Archive pour le Tag 'points'

Nouvelle-Calédonie : des points communs avec la révolte des quartiers

Nouvelle-Calédonie : des points communs avec la révolte des quartiers

Si effectivement la modification constitutionnelle visant à faire évoluer le nombre d’électeurs en Nouvelle-Calédonie a été l’élément déclencheur, reste que la révolte des jeunes en particulier présente des analogies avec le mouvement des banlieues dans l’Hexagone. La même violence contre les biens publics et privés et surtout les mêmes pillages.

 

En cause une jeunesse désœuvrée comme dans les banlieues avec des taux de chômage de l’ordre de 25 %, aussi le désœuvrement, le délitement de l’autorité publique et le déclassement culturel.

Une jeunesse cependant qui a été manœuvrée par des courants politiques sous influence étrangère.

La situation en Nouvelle-Calédonie est évidemment spécifique mais les grands facteurs explicatifs des violences ressemblent malheureusement à ce de la révolte des quartiers de 2023. Le résultat d’une faillite de l’État tant en matière de sécurité que de formation et d’insertion.

Bourse : hausse record pouvoir d’achat en baisse

La Bourse franchit la barre des 8000 points quand le pouvoir d’achat baisse

 

C’est  le paradoxe, alors que les indicateurs économiques tirent la croissance, la Bourse, elle, vient de dépasser le record de 8000 points.

D’une certaine manière, c’est encore la conséquence du processus inflationniste particulièrement anti redistributif. En effet tendis que les profits des grandes sociétés progressent, le pouvoir d’achat des ménages, lui, diminue. Grâces à l’inflation nombre d’entreprises ont pu plus ou moins discrètement ajouté des augmentations de prix à l’inflation générale. Les actionnaires ont été largement récompensés avec une de distribution de 100 milliards en 2023 pour les dividendes.

En quelque sorte la valorisation boursière évolue à l’inverse de l’économie réelle. En cause, des masses monétaires énormes délivrées par les banques centrales et notamment la banque centrale européenne est sans intérêt. Pas même la moitié de ces aides financières n’ont soutenu réellement l’économie. Elles se baladent  maintenant et soutienneny artificiellement les marchés boursiers. 

« 1000 points de deals supprimés en trois ans » !!!! d’après Darmanin

« 1000 points de deals supprimés en trois ans » !!!! d’après Darmanin

Le ministre de l’intérieur prend sûrement ses rêves pour des réalités. Ainsi il affirme que lors de sa nomination comme ministre de l’intérieur la france comptait 4000 points de deal et qu’aujourd’hui 1000 ont été supprimés. En réalité, ce serait plutôt l’inverse. Même s’il est difficile de procéder à une évaluation exacte des points de deal, le commerce de la drogue s’est considérablement développé.

Il n’y a sûrement pas 4000 points de deal seulement; malheureusement en France dans chaque département, on n’en compte 10 à 20 , ce qui ferait jusqu’à 20 000 points de deal. Toutes les villes mêmes les plus petites sont concernées. Les grandes métropoles bien sûr avec la souvent un phénomène de violence y compris meurtrière comme à Marseille. Mais les villes moyennes sont impliquées et jusqu’aux villes de l’ordre de 10 000 habitants.

Dans ce domaine, comme dans bien d’autres malheureusement, le pouvoir se saoule de mots. Certes des actions sont entreprises mais elles ne sont nullement à la hauteur des enjeux. La France proportionnellement est l’un des pays les plus consommateurs de drogues et un centre stratégique pour l’Europe.

Le trafic de drogue représentée de l’ordre de 3 milliards de chiffre d’affaires par an dont la moitié pour le cannabis. On note par ailleurs un développement inquiétant des drogues de synthèse. Les opérations coup de points du pouvoir sont surtout à effet médiatique. Pendant 24 heures ou quelques jours le trafic est en quelque sorte gelé par la police, on procède à quelques arrestations et après le départ des forces de l’ordre tout reprend comme avant.
Darmanin comme les autres ce satisfait de mots car les moyens et la volonté ne sont pas à la hauteur des enjeux

Gérald Darmanin a également expliqué qu’il y a trois ans, lorsqu’il est devenu ministre de l’Intérieur, « 4.000 points de deal étaient recensés » et que 1.000 parmi eux ont été supprimés « et ne se sont pas reconstitués ».

Alors que les saisies sont en augmentation, de « très nombreux trafiquants ont été arrêtés ». Selon le ministre, 2023 a été une « année record » avec 36.329 interpellés sur le territoire.

