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Renault : un recul des ventes de près de 15% en 2022

Renault : un recul des ventes de près de 15% en 2022

La marque Renault voit ses ventes reculer de 14,6 % en 2022.. Elle conserve néanmoins la deuxième place sur le marché français des véhicules particuliers, derrière Peugeot. Pour 2023, le constructeur mise sur sa gamme hybride et électrique pour assurer sa croissance et prévoit quatre lancements « importants ».

 

Avec 1.466.729 véhicules vendus en 2022, la marque Renault enregistre un recul de 14,6% par rapport à 2021 (1.751.000 de ventes), a indiqué le constructeur ce mardi.

Renault voit ainsi ses ventes reculer plus vite que la moyenne du marché, mais reste sur le podium des ventes électriques européennes, derrière Tesla et Volkswagen. « On a vendu tout ce qu’on a produit », et les portefeuilles de commandes sont encore bien remplis, a indiqué le directeur exécutif de la marque, Fabrice Cambolive, lors d’une conférence de presse.

Hors d’Europe, les ventes sont stables par rapport à 2021

Énergie : près de 40% des Français en situation crise financière

Énergie : près de 40% des Français en situation crise financière


Selon une étude réalisée par Intrum raportée par la Tribune, 38 % des répondants anticipent le fait qu’ils n’auront pas les ressources suffisantes pour honorer au moins une facture énergétique dans les mois à venir.

Avec un taux d’inflation de 5,8 % en 2022 selon la Banque de France, la hausse des prix n’a jamais été aussi élevée en France depuis les années 1970. Une conjoncture qui pèse lourdement sur le moral des Français. Selon la 10ème édition 2022 de l’étude sur les dépenses et les habitudes de Français et des Européens (ECPR) réalisée chaque année par Intrum, spécialiste du crédit management, 81% des Français affirment que la hausse des prix a fortement impacté les finances de leur ménage. Et si 16% indiquent qu’ils n’en ont pas encore subi les conséquences, ils s’attendent à ce que cela soit le cas dans les mois à venir.

Des difficultés qui se matérialisent particulièrement au moment de régler leurs factures. Ainsi, au cours des 12 derniers mois, 17% des consommateurs interrogés n’ont pas honoré le paiement d’une facture. Pour 41 % d’entre eux, la raison principale est le manque de moyens. Par ailleurs, 30 % confient qu’ils seront contraints de prioriser le règlement de certaines factures au détriment d’autres jugées moins prioritaires, pour faire face aux dépenses essentielles de leur ménage. Enfin, 38 % des répondants anticipent le fait qu’ils n’auront pas les ressources suffisantes pour honorer au moins une facture énergétique dans les mois à venir. 35% indiquent également qu’ils vont solliciter leurs créanciers pour obtenir un échelonnement de leurs paiements, ou avoir recours à un délai supplémentaire.

L’inquiétude plus prononcée chez ces derniers que chez leurs voisins européens peut également s’expliquer, selon lui, par leur culture financière. En d’autres termes : « la façon dont les consommateurs vont comprendre, gérer, programmer leurs affaires financières et la gestion du ménage. Ces connaissances leur permettent de prendre les bonnes décisions financières et d’éviter les emprunts superflus », explique-t-il, précisant que « la pandémie a eu un impact favorable sur le développement de la culture financière en France ». 49% des répondants français ont néanmoins affirmé que les inquiétudes liées à l’inflation et/ou aux taux d’intérêt plus élevés du fait du resserrement monétaire de la Banque centrale européenne, les ont encouragées à développer leurs connaissances des principaux termes financiers, contre 53% à l’échelle européenne.

Selon une étude Allianz « Argent, culture financière et risques à l’ère digitale » menée dans 10 pays en Europe et publiée aujourd’hui, la France fait figure de mauvaise élève en matière de culture financière.

L’Autriche, l’Allemagne et la Suisse occupent la tête du classement.

Près d’une décennie après que la crise financière mondiale a souligné l’importance d’avoir, a minima, des bases de culture financière, les Européens semblent avoir peu progressé en termes de connaissances financières et de capacité à prendre des décisions financières avisées.

