Archive pour le Tag 'premiers'

Covid-19 : Paxlovid, la pilule de Pfizer efficace dès les premiers jours de contamination

Covid-19 : Paxlovid, la pilule de Pfizer efficace dès les premiers jours de contamination

Paxlovid, la pilule de Pfizer doit être prise pour être efficace dès le diagnostic et dans les cinq jours après l’apparition des symptômes du Covid-19. Le  risque d’hospitalisation et de décès serait réduit de 89%.

«Le Paxlovid arrivera fin janvier dans les pharmacies françaises», a indiqué le ministre de la Santé Olivier Véran .

«Prescrit aux personnes à risque diagnostiquées positives, il va changer la donne pour nos systèmes de santé, en désengorgeant les hôpitaux», estime Albert Bourla. «Le Paxlovid va permettre de réduire le risque de mortalité de façon très significative», se réjouit également le virologue Bruno Lina, membre du Conseil scientifique, dans les colonnes du Parisien .

Covid Omicron: des premiers cas en Europe

 

Covid Omicron: des premiers cas en Europe

 

Des premiers cas sont signalés dans le monde y compris en Europe. Au plan mondial ,un cas a été observé en Israël, un à Hong Kong, un au Malawi et un au Botswana , sans parler de l’Afrique du Sud. Au plan européen L’hôpital régional de Liberec, dans le nord de la République tchèque, a annoncé samedi à la télévision la découverte de la souche du nouveau variant Omicron .

Un premier cas du variant Omicron du coronavirus a été détecté en Italie, a annoncé samedi soir l’Institut supérieur de la santé (ISS), qui dépend du gouvernement italien.

L’Allemagne a confirmé samedi avoir détecté ses deux premiers cas de contamination au variant Omicron du Covid-19, chez des voyageurs arrivés d’Afrique du Sud à l’aéroport de Munich (sud), ont annoncé les autorités locales.

Dirigeants d’entreprises: Les 100 premiers jours stratégiques

Dirigeants d’entreprises: Les 100 premiers jours stratégiques

 

Par Florent Chapus, directeur associé d’EIM, et Rémy Boulesteix, associé, responsable des activités Deal Advisory chez KPMG France dans l’Opinion

 

 

Les premières impressions ont la vie dure… Notamment dans la sphère économique. La prise de poste d’un dirigeant a un retentissement particulier qui imprègne toute la durée de son mandat. Une erreur de début de parcours peut se refléter négativement sur l’image publique d’un décideur (1). A ce titre, les trois premiers mois constituent une période clé, qu’il est essentiel de réussir pour assurer un succès sur le long terme, comme le montre l’exemple des lauréats récompensés lors de la sixième édition du Prix des 100 jours EIM-KPMG.

Les 100 premiers jours doivent permettre au dirigeant de tirer parti de son « droit à la naïveté ». Il est essentiel qu’il en profite pour poser des questions et se rendre sur le terrain pour interagir de manière informelle avec les équipes. Par ce biais, il peut faire parler les collaborateurs, écouter leurs demandes et déceler les spécificités de l’organisation — les atouts comme les facteurs de risques — afin de disposer d’une vision exhaustive des besoins décisionnels et des attentes des salariés, actionnaires et clients.

Ce n’est, en tout cas, pas le moment de lancer des projets structurels, souvent prématurés. Il est même recommandé par de nombreux dirigeants de différer ceux déjà lancés avant la prise de poste pour se donner le temps d’en évaluer la pertinence.

Au-delà des enjeux stratégiques de développement, un changement de gouvernance suscite des attentes très fortes en interne comme en externe. Les regards se braquent sur le dirigeant qui doit affirmer sa légitimité sans brusquer et donner à voir l’évidence de sa nomination sans la revendiquer. Cette affirmation de soi passe par différents leviers et souvent quelques actes et prises de décisions symboliques, pour afficher des valeurs, une direction ou une façon de faire (résoudre vite des problèmes récurrents, se séparer de dirigeants non alignés…). L’explicitation d’une vision nouvelle et enthousiasmante, ainsi que l’obtention de premiers succès symboliques (négociation réussie avec les créanciers…) attesteront ensuite d’une capacité à performer.