Enfin, le ministre de l’Intérieur a pointé du doigt « la responsabilité des consommateurs, notamment les plus bourgeois » et a assuré mettre la même intensité dans la lutte contre la drogue partout. « Les quartiers populaires subissent la consommation des quartiers bourgeois », a-t-il conclu de manière très démagogique.

Élections Européennes : liste Macron plus de 10 points derrière le rassemblement national

Élections Européennes : liste Macron plus de 10 points derrière le rassemblement national

Selon le premier sondage de l’institut Elabe pour BFMTV et La Tribune Dimanche, la liste macroniste accuse plus de 10 points de retard sur celle du Rassemblement national (RN), donnée à 28,5 % des voix. Un cauchemar pour l’exécutif, qui sortirait démonétisé d’un tel rapport de force. En 2019, l’équipe conduite par Nathalie Loiseau a terminé la course avec 22,42 % des suffrages exprimés, derrière un Jordan Bardella à 23,34 %. Les dégâts avaient été limités.

La liste Bardella fait le plein avec 86 % des électeurs de Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle de 2022 . D’autre part, le RN attire un tiers des électeurs d’Éric Zemmour et un tiers des abstentionnistes. Le parti populiste domine également dans la plupart des catégories socioprofessionnelles : 28 % chez les CSP+ (contre 26 % pour les macronistes), 34 % chez les CSP- (contre 12 %), 24 % chez ceux qui bouclent leurs fins de mois sans se restreindre (contre 21 %), etc. « Ce sondage peut se lire comme un bilan de l’année politique 2023, note Bernard Sananès, président de l’institut Elabe. Le RN s’est installé dans le paysage et a élargi sa base. »

Socialistes, Insoumis et écolos sont au coude-à-coude dans ce sondage, suivis de loin par les communistes. Au total, le bloc de gauche représente 30,5 % des intentions de vote, soit 3 points de moins qu’en 2019. Annoncé comme la potentielle surprise du scrutin, Raphaël Glucksmann – leader du mouvement Place publique et tête d’affiche du PS au Parlement de Strasbourg – est pour l’instant crédité de 9,5 % des intentions de vote.

Marie Toussaint, tête de liste Les Écologistes, est à 8,5 % et Manon Aubry, celle de LFI, est à 7,5 %.

Loi immigration : De nombreux points contestables juridiquement

Loi immigration : De nombreux points contestables juridiquement

Finalement, le conseil constitutionnel pourrait détricoter ce que la commission paritaire parlementaire à péniblement mis au point; en effet, nombre de dispositions peuvent faire l’objet de contestations pour leur caractère anti constitutionnel anti conventionnel.

Le pouvoir d’ailleurs ne cache pas qu’il compte sur le conseil constitutionnel pour que soit rejetées les mesures les plus radicales qui ont été imposées sous la pression des républicains.

En cause notamment la question des quotas qui crée des situations inégalitaires notamment concernant l’immigration familiale.

D’après la nouvelle loi le délai pour autoriser le regroupement familial serait allongé de 12 à 15 24 mois.

Mais les plus grandes contestations risquent de concerner les conditions d’accès des immigrés en situation régulière aux allocations familiales et à l’aide au logement. Avec la mise en place d’un délai porté à cinq ans pour ceux qui ne travaillent pas et trois mois pour les autres.

Sur les allocations sociale, on va doute discuter longtemps du caractère contributif ou non. En principe le caractère contributif ( les cotisations payées par tous) empêche toute entrave à l’inégalité. Le problème c’est que d’une manière ou d’une autre les prestations sociales ont un caractère contributif soit du fait de versements des cotisations, soit du fait de contributions via les impôts au budget.

Bref la principale disposition du délai de cinq ans comme délai minimum pour recevoir des prestations sociales risque de voler en éclats

Une autre mesure très symbolique concerne l’évolution de l’accès à la nationalité et la fin de l’automaticité du droit du sol dans certaines circonstances. En fait, le conseil constitutionnel pourrait bien précisément considérer que des modifications restrictives ( ou même l’inverse )relève d’une modification institutionnelle et non d’une loi ordinaire.

Si le conseil constitutionnel dispose et impose son avis en dernier ressort, ce pourrait être aussi l’occasion d’une mise en question d’un conseil constitutionnel pas aussi neutre qu’on pourrait le penser puisque pour l’essentiel composé d’anciens politiques et non uniquement de juristes.