Une étude Allianz « Argent, culture financière et risques à l’ère digitale » montre de quelle façon la culture financière améliore la capacité des particuliers à prendre des décisions financières. Alors qu’il semble évident que les personnes disposant d’une meilleure compréhension des concepts financiers seraient capables de prendre de meilleures décisions relatives aux produits d’épargne, d’investissement et de financement, cela n’avait pas encore été vérifié. Les résultats montrent que les personnes possédant une bonne maîtrise des concepts financiers et des risques sont deux fois plus enclines à prendre de meilleures décisions financières que celles qui n’en possèdent pas.

Selon les résultats de cette étude européenne « Argent, culture financière et risques à l’ère digitale », la France se positionne à la dernière place du classement derrière le Portugal et l’Italie. Un peu moins de la moitié des personnes interrogées en France ont répondu correctement aux deux questions de culture financière portant sur les principes d’inflation et de taux d’intérêt et seulement 9% d’entre eux ont été en mesure d’identifier les bonnes réponses aux trois questions portant sur les concepts relatifs aux risques financiers.

Si les Français sont dans l’ensemble relativement conscients des risques financiers liés au vieillissement (ainsi 62% d’entre eux ont identifié le produit financier les protégeant le mieux contre le risque de longévité), les concepts financiers tels que la relation entre risque et rendement, la diversification des risques ou encore le risque de liquidité, ne sont maîtrisés que par une faible proportion des participants à l’étude. Seuls 6% des participants français ont ainsi répondu correctement aux trois scénarios et un quart d’entre eux n’ont été en mesure d’identifier une seule bonne réponse.

Cet insuffisance de connaissances financières comporte un risque grave car en cette période de consumérisme relativement importante avec un accès à des moyens de paiement différés, à de multitudes de comptes bancaires permettant souvent des découverts autorisés, en cumulant les crédits à la consommation, cela peut entraîner assez facilement une forme d’endettement importante .

De petits avions à hydrogène près de Toulouse

De petits avions à hydrogène près de Toulouse

Airbus a déclaré son ambition de faire voler un avion régional à hydrogène d’ici à 2035, entraînant dans son sillage l’émergence d’une multitude de projets d’aéronefs électriques, hybrides ou à hydrogène. La jeune société Blue Spirit Aero développe depuis Toulouse un avion à hydrogène de quatre places équipé de douze piles à combustible. Elle compte installer sa première chaîne de production dans le futur campus hydrogène de Francazal pour atteindre un rythme de fabrication de 150 avions par an à l’horizon 2030. ( dans la Tribune, extrait)

L’avion de Blue Spirit Aero disposera de douze moteurs répartis sur les deux ailes de l’appareil .

« Mes 25 ans d’expérience m’ont permis d’imaginer l’avion idéal. Plutôt que d’avoir un seul moteur électrique alimenté par une grande pile à combustible qui reçoit l’hydrogène, j’ai préféré immédiatement répartir ma propulsion à puissance sous la forme de douze petits moteurs dispatchés sur les deux ailes de l’aéronef. Ce design renforce la robustesse de l’appareil face à la panne. L’avion peut continuer à voler avec jusqu’à huit moteurs sur douze en panne. Ensuite, l’avantage de la pile à combustible est de fournir trois fois plus d’énergie qu’une batterie. Cela permettra à notre appareil de voler 700 kilomètres à 230 km/h avec autrement dit près de trois heures d’autonomie, soit beaucoup plus que de petits avions électriques alimentés par des batteries », détaille Olivier Savin.

Autre avantage de l’hydrogène par rapport à un système électrique, ajoute-t-il, « l’avion n’aura pas à se recharger sur le réseau électrique mais le fera via une station de ravitaillement d’hydrogène, une opération qui prendra seulement 5 à 10 minutes ».

Avant le premier vol du futur avion prévu fin 2024, Blue Spirit Aero va tester les différentes composantes de l’appareil. La société va faire voler sa pile à combustible sur un avion de voltige du Basque Aéro Mécanic’s avec le soutien de la Région Occitanie. « La pile à combustible ne participera pas au fonctionnement de l’avion mais sera embarquée comme un passager pour observer son comportement au gré des manœuvres sévères que subira l’avion », décrit l’entrepreneur.