Sans l’acquisition rapide d’une crédibilité auprès des équipes comme des parties prenantes, l’influence du dirigeant et la confiance dont il peut bénéficier plafonnent rapidement, limitant sa capacité d’action. Et ce, tout particulièrement dans une économie où les défis se multiplient, avec notamment l’importance croissante d’enjeux stratégiques tels que la cybersécurité, l’environnement et la supply chain (2) qui arrivent en tête des préoccupations des dirigeants et qui nécessitent un leadership marqué et une forte capacité d’engagement de la part de la gouvernance d’entreprise.

S’il est évident qu’un faux départ est assez souvent difficile à retourner pour les dirigeants, il convient in fine de souligner que les 100 jours demeurent avant tout un horizon symbolique plutôt qu’une période probatoire stricto sensu.

Pour autant, cette durée a la vertu de fixer un premier cap, une étape clé, qui donne un tempo tant dans le cadre d’une prise de fonction que dans la conduite de nombreux projets stratégiques, comme une intégration post-acquisition, une gestion de crise majeure (type Covid) ou un retournement opérationnel. Des registres dans lesquels se sont respectivement illustrés, dans les derniers mois, Patrick Bléthon chez SAUR, Bertrand Dumazy chez Edenred, Philip Demeulemeester chez Aldi et Gilles Clavié chez Accor, tous récompensés dans le cadre du Prix des 100 jours. À bon entendeur…

Florent Chapus est directeur associé d’EIM, et Rémy Boulesteix, associé, responsable des activités Deal Advisory chez KPMG France.

(1) Cent jours pour réussir (Alisio, 2014), Frédéric Marquette, directeur associé d’EIM

(2) CEO Outlook 2021, KPMG.

Covid variant indien : des premiers cas en France

Covid variant indien : des premiers cas en France

Alors que récemment le ministre de la santé déclaré que le variant indien n’atteignait pas la France, plusieurs cas viennent d’être identifiés dans les Bouches-du-Rhône et le Lot-et-Garonne.

Plusieurs cas précédemment avaient été décelés dans d’autres pays en Europe. En l’état des conditions de mobilité internationale qui n’interdit nullement les voyages, on voit mal comment ce variant qui semble présenter la particularité de se répandre très rapidement et sans doute plus dangereusement que les autres pourrait être empêché de toucher le pays. C’est sans doute l’ampleur de la pénétration de ce variant qui pourrait remettre en cause le plan très théorique de des confinements présentés par le président de la république.

Covid-19 : premiers vaccins produits en France, enfin !

Covid-19 : premiers vaccins produits en France, enfin !

 

 

Il aura fallu plus d’un an pour que la France commence à produire elle-même des vaccins et encore sous licence étrangère. Pourtant, le pouvoir avait déclaré l’état de guerre contre le virus. Une drôle de guerre en vérité quand on attend plus d’un an avant de se donner les armes de lutte nécessaire. Un peu comme si en cas de guerre militaire on attendait la fourniture de munitions par l’étranger. Il faut dire que l’utilisation du concept de guerre sanitaire est sans doute assez inapproprié et cela d’autant plus que ceux qui sont supposés la mener n’ont jamais fait le moindre service militaire à commencer par le chef de l’État !

 

Un fait confirmé dans le livre de Béatrice Houchard Le Fait du prince: petits et grands caprices des présidents de la Ve République:

«Quant à Emmanuel Macron, né en 1977, il aurait pu faire son service militaire s’il avait vraiment insisté, mais il faisait partie de la dernière classe avant la mise en place de l’armée de métier, décidée dès 1995 par Jacques Chirac. Et il n’insista pas pour porter l’uniforme.»

La production de vaccins en France contre le Covid-19 doit démarrer mercredi, chez un sous-traitant français Delpharm, a-t-on appris lundi auprès du ministère français de l’Economie et des Finances, confirmant des informations de presse.

« La production doit commencer cette semaine, en l’occurrence mercredi chez Delpharm, dans son usine de Saint-Rémy-sur-Avre (Eure-et-Loir, nord-ouest de la France), pour (le compte du laboratoire allemand) BioNTech », partenaire de l’américain Pfizer, a indiqué Bercy à l’AFP.

« Quand on met tout ça bout à bout, on est sur au moins 250 millions de doses qui sortiront des sites français d’ici à la fin de l’année, en cumulé », a indiqué Bercy.

Un chiffre qui ne comprend pas le vaccin mis au point par Sanofi, espéré pour le second semestre, si les essais cliniques s’avèrent concluants.