Reste enfin à savoir quelle sera la réaction du pouvoir en place si le conseil constitutionnel vide de l’essentiel cette loi difficilement adoptée. Bref le débat est loin d’être terminé.

Sondage Macron :Baisse inquiétante de 4 points à 32 %

Sondage Macron :Baisse inquiétante de 4 points à 32 %

Encore un sondage inquiétant pour l’exécutif et pour macron. Le chef de l’État n’est plus soutenu que par 32 % dans l’opinion. Même chute pour la première ministre qui ne parvient pas à impacter. En cause, l’environnement relativement anxiogène mais aussi le doute des Français sur les capacités du chef de l’État à réformer et ses contradictions.. Exemple les hésitations permanentes concernant la réforme des retraites, le montant réel de l’inflation ou encore la politique énergétique anachronique.

Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio Classique, la cote de confiance du président de la République accuse une sévère chute de 4 points en octobre, pour atteindre 32 %. Elle a perdu 6 points en deux mois et retrouve son niveau de juin 2022. « Il y a un double sentiment de morosité et de crispation. La morosité est liée à la rentrée et au sentiment d’un pays qui va mal, la crispation à la réforme des retraites », analyse Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Ses soutiens doutent de sa capacité à mener des réformes, à commencer par celle des retraites . Le mois de septembre a certes été marqué par la volonté présidentielle de mener à bien ce chantier délicat, mais les interrogations sur la méthode ont suscité des interrogations. Le président de la République voit ainsi sa confiance perdre 8 points, à 35 % dans les milieux aisés. Elle baisse de 4 points chez les cadres et de 7 points dans l’agglomération parisienne, où il est en position de force.

BCE : hausse de 50 ou 75 points de base en septembre

BCE : hausse de 50 ou 75 points de base en septembre

 

En raison d’une hausse des prix toujours galopante aussi de l’influence de la banque centrale américaine, la BCE devrait être amenée à relever de 50 points  base son taux directeur.

Mais l ‘inflation qui continue d’atteindre des sommets – 8,9 % sur un an en juillet dans la zone euro, son plus haut historique – pourrait bien la pousser à adopter une stratégie plus agressive à l’instar de celle menée par la Réserve fédérale américaine (Fed) aux Etats-Unis. Cette dernière a déjà relevé à plusieurs reprises ses taux directeurs : d’un quart de point -la hausse habituelle – mi-mars, d’un demi-point – alors la plus forte hausse depuis 2000, en mai puis de trois-quarts de point en juillet. Du coup,  l’euro s’est encore affaibli par rapport au dollar. Le risque évidemment c’est de tuer une croissance dans les prévisions sont déjà très faiblardes pour 2023.

Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE, a d’ailleurs affirmé la semaine dernière que les perspectives d’inflation ne s’étaient pas améliorées depuis juillet, donnant à penser qu’elle serait favorable à un relèvement important du coût du crédit en septembre. Ce samedi, elle s’est à nouveau exprimée à ce sujet affirmant que les banques centrales doivent agir avec « détermination » pour combattre l’inflation. Face à « la voie de la prudence », la responsable monétaire a défendu « celle de la détermination » qui consiste à « réagir avec plus de force à la poussée actuelle d’inflation », a-t-elle plaidé lors de la réunion de Jackson Hole, aux Etats-Unis. « Si une banque centrale sous-estime la persistance de l’inflation – comme la plupart d’entre nous l’ont fait au cours de la dernière année et demie – et si elle tarde à adapter ses politiques en conséquence, les coûts peuvent être considérables », a-t-elle prédit.

Trois facteurs plaident en faveur de cette option, a-t-elle expliqué lors de cette grand-messe annuelle des banquiers centraux dans l’Ouest américain : « l’incertitude quant à la persistance de l’inflation, les menaces pour la crédibilité de la banque centrale et les coûts potentiels d’une action trop tardive » contre la hausse des prix, selon son discours mis en ligne par la BCE.

Le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a lui aussi défendu une action déterminée de la BCE. « Nous pouvons avoir une approche graduelle, mais nous ne devons pas être lents et retarder la normalisation (de la politique monétaire, NDLR) jusqu’à ce que des anticipations d’inflation plus élevées nous obligent à des relèvements de taux agressifs », a-t-il expliqué. « Ramener l’inflation à 2% est notre responsabilité; notre volonté et notre capacité à tenir les engagements de notre mandat ne sont pas négociables », a déclaré le gouverneur, selon son discours obtenu par l’AFP. « N’ayez aucun doute qu’à la BCE, nous augmenterons les taux si nécessaire au-delà de la normalisation », a-t-il assuré.

