Archive pour le Tag 'poisson ?'

Justice : une réforme de Dupont Moretti qui noie le poisson

Justice : une réforme  de Dupont Moretti qui noie  le poisson

 

 

Il est clair que le projet de loi concernant la justice présentée par Dupont Moretti constitue un écran de fumée pour ne pas réellement remettre en cause la politique actuelle. D’ailleurs le titre est assez évocateur de l’immobilisme choisi par le pouvoir : un projet de loi visant à restaurer la confiance dans la justice. Un titre long comme un jour sans pain d’autant plus long qu’il ne change pas grand-chose pour une justice paralysée par son immobilisme et sa bureaucratie.

Éric Dupond-Moretti se met tout de suite en contradiction avec le titre de sa loi quand il considère que le point central de la réforme et la vie carcérale et la réinsertion des détenus.

 Une illusion évidemment quand on connaît concrètement le suivi de cette réinsertion complètement virtuelle en tout cas très marginale (nota: l’auteur de ce papier est un ancien visiteur de prison ).· 

Eric Dupond-Moretti souhaite avec son projet de loi, valoriser l’apprentissage et le travail en prison. Un projet louable mais bien loin des réalités content tenu des moyens dont dispose l’administration pénitentiaire. En moyenne les détenus qui travaillent ne dépassent pas 20 à 30 % de la population considérée est encore en compte dans ce chiffre tous les détenus employés au service interne de la prison.

« Cela permet de nous assurer d’un taux de récidive beaucoup plus bas. Leur offrir une formation diplomante, c’est la meilleure garantie ».

Ce nouveau statut qu’il veut mettre en place est « porteur du droit au chômage, du droit à la retraite. Je ne veux pas que la prison soit un endroit de marginalisation, les détenus ne doivent pas perdre les codes de la société civile ». Son objectif est que « d’ici deux ans, 50% des détenus travaillent ».

 

Le Drian, dit le poisson rouge veut intervenir-un peu tardivement-entre les Etats Unis et l’Iran

Le Drian, dit le poisson rouge  veut intervenir-un peu tardivement-entre les Etats Unis et l’Iran

 

 

 Jean Yves le Drian, dit le poisson rouge pour sa capacité à évoluer entre tous les courants politiques, a déclaré vouloir s’immiscer dans le conflit entre Washington et Téhéran en marge des discussions de l’assemblée générale de l’ONU. Une intention louable mais un peu tardive et illusoire car l’Europe s’est montrée incapable de peser dans le conflit irano- Américains alors qu’elle était partie prenante de l’accord sur le nucléaire de l’Iran. La vérité, c’est que l’Europe- et la France en particulier- s’est couchée devant les États-Unis et a fait le dos rond devant l’Iran. Comme d’habitude Macron a délivré quelques propos grandiloquents pendant quelque temps avant de se réfugier dans la résignation et le silence. On voit mal comment Jean-Yves le Drian pourrait maintenant s’interposer dans un conflit qui a été négligé et qui maintenant dépasse l’Europe et la France L’enjeu des discussions sur l’Iran en marge de l’Assemblée générale des Nations unies est de savoir s’il est possible de relancer un processus de désescalade dans le Golfe, a pourtant déclaré naïvement dimanche le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian.

Une éventuelle rencontre entre les présidents américain Donald Trump et iranien Hassan Rohani «n’est pas le sujet numéro un», a-t-il dit. «Le sujet numéro un, c’est est-ce qu’on peut reprendre un itinéraire de désescalade avec les différents acteurs ?» «C’est le message qui va être transmis aux intéressés que le président de la République (Emmanuel Macron) et moi-même auront l’occasion de rencontrer dans les jours qui viennent», a poursuivi le chef de la diplomatie française.