Des essais sont également menés en soufflerie pour caractériser les performances aérodynamiques de l’aile de l’appareil. Enfin d’ici la fin de l’année, Blue Spirit Aero devrait faire voler une maquette à échelle réduite de trois mètres d’envergure et télé pilotée via un partenariat avec le droniste Delair. La jeune pousse a noué également des liens pour ses essais avec le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et l’Onera. Les logiciels de Dassault Systèmes sont utilisés notamment pour les jumeaux numériques.

C’est près de Toulouse que seront fabriqués les futurs avions de Blue Spirit Aero. La société va intégrer le futur campus hydrogène qui sera construit au coeur de l’aéroport de Francazal.
« Ce lieu accueillera notre première chaîne de production destinée à fabriquer l’avion de démonstration. Ensuite, nous nous agrandirons pour avoir en 2025 une capacité de production d’une dizaine d’avions par an et atteindre jusqu’à 150 à 200 avions par an à l’horizon 2030 », détaille Olivier Savin.

Des chiffres ambitieux mais qui reflètent d’après le fondateur de Blue Spirit Aero la forte demande à venir de petits avions plus économes.
« Notre avion de quatre places est destiné à contribuer au renouvellement de la flotte d’avions qui équipent les aéroclubs. Sur les 250.000 avions existants de cette gamme, nous estimons qu’il y aura besoin de renouvellement sur 1.500 à 2.000 appareils par an. Ce sont des aéronefs qui ont en moyenne 45 ans, ils ont été maintenus opérationnels en les rafistolant au fur et à mesure. Mais aujourd’hui, cela revient plus cher de faire voler un avion que ce que cela rapporte en termes de location.

Il y a aussi besoin d’avions de nouvelle génération, qui ne reposent pas sur le pétrole et qui génèrent moins de nuisances sonores pour les riverains. Et puis, il existe a un déficit gigantesque de pilotes. Sur les 20 prochaines années, on doit former 600.000 nouveaux pilotes, les écoles de pilotage sont en train de s’équiper de dizaine d’avions pour répondre à ce besoin », complète-t-il.
Blue Spirit Aero s’apprête à boucler un premier tour de table auprès de business angels et devrait compléter avec une levée de fonds au premier trimestre 2023.

Pétrole-Aramco : près de 50 milliards de bénéfices sur un trimestre !

Pétrole-Aramco : près de 50 milliards de bénéfices sur un trimestre !

Près de 50 milliards de bénéfices sur le second trimestre pur le géant pétrolier saoudien, conséquence notamment du conflit en Ukraine

48,4. C’est le montant en milliards de dollars des bénéfices enregistrés par le géant pétrolier saoudien Aramco, au cours du deuxième trimestre de l’année. Des bénéfices pharaoniques tirés par la flambée des cours du brut consécutive à l’invasion russe de l’Ukraine et à la reprise économique post-covid.

Ce bénéfice trimestriel, le plus élevé d’Aramco depuis son introduction en Bourse en 2019 (la plus grande de l’Histoire), est supérieur aux prévisions des analystes, qui tablaient sur 46,2 milliards de dollars. En réalité, le bénéfice net du premier producteur mondial d’or noir a bondi de 90% en glissement annuel et permet ainsi à Aramco d’enregistrer son deuxième record trimestriel consécutif, après avoir affiché un résultat net de 39,5 milliards de dollars entre janvier et mars 2022.

Les cinq plus grandes entreprises privées du secteur ont, de leurs côtés, engrangé 62,46 milliards de dollars de bénéfices au cours du deuxième trimestre de l’année. (Par ordre croissant : TotalEnergies 5,7 milliards, BP 9,26 milliards, Chevron 11,6 milliards, ExxonMobil 17,9 milliard et Shell 18 milliards).

Au cours du deuxième trimestre, le baril d’or noir coté à New York s’est échangé entre 95 et 120 dollars environ. En hausse depuis plus d’un an en raison du rebond de la demande des entreprises et des ménages après la pandémie, il a été propulsé à des niveaux plus vus depuis 2008 au printemps dernier, suite aux sanctions imposées à la Russie après qu’elle ait envahi l’Ukraine le 24 février.

