Archive pour le Tag 'première'

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Il n’y aura pas de statut pour la « première dame »

Il n’y aura pas de statut pour la « première dame »

Une pétition « contre le statut de première dame pour Brigitte Macron » lancée il y a deux semaines sur Internet a d’ores et déjà réuni plus de 238.000 signatures, selon un décompte effectué lundi en début de soirée. Peut-être en réaction à cet appel, l’Elysée a avancé le calendrier de l’annonce, selon BFMTV, d’une « charte de transparence » pour encadrer le rôle de la première dame, et non pas un statut officiel, comme Emmanuel Macron l’avait affirmé le 3 mars dernier sur RTL lorsqu’il était candidat. Le chef de l’Etat annonçait alors mettre fin à une « hypocrisie française ». Si on ignore toujours le contenu de la charte – qui sera précisé dans les prochains jours -, l’entourage de Brigitte Macron a indiqué à l’AFP qu’il n’y a pas de budget spécifique attribué à Mme Macron, qu’elle ne sera pas rémunérée et qu’aucune modification de la Constitution n’est envisagée. Contre cette mesure impopulaire, selon un sondage YouGov pour le Huffington Post,  Thierry Paul Valette, auteur de la pétition, précisait dans son texte qu’il n’y a « aucune raison pour que l’épouse du chef de l’Etat puisse obtenir un budget sur les fonds publics. » Et d’ajouter que Brigitte Macron dispose déjà « de deux à trois collaborateurs, ainsi que de deux secrétaires et deux agents de sécurité et cela est suffisant ». Jointe par le JDD, Armelle Le Bras-Chopard, professeure de sciences politiques et auteure de l’ouvrage Première dame, second rôle, se réjouit de l’abandon du statut : « Cela me satisfait, mais je ne vois pas à quoi sert la charte, en attendant de voir ce qu’elle contient. » Pour la politologue, « non seulement il n’y a pas d’hypocrisie en France [sur le rôle de première dame, NDLR], mais il y a surtout d’autres chats à fouetter. » Selon elle, créer un statut spécifique serait de toute façon « archaïque », « anti-démocratique », « contraignant », « priverait le conjoint de sa liberté », serait digne d’une « femme au foyer non rémunérée ».

Royaume -Uni : défaite pour la Première ministre

Royaume -Uni : défaite pour la Première ministre

Les conservateurs de la Première ministre Theresa May arrivent en tête des élections législatives anticipées mais perdent leur majorité absolue à la Chambre des communes, selon les premières projections publiées à la clôture des bureaux de vote, jeudi 8 mai. Les Tories obtiendraient 314 sièges, contre 330 dans l’assemblée sortante, selon une estimation Ipsos/MORI. Avec 266 élus, les travaillistes de Jeremy Corbyn gagneraient 32 sièges. Le parti indépendantiste écossais SNP obtiendrait 34 sièges, soit une vingtaine de représentants en mois, alors que les libéraux-démocrates atteindraient 14 élus. Le parti europhobe Ukip disparaîtrait du Parlement. Si ces projections étaient confirmées, cela signifierait un échec cinglant pour Theresa May, qui a convoqué ces élections anticipées dans le but de conforter sa majorité en vue des négociations du Brexit. Le parti conservateur disposait d’une majorité absolue de 17 voix dans l’assemblée précédente. Mais la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne a été paradoxalement éclipsé durant la campagne par les questions de la protection sociale et de la sécurité dans le pays, frappé par trois attentats en moins de trois mois.

Prud’hommes : la CFDT première place

Prud’hommes : la CFDT  première place 

A compter de l’an prochain, un conseiller prud’homal salariés sur trois sera estampillé CFDT, contre un sur quatre actuellement. La centrale va gagner quelque 550 postes et atteindre un total de 2.348. La CGT, elle, va en perdre 800 et n’en comptera plus que 2.046. Force ouvrière restera stable, avec un millier de conseillers. Dit autrement, la CFDT a aujourd’hui 1.000 conseillers de moins que la CGT, elle en aura 350 de plus qu’elle demain. Ce changement de leadership syndical est bien sûr la conséquence de la perte d’audience de la CGT aux élections professionnelles dans le privé constatée en mars dernier. Mais pas seulement. Son effet sur les effectifs de conseillers prud’homaux a été amplifié par l’entrée en vigueur d’une réforme profonde du mode de désignation des juges prud’homaux. La réforme adoptée en 2016 par ordonnance lui a substitué un mécanisme assis sur l’audience dans le privé, dont la mesure est devenue effective en 2013 côté salariés et cette année seulement côté employeurs.

