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Sondage affaire Buisson : «grave «pour 86%

Sondage affaire Buisson : «grave «pour  86%

Pour ceux qui en ont entendu parler, l’affaire Buisson est « grave ». Selon un sondage BVA pour l’émission CQFD sur i>TELE et Le Parisien/Aujourd’hui en France, 86% des Français trouvent que l’affaire des enregistrements de Nicolas Sarkozy par son ancien conseiller est « grave ». Seuls 13% ne la considèrent pas grave. Sur cette affaire, les sympathisants de droite ((83%) et de gauche (90%) se rejoignent. Pour la plupart des sondés cette affaire n’a pas changé l’image qu’ils avaient de l’ancien président: 50% conservent une mauvaise image, 41% gardent une bonne image de lui. Par contre, pour 8% des personnes interrogées, cela a dégradé l’image qu’ils en avaient.

 

Sondage Europe : pas efficace pour 80%

Sondage Europe : pas efficace pour 80%

Alors que l’élection européenne a lieu en juin prochain, 83 % des Français jugent que l’action de l’Europe est pas ou peu efficace selon un sondage BVA pour Le Parisien/Aujourd’hui en France. Selon ce sondage, 57% des personnes interrogées pensent que l’action de l’Union européenne est « peu efficace » et 26% estiment qu’elle ne l’est « pas du tout ». Quinze pour cent estiment que cette action est « assez efficace » tandis que seuls 1% des sondés la voient « très efficace ». Un pour cent ne se prononcent pas. Par ailleurs, 58% des personnes interrogées affirment qu’ils ne voteront pas à l’élection européenne « en fonction du gouvernement » (51%en 2009), 30% le feront pour « sanctionner le gouvernement » (24% en 2009) et 10% pour le soutenir (20% en 2009). Deux pour cent des sondés ne se prononcent pas.

 

Affaires Buisson, Copé etc. : la politique dans le caniveau et pour longtemps

Affaires Buisson, Copé etc. : la politique dans le caniveau et pour longtemps

 

Les affaires Copé et Buisson confirme nt le caractère particulièrement délétère de la politique française. Des affaires condamnables  mais qui ne surgissent sans doute pas par hasard à la veille des élections. Le fruit de l’affrontement gauche droite mais aussi de rivalités personnelles tenaces. Sur les deux affaires en question, il convient en effet de s’interroger sur l’origine des fuites. Qui a fourni les informations ? Dans quelles conditions ? Qui profite de ces fuites ? Au-delà de ces interrogations, cela prouve qu’en réalité faute de pouvoir démontrer une crédibilité des programmes et des actions on s’efforce de démolir par la délation, la rumeur, les coups fourrés. Aujourd’hui en France aucun parti, aucune personnalité de bénéficie du crédit nécessaire pour s’imposer et les intrigues de palais font office de stratégie. A gauche l’affaire Cahuzac avait montré la fragilité et la superficialité de certains dirigeants socialistes ; A droite, l’enjeu, c’est l’ ‘éventuelle succession de Sarko comme leader ; Sarko qui est loin d’être sorti d’affaire. Il ne faut pas s’attendre à des cadeaux de la part de Hollande. Ce dernier tentera par tous les moyens de la faire condamner par la justice afin de  l’éviter en 2017 et afin de compter sur le reflexe républicain contre l’extrême droite. Une justice évidemment très complaisante à l’égard de tous les pouvoirs en place. Du coup, il faut s’attendre jusqu’en 2017 à une multiplication des coups tordus  à droite comme à gauche. Bref la politique dans le caniveau qui ne rehausse pas l’image d’une classe politique déjà très discréditée. La politique se réduit en fait à de enjeux de pouvoir quand la compétence, le courage, la cohérence deviennent absentes. Dommage évidemment dans une période crise qui exigerait une autre hauteur de vue, une mobilisation sur les enjeux stratégiques  et d’autres comportements.

Bouygues : 15 milliards pour SFR

Bouygues : 15 milliards pour SFR

 

 

