Archive pour le Tag 'pourrait'

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Benoît Hamon pourrait quitter le gouvernement, une bonne nouvelle pour Spanghero

Benoît Hamon pourrait quitter le gouvernement, une bonne nouvelle pour Spanghero

Hamon pourrait quitter le gouvernement, pas vraiment une grande perte car son seul fait d’armes est d’avoir réussi l’exploit de faire fermer Spanghero (responsable sans doute mais assassiné par Hamon qui voulait qu’on parle de lui). De toute manière un ministère qui ne sert à rien !  Benoît Hamon, le ministre délégué à la Consommation, pourrait rendre son portefeuille en mars 2014, croit savoir L’Express. D’après l’hebdomadaire, Benoît Hamon estime que dès lors que les deux textes de loi qu’il défend, sur la consommation et sur l’économie sociale et solidaire, auront été votés, il aura accompli « l’essentiel » de sa mission. Je réfléchirai à la meilleure façon d’être utile à la gauche Benoît Hamon« Alors, je réfléchirai à la meilleure façon d’être utile à la gauche« , estime le ministre, selon L’Express. Cette expression pourrait cacher deux ambitions : la présidence de la région Ile-de-France, actuellement tenue par Jean-Paul Huchon, à l’issue des élections régionales de 2015, ou la place de premier secrétaire du Parti socialiste, en lieu et place d’Harlem Désir. Dernièrement, Arnaud Montebourg a lui aussi évoqué des envies de départ, déclarant, dans M, le magazine du Monde, « Après le ministère, j’arrête la politique, en tout cas comme une carrière. » Et Martine Aubry a annoncé qu’elle prendrait sa retraite en 2020 au plus tard, pour ses 70 ans. Si elle est réélue en 2014 à la mairie de Lille, « ce sera (son) dernier mandat », a-t-elle déclaré dans La Voix du Nord, fin août.

Cahuzac pourrait être réélu

Cahuzac pourrait être réélu

 

Pour l’instant pas de décision encore, donc une possibilité pour Cahuzac de se représenter, voire d’être réélu. La preuve en tout cas que Cahuzac n’a pas vraiment d’état d’âme sur sa dissimulation fiscale ;  une posture de nanti qui ne l’a pas empêché d’imposer  l’austérité aux français. Finalement un état d’esprit assez partagé au sein du gouvernement de bobos qui se gavent des ressources publiques (20 0000 euros en moyenne plus les avantagea pour un parlementaire) mais parlent sans cesse  de rigueur pour les autres .   »Aucune décision prise. Certains parlent pour moi sans mandat pour cela. Et je constate une forme d’attente ou d’espérance chez certains », a indiqué M. Cahuzac au Figaro.fr, en réponse à une interrogation du site.  Selon le Journal du Dimanche, Jérôme Cahuzac, qui avait remporté la troisième circonscription du Lot-et-Garonne avec 61,48% des suffrages en 2012, a laissé entendre à un proche qu’il n’écartait pas de se représenter comme indépendant à la législative partielle des 16 et 23 juin à Villeneuve-sur-Lot.  Aucune confirmation sur ces réflexions n’a pu être obtenue depuis dimanche par l’AFP dans l’entourage de M. Cahuzac.  Le premier secrétaire du PS Harlem Désir a estimé auparavant mardi, que M. Cahuzac serait « deux fois parjure » et « en totale contradiction avec des déclarations qu’il a pu faire », s’il venait à se représenter à l’élection partielle, qu’il a provoquée en ne reprenant pas son siège de député après sa démission du gouvernement suite à sa mise en examen pour blanchiment de fraude fiscale.  La porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem, lors de son point-presse, a pour sa part jugé une candidature Cahuzac « totalement inenvisageable », la qualifiant de « supputation ».  Le PS a désigné lundi comme candidat à cette élection dans la 3ème circonscription du Lot-et-Garonne Bernard Barral, un chef d’entreprise à la retraite de 66 ans, à l’issue d’un vote des militants locaux.  La date limite pour le dépôt des candidatures en préfecture a été fixée au 24 mai à 18h00.   »On a notre candidat, nous sommes rassemblés derrière lui et on fera campagne derrière lui », a déclaré à l’AFP mardi Matthias Fekl, premier secrétaire fédéral du PS pour le Lot-et-Garonne.  Il a précisé « qu’au premier tour de la primaire, il y a eu 42 bulletins blancs ou nuls, et que certains exprimaient un vote pour Cahuzac, qui a obtenu en gros le même score que le troisième prétendant, Eric Congé ».  Au second tour de la primaire, Bernard Barral a obtenu 127 voix (63,8%) face à une avocate de 42 ans, Catherine Joffroy (72 voix), lors d’une consultation à laquelle ont participé 204 militants.  Mais concernant une éventuelle candidature Cahuzac, M. Fekl n’a pas souhaité commenter « des hypothèses qui ne semblent pas crédibles ». « Ce n’est pas cohérent avec ce qu’il (Cahuzac) a dit lors de son interview télévisée, et avec la décision qu’il avait prise », a-t-il ajouté.  Bernard Barral a de son côté estimé qu’une éventuelle candidature de Jérôme Cahuzac serait pour ce dernier « suicidaire ». « Trois-quarts des militants ont sollicité ma candidature. Je suis le candidat du PS et nous avons un nombre croissant de sympathisants qui comprendraient mal » une telle initiative, a-t-il déclaré. « Je suis une personnalité atypique et j’apporte autre chose », a-t-il ajouté en soulignant que c’est ce qui est recherché par les électeurs.