 

Inflation : Près de 10 % à la rentrée (Michel-Edouard Leclerc)

Inflation : Près de 10 % à la rentrée (Michel-Edouard Leclerc)

 

Michel Édouard Leclerc se paye évidemment un coup de pub gratuite sur les risques de l’inflation en déclarant que le niveau pourrait atteindre 10 % à la rentrée. Une responsabilité des fournisseurs qu’il dénonce. En oubliant cependant de signaler la valse des marques dans certains supermarchés qui substituent des produits plus chers à d’anciens produits introuvables.

« Je pense qu’on ne sera pas loin des 10% d’inflation » en septembre-octobre, s’est inquiété, lundi 25 juillet, sur franceinfo Michel-Edouard Leclerc, président du comité stratégique des supermarchés du même nom, alors que l’inflation est actuellement de 5,8% actuellement en France.

Le président du comité stratégique des supermarchés Leclerc estime que la loi pour la protection du pouvoir d’achat, voté la semaine dernière à l’Assemblée nationale, n’est pas une loi luttant contre l’inflation, mais une loi « pour compenser les effets de l’inflation » sur les consommateurs : « Avant de compenser, il faut mobiliser l’ensemble des acteurs économiques, qu’ils se retournent vers leur amont, qu’ils demandent la transparence à leurs premiers fournisseurs. »

« Le danger, c’est la récession, craint Michel-Edouard Leclerc. Les Français, aujourd’hui, font des plus petits caddies, donc c’est un vrai sujet de politique de rentrée et je pense qu’il faut se mobiliser. Les pouvoirs publics doivent entendre ce discours. »  »Les années d’inflation sont des années où on doit tous se mobiliser », estime-t-il. « Le truc, c’est que moi, je suis en bout de chaîne. Les industriels, les services achats publics comme dans les hôpitaux, ne vous faites pas fourguer des factures sans les contrôler. »  Le président du directoire de Leclerc dénonce notamment « les profiteurs du marasme ».

 

Eaux en bouteille: Près de 80 % contiennent des microparticules de plastique

Eaux en bouteille: Près de 80 % contiennent des microparticules de plastique

 

 

Le commerce de l’eau en  bouteille est évidemment un contresens écologique mais aussi économique. C’est aussi un danger sanitaire que 80 % des bouteilles contiendraient des micros plastiques. L’association Agir pour l’Environnement  vient de publier une étude intitulée «Nous buvons du plastique». Pour l’association, «le plastique génère des quantités astronomiques de microplastiques qui contaminent les écosystèmes et les corps humains. Le plastique ne se dégrade pas : il se fragmente en microdébris, en microplastiques.» Partant de ce constat, Agir pour l’Environnement a voulu vérifier si les principales eaux en bouteille vendues en France étaient impactées. Vittel, Cristalline, Evian, Volvic ou encore Perrier sont ainsi concernés. ( info du Figaro)

Conclusion, 78% des eaux testées contiennent des microplastiques. Pour la Vittel Kids de 33 cl, indique l’enquête, leur nombre atteint même 121 microparticules par litre. Si l’association considère que l’origine principale de ces contaminations pourrait être industrielle, «les sources de microplastiques ne sont pas encore bien élucidées». Elles proviendraient ainsi de la «dégradation de l’emballage» ou des «fragments qui se détachent du bouchon».

Ces microparticules sont aussi bien détectées dans les selles que dans le sang et peuvent aussi bien atteindre d’autres organes comme le cerveau, les poumons ou le placenta. L’association rappelle une des données essentielles du problème: «La pollution devient imperceptible, mais demeure bien réelle» et elle contamine «la biodiversité, le cycle de l’eau, les sols, la chaîne alimentaire et in fine nos organismes». Selon Agir pour l’Environnement, 8,3 milliards de tonnes de plastiques ont été produites depuis 1950. Dont la moitié ces quinze dernières années. «Nous en mangeons, nous en buvons et nous en respirons. Chaque semaine, nous en ingérons en moyenne 5 grammes, l’équivalent d’une carte de crédit», souligne l’étude.

