Archive pour le Tag 'Poutine'

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Europe- Le manque de lucidité vis-à-vis de Poutine

Europe- Le manque de lucidité vis-à-vis de Poutine

 

Face à la pression totalitaire que le président russe exerce sur l’Europe, le lauréat 2024 du prix Jacques Delors du livre européen, Karl Schlögel, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’européanité de l’Ukraine et s’alarme d’un retour de l’« Occident kidnappé » évoqué par Milan Kundera.

Qu’attend encore l’Europe ? Il y a dix ans, lorsque les troupes russes ont occupé la Crimée et lancé une insurrection de criminels et de séparatistes dans l’est de l’Ukraine, on pouvait encore se permettre d’être « choqué » et « stupéfait ». Même à la veille du 24 février 2022, après des mois de déploiement de centaines de milliers de soldats russes, on refusait encore de croire qu’on en arriverait à un véritable conflit territorial de grande ampleur contre un pays européen.
Depuis trois ans maintenant, l’Europe voit presque quotidiennement aux informations ce qui se passe à moins de deux heures de vol d’ici : le bombardement incessant des villes, la fuite de millions de personnes hors des zones de guerre et au-delà des frontières, d’innombrables crimes perpétrés contre la population civile, des frappes de missiles à proximité d’installations nucléaires – bref, l’anéantissement des moyens de subsistance de la nation ukrainienne. Il s’agit de plonger l’Ukraine dans le froid et l’obscurité et de la contraindre à la capitulation.

Tout cela ne se passe pas quelque part on ne sait où mais en plein cœur de l’Europe. C’est Kiev, ville millénaire avec ses cathédrales et ses monastères, qui est touchée. A Kharkiv, métropole aux gratte-ciel modernistes des années 1920, des quartiers entiers sont en ruine. Même la « petite Vienne » (Lviv, l’ancienne Lemberg habsbourgeoise) n’a pas été épargnée par les missiles russes. Odessa, dont nous connaissons la promenade et l’escalier du Potemkine grâce au film de Sergueï Eisenstein (1898-1948), Le Cuirassé Potemkine (1927), est livrée aux attaques de drones iraniens. Comment réagiraient les Européens si des bombes tombaient sur Trieste, en Italie, ou sur Marseille ?

C’est une dangereuse illusion de supposer qu’il ne s’agit que d’un conflit russo-ukrainien. Depuis le début, les dirigeants russes n’ont laissé planer aucun doute, ni par leurs déclarations ni par leurs actes, sur leurs objectifs : reprendre le contrôle de l’Europe centrale et orientale et restaurer l’Europe de Yalta, que Milan Kundera (1929-2023) avait appelée un jour l’« Occident kidnappé »…

Politique- La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

Politique- La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

Face à la pression totalitaire que le président russe exerce sur l’Europe, le lauréat 2024 du prix Jacques Delors du livre européen, Karl Schlögel, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’européanité de l’Ukraine et s’alarme d’un retour de l’« Occident kidnappé » évoqué par Milan Kundera.

Qu’attend encore l’Europe ? Il y a dix ans, lorsque les troupes russes ont occupé la Crimée et lancé une insurrection de criminels et de séparatistes dans l’est de l’Ukraine, on pouvait encore se permettre d’être « choqué » et « stupéfait ». Même à la veille du 24 février 2022, après des mois de déploiement de centaines de milliers de soldats russes, on refusait encore de croire qu’on en arriverait à un véritable conflit territorial de grande ampleur contre un pays européen.
Depuis trois ans maintenant, l’Europe voit presque quotidiennement aux informations ce qui se passe à moins de deux heures de vol d’ici : le bombardement incessant des villes, la fuite de millions de personnes hors des zones de guerre et au-delà des frontières, d’innombrables crimes perpétrés contre la population civile, des frappes de missiles à proximité d’installations nucléaires – bref, l’anéantissement des moyens de subsistance de la nation ukrainienne. Il s’agit de plonger l’Ukraine dans le froid et l’obscurité et de la contraindre à la capitulation.