 

La SNCF pourrait titriser les subventions du Stif pour réduire sa dette ; le début de la cavalcade financière ?

La SNCF pourrait titriser les subventions du Stif pour réduire sa dette ; le début de la cavalcade financière ?

Il ya deux manière de réduire une dette, gérer une dette, emprunter encore ou rembourser progressivement en assainissant la gestion  ; depuis des années la SNCF emprunte pour boucher les trous. Cette fois c’est la même chose avec la titrisation des subventions du STIF (‘ syndicat parisien qui gère les transports), subventions que doit lui verser le syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif) au titre de la cogestion des trains, en fait un jeu d’écriture qui fera abaisser fictivement la dette mais qui lui coutera cher car les investisseurs recevront capital bien sûr mais aussi intérêts. Pourquoi dès lors ne pas titriser la totalité de la dette du fer (une quarantaine de milliards) puisqu’en définitive ce sont les subventions publiques qui assurent l’équilibre (50% des charges du fer). En bref, il s’agit de cavalcade qui ne règle pas le problème de la dette. .  Cette opération, qui devrait être dévoilée lors des résultats annuels de la société en février, pourrait permettre à la SNCF « de faire disparaître de son bilan plusieurs centaines de millions d’euros d’endettement », indique le quotidien. Le mécanisme passerait par une titrisation de créances correspondant aux subventions d’investissement que le Stif est tenu de verser au cours des huit ans à venir à la SNCF, afin de cofinancer les trains circulant en Ile-de-France.  Au lieu de toucher directement le montant de ces subventions, la SNCF pourrait choisir de les titriser et de les placer sur le marché, expliquent les Echos.  Cela pourrait lui permettre d’encaisser « plus de 770 millions d’euros », estime le journal.  La dette de la SNCF, qui était d’un peu plus de 9 milliards en juillet, pourrait être considérablement alourdie dans le cadre de son rapprochement avec le gestionnaire du réseau RFF au sein du « pole public ferroviaire unifié » voulu par le gouvernement.  L’endettement cumulé des deux sociétés dépassait à fin octobre les 32 milliards d’euros et augmente d’environ 1 milliard d’euros chaque année.  La titrisation (securitization en anglais) est une technique financière qui consiste classiquement à transférer à des investisseurs des actifs financiers tels que des créances (par exemple des factures émises non soldées, ou des prêts en cours), en transformant ces créances, par le passage à travers une société ad hoc, en titres financiers émis sur le marché des capitaux. Une telle titrisation s’opère en regroupant un portefeuille (c’est-à-dire un lot) de créances de nature similaire (prêts immobiliers, prêts à la consommation, factures mono-thématique, …) que l’on cède alors à une structure ad hoc (société, fonds ou trust) qui en finance le prix d’achat en plaçant des titres auprès d’investisseurs. Les titres (obligations, billets de trésorerie, …) représentent chacun une fraction du portefeuille de créances titrisées et donnent le droit aux investisseurs de recevoir les paiements des créances (par exemple quand les factures sont payées, ou quand les prêts immobiliers versent des mensualités) sous forme d’intérêts et de remboursement de principal.

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