Archive pour le Tag 'Poutine'

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Politique-Trump, Poutine: Le pacte des loups

Politique-Trump, Poutine:  Le pacte des loups

Vertigineuse scène diplomatique. Ce vendredi 28 février, la Maison-Blanche a été le théâtre d’un moment d’Histoire avec l’affrontement entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky. Un remake télévisuel de Règlements de comptes à O.K. Corral… Le leader américain s’identifiant à Burt Lancaster, le talent en moins. On connaissait l’impulsivité et la versatilité du président des États-Unis, mais personne ne pouvait imaginer qu’il prenne définitivement le parti de Poutine et procède avec son vice-président, J.D. Vance, à un véritable lynchage verbal du dirigeant ukrainien.

 

Par  Bruno Jeudy, directeur délégué de « La Tribune Dimanche ».

La diatribe de l’Américain a laissé pantois les leaders européens. « Je suis aligné sur le monde… Vous jouez avec la troisième guerre mondiale, avec la vie de millions de personnes. » Zelensky est désigné comme le quasi-responsable du conflit entre Ukraine et Russie, comme le potentiel déclencheur d’une guerre qui peut enflammer la planète entière. Le pyromane Trump voit en lui un boutefeu ! Les excès et les contrevérités de l’occupant du Bureau ovale pourraient l’assimiler au père Ubu, mais, ici, le théâtre ne prête pas à rire, car il est celui d’opérations militaires engageant la vie d’êtres humains, qu’il s’agisse de soldats ou de civils.

Déjà en début de semaine, les États-Unis, en votant à l’ONU avec la Russie pour refuser de condamner l’agression commise en Ukraine, avaient abandonné de facto leur place de chef du monde libre et celle d’allié des Européens. Et leurs prétentions démesurées sur les ressources minières ukrainiennes s’apparentent à un chantage aussi cynique qu’opportuniste. Là où les Ukrainiens attendaient donateurs et partenaires, ils ont découvert des usuriers et des prédateurs.

 Désormais, face au lâchage américain, les Européens se retrouvent au pied du mur et la conférence réunie ce dimanche à Londres montrera (ou non) leur capacité à réagir et à se mobiliser pour sauver l’Ukraine. L’heure n’est plus aux vagues promesses et aux bonnes intentions mais à la mise en place effective d’une défense européenne sous l’égide de la France et de la Grande-Bretagne. Les premières déclarations du futur chancelier allemand, Friedrich Merz, laissent à penser qu’il sera un précieux soutien du binôme franco-anglais.

Si les Européens ne veulent pas disparaître de la scène internationale, ils se doivent de prendre conscience du moment historique que nous traversons. Dantzig en 1939, Kiev en 2025 : l’Histoire ne se répète pas mais propage d’inquiétants échos. En témoigne l’émoi du Premier ministre polonais, Donald Tusk, instruit par les drames vécus par son pays. Il serait terrible d’entériner le pacte des loups russe et américain scellant le sacrifice de l’Ukraine par le silence des agneaux européens.

N’en déplaise à La Fontaine et aux moralistes résignés, la fable n’est pas écrite à l’avance. La raison des plus forts – ou plutôt des plus fous – n’est pas toujours la meilleure si on leur oppose la cohésion, le courage et l’esprit de résistance.

Poutine-Guerre : » la Moldavie et la Roumanie menacées estime Macron « 

Poutine-Guerre : » la  Moldavie et la Roumanie menacées estime Macron  »

Si le président russe Vladimir Poutine, qui a envahi l’Ukraine depuis 2022, n’est pas freiné, « il ira à coup sûr sur la Moldavie et peut-être au-delà sur la Roumanie », prévient Emmanuel Macron dans un entretien à plusieurs titres de la presse dominicale, dont Le Parisien.(info BFM)

« Il y a, à nos frontières, une Russie surarmée et agressive. Elle mène des actions terroristes, des campagnes de désinformation massive chez nous et en Europe », assure le président français, pour qui il ne faut pas se tromper d’ennemi. « C’est notre sécurité qui est en jeu », alerte-t-il.

