Archive pour le Tag 'pratiquement'

Sondage 2022: Macron et Le Pen pratiquement à égalité

Sondage 2022:  Macron et Le Pen pratiquement à égalité

Emmanuel Macron et Marine Le Pen arrivent toujours en tête au premier tour de l’élection présidentielle 2022, le président sortant devançant légèrement la cheffe du RN quel que soit le candidat à droite, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse ou Éric Ciotti, selon un sondage publié mercredi 1er septembre.

Dans l’hypothèse d’une candidature de Xavier Bertrand comme candidat de la droite, ce dernier obtiendrait 16% des intentions de vote (stable par rapport à la semaine précédente), avec Emmanuel Macron à 24% et Marine Le Pen à 23%, précise ce baromètre Harris Interactive (vague 11) pour Challenges.

Si Valérie Pécresse se lançait, elle obtiendrait 14% (+1 point), avec Emmanuel Macron à 26% et Marine Le Pen à 24%. Testé pour la première fois, Éric Ciotti, candidat surprise à une primaire de la droite, n’obtiendrait que 6% des voix, avec Emmanuel Macron à 30% et Marine Le Pen à 26%. Les autres candidats de la droite, Michel Barnier, Philippe Juvin, et Denis Payre, ne sont pas testés.

Au second tour, le président de la République sortant devancerait toujours la présidente du RN avec 55% des voix contre 45%. Ces niveaux sont stables depuis fin juin. En 2017, le premier avait comptabilisé 66,1% des voix, la seconde 33,9%.

Gilets jaunes :  » le mouvement a pratiquement disparu « 

Gilets jaunes :  » le mouvement a pratiquement disparu « 

« Le mouvement, qui existait par sa présence dans la rue, n’existe pratiquement plus », décrypte Jérôme Sainte-Marie, politologue et président de la société d’études et de conseil Polling Vox, sur Europe 1. 

Les « gilets jaunes » ont fait leur rentrée samedi, avec une faible mobilisation. Ils étaient 6.000 à défiler en France, dont 2.500 à Paris, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. Après de nombreuses manifestations chaque samedi, le mouvement populaire, lancé en novembre 2018, est-il en train de disparaître ?  »Le mouvement, qui existait par sa présence dans la rue, n’existe pratiquement plus », décrypte Jérôme Sainte-Marie, politologue et président de la société d’études et de conseil Polling Vox, sur Europe 1.

« On sort de six mois où il n’y avait pas de mobilisations possibles, et si vous cherchez la dernière grande mobilisation de « gilets jaunes », je pense qu’il faut remonter au 1er mai 2019, donc cela fait très longtemps que ce mouvement a pratiquement disparu dans la rue », poursuit le politologue qui explique ce phénomène par une volonté de convergence des luttes. « Je crois qu’il y a plusieurs causes à cela, y compris une forme de ‘gauchisation’ de ses porte-paroles qui ont voulu pratiquer une forme de convergence des luttes. Ils s’étaient associés d’ailleurs à la mobilisation autour d’Adama Traoré. Et cette tentation de la convergence a abouti à une catastrophe. »

Selon une étude de l’Ifop révélée par Le Parisien dimanche matin, seulement 10% des personnes interrogées se sentent encore « gilets jaunes », soit neuf points de moins que l’année dernière. En revanche, ils sont encore 41% à ne pas sentir « gilets jaunes » mais à les soutenir. « Plus vous avez le sentiment d’être en bas de la société, plus vous l’êtes vraiment par votre revenu ou par votre situation sociale, et plus vous vous identifiez toujours aux gilets jaunes », analyse Jérôme Sainte-Marie.

Pourtant d’après les chiffres des mobilisations précédentes, ce soutien ne se traduit plus sur le pavé. Selon le politologue, il y a plusieurs raisons à cela notamment une forme de répression. « Cela a un coût de manifester, il faut d’abord accéder aux endroits où on manifeste », assure-t-il. « Il y a eu de très nombreuses interpellations, c’est dissuasif. »

 

Inflation 2016 : pratiquement nulle

Inflation 2016 : pratiquement nulle

 

L’inflation devrait être pratiquement nulle en 2016 d’après les scénarios du gouvernement. Initialement on  comptait sur une augmentation des prix de 1 % mais cette augmentation des prix est ramenée à 0,1 %. Une bonne nouvelle sans doute pour la maîtrise des prix mais une mauvaise nouvelle pour la croissance et les revenus. Mauvaise nouvelle pour la croissance car c’est la faiblesse de la demande qui tire les prix à la baisse. Mauvaise nouvelle aussi pour les salaires qui risquent d’être bloqués faute d’inflation officielle. Mauvaise nouvelle aussi pour les perspectives de rentrées  budgétaires. À l’inverse la faiblesse des taux permettra de moins peser sur la charge de la dette. Le nouveau scénario d’inflation figurera dans le programme de stabilité annuel présenté mercredi prochain en conseil des ministres, qui repose aussi sur une hypothèse de croissance maintenue à 1,5%, indique le journal. Le ministre des Finances, Michel Sapin, a réaffirmé à plusieurs reprises la volonté du gouvernement de respecter son plan de marche sur le déficit public, en le ramenant à 3,3% du PIB en 2016 puis sous 3% (à 2,7%) en 2017, dans les clous du pacte de stabilité et de croissance, après avoir obtenu à deux reprises des délais de ses pairs européens. Il sera aidé pour cela, au moins cette année, par la performance meilleure qu’attendue enregistrée en 2015, avec un déficit abaissé à 3,5% du PIB contre 3,8% prévu initialement. Le gouvernement mise également toujours sur une croissance de 1,5% de la richesse nationale en 2016 bien que les organisations internationales (FMI, OCDE) et la Commission européenne aient revu en baisse ces derniers mois leurs anticipations pour la France (de 1,2% à 1,3%). Outre la croissance de l’activité, il s’appuie, pour réduire le poids de ses déficits, sur un programme de 50 milliards d’euros d’économies sur trois ans, dont 16,0 milliards cette année et 15,4 milliards en 2017.

