Archive pour le Tag 'pourquoi ?'

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Bourses en baisse : pourquoi ?

Bourses  en baisse : pourquoi ?

 

Première raison, la bourse a trop monté et on assiste à des prises de bénéfices. Les bourses ont dévissé et pas seulement à Paris: La bourse de Paris a perdu 7% en une semaine, le Dax allemand a perdu 4,88% depuis lundi, Londres a fondu de 6,56% et Milan s’est effondré de 7,4%.  Les bourses accusent actuellement des mouvements de baisse (avec des coups de yo-yo), les récentes baisses  étant essentiellement imputées à l’instabilité politique en Grèce avec la prévision d’élection du 17 décembre de l’élection présidentielle. C’est sans doute faire beaucoup d’honneur à la Grèce et faire l’impasse sur les facteurs explicatifs des évolutions des bourses. Autre élément invoqué la diminution des prix du pétrole.  Les cours du pétrole, en baisse de plus de 40% depuis le mois juin en raison d’une offre excédentaire, continuent leur glissade, à un plus bas de cinq ans. Bien entendu l’évolution des cours du pétrole influence la tendance à la déflation dans nombre de pays mais on pourrait objecter que des cours bas constituent un soutien à l’économie. En vérité, c’est la conjoncture mondiale qui est très inquiétante avec une croissance atone en Europe mais aussi dans nombre de pays émergents  (Russie, Amérique du sud etc.). Autre élément avancé les politiques monétaires  avec le ralentissement de rachats d’actifs aux Etats-Unis de la part de la FED, le relatif échec des opérations de refinancement de la BCE, les atermoiements de la banque centrale européennes pour les rachats d’obligations souveraines. Des éléments à prendre en compte mais la politique monétaire ne peut pas tout, il convient d’articuler politique monétaire, politique budgétaire et réformes structurelles, dans  ces domaines la cohérence n’est pas pour demain.  Ce qui peut surtout nourrir l’inquiétude c’est la conjoncture en Chine.  Après le net ralentissement de l’inflation ces derniers mois, nombre d’experts ont pointé la menace de tensions déflationnistes, témoin de l’essoufflement persistant de l’économie chinoise et de l’affaiblissement de la demande intérieure.  L’activité manufacturière n’a pratiquement pas progressé en novembre après déjà un mois d’octobre décevant. En cause une demande intérieure assez atone et surtout une grande faiblesse de la demande extérieure. Le signe sans doute que la crise mondiale est loin d‘être écartée. Au delà de l’activité manufacturière, c’est toue l’industrie qui es touchée et la croissance avec. L’activité manufacturière en Chine a ralenti en novembre, à son plus faible rythme de croissance depuis huit mois, a indiqué cette nuit le gouvernement, tandis que la banque HSBC faisait état d’une stagnation – des chiffres confirmant l’essoufflement de la deuxième économie mondiale. L’indice PMI des directeurs d’achat calculé par le Bureau national des statistiques (BNS) s’est établi pour le mois dernier à 50,3, contre 50,8 en octobre, a annoncé cette autorité gouvernementale dans un communiqué. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière, tandis qu’un indice inférieur à ce seuil signale une contraction ; enfin il faut surtout s’attendre à des prise de bénéfices d’ici la fin de l’année car l’évolution des bourses est déconnectée de l’évolution de la croissance (et des profits futurs).

 

 

Pourquoi Merkel fait la leçon à la France

Pourquoi Merkel fait la leçon à la France

 

Merkel et son équipe ne cessent t d’adresser des critiques à la France depuis plusieurs semaines et même plusieurs mois. L’enjeu c’est le contenu de la politique européenne avec d’un coté la France qui veut une vraie relance des investissements  et une politique plus accommodante de la BCE, de l’autre l’Allemagne qui n’en veut pas et qui réclame à la France de réformes structurelles . En fait l’Allemagne caraint surtout devoir à payer la note avec l’affaiblissement de l’euro, la mutualisation des dettes avec le rachat par la BCE de dettes souveraines et la relance des investissements.  Irritée par les déficits publics français trop élevés, Merkel  a multiplié les coups de griffe contre Paris ces dernières semaines, signe de vives tensions franco-allemandes sur fond de discussions sur le budget français et de différends sur la politique économique. Berlin a pris garde de ne pas apparaître publiquement dans le débat jusqu’à présent. En dépit de plusieurs initiatives et rencontres ministérielles franco-allemandes, les lignes de fractures ne semblent pas avoir beaucoup bougé entre les deux capitales, Paris réclamant un soutien franc de son partenaire allemand à la croissance, et Berlin insistant sur les réformes et le sérieux budgétaire. Il y a une semaine, la Commission européenne a accordé un dernier répit à Paris et à Rome, en renvoyant au printemps son verdict sur leurs budgets 2015 mais en exigeant plus d’efforts pour améliorer leurs finances publiques, sous peine de sanctions. La France et l’Italie ont un déficit ou une dette qui ne respecte pas les limites fixées et leurs projets de budget 2015 présentent donc «un risque de non-conformité» avec les règles européennes, avait souligné Bruxelles. Cela les expose à terme à des sanctions financières, un scénario encore inédit.

Nouveau nom pour l’UMP, pourquoi pas le PMU ?