Macron : Anne Marie Idrac, Première ministre ?

Macron : Anne Marie Idrac, Première ministre ?

 

Jusque-là Macron  a gardé secret le nom de son premier ministre, même l’intéressé n’est pas encore avisé de sa nomination à Matignon. Mais si l’on retient ce qui caractérise le profil de ce premier ministre il pourrait bien s’agir d’Anne-Marie Idrac ancienne ministre des transports, ancienne patronne de la SNCF et de la RATP. Tout dans le profil souhaité la désigne.  D’abord Anne-Marie Idrac était l’une des premières à soutenir le responsable d’en Marche. Ensuite elle a l’expérience politique pour avoir été députée et ministre. Elle a d’ailleurs laissé un excellent souvenir à tous les acteurs économiques de son passage au ministère des transports. D’une grande compétence technique, l’intéressée accorde la plus grande importance au dialogue avec les acteurs qu’il s’agisse des employeurs, des salariés ou des clients. Dans le milieu relativement macho des transports, elle s’est rapidement imposée grâce à son intelligence, à sa vivacité et à sa capacité à écouter. Le premier ministre qui sera nommé doit nécessairement faire preuve de compétence  technique mais aussi politique. Macron a fondé toute sa campagne sur la cohérence et efficacité de ses orientations, il lui faut un  Premier ministre qui affiche les mêmes qualités. Par ailleurs premier ministre devra conduire la campagne électorale et législative, il lui faut donc connaître le système politique  notamment pour négocier des alliances et tenir l’assemblée.  Ce Premier ministre ne peut être ni trop marqué à droite, ni trop marqué à gauche sinon ce serait prendre le risque de contrarier l’un ou l’autre camp. . De ce point Anne-Marie Idrac centriste, libérale et humaniste  n’est pas trop marquée politiquement. A un moment elle a rejoint Bayrou mais rapidement a été écartée  par le baron centriste  par crainte sans doute de concurrence dangereuse pour lui. Dernier arguments favorables : le fait d’avoir une femme comme Première ministre.

 

Orange Bank mise sur son réseau pour devenir la première banque française

Orange Bank  mise sur son réseau pour devenir la première banque française

Orange mise surtout sur son reéseau et la gamme des services offerts pour devenir la première banque. 100% des opérations pourront être effectuées via le mobile, dès l’ouverture du compte. Il suffira de scanner les documents nécessaires. Les virements pourront être effectués par SMS.  Orange qui se lance dans l’activité bancaire entend devenir l’une des principales banques françaises sinon la première. Il est clair qu’Orange avec son portefeuille clients en télécoms disposent d’un potentiel assez considérable. En outre le paiement par téléphone portable, internet ou Smartphone notamment pourrait constituer un atout supplémentaire. Il reste cependant du chemin à parcourir pour qu’Orange dépasse par exemple la BNP. Orange vise en effet 2 millions de clients avant 10 ans. Cela étant on peut faire la confusion entre le nombre de clients et le nombre de comptes. Pour les ménages en effet le nombre de comptes tourne autour de 130 millions. Orange  veut compter parmi les leaders. Ses ambitions sont spectaculaires: selon les syndicats, Orange vise 400.000 clients dès la première année, et 2 millions d’ici à 2024. C’est par exemple deux fois plus que les leaders historiques comme ING Direct ou Boursorama, la filiale de la Société Générale qui vient tout juste de franchir le cap des 900 000 clients. Pour Orange le chemin est encore long à parcourir si l’on s’en tient à la situation des banques en France que fait culture banque ci-dessous :

 

BNP Paribas affiche un produit net bancaire en augmentation de 9,6% pour atteindre 42,9 milliards d’euros en 2015 contre 39,2 milliards d’euros l’an dernier. BNP Paribas valide encore sa première place au palmarès des banques françaises en termes d’activité. Le coût du risque est stable, mais la banque aux 4 étoiles n’est plus pénalisée comme l’an passé par une amende de 6 milliards d’euros des Autorités des Etats-Unis, ainsi le résultat net part du groupe retrouve un niveau très élevé à 6,7 milliards d’euros.

