Archive pour le Tag 'pourrait'

Politique-Guerre en Ukraine : vers un statu quo qui pourrait durer longtemps

Politique-Guerre en Ukraine : vers un statu quo qui pourrait durer longtemps

Après des mois et des mois de lutte, le conflit entre l’Ukraine et la Russie semble être gelé car les positions des uns et des autres n’avancent plus guère. En cause notamment les moyens accordés au compte-gouttes par l’Occident et des insuffisances en particulier en matière de protection aérienne, d’artillerie et d’aviation. La Russie de son côté renforce en permanence sa politique de défense et met une grande partie de ses moyens financiers au service de la guerre. Il y a aussi l’opinion publique internationale qui commence à douter de la possibilité de victoire de l’Ukraine. Le conflit pourrait donc s’installer dans la durée sur les positions actuelles. Les seules avancées envisageables aujourd’hui concernent le plan diplomatique avec l’étude du rattachement de l’Ukraine à l’union européenne, aussi son adhésion à l’OTAN.

Le commandant en chef des Forces armées ukrainiennes, Valeri Zaloujny, a reconnu qu’il n’y aurait « probablement pas de percée profonde », et que la contre-offensive était désormais « dans une impasse ».

Malgré les pertes en hommes et en matériel infligées aux Russes, la tactique employée par les Ukrainiens n’a pas mené à l’effondrement escompté des lignes russes : « C’était mon erreur, explique Valeri Zaloujny. La Russie a eu au moins 150.000 morts. Dans n’importe quel autre pays, de telles pertes auraient mis fin à la guerre. »

Les récents développements sur la ligne de front, et les déclarations de l’état-major ukrainien, offrent un contraste saisissant avec l’optimisme affiché au début de la contre-offensive : en juillet dernier, l’ancien ministre de la Défense, Oleksiï Reznikov, estimait ainsi que la guerre pourrait être gagnée « d’ici l’été prochain », et que l’Ukraine pourrait être admise dès le mois de juillet 2024 au sein de l’Otan.

Mais les efforts ukrainiens se sont heurtés à un réseau de fortifications long de plusieurs centaines de kilomètres, la « ligne Sourovikine », et à de vastes champs de mines antichars et antipersonnelles. Portant le nom du général russe ayant un temps supervisé les opérations militaires en Ukraine, celle-ci est composée de trois lignes de défense successives, profondes d’une trentaine de kilomètres, faites de tranchées antichars et d’abris renforcés.

Nombre d’Ukrainiens craignent que la guerre ne s’enlise durablement : « Le plus grand risque d’une guerre de tranchées d’usure est qu’elle peut durer des années et épuiser l’Etat ukrainien. »

Guerre en Ukraine : vers un statu quo qui pourrait durer longtemps

Guerre en Ukraine : vers un statu quo qui pourrait durer longtemps

Après des mois et des mois de lutte, le conflit entre l’Ukraine et la Russie semble être gelé car les positions des uns et des autres n’avancent plus guère. En cause notamment les moyens accordés au compte-gouttes par l’Occident et des insuffisances en particulier en matière de protection aérienne, d’artillerie et d’aviation. La Russie de son côté renforce en permanence sa politique de défense et met une grande partie de ses moyens financiers au service de la guerre. Il y a aussi l’opinion publique internationale qui commence à douter de la possibilité de victoire de l’Ukraine. Le conflit pourrait donc s’installer dans la durée sur les positions actuelles. Les seules avancées envisageables aujourd’hui concernent le plan diplomatique avec l’étude du rattachement de l’Ukraine à l’union européenne, aussi son adhésion à l’OTAN.

Le commandant en chef des Forces armées ukrainiennes, Valeri Zaloujny, a reconnu qu’il n’y aurait « probablement pas de percée profonde », et que la contre-offensive était désormais « dans une impasse ».

Malgré les pertes en hommes et en matériel infligées aux Russes, la tactique employée par les Ukrainiens n’a pas mené à l’effondrement escompté des lignes russes : « C’était mon erreur, explique Valeri Zaloujny. La Russie a eu au moins 150.000 morts. Dans n’importe quel autre pays, de telles pertes auraient mis fin à la guerre. »

Les récents développements sur la ligne de front, et les déclarations de l’état-major ukrainien, offrent un contraste saisissant avec l’optimisme affiché au début de la contre-offensive : en juillet dernier, l’ancien ministre de la Défense, Oleksiï Reznikov, estimait ainsi que la guerre pourrait être gagnée « d’ici l’été prochain », et que l’Ukraine pourrait être admise dès le mois de juillet 2024 au sein de l’Otan.

Mais les efforts ukrainiens se sont heurtés à un réseau de fortifications long de plusieurs centaines de kilomètres, la « ligne Sourovikine », et à de vastes champs de mines antichars et antipersonnelles. Portant le nom du général russe ayant un temps supervisé les opérations militaires en Ukraine, celle-ci est composée de trois lignes de défense successives, profondes d’une trentaine de kilomètres, faites de tranchées antichars et d’abris renforcés.

