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Déficit : délais pour le Portugal

Déficit : délais pour le Portugal

 

La « troïka » des bailleurs de fonds du Portugal a allégé ses objectifs budgétaires et lui a donné plus de temps pour effectuer les mesures d’austérité exigées par son plan de sauvetage international, a annoncé vendredi le ministre des Finances Vitor Gaspar. La troïka, qui rassemble la Commission européenne, le Fonds monétaire international et la Banque centrale européenne, a accepté de verser une nouvelle tranche d’aide de deux milliards d’euros à Lisbonne à l’issue de son septième examen de l’application du plan de sauvetage. Elle estime que le Portugal respecte globalement ses engagements dans le cadre du plan et pourra à nouveau se financer entièrement sur les marchés dans le courant de 2013, malgré des conditions économiques plus difficiles que prévu. « Cette septième revue confirme que la mise en oeuvre du plan progresse et que le processus de retour complet sur les marchés est en route », déclarent la Commission, le BCE et le FMI dans un communiqué conjoint. Le Portugal aura désormais jusqu’en 2015, et non plus 2014, pour ramener son déficit budgétaire sous la barre des 3% du produit intérieur brut (PIB), ce qui représente une baisse des dépenses publiques équivalente à 2,5% du PIB. Les créanciers de Lisbonne prévoient désormais une contraction de 2,3% du PIB portugais cette année, alors qu’ils n’attendaient qu’une baisse de 1% à l’issue du précédent examen, en novembre. La troïka a également revu à la baisse à 0,6% sa prévision de croissance pour 2014, contre 0,8% précédemment. « L’Europe subit toujours une période de crise », a dit Vitor Gaspar. « Nous savons tous à quel point ces éléments extérieurs affectent l’économie portugaise. » Les bailleurs de fonds ont réduit l’objectif de réduction du déficit pour cette année à 5,5% du PIB, contre 4,5% auparavant. L’objectif de déficit pour 2014 est passé de 2,5% à 4%.

Augmentation PV : pas seulement pour le super métro parisien

Augmentation PV : pas seulement pour le super métro parisien

L’amende forfaitaire de première classe est de 17 €. Elle pourrait, selon certains experts, grimper jusqu’à 35 €.  Sauf qu’il faudrait ensuite réévaluer les infractions de 2e classe, actuellement de 35 €, mais aussi les suivantes afin de maintenir une graduation de la sanction. « Pour le gouvernement, la solution pourrait être de couper la poire en deux avec une contravention autour de 25 € », avance Rémy Josseaume, avocat spécialiste en droit routier et président de l’Automobile Club des avocats, association opposée à toute hausse. L’idée est de permettre aux collectivités locales d’Ile-de-France d’accroître leurs recettes (une partie de la contravention leur est reversée) pour les aider à financer les futures lignes du super métro francilien. « Mais, pour le gouvernement, il s’agit d’un problème national qui dépasse largement le cadre du Grand Paris. C’est un problème de financement des collectivités en général qui ont besoin de plus de ressources », explique-t-on du côté de Matignon. Si le relèvement des amendes concerne l’ensemble du territoire, deux scénarios sont possibles. Soit le montant est majoré de la même façon pour tout le monde (la décision en incombe au législateur), soit il l’est pour seulement une partie de la population et, dans ce cas, il faut sortir du système actuel. Car l’instauration d’une tarification variable d’un endroit à l’autre n’est juridiquement pas possible car « tous les citoyens sont égaux devant la loi pénale », rappelle l’avocat Rémy Josseaume. L’Etat ne peut donc pas autoriser certaines communes à gonfler le tarif des PV. La seule alternative, pour permettre cette verbalisation « à la carte », c’est de sortir la contravention de son cadre pénal, ce que l’on appelle la « dépénalisation ». Mesure à laquelle l’Association des maires de France est favorable. « A ce stade rien n’est tranché », indique-t-on à Matignon. Si le montant de la « prune » augmentait de façon uniforme, cela entraînerait forcément plus de rentrées d’argent dans les caisses des collectivités locales qui en perçoivent plus de la moitié (53%). Ainsi, les bénéfices dégagés leur permettraient de financer davantage leurs projets de voirie ou de transports en commun. Selon une source proche du dossier, ce serait « la solution la plus facile à mettre en œuvre ». Oui, si on dépénalise les contraventions. On ne parlerait plus alors d’amende, mais de « contribution forfaitaire » ou de « redevance forfaitaire ». Les municipalités auraient la liberté de définir les tarifs des contraventions comme elles le font aujourd’hui avec ceux des parcmètres. Cette option priverait les automobilistes d’une éventuelle contestation pénale. « Il y aurait également un risque de privatisation du domaine public », estime l’avocat Rémy Josseaume. Car si la verbalisation n’appartient plus à la sphère pénale, il n’y a plus besoin d’avoir recours à des agents assermentés. Ce domaine pourrait ainsi être délégué à des sociétés privées ayant des objectifs de… rentabilité.

