Archive pour le Tag 'présidentielle'

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Présidentielle : et un de plus avec Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne)

Présidentielle : et un de plus avec Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne)

 

La gauche reprend espoir avec maintenant la multiplication des candidatures dans la perspective des présidentielles. Cette fois c’est Pierre Larrouturou qui annonce sa candidature. Il propose notamment de réduire le temps de travail à quatre jours par semaine. Une proposition qui pourra être bien accueillie par certains mais mal par d’autres qui considèrent à juste titre que le pays est déjà affecté par un manque chronique de productivité et de compétitivité. Plus généralement par une insuffisance de travail en France. D’une certaine manière, l’intéressé rejoint les écolos gauchistes auxquels il propose une candidature unique (de Mélenchon aux écolos bobos).

Présidentielle 2022 : Delphine Batho aussi candidate

Présidentielle 2022 : Delphine Batho aussi  candidate

 

Et une de plus chez les verts avec Delphine Batho qui sera également candidate à la candidature pour 2022. Celle qui a navigué entre les différents courants écologistes et socialistes s’invite donc à la compétition.

Avec en plus une orientation particulièrement confuse et contradictoire: proposer «une autre écologie»«Il faut que les écologistes soient en capacité de prendre rapidement les responsabilités. À mes yeux, cela implique une autre écologie qui s’adresse à toutes et à tous, qui assume sa dimension régalienne et républicaine, qui assume la décroissance, et qui est indépendante par rapport aux anciens clivages partisans», a soutenu l’ancienne ministre de l’Environnement de François Hollande (2012-2013). Bref une écologie un peu verte, un peu rose, un peu flanc rouge, un peu anar et démago.

«Je m’en fous de savoir le parcours des électeurs et des électrices. S’ils sont pour le climat, s’ils sont pour la biodiversité, s’ils sont contre le consumérisme, contre les pesticides, ils ont vocation à voter pour les écologistes et à être les bienvenus», a-t-elle lancé.

Cinq écologistes sont désormais candidats à la primaire des Verts. En plus de Delphine Batho figurent l’ex-porte-parole d’EELV Sandrine Rousseau, le maire EELV de Grenoble Éric Piolle, l’eurodéputé EELV Yannick Jadot, et le président de Cap Écologie Jean-Marc Governatori.

Présidentielle 2022 : les seconds couteaux du parti républicain contestent les sondages

Présidentielle 2022 : les seconds couteaux du parti républicain contestent les sondages

 

 

La  droite s’étant  nettement réveillée au cours d’élections régionales, les prétendants se font plus nombreux pour l’échéance de 2022. Du coup pour tenter de piéger Bertrand, Pécresse et Vauquiez notamment souhaitent désormais une primaire élargie à la droite et au centre.

L’idée est évidemment d’écarter Xavier Bertrand, nettement tête dans les sondages, qui pour l’instant récuse cette procédure qui en général ne fait pas émerger le meilleur mais le plus consensuel et le plus médiocre. Une logique d’ailleurs qui s’applique aussi bien à droite que chez les écolos. Chez les écolos aussi celui qui est le mieux placé dans les sondages devra se soumettre à des primaires qui pourraient choisir  Éric Piolle le maire de Grenoble, candidat potentiel des verts ayant le moins de chances de figurer en 2022

Présidentielle: à droite Bertrand progresse

Présidentielle: à droite Bertrand progresse

Le président des Hauts-de-France qui, dans la foulée de sa réélection lors des régionales, enregistre une progression de 3 points de son score de premier tour à 18 %, selon une enquête Ifop-Fiducial pour Le Figaro et LCI.