Nombre d’Ukrainiens craignent que la guerre ne s’enlise durablement : « Le plus grand risque d’une guerre de tranchées d’usure est qu’elle peut durer des années et épuiser l’Etat ukrainien. »

Ecologie- La taxe carbone de l’Europe pourrait rapporter…. des fermetures d’entreprises et de l’inflation

Ecologie- La taxe carbone de l’Europe pourrait rapporter…. des fermetures d’entreprises

La taxe carbone commencera à être appliqué à partir de début octobre. Une taxe sur les importations à objets écologiques. D’après les médias complaisants vis-à-vis de la politique des autorités, la fameuse taxe carbone pourrait rapporter 3 milliards d’euros d’ici 2030 mai pour toute l’Europe. Autant dire pas grand-chose. Mais ce pourrait être une sorte de balle dans le pied que se tire le l’Europe car la taxe carbone pourrait provoquer la fermeture d’entreprises et l’arrêt d’activités. Une taxe qui en effet se donne pour objet de punir écologiquement les importations afin de favoriser la décarbonation de l’économie. Le problème est que la production est organisée de manière systémique avec des interactions complexes entre les pays. Par exemple on parle d’industrie automobile française mais la vérité oblige à dire que seulement 40 % des éléments de la voiture sont réellement français le reste venant de l’étranger notamment de la Chine et d’autres pays en développement.

Les économistes classiques qui adhèrent à la sainte religion du marché pour tout ont curieusement rejoint les irresponsables écolos pour trouver des vertus à la fiscalité qui tue l’économie.

Il est clair aussi que les pays particulièrement visés par la taxe carbone prendront des mesures de rétorsion à l’occasion des exportations cette fois. Bref, une double manière de se tirer une balle dans le pied.

La fiscalité n’est sans doute pas le seul et unique moyen réguler la politique écologique. Cette dernière dépend d’une part des politiques conduites mais aussi du comportement des ménages. Une hausse par exemple de l’énergie n’a que peu d’influence sur la répartition tant qu’il n’y a pas d’œuf alternative plus respectueuse de l’environnement.

D’un point de vue méthodologique déclarer pour chaque entreprise les émissions de gaz à effet de serre relève de l’illusion tellement sont impliquées les économies. La taxe devrait commencer à être appliquée à partir de début octobre.

Conséquence de l’intelligence artificielle, IBM pourrait supprimer 30 % des emplois

Conséquence de l’intelligence artificielle, IBM pourrait supprimer 30 % des emplois

Le patron d’IBM envisage de réduire drastiquement le personnel administratif du géant informatique, étant donné le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) et des technologies d’automatisation à exécuter ce type de tâches. « Il me semble que 30% (des 26.000 employés administratifs) pourraient facilement être remplacés par l’IA et l’automatisation sur une période de cinq ans », a déclaré Arvind Krishna à Bloomberg lundi.
Le dirigeant prévoit donc un gel des recrutements dans ce département, qui représente une fraction des quelque 260.000 salariés du groupe américain.

Comme de nombreuses entreprises de la tech, IBM a mis en place un plan social cet hiver. Le groupe devrait licencier 5000 employés en tout, d’après Bloomberg, mais a en parallèle embauché 7000 personnes au premier trimestre.

Le pionnier de l’IA générative OpenAI a démontré avec son interface ChatGPT et d’autres outils que ces nouvelles technologies sont capables de rédiger des emails, de créer des sites web, de générer des lignes de codes, et, en général, d’exécuter de nombreuses tâches répétitives.

Popularité: Pour Macron, la reconquête pourrait être longue, très longue

Popularité: Pour Macron, la reconquête pourrait être longue, très longue

Analyste politique et spécialiste des sondages, Gérard Le Gall, ancien conseiller auprès du Premier ministre Lionel Jospin, fut le seul à prévoir le risque d’une élimination de ce dernier au premier tour de la présidentielle, le 21 avril 2002. Vingt et un ans plus tard, un an après la réélection d’Emmanuel Macron à l’Élysée il revient dans le JDD sur la situation politique.

Fort de vos analyses, et notamment de celles des derniers sondages parus en vue de 2027 et avantageux pour l’extrême droite, considérez-vous que Marine Le Pen peut gagner ?
Même avec l’expérience acquise après trois tentatives, chacune marquant une sensible progression (2012, 2017 et 2022) et une nationalisation électorale, je ne pense pas qu’elle puisse l’emporter en 2027. Toutefois, après 2022, elle est entrée de plain-pied, pour la première fois, dans le champ du possible. Mais il y a loin entre le champ du possible et la certitude de victoire. Mon hypothèse stratégique, qui va guider la lecture du quinquennat, est à ce jour qu’elle atteindra le second tour, mais sans l’emporter. Une remarque néanmoins : si Jean-Luc Mélenchon, excellent candidat mais insuffisamment rassembleur, est au second tour, alors les pesanteurs peuvent jouer pour la candidate du RN.