 

Et ce, « même au risque d’une croissance plus faible et d’un chômage plus élevé », selon Isabel Schnabel. C’est en effet le risque d’un resserrement monétaire. Or, la perspective d’une récession dans la zone euro (les 19 pays ayant adopté la monnaie unique) est imminente. Les indicateurs passent au rouge les uns après les autres et, après un fort rebond en 2021 post-covid, la croissance devrait fortement ralentir en 2022. D’après le dernier indice PMI, l’activité s’est contractée au mois d’août à 49,2 après un premier repli au mois de juillet à 49,9. Avec deux mois de reculs consécutifs, l’économie de la zone euro se rapproche donc de la récession technique. Cette phase se définit par deux trimestres consécutifs de recul de l’activité.

 

Politique- SONDAGE popularité Macron : en baisse de quatre points

Politique- SONDAGE popularité Macron : en baisse de quatre points 

Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio classique, la popularité de macro perd 4 points et retombe à 32 %.

Le pourcentage des personnes interrogées déclarant « ne pas lui faire confiance » progresse de 5 points pour atteindre 63 %, soit près de deux Français sur trois. Et elles sont 37 % (+5 points) à déclarer « ne pas lui faire confiance du tout », un niveau jamais atteint depuis le début de la crise sanitaire. Il faut remonter à décembre 2020 pour retrouver une cote de confiance aussi basse et à septembre 2020 pour constater un décrochage aussi élevé en un mois.

Emmanuel Macron accuse une nette baisse auprès de son électorat (-9 points à 70 % de confiance) et chez celui de François Fillon en 2017 (-5 points à 38 %). Il est en revanche plus stable à gauche, où il reste très minoritaire.

La baisse de la confiance d’Emmanuel Macron est plus marquée chez les moins de 50 ans. Il perd 7 points chez les 18-24 ans (chez qui la cote de confiance reste la plus élevée à 39 %), 6 points chez les 25-34 ans et 8 points chez les 35-49 ans. « La confiance baisse le plus chez les 35-49 ans. Or ce sont eux qui ont été le plus choqués par les mots de Macron sur les non vaccinés et qui sont le plus réticents aux restrictions. De plus, ce sont également eux qui se déclarent le plus s’être vaccinés par contrainte et non par choix », décrypte Bernard Sananès d’Elabe.

SONDAGE popularité Macron : en baisse de quatre points

SONDAGE popularité Macron : en baisse de quatre points 

Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio classique, la popularité de macro perd 4 points et retombe à 32 %.

Le pourcentage des personnes interrogées déclarant « ne pas lui faire confiance » progresse de 5 points pour atteindre 63 %, soit près de deux Français sur trois. Et elles sont 37 % (+5 points) à déclarer « ne pas lui faire confiance du tout », un niveau jamais atteint depuis le début de la crise sanitaire. Il faut remonter à décembre 2020 pour retrouver une cote de confiance aussi basse et à septembre 2020 pour constater un décrochage aussi élevé en un mois.

Emmanuel Macron accuse une nette baisse auprès de son électorat (-9 points à 70 % de confiance) et chez celui de François Fillon en 2017 (-5 points à 38 %). Il est en revanche plus stable à gauche, où il reste très minoritaire.

La baisse de la confiance d’Emmanuel Macron est plus marquée chez les moins de 50 ans. Il perd 7 points chez les 18-24 ans (chez qui la cote de confiance reste la plus élevée à 39 %), 6 points chez les 25-34 ans et 8 points chez les 35-49 ans. « La confiance baisse le plus chez les 35-49 ans. Or ce sont eux qui ont été le plus choqués par les mots de Macron sur les non vaccinés et qui sont le plus réticents aux restrictions. De plus, ce sont également eux qui se déclarent le plus s’être vaccinés par contrainte et non par choix », décrypte Bernard Sananès d’Elabe.