Nouveau nom pour l’UMP, pourquoi pas le PMU ?

C’est Juppé, pas très favorable au changement de nom de l’UMP, qui avait suggéré avec une certaine malice PMU. U, sigle qui serait de circonstance. En effet c’est un pari que fait l’UMP en confiant les rênes à Sarkozy.  Car Sarkozy ne sait faire que du Sarkozy et la démocratie participative ou la synthèse n’est pas sa tasse de thé. Comme d’habitude il va jouer au bulldozer.  En changeant le nom du parti, il va imposer son équipe, un fonctionnement qui lui convient avec des statuts adaptés. Autant dire qu’il y aura peu de place pour la contestation. Le pari est dangereux pour l’UMP car si comme c’est possible une des affaires en cours vient discréditer Sarkozy c’est tout le parti qui sera impacté ; Or il est vraisemblable que Hollande a intérêt à déstabiliser l’UMP (ou le PMU) le plus prés possible de 2017, cela avec laide «  de l’indépendance de la justice ».  Pas forcément un bon calcul pour le parti de l’opposition de miser tout sur le même  cheval. Il est vrai que la mode est au changement de nom des partis, au centre, au PS et même au FN ; sans doute pour présenter un emballage plus présentable à des politiques le plus souvenait insipides et/ou illusoires.

Rémi Fraisse : des manifs agitées, d’autres calmes, pourquoi ?

Rémi Fraisse : des manifs agitées, d’autres calmes, pourquoi ?

Finalement on a du mal à comprendre pourquoi certaine manifestations sont interdites d’autres autorisées, pourquoi auusi certaines sont très calmes d’autres parfois violentes. Certes dans certains cas la présence de casseurs permet d’expliquer les débordements mais des interrogations subsistent quant à la nature de ces casseurs (des voyous, des jeunes sauvageons, des anars, des provocateurs ?). Par ailleurs le dispositif policier est parfois surdimensionné comme à Sivens (précédemment  à Notre dame de landes), ce qui donne l’impression qu’on recherche à provoquer l’incident afin de montre l’autorité de l’Etat et l’autoritarisme de ses dirigeants. Dans une période de crise comme la notre, il convient de se méfier de l’instrumentalisation des débordements de manifestations car le pouvoir politique aux abois peut être prêt à tout pour recrédibiliser son autorité et sa légitimité. En tout état de cause la violence ne saurait d’une coté comme de l’autre constituer une réponse démocratique pour exprimer ou réprimer les libertés collectives.  Plusieurs défilés ont été organisés samedi après-midi pour dénoncer « les violences policières » après la mort de Rémi Fraisse. Une manifestation autorisée à Paris, mais interdite à Toulouse où des échauffourées ont éclaté.  Plusieurs rassemblements étaient à nouveau organisés samedi à la mémoire de Rémi Fraisse. Certains ont été autorisés comme à Paris. D’autres cortèges ont été maintenus malgré des interdictions. A Toulouse, 16 personnes étaient en garde à vue en soirée samedi. A Paris, près d’un millier de manifestants se sont rassemblés place de la Bastille en début d’après-midi samedi et le défilé en direction de Gambetta a été suivi par plusieurs cars de CRS. De nombreux jeunes gens dans le cortège ont scandé des slogans hostiles aux forces de l’ordre et porté des banderoles demandant « justice pour Rémi Fraisse », mort le 26 octobre sur le site de Sivens, après avoir été touché par une grande offensive lancée par les gendarmes. A Rennes, plusieurs dizaines de manifestants ont maintenu leur rendez-vous malgré l’interdiction préfectorale. A Toulouse, où la situation était tendue, 400 personnes ont manifesté en ville où le haut des allées Jean-Jaurès avait été bloqué par la police. Les forces de l’ordre sont intervenues au moment de la dispersion du rassemblement. Des échauffourées ont éclaté en fin d’après-midi lorsque 150 manifestants ont jeté des projectiles sur les policiers, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogène. Au moins 21 personnes ont été interpellées, 16 étaient en garde à vue en soirée samedi. Un bilan faisait aussi état de deux policiers blessés. Les transports en commun en centre-ville étaient à l’arrêt ce samedi en fin de journée.  A Lille, entre 130 et 200 manifestants ont manifesté sans incidents, le rassemblement n’était ni déclaré, ni interdit. En Loire-Atlantique, un défilé rassemble près de 2.000 personnes à Notre-Dame-des-Landes, sur le site du projet contesté de l’aéroport. Une marche très calme regroupe des familles, des agriculteurs et des associations. Les participants veulent montrer que leur opposition au projet est intacte et rappeler qu’il y a eu sur le site des heurts violents avec la police, il y a deux ans. 

 

Affaire Fillon-Sarkozy: pourquoi Jouyet a-t-il parlé ?

Affaire Fillon-Sarkozy: pourquoi Jouyet a-t-il parlé ?