Qu’est-ce qui est rédhibitoire au RN ?

Il me semble que, malgré des progrès d’image et des tests d’aptitude, la société française ne me paraît pas prête à ce qui s’apparenterait à une forme d’aventure. Principalement en raison des risques accrus, pour la France, en matière de crédibilité économique, des positions du RN sur l’Europe et les grandes questions internationales, et des risques accru, au regard d’un maintien de l’ordre public déjà bien fragile.

. Aujourd’hui, plus de vingt ans plus tard, le pronostic d’une Le Pen au second tour, voire élue, relève presque de l’évidence…
Oui, à l’écoute des médias, il apparaît que l’affaire est déjà jouée ! Je respecte les données sondagières. Je les ai toujours lues avec distanciation, et parfois à l’aune de certains questionnements, avec esprit critique. Les récentes enquêtes que vous évoquez ont été réalisées dans un contexte très particulier, marqué par un net fléchissement du Président, des zizanies multiples au sein de la Nupes, un désarroi de LR et, en contrepoint, une unité sans faille du RN derrière sa cheffe. Quant aux sondages actuels de second tour, pardonnez-moi, mais je n’y accorde pas le moindre crédit.

Emmanuel Macron semble tout de même au fond du trou en popularité…

Depuis 1958, tous les Présidents ont connu des situations difficiles, et parfois une forte altération de leur image. À ce stade, Emmanuel Macron ne connaît pas les niveaux les plus bas de son premier quinquennat, ni de ses deux prédécesseurs, Nicolas Sarkozy et François Hollande. La moyenne de tous les baromètres publiés est de l’ordre de cinq points supérieurs à ses plus bas niveaux, fin 2018, au plus fort de la crise des Gilets jaunes. La relecture des sondages postérieurs aux grands mouvements sociaux – la grève des mineurs de 1963 sous de Gaulle, le mouvement social de 1995 sous Chirac et Juppé, celui de 2010 sous Sarkozy ou encore les Gilets jaunes – montre à chaque fois de forts reflux, puis des phénomènes de rémanence.

Peut-il rebondir ?
Le règlement de la question des retraites n’induira pas un retour de l’opinion à la situation antérieure. Il n’y a pas de fatalité. Mais la reconquête peut être longue. Au Président de trouver le bon rythme, les bons comportements et les bonnes décisions pour amorcer un processus vertueux.

Le macronisme peut-il survivre à Emmanuel Macron ? L’année 2027 sera-t-elle la fin d’une parenthèse ?
Je me méfie des mots en « isme ». Le gaullisme s’arrête le 27 avril 1969, avec le référendum ; le pompidolisme le 2 avril 1974, avec la mort du Président ; le giscardisme, le 10 mai 1981, et ainsi de suite… Si la majorité présidentielle est capable en vue de 2027 de s’unir derrière un candidat, seule condition pour être au second tour, et si ce dernier l’emporte, alors ce serait interprété comme un succès pour Emmanuel Macron, et une forme de survivance.

Le PS peut-il renaître de ses cendres ?
La situation actuelle et son effacement de l’histoire, au regard d’un passé pas si lointain, invite à s’interroger afin de savoir s’il est, comme jadis les radicaux puis le PCF, sur la pente d’un déclin historique, ou au contraire d’une longue phase conjoncturelle atone. Pour l’heure, son dernier congrès a illustré sa division en deux blocs antagonistes, selon que l’on incline vers la Nupes ou vers son émancipation. De récentes initiatives autour de Bernard Cazeneuve pourraient encore exacerber les tensions. Outre l’absence de leadership et d’identité politique affirmée, l’obstacle majeur pour le PS réside dans le fait qu’il a perdu le leadership de la gauche. Et que désormais, le centre de gravité idéologique de celle-ci apparaît depuis 2017 à la gauche de la gauche, chez LFI, le PCF et EELV.

En quoi la Nupes ressemble-t-elle à la gauche plurielle de 1997 ?
La gauche plurielle fut, contrairement à la Nupes, une construction patiente, entre le PCF, le PS et les Verts, pour l’élaboration d’un programme de gouvernement. À l’époque, cette stratégie a permis de l’emporter à l’issue d’une campagne derrière un leader incontesté, Lionel Jospin. La Nupes, partant d’un niveau bas, a gagné beaucoup de sièges, mais est restée très loin de la victoire. En 1997, on ne retrouvait pas de tentation de radicalité, ni de communication fracassante, mais un souci de respect des équilibres entre partenaires politiques. Cependant, malgré une bonne gouvernance et un bon bilan, la gauche plurielle a explosé à travers des candidatures très plurielles, in fine suicidaires, sans respect durant la campagne du travail réalisé en commun pendant cinq ans.