Derrière, la présidente de l’Île-de-France progresse de 4 points, à 14 %, et celui de l’Auvergne-Rhône Alpes de 5, points à 13 %. «À dix mois du scrutin, Xavier Bertrand se positionne comme le troisième homme, mais il ne tue pas le match à droite», résume Frédéric Dabi, directeur adjoint de l’Ifop. Et ce, même si Bertrand reste la personnalité préférée des sympathisants et électeurs de droite pour les représenter en 2022, avec 40 %, contre 23 % pour Valérie Pécresse et 17 % pour Laurent

Présidentielle: une primaire ouverte à droite pour Bertrand et Pécresse

Présidentielle: une primaire ouverte à droite pour Bertrand et Pécresse

 

À l’évidence le responsable du mode de désignation du parti républicain, Léoneti,  souhaite que la primaire soit le plus ouvert possible pour ne pas éliminer les candidats qui ont les plus grandes chances de l’emporter éventuellement aux présidentielles. «si nous décidions d’interroger nos seuls militants LR, comment pourrions-nous demander à Valérie Pécresse, Xavier Bertrand ou nos amis centristes d’y participer?», a-t-il ajouté

Selon un sondage Ifop publié par le JDD, 46% des sondés estiment que Xavier Bertrand «ferait un bon candidat» de la droite pour 2022, suivi de Valérie Pécresse (42%), François Baroin (38%), Laurent Wauquiez (35%) et Michel Barnier (32%). Bruno Retailleau est à 18%.

Présidentielle 2022 : revoilà Poutou et les autres

Présidentielle 2022 : revoilà Poutou et les autres

 

Dans la prévision des présidentielles, le folklore français se réveille avec des candidatures surprenantes autant que régulières. Il y a notamment des fantaisistes qui profitent tous les cinq ans de l’occasion de paraître dans la petite lucarne alors que politiquement socialement il ne représente strictement rien. Cela vise presque la moitié des candidats. Parmi ceux-ci, il y a régulièrement un représentant du néandertalien parti communiste révolutionnaire et anticapitaliste, le NPA, anciennement la ligue communiste révolutionnaire.

 Un parti qui ne peut guère espérer beaucoup plus que 1 % mais qui va encore tenter de convaincre que la révolution peut régler les grands enjeux de la France. Il y aura aussi les bavardages de personnages fantaisistes sur la quinzaine de candidats. L’occasion exceptionnelle de débiter des discours ésotériques et peut-être aussi de satisfaire des egos.

Sondage Présidentielle 2022 : Bertrand vient talonner Macron et Le Pen

Sondage Présidentielle 2022 : Bertrand vient talonner Macron et Le Pen

 

selon un sondage Ipsos-Sopra Steria pour Radio France et France Télévisions paru ce dimanche, et une étude OpinionWay pour CNews, Macon et Le Pen sont toujours en tête mais désormais talonnés par Xavier Bertrand qui est crédité de 18 à 20 %. En tête figurent toujours Emmanuel Macron (24% à 27% ; 26% à 31%) et Marine Le Pen (24% à 26% ; 24% à 25%)

Xavier Bertrand, est le mieux placé à droite, devant Valérie Pécresse (12% ou 13%) et Laurent Wauquiez (13%).

Derrière, la gauche se divise en trois blocs à peu près équivalents. Yannick Jadot arrive tantôt en tête (10%), tantôt deuxième (8% à 9%). L’écologiste est dans un mouchoir avec la socialiste Anne Hidalgo (8% à 9% ; 7%), mais aussi l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon (7% ; 9% à 10%). Le communiste Fabien Roussel plafonne quant à lui à 2,5%.

Présidentielle en Iran : Une élection truquée qui enfonce la société civile

Présidentielle en Iran : Une élection truquée qui enfonce la société civile

 

 

Editorial du « Monde ». La République islamique d’Iran a opté pour un verrouillage sans précédent de l’élection présidentielle du 18 juin. Pour la première fois depuis l’élection du réformateur Mohammad Khatami en 1997, le scrutin s’est tenu sans véritable compétition. Les candidatures des prin­cipales figures réformatrices du pays, ainsi que de personnalités conservatrices, avaient été invalidées en amont par le Conseil des gardiens de la Constitution, dans le but d’assurer au chef de l’autorité judiciaire, l’ultraconservateur Ebrahim Raïssi, une victoire sans encombre.


Ce faisant, le régime a rompu avec une tradition qui offrait jusqu’alors un semblant d’exercice démocratique lors du scrutin présidentiel, dans un face-à-face entre deux camps : les partisans des réformes, ­favo­rables à une ouverture dans la société et vers le monde, contre les partisans de la révolution islamique, tenants d’une ligne antioccidentale et d’une plus grande limitation des libertés en Iran. A 82 ans, le Guide suprême, Ali Khamenei, organise sa succession. Il la souhaite sans remous, sans luttes intestines. Et, le président élu, Ebrahim Raïssi, 60 ans, est l’un des candidats probables.