Groupe Crédit Agricole : La banque verte (les caisses régionales, la holding et ses filiales dont LCL) présente un PNB de 31,8 milliards d’euros pour s’offrir une nouvelle fois la seconde place de notre classement 2016, une performance bien aidée par la dynamique de la gestion de l’épargne et l’assurance du groupe. Le RNPG ressort lui aussi en hausse à 6 milliards d’euros.

Société Générale : La banque de La Défense poursuit sa croissance en 2015 avec un PNB en hausse à 25,6 milliards d’euros. La banque précise qu’il s’agit d’une bonne performance commerciale de l’ensemble des métiers, notamment en banque de détail avec 305 000 ouvertures nettes de comptes à vue et une bonne dynamique du crédit. Le RNPG de la Société Générale termine en belle hausse à 4 milliards d’euros, il bénéficie aussi de la baisse du coût du risque.

Groupe BPCE : Le groupe Banque Populaire et Caisse d’Epargne (Natixis et ses filiales) présente un PNB de 23,8 milliards d’euros, une hausse notamment portée par les métiers spécialisés de Natixis. Le groupe BPCE est désormais en 4ème position de notre classement des banques. Le résultat net part du groupe est en hausse à 3,2 milliards d’euros.

Groupe CM11-CIC : Ce groupe est composé de 11 fédérations Crédit Mutuel, du Crédit Industriel et Commercial (CIC) et ses filiales. Le groupe mutualiste réalise un Produit Net Bancaire en hausse à 12,8 milliards d’euros, avec développement notable des activités extra-bancaire : assurances, téléphonie, télésurveillance et ventes immobilières… Le résultat net part du groupe affiche un niveau record pour ce groupe à 2,3 milliards d’euros.

La Banque Postale : La banque du groupe La Poste présente une légère hausse de son PNB 5,7 milliards d’euros (stable avec les arrondis…). Tout comme sa rentabilité qui atteint 707 millions d’euros. Son activité de crédit immobilier progresse de +43% profitant du contexte de renégociation des prêts immobiliers. La Banque Postale mise également sur la clientèle de professionnels et d’entreprises pour l’année 2016.

Crédit Mutuel Arkéa : Composé de 3 caisses régionales Crédit Mutuel Arkéa, la banque en ligne Fortuneo, et de nombreuses des filiales (bail, affacturage, assurance…). Ce groupe breton se fait remarquer par sa volonté d’indépendance vis-à-vis du groupe national Crédit Mutuel-CIC. Les irréductibles bretons communiquent un PNB de à 1,8 milliards d’euros et une rentabilité de 296 millions d’euros.

 

Pompili, première ministre à apporter son soutien officiel à Macron

Pompili, première ministre à apporter  son soutien officiel à Macron

La secrétaire d’Etat chargée de la biodiversité Barbara Pompili a apporté mardi son soutien à Emmanuel Macron en vue de l’élection présidentielle, devenant le premier membre du gouvernement à rallier officiellement le candidat d’En Marche ! « J’ai décidé de soutenir le projet, la démarche et donc la candidature d’Emmanuel Macron à l’élection présidentielle », écrit-elle sur son compte Twitter. « Le projet d’Emmanuel Macron c’est une écologie réaliste, un engagement européen fort et une volonté de répondre à la détresse qui nourrit le FN », ajoute-t-elle.

2030 : la Chine première puissance économique et la France en 12ème position.

2030 : la Chine première puissance économique et la France en 12ème position.