Huit jours après les attaques contre des installations majeures de la compagnie pétrolière saoudienne Aramco, le chef de la diplomatie français a redit que la revendication des rebelles Houthis du Yémen manquait de crédibilité. Ryad affirme que l’Iran est derrière les frappes contre les sites d’Abkaïk et de Khouraïs. Ces attaques, a ajouté Jean-Yves Le Drian lors d’un point de presse au siège new-yorkais des Nations unies, marquent un tournant dans la crise que traverse le Golfe depuis plusieurs mois. Appelant l’Iran à revenir pleinement à ses engagements pris dans le cadre de l’accord de juillet 2015 sur son programme nucléaire, il a également prôné l’ouverture de négociations plus larges intégrant notamment la question des programmes iraniens de missiles. Un n’argument concernant les missiles évoqués par Macon qui n’a guère été entendue ni par Téhéran ni par Washington.

 

Demande d’asile de Snowden : Le poisson rouge, Jean-Yves le Drian, toujours contre

Demande d’asile de Snowden :  Le poisson rouge, Jean-Yves le Drian,  toujours contre

 

 

Jean Yves le Drian, dit le poisson rouge pour sa capacité à naviguer entre les courants ( précédemment ceux  du parti socialiste maintenant ceux de la république en marche) se prononce contre la demande d’asile de Snowden qui a révélé le système de surveillance massive des États-Unis dans le monde entier. Depuis qu’il a rejoint les macronistes , Jean-Yves le Drian n’a pas perdu ses capacités de natation, il nage même de mieux en mieux dans ses contradictions avec ses fausses colères et ses compassions de composition. Du cou,p la politique  diplomatique du pays a perdu beaucoup d’audience. Macron qui voulait devenir le leader du monde, puis le leader de l’Europe a nettement régressé au palmarès des chefs d’État. En cause ,son arrogance aussi les contradictions de sa politique diplomatique.-Notammenet ncore ce manque de courage vis-à-vis du lanceur d’alerte américain Edward Snowden, qui a informé le monde entier des systèmes de surveillance mise en place par les États-Unis visant à peu près tous les grands chefs d’État et leurs gouvernements.

Edward Snowden avait demandé l’asile à la France, mais aussi à d’autres pays, en 2013, après avoir dénoncé le système de surveillance massive des services secrets américains, a rappelé le chef de la diplomatie française sur l’antenne de CNews. »La France avait estimé à ce moment-là que ce n’était pas opportun. Je ne vois pas aujourd’hui ce qui a changé », a-t-il ajouté. En tout cas le poisson rouge lui n’a pas changé même si sa couleur est passée progressivement au rose tendre.

L’ancien employé de l’Agence américaine de la sécurité nationale (NSA), réfugié en Russie, avait déclaré lundi qu’il « aimerait beaucoup » qu’Emmanuel Macron lui accorde le droit d’asile.

Edward Snowden est inculpé aux États-Unis d’espionnage et de vol de documents appartenant à l’État. Son permis de séjour en Russie, qui a été prolongé en 2017, court jusqu’en 2020.

Seulement de 20 à 50 % de poisson dans le surimi !

Seulement de 20 à 50 % de poisson dans le surimi !

 