Le 21 avril est-il à vos yeux un accident de l’histoire, ou annonçait-il une évolution politique majeure ?

Oui, ce fut un accident de l’histoire. Il n’a pas été anticipé, et donc pas susceptible d’être régulé. L’événement a montré la puissance de la capacité du rebond du FN, trois ans après un lourd échec aux européennes de 1999. Seul Nicolas Sarkozy parviendra en 2007 à le faire fortement reculer. Quelques années plus tard, le FN, puis le RN, ont repris l’irrésistible marche ascendante. Vingt ans plus tard, un autre accident historique s’est produit à propos des législatives. Pour ma part, j’avais prévenu un ancien conseiller à l’Élysée, fin février 2022, pour lui dire que ces législatives seraient très difficiles. Le petit miracle de productivité électorale de 2017, l’effet de souffle, l’abstentionnisme différentiel pour les concurrents, ne se reproduirait pas cette fois. Il ne pouvait pas avoir une majorité absolue. C’était tout simplement impossible.

Politique et Conseil constitutionnel: Le manque d’indépendance pourrait encore ouvrir une crise démocratique plus grave

Politique et Conseil constitutionnel: Le manque d’indépendance pourrait encore ouvrir une crise démocratique plus grave


Le conseil constitutionnel, sorte de cour suprême, n’a jamais montré véritablement une grande indépendance. Son avis sur les retraites pourrait être déterminant pour la réforme mais aussi pour l’institution des sages elle-même.

En effet , cette institution n’est pas réellement une cour suprême composée de juristes indépendants. En majorité elle comprend surtout des politiques. Sur ces neuf membres trois sont désignés par le président de la république, trois sont désignés par le président du Sénat enfin trois sont désignés par le président de l’Assemblée nationale. Les anciens présidents de la république peuvent même y siéger. Deux anciens ministres figurent dans ses rangs. La plupart ne sont pas véritablement des spécialistes du droit.

On risque donc de s’orienter vers une sorte de compromis entre les différents tendances politiques qui traversent le conseil constitutionnel. Bref pas vraiment un jugement de sages mais plutôt un compromis politique interne. De quoi ajouter à la crise démocratique qui se caractérise par une coupure entre le monde politique, les institutions et les citoyens. Des citoyens qui réfutent de plus en plus le système en commençant par s’abstenir aux élections . Du coup, nombre d’élus ne sont soutenus au premier tour que par un tout petit peu plus de 10 % des votants.

C’est tout le système démocratique qui pourrait être mis en cause, conseil constitutionnel compris qui: soit fait double emploi avec le conseil d’État, soit ne remplit pas la mission d’une véritable cour suprême.

Cette fois sur la question des retraites il y a pourtant suffisamment d’objections de nature juridique pour critiquer et même supprimer la réforme. Si le conseil constitutionnel se laisse encore englué dans le ventre mou du compromis bâtard, il a la risque alors lui aussi d’être mis en cause dans son existence.

Conseil constitutionnel: Le manque d’indépendance pourrait encore ouvrir une crise démocratique plus grave

Conseil constitutionnel: Le manque d’indépendance pourrait encore ouvrir une crise démocratique plus grave


Le conseil constitutionnel, sorte de cour suprême, n’a jamais montré véritablement une grande indépendance. Son avis sur les retraites pourrait être déterminant pour la réforme mais aussi pour l’institution des sages elle-même.

En effet , cette institution n’est pas réellement une cour suprême composée de juristes indépendants. En majorité elle comprend surtout des politiques. Sur ces neuf membres trois sont désignés par le président de la république, trois sont désignés par le président du Sénat enfin trois sont désignés par le président de l’Assemblée nationale. Les anciens présidents de la république peuvent même y siéger. Deux anciens ministres figurent dans ses rangs. La plupart ne sont pas véritablement des spécialistes du droit.

On risque donc de s’orienter vers une sorte de compromis entre les différents tendances politiques qui traversent le conseil constitutionnel. Bref pas vraiment un jugement de sages mais plutôt un compromis politique interne. De quoi ajouter à la crise démocratique qui se caractérise par une coupure entre le monde politique, les institutions et les citoyens. Des citoyens qui réfutent de plus en plus le système en commençant par s’abstenir aux élections . Du coup, nombre d’élus ne sont soutenus au premier tour que par un tout petit peu plus de 10 % des votants.

C’est tout le système démocratique qui pourrait être mis en cause, conseil constitutionnel compris qui: soit fait double emploi avec le conseil d’État, soit ne remplit pas la mission d’une véritable cour suprême.

Cette fois sur la question des retraites il y a pourtant suffisamment d’objections de nature juridique pour critiquer et même supprimer la réforme. Si le conseil constitutionnel se laisse encore englué dans le ventre mou du compromis bâtard, il a la risque alors lui aussi d’être mis en cause dans son existence.