Et selon une étude de PwC publiée notamment par BFM, c’est la Chine qui sera, et de loin, la première puissance du monde en 2030. Ce qui est déjà le cas d’ailleurs en 2016 en termes de PIB PPA. Avec 38.008 milliards de dollars, la puissance asiatique devrait creuser l’écart avec les États-Unis, relégués loin derrière avec 23.475 milliards de dollars. En 2030, l’Inde devrait par ailleurs monter sur la 3ème marche du podium (une position qu’elle occupe déjà), avec un PIB PPA de 19.511 milliards de dollars. Avec la montée en puissance des pays émergents, elle devrait mécaniquement reculer. Actuellement 10ème pays du monde avec un PIB PPA de 2.737 milliards de dollars, l’Hexagone devrait perdre une place et se retrouver 11ème avec 3.377 milliards de dollars, malgré une croissance cumulée de 23% d’ici 2030 (1,6% par an en moyenne). La France perdrait sa place dans le top 10 avec l’arrivée du Mexique dans le gotha mondial. D’ici 2050, l’Hexagone perdrait encore une place et se retrouverait 12ème puissance mondiale avec un PIB PPA de 4.705 milliards de dollars. Avec la montée en puissance des pays émergents, elle devrait mécaniquement reculer. Actuellement 10ème pays du monde avec un PIB PPA de 2.737 milliards de dollars, l’Hexagone devrait perdre une place et se retrouver 11ème avec 3.377 milliards de dollars, malgré une croissance cumulée de 23% d’ici 2030 (1,6% par an en moyenne). La France perdrait sa place dans le top 10 avec l’arrivée du Mexique dans le gotha mondial. D’ici 2050, l’Hexagone perdrait encore une place et se retrouverait 12ème puissance mondiale avec un PIB PPA de 4.705 milliards de dollars.  La croissance mondiale devrait être tirée en grande partie par les pays émergents et les pays en développement. La Chine, l’Inde, l’Indonésie, le Mexique, la Russie et la Turquie vont voir leur économie augmenter à un taux annuel moyen de 3,5% au cours des 34 prochaines années, contre seulement 1,6% pour les pays avancés du G7 que sont les États-Unis, le Canada, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Royaume-Uni et le Japon. PwC prévoit par ailleurs que l’économie mondiale doublera de taille d’ici à 2042, augmentant à un rythme annuel moyen d’un peu plus de 2,5% entre 2016 et 2050. Une prévision plutôt pessimiste qui marquerait, si elle était avérée, une rupture avec les périodes précédentes. En effet, selon les estimations historiques d’Angus Maddison, ancien professeur à l’université de Groningue, la croissance n’a cessé de s’accélérer depuis un millénaire. Avec une forte accélération au XXème siècle. Il a fallu 40 ans pour que le PIB mondial double entre 1913 et 1950, 15 ans entre 1950 et 1965 et 12 ans entre 1998 et 2010.    Le modèle de prédiction de PwC s’appuie sur plusieurs critères comme l’innovation, la productivité, le niveau d’éducation ainsi que la croissance démographique globale et la croissance de la population active. Or le taux de croissance de la population mondiale va continuer à décélérer d’ici 2050. Une décélération qui s’explique par la chute globale du taux de fécondité dans le monde. Il était en moyenne de 5,06 enfants par femme en 1964. Il est tombé à 2,45 en 2014 selon la Banque Mondiale.

La Toyota Yaris, première voiture française !

La Toyota Yaris, première voiture française !

 

 

C’est le paradoxe apparent, la voiture la plus produite en France en 2016 n’est pas un véhicule d’une marque française, mais japonaise. Le concept même de voitures nationales est aujourd’hui complètement dépassé car la complexification des processus de production implique plusieurs pays. Il est très difficile de connaître la réalité de la nationalité d’un véhicule. Nombre de pièces sont fabriquées dans de multiple pays, les mêmes pièces pouvant même être utilisées par plusieurs marques. Quand on parle de voiture française il s’agit le plus souvent de l’assemblage des pièces évoquées. En outre les matières premières utilisées pour la fabrication des pièces sont pour l’essentiel importés. Pour connaître la réalité de la nationalité d’une voiture il faudrait intégrer les importations. De toute manière l’exercice serait encore faussé car le plus souvent on prend en compte la valeur et non le volume. Des valeurs sous-estimées quand cela concerne des productions réalisées dans des pays à faible coût notamment sociaux et fiscaux. Pour le palmarès officiel des voitures produites en France le véhicule en tête et Toyota Yaris, qui sort des chaînes de l’usine que le constructeur possède près de Valenciennes. Un peu plus de 237.000 modèles ont été assemblés l’an dernier, ce qui constitue un record pour la petite voiture japonaise. La Toyota Yaris occupait déjà ce rang en 2012, 2013 et 2014. En revanche, l’année précédente, en 2015, c’était la Peugeot 308 qui occupait cette première place. La berline de la marque au lion glisse au deuxième rang, handicapée par des difficultés sur le marché néerlandais et la concurrence nouvelle de la nouvelle Renault Megane. Ce qui explique le recul de près de 10% du nombre de Peugeot 308 fabriquées en France l’an dernier. En revanche, les ventes de la Yaris restent dynamiques, avec notamment plus de 21.000 exportations vers l’Amérique du Nord. Autre voiture d’une marque non-française, la Smart Fortwo fait son apparition au huitième rang. Le modèle a été totalement renouvelé. La version deux places est fabriquée en France. La version quatre places est assemblée dans l’usine Renault de Novo Mesto, en Slovénie. Les autres véhicules du top 10 sont tous de marques françaises avec trois Peugeot, quatre Renault et une Citroën. Point notable, trois des quatre Renault sont des véhicules utilitaires, preuve de l’orientation de l’outil de production de la marque au losange en France vers ce type de véhicule.