Lors de cette élection, la voix des Iraniens n’a pas été entendue. Ils ont été nombreux à ne pas aller voter – 51,2 % se sont abstenus, selon des résultats définitifs publiés le 19 juin –, du fait du verrouillage de l’élection, mais aussi parce qu’ils ne croient plus possible de réformer le système politique par les urnes. L’élection d’Ebrahim Raïssi ne devrait certes pas avoir d’incidence dans les négociations en cours sur le dossier nucléaire, qu’une majorité d’Iraniens soutient. Le rétablissement des sanctions internationales sous l’ancien président Donald Trump est loin d’avoir affaibli le régime iranien, mais a aggravé les conditions de vie de la population, amené au décrochage économique de millions de personnes et affaibli la classe moyenne, moteur du changement dans le pays. En campagne, Ebrahim Raïssi a dit son intention d’honorer l’accord conclu en 2015 avec la communauté internationale, sur les consignes du Guide suprême. Ce dernier est déterminé à sauver l’accord nucléaire pour obtenir en retour une levée des sanctions et une relance économique.

 

Mais l’élection d’Ebrahim Raïssi pourrait être lourde de conséquences pour les Iraniens qui appellent à plus de droits et de libertés. Leurs revendications – la liberté de la presse, le droit de vivre dans la dignité, le respect de la méritocratie dans l’accès aux postes publics, la transparence du pouvoir et la détente avec le monde – n’ont pas pu s’exprimer lors du scrutin du 18 juin. Les Iraniens paient un lourd tribut chaque fois qu’ils tentent de se faire entendre, que ce soit lors des manifestations – dont les dernières en 2019 ont été réprimées dans le sang – ou par des actions pacifiques.

Ebrahim Raïssi détient un triste bilan en matière de droits humains.En 1988, alors qu’il n’avait que 28 ans, Il a été l’un des quatre juges qui ont décidé de la vie et de la mort de milliers de prisonniers politiques. Ebrahim Raïssi a toujours fait preuve de loyauté envers la machine répressive de la République islamique d’Iran, en jouant un rôle-clé dans les plus grands dossiers de la violation des droits humains. Sous son règne à la tête de l’autorité judiciaire (2019-2021), l’arrestation des militants politiques et leur condamnation à de lourdes peines de prison sont devenues la règle. L’élection d’Ebrahim Raïssi à la présidence est une très mauvaise nouvelle pour la société civile iranienne.

Présidentielle Pérou : Castillo contesté avec 50,1%

Présidentielle Pérou : Castillo contesté avec 50,1%

des résultats très contestés aux élections présidentielles du Pérou. Le socialiste Pedro Castillo était donné mardi en tête de l’élection présidentielle au Pérou avec 50,1% des voix, contre 49,9% pour sa rivale conservatrice Keiko Fujimori, après le dépouillement de l’ensemble des bulletins de vote.

L’issue du scrutin du 6 juin, qui a mis en relief de profondes divisions dans le pays, reste toutefois incertaine, Keiko Fujimori ayant dénoncé sans preuve une fraude électorale et demandé l’annulation de certains bulletins.

Sondage gifle à Macron : un recul de l’image de la fonction présidentielle pour 75 %

Sondage gifle à Macron : un recul de l’image de la fonction présidentielle pour 75 %

 

Visiblement les Français ne sont pas en accord avec la majorité des grands leaders politiques et les principaux médias qui condamnent sans nuance la gifle à Macron au motif qu’elle serait une insulte à la nation, aux institutions et à la France. Les Français sont plus précis quant à la signification politique de ce geste. Ils pensent en effet que c’est surtout la traduction d’un recul du respect de la fonction présidentielle. Une fonction présidentielle fortement abîmée par Macron notamment qui avilit la plus haute responsabilité politique par sa politique de communication démagogique notamment caractérisée par un activisme populiste assez pitoyable.