Le plus surprenant dans cette affaire ce n’est pas que Fillon ait souhaité que Sarkozy soit plus vite plombé par ses affaires judicaires mais que Jouyet le secrétaire de l’Elysée ait cru bon de rapporter ces propos à des journalistes ; car finalemenet pour l’instant cette affaire ne peut que renforcer la posture de Sarkozy qui se considère comme une  « victime expiatoire de la justice ». Il se pourrait que le coup de révélations de l’Elysées soit à plusieurs bandes. D’abord on discrédite certains opposants à Sarkozy, ce qui profite à l’intéressé. On laisse monter Sarkozy comme indiscutable représentant de l’opposition pour 2017 et le plus tard possible on le discrédite par une ou plusieurs condamnations judiciaires pour l’abattre mais aussi pour complètement déstabiliser l’opposition à quelques mois de l’ échéance présidentielle. Un sorte de plan machiavélique qui n’est pas à exclure car on peut difficilement comprendre la lenteur des procédures à l’encontre de Sarkozy autrement ; onze  affaires dans lesquelles il est impliqué et qui n’avance qu’à pas d’escargot (sauf une avec un non lieu).. François Fillon a-t-il sollicité l’Elysée pour accélérer les procédures judiciaires visant Nicolas Sarkozy? Les révélations du Monde ont pris un nouvel écho ce samedi, après l’annonce d’une plainte en justice du camp Fillon. Les deux journalistes ont eux maintenu leur version et affirmé détenir un enregistrement audio.  Dans leur livre Sarko s’est tuer (Stock), Gérard Davet et Fabrice Lhomme affirment que le 24 juin dernier, dans un restaurant proche de l’Elysée, François Fillon aurait demandé à Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Élysée, d’accélérer les procédures contre Nicolas Sarkozy, notamment celle concernant le dépassement du plafond des dépenses de campagne en 2012. «Tapez vite, tapez vite! Jean-Pierre, tu as bien conscience que si vous ne tapez pas vite, vous allez le laisser revenir. Alors agissez!», aurait lancé l’ex Premier ministre. L’information aurait d’ailleurs été confirmée par Jean-Pierre Jouyet le 20 septembre lors d’un entretien enregistré par les deux journalistes. Gérard Davet et Fabrice Lhomme soulignent avoir tout enregistré «afin de restituer le plus fidèlement possible les propos échangés lors du repas du 24 juin 2014», tels que les aurait rapportés quatre mois plus tard Jean-Pierre Jouyet. François Fillon et Jean-Pierre Jouyet ont démenti avoir tenu ces propos, tout comme Antoine Gosset-Grainville, l’ancien directeur adjoint de cabinet de Fillon, également présent à ce déjeuner. Mercredi, l’ancien Premier ministre avait  jugé «méprisable» le procédé «qui consiste à me prêter la volonté de m’appuyer sur les plus hautes autorités de l’État pour faire pression sur l’autorité judiciaire». «Je ne peux pas croire que le secrétaire général de l’Élysée ait pu tenir aux journalistes du Monde les propos qui lui sont prêtés, déclare encore François Fillon dans le Journal du Dimanche. Je ne peux pas ne pas voir dans ces attaques invraisemblables une forme de déstabilisation et de complot.» «Nous avons parlé d’autre chose […] il ne m’a, bien entendu, pas demandé une quelconque intervention, démarche par ailleurs inimaginable», a expliqué de son côté le secrétaire général de l’Elysée. Ce samedi, l’entourage de François Fillon annonce que l’ancien Premier ministre allait déposer une plainte «contre les deux journalistes, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, et contre Le Monde pour diffamation». L’affaire pourrait nuire politiquement à François Fillon, alors que celui-ci s’est déclaré candidat à la primaire de l’UMP en vue de la présidentielle de 2017. Ses proches ont déjà dégainé, à l’image du député Jérôme Chartier, qui a dénoncé «une polémique infâme». «C’est du pain béni pour Nicolas Sarkozy», aurait réagi un proche de François Hollande, interrogé par l’AFP. Ces révélations relancent les rumeurs sur l’existence d’un «cabinet noir» à l’Élysée, propagées l’année passée via l’hebdomadaire Valeurs actuelles par un ex-chef du service des télécommunications et de l’informatique de la présidence. Ce dernier mettait en cause de supposées recherches illégales dans les archives électroniques protégées de l’ex-président Sarkozy. Les révélations ne devraient toutefois pas éclabousser le chef de l’Etat, qui n’aurait pas voulu s’immiscer dans les affaires judiciaires, selon l’article du Monde.

 

Résidences secondaires : une surtaxe, pourquoi ?

Résidences secondaires : une surtaxe, pourquoi ?

 