Bouygues offre 15 milliards pour SFR et Numericable 11 pour l’instant.  Le gouvernement aura son mot à dire, pour l’instant il dit vouloir privilégier l’emploi. Il est possible que finalement, il opte (via la caisse des dépôts) pour Bouygues, ce qui ferait disparaître un opérateur et réduirait ainsi une concurrence jugée excessive par Montebourg lui-même. Vivendi a mis fin au suspense en annonçant mercredi soir avoir reçu « deux offres engageantes de prise de contrôle majoritaire » du deuxième opérateur télécom français, « adossées à des engagements de financement ».  Son conseil de surveillance « sera saisi pour étudier ces offres » et « il évaluera toutes les options qui s’offrent à lui quant à l’avenir de sa filiale et du groupe, dans le meilleur intérêt des salariés et des actionnaires », a-t-il indiqué dans un bref communiqué.   »On a maintenant deux offres, on va les décortiquer et voir si elles valent mieux que l’entrée en bourse de SFR, ça ne devrait pas s’éterniser », a commenté mercredi soir à l’AFP le président du directoire, Jean-François Dubos.  Les candidats au rachat de SFR, dont Vivendi souhaite se séparer pour se recentrer sur les médias, avaient jusqu’à 20H00 mercredi pour présenter leurs offres de reprise.  Les candidatures d’Altice, holding mère de Numericable, et celle de Bouygues étaient attendues: le câblo-opérateur s’était dit intéressé dès 2012 par SFR, tandis que Bouygues Telecom, le plus affecté dans la guerre des prix du mobile initiée par Free, est sorti du bois au dernier moment, craignant d’être isolé par un tel mariage.  La décision que prendra Vivendi de céder ou non tout ou partie de sa filiale, devra recueillir un feu vert de l’Autorité de la concurrence.  Même si ce choix ne sera pas soumis à l’exécutif, le gouvernement s’est immiscé mercredi dans le dossier, en soulignant la nécessité de préserver l’emploi.   »Il n’y a pas de candidat privilégié », mais le gouvernement « s’appuiera avant tout sur trois critères: surtout l’emploi évidemment, celui de la capacité à investir dans l’outil industriel et puis celui de la qualité du service qui pourra être fourni aux consommateurs », a déclaré sa porte-parole, Najat Vallaud-Belkacem.  Même son de cloche à Bercy: « concernant les éventuelles opérations de concentration, le gouvernement est vigilant et a pour seule préoccupation l’emploi et l’investissement ».  Ces derniers jours, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a rencontré Numericable et Bouygues Telecom, ainsi que la direction de Free, muette sur ses intentions, et Orange, l’opérateur historique et numéro un du marché.  Vivendi avait confirmé fin février avoir été approché par la holding Altice, maison-mère de Numericable, en vue d’un « éventuel rapprochement » avec SFR, tout en assurant ne pas avoir renoncé au projet de mise en Bourse de l’opérateur, envisagé pour juin.  Altice est prêt à offrir 11 milliards d’euros en numéraire à Vivendi, qui conserverait 32% de SFR tandis que le nouvel actionnaire en obtiendrait 50%, selon un scénario dévoilé par le Figaro mardi. Toujours selon Le Figaro, Bouygues devrait offrir plus de 15 milliards d’euros à Vivendi.  Une fois le choix de Vivendi arrêté, le processus d’examen par l’Autorité de la concurrence sera long: étude de l’impact du rapprochement sur le secteur, entretien avec les parties concernées et les acteurs du marché, discussions sur d’éventuels engagements des parties pour préserver la concurrence.  Si elle se concrétise, l’opération signifierait dans tous les cas un changement profond du paysage français des télécoms.  Ce marché compte aujourd’hui quatre opérateurs : Orange, Bouygues Telecom, SFR et Free Mobile. L’arrivée de ce dernier en janvier 2012 a déclenché une guerre des prix qui a sapé les marges de tous les acteurs.  Les deux projets principaux de rachat se différencient sur plusieurs points: Numéricable présente son offre comme un projet de croissance et d’investissement. Les atouts du câblo-opérateur sont son réseau fibre et sa télévision payante, tandis que SFR fait du mobile et de l’internet fixe.  En gage de bonne volonté, Patrick Drahi, patron d’Altice, s’est engagé dans Le Figaro mardi « à ne pas licencier, à conserver 8.500 emplois chez SFR et 2.400 chez Numericable, et même à recruter des commerciaux pour le marché des entreprises ».  Mais du point de vue des pouvoirs publics, Numericable est desservi par son poids financier moindre et le fait que sa maison-mère Altice, basée au Luxembourg et cotée à Amsterdam, a un propriétaire suisse..  Une offre de Bouygues devrait créer plus de synergies mais comporte le risque de détruire beaucoup plus d’emplois.  Elle signifierait aussi la disparition d’un opérateur, posant des problèmes de concurrence a priori plus vifs.   »Le marché de la téléphonie mobile a longtemps été dominé par trois opérateurs qui pratiquaient une concurrence plus que discrète. L’arrivée de Free, malgré quelques couacs, a incité le secteur à pratiquer une baisse significative des prix. Et la possibilité d’une concentration, donc d’un retour en arrière, est plus qu’inquiétante pour le consommateur », a estimé mercredi l’association de protection des consommateurs CLCV.  En 2005, SFR, France Télécom et Bouygues Telecom avaient été condamnés à de lourdes amendes (534 millions d’euros au total) par l’Autorité de la concurrence pour « entente » concernant leurs nouveaux abonnements et les résiliations.