 

Exemple quand il se produit sur des sites douteux d’influenceurs, qu’il s’exprime sur le football ou sur n’importe quel fait divers.

Trois-quarts des Français interprètent ce geste comme le symptôme d’une «hausse globale de la violence dans notre société», et non comme un «acte isolé», selon l’expression employée par le chef de l’État lui-même. La scène est aussi perçue par 75% des citoyens comme «un recul du respect de nos concitoyens pour la fonction présidentielle». D’autres (62%) y voient «le très fort rejet personnel» que suscite le président.

Ce décryptage est partagé par les sympathisants de gauche, comme de droite. Il ne fait en revanche pas l’unanimité au sein des… sympathisants LREM. Sans surprise, 68% refusent d’y voir un rejet d’Emmanuel Macron.

Présidentielle 2022 : Enthoven choisit Le Pen face à Mélenchon

Présidentielle 2022 : Enthoven choisit Le Pen face à Mélenchon

Entre  «la Peste ou la Peste», «le brun ou le rouge-brun», Enthoven, le philosophe  choisit Le Pen. Il relativise cependant :

«D’abord, ça n’arrivera pas, gros malins», a prévenu d’entrée Raphaël Enthoven, jugeant que Jean-Luc Mélenchon fera «un score à un chiffre, et partira (ou pas) sous les quolibets et les ricanements». Le philosophe a ensuite dressé les points communs entre les deux figures des extrêmes, en relayant l’appel de Marine Le Pen aux Insoumis à faire barrage à Emmanuel Macron en 2017 : «Les deux sont d’accord sur l’Europe, l’OTAN, la Syrie, la Russie, la médiacratie, les retraites, les Tchétchènes, les gilets jaunes, les dictateurs (Orban, Chavez, Poutine…)».

Autre point commun, selon Raphaël Enthoven : leur «complotisme». Mais il oppose celui «tout en finesse» de la présidente du RN à celui du patron de LFI, «qui dénonce indifféremment les grands laboratoires, Agnès Buzyn» mais aussi, comme récemment, «les attentats ourdis et montés en épingle par le « système »». S’il reconnaît le talent de Mélenchon pour l’art oratoire, le philosophe lui reproche néanmoins le fait de ne plus être «républicain». Alors que, pour lui, Marine Le Pen est toujours la même : «Parfaitement incompétente, hésitante, indécise et vindicative».

Présidentielle 2022: Alerte aux ingérences étrangères

Présidentielle 2022: Alerte aux ingérences étrangères

 

Dans une interview au Figaro, François-Bernard Huyghe, directeur de recherche à l’Iris, fait le point sur le risque cyber autour du scrutin.

 

Tribune

 

 

Alerte cyber sur l’élection présidentielle d’avril 2022. « Les partis politiques doivent s’attendre à des tentatives d’ingérence étrangère », met en garde François-Bernard Huyghe, directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), dans le Figaro, vendredi 29 mai.

Plusieurs types d’attaques sont possibles. « Il y a les hackeurs qui parviennent à pénétrer dans les comptes, à récupérer les documents et les données des partis politiques », précise François-Bernard Huyghe. Le chercheur évoque également les « tentatives de sabotage » (panne du système, surcharge du site internet) ainsi que la « diffusion de fausses informations ou de faux messages. »

Qui seront les acteurs de ces cyberattaques ? « Il est très vraisemblable qu’en 2022 des particuliers puissent produire ce type d’attaques pour combattre leurs adversaires idéologiques. Cela pourrait également venir de l’étranger. Dans tous les cas, même s’il s’avère que certaines cyberattaques proviennent d’un pays comme la Russie, il est presque impossible de prouver qu’il s’agit d’une attaque d’État. [...] Il est probable que ceux qui subiront des cyberattaques accuseront la Russie, la Chine, la Corée du Nord ou l’Iran », analyse le directeur de recherche à l’Iris dans son interview au Figaro.

« Fake news ». D’après lui, les mouvements politiques français sont au courant : « Les partis politiques s’y préparent déjà en renforçant leur sécurité informatique et en utilisant des moyens de communication plus sécurisés, comme Telegram. »

Pour autant, il ne semble pas qu’il existe un risque réel pour le scrutin. « Il ne faut pas non plus développer de fantasmes, cela ne changera pas le cours de l’élection. Ce genre d’attaques ne peut avoir qu’un effet marginal », nuance François-Bernard Huyghe dans son interview au quotidien.

