Archive pour le Tag 'pourrie'

Météo août: pourrie tout le mois

Météo août:  pourrie tout le mois 

 

 

 

Les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de la météo de cet été. Une période avec des épisodes particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire.

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

L e temps ne devrait pas s’améliorer au mois d’août malgré quelques embellies la semaine prochaine. Il n’y aura pas de tendances de beau temps durable. Un pic de chaleur pourrait être atteint pour le 15 août.

Météo pourrie : jusqu’à fin août

Météo pourrie :  jusqu’à fin août

 

 

 

Pour des questions touristiques , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de la météo de cet été. Une période avec des épisodes particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire.

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

L e temps ne devrait pas s’améliorer au mois d’août malgré quelques embellies la semaine prochaine. Il n’y aura pas de tendances de beau temps durable. Un pic de chaleur pourrait être atteint pour le 15 août.

Maxime Tandonnet: «une atmosphère de plus en plus pourrie en France»

Maxime Tandonnet: «une atmosphère de plus en plus pourrie en France»

Depuis la crise sanitaire, le pays est déboussolé et déchiré, affirme l’essayiste et historien Maxime

Fin observateur de la vie politique française et contributeur régulier du FigaroVox, Maxime Tandonnet a notamment publié «André Tardieu. L’incompris» (Perrin, 2019).

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Tribune


La France, empêtrée depuis plus d’un an dans la crise sanitaire donne en ce moment l’image d’un pays déboussolé, privé de ses repères éthiques et intellectuels, déchiré entre des attentes contradictoires. D’une part, il est en quête d’ordre et de fermeté dans la lutte contre la Covid-19. Les enquêtes d’opinion montrent régulièrement qu’une majorité ne dirait pas «non» au «confinement dur», c’est-à-dire un emprisonnement à domicile de la population. Mais paradoxalement, le pays profond ne supporte plus la banalisation de brimades bureaucratiques qu’il ressent comme absurdes et inefficaces: masques obligatoires sur les plages désertes et balayées par le vent, achats interdits de vêtements considérés comme un bien «non essentiel», interminable couvre-feu suspecté d’attiser l’épidémie en concentrant les déplacements, et partout, étranglement de la liberté de circulation et prolifération de contrôles tatillons et répressifs.

Comme dans les périodes les plus tragiques de l’histoire, cette frustration ou humiliation collective finit par attiser des comportements aux connotations les plus sinistres : surveillance et suspicion généralisées, jalousies de clocher.

Comme dans les périodes les plus tragiques de l’histoire, cette frustration ou humiliation collective finit par attiser des comportements aux connotations les plus sinistres: surveillance et suspicion généralisées, jalousies de clocher. L’esprit de délation se banalise: la chasse au voisin qui danse derrière sa fenêtre, ou de familles dans la forêt ou sur une plage sans masque ; la hantise des «restaurants clandestins» et des «puissants» soupçonnés de les fréquenter. Les émissions délatrices sont à la mode, les vidéos circulent livrant au lynchage et à la honte – sans que cela ne paraisse gêner quiconque. On invente des ministres ou autres «stars» qui se gavent secrètement au détriment du bon peuple. Les dénonciateurs se livrent à la traque acharnée des messes sans masques, des cafetiers qui tentent de survivre en vendant des cafés sur le trottoir ou des magasins qui ont négligé de clôturer le rayon des chaussettes pour enfant. Les appels anonymes prolifèrent au sujet du bruit des voisins que l’on soupçonne de recevoir plus de six convives ou pour dénoncer le jeune d’en face ou la mère de famille rentrée à la maison après 19h. À quoi bon les rappels historiques – hélas nombreux – auxquels ces dérives conduisent tout naturellement? Le naufrage actuel suffit de lui-même à susciter un dégoût de bon aloi…

L’épidémie de Covid-19 a profondément aggravé la fracture démocratique entre la France profonde et sa classe dirigeante.

La tragédie politique française est au cœur du sinistre. Aujourd’hui, seuls 35 % des Français font confiance à l’exécutif pour faire face à la crise sanitaire (Ifop-JDD). Dans une période aussi dramatique, un niveau de défiance à tel point dégradé donne le vertige. L’épidémie de Covid-19 a profondément aggravé la fracture démocratique entre la France profonde et sa classe dirigeante. Comment diriger un peuple dès lors que le lien de confiance – le gouvernail – est brisé? La parole politique ne veut plus rien dire. Dans un climat de suspicion généralisé, les annonces et promesses de l’exécutif (sur les vaccins par exemple) se perdent dans un abîme d’incrédulité et de scepticisme. Dans son rôle de contrôle de l’exécutif, le Parlement est de fait suspendu. Les mécanismes de mise en jeu de la responsabilité de dirigeants politiques déconnectés du réel sont annihilés. Le matraquage sondagier voue les Français à une obscure répétition du duel Macron/Le Pen en 2022, les privant pour l’instant de toute espérance démocratique crédible. Alors que la désintégration s’accélère, une seule question hante les esprits: quand viendra la première lueur d’espérance, le bout du tunnel? Il manque cruellement au pays une vision et une voix de sagesse ou de vérité.


Météo pourrie: mais que fait le gouvernement ?

Météo pourrie: mais que fait le gouvernement ?