 

Orange Bank : future première banque française ?

Orange Bank : future première banque française ?

 

 

Orange qui se lance dans l’activité bancaire entend devenir l’une des principales banques françaises sinon la première. Il est clair qu’Orange avec son portefeuille clients en télécoms disposent d’un potentiel assez considérable. En outre le paiement par téléphone portable, intrenet ou Smartphone notamment pourrait constituer un atout supplémentaire. Il reste cependant du chemin à parcourir pour qu’Orange dépasse par exemple la BNP. Orange vise en effet 2 millions de clients avant 10 ans. Cela étant on peut faire la confusion entre le nombre de clients et le nombre de comptes. Pour les ménages en effet le nombre de comptes tourne autour de 130 millions. Orange  veut compter parmi les leaders. Ses ambitions sont spectaculaires: selon les syndicats, Orange vise 400.000 clients dès la première année, et 2 millions d’ici à 2024. C’est par exemple deux fois plus que les leaders historiques comme ING Direct ou Boursorama, la filiale de la Société Générale qui vient tout juste de franchir le cap des 900 000 clients. Pour Orange le chemin est encore long à parcourir si l’on s’en tient à la situation des banques en France que fait culture banque :

 

BNP Paribas affiche un produit net bancaire en augmentation de 9,6% pour atteindre 42,9 milliards d’euros en 2015 contre 39,2 milliards d’euros l’an dernier. BNP Paribas valide encore sa première place au palmarès des banques françaises en terme d’activité. Le coût du risque est stable, mais la banque aux 4 étoiles n’est plus pénalisée comme l’an passé par une amende de 6 milliards d’euros des Autorités des Etats-Unis, ainsi le résultat net part du groupe retrouve un niveau très élevé à 6,7 milliards d’euros.

Groupe Crédit Agricole : La banque verte (les caisses régionales, la holding et ses filiales dont LCL) présente un PNB de 31,8 milliards d’euros pour s’offrir une nouvelle fois la seconde place de notre classement 2016, une performance bien aidée par la dynamique de la gestion de l’épargne et l’assurance du groupe. Le RNPG ressort lui aussi en hausse à 6 milliards d’euros.

Société Générale : La banque de La Défense poursuit sa croissance en 2015 avec un PNB en hausse à 25,6 milliards d’euros. La banque précise qu’il s’agit d’une bonne performance commerciale de l’ensemble des métiers, notamment en banque de détail avec 305 000 ouvertures nettes de comptes à vue et une bonne dynamique du crédit. Le RNPG de la Société Générale termine en belle hausse à 4 milliards d’euros, il bénéficie aussi de la baisse du coût du risque.

Groupe BPCE : Le groupe Banque Populaire et Caisse d’Epargne (Natixis et ses filiales) présente un PNB de 23,8 milliards d’euros, une hausse notamment portée par les métiers spécialisés de Natixis. Le groupe BPCE est désormais en 4ème position de notre classement des banques. Le résultat net part du groupe est en hausse à 3,2 milliards d’euros.

Groupe CM11-CIC : Ce groupe est composé de 11 fédérations Crédit Mutuel, du Crédit Industriel et Commercial (CIC) et ses filiales. Le groupe mutualiste réalise un Produit Net Bancaire en hausse à 12,8 milliards d’euros, avec développement notable des activités extra-bancaire : assurances, téléphonie, télésurveillance et ventes immobilières… Le résultat net part du groupe affiche un niveau record pour ce groupe à 2,3 milliards d’euros.