Encore une taxe, une surtaxe sur les résidences secondaires, en zone tendues pour commencer. Simplement pour boucher les énormes rois du budget. Pourquoi en zones « tendues » ? sans doute pour trouver une motif quelconque et ensuite l’étendre à d’autres zones et à l’ensemble du territoire L’exécutif devrait bientôt proposer d’alourdir de 20% la taxe d’habitation pour certaines résidence secondaires situées dans des zones dites « tendues », rapporte ce lundi 3 novembre Les Echos sur son site internet. « L’exécutif entend permettre aux communes qui le souhaitent de soumettre à une surtaxe équivalente à 20% de la taxe d’habitation les résidences secondaires dans ces zones », indique plus précisément le site du quotidien. Les maires auront donc le choix d’appliquer ou d’ignorer cette surtaxe. Cette surtaxe doit rapporter 150 millions d’euros aux communes où elle sera appliquée. Elle devrait figurer dans le projet de loi de Finances rectificative pour 2014, un texte qui sera présenté le 12 novembre prochain en Conseil des ministres. Toutes les résidences secondaires situées dans ces zones « tendues », soit une trentaine de grandes agglomérations, seraient concernées, mais certaines d’entre elles comme les résidences détenues pour raisons professionnelles ou celles possédées par une personne modeste vivant en maison de retraite, auront droit à un dégrèvement, indique encore le quotidien. Ce ne serait pas la première fois qu’une telle surtaxe est envisagée par l’exécutif. Fin 2012, un amendement gouvernemental avait proposé une augmentation des taxes d’habitation sur les résidences secondaires dans les zones tendues mais l’idée avait finalement été abandonnée. Reste à savoir donc si cette nouvelle version de cette surtaxe d’habitation recueillera davantage de suffrages au Parlement. Déjà à l’époque, le gouvernement avait envisagé d’augmenter de 20% la taxe d’habitation.

Sarkozy : rentrée politique ratée , pourquoi ?

Sarkozy : rentrée politique ratée , pourquoi ?

Empêtré dans les affaires et dans sa personnalité d’excité, Sarko toujours nettement en tête chez les militants UMP perd des points chez les français qui lui préfèrent nettement Juppé. Bien sûr la perspective de 2017 est encore loin, on peut même se demander si compte tenu du délai qui nous sépare de l’élection les français ne seront pas victimes d’une overdose de campagne électorale et de démagogie. Sarkozy, toujours impatient est peut-être parti un peu tôt. 3 ans de promesse à entendre, ce sera peut-être insupportable. D’autant que Sarko n’a vraiment pas changé, il est toujours auusi impulsifs, agressif, revanchard. Le contraire de Juppé. En plus il a  surtout cet image de bling bling qui lui colle à la peau. Ce rapport à l’argent un peu maladif. Auusi ce coté bête de scène profil camelot prêt à tout pour se vendre. Jupé lui a changé c’est certain, même si cela ne suffira peut-être pas pour le qualifier en 2017 ( du fait du mode de vote aux primaires UMP). Mais Sarkozy, lui, n’a pas varié, on peut même se demande’ s’il n’est pas pire qu’avant en consacrant une émission entière de télévision sur sa personne, son destin, sur son profil de sauveur de la France.   Nicolas Sarkozy ne croyait pas si bien dire, jeudi dernier, à Troyes. « Ce n’est pas facile la politique », a-t-il expliqué ce jour-là aux nombreux militants venus l’écouter lors de son deuxième meeting dans le fief électoral du chiraquien François Baroin, rallié à l’ancien Président. Pas facile? Son retour est contrarié.  Dans l’IFOP/JDD, l’ancien Président continue de faire largement la course en tête pour la présidence de l’UMP face à ses deux challengers Bruno Le Maire et Hervé Mariton. L’ex de l’Elysée obtient 68% des suffrages des sympathisants UMP contre 18% pour l’ancien ministre de l’Agriculture et 1% pour le député de la Drôme. 13% des personnes interrogées ne formulent aucune préférence. Mais deux semaines après son début de campagne sur France 2 et Facebook, Nicolas Sarkozy voit sa cote reculer de sept points. « Ce tassement montre que l’effet de l’annonce s’est vite estompé, relève Jérôme Fourquet, directeur du département opinions de l’IFOP. Mais ça ne profite pas à la concurrence », conclut-il. L’effet de souffle du retour de Sarkozy aura duré donc peu de temps. Pas de quoi remettre en question son élection le 29 novembre, jour de l’élection du nouveau président de l’UMP.par contre Sarko reste nettement derrière Huppé chez l’ensemble des français.

CAC 40 : la moitié appartient aux étrangers, pourquoi ?

CAC 40 : la moitié appartient aux étrangers, pourquoi ?  