Météo pourrie, un mois de mai pire qu’octobre et personne ne réagit. Pas étonnant,  il n’y a pas de ministre de la météo. On pourrait, il y a déjà 37 ministres, un de plus, un de moins ! Voilà pourtant un sujet qui fait l’unanimité ; certes les grincheux répliqueront qu’on n’y peut rien mais ce n’est pas une raison pour renoncer à  faire semblant. Sur le chômage , en fait,  on ne fait rien mais on fait semblant, au moins  en parle, le gouvernement prend des mesures, il inverse les courbes de l’illusion ; On pourrait décider de mesures de réchauffement en imposant  par exemple le port obligatoire d’un pull supplémentaire ou de chaussettes de laine ,( françaises bien sûr que pourraient porter Montebourg),avec une taxe évidemment pour ceux qui se mettraient hors la loi. On pourrait aussi relancer l’industrie du parapluie pour créer des emplois ; Ou mieux après le choc de compétitivité, le choc de simplification, créer un choc météorologique en lançant des fusées pour faire tomber la flotte sur l’Allemagne ou ailleurs. Ou alors c’est plus grave, le gouvernement a changé le calendrier sans nous en parler (par ordonnance peut-être ?) ; en réalité la Toussaint a été décalée à la Pentecôte et inversement. Peut-être pour inciter les français à travailler davantage ; peine perdue, ils sont 80% (statistiques officielles) à être en congé ou  en RTT ce lundi de Pentecôte. Pas étonnant que les français partent à l’étranger, après l’exil fiscal, c’est l’exil météorologique (en plus c’est vrai). Bref, l’austérité dans tous les domaines, économiques, sociaux et environnementaux. Davantage  de fiscalité, moins de pouvoir d’achat, moins d’emplois et moins de soleil. Etonnant que Bruxelles n’ait pas déterminé des normes dans ce dernier domaine ; Au plan mondial rien non plus, le G7 le G « vain » ne bougent pas ? Pourtant sur l’évasion fiscale ils ont bien pris des mesures illusoires , pour quoi pas sur le temps ? Décidemment le système politique est vraiment en crise, comme le temps,  pourri.  

Météo pourrie, un mois de mai pire qu’octobre et personne ne réagit. Pas étonnant,  il n’y a pas de ministre de la météo. On pourrait, il y a déjà 37 ministres, un de plus, un de moins ! Voilà pourtant un sujet qui fait l’unanimité ; certes les grincheux répliqueront qu’on n’y peut rien mais ce n’est pas une raison pour renoncer à  faire semblant. Sur le chômage , en fait,  on ne fait rien mais on fait semblant, au moins  en parle, le gouvernement prend des mesures, il inverse les courbes de l’illusion ; On pourrait décider de mesures de réchauffement en imposant  par exemple le port obligatoire d’un pull supplémentaire ou de chaussettes de laine ,( françaises bien sûr que pourraient porter Montebourg),avec une taxe évidemment pour ceux qui se mettraient hors la loi. On pourrait aussi relancer l’industrie du parapluie pour créer des emplois ; Ou mieux après le choc de compétitivité, le choc de simplification, créer un choc météorologique en lançant des fusées pour faire tomber la flotte sur l’Allemagne ou ailleurs. Ou alors c’est plus grave, le gouvernement a changé le calendrier sans nous en parler (par ordonnance peut-être ?) ; en réalité la Toussaint a été décalée à la Pentecôte et inversement. Peut-être pour inciter les français à travailler davantage ; peine perdue, ils sont 80% (statistiques officielles) à être en congé ou  en RTT ce lundi de Pentecôte. Pas étonnant que les français partent à l’étranger, après l’exil fiscal, c’est l’exil météorologique (en plus c’est vrai). Bref, l’austérité dans tous les domaines, économiques, sociaux et environnementaux. Davantage  de fiscalité, moins de pouvoir d’achat, moins d’emplois et moins de soleil. Etonnant que Bruxelles n’ait pas déterminé des normes dans ce dernier domaine ; Au plan mondial rien non plus, le G7 le G « vain » ne bougent pas ? Pourtant sur l’évasion fiscale ils ont bien pris des mesures illusoires , pour quoi pas sur le temps ? Décidemment le système politique est vraiment en crise, comme le temps,  pourri.

Météo pourrie : le gouvernement envisage une loi et une taxe

Météo pourrie : le gouvernement envisage une loi et une taxe

 

Un problème : une loi et/ou une taxe, c’est le crédo de la gauche au pouvoir. Des lois par milliers et autant de axes ; normal pour cette majorité composée essentiellement de fonctionnaires. Tout doit être administrée et fiscalisé. Alors pour la météo pourrie, Hollande pourrait bien annoncer une loi. Du type de celle de l’hôpital à 30 minutes ; une autre arnaque. Il suffirait de légiférer pour déterminer le nombre maximum de jours de pluie par département. Une taxe frapperait les départements avantagés par le beau temps ; on opérerait une péréquation pour indemniser les départements pluvieux. Un observatoire de la pluviosité serait mis en place ; par ailleurs compte tenu de l’enjeu un ministre de la météo serait désigné avec évidemment une administration conséquente chargée de relever la pluviosité dans chaque commune. Des emplois d’avenir en quelque sorte, payés par les contribuables ; on voit d’ici les rections acerbes, «  oui, mais ça ne sert à rien »   Justement, on pourrait y mettre Montebourg qui connaît ce genre de ministère et qui porte déjà la marinière pour affronter les bourrasques marines. Comme vient de le dire Ségolène, le gouvernement doit changer de cap, au lieu daller vers l’ouest , cap au sud.

 




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