 

Déficit, compétitivité: carton jaune de Bruxelles pour la France

Déficit, compétitivité: carton jaune de Bruxelles pour la France

 

Pour Bruxelles les principales faiblesses de la France ne sont pas réglées (compétitivité, déficit, coût du travail etc.). Comme l’Espagne et l’Irlande, la France va donc être sous surveillance étroite de la Commission européenne. Un camouflet pour la deuxième économie de la zone euro, qui se retrouve associée à des pays qui viennent tout juste de sortir de leur plan d’assistance financière.  Le constat à Bruxelles est simple: malgré les mesures prises pour favoriser la compétitivité, le compte n’y est toujours pas. « Le coût du travail reste élevé et pèse sur les marges des entreprises », a estimé Olli Rehn, le commissaire en charge des Affaires économiques, comme il le fait inlassablement depuis plus d’un an.  Autre faiblesse: le niveau de la dette, au-dessus de 95%, qui risque d’exposer le pays à des « turbulences » sur les marchés financiers, comme au plus fort de la crise de l’euro.   »Pour répondre au défi de la compétitivité, la France doit améliorer l’environnement des entreprises et renforcer la concurrence dans les services », a préconisé M. Rehn, qui fera des recommandations plus spécifiques pour chaque Etat membre début juin.  D’ici là, Paris devra faire parvenir à la Commission son plan budgétaire à moyen terme, ainsi que les détails du pacte de responsabilité proposé par le président François Hollande aux entreprises. Cette mesure clé prévoit la suppression de 30 milliards d’euros de cotisations patronales d’ici à 2017, avec comme objectif de relancer l’emploi.  Deux semaines à peine après avoir tiré la sonnette d’alarme, la Commission a par ailleurs remis sur le tapis la question du déficit français, et a adressé une « recommandation » à Paris.  Pour elle, le déficit public devrait rester largement au-dessus de 3% en 2014 comme en 2015, si Paris ne prend pas de nouvelles mesures. « Compte tenu du niveau élevé des dépenses publiques, il est important que les efforts portent sur leur réduction », souligne Olli Rehn.  Paris a réagi en rappelant ses engagements. « Le gouvernement est engagé à poursuivre son effort de rétablissement des comptes publics jusqu’a la fin du quinquennat, en faisant porter l’intégralité des efforts sur la réduction de la dépense publique à partir de 2015, avec au moins 50 milliards d’euros d’économies prévues sur la période 2015-2017″, ont répondu les ministres Pierre Moscovici (Finances) et Bernard Cazeneuve (Budget).  Dans son rapport, la Commission a fait le point sur chacun des 18 pays de la zone euro. Quatorze d’entre eux souffrent de déséquilibres.  La Croatie, la Slovénie et l’Italie sont en plus mauvaise posture que la France, et font face à des déséquilibres jugés « excessifs » qui requièrent également une surveillance renforcée.  La situation est particulièrement critique pour l’Italie, qui conjugue une dette conséquente à des problèmes de compétitivité, et risque des sanctions financières de Bruxelles si elle ne se réforme pas rapidement. Un défi pour le nouveau gouvernement de Matteo Renzi.  De son côté, l’Allemagne a été une nouvelle fois épinglée pour ses excédents commerciaux, vus comme le signe d’une dépendance aux exportations et le reflet d’une demande intérieure faible. La Commission a réaffirmé que Berlin devait « mettre en place des mesures pour stimuler sa demande intérieure et son potentiel de croissance ».

 

Pas de crédits bancaires pour les petites entreprises

Pas de crédits bancaires pour les petites entreprises

 

Ce n’est pas une découverte mais une confirmation, les banques rechignent à prêter aux petites entreprises. Selon le médiateur du crédit pour 2013, dont les grandes lignes ont été révélées par Europe 1 ce matin, les banques hexagonales prêtent plus que leurs voisines européennes et notamment allemandes, mais délaissent les plus petites structures. Trois quarts des entreprises qui ont saisi le médiateur du crédit en 2013 avaient ainsi moins de dix salariés. Europe 1 pointe le « déséquilibre » de la relations TPE-banques : “Quand vous êtes chef d’entreprise à la tête de cinq salariés, vous avez un besoin essentiel que votre banque vous aide. La banque sait très bien que si elle perd un client de cinq salariés, ça ne va pas changer pour elle la face du monde”, selon Jean-Heude Dumesnil, le secrétaire général de la CGPME. Les entreprises déplorent notamment le temps, souvent long, que les banques mettent pour répondre à leurs demandes, ainsi que les taux d’intérêt des garanties exorbitantes que les banques leur demandent.