Premiers MacBook avec des processeurs Apple

Premiers MacBook avec des processeurs Apple

C’est la fin de la collaboration entre Apple et Intel en matière de processeurs. Apple va désormais installer ses propres processeurs sur les ordinateurs comme sur les téléphones, ce qui va favoriser le développement de synergies en matière de services offerts. Un nouveau MacBook Air ainsi que d’autres produits utilisant le premier processeur développé par la compagnie, une initiative qui va rapprocher technologiquement les ordinateurs et les téléphones développés par l’entreprise.

La nouvelle puce, appelée M1, marque la fin de la collaboration entre Apple et Intel, qui développait les processeurs utilisés dans les ordinateurs de la marque à la pomme depuis près de 15 ans.

Apple espère que les développeurs vont désormais créer des applications fonctionnant à la fois sur ses ordinateurs et ses téléphones.

Patrick Moorhead, fondateur de Moor Insights & Strategy, a estimé qu’Apple économiserait entre 150 et 200 dollars par puce en utilisant ses propres processeurs centraux.

Des premiers masques grand public distribués le 4 mai avec deux mois de retard

Des  premiers masques grand public distribués le 4 mai avec deux  mois de retard

Alors que la pandémie a été déclarée par l’OMS le 11 mars, que les premiers cas recensés en France sont intervenus fins janvier, ce n’est qu’à partir du 4 mai que les premiers masques grands publics seront distribués en France. En clair avec au moins deux mois de retard et encore pas tout le monde. Rappel de ce que dit Wikipédia :

« La pandémie de Covid-19 en France concerne l’évolution en France de la maladie à coronavirus 2019 (Covid-19), une maladie infectieuse émergente apparue fin 2019 en Chine continentale, dont l’agent pathogène est le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) et dont la pandémie, déclarée le 11 mars 2020 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a provoqué une crise sanitaire majeure dans le monde entier.

Le 24 janvier 2020, les trois premiers cas sont recensés sur le territoire métropolitain. Le 14 mars, l’épidémie passe au stade 3 et tous les lieux recevant du public non indispensables à la vie du pays sont fermés. À partir du 17 mars à 12 h, afin de réduire à leur plus strict minimum les contacts et les déplacements, la population est confinée à domicile sauf pour des motifs autorisés, afin de stopper la diffusion exponentielle du coronavirus et, ce faisant, réduire le plus possible le nombre de personnes atteintes et donc de morts« 

Le gouvernement français procèdera à de premières distributions de masques grand public auprès des  Français à partir du 4 mai et étudie plusieurs modes de distribution, affirme la secrétaire d’État à l’économie Agnès Pannier-Runacher dans un entretien aux Échos à paraître vendredi.

« L’État contribuera à doter en masques grand public les citoyens dès que possible par les canaux de distribution les mieux adaptés. De premières expérimentations seront faites à partir du 4 mai », y explique Mme Pannier-Runacher. « Plusieurs modes de distribution ont été identifiés pour permettre à un maximum de Français d’y avoir accès. Le champ des possibles est très large et nous regardons toutes les hypothèses: pharmaciens, mairies, grande distribution, buralistes, plateforme Afnor, e-commerce, etc. », ajoute-t-elle.

 

Il est clair que le retard de la fourniture de masques et même la contestation de son utilité par le gouvernement constitue un des facteurs explicatifs de l’ampleur de la propagation de la pandémie en France.

Les ex-Premiers ministres conserveront leurs chauffeurs à vie

Les ex-premiers ministres conserveront leurs chauffeurs à vie

 

Dans la monarchie républicaine française d’anciens responsables continuent  de bénéficier de certains avantages quand dans les pays anglo-saxons ils n’ont aucun privilège. Ainsi le gouvernement a décidé de supprimer le secrétariat des anciens premiers ministres mais de leur conserver à vie  le droit à un chauffeur. Onze anciens chefs de gouvernement – décompte excluant Jacques Chirac, qui a également été président de la République – sont potentiellement concernés par ce décret. Celui-ci précise que ces moyens, alloués «sur leur demande», ne le sont pas aux «anciens premiers ministres qui disposent d’un soutien équivalent pour l’exercice d’un mandat parlementaire, d’un mandat d’élu local ou d’une fonction publique».

Ce décret concrétise en partie un souhait d’Édouard Philippe qui avait indiqué en février à propos de cette «tradition» avoir «pris la décision de faire en sorte que les moyens qu’on attribue aux anciens premiers ministres ne soient pas accordés à vie, mais pendant dix ans». «Vous allez me dire que c’est trop, moi je vous dis que c’est mieux qu’avant», avait-il souligné.

