Archive pour le Tag 'préoccupation'

Politique-Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

Politique-Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, le pouvoir d’achat représente l’enjeu le plus fort des Français dans leur vote aux élections européennes (9 juin). Il devance l’immigration et le système de santé.

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le pouvoir d’achat est le sujet sur lequel les électeurs attendent le plus les candidats. Selon cette enquête, 57% des Français disent tenir compte de cette thématique dans leur vote. C’est notamment le cas des électeurs de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (62%), moins de Renaissance (37%) ou de Reconquête (21%).

L’immigration (38%) et le système de santé (38%) complètent le podium des sujets les plus déterminants, selon les Français. Sans surprise, les électeurs de Reconquête (89%) et du RN (62%) classent l’immigration parmi leurs priorités. Le système de santé, lui, suscite davantage l’intérêt des électeurs de La France insoumise (58%).

Sondage Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

Sondage Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, le pouvoir d’achat représente l’enjeu le plus fort des Français dans leur vote aux élections européennes (9 juin). Il devance l’immigration et le système de santé.

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le pouvoir d’achat est le sujet sur lequel les électeurs attendent le plus les candidats. Selon cette enquête, 57% des Français disent tenir compte de cette thématique dans leur vote. C’est notamment le cas des électeurs de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (62%), moins de Renaissance (37%) ou de Reconquête (21%).

L’immigration (38%) et le système de santé (38%) complètent le podium des sujets les plus déterminants, selon les Français. Sans surprise, les électeurs de Reconquête (89%) et du RN (62%) classent l’immigration parmi leurs priorités. Le système de santé, lui, suscite davantage l’intérêt des électeurs de La France insoumise (58%).

Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

Elections Européennes : le pouvoir d’achat toujours la première préoccupation

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, le pouvoir d’achat représente l’enjeu le plus fort des Français dans leur vote aux élections européennes (9 juin). Il devance l’immigration et le système de santé.

D’après un sondage Ifop-Fiducial pour LCI, Le Figaro et Sud Radio, le pouvoir d’achat est le sujet sur lequel les électeurs attendent le plus les candidats. Selon cette enquête, 57% des Français disent tenir compte de cette thématique dans leur vote. C’est notamment le cas des électeurs de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (62%), moins de Renaissance (37%) ou de Reconquête (21%).

L’immigration (38%) et le système de santé (38%) complètent le podium des sujets les plus déterminants, selon les Français. Sans surprise, les électeurs de Reconquête (89%) et du RN (62%) classent l’immigration parmi leurs priorités. Le système de santé, lui, suscite davantage l’intérêt des électeurs de La France insoumise (58%).

Sondage préoccupations des Français : en tête la délinquance

Sondage préoccupations des Français : en tête la délinquance

 

La vague d’avril du baromètre politique Ipsos-La Tribune est marquée par une montée des préoccupations sur le niveau de la délinquance 

Pour cette vague d’avril, la part des Français qui citent le pouvoir d’achat comme une de leurs principales préoccupations est en baisse (43% citent ce sujet, -8 points depuis mars) bien que ce sujet reste en tête des préoccupations des Français.

Dans le détail, le pouvoir d’achat obtient 43 %, la délinquance 35 %, le système social 35 %, l’immigration 27 %, l’environnement 26 %, les crises internationales 25 %, le terrorisme 25 %.

Dans le contexte de médiatisation de meurtres et d’agression de mineurs, cette nouvelle vague du baromètre politique est marquée par la montée de la préoccupation pour le niveau de la délinquance : 35% citent désormais ce sujet, soit 7 points de plus qu’en mars. Ce sujet est désormais à égalité avec l’avenir du système social (35%). Le niveau de la délinquance est la première préoccupation parmi les sympathisants LR-UDI (47%) et ceux du Rassemblement national (56%).

Sondage société: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

Sondage société: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

 

Selon un sondage de l’institut Ipsos Sopra Steyria,  si le pouvoir d’achat reste la préoccupation principale des Français (52%), la guerre en Ukraine, déclenchée le 24 février, arrive désormais en deuxième position (33%) devant l’environnement (28%) et le système de santé (26%).

90% des sondés sont «plutôt» ou «très inquiets» de l’impact de la guerre en Ukraine (+ 2 points en une semaine), et 76% le sont face à «un possible conflit nucléaire».

Le président sortant, désormais candidat à sa réélection, est crédité de 30,5% des intentions de vote au premier tour, gagnant quatre points par rapport à la précédente enquête du même institut Ipsos-Sopra-Steria fin février, devant les candidats d’extrême droite Marine Le Pen (14,5%, -1) et Eric Zemmour (13%, -2). Valérie Pécresse poursuit sa chute (11,5, -1), passant derrière le candidat de gauche radicale Jean-Luc Mélenchon (12%, +0,5).