D’autres manœuvres sont néanmoins attendues : « Il y aura également certainement beaucoup de fake news et de « deep fakes » qui circuleront sur les réseaux sociaux », indique le chercheur, qui nuance là aussi leur impact. « Ces fausses informations seront immédiatement démenties par les médias qui feront leur travail de fact checking », conclut-il.

SONDAGE PRÉSIDENTIELLE: BERTRAND en tête à droite et possible vainqueur au second tour

SONDAGE  PRÉSIDENTIELLE: BERTRAND en tête à droite et possible vainqueur au second tour

Xavier Bertrand obtiendrait le meilleur score au premier tour de la prochaine présidentielle parmi les candidats potentiels de la droite, derrière Marine Le Pen et Emmanuel Macron, selon un sondage Ifop-Fiducial pour LCI et Le Figaro ce lundi. Selon cette enquête, le premier tour serait nettement dominé par Marine Le Pen (27 à 30%) et Emmanuel Macron (25 à 28%) dans chacun des cinq scénarios testés par l’institut.

Pour le premier tour, Ifop-Fiducial évalue d’abord les intentions de vote de quatre candidats possibles pour la droite. Le président de la région Hauts de France Xavier Bertrand (15%) serait le candidat qui prendrait le plus de voix à Emmanuel Macron (25%) comme à Marine Le Pen (27%), devant la présidente de l’Île-de-France Valérie Pécresse (10%), celui d’Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez et l’ancien négociateur européen du Brexit Michel Barnier qui remporteraient tous les deux 8% des suffrages, et enfin le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau (6%).

Au deuxième tour, le duel entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron serait remporté, selon ce sondage, par le président sortant à 54% des voix contre 46% pour la président du RN, comme lors du sondage précédent de l’Ifop, réalisé en avril.

Dans l’hypothèse d’un second tour face à Emmanuel Macron, Xavier Bertrand obtiendrait 49% contre 51% pour le président sortant. Mais, dans l’hypothèse d’un second tour face à Marine Le Pen, le meilleur score serait réalisé par Xavier Bertrand qui obtiendrait 60% contre 40% pour la présidente du Rassemblement national.

Enquête menée suivant la méthode des quotas auprès d’un échantillon de 1.363 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1.529 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1%.

SONDAGE -SÉCURITÉ :le thème qui monte pour la présidentielle

SONDAGE -SÉCURITÉ :le thème qui monte pour la présidentielle 

 

Les Français placent la sécurité en tête des thèmes qui détermineront le choix de leur bulletin de vote. C’est ce qui ressort de notre nouveau sondage « L’opinion en direct », publié ce mercredi et réalisé par l’Institut Elabe.

Recul perçu de l’autorité de l’État, laxisme supposé de la justice, multiplication de faits divers violents, policiers tués dans le cadre de l’exercice de leur fonction… Autant d’éléments qui contribuent à faire émerger, comme ce fut le cas lors d’autres scrutins présidentiels (surtout 2002), la sécurité comme principal sujet de débat et de mobilisation politique. Notamment à droite du spectre électoral.

Les électeurs de François Fillon de 2017 sont les plus nombreux (55%) à placer la sécurité parmi leurs trois principales priorités. Ils sont 28% à la mettre en tête de ces priorités. Parmi les électeurs de Marine Le Pen à la précédente présidentielle, 46% placent la sécurité dans ce trio de thèmes perçus comme étant les plus cruciaux.

Ces deux électorats citent également l’immigration, première préoccupation pour les électeurs de Marine Le Pen (40% chez Fillon et 50% chez la patronne du RN) et la menace terroriste (33% et 34%, respectivement).