 

 

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Le PS pour le blocage des retraites

Le PS pour le blocage des retraites

Pour rééquilibrer le régime général, Christian Eckert n’est « pas hostile » à l’idée d’une désindexation des retraites sur l’inflation. « L’allongement de la durée de la vie a fait que la transmission des richesses se fait plus tardivement entre les générations. On peut ainsi s’interroger sur le statut moyen des retraités par rapport aux jeunes actifs ». Il a poursuivi: « Mis à part quelques cas de retraités très pauvres, le statut social des retraités est plutôt confortable par rapport aux jeunes actifs, qui, même avec des diplômes, débutent dans la vie active avec une difficulté financière importante ». « Je préfère une répartition collective de la richesse plutôt que de voir les grands-parents aider directement leurs enfants et leurs petits-enfants », a-t-il conclu.

Accord emploi : test politique pour le gouvernement

Accord emploi : test politique pour le gouvernement

 

Test politique pour le gouvernement avec les manifestations contre l’accord emploi, test aussi pour peser le poids respectif du syndicalisme réformisme et du syndicalisme radical. Pour protester contre l’accord syndicats-patronat sur la flexibilité du travail, qui sera présenté mercredi en conseil des ministres, la CGT et Force ouvrière ont appelé à manifester, mardi. Pour les deux syndicats, ce texte aurait pour principale conséquence de fragiliser la situation des salariés face aux patrons. Du côté de l’Elysée, pour que les ministres soient efficaces dans la pédagogie du texte, un argumentaire va leur être distribué mercredi, en conseil des ministres, selon les informations d’Europe 1.  Dans l’exécutif, certains font de cette manifestation un test majeur. Les stratèges de François Hollande vont donc décortiquer les cortèges pour savoir quel bataillon bat le pavé : public ou privé. « S’ils sont nombreux, il faudra mieux expliquer l’accord », confie un proche du président. De manière plus générale, un ministre de haut rang s’inquiète d’un climat social dégradé à cause du chômage et redoute « une implosion sociale ». Mais d’autres, au sommet de l’Etat, parie sur une faible mobilisation et raille la présence de l’aile gauche dans le cortège. « Cela ne va pas changer la face du monde », tacle un conseiller.. Cet accord, le chef de l’Etat souhaite en faire un totem de sa politique, un symbole de son action sociale-démocrate. « Quel sera le progrès attendu ? Pour les salariés : de nouveaux droits, l’accès à une complémentaire santé. Du côté des entreprises, désormais il y aura des accords majoritaires pour éviter les licenciements. Voilà ce qu’une politique d’emploi cohérente peut être capable d’engager pour lutter contre le chômage », a-t-il déclaré, lundi.

 

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Une prime de 52 millions pour le départ président de Novartis !

Une prime de 52 millions pour le départ président de Novartis !

Daniel Vasella doit recevoir cette indemnité de départ au rythme de 12 millions de francs par an s’il respecte les clauses de non-concurrence de son contrat. « Cette mentalité consistant à se servir d’abord sape la confiance dans l’économie toute entière. Cela va faire beaucoup de mal à la cohésion sociale de notre pays », a déclaré la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga au quotidien Sonntagsblick. Daniel Vasella, président de Novartis depuis 1999 et PDG de 1999 à 2010, a confirmé vendredi les modalités financières de son prochain départ après leur publication par le site d’information insideparadeplatz.ch. Il a expliqué dans un communiqué que Novartis lui verserait un montant maximal de 72 millions de francs s’il renonçait à faire profiter des concurrents du groupe de son expérience et de son savoir-faire, en précisant qu’il avait l’intention de reverser ces sommes – nettes d’impôt – à des organisations caritatives. Un porte-parole de Novartis a déclaré que Daniel Vasella n’avait pas l’intention de s’exprimer davantage sur le sujet avant l’assemblée générale du groupe prévue vendredi à Bâle. Mais sans attendre, plusieurs associations d’actionnaires ont critiqué le projet. « C’est un scandale », a déclaré à Reuters Rony Tschopp, de l’association Actares. « Tout ce que nous pouvons faire, c’est essayer de motiver autant d’actionnaires que possible pour refuser de voter la décharge du conseil d’administration vendredi. » Il a toutefois reconnu qu’il était improbable qu’une majorité d’actionnaires refuse d’approuver l’action du conseil, les informations sur les indemnités de non-concurrence de Daniel Vasella ayant été rendues publiques trop tard pour être prises en compte par certains grands investisseurs.