L’inflation pourrait baisser rapidement ?


L’inflation pourrait baisser rapidement ?

Pablo Hernandez de Cos, membre de la Banque centrale affirme d’un coté que l’inflation pourrait baisser rapidement mais dans le même temps qu’à court terme il faut s’attendre à une hausse des prix. Tout repose donc sur le calendrier. D’après la banque centrale, l’inflation pourrait commencer à diminuer en juin mais en réalité sûrement pas avant 2024. En outre, la hausse des prix enregistrés en 2023 va se cumuler avec celle de 2022. Il faudrait aussi prendre en compte l’évolution de la situation géopolitique actuellement très incertaine notamment concernant l’énergie. Bref des perspectives sujettes à caution .

Pablo Hernandez de Cos, membre de la Banque centrale européenne à un redressement plus rapide que prévu de la situation économique de la zone euro dans les prochains mois. Ce membre de la Banque centrale européenne (BCE), qui est également gouverneur de la Banque d’Espagne, a indiqué mercredi 15 février que l’inflation dans la zone euro pourrait reculer plus rapidement qu’initialement prévu, justifiant cette analyse par l’évolution encourageante de la situation économique au cours des derniers mois.

La répercussion des hausses de prix passées et les tensions sur le marché du travail risquent cependant d’exercer une pression à la hausse sur l’inflation de base à court terme, a toutefois ajouté le gouverneur de la Banque d’Espagne. « Les données récentes sur l’inflation dans la zone euro et certains de ses principaux éléments sont quelque peu encourageants, mais la situation globale exige encore de la prudence », a estimé Pablo Hernandez de Cos, selon des déclarations publiées sur le site internet de la Banque d’Espagne.
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Contre l’inflation, la hausse des taux d’intérêt pourrait durer (FED)

Contre l’inflation, la hausse des taux d’intérêt pourrait durer (FED)

La situation économique et financière s’améliore aux États-Unis avec un particulier une inflation redescendue à 5 % sur un an et une nette amélioration de l’emploi en janvier. Justement des indicateurs qui ne sont pas suffisants pour envisager une baisse des taux d’intérêt d’après la banque centrale américaine. Au contraire , le président de la Réserve fédérale (Fed) a prévenu : « si les données économiques devaient continuer d’être plus fortes que prévu […] nous augmenterions certainement davantage les taux ».

Les chiffres de l’emploi en janvier aux Etats-Unis publiés vendredi ont en effet surpris par leur vigueur, montrant plus d’un demi-million d’embauches quand les analystes en attendaient moins de 200.000. Le taux de chômage est, lui, tombé à 3,4 %, son niveau le plus faible depuis mai 1969.
La hausse des prix à la consommation se situe actuellement à 5,0 % sur un an, selon l’indice PCE, privilégié par la Fed, qui veut la ramener autour de 2 %.

Jerome Powell s’est cependant félicité, comme il l’avait fait à l’issue de la réunion monétaire la semaine dernière, du fait que le processus de « désinflation a commencé ». « C’est une bonne chose de voir le début d’une désinflation sans voir le marché du travail faiblir », a-t-il assuré.
La Fed doit toutefois « faire plus » en relevant encore le coût de l’argent et en conservant « une politique monétaire restrictive un certain temps », a-t-il insisté de nouveau. « Cela va prendre du temps […]. Cela pourrait être cahoteux », a-t-il prévenu.

En moins d’un an, la Fed a relevé son principal taux d’intérêt de quasiment zéro à une fourchette comprise entre 4,5 et 4,75 %. La banque centrale a ralenti la semaine dernière son rythme de hausse à 25 points de base , après 50 points de base en fin d’année dernière, suggérant que ses plus gros efforts pour lutter contre l’inflation étaient derrière elle.

Electricité: la France de nouveau exportatrice pourrait supprimer le marché spéculatif

Electricité: la France de nouveau exportatrice pourrait  supprimer le marché spéculatif

 

 

Grâce  la production nucléaire qui s’améliore et au temps clément, la France redevient 
exportatrice d’électricité; Elle pourrait-si elle le voulait- faire sauter le spéculatif marché qui tue entreprises , commerçants et artisans.
«Depuis le 1er janvier, le solde net d’exportation d’électricité s’élève à 1,4 térawattheure (TWh)», a indiqué mardi à l’AFP le gestionnaire du réseau de haute et très haute tension, RTE.