Sondage: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

Sondage: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

 

Selon un sondage de l’institut Ipsos Sopra Steyria,  si le pouvoir d’achat reste la préoccupation principale des Français (52%), la guerre en Ukraine, déclenchée le 24 février, arrive désormais en deuxième position (33%) devant l’environnement (28%) et le système de santé (26%).

90% des sondés sont «plutôt» ou «très inquiets» de l’impact de la guerre en Ukraine (+ 2 points en une semaine), et 76% le sont face à «un possible conflit nucléaire».

Le président sortant, désormais candidat à sa réélection, est crédité de 30,5% des intentions de vote au premier tour, gagnant quatre points par rapport à la précédente enquête du même institut Ipsos-Sopra-Steria fin février, devant les candidats d’extrême droite Marine Le Pen (14,5%, -1) et Eric Zemmour (13%, -2). Valérie Pécresse poursuit sa chute (11,5, -1), passant derrière le candidat de gauche radicale Jean-Luc Mélenchon (12%, +0,5).

Economie mondiale : Les interrogations

Economie mondiale : Les interrogations

 

Jean-Michel Bezat du Monde évacue les interrogations quant au perspectives de l’économie mondiale

Pénuries de matières premières, tensions entre Etats, logistique défaillante… Pour l’Europe, l’accumulation de problèmes va rendre les objectifs de transition énergétique complexes et coûteux, relève Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde », dans sa chronique.

 

Chronique.

 

Alerte rouge sur l’approvisionnement du monde, depuis les champs d’hydrocarbures et les mines jusqu’aux usines et aux consommateurs ! A l’aube de l’année 2022, rarement autant de menaces ont pesé sur l’économie mondiale : tensions géopolitiques, déséquilibres entre l’offre et la demande de matières premières et de composants, goulots d’étranglement dans le transport maritime et les ports. Pétrole et gaz, cobalt, lithium, nickel, cuivre et terres rares, microprocesseurs et porte-conteneurs sont devenus rares et chers. Tout alimente l’inflation et déstabilise les acteurs économiques.

En Europe, l’inquiétude immédiate se focalise sur l’énergie. Sa facture s’élèvera à 1 000 milliards d’euros cette année, deux fois plus qu’en 2019, a calculé la banque JPMorgan Chase. « Mais si la Russie envahissait l’Ukraine, le baril de pétrole exploserait le plafond, et il y aurait une pénurie de gaz à prévoir en Europe », alors qu’il a coûté quatre fois plus cher en 2021 qu’en 2020, a prévenu l’économiste Philippe Chalmin en présentant, jeudi 27 janvier, son rapport « CyclOpe », baromètre annuel des marchés mondiaux des matières premières.

Le ministre français de l’économie, Bruno Le Maire, dramatise. L’Union européenne subit « un choc gazier comparable au choc pétrolier de 1973 », qui a entraîné une flambée sans précédent des prix de l’électricité. De la métallurgie à la chimie, des pans entiers de l’industrie ont dû réduire leur production pour ne pas perdre d’argent et limiter des surcoûts qui se répercuteront sur le prix des voitures ou des denrées alimentaires.

La menace sur l’or noir est aussi inquiétante – sauf pour les partisans d’une sortie accélérée des énergies fossiles. Le baril pourrait passer rapidement de 90 à 100 dollars (de 80 à 90 euros) – et même à 120 dollars en cas de guerre russo-ukrainienne. Diaboliser la Russie et ses alliés de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole est facile. Les oilmen américains ne sont pas pressés de pomper davantage de brut. Surtout, le secteur a tellement taillé dans ses dépenses d’exploration-production, divisées par deux depuis le pic de 2014 (720 milliards d’euros), que les capacités excédentaires ont fondu, alors que la demande a retrouvé son niveau pré-Covid et qu’elle augmentera jusqu’en 2030.

Au-delà du pétrole et du gaz, une aventure militaire de Vladimir Poutine en Ukraine déstabiliserait le marché de métaux comme l’aluminium, le nickel ou le palladium – soit que les Etats-Unis et l’Europe lui interdisent de les écouler à l’étranger, soit qu’il suspende ses exportations par mesure de rétorsion. Une escalade perdant-perdant puisqu’elle priverait la Russie de devises et ses clients de produits vitaux pour se débarrasser du charbon, du pétrole et du gaz dans les transports et la production d’électricité.

 

La préoccupation de l’emploi a disparu !

La préoccupation de l’emploi a disparu !