Signe de l’internationalisation de capitaux les entreprises françaises sont détenue à près de 50% par des étrangers mais peut-on vraiment parler d’entreprisses françaises quand 70% de leurs chiffres d’affaires est réalisée à l’extérieur de la France. Il suffit par ailleurs de délocaliser le siège social d’une entreprise pour qu’elle soit plus française, ce qui sera sans doute le cas si la pression fiscale sur les entreprises ne s’allège pas ; Un autre facteur explicatif :  les petits épargnants français se méfient de la bourse depuis la crise. Ils ont sans doute raison car ce sont les grand institutionnels qui font la cote dans le « casino » boursier et en dessous de 1.5 million  d’investissement difficile de disposer d’un suivi pointu et quotidien du portefeuille.  investisseurs. Les « non résidents » détenaient, fin 2013, 499,2 milliards d’euros d’actions des entreprises françaises du CAC 40, soit 46,7 % de leur capitalisation boursière totale, selon la Banque de France. Un sommet inconnu depuis 2004. L’appétit des investisseurs internationaux pour la fine fleur des entreprises françaises n’a pratiquement jamais été aussi fort. Fin 2013, les «non résidents» détenaient, 46,7 % de la capitalisation boursière du CAC 40, selon la Banque de France. Une telle proportion n’avait été atteinte qu’une seule fois auparavant, en 2004. La part des investisseurs étrangers dans le CAC 40 correspond à une valeur d’environ environ 499 milliards d’euros sur les 1070 milliards d’euros de capitalisation des 36 sociétés du CAC 40 retenues par l’étude (1). Sur un an, la montée en puissance des investisseurs internationaux au sein du CAC 40 est modeste: elle est passée de 46,3 % à 46,7 % entre 2012 et 2013. Mais il s’agit d’une tendance de fond, qui témoigne de l’internationalisation grandissante de ces entreprises, qui réalisent désormais environ 70 % de leur chiffre d’affaires en dehors de nos frontières. En cinq ans la part des étranger au sein du CAC 40 a ainsi bondi de près de 5 points «Les replis observés lors de la crise financière de 2007 et dans une moindre mesure lors de celle de la dette souveraine de 2010 ont ainsi été effacés», explique l’auteur de l’étude. En un an le nombre de sociétés du CAC 40 détenues à plus de 50 % par des capitaux étrangers est passé de 16 à 19. Ces investisseurs, essentiellement des fonds, ont acheté pour plus de 15 milliards d’euros d’actions du CAC 40 – alors que les français ont été vendeurs nets pour plus de 10 milliards d’euros. Dans le détail, «la santé est le secteur le plus investi par les étrangers, avec un taux de détention qui a atteint l’an passé 57 %, en hausse 2,6 points de pourcentage par rapport à l’année précédente» constate la Banque de France. Le secteur pétrole, gaz et matériaux est le seul autre secteur à être détenu majoritairement par des investisseurs internationaux. À l’opposé, le secteur des services aux collectivités, plus franco-français et soumis à d’importantes contraintes réglementaires, n’a attiré l’an passé que 21,8 % de capitaux étrangers, soit un recul de 3,4 points sur un an. La plus forte progression de 2013 a concerné le secteur des télécoms, dont le taux de détention par des non-résidents a bondi de 5,5 points, à 47,5 %. Ces investisseurs étrangers qui plébiscitent les sociétés françaises sont avant tout européens (à 18,8 %), mais aussi américains (15,9 %) et britanniques (3,4 %), selon une étude du FMI, citée par la Banque de France.

(1) Les société Arcelor Mittal, Airbus, Gemalto et Solvay, dont le siège social n’est pas situé en France, ne sont pas retenues dans l’étude.

Fraude aux cotisations socailes : pourquoi ?

Fraude aux cotisations socailes : pourquoi ?

20 milliards de fraude aux cotisations sociales, c’est beaucoup, énorme même mais pourquoi ? Simplement parce le coût du travail devient insupportable surtout dans les secteurs en difficulté. Pour contourner le poids de la fiscalité sur le travail, certaines entreprises n’ont d’autres choix que de tricher sur ces cotisations. Dans les bâtiments (notamment les sous-traitants), les services (la restauration, le nettoyage), d’autres secteurs sensibles à la crise on pratique donc l’allégement illégal des charges sur le travail. Un phénomène qui ne va pas ralentir si la fiscalité plombe toujours autant la compétitivité  avec notamment auusi le travail au noir, le détournement du statut auto-entrepreneurs, l’utilisation de main d’œuvre étrangère dite « détachée ». Frauder sur les cotisations sociales devient donc une pratique de plus en plus répandue, si l’on en croit la Cour des Comptes. Dans son rapport annuel sur la Sécurité sociale, à paraître le mercredi 17 septembre, elle constate que le niveau des irrégularités s’élève, toutes branches confondues, à un montant estimé entre 20,1 et 24,9 milliards d’euros. C’est l’équivalent de 5 % des cotisations et contributions sociales.  La construction et le commerce sont les secteurs où les fraudes sont les plus importantes avec respectivement 3,8 milliards et 3,3 milliards de cotisations « éludées ».  Voilà pour l’état des lieux. Dans la pratique, les inspecteurs avouent qu’il n’est pas toujours facile de distinguer la fraude à proprement parler c’est à dire le travail au noir, des simples irrégularités comme les erreurs et omissions involontaires. A cela s’ajoute de  »nouvelles » formes de fraudes « pas faciles à détecter ».  C’est le cas pour les travailleurs détachés à l’étranger, pour lesquels s’appliquent le droit du travail du pays d’accueil et celui de la sécurité sociale du pays d’origine. Certaines entreprises sont alors tentées de présenter des salariés comme des travailleurs détachés, afin de payer des cotisations plus faibles. Autre fraude très répandue : les entreprises qui sous déclarent les heures de travail ou détournent le statut d’auto-entrepreneur pour des salariés.  Une fois ces fraudes détectées, elles restent la plupart du temps impunies. Le taux de recouvrement est dérisoire : 1,5% de la fraude liée au travail dissimulé, hors retraites complémentaires et chômage. Le niveau des redressements est inférieur à 1 milliard d’euros en 2013. Dans ce contexte, la Cour des comptes appelle à un renforcement des moyens d’investigation, regrettant qu’il n’y ait pas l’équivalent de la « police fiscale » dans ce domaine.

 

Sondage livre Trierweilller : les français contre en majorité, pourquoi ?

Sondage Livre Trierweilller : les français contre en majorité, pourquoi ? 