 

Comme la production nucléaire va encore s’ameliorer, il serait possible de revenirau principe du tarif réglementé;

Une différence de taille puisque avec de tarifs réglementés, le megwatt-h serait autour de70 euros, pour 280 avec le bouclier des TPE, 140 pour le particuliers ( et très petites activités économiques). sans parler des intentions des spéculatifs intermédiaires qui voulaiennt multiplier les facture par 10 , à 700 eurox voire 1000 euros.l

La hausse  de la production nucléaire, la douceur hivernale qui évite de pousser le chauffage et des vents favorables pour la production éolienne font que la France recommence à exporter plus d’électricité vers ses voisins européens qu’elle n’en importe, au moins provisoirement. «On a l’impression qu’on a changé de monde», a résumé auprès de l’AFP Nicolas Goldberg, expert énergie au cabinet Colombus Consulting.

«La consommation extrêmement basse, des éoliennes qui produisent à fond et un nucléaire qui produit dans la moyenne prévue par RTE, tout cela fait qu’on est exportateur net d’électricité et que plus personne ne parle de coupures» de courant, explique-t-il. Au moment où les parlementaires examinent un projet de loi pour accélérer le développement des énergies renouvelables et rattraper un retard criant par rapport aux voisins européens, «l’énergie éolienne montre aussi qu’elle apporte un petit service en hiver», relève Nicolas Goldberg.

Signe d’une détente sur le système électrique, EDF a même arrêté jusqu’à dix réacteurs «juste avant Noël» pour économiser du combustible et optimiser sa production. «Les températures douces, au-dessus des normales de saison, et la moindre consommation en cette période font que le réseau n’a pas besoin de tous les réacteurs disponibles», avait signalé le groupe jeudi.

Dans le détail, la France a renoué, selon RTE, avec les exportations nettes dès la première semaine des vacances de Noël, soit tout l’inverse de la tendance observée en 2022. Avec une production nucléaire historiquement basse estimée dans une fourchette de 275-285 TWh en 2022, la France avait été importatrice nette d’électricité sur presque l’ensemble de l’année (sauf février, mai et à partir de fin décembre), ce qui n’était pas arrivé depuis 42 ans. Historiquement premier pays exportateur d’électricité en Europe, la France avait dû en importer depuis l’Espagne, l’Allemagne ou le Royaume-Uni pour compenser son manque de production et éviter les coupures.

Avec 44 réacteurs rebranchés sur 56, le parc nucléaire affichait lundi une disponibilité de 73,7%, niveau plus atteint depuis le 11 février 2022 (74,8%), selon des chiffres d’EDF analysés par l’AFP. La disponibilité du parc nucléaire devrait toutefois «décroître à nouveau à partir de février» 2023, relevait RTE dans sa dernière analyse fin décembre, alors que six réacteurs devront être arrêtés en 2023 pour des chantiers de corrosion.

 

Sanctions occidentales-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Sanctions occidentales-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Mécaniquement les sanctions occidentales vis-à-vis de la Russie vont peser sur les revenus du pays. La Russie tire surtout ses revenus de l’énergie exportée qui représente presque 50 % de ses recettes. Dernièrement, l’Europe a décidé de limiter le prix du pétrole russe à 60 $ le baril quand le cours est autour de 84 Dollars le baril.

Les fournitures russes de gaz et de pétrole ont considérablement fondu en direction de l’Occident et en particulier de l’Europe.La Russie parvient cependant à fournir davantage de produits pétroliers et de gaz à la Chine, à l’Inde et à d’autres pays dans certains réexpédient ces importations vers l’Occident. L’occasion d’encaisser un petit profit car les nouveaux contrats passés par la Russie ne sont pas aussi juteux qu’avec ceux conclu avec l’Occident. À terme,les revenus tirés du gaz et du pétrole pourrait diminuer de 50 % alors que ces revenus représentent à peu près la moitié du budget russe. Cette réduction de ressources pourrait hypothéquer le financement de la nouvelle politique de défense que souhaite Poutine

Avec 90 milliards de roubles (1,3 milliard d’euros au cours actuel) récoltés grâce à la vente du pétrole et du gaz en novembre, les chiffres sont quasi stables pour le budget de l’État russe. Mais ce sont des résultats en trompe-l’œil. Selon deux médias économiques russes, The Bell et MMI, la moitié de cette somme est issue d’un paiement en retard que Gazprom devait depuis l’année dernière.

Sans cet afflux exceptionnel, les revenus auraient chuté de 48,9% sur un an. Conclusion : une dynamique négative serait enclenchée, d’après les deux titres spécialisés. La production elle-même est en recul : – 3,4% par rapport à l’année dernière. En cause, la baisse de la production de gaz : – 20%.

Cela alors que les sanctions contre le pétrole russe entrent à peine en vigueur : le plafonnement des prix du pétrole russe par l’Union européenne, le G7 et l’Australie ce lundi 5 décembre, ainsi que l’embargo de l’UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, plusieurs mois après l’embargo déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

Pour ces deux médias économiques, les objectifs de revenus pour le budget russe en 2023 pourraient donc ne pas être atteints. Reste que la Russie avait déjà anticipé un fort recul de ses recettes pétrolières et gazières. Pour The Bell, la situation budgétaire générale « ne peut pas être encore qualifiée de catastrophique ».