Dans un article du Figaro qui rend compte  d’une étude de 60 millions de consommateurs on met en garde contre la mauvaise qualité du poisson Dans le cadre de l’enquête «Tout est-il bon dans le poisson?», menée par l’association 60 millions de consommateurs, plus de 130 produits, frais et surgelés, à base de poisson ont été analysés pour en mesurer la qualité. Les résultats révèlent des pratiques douteuses qui ne datent certes pas d’hier mais dont le consommateur n’a pas toujours conscience. «Ce qui est navrant, c’est de voir que les études se suivent et se ressemblent […] ça ne bouge pas ou peu», témoigne au Figaro Thomas Laurenceau, rédacteur en chef de60 millions de consommateurs. Le thon en conserve, par exemple, peut contenir des métaux, tels que du mercure ou de l’arsenic, toxiques s’ils sont consommés en grande quantité. En examinant quinze boîtes de références différentes, l’association 60 millions de consommateurs a conclu que toutes, sans exception, étaient contaminées par les métaux dans des proportions très inégales. La conserve de thon Leader Price affiche ainsi la plus faible quantité de métaux, au contraire du thon Odysée (Intermarché) qui est le plus contaminé. Autre critère d’analyse, la quantité d’arêtes et de fragments d’organes. Neuf des quinze références de boîtes de thon ne contiennent aucune arête. Paradoxalement, le thon Saupiquet, le plus cher sur le marché, en contient le plus. Plus inquiétant, trois références présentent des fragments de cœur et des traces d’ovocytes. Pour les sushis en revanche, l’étude se veut plus rassurante. Les treize références analysées sont toutes saines, même si les sushis au thon sont plus frais que ceux au saumon. L’enquête se penche également sur une méthode «dénoncée depuis plusieurs années» et censée être interdite: le trempage, qui consiste à gorger un produit d’eau. Si les résultats des tests réalisés sont plutôt rassurants pour les filets de poissons frais et surgelés, les noix de Saint-Jacques surgelées sont pointées du doigt. Cinq produits sur douze sont gorgés d’eau. «Ça ne s’est pas amélioré, c’est triste de voir qu’on continue à payer de l’eau au prix de la noix de Saint-Jacques», regrette Thomas Laurenceau. Enfin, l’étude alarme sur les quantités de poisson réellement présentes dans les produits. Celles-ci varient du simple ou double, des 22% de poisson pour le surimi Winny de Cora aux 49% pour le surimi de Monoprix. Les terrines et rillettes enregistrent elles aussi d’importantes différences d’une marque à l’autre en termes de quantité réelle de poisson. Bonne nouvelle tout de même, les pratiques des fabricants ont été améliorées pour les poissons préférés des Français (saumon et cabillaud). Thomas Laurenceau affirme également que «certaines marques ont décidé d’écouter la demande des consommateurs en augmentant la transparence». Autre point de réjouissance: le prix. «La qualité n’est pas un luxe réservé à ceux qui ont de l’argent puisque Leader Price, Carrefour et Lidl sortent en tête du classement avec une qualité de poisson tout à fait correcte», salue le rédacteur en chef de 60 millions de consommateurs.Cette enquête relance le débat sur le manque de transparence dans l’alimentation. Selon Thomas Laurenceau, il faut continuer de «sanctionner ceux qui font des pièges, qui enjolivent la situation». Mais il propose aussi une alternative qui valoriserait les bons élèves: «je me demande si la prime au bien-disant n’est pas plus efficace que la sanction au moins-disant». En attendant, il encourage le consommateur à regarder la quantité réelle de poisson indiquée sur l’étiquette, à éviter les produits à base de poisson affichant une trop longue liste d’ingrédients (additifs) et à se méfier des produits «vraiment pas chers».

Économie : les voyants sont au vert (Rebsamen) ….poisson d’avril

Économie : les voyants sont au vert (Rebsamen) ….poisson d’avril

 

 