(Avec  Reuters)

Japon: pratiquement en récession

Japon: pratiquement en récession

 

Au troisième trimestre le Japon avait évité de justesse la réception mais les résultats du quatrième trimestre montrent que désormais le pays qui y plonge. Le produit intérieur brut (PIB) du Japon a en effet diminué de 0,4% au quatrième trimestre par rapport au précédent, concluant une année 2015 de faible croissance (+0,4%), selon les chiffres préliminaires annoncés lundi par le gouvernement. Depuis une hausse de la TVA en avril 2014, le Japon alterne trimestres de modeste croissance et de contraction, malgré l’ambitieuse stratégie de relance «abenomics» autour de trois «flèches» (relance budgétaire, assouplissement monétaire et réformes structurelles) lancée fin 2012 par le premier ministre Shinzo Abe. Ces derniers mois, le pays a en outre été confronté à l’impact du ralentissement chinois, qui pèse sur le commerce extérieur nippon, et aux turbulences sur les marchés.  Le Japon connaît finalement le même phénomène qu’en Chine, la baisse de la demande internationale se fait sentir sur la production intérieure. Le signe sans doute que l’économie mondiale est encore loin d’être sortie de la crise notamment dans les pays en développement.  La production industrielle a de nouveau reculé en novembre au Japon, illustrant l’impact de l’anémie des marchés émergents sur l’économie nipponne. La production industrielle au Japon a reculé de 0,9% en novembre sur un mois selon les données révisées publiées lundi par le ministère de l’Industrie (Meti). Elle avait augmenté de 1,4% en octobre après +1,1% en septembre, un regain qui suivait deux mois de baisse. Cette évolution en dents de scie témoigne du pragmatisme prudent des entrepreneurs sur fond de reprise fragile de la troisième puissance économique mondiale. En novembre, c’est une moindre fabrication d’équipements industriels, de produits chimiques ou encore de pièces métalliques qui a entraîné le repli d’ensemble, avait expliqué le ministère en annonçant fin décembre la première estimation. . Pour Yoshiki Shinke, chef économiste de l’institut de recherche Dai-ichi Life, les chiffres de novembre sont une mauvaise nouvelle. « Je pensais que la production industrielle avait cessé de chuter, mais elle n’est pas encore assez forte pour parler d’un rebond », dit-il. Les industriels interrogés par le ministère s’attendent cependant à une reprise dans les mois prochains, de 0,6% en décembre et de 6,0% en janvier. . La faiblesse des marchés émergents devrait continuer à peser sur les exportations japonaises, mais des analystes s’attendent à une reprise graduelle de la production industrielle au début de l’année prochaine, tablant notamment sur l’arrivée de nouveaux modèles de voitures. Au troisième trimestre, l’économie japonaise a échappé de justesse  à la récession.

 

Immobilier : des prix qui ont pratiquement doublé en 30 ans

Immobilier : des prix qui ont pratiquement doublé en 30 ans

 

D’un certain point de vue l’immobilier se caractérise par une crise spécifique qui s’inscrit dans la crise plus générale. Une crise générale qui fragilise le niveau des revenus des acquéreurs potentiels et leur solvabilité. Du coup l’accession à la propriété devient un objectif impossible à atteindre pour nombre de Français des générations les plus jeunes. Pas étonnant les prix ont pratiquement doublé en 30 ans. Pour redonner de la solvabilité aux acquéreurs surtout aux prix mots accédant pas d’autres solutions que de ramener les prix à un niveau compatible avec la capacité d’achat. Dans la situation actuelle l’équilibre offre demande est-elle il y a deux vendeurs en acheteur d’où l’évolution tendancielle à la baisse des prix. Alors rien n’a vraiment augmenté depuis 30 ans? Si, deux postes de budget ont littéralement explosé depuis le milieu des années 80. L’eau d’abord, dont les tarifs n’ont cessé de grimper. Il fallait 17 heures de travail pour payer une facture de 120 m3 en 1984, il en faut désormais 31 selon l’UFC Que Choisir, soit une hausse de 82%! Mais c’est évidemment l’immobilier qui décroche la palme de l’inflation. Pour un pavillon de 120 m², il fallait investir 5,3 années de salaire en 1984. En 2014, il faut y consacrer l’équivalent de 9,3 années de salaire. Et pour Paris, on est passé de 13,3 ans à… 23,5 ans pour un appartement moyen de 76 m²! Malgré l’allongement de la durée des crédits, les Français consacrent selon l’Insee 22,2% de leur budget au logement contre 14% au début des années 80.

