masquer le vide de sa pensée politique. Sil fallait condamner tous les présidents de la république qui se laissent aller à quelques infidélités, alors il n’en resterait pas beaucoup. C’est même une tradition (pas seulement française). Pour Le président du Nouveau Centre, Hervé Morin, est revenu sur la révélation par le magazine « Closer » d’une éventuelle liaison entre François Hollande et Julie Gayet. Les Français ont été nombreux à s’intéresser à la une de Closer vendredi 10 janvier. « Moi le premier », a confié Hervé Morin samedi sur RTL, avouant qu’il s’est procuré le numéro du magazine, qui révélait une supposée liaison entre François Hollande et Julie Gayet. »François Hollande a un peu plus discrédité la fonction présidentielle, il a franchi un cap supplémentaire », a dénoncé le président du Nouveau Centre. « On n’est plus dans les années 1970″, a concédé Hervé Morin, expliquant « qu’il y a une équation à trouver entre exigence de transparence et le fait de protéger au maximum sa vie privée ». Sans doute une sorte de modèle économétrique de l’apparente vertu !
Comme pour une majorité de français, la campagne présidentielle n’affecte pas le moral des patrons d’après OpinionWay
La campagne électorale laisse de marbre les dirigeants d’entreprises moyennes ou intermédiaires qui participent chaque mois à l’enquête* de l’Observatoire de la performance des PME-ETI réalisée pour la Banque Palatine, Challenges et iTélé par l’institut OpinionWay. Ils ont plutôt le moral en hausse avec un taux de confiance de 38% – inédit depuis le printemps 2011- et estiment à 67% que cette période un peu particulière n’a pas d’impact sur leur chiffre d’affaires. Dans le catalogue de propositions de François Hollande, ils sont plutôt d’accord (à 57%) avec l’idée de moduler le taux d’impôt sur les sociétés en fonction de l’importance du chiffre d’affaires. Quant à la proposition - du candidat Nicolas Sarkozy cette fois – de fixer la rémunération des dirigeants d’entreprises en assemblée générale elle divise nos patrons puisqu’ils n’y sont qu’à 46% favorables, la majorité s’accommodant de la situation actuelle, où c’est le conseil d’administration qui est en charge de cette mission. A noter, et c’est une bonne nouvelle pour le futur président de la République, que les intentions d’embauches nettes à six mois du panel sont en hausses, aussi bien pour l’ensemble des effectifs que pour les cadres. Seul petit bémol, la situation de l’économie mondiale, qui préoccupe un peu plus les personnes interrogées qu’au mois dernier.