Pour Rebsamen les voyants sont au vert, c’est évidemment un poisson d’avril. Il déclare que la production industrielle repart, ce qui faux. De ma même manière les investissement restent dans le rouge et ce n’est pas le micro plan de Hollande qui va les relancer ( voir article). Cette affirmation du ministre du Travail est donc à prendre avec des pincettes. Elle rappelle étrangement une déclaration de François Hollande, en juillet 2013. « La reprise, elle est là, il y a une production industrielle qui repart, la consommation connaît une petite reprise », avait déclaré le chef de l’État, se montrant pour le moins optimiste. Et d’ajouter : « le second semestre sera meilleur que le premier. » Les lobbies économiques, le gouvernement, les grands médias se donnent pourtant du mal  pour lutter contre le « french bashing » et déclarer que la croissance est bien répartie. Bref quant l’incantation remplace l’analyse de la réalité. En fait  cette croissance pourrait être juste un  poil au dessus des prévisions à 1%. Une croissance de toute manière très insuffisante pour regarnir les carnets de commandes de tous les secteurs ( la croissance du PIB représente une moyenne de l’évolution de toutes les valeurs ajoutées, la vraie richesse produite, il y a donc des disparités). Pas suffisant non plus pour récréer des emplois et inverser la fameuse courbe du chômage. Même la docile INSEE s’y met et déclare ce matin sur France info ( oui, une radio fiancée à 90% par le contribuable et qui fonctionne 30 minutes par jour depuis 15 jours , le service public quoi !). ,l’ INSEE déclare donc que la croissance est repartie pour les consommateurs mais que « les entreprises sont en retard  trainent les en matière d’embauche et d’investissements ». D’abord on voit mal ce qui est réellement parti pour les ménages même s’il y a une très légère croissance de la dépense des ménages ensuite si les entreprises  n’embauchent  pas et ne font pas suffisamment d’ investissements c’est que l a croissance n’est pas réellement repartie de manière significative. D’ailleurs le chômage atteindra mi-2015 10,2%, un niveau inégalé depuis 1997 (Insee). Le taux de chômage devrait continuer à augmenter jusqu’à 10,2% mi-2015 en métropole, selon des prévisions de l’Insee présentées jeudi. Il retrouverait ainsi un niveau inégalé depuis près de 20 ans, fin 1997.   Pas de perspective d’amélioration pour l’emploi en France pour l’année 2015. Selon l’Insee, le taux de chômage devrait continuer à augmenter jusqu’à 10,2% mi-2015 en métropole. Il retrouverait ainsi un niveau inégalé depuis près de 20 ans, fin 1997. En incluant l’outre-mer, le chômage, qui touchait 10,4% de la population active à la fin de l’année dernière, culminerait cet été à 10,6%, prévoit l’Institut national de la statistique, qui mesure le chômage au sens du Bureau international du travail. Ces prévisions, conformes à celles publiées en décembre 2014, ne laissent pour l’heure pas entrevoir l’embellie attendue par le gouvernement pour 2015. Le ministre du Travail, François Rebsamen, « pense » en effet que l’année 2015 sera « meilleure que l’année 2014″ en matière de lutte contre le chômage, et qu’elle devrait « être le tournant ». Le ministre s’attend à « un début de régression » à « la fin de l’année ». En revanche, l’Insee table sur une croissance de 0,4% au premier trimestre de cette année et de 0,3% au deuxième trimestre, des chiffres de bon augure pour le gouvernement, qui espère une croissance annuelle supérieure à 1%. Pour autant, « tant que nous n’avons pas une croissance plus forte, autour de 1,5%, il est difficile de créer de l’emploi », a récemment admis le Premier ministre Manuel Valls. «  La vraie reprise est là » de Hollande, c’était donc bien un poisson d’avril !

« Hausse spectaculaire des marges des entreprises » (INSEE)….poisson d’avril !

« Hausse spectaculaire des marges des entreprises »  (INSEE)….poisson d’avril !