Premiers accords entre l’Etat et des entreprises pour l’insertion

Premiers accords entre  l’Etat et des entreprises pour l’insertion

Après l’enterrement du plan Borloo, il faut espérer que les accords entre grandes entreprises permettront uen meilleure insertion pour des candidats à l’emploi provenant des quartiers difficiles. Dans un premier temps, trois grandes entreprises ont signé mercredi un pacte avec le gouvernement pour favoriser l’insertion professionnelle des habitants des quartiers prioritaires, qui « ont deux fois moins de chance d’avoir accès à un entretien d’embauche », selon Julien Denormandie, Secrétaire d’Etat. Le groupe d’intérim Adecco, la Fédération régionale des travaux publics (FRTP) d’Ile-de-France et Accor Hotel Group sont les trois premiers à avoir signé ce PAQTE (Pacte avec les Quartiers pour Toutes les Entreprises) avec l’État lors d’une cérémonie au ministère de la Cohésion des territoires.

Ce pacte se décline en quatre engagements : la découverte des métiers avec les stages de 3e, la formation avec l’apprentissage, le recrutement avec les emplois francs et le testing, et les marchés publics avec les clauses d’insertion.

« Des indicateurs très clairs ont été mis en place pour assurer un suivi de ces engagements », a assuré Julien Denormandie, secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires.

Cette démarche s’inscrit dans la « volonté politique », réaffirmée par le président Macron mardi devant le Congrès, de « lutter contre les inégalités de destin », a-t-il ajouté.

« Vous avez deux fois moins de chance d’avoir accès à un entretien d’embauche si vous venez d’un QPV (quartier prioritaire de la ville, ndlr) », ce qui « n’est pas acceptable », a expliqué M. Denormandie, avant de lancer aux entreprises: « On compte sur vous ».

Le 22 mai, Emmanuel Macron avait appelé les entreprises à « prendre leur part » dans la lutte contre le chômage qui touche un quart de la population des 1.300 quartiers prioritaires en métropole, et plus d’un tiers des jeunes. Dans le détail, Adecco a promis de recruter 400 stagiaires, 500 alternants et 1.000 personnes en « CDI intérimaire » issus de ces QPV.

« Dans la perspective du Grand Paris et des jeux Olympiques, nous recrutons », a lancé de son côté Bernard Gernez, vice-président de la FRTP d’Ile-de-France. « Notre problème à nous, c’est le recrutement », a renchéri Sven Boinet d’Accor, vantant un métier où « un jeune qui rentre à 16 ans peut devenir directeur d’hôtel dix ans plus tard ». Le groupe d’hôtellerie et de restauration s’est engagé à recruter 15% d’apprentis venant des quartiers, tout en offrant 400 places de stage. Et pour que les habitants de ces quartiers soient informés de ces opportunités d’emploi, les offices HLM seront mis à contribution, a annoncé Said Hammouche. Fondateur du cabinet de conseil Mozaïk RH, il a lancé récemment « diversifiezvostalents.com », une plateforme de mise en relation entre recruteurs et candidats issus de la diversité. Par ailleurs, 15 millions d’euros vont être alloués par l’Etat dès 2019 à de grandes associations « structurantes qui ont fait la preuve de leur utilité » sur le terrain, a annoncé le ministre de la Cohésion des territoires Jacques Mézard. Parmi elles, l’Agence pour l’éducation pour le sport (Apels) ou encore Voisins Malins, créée dans l’Essonne.

 

 

SNCF : Premiers votes d’une réforme bâclée

SNCF : Premiers votes d’une réforme bâclée

 

 

En commission,  on a adopté à l’assemblé les premiers articles de concernant la future SNCF. Premier aspect le statut de l’entreprise transforme en SA.