 

Curieuse cette réaction des Français qui désapprouvent en majorité la sortie du livre de Trierweiler qui «  égratigne » Hollande ». D’abord pour avoir une opinion il faudrait avoir lu l’ouvrage et non se contenter de quelques phrases chocs. Ensuite parce qu’on le veuille on non Trierweiler est devenu un personnage public dès lors que Hollande a installé (puis chassé) sa compagne à l’Elysée. En fait Trierweilller (il est vrai un peu froide)  n’a jamais été vraiment acceptée par l’opinion en raison de sa personnalité peut-être mais surtout du fait qu’elle n’était pas mariée à Hollande. Pour être clair, elle n’avait rien à faire à L’Elysée. D’une certaine manière les Français sont assez légitimistes et conformistes sur certaines questions. Légitimistes car même s’ils détestent Hollande, ils ne veulent qu’on s’attaque au roi, même nu. La monarchie républicaine a encore de l’avenir devant elle. Il faudra sans doute encore un ou deux quinquennat pour qu’on revoit cette constitution pourtant bien désuète. En clair qu’on touche vraimenet le fond pour s’interroger sérieusement sur le modèle démocratique français. Contrairement aux anglo-saxons notamment A juste titre les Français n’aiment pas l’étalage de la vie privée de nos élites, ils ont raison. Pour autant en la circonstance la nature de relations qu’entretient Hollande avec ses proches dans sa vie quotidienne rend bien compte du caractère du personnage et au-delà du profil psychologique de nos élus finalement surtout préoccupés de pouvoir. En cela le livre est intéressant. Pourtant  une nette majorité de Français désapprouve la publication du livre de Valérie Trierweiler dans lequel l’ex-compagne de François étrille le président de la République, selon deux sondages CSA et Harris Interactive publiés mercredi.  Valérie Trierweiler a écrit un livre, sorti le 4 septembre, «Merci pour ce moment» (Les Arènes), véritable succès en librairie, dans lequel elle revient sur sa relation avec François Hollande et sa vie à l’Elysée. 56% des sondés pensent qu’«elle a eu tort d’écrire cet ouvrage», 41% qu’elle a «eu raison», selon un sondage Harris Interactive pour VSD.  Dans un autre sondage CSA pour Nice-Matin, 67% des sondés désapprouvent la publication de ce livre (dont 39% «tout à fait») tandis que 33% approuvent (dont 12% «tout à fait»). En quatre jours, depuis sa sortie le jeudi 4 septembre, l’ouvrage de Mme Trierweiler s’est vendu à 145.000 exemplaires, dont 131.000 pour l’édition papier, selon l’institut GfK

 

Curieuse cette réaction des Français qui désapprouvent en majorité la sortie du livre de Trierweiler qui «  égratigne » Hollande ». D’abord pour avoir une opinion il faudrait avoir lu l’ouvrage et non se contenter de quelques phrases chocs. Ensuite parce qu’on le veuille on non Trierweiler est devenu un personnage public dès lors que Hollande a installé (puis chassé) sa compagne à l’Elysée. En fait Trierweilller (il est vrai un peu froide)  n’a jamais été vraiment acceptée par l’opinion en raison de sa personnalité peut-être mais surtout du fait qu’elle n’était pas mariée à Hollande. Pour être clair, elle n’avait rien à faire à L’Elysée. D’une certaine manière les Français sont assez légitimistes et conformistes sur certaines questions. Légitimistes car même s’ils détestent Hollande, ils ne veulent qu’on s’attaque au roi, même nu. La monarchie républicaine a encore de l’avenir devant elle. Il faudra sans doute encore un ou deux quinquennat pour qu’on revoit cette constitution pourtant bien désuète. En clair qu’on touche vraimenet le fond pour s’interroger sérieusement sur le modèle démocratique français. Contrairement aux anglo-saxons notamment A juste titre les Français n’aiment pas l’étalage de la vie privée de nos élites, ils ont raison. Pour autant en la circonstance la nature de relations qu’entretient Hollande avec ses proches dans sa vie quotidienne rend bien compte du caractère du personnage et au-delà du profil psychologique de nos élus finalement surtout préoccupés de pouvoir. En cela le livre est intéressant. Pourtant  une nette majorité de Français désapprouve la publication du livre de Valérie Trierweiler dans lequel l’ex-compagne de François étrille le président de la République, selon deux sondages CSA et Harris Interactive publiés mercredi.  Valérie Trierweiler a écrit un livre, sorti le 4 septembre, «Merci pour ce moment» (Les Arènes), véritable succès en librairie, dans lequel elle revient sur sa relation avec François Hollande et sa vie à l’Elysée. 56% des sondés pensent qu’«elle a eu tort d’écrire cet ouvrage», 41% qu’elle a «eu raison», selon un sondage Harris Interactive pour VSD.  Dans un autre sondage CSA pour Nice-Matin, 67% des sondés désapprouvent la publication de ce livre (dont 39% «tout à fait») tandis que 33% approuvent (dont 12% «tout à fait»). En quatre jours, depuis sa sortie le jeudi 4 septembre, l’ouvrage de Mme Trierweiler s’est vendu à 145.000 exemplaires, dont 131.000 pour l’édition papier, selon l’institut GfK

Popularité : pourquoi Valls s’écroule dans les sondages

Popularité : pourquoi  Valls s’écroule dans les sondages

 

