Archive pour le Tag 'politique'

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Société- »Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

Société- »Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

 

La recette n’est pas nouvelle sous l’empire romain déjà on considérait  que le bonheur des peuples était conditionné par la satisfaction de jouir suffisamment de pain et des jeux ( panem et circenses). En France, les JO ont été l’occasion pour une société qui  doute sérieusement d’elle-même et qui craint son déclassement de découvrir à nouveau la joie des jeux. Une ambiance qui tranche avec la tristesse voire le tragique de la situation économique et politique.

Au plan économique en  effet,  la France se dirige lentement mais sûrement vers une faillite financière qui rappelle celle de la Grèce et au plan politique le pays pourrait connaître une crise institutionnelle du fait de la paralysie de toutes les institutions,  présidence de la république y compris.

Le pays souffre d’immobilisme car noyauté par une élite incompétente et condescendante dont Macron représente sans doute l’exemple le plus caractéristique. La France a livré le pays aux énarques et autres diplômés d’instituts politiques . Ni technocrates véritablement, ni techniciens ni même très cultivés, les énarques ont mis la main sur les postes clés de l’économie et de la politique. La plupart mettraient en faillite en moins de six mois la moindre épicerie si on leur en confiait la gestion. Du coup,  les Français attendent désespérément le pain dont une grande partie est désormais financée par la dette. Faute de pain suffisant et mieux réparti, l’opinion se gave pour un temps de l’heureuse parenthèse des jeux.

Economie, politique, société: les plus lus 11 août 2024

Economie, politique, société: les plus lus 11 août   2024

 

Provence-Alpes-Côte d’Azur : le changement climatique et la question de l’eau
Automobile :La voiture électrique s’écroule en Allemagne
Les voitures gaspillent de la moitié du carburant
JO Athlétisme : le grand vide de la France
Projections économiques : yo-yo sur une tendance baissière
Bangladesh : Muhammad Yunus premier ministre intérimaire
Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !
JO–Handball féminin : la France en finale
J.O.–basket masculin : la France en finale
« Boxe »: match Harris – Trump le 10 septembre à la télévision

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Société- »Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

Société- »Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

 

La recette n’est pas nouvelle sous l’empire romain déjà on considérait  que le bonheur des peuples était conditionné par la satisfaction de jouir suffisamment de pain et des jeux ( panem et circenses). En France, les JO ont été l’occasion pour une société qui  doute sérieusement d’elle-même et qui craint son déclassement de découvrir à nouveau la joie des jeux. Une ambiance qui tranche avec la tristesse voire le tragique de la situation économique et politique.

Au plan économique en  effet,  la France se dirige lentement mais sûrement vers une faillite financière qui rappelle celle de la Grèce et au plan politique le pays pourrait connaître une crise institutionnelle du fait de la paralysie de toutes les institutions,  présidence de la république y compris.

Le pays souffre d’immobilisme car noyauté par une élite incompétente et condescendante dont Macron représente sans doute l’exemple le plus caractéristique. La France a livré le pays aux énarques et autres diplômés d’instituts politiques . Ni technocrates véritablement, ni techniciens ni même très cultivés, les énarques ont mis la main sur les postes clés de l’économie et de la politique. La plupart mettraient en faillite en moins de six mois la moindre épicerie si on leur en confiait la gestion. Du coup,  les Français attendent désespérément le pain dont une grande partie est désormais financée par la dette. Faute de pain suffisant et mieux réparti, l’opinion se gave pour un temps de l’heureuse parenthèse des jeux.

Economie, politique, société: les plus lus 10 août 2024

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Provence-Alpes-Côte d’Azur : le changement climatique et la question de l’eau
Automobile :La voiture électrique s’écroule en Allemagne
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Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !
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« Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

« Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

La recette n’est pas nouvelle sous l’empire romain déjà on considérait  que le bonheur des peuples était conditionné par la satisfaction de jouir suffisamment de pain et des jeux ( panem et circenses). En France, les JO ont été l’occasion pour une société qui sérieusement d’elle-même et qui craint son déclassement de découvrir à nouveau la joie des jeux. Une ambiance qui tranche avec la tristesse voire le tragique de la situation économique et politique.