Economie et Politique-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Economie et Politique-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Mécaniquement les sanctions occidentales vis-à-vis de la Russie vont peser sur les revenus du pays. La Russie tire surtout ses revenus de l’énergie exportée qui représente presque 50 % de ses recettes. Dernièrement, l’Europe a décidé de limiter le prix du pétrole russe à 60 $ le baril quand le cours est autour de 84 Dollars le baril.

Les fournitures russes de gaz et de pétrole ont considérablement fondu en direction de l’Occident et en particulier de l’Europe.La Russie parvient cependant à fournir davantage de produits pétroliers et de gaz à la Chine, à l’Inde et à d’autres pays dans certains réexpédient ces importations vers l’Occident. L’occasion d’encaisser un petit profit car les nouveaux contrats passés par la Russie ne sont pas aussi juteux qu’avec ceux conclu avec l’Occident. À terme,les revenus tirés du gaz et du pétrole pourrait diminuer de 50 % alors que ces revenus représentent à peu près la moitié du budget russe. Cette réduction de ressources pourrait hypothéquer le financement de la nouvelle politique de défense que souhaite Poutine

Avec 90 milliards de roubles (1,3 milliard d’euros au cours actuel) récoltés grâce à la vente du pétrole et du gaz en novembre, les chiffres sont quasi stables pour le budget de l’État russe. Mais ce sont des résultats en trompe-l’œil. Selon deux médias économiques russes, The Bell et MMI, la moitié de cette somme est issue d’un paiement en retard que Gazprom devait depuis l’année dernière.

Sans cet afflux exceptionnel, les revenus auraient chuté de 48,9% sur un an. Conclusion : une dynamique négative serait enclenchée, d’après les deux titres spécialisés. La production elle-même est en recul : – 3,4% par rapport à l’année dernière. En cause, la baisse de la production de gaz : – 20%.

Cela alors que les sanctions contre le pétrole russe entrent à peine en vigueur : le plafonnement des prix du pétrole russe par l’Union européenne, le G7 et l’Australie ce lundi 5 décembre, ainsi que l’embargo de l’UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, plusieurs mois après l’embargo déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

Pour ces deux médias économiques, les objectifs de revenus pour le budget russe en 2023 pourraient donc ne pas être atteints. Reste que la Russie avait déjà anticipé un fort recul de ses recettes pétrolières et gazières. Pour The Bell, la situation budgétaire générale « ne peut pas être encore qualifiée de catastrophique ».

Politique-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Politique-La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Mécaniquement les sanctions occidentales vis-à-vis de la Russie vont peser sur les revenus du pays. La Russie tire surtout ses revenus de l’énergie exportée qui représente presque 50 % de ses recettes. Dernièrement, l’Europe a décidé de limiter le prix du pétrole russe à 60 $ le baril quand le cours est autour de 84 Dollars le baril.

Les fournitures russes de gaz et de pétrole ont considérablement fondu en direction de l’Occident et en particulier de l’Europe.La Russie parvient cependant à fournir davantage de produits pétroliers et de gaz à la Chine, à l’Inde et à d’autres pays dans certains réexpédient ces importations vers l’Occident. L’occasion d’encaisser un petit profit car les nouveaux contrats passés par la Russie ne sont pas aussi juteux qu’avec ceux conclu avec l’Occident. À terme,les revenus tirés du gaz et du pétrole pourrait diminuer de 50 % alors que ces revenus représentent à peu près la moitié du budget russe. Cette réduction de ressources pourrait hypothéquer le financement de la nouvelle politique de défense que souhaite Poutine

Avec 90 milliards de roubles (1,3 milliard d’euros au cours actuel) récoltés grâce à la vente du pétrole et du gaz en novembre, les chiffres sont quasi stables pour le budget de l’État russe. Mais ce sont des résultats en trompe-l’œil. Selon deux médias économiques russes, The Bell et MMI, la moitié de cette somme est issue d’un paiement en retard que Gazprom devait depuis l’année dernière.

Sans cet afflux exceptionnel, les revenus auraient chuté de 48,9% sur un an. Conclusion : une dynamique négative serait enclenchée, d’après les deux titres spécialisés. La production elle-même est en recul : – 3,4% par rapport à l’année dernière. En cause, la baisse de la production de gaz : – 20%.

Cela alors que les sanctions contre le pétrole russe entrent à peine en vigueur : le plafonnement des prix du pétrole russe par l’Union européenne, le G7 et l’Australie ce lundi 5 décembre, ainsi que l’embargo de l’UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, plusieurs mois après l’embargo déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

Pour ces deux médias économiques, les objectifs de revenus pour le budget russe en 2023 pourraient donc ne pas être atteints. Reste que la Russie avait déjà anticipé un fort recul de ses recettes pétrolières et gazières. Pour The Bell, la situation budgétaire générale « ne peut pas être encore qualifiée de catastrophique ».