« L’idée est de transformer la SNCF en société nationale à capitaux publics – qui était d’ailleurs son statut entre 1937 à 1983 – ce qui permettra de sortir du “piège d’une dette sans limite”, a expliqué la ministre. » qui aurait pu ajouter que cela n’a nullement empêché la dérive de l’endettement ! Deuxième aspect, le transfert aux régions du difficile problème des fermetures de lignes. Pour cela  Le principe de l’ouverture à la concurrence a été acté en commission. A partir de décembre 2019, les régions pourront ainsi “attribuer leurs contrats de service public de transport ferroviaire de voyageurs après mise en concurrence ou fournir elles-mêmes ces services en régie”, précise un amendement. On devrait ajouter ou fermer les lignes pour leur substituer uen service de car, comme c’est probable dans de nombreuses régions incapable de fiancer totalement ces services. L’ouverture sera étendue aux TGV à partir de décembre 2020. La transition sera progressive, jusqu’en décembre 2023. L’Ile-de-France fait exception en raison de la complexité du réseau et du volume des trafics. L’ouverture à la concurrence s’y fera donc sur une période plus large, entre 2023 et 2039 ! Notons que la plus grande partie du trafic sera donc exemptée de concurrence. Or c’est précisément dan ce champ que la qualité est la moins bonne.  Pour ne pas défavoriser les lignes moins rentables, notamment celles à grande vitesse, le texte envisage une “péréquation entre les marchés rentables et ceux qui le sont moins via la modulation des conditions de péage». le problème c’est qu’il  n’y a pratiquement pas de lignes rentables !   “Nous avons aussi voté hier soir l’arrêt du principe de recrutement au statut du cheminot, assorti de garanties sociales fortes en matière de retraites, de rémunération et d’emploi”, a expliqué Jean-Baptiste Djebbari. Le problème tant de définir ce qu’on entend par garanties sociales fortes. Quant à la garantie de l’emploi à vie c’est complètement illusoire.

Premiers pas vers des listes transnationales aux européennes ?

Premiers pas vers des listes transnationales aux européennes ?

France, Italie et Espagne seraient d’accord pour la création de listes internationales, comprenant des candidats d’au moins 7 pays différents  pour les prochaines élections européennes. Cela pour pouvoir au remplacement des 73 députés britanniques  Deux solutions pour cela soit une modification constitutionnelle, soit une démarche sur la base du volontariat des pays. Il est probable qu’on ne pourra engager de modifications des traités concernant les élections européennes ici 2019. Cela en raison des délais mais aussi du risque qu’il y aurait que certains pays s’opposent à cette proposition. Cette orientation pourrait être mise en œuvre sur la base du volontariat. Existerait alors lors des élections européennes (partielles) de 2019 d’une part des listes composées uniquement de nationaux, d’autre part des listes transnationales. Ce qui constituerait quand même une avancée pour une meilleure intégration dans l’espace communautaire. Pour commencer l’expérimentation ces listes de transnationales seraient réservées à l’élection des 73 députés que le Royaume Uni abandonne. “Les élections européennes ce sont aujourd’hui 28, bientôt 27 avec des débats étanches et parallèles, menés chacun chez soi”, déplore l’Italie, la F rance et l’Espagne, espérant créer avec cette mesure “une véritable agora européenne”. “Cessons d’enfermer les citoyens nationaux entre des murs et de leur imposer des œillères. Portons ensemble notre identité européenne sans renier nos identités nationales et développons un véritable espace public européen vivant, uni dans sa diversité”, poursuit le texte. Emmanuel Macron avait notamment développé cette idée parmi plusieurs propositions pour réformer l‘UE lors de son discours sur l‘Europe de la Sorbonne, fin septembre. ”Nous avons un choix simple: nous répartir les dépouilles, …… Ou vous décidez que ces 73 députés doivent être la réponse européenne au Brexit. Et ce sera une liste transnationale où l’on vote pour les mêmes parlementaires européens partout en Europe. Chiche!”, avait-il lancé.

ISF: 1.26 million par contributeur pour les 100 premiers

ISF: 1.26 million  par contributeur pour les 100 premiers

 

 