Tout cela ne se passe pas quelque part on ne sait où mais en plein cœur de l’Europe. C’est Kiev, ville millénaire avec ses cathédrales et ses monastères, qui est touchée. A Kharkiv, métropole aux gratte-ciel modernistes des années 1920, des quartiers entiers sont en ruine. Même la « petite Vienne » (Lviv, l’ancienne Lemberg habsbourgeoise) n’a pas été épargnée par les missiles russes. Odessa, dont nous connaissons la promenade et l’escalier du Potemkine grâce au film de Sergueï Eisenstein (1898-1948), Le Cuirassé Potemkine (1927), est livrée aux attaques de drones iraniens. Comment réagiraient les Européens si des bombes tombaient sur Trieste, en Italie, ou sur Marseille ?

C’est une dangereuse illusion de supposer qu’il ne s’agit que d’un conflit russo-ukrainien. Depuis le début, les dirigeants russes n’ont laissé planer aucun doute, ni par leurs déclarations ni par leurs actes, sur leurs objectifs : reprendre le contrôle de l’Europe centrale et orientale et restaurer l’Europe de Yalta, que Milan Kundera (1929-2023) avait appelée un jour l’« Occident kidnappé »

La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

La cécité de l’Europe vis à vis de Poutine

Face à la pression totalitaire que le président russe exerce sur l’Europe, le lauréat 2024 du prix Jacques Delors du livre européen, Karl Schlögel, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’européanité de l’Ukraine et s’alarme d’un retour de l’« Occident kidnappé » évoqué par Milan Kundera.

Qu’attend encore l’Europe ? Il y a dix ans, lorsque les troupes russes ont occupé la Crimée et lancé une insurrection de criminels et de séparatistes dans l’est de l’Ukraine, on pouvait encore se permettre d’être « choqué » et « stupéfait ». Même à la veille du 24 février 2022, après des mois de déploiement de centaines de milliers de soldats russes, on refusait encore de croire qu’on en arriverait à un véritable conflit territorial de grande ampleur contre un pays européen.

Depuis trois ans maintenant, l’Europe voit presque quotidiennement aux informations ce qui se passe à moins de deux heures de vol d’ici : le bombardement incessant des villes, la fuite de millions de personnes hors des zones de guerre et au-delà des frontières, d’innombrables crimes perpétrés contre la population civile, des frappes de missiles à proximité d’installations nucléaires – bref, l’anéantissement des moyens de subsistance de la nation ukrainienne. Il s’agit de plonger l’Ukraine dans le froid et l’obscurité et de la contraindre à la capitulation.

Tout cela ne se passe pas quelque part on ne sait où mais en plein cœur de l’Europe. C’est Kiev, ville millénaire avec ses cathédrales et ses monastères, qui est touchée. A Kharkiv, métropole aux gratte-ciel modernistes des années 1920, des quartiers entiers sont en ruine. Même la « petite Vienne » (Lviv, l’ancienne Lemberg habsbourgeoise) n’a pas été épargnée par les missiles russes. Odessa, dont nous connaissons la promenade et l’escalier du Potemkine grâce au film de Sergueï Eisenstein (1898-1948), Le Cuirassé Potemkine (1927), est livrée aux attaques de drones iraniens. Comment réagiraient les Européens si des bombes tombaient sur Trieste, en Italie, ou sur Marseille ?