La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

La Russie pourrait perdre la moitié de ses revenus gaz-pétrole

Mécaniquement les sanctions occidentales vis-à-vis de la Russie vont peser sur les revenus du pays. La Russie tire surtout ses revenus de l’énergie exportée qui représente presque 50 % de ses recettes. Dernièrement, l’Europe a décidé de limiter le prix du pétrole russe à 60 $ le baril quand le cours est autour de 84 Dollars le baril.

Les fournitures russes de gaz et de pétrole ont considérablement fondu en direction de l’Occident et en particulier de l’Europe.La Russie parvient cependant à fournir davantage de produits pétroliers et de gaz à la Chine, à l’Inde et à d’autres pays dans certains réexpédient ces importations vers l’Occident. L’occasion d’encaisser un petit profit car les nouveaux contrats passés par la Russie ne sont pas aussi juteux qu’avec ceux conclu avec l’Occident. À terme,les revenus tirés du gaz et du pétrole pourrait diminuer de 50 % alors que ces revenus représentent à peu près la moitié du budget russe. Cette réduction de ressources pourrait hypothéquer le financement de la nouvelle politique de défense que souhaite Poutine

Avec 90 milliards de roubles (1,3 milliard d’euros au cours actuel) récoltés grâce à la vente du pétrole et du gaz en novembre, les chiffres sont quasi stables pour le budget de l’État russe. Mais ce sont des résultats en trompe-l’œil. Selon deux médias économiques russes, The Bell et MMI, la moitié de cette somme est issue d’un paiement en retard que Gazprom devait depuis l’année dernière.

Sans cet afflux exceptionnel, les revenus auraient chuté de 48,9% sur un an. Conclusion : une dynamique négative serait enclenchée, d’après les deux titres spécialisés. La production elle-même est en recul : – 3,4% par rapport à l’année dernière. En cause, la baisse de la production de gaz : – 20%.

Cela alors que les sanctions contre le pétrole russe entrent à peine en vigueur : le plafonnement des prix du pétrole russe par l’Union européenne, le G7 et l’Australie ce lundi 5 décembre, ainsi que l’embargo de l’UE sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, plusieurs mois après l’embargo déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

Pour ces deux médias économiques, les objectifs de revenus pour le budget russe en 2023 pourraient donc ne pas être atteints. Reste que la Russie avait déjà anticipé un fort recul de ses recettes pétrolières et gazières. Pour The Bell, la situation budgétaire générale « ne peut pas être encore qualifiée de catastrophique ».

Tweeter: Le pari fou d Elon Musk qui pourrait lui coûter très cher

Tweeter: Le pari fou d Elon Musk qui pourrait lui coûter très cher

Officiellement, Elon musk est devenu propriétaire du réseau social Twitter. Une opération qui pourrait lui coûter très cher. Le prix d’achat totalement excessif de 44 milliards pourrait déséquilibrer les finances du groupe. D’autant qu’il s’agit d’un investissement dans un secteur immatériel qui ne produit pas réellement de valeur mais n’existent que grâce à la publicité. Or cette publicité est en pleine régression sur tous les réseaux sociaux du faît de la crise économique et de la concurrence de nouveaux réseaux sociaux plus modernes.

La conséquence sera sans doute pour le milliardaire d’opérer des réductions drastiques de personnel chez Twitter.

Selon plusieurs médias américains, le patron de Tesla et Space X a commencé à faire le ménage à la tête du réseau social, limogeant trois dirigeants dès jeudi soir.

Elon Musk était pressé par le temps: une juge chargée de régler un contentieux entre les deux parties leur avait donné jusqu’à vendredi pour se mettre d’accord, faute de quoi un procès aurait lieu en novembre. L’opération traînait en effet depuis l’annonce fin avril d’une offre d’acquisition à 44 milliards de dollars, acceptée à contrecœur par Twitter. L’entrepreneur avait cherché à s’en extraire unilatéralement début juillet, accusant l’entreprise de lui avoir menti, mais le conseil d’administration de la société a saisi la justice. À quelques jours de l’ouverture d’un procès que Twitter semblait bien parti pour gagner, Elon Musk a finalement proposé de conclure la transaction au prix initialement convenu.

Se présentant comme un ardent défenseur de la liberté d’expression, Elon Musk a déjà indiqué qu’il entendait assouplir la modération des contenus. L’objectif du multimilliardaire serait de multiplier les opinions y compris les plus hétéroclites, les plus excessives pour faire de l’audience.En outre il affichera une ligne davantage anarcho- capitaliste qui le caractérise.

Le problème c’est que Twitter comme d’autres subis la concurrence de réseaux sociaux plus récents et plus modernes. Facebook par exemple souffre particulièrement de cette concurrence

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