«Le plastique provient de ressources fossiles, pétrole et gaz, qui subissent des transformations chimiques dangereuses pour fabriquer les polymères. (…) L’industrie du plastique contribue aussi fortement aux émissions de gaz à effet de serre (production, transport, incinération…)», poursuit Agir pour l’Environnement. L’occasion également de détailler ses propositions face à un recyclage qui est, selon l’association, trop faible. Cette dernière propose ainsi d’organiser une sortie du plastique d’ici 2030, d’interdire les plastiques à usage unique ou encore de refuser que le plastique soit en contact avec un aliment susceptible d’être chauffé.

Covid 4 juillet 2022: près de 100 000 cas en moyenne quotidienne

 

 

Covid  4 juillet 2022: près de 100 000 cas  en moyenne quotidienne

 

Non seulement la campagne électorale a fait l’impasse la question sanitaire  liée à la Covid mais le danger est toujours autant ignoré par un gouvernement irresponsable. Pire, le ministère de la santé avec le départ de la ministre battu aux élections est aux abonnés absents. Quant à l’administration et a décidé déjà depuis plusieurs semaines de ne plus publier de statistiques les week-ends considérant que la situation s’améliore !

En réalité les statistiques françaises sont particulièrement mauvaises comparées aux autres pays. Ainsi en France on a même atteint 125 000 contaminations nouvelles dans les dernières publiées vendredi 1er juillet. Et les hospitalisations reprennent aussi nettement à la hausse.

La semaine du 20 au 26 juin, la hausse des nouvelles hospitalisations s’est également poursuivie (+19%) après une augmentation de 26% la semaine précédente. Jeudi, 15.836 personnes étaient hospitalisées avec un diagnostic Covid. Les taux d’hospitalisation étaient particulièrement élevés chez les 80-89 ans (35,4 pour 100.000 habitants) et les 90 ans et plus (61,8 pour 100.000), précise Santé publique France. Sur la semaine étudiée, le nombre de décès à l’hôpital et en établissements et services médico-sociaux a aussi augmenté après plusieurs semaines de baisse (225, +3%).

À peu près toutes les protections ont été levées en France en raison du contexte électoral afin de ne pas déplaire aux Français. Il serait pourtant urgent de rétablir les mesures d’hygiène en particulier dans les lieux clos et les transports; de relancer aussi la politique de vaccination.

 

  • En France, on a enregistré une hausse moyenne de moyenne sur 7 jours de 97 592 cas par jour sur 7 jour au 2 juillet 222. ,  +125.066 ces dernières 24h, +52 morts en 24h soit 149.585 au total. Le nombre total de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.904 (+1) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 120.681 (+51 en 24h). 53.562.287 personnes sont totalement vaccinées contre la covid-19 en France.
  • L’Espagne recense aux dernières remontées, 12.734.038 (0) cas au total. Le pays dénombre, le jeudi 30 juin 2022, 107.906 morts au total soit 0 depuis le dernier bilan. 95.071.546 doses de vaccin ont été administrées.
  • Le Portugal enregistre +25 morts en 24h ce mercredi 29 juin 2022 portant le total à 24.149 morts depuis le début de la pandémie et +10.657 nouveaux cas en 24h soit un total de 5.171.236 cas confirmés. 24.616.852 doses de vaccin ont été administrées.
  • Au Royaume-Uni, on compte +14.586 nouveaux cas en 24h, soit 22.720.797 cas au total depuis le début de l’épidémie. Le pays enregistre, ce mercredi 29 juin 2022, +12 morts en 24h soit 180.330 morts au total. 103.703.976 doses de vaccin ont été administrées.
  • En Italie, on note +86.900 nouveaux cas ces dernières 24h. On compte +72 décès en 24h ce vendredi 1 juillet 2022. Le nombre de décès est désormais de 168.425 au total depuis le début de l’épidémie. Le nombre total de cas recensés est de 18.610.011. 138.272.875 doses de vaccin ont été administrées.

Sondage Hidalgo : près de 70 % des parisiens mécontents

Sondage Hidalgo : près de 70 % des parisiens mécontents

 

Les sondages sont évidemment catastrophique pour Hidalgo, la gauchiste bobo, dans la perspective de l’élection présidentielle. On ne lui accorde que quelques pour cent. Le problème c’est que le discrédit qui touche la candidate aux présidentielles vise maintenant Anne Hidalgo en tant que maire de Paris. Un sondage tenu interne par le parti socialiste lui-même montrerait que la maire de Paris est contestée par 67 % de l’opinion.Les parisiens regrettent sans doute l’autre mondain Delanoé, aussi inefficace mais tellement brillant quand il parle pour ne rien dire. Et qui va maintenant porter cette parole chez Macron ! Un juste reclassement.