La Banque Postale : La banque du groupe La Poste présente une légère hausse de son PNB 5,7 milliards d’euros (stable avec les arrondis…). Tout comme sa rentabilité qui atteint 707 millions d’euros. Son activité de crédit immobilier progresse de +43% profitant du contexte de renégociation des prêts immobiliers. La Banque Postale mise également sur la clientèle de professionnels et d’entreprises pour l’année 2016.

Crédit Mutuel Arkéa : Composé de 3 caisses régionales Crédit Mutuel Arkéa, la banque en ligne Fortuneo, et de nombreuses des filiales (bail, affacturage, assurance…). Ce groupe breton se fait remarquer par sa volonté d’indépendance vis-à-vis du groupe national Crédit Mutuel-CIC. Les irréductibles bretons communiquent un PNB de à 1,8 milliards d’euros et une rentabilité de 296 millions d’euros.

 

Mais il est indéniable que l’offre bancaire d’Orange accessible aussi sur Internet et par l’application mobile va consistiter un atout considérable qui pourrait accélérer le développement de rangements. L’offre sera d’abord distribuée dans 140 boutiques, qui ont déjà été sélectionnées sur les 850 que compte le réseau. « Ce sont les plus grosses, celles dans lesquelles il est possible d’aménager un espace de confidentialité ». Dès le deuxième semestre 2017, l’offre sera également distribuée par les réseaux Groupama et Gan. Ce qui représente 3.000 points de vente supplémentaires. Dans les boutiques, les appels à candidature ont déjà été lancés. 700 commerciaux triés sur le volet vont être formés sur 80 heures, le minimum réglementaire pour être habilités à vendre des produits bancaires. Orange recherche « les plus expérimentés » précise un document interne. « Nous n’allons pas transformer nos agences en banques ou nos commerciaux en conseillers bancaires » explique-t-on au sein du groupe. « Ils seront en quelque sorte des apporteurs d’affaires » ajoute un responsable syndical qui décrit le futur scénario : l’idée, c’est qu’à chaque fois qu’un client entre dans la boutique pour souscrire un forfait, le conseiller lui propose l’ouverture d’un compte, avec à la clé des réductions ».

 

(Avec BFM et agences)

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Immatriculations automobiles : première augmentation depuis quatre ans

Immatriculations automobiles : première augmentation depuis quatre ans

Les immatriculations de voitures neuves ont augmenté de 12,5% en données brutes le mois dernier en France par rapport à décembre 2014, permettant au marché automobile français de signer sa première véritable hausse annuelle depuis quatre ans. Il s’est immatriculé le mois dernier dans l’Hexagone 183.726 voitures particulières neuves, selon des chiffres publiés vendredi par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Décembre 2014 et décembre 2015 ont eu chacun 22 jours. Sur l’ensemble de 2015, le marché automobile français ressort en hausse de 6,8% avec 1.917.232 immatriculations de voitures particulières. Le CCFA tablait depuis l’automne sur une progression de 4 à 5%. (Reuters)