35% des électeurs de Marine Le Pen citent également la santé. Les électeurs d’Emmanuel Macron citent la sécurité en premier (43%), ils mentionnent ensuite la santé (35%) et le pouvoir d’achat (29%). Les électeurs de Benoît Hamon sont d’abord préoccupés par l’environnement (48%), puis par l’emploi (36%) et le pouvoir d’achat (35%). Le trio de tête reste le même, mais la hiérarchie s’inverse pour les électeurs de Jean-Luc Mélenchon: le pouvoir d’achat (43%), l’environnement (38%), l’emploi (32%).

Dans le cadre de notre enquête, les Français ont été interrogés sur leur perception du travail gouvernemental en matière sécuritaire. Les deux tiers des personnes sondées n’ont pas confiance en l’exécutif sur ce sujet. 33% des Français font tout à fait (5%) ou plutôt (28%) confiance à Emmanuel Macron et aux membres du gouvernement de Jean Castex.

À l’inverse, 66% d’entre eux ne leur font pas vraiment (39%) ou pas du tout (27%) confiance. Ce sont logiquement les électeurs de 2017 d’Emmanuel Macron qui sont les plus nombreux à lui faire confiance (71%). Ce sentiment est également majoritaire auprès de ses électeurs de second tour (53%).

Sondage réalisé par Elabe pour BFMTV, sur un échantillon de 1009 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité a été assurée selon la méthode des quotas, et les participants ont été interrogés par Internet du 11 et 12 mai 2021.

SONDAGE SÉCURITÉ : UN DES THÈMES CENTRAUX POUR LA PRÉSIDENTIELLE

SONDAGE SÉCURITÉ : UN DES THÈMES CENTRAUX POUR LA PRÉSIDENTIELLE

 

Les Français placent la sécurité en tête des thèmes qui détermineront le choix de leur bulletin de vote. C’est ce qui ressort de notre nouveau sondage « L’opinion en direct », publié ce mercredi et réalisé par l’Institut Elabe.

Recul perçu de l’autorité de l’État, laxisme supposé de la justice, multiplication de faits divers violents, policiers tués dans le cadre de l’exercice de leur fonction… Autant d’éléments qui contribuent à faire émerger, comme ce fut le cas lors d’autres scrutins présidentiels (surtout 2002), la sécurité comme principal sujet de débat et de mobilisation politique. Notamment à droite du spectre électoral.

Les électeurs de François Fillon de 2017 sont les plus nombreux (55%) à placer la sécurité parmi leurs trois principales priorités. Ils sont 28% à la mettre en tête de ces priorités. Parmi les électeurs de Marine Le Pen à la précédente présidentielle, 46% placent la sécurité dans ce trio de thèmes perçus comme étant les plus cruciaux.

Ces deux électorats citent également l’immigration, première préoccupation pour les électeurs de Marine Le Pen (40% chez Fillon et 50% chez la patronne du RN) et la menace terroriste (33% et 34%, respectivement).

35% des électeurs de Marine Le Pen citent également la santé. Les électeurs d’Emmanuel Macron citent la sécurité en premier (43%), ils mentionnent ensuite la santé (35%) et le pouvoir d’achat (29%). Les électeurs de Benoît Hamon sont d’abord préoccupés par l’environnement (48%), puis par l’emploi (36%) et le pouvoir d’achat (35%). Le trio de tête reste le même, mais la hiérarchie s’inverse pour les électeurs de Jean-Luc Mélenchon: le pouvoir d’achat (43%), l’environnement (38%), l’emploi (32%).

Dans le cadre de notre enquête, les Français ont été interrogés sur leur perception du travail gouvernemental en matière sécuritaire. Les deux tiers des personnes sondées n’ont pas confiance en l’exécutif sur ce sujet. 33% des Français font tout à fait (5%) ou plutôt (28%) confiance à Emmanuel Macron et aux membres du gouvernement de Jean Castex.

À l’inverse, 66% d’entre eux ne leur font pas vraiment (39%) ou pas du tout (27%) confiance. Ce sont logiquement les électeurs de 2017 d’Emmanuel Macron qui sont les plus nombreux à lui faire confiance (71%). Ce sentiment est également majoritaire auprès de ses électeurs de second tour (53%).

Sondage réalisé par Elabe pour BFMTV, sur un échantillon de 1009 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité a été assurée selon la méthode des quotas, et les participants ont été interrogés par Internet du 11 et 12 mai 2021.

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