 

Bouygues fait la cour à Hollande pour racheter SFR

Bouygues fait la cour à Hollande pour racheter SFR  

 

 Selon l’un de ses proches, Bouygues   s’engagerait  devant François Hollande à garantir l’emploi alors que les inquiétudes sont fortes sur le front social. Il fait aussi passer le message qu’il est désormais réconcilié avec Vincent Bolloré, aujourd’hui premier actionnaire de Vivendi. Une manière délicate d’encourager l’Élysée à convaincre l’homme d’affaires breton de lui vendre le deuxième opérateur mobile français. Cette semaine, Martin Bouygues a aussi rencontré Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin. L’enjeu est majeur : depuis une semaine, Vivendi discute d’un mariage de sa filiale SFR avec Numericable, qui vend de l’Internet par le câble. Une cellule d’administrateurs menée par Henri Lachmann et Alexandre de Juniac (PDG d’Air France- KLM), planche sur le sujet. Si cette opération se réalisait, Bouygues se retrouverait isolé face à son ennemi juré Free et contraint de s’allier à lui. Un scénario inimaginable pour le leader mondial du BTP. Pour le contrer, le groupe travaille ces jours-ci à une offre de rachat de SFR qu’il devrait présenter d’ici à dix jours, selon plusieurs sources. « Nous étudions toutes les options et informerons le marché quand nous aurons une position concrète », confirme un porte-parole. Bouygues déroule le tapis rouge pour convaincre les actionnaires de SFR. Il leur promet avant tout plus d’argent que les 5 milliards d’euros que Numericable fait miroiter. Ensuite, une situation financière plus saine que son concurrent, déjà très endetté, grâce aux moyens colossaux de son empire. Et deux fois plus de synergies de coûts, argument massue pour la Bourse. Le réseau de SFR permettrait d’accueillir les 32 millions d’abonnés mobiles des deux opérateurs, assurant une économie d’un milliard d’euros par an. En contrepartie, Bouygues Telecom pourrait vendre le sien à Free pour ne pas être confronté aux griefs de l’Autorité de la concurrence. Sauf que chez l’opérateur fondé par Xavier Niel on ne voit pas les choses ainsi. « Notre réseau couvre aujourd’hui plus de 60 % de la population et nous n’avons aucun intérêt à en acheter un entier », indique-t-on. Sur le plan social, la promesse de Bouygues de ne pas licencier ne convainc pas. Combiné à SFR, le nouvel opérateur compterait 20.000 salariés et beaucoup de doublons dans les fonctions commerciales, services clients, réseau et administratives. « C’est impossible de faire ce mariage sans casse sociale », reconnaît même un proche de SFR. Le chemin est étroit pour Bouygues, qui ne désarme pas. Pour séduire les dirigeants de SFR et de Vivendi, il leur promet une direction équilibrée dans laquelle Jean-René Fourtou, déjà promis à la présidence d’un duo SFR-Numericable, disposerait aussi de son siège de figure tutélaire. Beaucoup de promesses qui reçoivent peu d’écho. « Ce schéma est hyper-compliqué, se désespère un proche de Vivendi, on a du mal à y croire. »

UMP : pour la presse Copé s’enfonce

UMP : pour la presse Copé s’enfonce

L’intervention de Copé a fait plouf. La contre-attaque de Jean-François Copé sur le thème de la « transparence » financière après sa mise en cause dans Le Point n’a pas convaincu la presse de mardi qui pointe l’isolement du président de l’UMP. Accusé d’avoir favorisé des proches au détriment des finances de l’UMP, M. Copé a dénoncé lundi les « méthodes dignes de l’Inquisition » de la part de « certains organes de presse ». Riposte immédiate dans les éditoriaux du lendemain.  Le Figaro, sous la plume d’Yves Thréard, étrille un « discours mal ajusté, des arguments inappropriés. Avec des mots parfois exagérés et des propositions qui traduisent plus une fébrile improvisation qu’une mûre réflexion ».  Dominique Quinio, dans La Croix, s’interroge « sur l’efficacité d’une colère qui promet la clarté personnelle, tout en jetant une suspicion générale sur les autres, politiques ou médias ».  « Avec son appel véhément au +tous derrière moi+ », Jean-François Copé a « maladroitement alimenté l’affligeante rengaine du +tous pourris+ », juge Jacques Camus (La Montagne).  Pour L’Est républicain et Alain Dusart, « il escamote les critiques, se caricature lui-même et propose une transparence – qui existe déjà ».  « Jean-François Copé n’a, surtout, rien prouvé hier », constate Laurent Bodin dans L’Alsace. Car « on attendait une réponse. Autre chose qu’une posture facile de victime sur le thème archi éculé de la chasse à l’homme par les médias prédateurs », tonne Eric Dussart dans La Voix du Nord.  Jean-Claude Souléry (La Dépêche du Midi) retient « l’impression diffuse d’une exagération permanente, comme on le dit d’un comédien qui en fait trop ».  Dans Le Journal de la Haute-Marne, Patrice Chabanet a surtout remarqué « que le patron de l’UMP était bien seul dans sa défense ».  « Jean-François Copé est un homme seul. Il n’a plus d’image, plus de popularité et plus d’amis », tacle Cécile Cornudet dans Les Echos.

 

FMI pour la redistribution des richesses !mea-culpa et changement de religion !

