Archive pour le Tag 'Pompiers'

Ecole maternelle : un incendie volontaire avec attaques des pompiers

Ecole maternelle : un incendie volontaire avec attaques des pompiers

 

 

La situation en matière de sécurité apparaît de plus en plus surréaliste en France ou des provocations et des attaques se produisent et se reproduisent à intervalles réguliers contre les symboles de la république. Cette fois il s’agit d’une attaque une école maternelle à Lille avec en plus des pompiers visés par des tirs de mortiers.

 

Une véritable folie qui démontre l’État de déliquescence de la sécurité du pays. S’attaquer à une école constitue déjà un acte aussi idiot qu’inadmissible mais s’attaquer à une école maternelle est évidemment encore pire. À quand une attaque dans une crèche ou dans un hôpital ? Car c’est la prochaine étape incontournable de bande de sauvageons qui à travers ces actes veulent se venger des forces de police qui perturbent  le trafic de drogue local.

 

la  maire de Lille, Martine Aubry a dénoncé ces actes affirmant par ailleurs qu’il s’agissait d’un incendie volontaire. «Incendie volontaire ce soir dans une école à Lille. Je condamne fermement cet acte qui s’en prend à un lieu si essentiel pour les enfants, lieu d’éducation et d’émancipation, symbole vivant de la République». D’après les informations du site d’informations Actu.fr, les élèves ne pourront pas être accueillis dans l’établissement pour la rentrée en raison des dégâts, mais seront reçus dans d’autres écoles.

La métropole de Lille est en proie depuis plusieurs jours à des nuits agitées avec des tirs de deux d’artifice et des affrontements avec les forces de l’ordre, notamment à Tourcoing. Une vingtaine de personnes ont été interpellées. Les pompiers ont d’ailleurs indiqué vouloir porter plainte.

Veolia joue dangereusement les pompiers pyromanes du secteur

Veolia joue dangereusement  les pompiers pyromanes du secteur

Le patron de Veolia réitère sa volonté de prendre le contrôle de Suez en lançant une OPA sur son concurrent. Pour faire semblant de satisfaire le gouvernement qui incite à la concertation entre les deux groupes, le patron de Veolia propose tout simplement d’absorber Suez. Pire il justifie sa stratégie en considérant que Suez fait obstacle à cette OPA. Ce que demande en fait le patron de Veolia c’est le suicide de Suez, une curieuse manière de coopérer.

Le problème c’est que Veolia ne cesse de jeter de lui sur le feu dans ce secteur, de créer le doute chez les clients des deux opérateurs de services publics. Pour  l’eau comme d’ailleurs pour d’autres services,  on ne sait pas exactement ce que pourrait être le champ d’activité de Veolia comme de Suez. Certaines collectivités françaises mais aussi étrangères pourraient alors être tentées de recourir à d’autres opérateurs. On voit mal par exemple des collectivités locales se sentir très rassurées par le transfert de l’activité de l’eau par exemple à un fonds d’investissement qui n’a aucune compétence technique et dont l’objet est surtout de tirer rapidement des profits de ses investissements alors que l’engagement et la gestion de ce secteur doit s’inscrire sur le long terme.

D’une certaine manière Veolia joue donc les pompiers pyromanes et l’incendie provoquée chez Suez pourrait bien contaminer Veolia surtout à un moment ou des collectivités locales du fait de la crise sanitaire et économique devront tenir compte de la réduction de leurs ressources pour financer les services publics.

Les « péripéties » qui semblent s’opposer à son projet d’acquisition de Suez n’affectent donc en rien la détermination de Veolia. Le leader mondial du traitement de l’eau et des déchets veut au contraire accélérer son offensive sur son rival, en accroissant sa pression sur Suez sur plusieurs fronts, a annoncé son PDG Antoine Frérot mardi.

Pour faire plier Suez, dont le conseil d’administration et le conseil social et économique (CSE) s’opposent farouchement à la fusion, considérée comme « funeste », Veolia renforce sa pression sur les actionnaires de sa cible.