Supprimer le permis à points: La démagogie criminelle de Zemmour

Supprimer le permis à points: La démagogie criminelle de Zemmour

 

Un nouveau dérapage de Zemmour  qui propose de supprimer le permis à points. Une mesure évidemment totalement démagogique quand on sait que cette disposition a notamment permis une chute assez significative de la sécurité routière. Certes elle ne saurait être le seul moyen de répondre totalement à la problématique mais elle constitue un moyen dissuasif de déroger aux règles de circulation

 

En 2019, 3 498 personnes ont été tuées sur les routes de France (y compris outre-mer) (Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière – données définitives) soit +0,3 % par rapport à 2018. Ce résultat doit néanmoins être mis en perspective avec la division par deux du nombre de tués entre 2000 et 2010 et la baisse de – 18,1 % depuis 2010. La réduction du nombre des victimes sur nos routes est pour partie liée à l’activité de contrôle des forces de l’ordre combinée au dispositif du permis à points instauré en 1992.

Le système du permis à points en France a été institué par la loi n° 89-469 du 10 juillet 1989 relative à diverses dispositions en matière de sécurité routière et en matière de contraventions. Il est entré en vigueur le 1er juillet 1992, quand l’insécurité routière provoquait plus de 9 000 morts chaque année. Il a largement contribué à réduire le nombre de tués (et deux blessés) à environ 2500 morts en 2020.
Le permis à points constitue un instrument privilégié du dispositif de prévention et de lutte contre la sécurité routière.

 

. En réponse à ces mesures contraignantes, le non-candidat propose de supprimer le permis à points, «parce que ça ne sert à rien».

Démagogie : Éric Zemmour veut supprimer le permis à points

Démagogie : Éric Zemmour veut supprimer le permis à points

 

Un nouveau dérapage de Zemmour  qui propose de supprimer le permis à points. Une mesure évidemment totalement démagogique quand on sait que cette disposition a notamment permis une chute assez significative de la sécurité routière. Certes elle ne saurait être le seul moyen de répondre totalement à la problématique mais elle constitue un moyen dissuasif de déroger aux règles de circulation

 

En 2019, 3 498 personnes ont été tuées sur les routes de France (y compris outre-mer) (Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière – données définitives) soit +0,3 % par rapport à 2018. Ce résultat doit néanmoins être mis en perspective avec la division par deux du nombre de tués entre 2000 et 2010 et la baisse de – 18,1 % depuis 2010. La réduction du nombre des victimes sur nos routes est pour partie liée à l’activité de contrôle des forces de l’ordre combinée au dispositif du permis à points instauré en 1992.

Le système du permis à points en France a été institué par la loi n° 89-469 du 10 juillet 1989 relative à diverses dispositions en matière de sécurité routière et en matière de contraventions. Il est entré en vigueur le 1er juillet 1992, quand l’insécurité routière provoquait plus de 9 000 morts chaque année. Il a largement contribué à réduire le nombre de tués (et deux blessés) à environ 2500 morts en 2020.
Le permis à points constitue un instrument privilégié du dispositif de prévention et de lutte contre la sécurité routière.

 

. En réponse à ces mesures contraignantes, le non-candidat propose de supprimer le permis à points, «parce que ça ne sert à rien».

Sondage Popularité Macron : baisse de trois points

Sondage Popularité Macron : baisse de trois points

Alors que le JDD dans un récent sondage était à peu près le seul média a enregistrer une hausse de Macron, cette fois le même journal évoque une baisse de quatre. points .  On constate effectivement dans les autres médias une baisse de popularité de Macron de 3 % environ.

En septembre, la cote de popularité d’Emmanuel Macron recule de 3 points dans le sondage du JDD, de 41 à 38% de satisfaits, selon le baromètre Ifop.

Le Premier ministre, Jean Castex, recule pour sa part de 4 points, de 40 à 36%. Il recule en particulier chez les personnes âgées de plus de 65 ans (-8 points, à 43%) tandis qu’il gagne en popularité chez les plus jeunes (+9 points, à 40%).

* Sondage Ifop pour le JDD réalisé par questionnaire auto-administré en ligne et par téléphone du 9 au 16 septembre auprès d’un échantillon de 1.932 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (selon des critères sociodémographiques, socioprofessionnels et géographiques), définis à partir des données de l’Insee.

Sondage Macron : perte de 2 points en mars

Sondage Macron : perte de 2 points en mars

Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos » et Radio classique, la cote de confiance du président de la République perd 2 points en mars, pour s’établir à 34 %. Et le pourcentage de ceux déclarant ne pas lui faire confiance atteint 60 %, un niveau stable sur un mois.

« Le jugement sur l’exécutif reste très majoritairement structuré par la gestion de la crise sanitaire et il est sévère », explique Bernard Sananès, le président d’Elabe. La cote de confiance d’Emmanuel Macron affiche néanmoins une certaine stabilité depuis la rentrée de septembre 2020, évoluant entre 32 et 36 %. Prise le 29 janvier dernier contre l’avis de la plupart des spécialistes, sa décision de ne pas reconfiner le pays ne lui profite pas sur la durée.