FMI pour la redistribution des richesses !mea-culpa et changement de religion !  

Mea culpa pour le FMI qui découvre la lune avec la nécessité de réduire les inégalités pour relancer la croissance. Une évidence pourtant car la redistribution des richesses sur les moins favorisées est immédiatement réinjectée dans l’économie (du fait des dépenses contraintes) à l’inverse de la  thésaurisation. Changement de ton donc au FMI. Après avoir prôné depuis des années l’austérité comme facteur de croissance, des experts de l’organisation ont détaillé, ce mercredi 26 février, les bienfaits d’une meilleure redistribution des richesses mondiales sur l’économie mondiale. Pourtant en Grèce, en Irlande, au Portugal et peut-être bientôt en Ukraine, le Fonds a toujours exigé, en échange de son aide financière, de sévère coupes dans les dépenses publiques, des hausse d’impôts indirects (TVA), des privatisations. Des cures qui passent encore mal dans les pays où elles ont été administrées. Aujourd’hui, une étude publiée par trois économistes du Fonds dénonce, en creux, les failles de ces programmes d’assistance, en pointant l’importance de redistribuer les richesses afin de lutter contre les inégalités.  « Ce serait une erreur de focaliser sur la croissance et de penser que les inégalités se régleront d’elles-mêmes, au moins pour la seule raison que cela se traduira par une croissance faible et non-viable », écrivent-ils. Les inégalités sociales risquent même d’ »amputer la croissance » en réduisant l’accès à l’éducation et à la santé ou en alimentant l’instabilité politique et économique. A ceux qui prétendent que les allocations et les aides découragent l’initiative privée et donc nuisent à l’économie, ces experts répondent n’avoir « trouvé que de rares signes démontrant que les efforts de redistribution traditionnels ont un impact négatif sur la croissance ». Au contraire, selon leur étude, ces méthodes de redistribution favorisent une croissance « plus rapide et plus durable ».

Ukraine : 25 milliards d’aides nécessaires pour éviter la faillite

Ukraine :  25 milliards d’aides nécessaires pour éviter la faillite

L’Ukraine au bord de la faillite ne peut plus compter sur l’aide russe et  sollicite  le FMI. Kiev a demandé, ce 26 février, au Fonds monétaire international de préparer avec elle un nouveau programme d’aide financière. En gage de bonne foi, le président de la Banque centrale ukrainienne, Stepan Koubiv, a assuré le pays prenait des mesures de son côté. Le nouveau gouvernement de Kiev prépare parallèlement un programme anticrise, qui sera bouclé incessamment, a-t-il promis. Et la Banque centrale prend des dispositions pour enrayer la fuite massive de capitaux qu’ont entraîné les manifestations contre le président Viktor Ianoukovitch déchu depuis, a continué l’argentier ukrainien. Ces marques de sérieux ont pour but de rassurer le Fonds, à qui l’Ukraine doit déjà 4 milliards d’euros au titre d’emprunts contractés en 2010. A l’époque, Kiev n’avait jamais mené les réformes économiques promises en contrepartie du soutien du FMI. Pour autant, sa directrice générale, Christine Lagarde, avait assuré ce week end, que le fonds « sera prêt à s’engager ».  Le pays est au bord de la faillite. L’Ukraine a chiffré à 35 milliards de dollars (25 milliards d’euros environ) ses besoins pour 2014-2015. Et elle aurait besoin dès cette année de 13 milliards de dollars pour rembourser ses créanciers internationaux, selon Standard & Poor’s. Or l’Union européenne, qui a réitéré son intention de l’aider en début de semaine, évoque pour l’instant un montant d’à peine 610 millions d’euros. En outre la Russie, qui lui avait promis 15 milliards de dollars, a annulé le versement d’une tranche de ce prêt de 2 milliards d’euros le 17 février, après la destitution de Viktor Ianoukovitch. La poursuite du soutien financier de Moscou est devenue plus qu’incertaine. Il pourrait reprendre après la formation d’un nouveau gouvernement, a indiqué le ministre russe des Finances. A condition que ce dernier favorise une alliance avec la Russie plutôt qu’avec l’Europe, a-t-il laissé entendre.

 

Sondages Municipales: 60 à 120 villes en moins pour la gauche

Sondages Municipales: 60 à 120 villes en moins pour la gauche

La gauche dirige 70% des villes de plus de 100.000 habitants, et devrait en conserver la majorité, les principaux espoirs de la droite reposant sur Caen, Metz ou Reims. En revanche, la situation est plus mouvante dans les villes plus petites, notamment celles qui sont éloignées des grandes agglomérations. Si l’on projette sur 2014 les mouvements de 2001 et 2008, la gauche au pouvoir pourrait perdre entre 60 et 120 villes de plus de 10.000 habitants, selon des experts électoraux.