 Ils ont devenus fous à l’INSEE ( à quand un organisme indépendant ?) ou plus exactement de plus en plus serviles en annonçant une  reprise spectaculaire des marges des entreprises. D’après la docile INSEE,  les marges des entreprises, qui n’ont eu de cesse de se dégrader depuis 2010 ont commencé à repartir à la hausse à la fin 2014. La bonne nouvelle pour les chefs d’entreprises est que l’Insee voit cette embellie se poursuivre, le taux de marge passerait ainsi de 29,9% (au dernier trimestre 2014) à 31,2% au premier trimestre. Dans le détail, le Crédit Impôt compétitivité emploi (CICE) contribuerait pour près de la moitié à cette hausse de 1,3%, le pacte de responsabilité jouerait pour 0,4% et la baisse des prix du pétrole pour 0,3%. Ce taux progresserait encore au deuxième trimestre pour s’élever à 31,3%. Cette hausse impressionnante ramènerait ainsi le niveau de marge des sociétés à celui de 2011. Mais il serait encore un peu en dessous de sa moyenne d’avant-crise de 32,7% sur la période 1988-2007.En faiat l’INSEE faiat l’impasse sur la baise tendancielle des prix dans le secteur manufacturier. Une baisse qui annule les effets positifs de la très petite croissance annoncée. L’INSEE prend quand même des précautions oratoires pour relativiser son optimisme un peu béat puisque  malheureusement, l’amélioration des conditions financières des entreprises ne permettrait pas à l’investissement de s’envoler. L’Insee note, en effet, que « que les enquêtes de conjoncture, notamment dans les services, indiquent que les chefs d’entreprises resteraient encore attentistes et en seraient guère enclins à accélérer franchement leur investissement ». Au final, leur évolution serait quasi-stable (+0% au premier trimestre puis +0,1% au deuxième). Pour expliquer son optimisme,  l’INSEE compte sur une hypothétique amélioration du pouvoir d’achat des ménages. Hypothétique car cette amélioration est fondée sur la baisse de l’inflation calculée sur un indice des prix obsolète en raison de la modification de la structure de consommation. D’après l’INSEE Le pouvoir d’achat des ménages s’était déjà repris en 2014, après avoir stagné en 2013. Au premier semestre 2015, il devrait continuer son ascension, en gagnant 1,6%, grâce notamment à une inflation toujours très faible. L’Insee estime, en effet, que l’évolution des prix va rester dans le rouge, avec -0,1% sur un an à juin 2015. L’effet de la chute des prix du pétrole jouerait à plein. C’est l’une des principales sources de satisfaction de la note de conjoncture: la hausse de la consommation des ménages, principal moteur de l’économie française (environ 55% du PIB) va s’accélérer. L’Insee table ainsi sur une augmentation de leurs dépenses de 0,6% puis de 0,3%. Des chiffres qui s’expliqueraient à la fois par un retour à la normale des dépenses d’énergie ainsi que par la hausse du pouvoir d’achat évoquée plus haut. Au final cependant le taux de chômage augmenterait encore, passant à 10,6% en France (DOM compris) contre 10,4% fin 2014.

 

« La croissance repart » ( Hollande) …..poisson d’avril

« La croissance repart » ( Hollande) …..poisson d’avril !

 

C’était évidemment un poisson d’avril de la part du président. Les lobbies économiques, le gouvernement, les grands médias se donnent pourtant du mal  pour lutter contre le « french bashing » et déclarer que la croissance est bien répartie. Bref quant l’incantation remplace l’analyse de la réalité. En fait  cette croissance pourrait être juste un  poil au dessus des prévisions à 1%. Une croissance de toute manière très insuffisante pour regarnir les carnets de commandes de tous les secteurs ( la croissance du PIB représente une moyenne de l’évolution de toutes les valeurs ajoutées, la vraie richesse produite, il y a donc des disparités). Pas suffisant non plus pour récréer des emplois et inverser la fameuse courbe du chômage. Même la docile INSEE s’y met et déclare ce matin sur France info ( oui, une radio fiancée à 90% par le contribuable et qui fonctionne 30 minutes par jour depuis 15 jours , le service public quoi !). ,l’ INSEE déclare donc que la croissance est repartie pour les consommateurs mais que « les entreprises sont en retard  trainent les en matière d’embauche et d’investissements ». D’abord on voit mal ce qui est réellement parti pour les ménages même s’il y a une très légère croissance de la dépense des ménages ensuite si les entreprises  n’embauchent  pas et ne font pas suffisamment d’ investissements c’est que l a croissance n’est pas réellement repartie de manière significative. D’ailleurs le chômage atteindra mi-2015 10,2%, un niveau inégalé depuis 1997 (Insee). Le taux de chômage devrait continuer à augmenter jusqu’à 10,2% mi-2015 en métropole, selon des prévisions de l’Insee présentées jeudi. Il retrouverait ainsi un niveau inégalé depuis près de 20 ans, fin 1997.   Pas de perspective d’amélioration pour l’emploi en France pour l’année 2015. Selon l’Insee, le taux de chômage devrait continuer à augmenter jusqu’à 10,2% mi-2015 en métropole. Il retrouverait ainsi un niveau inégalé depuis près de 20 ans, fin 1997. En incluant l’outre-mer, le chômage, qui touchait 10,4% de la population active à la fin de l’année dernière, culminerait cet été à 10,6%, prévoit l’Institut national de la statistique, qui mesure le chômage au sens du Bureau international du travail. Ces prévisions, conformes à celles publiées en décembre 2014, ne laissent pour l’heure pas entrevoir l’embellie attendue par le gouvernement pour 2015. Le ministre du Travail, François Rebsamen, « pense » en effet que l’année 2015 sera « meilleure que l’année 2014″ en matière de lutte contre le chômage, et qu’elle devrait « être le tournant ». Le ministre s’attend à « un début de régression » à « la fin de l’année ». En revanche, l’Insee table sur une croissance de 0,4% au premier trimestre de cette année et de 0,3% au deuxième trimestre, des chiffres de bon augure pour le gouvernement, qui espère une croissance annuelle supérieure à 1%. Pour autant, « tant que nous n’avons pas une croissance plus forte, autour de 1,5%, il est difficile de créer de l’emploi », a récemment admis le Premier ministre Manuel Valls. «  La vraie reprise est là » de Hollande, c’était donc bien un poisson d’avril !