Au plan économique en  effet,  la France se dirige lentement mais sûrement vers une faillite financière qui rappelle celle de la Grèce et au plan politique le pays pourrait connaître une crise institutionnelle du fait de la paralysie de toutes les institutions président de la république y compris.

Le pays souffre d’immobilisme car noyauté par une élite incompétente et condescendante dont Macron représente sans doute l’exemple le plus caractéristique. La France a livré le pays aux énarques et autres diplômés d’instituts politiques . Ni technocrates véritablement, ni techniciens ni même très cultivés, les énarques ont mis la main sur les postes clés de l’économie et de la politique. La plupart mettraient en faillite en moins de six mois la moindre épicerie si on leur en confiait la gestion. Du coup les Français attendent désespérément le pain dont une grande partie est désormais financée par la dette. Faute de pain suffisant et mieux réparti, l’opinion se gave pour un temps de l’heureuse parenthèse des jeux.

FED-Trump veut diriger la politique monétaire !

FED-Trump veut diriger la politique monétaire !

Donald Trump, candidat du Parti républicain pour l’élection présidentielle veut remettre en cause l’indépendance de la banque centrale américaine et veut influencer la politique monétaire. De quoi s’interroger sérieusement tellement Trump à mené une politique financière de gribouille pour sa propre fortune. Il a d’ailleurs été mis en cause par la justice pour avoir volontairement triché et surestimé la valeur de actifs de son empire.

Et c’est justement sur son expérience douteuse que Trump s’appuie:

«Je pense que le président devrait avoir son mot à dire là-dessus, c’est mon avis profond. Je pense que dans mon cas, moi qui ai fait beaucoup d’argent, j’ai eu beaucoup de réussite, je pense que j’ai un meilleur instinct que, le plus souvent, les gens qui sont à la Fed ou son président», a déclaré Donald Trump lors d’une conférence de presse à Palm Beach (Floride).

Les décisions de politique monétaire doivent être prises «le plus souvent à l’intuition», a jugé Donald Trump. La Fed a répété à de multiples reprises qu’elle basait ses décisions sur les données macroéconomiques disponibles.

Donald Trump critique régulièrement Jerome Powell, qu’il avait pourtant choisi pour diriger la Fed lorsqu’il était à la Maison-Blanche. En février dernier, il lui avait ainsi reproché de vouloir baisser les taux en 2024 pour aider les démocrates à gagner l’élection présidentielle. Il avait par ailleurs assuré qu’il ne le nommerait pas de nouveau à la tête de la Fed s’il était élu. Avant cela déjà, lorsqu’il était président, le milliardaire républicain ciblait régulièrement la Fed et Jerome Powell, qui ne baissaient pas suffisamment les taux à son goût.

 

En effet celui  qui souhaite reconquérir la Maison Blanche en novembre prochain manque de fonds pour payer l’exceptionnelle amende de 454 millions de dollars (418,5 millions d’euros) écopée pour avoir, justement, surestimé la valeur de sa fortune, afin d’être bien vu des banques. S’il ne s’acquitte pas de la totalité de la somme d’ici lundi, des biens immobiliers pourront être saisis. L

« Sachant que sa fortune de 2,5 milliards est principalement constituée de biens immobiliers, si on enlève environ 500 millions pour faire tourner les entreprises et qu’on retire encore les deux amendes dont a écopé Trump, ça commence à être compliqué », souligne Nicole Bacharan, historienne et politologue, spécialiste de la politique et de la société américaine. C’est d’ailleurs l’argument avancé par ses avocats : cette amende « exorbitante et vexatoire » qu’ils contestent est faite pour le ruiner. L’importance de la somme pourrait en effet le contraindre à céder certains actifs, sans doute à prix cassés, une première entaille dans son empire immobilier.

 

Economie, politique, société: les plus lus 9 août   2024

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Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !

Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !

Donald Trump, candidat du Parti républicain pour l’élection présidentielle veut remettre en cause l’indépendance de la banque centrale américaine et veut influencer la politique monétaire. De quoi s’interroger sérieusement tellement Trump à mené une politique financière de gribouille pour sa propre fortune. Il a d’ailleurs été mis en cause par la justice pour avoir volontairement triché et surestimé la valeur de actifs de son empire.

Et c’est justement sur son expérience douteuse que Trump s’appuie:

«Je pense que le président devrait avoir son mot à dire là-dessus, c’est mon avis profond. Je pense que dans mon cas, moi qui ai fait beaucoup d’argent, j’ai eu beaucoup de réussite, je pense que j’ai un meilleur instinct que, le plus souvent, les gens qui sont à la Fed ou son président», a déclaré Donald Trump lors d’une conférence de presse à Palm Beach (Floride).

Les décisions de politique monétaire doivent être prises «le plus souvent à l’intuition», a jugé Donald Trump. La Fed a répété à de multiples reprises qu’elle basait ses décisions sur les données macroéconomiques disponibles.

Donald Trump critique régulièrement Jerome Powell, qu’il avait pourtant choisi pour diriger la Fed lorsqu’il était à la Maison-Blanche. En février dernier, il lui avait ainsi reproché de vouloir baisser les taux en 2024 pour aider les démocrates à gagner l’élection présidentielle. Il avait par ailleurs assuré qu’il ne le nommerait pas de nouveau à la tête de la Fed s’il était élu. Avant cela déjà, lorsqu’il était président, le milliardaire républicain ciblait régulièrement la Fed et Jerome Powell, qui ne baissaient pas suffisamment les taux à son goût.

 

En effet celui  qui souhaite reconquérir la Maison Blanche en novembre prochain manque de fonds pour payer l’exceptionnelle amende de 454 millions de dollars (418,5 millions d’euros) écopée pour avoir, justement, surestimé la valeur de sa fortune, afin d’être bien vu des banques. S’il ne s’acquitte pas de la totalité de la somme d’ici lundi, des biens immobiliers pourront être saisis. L

« Sachant que sa fortune de 2,5 milliards est principalement constituée de biens immobiliers, si on enlève environ 500 millions pour faire tourner les entreprises et qu’on retire encore les deux amendes dont a écopé Trump, ça commence à être compliqué », souligne Nicole Bacharan, historienne et politologue, spécialiste de la politique et de la société américaine. C’est d’ailleurs l’argument avancé par ses avocats : cette amende « exorbitante et vexatoire » qu’ils contestent est faite pour le ruiner. L’importance de la somme pourrait en effet le contraindre à céder certains actifs, sans doute à prix cassés, une première entaille dans son empire immobilier.

 

 

Economie, politique, société: les plus lus 8 août 2024

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Economie, politique, société: les plus lus 6 août 2024

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« Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

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La recette n’est pas nouvelle sous l’empire romain déjà on considérait  que le bonheur des peuples était conditionné par la satisfaction de jouir suffisamment de pain et des jeux ( panem et circenses). En France, les JO ont été l’occasion pour une société qui sérieusement d’elle-même et qui craint son déclassement de découvrir à nouveau la joie des jeux. Une ambiance qui tranche avec la tristesse voire le tragique de la situation économique et politique.

Au plan économique en  effet,  la France se dirige lentement mais sûrement vers une faillite financière qui rappelle celle de la Grèce et au plan politique le pays pourrait connaître une crise institutionnelle du fait de la paralysie de toutes les institutions président de la république y compris.

Le pays souffre d’immobilisme car noyauté par une élite incompétente et condescendante dont Macron représente sans doute l’exemple le plus caractéristique. La France a livré le pays aux énarques et autres diplômés d’instituts politiques . Ni technocrates véritablement, ni techniciens ni même très cultivés, les énarques ont mis la main sur les postes clés de l’économie et de la politique. La plupart mettraient en faillite en moins de six mois la moindre épicerie si on leur en confiait la gestion. Du coup les Français attendent désespérément le pain dont une grande partie est désormais financée par la dette. Faute de pain suffisant et mieux réparti, l’opinion se gave pour un temps de l’heureuse parenthèse des jeux.