 

Inflation : pratiquement zéro sur un an

Inflation : pratiquement zéro sur un an

 

Sur un an l’inflation est d’environ zéro en France comme d’ailleurs en zone euro (0,1 % pour la zone euro). Une bonne nouvelle en apparence qui témoigne de la maîtrise des prix et devrait redonner du pouvoir d’achat en particulier aux consommateurs. Avec une réserve toutefois car cet indice est faussé par l’évolution structurelle de la consommation. Une évolution structurelle caractérisée par une part de plus en plus importante des dépenses contraintes et inversement une diminution des dépenses ajustables. Du coup l’augmentation supposée du pouvoir d’achat est faussée. C’est surtout une mauvaise nouvelle pour la croissance car l’absence d’inflation témoigne du déséquilibre offre demande. Comme globalement il y a surcapacité de l’offre  les prix ont tendance à baisser. Pas forcément non plus une bonne nouvelle pour l’État car mécaniquement il y aura réduction des ressources fiscales pour l’État. Dernier élément plus technique celui-là :  le rapport entre mesure de l’inflation et croissance. Du fait de la sous-estimation de l’inflation réelle la croissance est surestimée. En clair au lieu des 1 % de croissance du PIB qui vont être affiché pour 2015 on sera en réalité autour de 0,6 %. D’où les mauvais chiffres du chômage. Réduire Le rebond (+0,3 %) du mois d’août n’aura été que de courte durée. L’indice des prix à la consommation accuse un recul de 0,4 % en septembre et reste stable sur un an, en dépit de la hausse des tarifs des produits manufacturiers et de l’alimentation.  Après un rebond de 0,3 % en août en raison de la variation saisonnière, les prix à la consommation se replient de 0,4 % en septembre, selon les statistiques publiées mercredi 14 octobre par l’Insee. En variation annuelle, l’indice des prix à la consommation reste en revanche stable en septembre, comme en août, précise l’Institut national de la statistique et des études économiques. « Les principales contributions à la baisse de l’IPC (indice des prix à la consommation) en septembre proviennent du repli saisonnier des prix des services liés au tourisme après les vacances scolaires d’été et d’un nouveau recul des prix des produits pétroliers », détaille l’Insee. Dans le détail, les prix des services se sont repliés de 1,6 % en septembre par rapport à août. La baisse a notamment été tirée par les services d’hébergement (-16,4 %), les résidences de vacances (-24,4 %) et les voyages tout compris (-28,8 %). Le transport aérien chute aussi de 18,8 %. En revanche, sur les douze derniers mois, les prix des services sont en hausse de 1,3 % en septembre. Pour le quatrième mois consécutif, les prix de l’énergie ont également reculé en septembre (-1,0 % et -5,9 % sur un an) du fait d’une nouvelle baisse des produits pétroliers (-2,2 % sur le mois et -14,3 % sur un an). Si les prix des carburants diminuent  de nouveau (-3,0 %, -13,5 % sur un an), ceux des combustibles se redressent (+1,2 % après une baisse de 7,1 % en août), même s’ils demeurent en fort recul sur un an (-20,4 %). L’Insee note toutefois un rebond des prix alimentaires de 0,5 % en septembre (après -0,1 % en août) qui s’explique par la hausse des produits frais (+4,4 %, dont +7,5 % pour les légumes). Mais si on exclut cette catégorie, les prix de l’alimentation se replient légèrement en septembre (-0,1 %) et sont stables sur un an. Quant aux prix des produits manufacturés, ils se sont redressés de 1,4 % en septembre (-0,9 % sur un an). Cette hausse est plus marquée que l’année dernière (+1,2 % en septembre 2014) en raison de l’instauration d’une semaine supplémentaire de soldes fixée cette année au mois d’août, détaille l’Insee. Le redressement des prix de l’habillement-chaussures qui accompagne la mise en vente de la nouvelle collection automne-hiver en septembre est plus fort cette année (+7,7 % contre +6,1 % en 2014). Enfin, l’indice d’inflation sous-jacente a reculé de 0,2 % en septembre, mais croît de 0,6 % sur an. L’inflation sous-jacente permet de dégager une tendance de fond de l’évolution des prix car elle exclut les produits à prix volatils (produits pétroliers, produits frais, produits laitiers, viandes, fleurs et plantes,…) et ceux soumis à l’intervention de l’Etat (gaz, électricité, tabac…). L’indice des prix à la consommation harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres pays de la zone euro, a diminué lui aussi de 0,4 % en septembre. Sur un an, il affiche une hausse de 0,1 % seulement. Une situation encore bien loin de l’objectif de la BCE qui se fixe comme objectif un retour de l’inflation à son niveau « cible », c’est à dire proche des 2% par an.

 




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