Notons que les parisiens auraient lieu de s’inquiéter également dans la mesure où ils accordent leurs suffrages à la mondaine Rachida Dati qui récolteraient, elle 40 % de bonnes opinions. Changer Hidalgo pour Rachida Dati s’est échangé un cheval borgne pour un âne douteux. Surtout depuis la découverte que Rachid a Dati se faisait discrètement rémunérer par Renault ? On s’interroge sur le type de service !

 Un sondage Opinionway, non publié jusqu’ici, révèle le jugement très sévère des Parisiens à l’endroit de la maire de la capitale. L’entourage d’Anne Hidalgo assure n’avoir jamais eu vent de cette enquête, pourtant commandée par le PS

 

 

Selon une enquête Opinionway réalisée entre les 1er et 4 février, seuls 27% des Parisiens ont une bonne opinion d’Anne Hidalgo et 67% ne sont pas satisfaits de son action. Cela place la maire de Paris loin derrière Rachida Dati, qui récolte 40% de bonnes opinions. Et 62% des sondés souhaitent des changements importants dans l’action municipale.

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Russie : près de 300 entreprises américaines se retirent

Russie : près de 300 entreprises américaines se retirent

 

Au total, plus de 290 grandes entreprises ayant une présence importante en Russie ont annoncé leur retrait, selon un inventaire tenu à jour par une équipe de l’université de Yale. Une trentaine de multinationales restent sur la liste des entreprises encore exposées au pays. L’initiateur de cet inventaire, le professeur de gestion Jeffrey Sonnenfeld, a plusieurs fois mis en avant le rôle qu’avait eu dans la chute de l’Apartheid le départ volontaire de 200 grands groupes de l’Afrique du Sud dans les années 1980.

Pourquoi perdre des vies au Mali ?

Pourquoi perdre des vies au Mali ?

 

Pourquoi »Perdre la vie pour assurer la sécurité d’un pays qui ne veut pas de vous « , interroge, mardi 1er février sur franceinfo, Christian Cambon, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, et sénateur du Val-de-Marne. L’interview du sénateur sur France Info

 Comment évaluez-vous la situation de la France au Mali ?

Christian Cambon : C’est un sentiment d’amertume parce que dans ces jours difficiles pour la France au Mali je pense aux 53 soldats qui y ont laissé la vie et aux centaines de blessés qui seront marqués à vie. Le constat c’est que la junte, actuellement au pouvoir au Mali, ne souhaite pas la présence française et les humiliations qu’on nous fait endurer doivent nous conduire à un examen en profondeur pour évaluer les solutions que nous avons devant nous. Cette humiliation pose nos relations avec les pays d’Afrique. Le ministre dit qu’elle est excellente mais malgré tout c’est un signe de faiblesse que nous identifions et c’est aussi un questionnement en Europe. J’espère que les indications du gouvernement sont les bonnes. Il y a beaucoup de questions et un grand gâchis à constater.

La France doit-elle désengager ses militaires ?

Le désengagement avait commencé puisque le président de la République avait annoncé un redéploiement mais je pense que maintenant il faut être très clair. Quand je vois le Mali remettre en cause nos accords militaires, quand je vois qu’il interdit le survol d’une partie du territoire du Mali à notre propres avions, quand je vois la présence des milices Wagner alimentées par les Russes qui prennent de plus en plus de positions dans le pays, les campagnes anti-françaises, bien évidemment on en peut que tirer les conclusions de cette situation.

« Je pense qu’il faut avoir le courage de dire que ce n’est sans doute plus à partir du Mali qu’il va falloir poursuivre notre présence au Sahel. »

 

Est-ce que la lutte contre le terrorisme continue ?

Bien sûr, mais il faut savoir qu’il n’y a jamais de solution militaire à ce genre de conflit. La solution politique qui est dans la main des dirigeants maliens finira un jour par s’imposer, mais elle doit respecter un certain nombre de principes. Nos soldats se sont battus pour assurer la sécurité et la souveraineté du Mali. Quand on apprend qu’un certain nombre de ses dirigeants sont en train d’ouvrir des pourparlers avec des terroristes qui ont du sang français sur les mains, c’est inacceptable.