Le « désengagement » éventuel des États-Unis de l’Ukraine « n’est pas dans leur intérêt », estime le président français dans l’hebdomadaire La Tribune Dimanche, car « ce qu’ont fait les États-Unis depuis trois ans est tout à fait conforme à leur tradition diplomatique et militaire ».
 Si Washington acceptait de « signer un cessez-le-feu sans aucune garantie de sécurité pour l’Ukraine » alors sa « capacité de dissuasion géostratégique à l’égard de la Russie, de la Chine et d’autres, s’évanouirait le même jour », fait-il valoir.

L’entretien a été accordé à la Tribune Dimanche, au JDD, au Parisien et à Ouest-France.

Trump : l’homme de Poutine ?

Trump : l’homme de Poutine ?

Il est sans doute légitime de s’interroger sur les liens réels qui unissent Poutine et Trump qui chacun dans leur camp manifeste un impérialisme particulièrement inquiétant.

 

D’après les déclarations officielles aujourd’hui Trump reprend totalement à son compte le narratif de Moscou accusant et insultant le président ukrainien. Allant même dimanche jusqu’à réclamait encore son départ. Exactement ce que réclame le maître du Kremlin. Il faut dire que l’impérialisme russe et américain ne fait pas de dentelles en matière de démocratie. Avec Trump d’une part à l’origine d’un coup d’État manqué lors de l’élection de Biden et évidemment des élections complètement bidons pour Poutine qui a prolongé son mandat ad vitam aeternam avec des scores de république bananière.

Trump a été impliqué dans de nombreuses affaires douteuses notamment financières qui ont pu depuis longtemps interroger le KGB. On peut peut-être imaginer que des liens particuliers se sont noués entre les deux impérialistes dont  la ligne de conduite est surtout guidée par la puissance de l’argent. De l’argent qui profite aussi largement à des entourages de type mafieux qui pillent respectivement les ressources de leur Etat.

Trump, Poutine: Le pacte des loups

Trump, Poutine:  Le pacte des loups

Vertigineuse scène diplomatique. Ce vendredi 28 février, la Maison-Blanche a été le théâtre d’un moment d’Histoire avec l’affrontement entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky. Un remake télévisuel de Règlements de comptes à O.K. Corral… Le leader américain s’identifiant à Burt Lancaster, le talent en moins. On connaissait l’impulsivité et la versatilité du président des États-Unis, mais personne ne pouvait imaginer qu’il prenne définitivement le parti de Poutine et procède avec son vice-président, J.D. Vance, à un véritable lynchage verbal du dirigeant ukrainien.

 

Par  Bruno Jeudy, directeur délégué de « La Tribune Dimanche ».

La diatribe de l’Américain a laissé pantois les leaders européens. « Je suis aligné sur le monde… Vous jouez avec la troisième guerre mondiale, avec la vie de millions de personnes. » Zelensky est désigné comme le quasi-responsable du conflit entre Ukraine et Russie, comme le potentiel déclencheur d’une guerre qui peut enflammer la planète entière. Le pyromane Trump voit en lui un boutefeu ! Les excès et les contrevérités de l’occupant du Bureau ovale pourraient l’assimiler au père Ubu, mais, ici, le théâtre ne prête pas à rire, car il est celui d’opérations militaires engageant la vie d’êtres humains, qu’il s’agisse de soldats ou de civils.

Déjà en début de semaine, les États-Unis, en votant à l’ONU avec la Russie pour refuser de condamner l’agression commise en Ukraine, avaient abandonné de facto leur place de chef du monde libre et celle d’allié des Européens. Et leurs prétentions démesurées sur les ressources minières ukrainiennes s’apparentent à un chantage aussi cynique qu’opportuniste. Là où les Ukrainiens attendaient donateurs et partenaires, ils ont découvert des usuriers et des prédateurs.

 Désormais, face au lâchage américain, les Européens se retrouvent au pied du mur et la conférence réunie ce dimanche à Londres montrera (ou non) leur capacité à réagir et à se mobiliser pour sauver l’Ukraine. L’heure n’est plus aux vagues promesses et aux bonnes intentions mais à la mise en place effective d’une défense européenne sous l’égide de la France et de la Grande-Bretagne. Les premières déclarations du futur chancelier allemand, Friedrich Merz, laissent à penser qu’il sera un précieux soutien du binôme franco-anglais.