Le groupe s’engage désormais  »à déposer une offre publique d’acquisition au prix de 18 euros par action (coupon attaché) pour l’ensemble du capital de Suez dès que le conseil d’administration de Suez aura émis un avis favorable sur ce projet et aura désactivé le dispositif visant à organiser l’inaliénabilité de l’activité de l’eau en France », a-t-il déclaré  par communiqué.

 

Une telle décision du conseil d’administration est donc désormais « la seule chose qui s’oppose à une OPA », sécurisant l’offre comme son prix, a souligné maître Pierre-Yves Chabert, avocat de Veolia. Il a ajouté que cette décision devra être matérialisée par la conclusion d’un « accord de rapprochement » contenant des engagements précis, incluant la non cession d’actifs stratégiques.

 

Police : Les pompiers au même régime que les casseurs !

Police : Les pompiers au même régime que les casseurs !

 

On peut se demander si les ministères de l’intérieur et la préfecture de police de Paris ne sont pas tombés sur la tête en infligeant le même régime de répression aux pompiers que celui des casseurs en fin de manifestation. Comme d’habitude les policiers n’ont rien trouvé de mieux que d’aller au contact (une stratégie particulièrement dangereuse et irresponsable). Une situation assez incroyable quand on sait qu’après la police, les pompier sont le dernier maillon de la protection publique et qu’ils vont même là où la police ne va plus dans les quartiers sensibles. Là où ils se font insulté et même agressés.

 

Aspergés par les canons à eau. Visés par des gaz lacrymogènes, les pompiers ont été traités comme de vulgaires casseurs. Ce qui forcément a coqué l’opinion publique.  Du côté des pompiers comme de certains policiers, les réactions étaient encore vives mercredi.

« Cette intervention policière est honteuse et elle a été faite délibérément ! », déclare André Goretti, le président de la Fédération autonome des sapeurs-pompiers professionnels (FA/SPP, premier syndicats de pompiers professionnels). « Nous étions en fin de parcours et nous informions les manifestants des suites de la rencontre au ministère de l’Intérieur [qui s'était déroulée le jour même] lorsque nous avons reçu des gaz lacrymogènes alors qu’il ne se passait rien ! », s’exclame-t-il.

Pour lui, sans l’ombre d’un doute, « l’intention de provocation venait de la police ». Il en veut pour preuve la « ligne d’arrêt empêchant les pompiers d’accéder aux bus qui devaient les ramener dans leur département. Quand les pompiers demandaient à rejoindre leur bus, on leur interdisait l’accès et on les gazait [avec des gaz lacrymogènes]« , affirme le syndicaliste à franceinfo. 

« A la suite de cette intervention policière, il y a même un pompier qui risque de perdre un œil et qui a été opéré ce matin », poursuit-il. Sollicitée par franceinfo sur ce point, la préfecture de police n’avait pas encore répondu mercredi soir. André Goretti pense que les actions policières laisseront des traces : « Ça risque de refroidir les relations entre pompiers et policiers dans les départements pendant les interventions. »

 

Guet-apens contre des pompiers à Beauvais : Valls condamne mollement !

Guet-apens contre des pompiers à Beauvais : Valls condamne mollement !