C’est une dangereuse illusion de supposer qu’il ne s’agit que d’un conflit russo-ukrainien. Depuis le début, les dirigeants russes n’ont laissé planer aucun doute, ni par leurs déclarations ni par leurs actes, sur leurs objectifs : reprendre le contrôle de l’Europe centrale et orientale et restaurer l’Europe de Yalta, que Milan Kundera (1929-2023) avait appelée un jour l’« Occident kidnappé »

Ukraine: Poutine pour des investissements américains dans les territoires occupés

Ukraine: Poutine pour  des investissements américains dans  les territoires occupés 

 Poutine s’est dit lundi favorable à des investissements américains pour exploiter les minerais stratégiques se trouvant dans le sol des territoires d’Ukraine occupés par l’armée russe.
«Nous sommes prêts à attirer des partenaires étrangers dans nos nouveaux territoires historiques qui ont été restitués à la Russie. Il y a là certaines réserves. Nous sommes prêts à travailler avec nos partenaires, y compris Américains, dans les nouvelles régions», a déclaré Vladimir Poutine lors d’un entretien télévisé.
Ces déclarations interviennent alors que Kiev et Washington sont en négociations en vue d’un accord donnant un accès aux entreprises américaines aux minerais stratégiques ukrainiens. ersion de l’accord, clamant que «l’Ukraine n’est pas à vendre». Une deuxième mouture est toutefois actuellement en discussion, selon Kiev et Washington. Donald Trump a assuré lundi qu’un accord sur les minerais avec l’Ukraine est «très proche». Une partie des ressources minières de l’Ukraine se trouve actuellement dans des territoires contrôlés par l’armée russe et d’autres gisements sont menacés par ses avancées sur le front.

 

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Trump sur la ligne de Poutine, l’union européenne écartée

Trump sur la ligne de Poutine, l’union européenne écartée

 

Trump a effet annoncé des négociations immédiates avec le président russe Vladimir Poutine et indiqué au dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky d’abandonner l’espoir de reprendre toutes les terres dont la Russie s’est emparée.

Hegseth a considéré devant ses homologues que Zelensky n’avait aucune chance d’atteindre son objectif de chasser les forces russes de Crimée et de l’est du pays et que l’Ukraine retrouve ses frontières d’avant 2014.

“Poursuivre cet objectif illusoire ne fera que prolonger la guerre et causer davantage de souffrances”, a déclaré Hegseth.

Il a ensuite prévenu que les Etats-Unis allaient se retirer de leurs engagements en matière de sécurité européenne, renonçant au rôle historique qu’ils ont joué depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, et il a exposé une vision sombre dans laquelle les gouvernements européens seront les premiers responsables de leur propre défense. Et de celle de l’Ukraine.

Pour résumer Trump lasse complètement l’Ukraine est encore l’avantage le président ukrainien. Il passe par-dessus la tête de tous les autres interlocuteurs néglige au passage l’union européenne dont il pense qu’elle doit maintenant assurer sa propre sécurité.

Un vrai coup de massue pour l’union européenne et pour l’Ukraine qui passe par ailleurs par-dessus tous les usages diplomatiques. Et qui par parenthèse confirme les liens sulfureux entre Poutine et Trump, deux gangsters du même profil intéressé surtout par le pouvoir et l’argent.

Reste à savoir comment maintenant l’union économique et même toute l’Europe va réagir après les oukazes du président américain qui signifie clairement son indifférence totale à l’égard de l’Ukraine et plus généralement de l’Europe. On observera que pour l’instant les principaux leaders européens semblent assez sidérés et très discrets sur ce problème central

Le journal  » Le Monde » expulsé par Poutine

Le journal  » Le Monde » expulsé par Poutine

 

Le Monde a dénoncé, mercredi 5 février, « l’expulsion déguisée » de son correspondant à Moscou, Benjamin Quénelle, dont l’accréditation de presse vient d’être « annulée » par les autorités russes après « plus de vingt ans en Russie ». Cette annulation « revient de fait à lui interdire de pouvoir exercer son métier de correspondant dans la capitale russe et dans l’ensemble du pays », a déploré le directeur du quotidien, Jérôme Fenoglio, dans un éditorial(Nouvelle fenêtre) écrit en français et en russe.