Si les Européens ne veulent pas disparaître de la scène internationale, ils se doivent de prendre conscience du moment historique que nous traversons. Dantzig en 1939, Kiev en 2025 : l’Histoire ne se répète pas mais propage d’inquiétants échos. En témoigne l’émoi du Premier ministre polonais, Donald Tusk, instruit par les drames vécus par son pays. Il serait terrible d’entériner le pacte des loups russe et américain scellant le sacrifice de l’Ukraine par le silence des agneaux européens.

N’en déplaise à La Fontaine et aux moralistes résignés, la fable n’est pas écrite à l’avance. La raison des plus forts – ou plutôt des plus fous – n’est pas toujours la meilleure si on leur oppose la cohésion, le courage et l’esprit de résistance.

Pour Poutine, « Trump a fait preuve de » retenue face à l’ordure Zelinsky !!!

Pour Poutine, « Trump a fait preuve de » retenue face à l’ordure Zelinsky !!!

 

En matière diplomatique concernant le conflit ukrainien on a peut-être encore pas tout à fait toucher le fond du caniveau mais c’est pas loin. Preuve le spectacle télévisé où Trump et Vance  se sont transformés en procureurs vis-à-vis de Zelinsky. Un piège sans doute très bien bien préparé surtout à destination de l’opinion américaine favorable à Trump. Évidemment Poutine pouvait boire du petit lait en constatant que Trump reprenait toutes les positions russes. Et pour bien faire comprendre à l’opinion internationale son sentiment Poutine en rajoute couche à sa manière de dictateur considérant que Trump a fait preuve de retenue face à Zelinsky. La nature des propos sont à l’image du personnage qui les prononce: honteux et sous la ceinture.

Europe- Le manque de lucidité vis-à-vis de Poutine

Europe- Le manque de lucidité vis-à-vis de Poutine

 

Face à la pression totalitaire que le président russe exerce sur l’Europe, le lauréat 2024 du prix Jacques Delors du livre européen, Karl Schlögel, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’européanité de l’Ukraine et s’alarme d’un retour de l’« Occident kidnappé » évoqué par Milan Kundera.

Qu’attend encore l’Europe ? Il y a dix ans, lorsque les troupes russes ont occupé la Crimée et lancé une insurrection de criminels et de séparatistes dans l’est de l’Ukraine, on pouvait encore se permettre d’être « choqué » et « stupéfait ». Même à la veille du 24 février 2022, après des mois de déploiement de centaines de milliers de soldats russes, on refusait encore de croire qu’on en arriverait à un véritable conflit territorial de grande ampleur contre un pays européen.
Depuis trois ans maintenant, l’Europe voit presque quotidiennement aux informations ce qui se passe à moins de deux heures de vol d’ici : le bombardement incessant des villes, la fuite de millions de personnes hors des zones de guerre et au-delà des frontières, d’innombrables crimes perpétrés contre la population civile, des frappes de missiles à proximité d’installations nucléaires – bref, l’anéantissement des moyens de subsistance de la nation ukrainienne. Il s’agit de plonger l’Ukraine dans le froid et l’obscurité et de la contraindre à la capitulation.

Tout cela ne se passe pas quelque part on ne sait où mais en plein cœur de l’Europe. C’est Kiev, ville millénaire avec ses cathédrales et ses monastères, qui est touchée. A Kharkiv, métropole aux gratte-ciel modernistes des années 1920, des quartiers entiers sont en ruine. Même la « petite Vienne » (Lviv, l’ancienne Lemberg habsbourgeoise) n’a pas été épargnée par les missiles russes. Odessa, dont nous connaissons la promenade et l’escalier du Potemkine grâce au film de Sergueï Eisenstein (1898-1948), Le Cuirassé Potemkine (1927), est livrée aux attaques de drones iraniens. Comment réagiraient les Européens si des bombes tombaient sur Trieste, en Italie, ou sur Marseille ?

C’est une dangereuse illusion de supposer qu’il ne s’agit que d’un conflit russo-ukrainien. Depuis le début, les dirigeants russes n’ont laissé planer aucun doute, ni par leurs déclarations ni par leurs actes, sur leurs objectifs : reprendre le contrôle de l’Europe centrale et orientale et restaurer l’Europe de Yalta, que Milan Kundera (1929-2023) avait appelée un jour l’« Occident kidnappé »…

Politique- La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

Politique- La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

Face à la pression totalitaire que le président russe exerce sur l’Europe, le lauréat 2024 du prix Jacques Delors du livre européen, Karl Schlögel, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’européanité de l’Ukraine et s’alarme d’un retour de l’« Occident kidnappé » évoqué par Milan Kundera.