Qu’attendez-vous du gouvernement français ?

Nous demandons qu’il associe la représentation nationale. Nos concitoyens se posent beaucoup de questions sur cet engagement. Ils voient nos soldats revenir blessés ou pire encore et se demandent pourquoi on est là-bas. Perdre la vie pour assurer la sécurité d’un pays qui ne veut pas de vous pose beaucoup de questions.

Google (Alphabet) a pratiquement doublé son bénéfice annuel en 2021 avec un résultat de près de 80 milliards

Google (Alphabet) a pratiquement doublé son bénéfice annuel en 2021 avec un résultat de près de 80 milliards

Les big Tech ont enregistré des profits records du fait de la reprise économique. En haut du tableau figure Google qui se gave des profits de la publicité.Par ailleurs l’accord passé avec les diffuseurs d’information renforce encore sa position sur le marché de la pub. Google emploie d’ailleurs des méthodes très inclusives contraignant pratiquement l’internaute à prendre connaissance des pubs s’il veut accéder à l’information.

 «Nos revenus trimestriels, en hausse de 32% sur un an, reflètent des dépenses publicitaires solides dans tous les formats et la forte présence des consommateurs en ligne, ainsi qu’une croissance substantielle des recettes pour Google Cloud», la branche d’informatique à distance de l’entreprise, a indiqué Ruth Porat, la directrice financière d’Alphabet.

En tout, Google a engrangé plus de 61 milliards de dollars de recettes publicitaires, grâce à la recherche en ligne et à sa plateforme de vidéos, essentiellement. Sa branche de cloud a progressé de 45%, à 5,5 milliards de chiffre d’affaires. Et le patron du groupe, Sundar Pichai, s’est félicité de «ventes trimestrielles record malgré les difficultés de la chaîne d’approvisionnement» pour Pixel, sa marque de smartphone. Alphabet a sorti à l’automne le Pixel 6, une nouvelle gamme d’appareils avec un processeur conçu par Google et de nombreuses fonctionnalités d’intelligence artificielle.

La société a par ailleurs indiqué que son conseil d’administration avait approuvé un fractionnement de son action à 20 pour une, afin de la rendre plus abordable pour les petits investisseurs. Le titre prenait plus de 7% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York, à plus de 2.900 dollars.

Cependant la situation quasi monopolistique de Google la rend particulièrement fragile face aux velléités des pouvoirs publics américains de réguler le secteur de la bigue Tech qui pourrait dès cette année s’approprier de l’ordre de 30 % du gâteau mondial de la pub.

 

Euro: Près de 60 % contre la suppression de la monnaie européenne

 Euro: Près de 60 % contre la suppression de la monnaie européenne

 

 

Paradoxalement certains partis continuent de critiquer de manière forte acerbe le contenu de la politique européenne et même d’existence même de l’union ; par contre, ils évitent bien d’aborder la question monétaire. En 2017,ces opposants à l’Europe souhaitaient la suppression de l’euro, aujourd’hui ils font totalement l’impasse sur cette question car la monnaie unique est largement plébiscitée par l’opinion. Une belle contradiction celle qui consiste à contester l’Europe et à soutenir son outil le plus stratégique à savoir la monnaie.

Les  Français semblent s’être faits à la monnaie unique et ne souhaitent pas revenir en arrière. Une majorité des sondés (56%) disent en effet être opposés à la suppression de l’euro, contre 29% qui sont y sont favorables. Après avoir pendant longtemps fait de la sortie de l’euro son cheval de bataille, la présidente du Rassemblement national (RN) Marine Le Pen y a elle-même officiellement renoncé en 2019, avant les élections européennes.

Cependant pour 80% d’entre eux, le passage à l’euro, le 1er janvier 2002, a fait grimper les prix et baisser leur pouvoir d’achat. C’est ce qui ressort d’un récent sondage YouGov pour le site MoneyVox*. Une impression largement partagée depuis deux décennies, et pourtant contredite à de maintes reprises par les chiffres de l’inflation de l’Insee.Bien qu’ils aient encore une dent contre l’euro à ce sujet, les Français semblent s’être faits à la monnaie unique et ne souhaitent pas revenir en arrière.