 

Crash : L’Azerbaïdjan accuse clairement Poutine

Crash : L’Azerbaïdjan accuse clairement Poutine

L’Azerbaïdjan accuse clairement la Russie d’avoir voulu cacher sa responsabilité. C’est rare pour être souligné, le président azerbaïdjanais a mis en cause la Russie concernant le crash provoqué par les tirs de la défense aérienne. D’ordinaire le président azerbaïdjanais se montre assez bienveillant avec Poutine. Cette fois la responsabilité des Russes suscite des réactions en Azerbaïdjan et le président n’a d’autre solution que d’accuser clairement Poutine, en tout cas son administration.

 

 

Le président azerbaïdjanais a lui publiquement pointé la «culpabilité» de la Russie, lors d’un entretien à la télévision nationale, tout en relevant que l’«avion a été touché par accident». Une formulation sans doute pour modérer sa critique de Poutine.

L’appareil a «été rendu incontrôlable par des moyens militaires de brouillage électroniques» dans le ciel de Grozny et «sa queue a été également gravement endommagée» par des tirs depuis le sol russe, a-t-il dit à la télévision, selon l’agence d’État Azertag.

 

 

Noël : une attaque massive de Poutine sur l’Ukraine

Noël : une attaque massive de Poutine sur l’Ukraine

 

La Russie a lancé ce mercredi matin 25 décembre plus de 70 missiles et plus de 100 drones explosifs sur l’Ukraine avec son système énergétique pour cible, a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dénonçant une attaque «inhumaine» le jour de Noël de la part de son homologue russe Vladimir Poutine.

 

Roumanie : l’extrême droite soutenue par Poutine battue

Roumanie :  l’extrême droite soutenue par Poutine battue

 

Ouf de soulagement en Roumanie mais avertissement cependant du fait de la montée des forces d’extrême droite soutenuse notamment par Poutine.

 

Les sociaux-démocrates pro-européens sont arrivés en tête des législatives dimanche en Roumanie mais l’extrême droite confirme sa forte percée, plongeant dans l’incertitude cet État voisin de l’Ukraine, membre de l’UE et de l’Otan. Le PSD – qui gouvernait jusqu’à présent avec les libéraux – a recueilli 23,5% des voix, devançant les autres formations, selon des résultats partiels portant sur le dépouillement de plus de 96% des bulletins. Toutefois l’ensemble des forces d’extrême droite combinées se situent à plus de 30%, soit le triple du précédent scrutin de 2020.

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Poutine ne respectera jamais rien

Poutine ne respectera jamais rien
D’une certaine manière le président de l’Ukraine attire encore l’attention des occidentaux sur l’incapacité à imposer seulement par la diplomatie la paix avec la Russie. La diplomatie sera insuffisante et il faudra mettre en œuvre des moyens de contrainte dans la mesure où Poutine n’a jamais respecté sa parole et même sa signature. Il en sera de même à l’avenir. Ce qui suppose effectivement de revoir la stratégie de défense vis-à-vis de la Russie.

 » Invité à s’exprimer devant le Parlement européen ce mardi 19 novembre, au millième jour de l’invasion russe, Volodymyr Zelensky a exhorté les Européens à poursuivre leur engagement aux côtés de son pays face à un Vladimir Poutine toujours aussi déterminé.

Dans un discours d’une dizaine de minutes, le président ukrainien à « pousser la Russie vers la paix, et seulement la paix ». Selon lui, le président russe ne mettra pas fin à la guerre de lui-même.
D’où la nécessité, selon lui, d’ »engager des négociations sérieuses » avec la Russie, de sanctionner avec fermeté « chaque coup ou menace » de l’armée russe sur la population ukrainienne, ainsi que de continuer à réduire la capacité de Moscou à financer la guerre par la vente de pétrole, qui permet selon lui de maintenir le régime de Vladimir Poutine en vie.

« Poutine reste plus petit que les Etats unis d’Europe. Je vous exhorte à ne pas l’oublier et à ne pas oublier tout ce que l’Europe est capable de faire », a-t-il poursuivi.