Economie, politique, société: les plus lus 6 août 2024

Economie, politique, société: les plus lus 6 août   2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Politique: après la dissolution, la procrastination ?

Politique: après  la dissolution, la procrastination ? 

 

Dans une tribune au « Monde », le sénateur Les Républicains  Philippe Bas juge qu’Emmanuel Macron doit nommer sans tarder une personnalité indépendante et expérimentée à Matignon. La France réclame un premier ministre qui ne soit plus le subordonné du président, mais le chef d’un gouvernement autonome sachant écouter le Parlement.

 

Un poison toxique parasite notre démocratie depuis les législatives, celui d’une triple mystification. Il est temps d’administrer l’antidote de vérité.Première mystification : le président de la République doit attendre que les partis politiques s’entendent pour nommer le premier ministre. C’est la théorie d’Emmanuel Macron. Elle est contraire à l’esprit de la Constitution. Dans la Constitution, le chef de l’Etat nomme un premier ministre (article 8) ; l’Assemblée nationale lui accorde sa confiance ou le censure (articles 49 et suivants). Autrement dit : le président propose ; l’Assemblée dispose. Rien ne saurait dispenser le chef de l’Etat de remplir cette mission ; rien ne l’autorise à la renvoyer à d’autres. Cela revêt une grande importance dans la confusion actuelle.

Chacun sait qu’il n’y a plus de majorité à l’Assemblée pour soutenir un gouvernement. La seule chose que l’on puisse espérer, c’est qu’il n’y en ait pas non plus pour le renverser, du moins dans un premier temps. Alors, à quoi bon attendre ? Les échéances constitutionnelles pour le budget de la France approchent à grands pas. Retarder la formation d’un gouvernement n’augmente pas les chances de trouver une majorité. Le président ne doit pas ajouter la procrastination à la dissolution.

La situation est certes inédite sous la Ve République. Mais elle était courante avant, sous les IIIe et IVe Républiques. Le rôle du président fut toujours de faire émerger une combinaison gouvernementale pour qu’un budget et des réformes soient votés. Ce rôle n’a pas disparu. Il a été accru par notre Constitution. Elle a doté le président (et le gouvernement) de puissants moyens d’action pour faire face aux divisions des Français.

Du pain et des jeux : la martingale politique pour la France !

Du pain et des jeux : la martingale politique pour la France !

La recette n’est pas nouvelle sous l’empire romain déjà on considérait que le bonheur des peuples était conditionné par la satisfaction de jouir suffisamment de pain et des jeux ( panem et circenses). En France, les JO ont été l’occasion pour une société qui sérieusement d’elle-même et qui craint son déclassement de découvrir à nouveau la joie des jeux. Une ambiance qui tranche avec la tristesse voire le tragique de la situation économique et politique.

Au plan économique en  effet,  la France se dirige lentement mais sûrement vers une faillite financière qui rappelle celle de la Grèce et au plan politique le pays pourrait connaître une crise institutionnelle du fait de la paralysie de toutes les institutions président de la république y compris.

Le pays souffre d’immobilisme car noyauté par une élite incompétente et condescendante dont Macron représente sans doute l’exemple le plus caractéristique. La France a livré le pays aux énarques et autres diplômés d’instituts politiques . Ni technocrates véritablement, ni techniciens ni même très cultivés, les énarques ont mis la main sur les postes clés de l’économie et de la politique. La plupart mettraient en faillite en moins de six mois la moindre épicerie si on leur en confiait la gestion. Du coup les Français attendent désespérément le pain dont une grande partie est désormais financée par la dette. Faute de pain suffisant et mieux réparti, l’opinion se gave pour un temps de l’heureuse parenthèse des jeux.

Economie, politique, société: les plus lus 5 août 2024

Economie, politique, société: les plus lus 5 août   2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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