Sondage chômage : première préoccupation des Français

Sondage chômage : première préoccupation des Français

Alors que Hollande s’apprête à centrer ses vœux pour 2016 sur la question de l’unité nationale face au terrorisme, un sondage Odoxa pour France Info et le Parisien fait de la lutte contre le chômage la première occupation. De quoi sans doute modifier la thématique centrale qu’entendait  développer Hollande ; lequel  pensait n’évoquer que de manière allusive la question économique et sociale. À moins qu’il n’en profite pour saisir au bond la proposition de certains à droite qui proposent, comme Raffarin,  une alliance nationale sur le sujet. Encore faudrait-il aller au-delà de l’incantation, et des pistes concrètes à la fois pour relancer la croissance et la création d’emplois. « Faire baisser le chômage », c’est le premier vœu des Français pour 2016, mais après les attentats, il ne devance que d’une courte tête la lutte contre « le terrorisme, l’insécurité et la délinquance », selon un sondage publié jeudi. Invités à choisir parmi une dizaine de souhaits pour 2016, 56% des personnes interrogées répondent « Faire baisser le chômage », contre 59% l’année dernière, selon l’enquête menée par Odoxa pour Le Parisien, France Info et l’entreprise MCI (événementiel). En deuxième position, 50% des sondés choisissent « lutter efficacement contre le terrorisme, l’insécurité et la délinquance ». Il s’agit d’une percée, puisque ce n’était que le quatrième souhait des Français il y a un an. Entre temps, la France a été touchée en 2015 par deux séries d’attentats sanglants, en janvier et en novembre. Deux tiers des Français (65%) pensent que 2015 a été une année de « difficultés économiques » et un tiers (32%) qu’elle a été « semblable à l’année 2014″.  »Le record des chiffres du chômage en octobre » est l’événement économique le plus marquant de 2015 pour 63% des Français.  Pour 2016, les Français souhaitent aussi « faire diminuer la pauvreté et la précarité » (35%), « baisser le niveau des impôts et des taxes » (31%), « augmenter le pouvoir d’achat » (30%) ou encore « lutter plus efficacement contre l’immigration clandestine » (29%). En revanche, « améliorer la protection de l’environnement » (16%) et « réaliser une grande avancée en santé » (16%) sont les souhaits qui recueillent le moins de suffrages. Ce sondage réalisé en ligne les 23 et 24 décembre auprès d’un échantillon de 1.042 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas.

Julie Gayet nommée première courtisane par Hollande

Julie Gayet nommée première courtisane par Hollande

 

Cette fois c’est officiel Julie Gayet est nommée première courtisane de l’Elysée. La famille Gayet a d’ailleurs pu bénéficiers des avantages de la monarchie républicaine dans la résidence royale de la Lanterne. On dit que les éventuels bâtards pourraient être anoblis et hériter le moment  le moment venu d’une  charge ( une nomination dans l’un des nombreux organismes publics qui ne servent à rien).. Selon Voici, dans son numéro de cette semaine, François Hollande aurait passé le week-end de Pâques en compagnie de Julie Gayet…et ses proches. Des moments qualifiés de « privilégiés » par l’hebdomadaire. Le magazine people dévoile même des photos du couple en famille dans l’une des résidences de la République, la LanterneDes clichés du chef de l’État en compagnie de son beau-père par exemple, avec qui, selon Voici, il serait proche. Le couple était donc en compagnie des parents de l’actrice, mais aussi de ses deux enfants, toujours selon le magazine. « Une journée parfaite et l’écriture d’une jolie page dans l’histoire d’un couple qui un jour, peut-être, se décidera à officialiser son amour », résume Voici. La relation entre Julie Gayet et François Hollande a été révélée par Closer en janvier 2014. Depuis, la presse people ne se lasse pas de l’affaire et guette le moindre geste pour obtenir des preuves en image de la relation, qui n’a toujours pas été officialisée. Les derniers clichés dévoilés par le tabloïd remontent à février dernier dans lesquels Julie Gayet apparaissait escortée par deux fonctionnaires de l’État. Et selon Voicile couple ne se « cacherait plus à l’Élysée ».

Grèce : première victoire avec le départ de la BCE et du FMI de la troïka

Grèce : première victoire avec le départ de la BCE et du FMU de la troïka

C’est indéniablement une première victoire de la Grèce qui refusait de discuter avec la Troïka (même si cela ne règle pas le problème de la gestion de la dette).De fait la problématique grecque prendra une dimension plus politique été moins technocratique.  Officiellement donc pour des motifs techniques liés à la confusion des tâches (préteurs et membre de fait de la gouvernance européenne) les deux organismes pourraient quitter la troïka. La Banque centrale européenne (BCE) envisage en effet  de se retirer de la « troïka » des créanciers internationaux de la Grèce supervisant la mise en œuvre par Athènes du programme d’aide financière accordée au pays, rapporte mardi le quotidien économique allemand Handelsblatt. Cette possibilité illustre le débat en cours au sein de la BCE sur un éventuel conflit d’intérêts lié au vaste programme de rachats d’actifs, dont des dettes souveraines, annoncé le 22 janvier par l’institut de Francfort, souligne Handelsblatt. Le nouveau gouvernement d’Alexis Tsipras en Grèce veut sortir de ce programme d’assistance internationale car il rejette les politiques d’austérité qui lui sont associées et il a annoncé son refus de coopérer avec les inspecteurs de la « troïka ». « La BCE va saisir cette occasion pour sortir », déclare une source gouvernementale allemande citée par le journal. Sans citer de source, Handelsblatt ajoute que le Fonds monétaire international (FMI) aimerait lui aussi sortir de la « troïka » le plus rapidement possible, ce qui laisserait la Commission européenne seule au sein de cette structure. D’après Handelsblatt, le président de l’exécutif européen, Jean-Claude Juncker, doute de l’avenir de la « troïka » et réfléchit à une formule permettant un contrôle plus démocratique.