Des plats préparés avec des déchets de poisson….bon appétit !

Des plats préparés avec des déchets de poisson….bon appétit

 

On trouve de tout dans ces plats aux poissons sauf du poisson ! En fait le même procédé que pour les plats à la viande préparés avec du minerai de viande (en clair des déchets). En effet ‘association de consommateurs CLCV jette un pavé dans la mare : 80 % des produits à base de poissons sont fabriqués à base de chair ou de pulpe, et non de filets de poisson. Un mélange des déchets auxquels on a ajouté des arêtes et de la peau. Pour une teneur en poisson souvent inférieure à 30%.  Qu’y a-t-il vraiment dans les parmentiers, brandades, panés, croquettes, nuggets, rillettes, surimis, soupes de poissons ? Des filets de poisson ? Pas vraiment, à en croire l’enquête réalisée par l’association de consommateurs CLCV. Celle-ci a étudié les étiquettes de 70 produits à base de poissons. Et le résultat est édifiant : sans même procéder à une analyse poussée, l’association s’est rendue compte que 80 % des produits examinés étaient fabriqués non pas à base de filets de poisson, mais plutôt avec de la chair ou de la pulpe de poisson. Sur le papier, pourquoi pas… Mais qu’est-ce que c’est, cette pulpe ? Un « mélange peu ragoûtant », explique la CLCV. Des chutes de filetage, desquelles sont enlevés tous les morceaux nobles, auxquelles on ajoute des arêtes et de la peau ; le tout, mixé dans des broyeurs à forte pression. Si rien ne les interdit  - il n’existe aucune loi – ces produits ne sont pas dangereux pour la santé, mais ils restent « de qualité très médiocre ». De plus, faute d’étiquetage précis, difficile de savoir également de quels poissons il s’agit. Plus de la moitié des produits étudiés ne le précisent pas. Difficile enfin de savoir quelle quantité de poisson exacte on ingurgite. Certains fabricants se contentent de mentionner la quantité de poissons dans la farce qui a servi à la préparation, puis le pourcentage de farce dans le produit final… A charge pour le consommateur de sortir sa calculatrice.  Au final, la teneur en poisson se révèle bien souvent inférieure à 30 %, et les produits sont enrichis d’agents de texture (amidon, glycérides d’acides gras), de matières grasses ou d’eau. Au final, 30% des produits étudiés ne fournissent donc aucun pourcentage de poisson explicite, et directement exploitable, dénonce la CLCV. L’association demande aux pouvoir publics et aux professionnels de la filière de travailler à une clarification des règles d’étiquetage.