 

L’économiste Bertrand Martinot salue, dans une tribune au « Monde », les réformes menées durant le quinquennat, mises en œuvre selon quatre principes : l’assouplissement des règles, la reprise en main par l’Etat, la responsabilisation des salariés et chômeurs, et la fin des aides aux emplois non marchands.

 

Un véritable plaidoyer pour la politique du pouvoir mais qui fait sans doute l’impasse sur des réalités socio-économiques concrètes et locales. Davantage un point de vue de militant pro-Macron que celui d’un économiste

 

 

Tribune. L’emploi fait partie des domaines où le « en même temps » présidentiel a largement laissé la place à une vision très structurée des réformes à conduire. Les intentions initiales comme la mise en œuvre du programme ont, de fait, obéi à quatre principes implicites ou explicites.

La première ligne directrice a consisté à lever certains freins à la rupture du contrat de travail pour encourager cette prise de risque que constitue l’acte d’embauche pour l’employeur. C’est à ce principe que se rattachent des mesures comme la barémisation des dommages et intérêts prud’homaux en cas de licenciement illégitime, la création de la rupture conventionnelle collective ou encore les assouplissements apportés au contrat d’apprentissage.

Le deuxième principe s’est fondé sur une défiance assez systématique envers la capacité des corps intermédiaires (régions et partenaires sociaux, en l’occurrence), jugés trop lourds, trop lents, trop peu réformistes ou trop timorés à produire les réformes nécessaires… Il en est résulté cette impression d’un Etat à la fois libéral et interventionniste, qui peut parfois dérouter. S’agissant des partenaires sociaux au niveau interprofessionnel, le quinquennat a sans doute achevé un cycle ouvert depuis les années 1960-1970, où les partenaires sociaux avaient obtenu un véritable rôle de « colégislateurs » en matière de droit du travail. Fini le temps des grandes conférences sociales et autres Grenelle ! Le temps n’est plus où les gouvernements, avec une scrupulosité quasi notariale, reprenaient dans la loi tous les accords interprofessionnels, malgré leur évidente timidité. Ce mouvement avait certes été engagé auparavant (pensons à certaines réformes du quinquennat Sarkozy), mais il faut bien admettre que ces cinq années ont vu tomber ces deux dernières forteresses paritaires qu’étaient la formation professionnelle et l’assurance-chômage. Dans les deux cas, que les négociations paritaires aient abouti ou pas, l’Etat a suivi sa propre feuille de route : reprise en main et pilotage des fonds de la formation professionnelle, fixation par décret de nouvelles règles pour l’assurance-chômage…

Accords innovants

S’agissant des régions, l’Etat leur a retiré sans autre forme de procès le pilotage et le financement de l’apprentissage (une remise en cause inédite du mouvement de décentralisation) pour libéraliser la création des centres de formation d’apprentis. Et ce n’est que sous une étroite surveillance, et pas intégralement, qu’il leur a confié la mise en œuvre du plan d’investissement dans les compétences.

 

Inflation : principale préoccupation des Français

Inflation : principale préoccupation des Français

En dépit des discours qui se veulent rassurants de la part des institutions officielles (gouvernement, banque centrale, experts), les Français ne croient pas du tout au concept d’une inflation qui serait modeste et temporaire. Au contraire, ils sont persuadés que cette ablation ne sera pas secondaire ni provisoire.

 

Pour eux , il y a une réelle menace du pouvoir d’achat tout autant que de l’épargne. Cette crainte est fondamentale pour l’avenir de la croissance. Avec le vent d’optimisme qui souffle sur la reprise d’activité, les experts comptent en effet beaucoup sur la mobilisation de l’épargne au service de la croissance. Or devant la montée des prix aussi bien des matières premières que des services contraints, les Français ne manifestent pas leur intention de se délester de l’épargne de précaution.

 

Pour preuve la confiance des ménages pour le mois d’octobre est passée sous sa moyenne de longue période, en baisse de deux points, selon l’Insee.

Les ménages sont conscients que leur situation financière passée est bonne, mais pessimistes sur son évolution. Surtout, leur avis sur le niveau de vie en France se dégrade nettement. La part des ménages qui pense que ce dernier va s’améliorer baisse de quatre points et passe sous sa moyenne de longue période.

Retour de l’inflation : principale préoccupation des Français

Retour de l’inflation : principale préoccupation des Français

En dépit des discours qui se veulent rassurants de la part des institutions officielles (gouvernement, banque centrale, experts), les Français ne croient pas du tout au concept d’une inflation qui serait modeste et temporaire. Au contraire, ils sont persuadés que cette ablation ne sera pas secondaire ni provisoire.