Les villes moyennes sont davantage habitées que les grandes villes par des catégories « qui se sentent géographiquement et socialement déclassées: les familles ne peuvent plus se loger dans les grandes villes, devenues trop chères, craignent de perdre leur statut social et ressentent une dégradation de leur niveau de vie ». Ces villes intermédiaires, renchérit Jérôme Fourquet (Ifop) sont « souvent situées dans des territoires qui se sentent abandonnés, avec un tissu industriel fragile ».

Des facteurs locaux – usure du pouvoir, absence de successeur désigné par le maire sortant qui ne se représente pas, multiplicité des candidatures au sein d’un même camp – peuvent aussi jouer en faveur de l’opposition.

Voici quelques exemples de ces villes où la majorité peut changer:

RHONE-ALPES

- A Chambéry, la maire sortante Bernadette Laclais (PS), 47 ans, en lice pour un deuxième mandat et par ailleurs députée depuis 2012, avait emporté la mairie dès le premier tour en 2008, avec 1.980 voix d’avance (50,14%) sur le candidat UMP. Cette année, elle devra affronter le député européen UMP Michel Dantin, conseiller municipal de Chambéry depuis 1983.

- A Valence, le jeune loup de l?UMP Nicolas Daragon, 41 ans, compte bien reprendre au maire Alain Maurice la ville que la droite avait gérée de 1995 à 2008. La position du sortant socialiste, 52 ans, est d?autant moins confortable qu?il a été battu aux dernières législatives par l?ancien maire UMP Patrick Labaune, et que les Ecologistes ont leur propre liste emmenée par l?eurodéputée Michèle Rivasi, très influente localement.

- A Auxerre, le sortant PS Guy Férez, qui brigue un troisième mandat, aura fort à faire face à un espoir de l?UMP, Guillaume Larrivé, 37 ans. Auxerre a longtemps été tenue par Jean-Pierre Soisson, marqué à droite.

NORD-PAS-DE-CALAIS

Outre Hénin-Beaumont (27.000 habitants), que le FN emmené par Steeve Briois veut ravir au PS, très menacé, Calais pourrait changer de camp: la sénatrice-maire sortante, l?UMP Natacha Bouchart, est menacée par le député PS de 39 ans Yann Capet.

CENTRE

- Bourges: le maire sortant Serge Lepeltier (UDI), qui avait arraché la ville à la gauche en 1995, ne se représente pas. La gauche (56% au 2e tour de la présidentielle 2012) pense pouvoir récupérer la mairie, d’autant que la droite part en ordre dispersé, avec trois listes.

- Chateauroux. Là aussi, le sortant Jean-François Mayet (UMP), ne se représente pas et la droite se présentera en ordre dispersé.

PACA

- A Digne-les-Bains, où le maire PS sortant ne se représente pas, la gauche part divisée, avec deux listes. Elles auront face à elle une liste UMP, mais aussi une liste FN élargie, avec à sa tête une « prise » frontiste, Marie-Anne Baudoui-Maurel, ex-présidente de l?Association départementale des amis de Nicolas Sarkozy.

- A Brignoles (Var), la gauche part unie derrière un élu sortant DVG mais aura face à elle, outre une liste UMP-UDI, une liste FN emmenée par Laurent Lopez, ex-cadre commercial qui a remporté en octobre 2013 l’élection cantonale (53,9%) face à la candidate de l’UMP.

MIDI-PYRENEES

Montauban: l’ancien maire PS Roland Garrigues espère regagner cette ville de 54.000 habitants dirigée depuis 2001 par l’UMP Brigitte Barèges, à la faveur d’une triangulaire avec le FN qui avait recueilli 18% des voix à la présidentielle. Mme Barèges avait été réélue en 2008 avec moins de 200 voix d’avance et a été battue aux législatives de 2012.

 

CICE : une ristourne de 300 millions pour la Poste

CICE : une ristourne de 300 millions pour la Poste

La Poste a enregistré en 2013 un bénéfice net de 627 millions d’euros, en hausse de 31%. Pourtant, l’entreprise a fait face dans le même temps au recul des volumes du courrier, en chute de 30%, et à la baisse de fréquentation de ses bureaux de Poste. 
 Cette bonne santé financière est en fait due à un gros coup de pouce du gouvernement. Grâce au Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE), La Poste a bénéficié l’an dernier d’une ristourne fiscale de 300 millions. Le patron de La Poste assume cette aide gouvernementale. « C’est un effet majeur mais logique puisque La Poste est le premier employeur de notre pays. Il est donc logique que l’entreprise qui emploie le plus grand nombre de personnes en France, soit le premier bénéficiaire du CICE », indique Philippe Wahl. Fort de ce soutien non négligeable, le gouvernement pouvait légitimement attendre un retour en terme de compétitivité et d’emploi. Dans les faits, en donnant une plus grande marge de manœuvre à l’entreprise, le CICE a permis à La Poste d’investir, d’augmenter certains salaires et d’embaucher. « On continue à investir. On aura investi cette année près d’1 milliard d’euros, c’est considérable », explique Philippe Wahl.  « Il y a eu des hausses de salaires dans le cadre des négociations salariales 2013. Et des créations d’emplois. Nous avons l’année dernière embauché plus de 5.000 personnes comme nous nous y étions engagés. Ça nous permet d’entreprendre le travail de transformation du modèle de La Poste avec une plus grande sérénité. La contribution du CICE est donc positive », estime le patron de La Poste.  L’entreprise fait désormais face à un nouveau défi : compenser la baisse du chiffre d’affaires de la branche courrier, qui a enregistré en 2013 une baisse limitée (-3,5%) de son chiffre d’affaires, à 11,1 milliards d’euros, par d’autres activités en se restructurant avec l’aide du CICE.