Vals perd 11 points d’un coup après avoir progressivement régressé dans l’opinion de Français. Une vraie dégringolade et qui va probablement continuer. D’abord par qu’Hollande tire Valls vers le bas ; Valls est de plus assimilé à la politique d’austérité idiote et contradictoire de Hollande qu’il suit d’ailleurs à la lettre. L’opinion s’aperçoit surtout que Valls présente surtout une façade de volontarisme de façade, une sorte d’autoritarisme d’expression mais qui  ne se traduit as dans la réalité. La déception vient auusi du faiat que Valls ne fait preuve d’aucune originalité, d’aucun dynamisme particulier. Il s’est en quelque sorte complètement banalisé ; les coups de mentons mis à part il ressemble curieusement à  Ayrault. La cote de popularité de Manuel Valls chute donc de neuf points en un mois, à 36% d’opinions favorables, son niveau le plus bas depuis son arrivée à Matignon, selon un sondage IFOP pour Le Journal du Dimanche. En juillet, 45% des personnes interrogées s’étaient dites satisfaites du Premier ministre. En avril, lors de son arrivée à Matignon, elles étaient 58%.  Manuel Valls, qui fait face avec François Hollande à une fronde d’une partie de la gauche, y compris au sein du gouvernement, perd 11 points chez les sympathisants socialistes (65% de satisfaits) et neuf au Front de Gauche (27% de satisfaits).  Le chef de l’Etat recueille quant à lui 17% d’opinions positives, soit un point de moins qu’en juillet. Il s’agit de son plus bas niveau depuis mai 2012.

 

 

Pourquoi Duflot a quitté le gouvernement ?

Pourquoi Duflot a quitté le gouvernement ?

Duflot de nit pas tout mais des choses importantes quand même. Elle ne dit pas par exemple qu’elle pense que Hollande et le PS sont condamnés à la marginalité et que les écolos comptent bien prendre la place.. « J’ai cru en François Hollande, en sa capacité de rassemblement. (…) J’ai essayé d’aider le président de la République à tenir ses promesses, de l’inciter à changer la vie des gens, de le pousser à mener une vraie politique de gauche. Et j’ai échoué. Alors je suis partie », lit-on notamment dans son récent livre*, dont le Nouvel observateur publiera les bonnes feuilles dans sa prochaine édition. Un pavé dans la mare en pleine rentrée du gouvernement et à l’entame des journées d’été d’EELV, qui se tiendront jusqu’à la fin de la semaine à Bordeaux. Sa présence au gouvernement n’a jamais été une évidence même si certains de ses camarades de parti assuraient que la jeune ambitieuse voulait tellement le poste qu’elle n’en partirait jamais. En restant au gouvernement Ayrault, Cécile Duflot a donc cautionné en grande partie le cap économique de François Hollande, même quand ce dernier assurait qu’il était favorable à une politique de l’offre. C’est donc par petites touches que cette ministre « avec muselière », selon sa propre expression, semait des petits cailloux faisant ainsi entendre une voix dissonante. « La réponse à la situation financière de la France ne peut se réduire uniquement à tailler dans les dépenses. Personne ne peut croire que de l’austérité naîtra le retour des temps meilleurs. Le risque de l’austérité, c’est la tétanie de l’intelligence », déclarait-elle en février 2013 dans un entretien au JDD. Partir? « C’est la seule fois où j’ai réellement pensé que c’était possible« , explique-t-elle après l’éviction en juillet 2013 de la ministre de l’Écologie, Delphine Batho. Le temps passe et le cap économique de François Hollande va en s’affirmant. Pas facile de rester au gouvernement dans ces conditions. « On voit défiler les jours avec, rares, et les jours sans, un peu plus nombreux » mais « quand on cherche du confort, on s’achète des pantoufles« , lance-t-elle lors de ses vœux à la presse en 2014. Et d’ajouter : « Je serai particulièrement attentive à ce que le patronat ne nous embarque pas dans un tango de l’irresponsabilité ou à chaque concession du gouvernement répondrait une demande supplémentaire. » Finalement, Duflot est partie quand Valls est arrivé. Ce qu’elle n’a pas pu dire tant qu’elle était ministre, elle le raconte dans ce livre.

* De l’intérieur. Voyage au pays de la désillusion (Fayard), livre de Cécile Duflot écrit avec Cécile Amar, journaliste au JDD, sortira le 25 août.

 

L’apprentissage en Allemagne : pourquoi ça marche ?

L’apprentissage en Allemagne : pourquoi ça marche ?