Selon lui, la Russie n’aura pas de « réelle motivation pour engager des négociations significatives sans incendie dans ses dépôts de munitions sur le territoire russe (…), sans destruction des bases aériennes russes, sans perte de ses capacités de production de missiles et de drones et sans que ses avoirs ne soient confisqués ».

 

 

Poutine utilise encore la terreur nucléaire nucléaire

 Poutine utilise encore la terreur nucléaire nucléaire

Une nouvelle fois les Russes utilisent la terreur nucléaire pour meubler une rhétorique qui n’impressionne plus grand monde. D’une certaine manière il s’agit de la manifestation d’une faiblesse un pays qui pensait avoir la meilleure armée du monde et qui depuis 1000 jours demeure aux portes de l’Ukraine. La stratégie de Poutine visant à envahir totalement l’Ukraine pour mettre une marionnette russe comme président a totalement échoué. Pire, cette stratégie agace sérieusement les Chinois surtout depuis l’alliance Russie–Corée-du-Nord. Une Chine davantage préoccupée de problèmes de croissance et d’endettement que d’affrontements guerriers.

 

Vladimir Poutine ente encore de faire peur avec, la signature du décret entérinant cette évolution doctrinale de l’utilisation du nucléaire. Une  nouvelle mise en garde, tandis que les États-Unis viennent d’autoriser le régime de Kiev à frapper le sol russe avec les missiles à longue portée qu’ils lui ont fournis.

Législatives Géorgie : encore la main de Poutine dans les urnes

législatives Géorgie : encore la main de Poutine dans les urnes

Sans surprise le gouvernement pro-russe grâce à la main de Poutine a remporté les élections Législatives de ce samedi. Et comme à chaque fois quand la Russie est impliquée, on signale des fraudes massives. L’objectif est forcément stratégique pour la Russie qui veut soustraire des ex pays de l’union soviétique à l’influence occidentale et à la démocratie.


Le parti pro-russe géorgien a donc remporté les élections législatives ce samedi. L’opposition dénonce des fraudes quand l’Occident s’inquiète d’un éloignement du pays à l’Union européenne. Plusieurs manifestations ont éclaté dans le pays.
Le parti au pouvoir Rêve géorgien, en place depuis 2012, a emporté 53.93% des voix contre 37.79% pour une alliance de partis d’opposition, selon les résultats finaux communiqués par la Commission. Un résultat qui fait polémique puisque ce dernier est accusé par ses détracteurs de dérive autoritaire pro-russe et de vouloir éloigner la Géorgie de l’Union européenne, ce qu’il réfute.

À l’issue des résultats, l’opposition a dénoncé un scrutin « volé » et a accusé, entre autres méthodes, le pouvoir d’avoir acheté des voix et soumis des électeurs à des pressions, en particulier dans des zones peu peuplées. La présidente géorgienne, Salomé Zourabichvili, en rupture avec le gouvernement, avait dénoncé un système sophistiqué de fraudes suivant une « méthodologie russe » avant de refuser de répondre à une convocation du parquet pour détailler ses accusations.

 

 

Reprise officielle du dialogue entre Trump et Poutine

Reprise officielle du dialogue entre Trump et Poutine

Trump vainqueur des élections américaines affirme qu’il envisage de reprendre officiellement des contacts avec Poutine. En vérité ces  contact n’ont jamais cessé dans la coulisse et Trump entretient des liens sulfureux avec le dictateur russe. L’Ukraine pourrait bien être la première victime du dialogue Poutine Trump qui pourrait décider la fin des hostilités contre le figeage du conflit avec appropriation des zones occupées par la Russie. La situation serait ainsi figée pendant un long moment. Cela d’autant plus que ni Poutine, ni l’Ukraine ne peuvent officiellement accepter la défaite. L’accord de paix aurait déjà été discuté dans la coulisse.

 

Le président américain s’est dit prêt à reprendre contact avec Vladimir Poutine, quatre ans après la fin de son premier mandat.
Le président russe Vladimir Poutine et Donald Trump ont tous les deux signalé ce jeudi 7 novembre être prêts à reprendre contact, après la victoire du républicain à la présidentielle américaine.