 

Immobilier loi Duflot « Du bruit pour pas grand chose » Alain Dinin (Nexity):

Immobilier loi Duflot « Du  bruit pour pas grand chose » Alain Dinin (Nexity):

Finalemenet c’est à peine si on trouve trace dans la presse du vote de la loi Duflot tellement elle a été amendée et réduite comme peau de chagrin ; « Beaucoup de bruit pour pas grand-chose ». Alain Dinin, le président directeur général de Nexity et invité de BFM Business ce mercredi 19 février, a ainsi jugé le projet de loi Alur (Accès au logement et à un urbanisme rénové). Ce texte de Cécile Duflot passe ce mercredi à l’Assemblée et demain au Sénat pour un vote définitif. Pour Alain Dinin, si le marché est bloqué, c’est à cause des prix. Il suffirait de faire baisser le nombre de normes : « il y en a 3.700 aujourd’hui ». Ou alors que les collectivités arrêtent de spéculer sur les prix des logements.  » En Ile-de-France, 55% du prix du logement dépend de la collectivité dont 20% de la TVA et 35% de prix du terrain ». Selon lui, l’état du marché en 2014 devrait être le même qu’en 2013. « L’offre et la demande sont déséquilibrés. Nous ne produisons pas assez de logements. Le président en veut 500.000 par an, nous en sommes à moins de 300.000″. Et il précise qu’entre l’instabilité fiscale et les incertitudes engendrées par ce projet de loi Duflot, « pas assez de permis de construire ont été déposés ». Donc la construction de logements neufs cette année devrait encore être insuffisante. D’ailleurs, le PDG de Nexity rappelle un chiffre alarmant : la production de logements résidentiels est au même niveau qu’en 1992, pourtant il y a 10 millions de personnes en plus en France.  Si le projet de loi Alur ne relance pas la construction, plusieurs dispositifs sont quand même attendus. La garantie universelle des loyers (GUL) constitue l’une des mesures phares. Elle a été toutefois profondément revue et corrigée après la levée de boucliers des professionnels de l’immobilier et des assureurs. Créée à compter de début 2016 pour rassurer les propriétaires mais aussi tenter de limiter les expulsions en traitant plus tôt les impayés, elle sera toujours publique et gratuite mais elle ne sera plus obligatoire, puisque le bailleur pourra lui préférer une caution personnelle. Autre disposition clef, l’encadrement des loyers dans les zones tendues, où la demande excède largement l’offre de logements, n’a été que légèrement retouché depuis le début de l’examen parlementaire. Dans les grandes villes comme Paris, le ministère espère lancer l’encadrement des loyers dès la rentrée 2014.

 

Les gouvernements français et allemand réunis : pour quoi faire ?

Les gouvernements français et allemand réunis : pour quoi faire ?

 