C’est le montant moyen de l’économie pour chacun des 100 premiers contribuables soumis à l’ancien ISF désormais supprimé. Un impôt qui rapporté 4 à 5 milliards selon les années et surtout contesté r par son caractère confiscatoire qui affecte l’image libérale de la France. Inversement cet impôt avait valeur de symbole. Il n’est pas certain que la transformation de l’ISF en impôt sur la valeur immobilière soit à la fois pertinent et surtout bien perçue par une majorité de Français. De ce point de vue,  ce n’est peut-être pas seulement l’ISF qui est en cause mais le manque de pédagogie relatif à l’équilibre entre les mesures libérales et les mesures sociales. Par ailleurs,  ce sont surtout les fortunes moyennes qui vont être affectées par le nouvel impôt sur la fortune immobilière car de toute façon les très grandes fortunes ne payaient déjà pas l’ISF grâce à l’optimisation fiscale (comprendre la manière d’échapper à l’impôt). Par ailleurs,  ils échappent aussi pour l’essentiel à l’impôt sur la fortune immobilière car leur patrimoine comprend peu de valeurs de cette nature. Bruno Le Maire a apporté  quelques précisions sur l’impact de cette mesure sur les 100 Français les plus riches. «Les cent premiers contributeurs à l’impôt sur la fortune paient 126 millions d’euros et les cent premiers détenteurs de patrimoine paient 73 millions d’euros d’ISF», a indiqué le ministre de l’Economie.  Ce dernier a expliqué jeudi que la transformation de l’impôt permettrait de «rendre 400 millions d’euros aux 1000 premiers contributeurs à l’ISF» soit 10% des recettes de l’ISF. Le premier ministre, Édouard Philippe, a lui aussi apporté quelques précisions. «Depuis un peu plus de 10 ans, il y a près de 10.000 contribuables français assujettis à l’ISF qui sont partis de France et ils ne sont pas partis seulement pour ne plus payer l’ISF. Ils sont partis pour ne plus payer l’ISF mais aussi pour ne plus payer aucun impôt en France», a indiqué l’ancien maire du Havre. «Le patrimoine total de ces plus de 10.000 personnes est de l’ordre de 35 milliards d’euros. Ça veut dire que quand ils partent, ils ne payent plus l’ISF, l’impôt sur le revenu, les cotisations sociales et ils appauvrissent l’économie française dans sa globalité», a-t-il ajouté.

 

Les premiers chantiers de Macron

Les premiers chantiers de Macron

 

 

Dès son entrée en fonction devra engager plusieurs chantiers.  Le premier chantier concernera la moralisation de la vie politique. Sur ce terrain, il  rencontrera quelques oppositions  notamment de la part des oligarques qui vivent  de la politique mais qui pourra se lier sur l’opinion politique. Il reprendra notamment les propositions de François Bayrou relative à la démocratie rénovée avec que mesure phare comme «L’interdiction de toute embauche, par un élu ou un ministre, d’un membre de sa famille». Des mesures aussi concernant  les conflits d’intérêts, la prohibition «pour les parlementaires d’exercer parallèlement des activités de conseils». D’autres mesures comme, la réduction d’un tiers du nombre de parlementaires ou la suppression de leur régime de retraite spécifique. Enfin, l’obligation de présenter un casier judiciaire vierge.  La seconde priorité concernera l’éducation avec la possibilité pour les communes de décider avec les établissements des rythmes scolaires. La possibilité sera donnée aux communes   d’appliquer ou non la fameuse réforme des rythmes scolaires, généralisée depuis la rentrée 2014. Un décret pourrait être publié dans le courant de l’été, pour une application théorique dès septembre. Les communes auraient alors le choix de conserver le rythme de quatre jours et demi de classe, en continuant de proposer (ou pas) les activités périscolaires. Ou bien revenir à la semaine de quatre jours. Autres mesures significatives Dans les écoles des quartiers les plus défavorisés (les REP +), les classes de CP seront dédoublées dès la rentrée – les effectifs ne dépasseront donc pas douze élèves. Cette mesure, phare dans son programme, sera ensuite étendue aux CP et CE1 de toutes les écoles classées REP et REP +. Macron veut aussi donner plus de souplesse aux établissements dans l’application de la réforme du collège. Dans le domaine social macro qui veut réformer le droit du travail passant de rencontrer de nombreuses difficultés. La loi El Khomri a permis aux entreprises de déroger aux accords de branche en matière de temps de travail. Le candidat d’En marche veut étendre cette possibilité à de nombreux domaines, comme les salaires ou les conditions de travail. Enfin macro va s’attaquer au volet fiscal avec d’une part une réduction de la fiscalité qui pèse sur les entreprises et la baisse la suppression de taxe habitation pour 80 des ménages.  L’impôt sur les sociétés serait progressivement ramené de 33% aujourd’hui à 25% – la moyenne européenne. À l’automne envisage La suppression des cotisations salariales maladie et chômage (compensée par une hausse de la CSG, qui pèsera aussi sur les retraités) et le rétablissement de l’exonération sociale des heures supplémentaires. Au niveau du smic, toutes les charges sociales devraient disparaître. C’est sans doute sur le terrain social que Macron rencontrera le plus d’opposition d’autant plus que les gauchistes verront là l’occasion de se faire une santé.