Qu’attend encore l’Europe ? Il y a dix ans, lorsque les troupes russes ont occupé la Crimée et lancé une insurrection de criminels et de séparatistes dans l’est de l’Ukraine, on pouvait encore se permettre d’être « choqué » et « stupéfait ». Même à la veille du 24 février 2022, après des mois de déploiement de centaines de milliers de soldats russes, on refusait encore de croire qu’on en arriverait à un véritable conflit territorial de grande ampleur contre un pays européen.
Depuis trois ans maintenant, l’Europe voit presque quotidiennement aux informations ce qui se passe à moins de deux heures de vol d’ici : le bombardement incessant des villes, la fuite de millions de personnes hors des zones de guerre et au-delà des frontières, d’innombrables crimes perpétrés contre la population civile, des frappes de missiles à proximité d’installations nucléaires – bref, l’anéantissement des moyens de subsistance de la nation ukrainienne. Il s’agit de plonger l’Ukraine dans le froid et l’obscurité et de la contraindre à la capitulation.

Tout cela ne se passe pas quelque part on ne sait où mais en plein cœur de l’Europe. C’est Kiev, ville millénaire avec ses cathédrales et ses monastères, qui est touchée. A Kharkiv, métropole aux gratte-ciel modernistes des années 1920, des quartiers entiers sont en ruine. Même la « petite Vienne » (Lviv, l’ancienne Lemberg habsbourgeoise) n’a pas été épargnée par les missiles russes. Odessa, dont nous connaissons la promenade et l’escalier du Potemkine grâce au film de Sergueï Eisenstein (1898-1948), Le Cuirassé Potemkine (1927), est livrée aux attaques de drones iraniens. Comment réagiraient les Européens si des bombes tombaient sur Trieste, en Italie, ou sur Marseille ?

C’est une dangereuse illusion de supposer qu’il ne s’agit que d’un conflit russo-ukrainien. Depuis le début, les dirigeants russes n’ont laissé planer aucun doute, ni par leurs déclarations ni par leurs actes, sur leurs objectifs : reprendre le contrôle de l’Europe centrale et orientale et restaurer l’Europe de Yalta, que Milan Kundera (1929-2023) avait appelée un jour l’« Occident kidnappé »

La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

Face à la pression totalitaire que le président russe exerce sur l’Europe, le lauréat 2024 du prix Jacques Delors du livre européen, Karl Schlögel, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’européanité de l’Ukraine et s’alarme d’un retour de l’« Occident kidnappé » évoqué par Milan Kundera.

Qu’attend encore l’Europe ? Il y a dix ans, lorsque les troupes russes ont occupé la Crimée et lancé une insurrection de criminels et de séparatistes dans l’est de l’Ukraine, on pouvait encore se permettre d’être « choqué » et « stupéfait ». Même à la veille du 24 février 2022, après des mois de déploiement de centaines de milliers de soldats russes, on refusait encore de croire qu’on en arriverait à un véritable conflit territorial de grande ampleur contre un pays européen.

Depuis trois ans maintenant, l’Europe voit presque quotidiennement aux informations ce qui se passe à moins de deux heures de vol d’ici : le bombardement incessant des villes, la fuite de millions de personnes hors des zones de guerre et au-delà des frontières, d’innombrables crimes perpétrés contre la population civile, des frappes de missiles à proximité d’installations nucléaires – bref, l’anéantissement des moyens de subsistance de la nation ukrainienne. Il s’agit de plonger l’Ukraine dans le froid et l’obscurité et de la contraindre à la capitulation.

Tout cela ne se passe pas quelque part on ne sait où mais en plein cœur de l’Europe. C’est Kiev, ville millénaire avec ses cathédrales et ses monastères, qui est touchée. A Kharkiv, métropole aux gratte-ciel modernistes des années 1920, des quartiers entiers sont en ruine. Même la « petite Vienne » (Lviv, l’ancienne Lemberg habsbourgeoise) n’a pas été épargnée par les missiles russes. Odessa, dont nous connaissons la promenade et l’escalier du Potemkine grâce au film de Sergueï Eisenstein (1898-1948), Le Cuirassé Potemkine (1927), est livrée aux attaques de drones iraniens. Comment réagiraient les Européens si des bombes tombaient sur Trieste, en Italie, ou sur Marseille ?