Sondage spécial JDD. Macron monte de deux points !

Sondage spécial  JDD. Macron monte de deux points ! 

C’est un peu la spécialité du JDD de soutenir la popularité de Macon en diffusant des sondages favorables au pouvoir.  

Pour le JDD,, le chef de l’Etat progresse de 2 points en ce début d’année dans le baromètre IFOP, avec 40% de ­Français satisfaits de son action. « Sa cote de popularité est en apesanteur, constate Frédéric Dabi, directeur général adjoint de ­l’institut de sondage. Nous sommes dans un moment où les critiques, même fortes, n’impactent pas. » Et à partir de cette augmentation de la popularité de :, le JDD développe nombre de facteurs explicatifs qui montrent les raisons de cette hausse. Le problème c’est que les autres sondages publiés début janvier affichent plutôt une baisse de Macon.

Baisse de Macon pour RTL

Selon le baromètre BVA pour RTL et Orange, le chef de l’État et le Premier ministre voient leur popularité baisser de respectivement 3 et 2 points en janvier.

La cote de popularité de l’exécutif ne cesse de se dégrader depuis la rentrée 2020 : selon notre baromètre BVA pour RTL et Orange, Emmanuel Macron ne compte que 37% d’opinions positives en ce mois de janvier, et 36% des Français seulement ont une bonne opinion du Premier ministre Jean Castex.

Cela représente une baisse de trois points, dans le cas du président de la République, et de deux points pour Jean Castex, par rapport au baromètre de décembre. En cause, la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement, jugée « mauvaise » par 69% des Français. Avec ce total de 37% de bonnes opinions, Emmanuel Macron atteint son point le plus bas depuis avril 2020, alors qu’il avait grimpé jusqu’à 44% à l’été. Du côté du chef du gouvernement, sa cote de popularité n’a fait que baisser depuis son entrée en fonction en juillet.

Baisse de Macon pour le Figaro

L’année 2021 commence mal pour Emmanuel Macron dans le baromètre Figaro magazine, la cote de confiance du président de la République est en baisse de 2 points.

La lassitude vis-à-vis du pouvoir se retrouve dans la baisse de la cote de confiance du président de la République? En tout état de cause, l’année 2021 commence difficilement pour Emmanuel Macron. Sa cote de confiance connaît une chute chez les retraités (-6, à 38%). Même érosion chez les sympathisants LR. Ceux-ci ne sont plus que 37% (-7) à lui faire confiance. «Emmanuel Macron joue gros sur cette période», estime un membre du gouvernement. Période qui va «d’aujourd’hui jusqu’au moment où on sort de la vague épidémique et épidermique». Moment que ce ministre espère au mois de juin. Il restera alors dix mois à Emmanuel Macron pour convaincre les Français de lui faire à nouveau confiance.

 

Bref dans l’univers des sondages le JDD fait  encore cavalier seul. Pas étonnant , le journal a toujours été un fervent soutien de Macron. Le rédacteur en chef est d’ailleurs un macroniste  assumé. En outre le propriétaire du JDD ,à savoir Lagardère, a en ce moment un urgent  besoin de soutien de la part du gouvernement pour ne pas être dévoré par Bolloré qui veut s’approprier le groupe de Lagardère actuellement en piteux état financier.

 

 

Sondage Macron : plus 10 points en six mois grâce à la crise sanitaire

 

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Dans le baromètre mensuel Elabe pour « Les Echos » et Radio Classique, la cote de confiance du chef de l’Etat progresse de 3 points en janvier pour atteindre 35 %. Après avoir perdu 3 points le mois dernier suite notamment à l’affaire Michel Zecler, tabassé par des policiers, Emmanuel Macron retrouve ce seuil des 35 %, autour duquel sa cote de confiance oscille depuis septembre dernier. Son socle reste stable. Marquée par la crise sanitaire, l’année 2020 n’a pas beaucoup modifié l’évolution de la perception du président par les Français. Au contraire la crise sanitaire permet de maintenir un certain niveau de popularité à Macron .

En effet la problématique du Coronavirus est partagée par nombre de Français. Parler d’autres questions très stratégiques mais particulièrement  clivantes dans le domaine économique, social ou encore financier serait susceptible de fragiliser l’audience du président

 

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