Les États-Unis désormais premiers partenaire commercial de l’Allemagne

Les États-Unis désormais premiers partenaire commercial de l’Allemagne

Pendant longtemps la France a été le premier partenaire économique de l’Allemagne mais depuis 2015 ce sont  les États-Unis qui ont pris cette première place. Un événement qui peut expliquer les positions de plus ambiguës de l’Allemagne vis-à-vis du traité transatlantique. Au début très critique Merkel fait  aujourd’hui pression pour que ce traité soit signé par la commission économique même si elle émet encore quelques réserves sur certains points.  un traité par ailleurs négocié dans le plus grand secret entre les technocrates européens, les États-Unis et les lobbys qui doit permettre de remettre en question les trois quarts de la réglementation dans le domaine économique, social, environnemental et de la santé ;  en outre les États-Unis veulent que les litiges économiques et commerciaux soient désormais réglés par un tribunal arbitral qui de fait va constituer un abandon de souveraineté pour les Etats et l’union européenne. Concrètement l’agriculture par exemple c’est la porte ouverte aux OGM aux pesticides aux hormones de croissance et autres cocktails vétérinaires et chimiques pour doper les productions. Les Etats-Unis sont devenus les premiers partenaires commerciaux de l’Allemagne, détrônant la France qui tenait cette position depuis le milieu des années 1970, selon des chiffres officiels publiés mercredi 2 mars.  »En 2015, des biens d’une valeur de 173,2 milliards d’euros ont été échangés entre l’Allemagne et les Etats-Unis (exportations et importations) », ce qui fait des Etats-Unis « le partenaire commercial le plus important de l’Allemagne », devant la France (170,1 milliards d’euros) et les Pays-Bas (167,6 milliards d’euros), détaille l’Office fédéral des statistiques Destatis, dans un communiqué. C’est aussi vers les Etats-Unis que l’Allemagne a le plus exporté en 2015, la France, premier pays client des produits allemands depuis 1961, passant au second rang. C’est de Chine que l’Allemagne a le plus importé, la France arrivant en troisième position derrière les Pays-Bas. Une raison supplémentaire pour que l’Allemagne soutienne la libéralisation des échanges.

(Avec AFP)

Virus Zika : premiers cas en Europe

Virus Zika : premiers cas en Europe

 

 

Dans son rapport rendu public lundi le Haut conseil de la santé publique (HSCP) alertait les autorités sur la possibilité de la diffusion du virus Sika. Or  on vient d’apprendre hier que deux personnes infectées par le virus ont été détectées en Irlande.  Les deux personnes, dont les cas ne sont pas liés et qui n’ont pas de risque de grossesse, se portent bien et sont complètement rétablies. Dans son rapport rédigé à la demande des autorités sanitaires, le HSCP reconnaît que «les conditions pour une transmission autochtone du virus zika sont réunies dans les départements (métropolitains) où le moustique vecteur est présent», c’est-à-dire dans les départements déjà colonisés par le moustique tigre Le risque de transmission du virus dans les départements métropolitains concernés est considéré comme «réel» par le HCSP, notamment en cas de circulation du virus dans les départements français d’Amérique (DFA, Guadeloupe, Martinique et Guyane) où le risque de transmission autochtone du virus est jugé «élevé». Pour les auteurs du rapport, le virus zika pourrait se propager de la même manière que le chikungunya, avec des vacanciers partis dans des zones où sévit le virus et qui l’importent à leur retour en France métropolitaine. La propagation se fait ensuite par le moustique tigre.  Pour réduire le risque, le HCSP recommande de prendre des mesures de lutte antivectorielle, du type de celles prises pour lutter contre le chikungunya aux Antilles. Parmi celles-ci figure l’isolement des cas suspects ou confirmés pendant la période fébrile sous moustiquaire ou dans un local avec fenêtres fermées, pour éviter la contamination de nouveaux moustiques. L’épidémie de 2013-2014 en Polynésie française avait touché environ 32.000 personnes, selon des estimations citées par le HCSP. Parmi les personnes infectées, 72 avaient présenté des complications neurologiques graves dont 42 syndromes de Guillain-Barré, un syndrome qui peut se traduire par une paralysie des membres et de la face. Dans les cas les plus graves, ce sont les muscles de la déglutition et de la respiration qui sont atteints.

 

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