C’est une dangereuse illusion de supposer qu’il ne s’agit que d’un conflit russo-ukrainien. Depuis le début, les dirigeants russes n’ont laissé planer aucun doute, ni par leurs déclarations ni par leurs actes, sur leurs objectifs : reprendre le contrôle de l’Europe centrale et orientale et restaurer l’Europe de Yalta, que Milan Kundera (1929-2023) avait appelée un jour l’« Occident kidnappé »

Ukraine: Poutine pour des investissements américains dans les territoires occupés

Ukraine: Poutine pour  des investissements américains dans  les territoires occupés 

 Poutine s’est dit lundi favorable à des investissements américains pour exploiter les minerais stratégiques se trouvant dans le sol des territoires d’Ukraine occupés par l’armée russe.
«Nous sommes prêts à attirer des partenaires étrangers dans nos nouveaux territoires historiques qui ont été restitués à la Russie. Il y a là certaines réserves. Nous sommes prêts à travailler avec nos partenaires, y compris Américains, dans les nouvelles régions», a déclaré Vladimir Poutine lors d’un entretien télévisé.
Ces déclarations interviennent alors que Kiev et Washington sont en négociations en vue d’un accord donnant un accès aux entreprises américaines aux minerais stratégiques ukrainiens. ersion de l’accord, clamant que «l’Ukraine n’est pas à vendre». Une deuxième mouture est toutefois actuellement en discussion, selon Kiev et Washington. Donald Trump a assuré lundi qu’un accord sur les minerais avec l’Ukraine est «très proche». Une partie des ressources minières de l’Ukraine se trouve actuellement dans des territoires contrôlés par l’armée russe et d’autres gisements sont menacés par ses avancées sur le front.

 

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Trump sur la ligne de Poutine, l’union européenne écartée

Trump sur la ligne de Poutine, l’union européenne écartée

 

Trump a effet annoncé des négociations immédiates avec le président russe Vladimir Poutine et indiqué au dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky d’abandonner l’espoir de reprendre toutes les terres dont la Russie s’est emparée.

Hegseth a considéré devant ses homologues que Zelensky n’avait aucune chance d’atteindre son objectif de chasser les forces russes de Crimée et de l’est du pays et que l’Ukraine retrouve ses frontières d’avant 2014.

“Poursuivre cet objectif illusoire ne fera que prolonger la guerre et causer davantage de souffrances”, a déclaré Hegseth.

Il a ensuite prévenu que les Etats-Unis allaient se retirer de leurs engagements en matière de sécurité européenne, renonçant au rôle historique qu’ils ont joué depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et il a exposé une vision sombre dans laquelle les gouvernements européens seront les premiers responsables de leur propre défense. Et de celle de l’Ukraine.

Pour résumer Trump lasse complètement l’Ukraine est encore l’avantage le président ukrainien. Il passe par-dessus la tête de tous les autres interlocuteurs néglige au passage l’union européenne dont il pense qu’elle doit maintenant assurer sa propre sécurité.

Un vrai coup de massue pour l’union européenne et pour l’Ukraine qui passe par ailleurs par-dessus tous les usages diplomatiques. Et qui par parenthèse confirme les liens sulfureux entre Poutine et Trump, deux gangsters du même profil intéressé surtout par le pouvoir et l’argent.

Reste à savoir comment maintenant l’union économique et même toute l’Europe va réagir après les oukazes du président américain qui signifie clairement son indifférence totale à l’égard de l’Ukraine et plus généralement de l’Europe. On observera que pour l’instant les principaux leaders européens semblent assez sidérés et très discrets sur ce problème central

Le journal  » Le Monde » expulsé par Poutine

Le journal  » Le Monde » expulsé par Poutine

 

Le Monde a dénoncé, mercredi 5 février, « l’expulsion déguisée » de son correspondant à Moscou, Benjamin Quénelle, dont l’accréditation de presse vient d’être « annulée » par les autorités russes après « plus de vingt ans en Russie ». Cette annulation « revient de fait à lui interdire de pouvoir exercer son métier de correspondant dans la capitale russe et dans l’ensemble du pays », a déploré le directeur du quotidien, Jérôme Fenoglio, dans un éditorial(Nouvelle fenêtre) écrit en français et en russe.