 

Pour eux , il y a une réelle menace du pouvoir d’achat tout autant que de l’épargne. Cette crainte est fondamentale pour l’avenir de la croissance. Avec le vent d’optimisme qui souffle sur la reprise d’activité, les experts comptent en effet beaucoup sur la mobilisation de l’épargne au service de la croissance. Or devant la montée des prix aussi bien des matières premières que des services contraints, les Français ne manifestent pas leur intention de se délester de l’épargne de précaution.

 

Pour preuve la confiance des ménages pour le mois d’octobre est passée sous sa moyenne de longue période, en baisse de deux points, selon l’Insee.

Les ménages sont conscients que leur situation financière passée est bonne, mais pessimistes sur son évolution. Surtout, leur avis sur le niveau de vie en France se dégrade nettement. La part des ménages qui pense que ce dernier va s’améliorer baisse de quatre points et passe sous sa moyenne de longue période.

Inflation: la principale préoccupation économique des Français

Inflation: la principale préoccupation économique des Français

En dépit des discours qui se veulent rassurants de la part des institutions officielles (gouvernement, banque centrale, experts), les Français ne croient pas du tout au concept d’une inflation qui serait modeste et temporaire. Au contraire, ils sont persuadés que cette ablation ne sera pas secondaire ni provisoire.

 

Pour eux , il y a une réelle menace du pouvoir d’achat tout autant que de l’épargne. Cette crainte est fondamentale pour l’avenir de la croissance. Avec le vent d’optimisme qui souffle sur la reprise d’activité, les experts comptent en effet beaucoup sur la mobilisation de l’épargne au service de la croissance. Or devant la montée des prix aussi bien des matières premières que des services contraints, les Français ne manifestent pas leur intention de se délester de l’épargne de précaution.

 

Pour preuve la confiance des ménages pour le mois d’octobre est passée sous sa moyenne de longue période, en baisse de deux points, selon l’Insee.

Les ménages sont conscients que leur situation financière passée est bonne, mais pessimistes sur son évolution. Surtout, leur avis sur le niveau de vie en France se dégrade nettement. La part des ménages qui pense que ce dernier va s’améliorer baisse de quatre points et passe sous sa moyenne de longue période.

Sondage chômage : première préoccupation des Français

Sondage chômage : première préoccupation des Français

Alors que Hollande s’apprête à centrer ses vœux pour 2016 sur la question de l’unité nationale face au terrorisme, un sondage Odoxa pour France Info et le Parisien fait de la lutte contre le chômage la première occupation. De quoi sans doute modifier la thématique centrale qu’entendait  développer Hollande ; lequel  pensait n’évoquer que de manière allusive la question économique et sociale. À moins qu’il n’en profite pour saisir au bond la proposition de certains à droite qui proposent, comme Raffarin,  une alliance nationale sur le sujet. Encore faudrait-il aller au-delà de l’incantation, et des pistes concrètes à la fois pour relancer la croissance et la création d’emplois. « Faire baisser le chômage », c’est le premier vœu des Français pour 2016, mais après les attentats, il ne devance que d’une courte tête la lutte contre « le terrorisme, l’insécurité et la délinquance », selon un sondage publié jeudi. Invités à choisir parmi une dizaine de souhaits pour 2016, 56% des personnes interrogées répondent « Faire baisser le chômage », contre 59% l’année dernière, selon l’enquête menée par Odoxa pour Le Parisien, France Info et l’entreprise MCI (événementiel). En deuxième position, 50% des sondés choisissent « lutter efficacement contre le terrorisme, l’insécurité et la délinquance ». Il s’agit d’une percée, puisque ce n’était que le quatrième souhait des Français il y a un an. Entre temps, la France a été touchée en 2015 par deux séries d’attentats sanglants, en janvier et en novembre. Deux tiers des Français (65%) pensent que 2015 a été une année de « difficultés économiques » et un tiers (32%) qu’elle a été « semblable à l’année 2014″.  »Le record des chiffres du chômage en octobre » est l’événement économique le plus marquant de 2015 pour 63% des Français.  Pour 2016, les Français souhaitent aussi « faire diminuer la pauvreté et la précarité » (35%), « baisser le niveau des impôts et des taxes » (31%), « augmenter le pouvoir d’achat » (30%) ou encore « lutter plus efficacement contre l’immigration clandestine » (29%). En revanche, « améliorer la protection de l’environnement » (16%) et « réaliser une grande avancée en santé » (16%) sont les souhaits qui recueillent le moins de suffrages. Ce sondage réalisé en ligne les 23 et 24 décembre auprès d’un échantillon de 1.042 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas.




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