 

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FOOT: Déficit record pour le football européen

FOOT: Déficit record pour le football européen

 

En 2011, les clubs européens ont creusé leurs déficits à 1,7 milliards d’euros cumulés, dont la moitié est imputable à seulement dix clubs. Un nouveau record après ceux établis en 2010 (1,64 Mds€) et 2009 (1,2 Mds €).  Cette détérioration des finances des clubs européens est d’autant plus spectaculaire que leurs pertes cumulées n’atteignaient que… 600 millions d’Euros en 2007. Les pertes cumulées en 2011 par les clubs participants aux compétitions européennes cette saison s’élèvent à 480 M€.  L’étude de l’UEFA souligne qu’en dépit de la croissance de leurs recettes globales, qui s’élèvent à 13,2 Mds€ en 2011 (+3% par rapport à 2010), les clubs européens  ont investi une faible part de leur l’augmentation de leurs recettes à des investissements à long terme. La valeur des immobilisations corporelles (stade, terrains d’entraînement, centre de formation et autres équipements) des 237 clubs inscrits dans les compétitions de l’UEFA cette saison s’élève à 4,8 Mds€. Une somme inférieure aux dépenses allouées aux salaires des joueurs et coûts y relatifs en 2011  (6,9 Mds€). Le contrôle de la masse salariale demeure le plus grand défi des clubs européens. Les salaires et frais y relatifs se sont en effet accrus de 38% entre 2007 et 2011, absorbant ainsi totalement la croissance des recettes lors de la même période (24%). Les frais de personnel et les frais de transferts nets combinés s’élèvent désormais à 71% des recettes des clubs européens.  Le dernier exercice de simulation du fair-play financier pour les trois dernières saisons (2009 à 2011 inclus) indique que 46 clubs de 22 pays auraient dû améliorer leur bilan financier en recapitalisant si l’exigence relative à l’équilibre financier avait déjà été en vigueur. Le pourcentage de clubs déclarants des fonds propres nets négatifs est passé de 36 à 38% en 2011. Un club européen sur sept a même vu ses réviseurs exprimer des doutes concernant la poursuite de son exploitation.  Dans une simulation  couvrant les exercices 2009, 2010 et 2011, 14 clubs inscrits dans les compétitions européennes ont présenté un déficit supérieur à 45 M€. Ce qui les place en dehors des clous du fair-play financier.  32 autres clubs présentent un déficit compris entre 5 et 45 M€, ce qui nécessiterait  des investissements de fonds propres ou une recapitalisation jusqu’à 40 M€ avant la fin de l’année pour passer le cut. On l’a compris beaucoup de travail reste  à fournir pour améliorer la santé financière des clubs européens.  Mais les premiers effets du fair-play financier commencent à se faire sentir. Ainsi des améliorations ont été enregistrées avec la réduction de 47% des arriérés  de paiement résultant d’activités de transfert et des arriérés de paiement envers le  personnel entre la première évaluation en juin 2011 et celle de juin 2012. Déjà en vigueur, le volet sur les arriérés de paiement du fair-play financier a déjà conduit à l’exclusion de Malaga pour les compétitions européennes la saison prochaine.  La pédagogie de la sanction semble avoir du bon.