 

Crash : L’Azerbaïdjan accuse clairement Poutine

Crash : L’Azerbaïdjan accuse clairement Poutine

L’Azerbaïdjan accuse clairement la Russie d’avoir voulu cacher sa responsabilité. C’est rare pour être souligné, le président azerbaïdjanais a mis en cause la Russie concernant le crash provoqué par les tirs de la défense aérienne. D’ordinaire le président azerbaïdjanais se montre assez bienveillant avec Poutine. Cette fois la responsabilité des Russes suscite des réactions en Azerbaïdjan et le président n’a d’autre solution que d’accuser clairement Poutine, en tout cas son administration.

 

 

Le président azerbaïdjanais a lui publiquement pointé la «culpabilité» de la Russie, lors d’un entretien à la télévision nationale, tout en relevant que l’«avion a été touché par accident». Une formulation sans doute pour modérer sa critique de Poutine.

L’appareil a «été rendu incontrôlable par des moyens militaires de brouillage électroniques» dans le ciel de Grozny et «sa queue a été également gravement endommagée» par des tirs depuis le sol russe, a-t-il dit à la télévision, selon l’agence d’État Azertag.

 

 

Noël : une attaque massive de Poutine sur l’Ukraine

Noël : une attaque massive de Poutine sur l’Ukraine

 

La Russie a lancé ce mercredi matin 25 décembre plus de 70 missiles et plus de 100 drones explosifs sur l’Ukraine avec son système énergétique pour cible, a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dénonçant une attaque «inhumaine» le jour de Noël de la part de son homologue russe Vladimir Poutine.

 

Roumanie : l’extrême droite soutenue par Poutine battue

Roumanie :  l’extrême droite soutenue par Poutine battue

 

Ouf de soulagement en Roumanie mais avertissement cependant du fait de la montée des forces d’extrême droite soutenuse notamment par Poutine.

 

Les sociaux-démocrates pro-européens sont arrivés en tête des législatives dimanche en Roumanie mais l’extrême droite confirme sa forte percée, plongeant dans l’incertitude cet État voisin de l’Ukraine, membre de l’UE et de l’Otan. Le PSD – qui gouvernait jusqu’à présent avec les libéraux – a recueilli 23,5% des voix, devançant les autres formations, selon des résultats partiels portant sur le dépouillement de plus de 96% des bulletins. Toutefois l’ensemble des forces d’extrême droite combinées se situent à plus de 30%, soit le triple du précédent scrutin de 2020.

«

Poutine ne respectera jamais rien

Poutine ne respectera jamais rien
D’une certaine manière le président de l’Ukraine attire encore l’attention des occidentaux sur l’incapacité à imposer seulement par la diplomatie la paix avec la Russie. La diplomatie sera insuffisante et il faudra mettre en œuvre des moyens de contrainte dans la mesure où Poutine n’a jamais respecté sa parole et même sa signature. Il en sera de même à l’avenir. Ce qui suppose effectivement de revoir la stratégie de défense vis-à-vis de la Russie.

 » Invité à s’exprimer devant le Parlement européen ce mardi 19 novembre, au millième jour de l’invasion russe, Volodymyr Zelensky a exhorté les Européens à poursuivre leur engagement aux côtés de son pays face à un Vladimir Poutine toujours aussi déterminé.

Dans un discours d’une dizaine de minutes, le président ukrainien à « pousser la Russie vers la paix, et seulement la paix ». Selon lui, le président russe ne mettra pas fin à la guerre de lui-même.
D’où la nécessité, selon lui, d’ »engager des négociations sérieuses » avec la Russie, de sanctionner avec fermeté « chaque coup ou menace » de l’armée russe sur la population ukrainienne, ainsi que de continuer à réduire la capacité de Moscou à financer la guerre par la vente de pétrole, qui permet selon lui de maintenir le régime de Vladimir Poutine en vie.

« Poutine reste plus petit que les Etats unis d’Europe. Je vous exhorte à ne pas l’oublier et à ne pas oublier tout ce que l’Europe est capable de faire », a-t-il poursuivi.

Selon lui, la Russie n’aura pas de « réelle motivation pour engager des négociations significatives sans incendie dans ses dépôts de munitions sur le territoire russe (…), sans destruction des bases aériennes russes, sans perte de ses capacités de production de missiles et de drones et sans que ses avoirs ne soient confisqués ».

 

 

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