On peut se demander sur quoi va déboucher cette réunion des gouvernements français et allemand au grand complet. Sûrement pas sur grand-chose car Hollande et Merkel sont à peu en désaccord sur tout. Sur la politique économique et fiscale bien sûr, sur le rôle de l’Europe et en particulier sur celui de la BCE. On peut s’attendre à des propos très généraux sur l’énergie, la fiscalité et à quelques promesse en matière de défense. Une centaine de  soldats allemand en Afrique sans doute pour aider la France très isolée, ni soutenue vraiment par l’Allemagne, l’Europe ou même les Etats –Unis. Bref plutôt une rencontre pour faire semblant d’entre unis alors que tout nous sépare. De la Com. comme l’aime Hollande.  Dès son arrivée, Mme Merkel se rendra à l’Elysée pour un entretien d’une heure avec le président François Hollande, tandis que les ministres se retrouveront pour une série de rencontres bilatérales. La situation en Ukraine, où les affrontements entre le pouvoir et l’opposition pro-européenne ont fait au moins 16 morts depuis mardi, devrait s’imposer dans les discussions entre les chefs des diplomaties allemande et française. Le social-démocrate Frank-Walter Steinmeier et le socialiste Laurent Fabius ont déjà condamné mardi chacun de leur côté l’escalade de la violence.  Défense, énergie ou fiscalité: quelques décisions devraient sortir de ce conseil des ministres hors normes mais selon une progression à pas comptés.  Présentée à Paris comme un « symbole fort », la décision la plus concrète devrait être l’officialisation du déploiement en juin au Mali d’un contingent de quelque 250 soldats de la brigade franco-allemande. « Davantage de convergences sont possibles », notamment dans la coopération militaire au Mali et en Centrafrique, a souligné samedi la chancelière allemande.  Il y a un mois, M. Steinmeier avait toutefois prévenu que son pays n’enverrait pas de troupes de combat en Afrique. Sous commandement français, le contingent franco-allemand devrait donc se cantonner à des missions de formation des forces maliennes dans le cadre de la mission européenne (EUTM).  Il s’agira du premier engagement sous la bannière européenne de cette unité souvent considérée comme sous-employée par les experts militaires.  Seconde dominante du conseil: l’énergie. En janvier, François Hollande avait évoqué l’idée d’ »une grande entreprise franco-allemande pour la transition énergétique », un « Airbus de l’énergie ». Mais Paris ne parle plus désormais que d’une simple « plateforme » de partenariats industriels et technologiques autour des réseaux, des énergies renouvelables ou du stockage de l’électricité.   »Evidemment, la transition énergétique ce n’est pas l’aéronautique et 2014 n’est pas la fin des années 60″, reconnaît-on à l’Elysée. Le rôle de l’Etat se bornera donc à « identifier des axes stratégiques de coopération » entre industriels, instituts de recherche et institutions financières.  Au chapitre fiscal, les progrès devraient être ténus. L’Elysée avance un « programme de convergence » avec un « travail immédiat sur la structure de taxation des entreprises » et les investissements croisés, ainsi qu’une « impulsion » qui serait donnée aux laborieuses discussions à Bruxelles sur une directive fixant une assiette commune de l’impôt sur les sociétés.  La France, a par ailleurs souligné mardi le ministre des Finances Pierre Moscovici, attend de ce conseil une « position commune » sur la taxe sur les transactions financières afin de parvenir à une proposition solide avant les élections européennes de mai. Mais l’Elysée relève que des « travaux techniques » sont encore nécessaires.  Dans le secret de sa rencontre avec Angela Merkel, François Hollande pourrait aussi évoquer le débat sur la relance de la consommation intérieure d’une Allemagne forte d’un excédent record de sa balance commerciale de près de 200 milliards d’euros l’an dernier. Le président français ferait valoir de son côté les efforts qu’il déploie en faveur d’une économie de l’offre.  D’une manière générale, Paris compte « s’appuyer » sur la présence des sociaux-démocrates au gouvernement à Berlin qui a déjà permis d’annoncer la création d’un salaire minimum en Allemagne, répondant aux griefs sur le dumping social allemand.

 

OGM : le sénat vote pour

OGM : le sénat vote pour

 Ce lundi, les producteurs favorables à certains maïs transgéniques ont reçu un sérieux coup de main du Sénat. Il a rejeté un texte socialiste prévoyant la culture du maïs transgénique en France. La proposition n’ira pas à l’Assemblé nationale. Contre la proposition de loi du socialiste de l’Aveyron, Alain Fauconnier, l’UMP avait déposé une motion d’irrecevabilité. Cette motion est passée avec les voix de 171 sénateurs de droite, mais aussi du RDSE, à majorité radicaux de gauche tandis que 169 sénateurs ont voté contre.  Comme il s’agit d’une proposition de loi issue du Sénat, le texte ne sera pas transmis aux députés. Si le gouvernement veut qu’un texte de la même teneur soit étudié à l’Assemblée nationale, où il aurait de fortes chances de passer, il faudrait qu’il demande à un député de déposer une proposition similaire.  La proposition de loi rejetée avait notamment pour but de sécuriser juridiquement l’interdiction du maïs MON 810. Il existait un arrêté d’interdiction datant de 2011, mais le Conseil d’Etat l’a annulé en 2013. Cet OGM est produit par l’américain Monsanto et son renouvellement d’autorisation est en cours d’examen par l’Union européenne. Un feu vert européen n’empêche pas cependant à un Etat membre de prévoir une interdiction par le biais d’un moratoire. Des semis de maïs sont prévus en mars et des producteurs affichent leur intention de planter du MON 810. C’est le cas notamment de Claude Ménara, producteur de maïs du Lot et Garonne près de Marmande. Il se dit sûr de son bon droit et convaincu que « ce maïs transgénique n’est pas plus dangereux que la version conventionnelle. » Les partisans de maïs OGM ne désarment donc pas, alors que le gouvernement se trouve lui pris par le temps pour interdire le seul cultivé dans l’Union européenne, le MON 810 de Monsanto. Les premiers semis sont prévus vers le 15 mars. 

 

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