Une nouvelle fois les pompiers sont tombés dans une véritable embuscade dans la mesure où ils ont été appelés pour un sinistre finalement modeste sans doute uniquement destiné à les attirer. Ce n’est évidemment pas la première fois que de tels actes de violence se produisent à l’égard des pompiers comme d’ailleurs des forces de police ou des médecins. Le premier ministre a seulement jugé intolérable ces actions sans pour cela envisager une réglementation notoirement plus sévère à l’égard de ce  qu’on peut bien considérer comme des tentatives criminelles. Des incidents qui caractérisent bien la situation de non-droit de certains quartiers et de la démission des autorités vis-à-vis des voyous. C’est aussi la banalisation de tels actes insuffisamment sanctionnés qui donnent une légitimité aux différentes formes de violence y compris les plus criminelles ;  bien entendue on objectera qu’on ne peut légiférer à partir d’un acte isolé malheureusement les agressions contre les pompiers comme d’ailleurs vis-à-vis des , es forces représentant l’État ne sont pas nouvelles et n’ont pas appelé des mesures à la hauteur de l’enjeu. Une véritable embuscade. Lors d’une intervention dans un quartier de Beauvais, plusieurs pompiers ont été pris pour cible par des individus. Ils ont été obligés de quitter les lieux avant de revenir avec la police. Sur la page Facebook des pompiers de l’Oise, Eric de Valroger, Président du SDIS, s’insurge de la mésaventure arrivée, mercredi soir, aux soldats du feu de la caserne de Tillé. Vers 21h30, ils ont reçu un appel signalant une « fumée suspecte », rue des Pervenches, à Beauvais. Sur place, les pompiers ont constaté qu’il s’agissait d’un feu de scooter. Mais avant même d’avoir pu intervenir, ils ont été pris à partie par un « groupe d’une dizaine d’individus » selon le président du SDIS. Les insultes ont fusé et divers projectiles ont été lancés en leur direction. Un parpaing a même terminé sa course sur leur véhicule, endommageant celui-ci légèrement. Les hommes ont dû se replier pour mieux revenir un peu plus tard en compagnie de la police et, enfin, pouvoir éteindre le feu. Toujours selon le SDIS, les policiers sont parvenus à interpeller d’un des auteurs présumés des jets de projectiles. Eric de Valroger a déclaré : « Le SDIS de l’Oise déposera systématiquement plainte à l’encontre des auteurs d’agressions. Il est intolérable de s’en prendre à celles et ceux qui, de jour comme de nuit, ont pour mission de secourir les personnes et les biens ». Alliant le geste à la parole, les pompiers de Tillé sont allés déposer plainte au commissariat de Beauvais. « Soutien à nos forces de sécurité, policiers et gendarmes, qui nous protègent », a réagi dans un tweet le Premier ministre, Manuel Valls, pour qui « les attaques à leur encontre sont insupportables »

(Avec 20 Minutes)

Pompiers: le principe de gratuité remise en cause ?

Pompiers: le principe de gratuité remise en cause ?

 

Encore un vrai faux débat à la française avec d’un côté les radicaux partisans de la gratuité totale, de l’autre  ceux qui souhaitent que soit facturées certaines prestations excessives. Un débat ouvert par La décision prise dans le Calvados de facturer aux usagers certaines interventions des sapeurs-pompiers . « Cela bafoue » le principe de gratuité des secours, a affirmé lundi à l’AFP le président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France. On oublie cependant de s’interroger pour savoir pourquoi les interventions des sapeurs-pompiers sont aussi importantes et nombreuses. La vérité c’est que les pompiers sont le plus souvent et de loin les premiers sur les lieux des sinistres ou des accidents. Les services de police, le SAMU et autre services d’intervention n’arrivent  en général que bien après les pompiers. Du coup les pompiers interviennent y compris sur des événements qui ne relèvent pas prioritairement de leur champ de responsabilité. On ne saurait sans doute reprocher aux pompiers leur efficacité et la rapidité mais on peut cependant s’interroger sur l’efficience d’autres services. Par exemple des les accidents automobiles mineurs qui ne mettent en cause que des dégâts aux carrosseries avec éventuellement des blessures légères qui ne nécessitent que l’intervention légère d’un médecin. Problème cependant la couverture sanitaire de la part de ces médecins devient de plus en plus lâche voir inexistante en particulier dans les zones rurales. Problème aussi,  les services de police ont trop pris l’habitude de n’intervenir que 15 ou 20 minutes après les pompiers. Quant au SAMU il est le plus souvent débordé. Une situation qui a conduit le conseil d’administration du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) du Calvados d’assortir d’une contribution forfaitaire certaines interventions du SDIS. A compter du 1er avril, il en coûtera ainsi 463 euros pour un déblocage d’ascenseur ou pour une « levée de doute alarme incendie », 410 euros pour un « appel abusif avec engagement », 241 euros pour une personne en état d’ébriété ou pour un « relevage à domicile sans transport », à la suite d’un malaise par exemple. L’exemple donné par le colonel Faure ne parvient pas vraiment à convaincre : pour  personne ivre sur la voie publique: si on appelle les pompiers, a souligné le colonel Faure, ce n’est pas parce qu’elle fait du bruit, mais parce que c’est une personne qui souffre ».  »

(Avec AFP)




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