 

 

Plusieurs facteurs explicatifs, d’abord la filière française set surtout réservée à ceux qui sont éjectée du système scolaire classique, ensuite en Allemagne l’apprentissage concerne toutes les filières et toutes les qualifications ; A noter auusi la réticence des enseignants qui préfèrent orienter les élèves français vers les voies plus académiques enfin il faut bien le dire l’attitude des parents qui en France ont un certain mépris pour la voie de l’apprentissage. Le succès du système d’apprentissage Outre-Rhin, dit «système dual», se résume en un chiffre: le taux de chômage des moins de 25 ans s’y limite à 5,5% contre 24% dans l’Hexagone. Conçu comme une voie d’excellence axée sur la maîtrise d’une compétence professionnelle, l’apprentissage est l’un des piliers de la réussite du «Made in Germany», qui repose en grande partie sur la qualité de sa main d’œuvre. L’Allemagne compte trois fois plus de jeunes formés en alternance qu’en France: 1,5 million, contre 600.000. L’importance de l’apprentissage dans l’économie allemande s’explique d’abord par «une longue tradition remontant au Moyen Age et jamais interrompue», explique Andreas Pieper, porte-parole de l’Institut Fédéral pour la formation professionnelle (BIBB). Le système inspiré de l’artisanat y a été adapté à l’industrie et aux services. Après l’école primaire, un système assez sélectif oriente les élèves allemands vers deux possibilités: passer le bac et étudier à l’université ou suivre une scolarité plus manuelle et appliquée. L’apprentissage relève d’un choix positif et assumé et non d’une solution de rechange soldant les échecs scolaires. La formation pratique est mieux acceptée en Allemagne. On estime possible une réussite professionnelle en dehors d’un système académique. L’apprentissage concerne toutes les branches de l’économie: commerce, banque, assurance, industrie et pas seulement l’artisanat. Il forme les techniciens supérieurs voire certains ingénieurs. Son financement est assuré par l’État en ce qui concerne les établissements d’enseignement et par les entreprises en ce qui concerne les salaires des apprentis. La sélection des candidats à l’apprentissage appartient à l’entreprise, qui inscrit les candidats retenus dans les écoles professionnelles avec lesquelles elle travaille. En Allemagne, 60% des jeunes apprentis sont embauchés par l’entreprise qui les a formés. Les autres trouvent relativement facilement un emploi ailleurs. Parmi les apprentis arrivés au sommet, Jürgen Schrempp, patron de Daimler de 1995 à 2005, ou Franz Müntefering, apprenti vendeur industriel devenu vice-chancelier de 2005 à 2007.

Sécurité routière : baisse de mortalité en juillet… mais pourquoi ?

Sécurité routière : baisse de mortalité en juillet… mais pourquoi ?

 

Comme d’habitude on se réjouit lorsque les chiffres sont bons, à l’inverse on se lamente quand les chiffres sont mauvais. Aucun vrai facteur explicatif, c’est du commentaire du niveau du café du commerce. Il est possible que le mauvais temps et la crise y soient pour quelque chose car les français sont nettement moins partis en vacances. En tout cas encore un observatoire interministériel qui ne sert strictement à rien et depuis des années.  La mortalité sur les routes de France a baissé de 11,6% en juillet, le chiffre le plus bas depuis 60 ans pour cette période estivale, après quatre mois de hausse consécutifs. « C’est le nombre de décès sur les routes le plus bas jamais enregistré pour un mois de juillet depuis 1954″, a souligné l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR). Au total, 304 personnes ont trouvé la mort en juillet sur les routes, contre 344 pour la même période en 2013. Les autres indicateurs sont également en baisse : -15,6% pour les accidents corporels et les personnes blessées et -18,6% pour les personnes hospitalisées plus de 24 heures après l’accident. « Encourageants, ces résultats prouvent qu’il n’y pas de fatalité à l’insécurité routière », se félicite le ministre le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué. »Pour autant, il convient de redoubler d’attention au volant, car si ces données sont favorables, le bilan des sept premiers mois de l’année (+ 72 tués) et les drames survenus sur la route en juillet, notamment dans l’Aube et dans la Meuse, nous appellent à une vigilance renforcée », ajoute-t-il.

 

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

Mondial: pourquoi pas de diffusion sur les chaines publiques ?

 

 

On se demande vraiment à quoi servent les chaines publiques, e n effet un événement comme le Mondial devrait être diffusé sur le France 2 ou France 3.On objectera que les droits ont couté 130 millions à TF1 (mais une partie revendus à BeIN) ; finalement pour voir le foot  à  la télévision, il faut  bien entendu payer la redevance obligatoire mai auusi Canal pour le championnat de France et aussi à BeIN pour les matchs non diffusés par les autres. Tout cela faiat beaucoup d’abonnements.. Pas étonnant la quasi totalité du budget passe en frais de fonctionnement sur les chaines publiques notamment pour le personnel (environ 10 000 personnes ! , une véritable gabegie) pour un budget de l’ordre 3 milliards. Après la victoire des Bleus en huitième de finale, TF1 en tout cas fait le carton plein en termes d’audience et de recettes publicitaires. De fait, la première chaine a récolté plus de 40 millions d’euros de recettes publicitaires brutes depuis le début de la compétition, avance Stratégie qui cite des données de Kantar Media. D’après des estimations, ce montant brut, hors partenariats et supports numériques, correspondrait à 22 millions d’euros de recettes pub net. Près de 226 annonceurs ont déjà diffusé des messages publicitaires via les écrans pub de TF1. Apple prend la tête des diffuseurs avec 1,5 million d’euros investi, suivi par le PMU (1,4 million d’euros) et enfin Beiersdorf (1,3 million d’euros), groupe qui détient notamment de la marque Nivea. Dans le top 10 des annonceurs, le secteur automobile prend la tête du classement avec quatre constructeurs (dont Citroën et Peugeot côté français) suivi par le secteur des paris sportifs avec PMU et la FDJ.

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