« Si quelqu’un veut reprendre contact, cela ne me dérange pas. Je suis prêt », a déclaré Vladimir Poutine lors d’un forum, à propos de Donald Trump. « Je voudrais profiter de cette occasion pour le féliciter pour son élection à la présidence des États-Unis ».

« Je pense que nous allons nous parler », a quant à lui déclaré Donald Trump à propos de Vladimir Poutine jeudi, lors d’une interview accordée à NBC.

Le président élu a précisé qu’il avait déjà « probablement » parlé à 70 dirigeants étrangers depuis sa victoire à l’élection de mardi.

Selon un livre publié par le célèbre journaliste Bob Woodward, Donald Trump aurait parlé à Vladimir Poutine en secret jusqu’à sept fois depuis qu’il a quitté la Maison Blanche en 2021.

 

Donald Trump s’est vu reprocher à plusieurs reprises ses propos laudateurs à l’adresse de Vladimir Poutine. Le milliardaire a promis de régler le conflit ukrainien, déclenché après l’invasion russe, en « 24 heures ».

Guterre ( ONU): sous influence des Brics et de Poutine

 

 

Il est clair que cette que curieuse organisation appelée Brics ou « sud global « regroupe surtout des régimes illibéraux et même des régimes autoritaires voire dictatoriaux sous influence de la Russie et de la Chine. L’objectif est surtout de s’attaquer à la démocratie occidentale pour lui préférer des régimes qui imposent leur légitimité par la force. Antonio Guterres actuellement secrétaire général de l’ONU ne cesse de se faire influencer par ce « sud globa »l au point d’ailleurs de se discréditer.

Pire sa visite à Moscou a contribué d’une certaine manière à redonner une crédibilité à Poutine pourtant condamné pour ces crimes de guerre.

En rencontrant le chef d’État sous mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (une agence onusienne), le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, apporte une légitimation inespérée au régime russe.

Vladimir Poutine n’aurait pas pu rêver mieux ! Lui dont l’Occident prétendait qu’il était isolé sur la scène internationale et acculé par les sanctions économiques, triomphe à Kazan au milieu d’un aréopage composé des plus grandes têtes d’affiche de ce qu’on appelle imparfaitement le « Sud global ». Xi Jinping, Erdogan, Modi, Pezechkian… Ils sont tous là pour célébrer la « victoire » diplomatique du président russe sur l’Occident et en présence du secrétaire général de l’ONU !

Un secrétaire général de l’ONU qui se contente surtout de publier des communiqués et se montre complètement impuissants à mobiliser l’ONU dans les nombreux conflits qui appliquent qui affectent la planète. Pire cette fois le secrétaire général de l’ONU apporte d’une certaine manière son soutien à Poutine

OQTF: Un taux de retour de 6 % seulement

OQTF: Un taux de retour de 6 % seulement

Le terrible crime de Taha O., suspecté du meurtre de Philippine dans le bois de Boulogne repose évidemment la question du retour des OQTF. Et cela y compris et  quand ils sont récidivistes. Ainsi par exemple en seulement  6 % des OQTF ont fait l’objet d’un renvoi effectif dans leur pays d’origine. En cause le faite que ces pays d’origine dans beaucoup de cas n’acceptent pas de reprendre leurs nationaux sans compensation politique et financière.

 Ce taux de retour dépend des pays : certains sont coopératifs et d’autres le sont vraiment très peu, notamment au Maghreb. Selon un rapport parlementaire, ces dernières années, le Maroc et l’Algérie ont accepté la moitié seulement des demandes françaises pour un laissez-passer consulaire, et à peine un tiers de réponse favorable pour la Tunisie.

C’est d’ailleurs pour cette raison que la France avait engagé en 2021 un bras de fer avec l’Algérie et avait délivré moins de visas pour obtenir plus de laissez-passer consulaires.

 

 

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