 

 

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Novartis : super salaire et super retraite pour le patron mais efforts pour les salariés

Novartis : super salaire et super retraite pour le patron mais   efforts pour les salariés

Novartis n’est pas une affaire uniquement suisse puisque le groupe est présent dans une centaine de pays (dont la France), du coup le super salaire, maintenant la  super retraites pour le patron de Novartis risque d’être contesté. De quoi alimenter la polémique quand dans le même temps on demande des sacrifices aux salariés ; certes, ce n’est pas la réduction du salaire du patron qui peut modifier sensiblement le résultat d’une telle entreprise mais la démesure discrédite les efforts de compétitivité demandés aux salariés. Mercredi, lors de la publication des résultats annuels du groupe, Daniel Vasella a annoncé qu’il ne solliciterait pas de nouveau mandat lors de la prochaine assemblée générale après avoir piloté le géant pharmaceutique pendant dix-sept années. Ses indemnités de départ n’ont cependant pas été dévoilées.   »Selon des experts en indemnité, Vasella pourrait encaisser chaque année 50% de son ancien salaire de 13 millions de francs suisses à titre de dédommagement pour les clauses de non-concurrence », fait valoir l’hebdomadaire suisse alémanique.  Daniel Vasella se serait engagé à ne pas travailler pour la concurrence pendant cinq ans, selon une information publiée jeudi par le Tages-Anzeiger. Interrogé à ce sujet le jour même sur la radio suisse romande, Daniel Vasella n’avait pas souhaité s’exprimer sur la teneur de l’accord avec Novartis.  Les indemnités de départ de Daniel Vasella font l’objet d’intenses spéculations dans la presse helvète alors que les Suisses doivent se prononcer le 3 mars sur une initiative sur les salaires abusifs.  La rémunération de Daniel Vasella, longtemps le patron le mieux payé de Suisse, est au centre des débats.  En 2009, il avait perçu un salaire de 20,5 millions de francs suisses (16,4 millions d’euros). Alors que les critiques avaient fusé, ses traitements ont été ramenés en 2012 à 13,1 millions de francs suisses (10,5 millions d’euros).  Ses indemnités de départ pourraient donc jeter un peu plus d’huile sur le feu, alors que les milieux d’affaires tentent de faire basculer l’opinion, qui soutient largement l’initiative, selon les récents sondages.   »De telles indemnités de départ sont pénibles », a déclaré au SonntagsZeitung Werner Hug, membre du comité exécutif de l’association patronale Economiesuisse.  Les indemnités de Daniel Vasella ont également suscité des remous auprès des groupements d’actionnaires tels qu’Actares et la fondation Ethos.   »C’est un scandale. les profiteurs continuent comme si de rien n’était, c’est incroyable », a déploré Roby Tschopp, le directeur d’Actares, dans les colonnes du SonntagsZeitung.  De son côté, Dominique Biedermann, le directeur de la fondation Ethos, a appelé Novartis à fournir des « indications transparentes » sur règlement concernant les indemnisations.  Dans un entretien accordé dimanche au SonntagsBlick, Daniel Vasella s’est cependant fendu d’un trait d’humour. Interrogé sur le montant total accumulé pendant ses années à la tête de Novartis, estimé par le journal entre 200 et 300 millions de francs suisses, Daniel Vasella a dit « n’avoir lui-même jamais fait l’addition ». « Chaque jour, la somme monte dans la presse », a-t-il déclaré.

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Plus de train pour le Président normal mais l’avion

Plus de train pour le Président normal mais l’avion

Terminé le président normal et le cinéma ; Hollande ne prend plus le train. Une mascarade évidemment puisqu’un avion accompagnait le train qu’il prenait ; Même mascarade pour les ministres se rendant à leur bureau en vélo, mode écolo, alors qu’ils étaient suivis de motos et de voitures. Ce n’est pas ce qu’on attend du gouvernement. Le président normal a revêtu ses habits de chef de guerre et dit adieu… au train! François Hollande, qui avait assuré pendant la campagne présidentielle qu’il « prendrai(t) le train » parce qu’« il n’y a pas besoin de protection au-delà de ce qui est nécessaire », a choisi hier de se rendre en avion à Lille, à seulement une heure de Paris en TGV.  Ce petit changement s’explique par l’intervention française au Mali : « Il est indispensable que le président de la République, chef des armées, puisse rentrer plus vite à Paris […] sans être dépendant des horaires d’un train », avance l’entourage du chef de l’Etat, interrogé par le Lab d’Europe 1. Un détail cependant, il faut davantage de temps entre Paris et Lille en avion qu’en TGV (avec les parcours d’approche)!En fait le cirque de la com.  est fini parce que les français ne sont pas très sensibles aux opérations démagogie. On aurait sans doute eu du mal à admettre qu’Ayrault s’était rendu ces jours deniers en Argentine en vélo !

 

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