 

Salaires : première baisse depuis 1996

Salaires : première baisse depuis 1996

 

Après une augmentation de 0,5% en 2010 et de 0,2% l’année suivante, le salaire net moyen a diminué de 0,4% en 2012 en euros constants (c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation). Une première depuis 1996. Cette perte de pouvoir d’achat s’explique par le fait qu’entre 2011 et 2012, le salaire net a augmenté de 1,6% – moins que l’année précédente (+2,3%) -, alors que l’inflation est restée à peu près au même niveau (à 2%), indique l’Insee.  Mais le salaire net médian, – qui est plus représentatif de la situation des salaires en France car il partage les salariés en deux groupes d’effectifs égaux, 50% gagnant plus et 50% gagnant moins -, est beaucoup moins élevé. Il atteignait 1730 euros par mois en 2012, soit une baisse de 0,6% en euros constants.  D’après les calculs de l’Insee, les 10% des salariés les moins rémunérés en France ont perçu un salaire net mensuel inférieur à 1184 euros en 2012. A l’opposé, le salaire net des 10% de salariés les mieux rémunérés était supérieur à 3455 euros, précise l’institut. Parmi eux, les 1% des mieux payés ont perçu un salaire net supérieur à… 7914 euros mensuel. En 2012, toutes les catégories socioprofessionnelles ont perdu du pouvoir d’achat, mais ce sont les professions intermédiaires qui ont le plus perdu (-1,1%) et les cadres (-0,8%). Le secteur de la construction, toutes catégories socioprofessionnelles confondues, a vu le salaire net moyen en euros constants diminuer de 0,8%. Le tertiaire a lui accusé une baisse de 0,5%. Au contraire, le salaire net moyen a progressé dans l’industrie avec une hausse de 0,2%.

Chine : première puissance économique mondiale en 2014

Chine : première puissance économique mondiale en 2014

 

En 2014, le produit intérieur brut (PIB) chinois va atteindre 17.632 milliards de dollars, contre « seulement » 17.416 milliards de dollars pour le PIB américain. En d’autres termes, le géant asiatique représente désormais 16,5% de l’économie, contre 16,3% pour les Etats-Unis. Un « tremblement de terre économique » pour Market Watch, qui rappelle qu’encore en 2000, le PIB américain représentait trois fois celui de la Chine.  Cette situation va se pérenniser, et l’ex-puissance communiste va prendre de plus en plus d’avance sur son ex-rivale capitaliste dans les cinq années à venir. L’institution prévoit ainsi qu’en 2019, la Chine atteigne 27 milliards de dollars de PIB, quand les Etats-Unis ne seront qu’à 22 milliards. Ces chiffres sont exprimés en parité de pouvoir d’achat (PPA). C’est-à-dire que le FMI n’a pas utilisé les taux de change officiels pour convertir les monnaies entre elles. Ses économistes ont considéré qu’une somme en yuan équivaut une autre en dollar à partir du moment où elles permettent d’acheter autant de produits dans les pays où ces changes ont cours.  A taux de change officiels en revanche, l’économie américaine demeure plus importante que l’économie chinoise. Mais cette méthode de calcul ne vaut pas grand-chose aux yeux du média économique américain. Car « est-ce que l’économie américaine va vraiment ralentir si le dollar baisse? Est-ce que la récente chute du yen signifie la disparition de l’économie japonaise? » demande le site. Cet évènement économique va, à plus ou moins long terme, avoir de vastes répercussions géopolitiques, estime l’éditorialiste de Market Watch. Parce que « le pouvoir politique et militaire a toujours été fonction de la puissance économique ». Le site liste ainsi le déclin de la Grande-Bretagne, de la France et de l’Espagne sur la scène internationale à mesure que leur richesse s’amenuisait par rapport à leurs voisins.

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