 

Consommation : Le poisson trop cher recule

Consommation : Le poisson trop cher recule

Selon le dernier bilan de l’établissement national FranceAgriMer publié ce samedi 31 mai, les achats de poisson frais ont diminué de 5% en volume entre mars 2013 et mars 2014. Le prix moyen d’achat a quant à lui augmenté de 3%. Pour l’organisme, cette évolution s’explique principalement « par l’important recul du volume des achats de saumon frais (-25%), qui représentent 20% du volume des achats de poisson frais ». Les achats de saumon fumé ont eux reculé de 12%. A l’inverse, les Français ont acheté 13% de cabillaud de plus que l’année précédente, « grâce à un prix en repli de 3% ».  »Le cabillaud devient la première espèce consommée, devant le saumon », résume FranceAgrimer, avec jusqu’à 7 points d’écart en faveur du premier dans la part des achats de poisson frais. Les cours du saumon, première espèce importée en France, ont flambé l’an dernier à cause notamment de l’accroissement de la demande mondiale. En moyenne sur 12 mois à fin mars 2014, le prix moyen du saumon entier congelé importé a augmenté d’un tiers. La hausse s’est accentuée entre janvier et avril 2014, où le prix a augmenté de 50%. Le cabillaud « dont les disponibilités sont abondantes », et les poissons blancs en général, profitent de cette situation. Les importations de cabillaud entier réfrigéré ont augmenté de 50% en volume. Les achats de coquillages ont reculé (-5% pour les moules, -4% pour les coquilles Saint-Jacques) tout comme ceux de crevettes et gambas cuites (-16%). En France, les volumes de pêche ont légèrement reculé (2%) sur un an, en raison des fortes tempêtes de l’hiver qui ont empêché les bateaux de sortir en février. Les pêches de mars, très importantes, ont toutefois quasiment compensé le retard pris le mois précédent.

 

Après le scandale de la viande, celui du poisson ?

Après le scandale de la viande, celui du  poisson ?

Une ONG des Etats-Unis vient de révéler qu’un tiers des poissons consommés n’appartiennent pas à l’espèce que les clients avaient cru acheter. Un fraude qui frappe le pays tout entier. L’ONG Oceana a procédé à des test ADN sur des poissons dans près de 700 points de vente à travers tout le pays. Résultat : l’escroquerie est générale. Par exemple, dans 87% des cas, le poisson vendu comme du rouget est en fait du tilapia, ou n’importe quel autre poisson à chair blanche. Les auteurs de l’étude s’inquiètent non seulement du mauvais étiquetage des poissons mais aussi de leur origine. « 84% du thon blanc testé était en fait de l’escolar, un poisson qui peut causer de graves troubles digestifs si on en mange plus de 50 grammes », s’inquiète Beth Lowell, l’une des auteurs de l’étude. D’après l’ONG, 18% des poissons vendus dans les magasins traditionnels sont mal étiquetés. Et la part monte même à 78% pour ceux consommés dans les restaurants de sushis. Et les consommateurs sont impuissants. Les Etats-Unis importent 90% du poisson qu’ils consomment. Souvent, les poissonniers ne voient même pas les produits entiers et les contrôles sont rarissimes. Oceana ne voit qu’un moyen de régler le problème : imposer une traçabilité totale, du bateau à l’assiette. La France n’est pas totalement à l’abri d’une telle fraude. En 2011, une enquête avait permis de repérer 100 tonnes de poissons commercialisés avec de fausses informations ou des erreurs d’étiquetage. Selon la DGCCRF, ce type d’escroquerie est marginal en France grâce au système de traçabilité imposé par l’Union européenne. Au début de la chaîne, les pêcheurs apposent obligatoirement une étiquette mentionnant le nom du poisson, le lieu de pêche et le mode de production. Plus tard, des tests sont effectués pour vérifier que le produit mis sur le marché est bien conforme à l’étiquette d’origine. Après le scandale de la viande de cheval utilisée dans des plats à base de boeuf, les autorités sanitaires ont décidé de renforcer leurs contrôles aussi sur la filière poisson.

 

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