La hausse des prix sur certains produits pourtant incontestables mais elle est à mettre en regard avec le fait*e que les Français ont pu disposer d’une monnaie forte et d’une inflation relativement bien maîtrisée. Dans le passé, la stratégie monétaire consistait à opérer des dévaluations régulières vite compensées par des dérives inflationnistes augmentant de manière significative les prix. Une évolution des prix est de toute manière à mettre en rapport avec l’évolution des revenus réels

 

COVID-19 FRANCE 22 décembre 2021. : Très forte hausse avec près de 73 000 cas

 COVID-19 FRANCE 22 décembre 2021. : Très forte hausse avec près de 73 000 cas

COVID : près de 200 000 FAUX PASS SANITAIRES !

 COVID : près de 200 000 FAUX PASS SANITAIRES !

 

Une nouvelle estimation fait état de 182 000 faux pass sanitaires d’après des informations du ministère de l’intérieur. Une évaluation de toute façon forcément approximative. Pour preuve, il y a une semaine on estimait ce nombre à seulement 100 000. Ce qui est évidemment de toute manière était déjà considérable.

Les détenteurs de ces faux pass constituent en fête des criminels potentiels puisqu’ils sont susceptibles de transmettre la mort via le virus Covid. On peut s’étonner qu’on ne soit pas capable de les identifier de manière individuelle car chaque individu adulte possède une carte de la sécurité sociale. Des cartes qui pourrait tout simplement être  invalider en cas d’absence de vaccination.

Il ne s’agit certainement pas d’une question technique et moins de liberté individuelle mais d’une question de santé publique qui exige clairvoyance, courage et détermination de la part de pouvoirs publics qui pour l’instant tergiversent et prennent des mesures avec toujours des semaines et des mois de retard.

Rouen : près de 70 % pour le retour de lastatue de Napoléon

Rouen : près de 70 % pour le retour de la statue de Napoléon

 

Il est évident qu’en cette période de crise économique, démocratique et sanitaire la question de la statue de Napoléon à Rouen était comme considérée comme essentielle par le maire socialiste. On comprend mieux l’écroulement du parti socialiste et son décalage avec les préoccupations majeures des couches sociales populaires. Pourtant le maire a proposé le déboulonnage définitif de la statue de Napoléon. Il a cependant prie la précaution d’organiser un référendum. Un référendum dans les résultats sont sans appel 70 % des habitants de Rouen sont pour le retour de la statue de Napoléon. Bref la bérézina continue pour le parti socialiste.Dans une consultation citoyenne lancée par le maire PS Nicolas Mayer-Rossignol, 68% d’entre eux ont voté pour le retour de la statue sur son socle, où elle siégeait depuis 1865.

C’est une campagne victorieuse pour Napoléon. Après de multiples escarmouches entre la mairie, l’opposition, les historiens, la majestueuse statue équestre de l’Empereur, en restauration depuis plus d’un an, retrouvera bien sa place sur le parvis de l’Hôtel de ville de Rouen. Les Rouennais ont tranché: dans une consultation citoyenne lancée par le maire PS Nicolas Mayer-Rossignol, 68% d’entre eux ont voté pour le retour de la statue sur son socle, où elle siégeait depuis 1865.

«C’est un véritable camouflet pour le maire!, s’exclame Jonas Haddad, président des Républicains de Seine-Maritime. Remplacer la statue de Napoléon par celle de Gisèle Halimi, c’était l’une de ses premières annonces… Heureusement, les Rouennais ont fait preuve de bon sens. Ils n’ont pas voulu être les premiers à déboulonner une statue historique!» Même soulagement chez l’historien Thierry Lentz, directeur de la Fondation Napoléon: «Le résultat est sans appel, se satisfait-il. Belle nouvelle pour cette année du bicentenaire! Cela montre que quand on leur explique, les gens se mobilisent pour leur Histoire et leur patrimoine. Napoléon a été l’un des moteurs de la reprise économique de Rouen, il y est venu deux ou trois fois, et on attend avec impatience le retour de la statue sur son socle».

 

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