Archive pour le Tag 'poètes'

Printemps des poètes : qui sont les juges ?

Printemps des poètes : qui sont les juges ?

« Quel est mon crime et qui sont les juges ? » L’écrivain Sylvain Tesson a enfin répondu à la polémique sur sa nomination comme parrain du Printemps des poètes, dimanche 28 janvier, lors d’un entretien accordé à France 2. L’auteur de récits à succès a été visé par une tribune publiée dans Libération le 18 janvier, signée par des auteurs tels que Nancy Huston, Baptiste Beaulieu ou Chloé Delaume, lui reprochant « une idéologie réactionnaire » et d’être une « figure de proue » de l’ »extrême droite littéraire ».

Sylvain Tesson a accueilli cette dernière expression avec un haussement d’épaule; « La langue française offre un tel vivier, un tel magasin de mots… », a répondu l’écrivain, interrogé par Laurent Delahousse. « Je veux avouer que j’aime ce qui demeure plutôt que ce qui s’écroule… Que je préfère admirer que de me révolter. Je veux bien être un rétrograde, un ringard, un rétif… », a-t-il ensuite égrainé. On peut dire que je suis un cheval de labour, que je suis une vieille locomotive plutôt qu’une Formule 1. Mais ils ont trouvé un mot qui est le mot du conformisme absolu et qui clôt le débat, c’est : ‘extrême droite’. »

« Je suis un peu déçu de me rendre compte que ceux qui devraient être des bardes préfèrent devenir des magistrats. »

Primaire : Benoit Hamon, le dernier des poètes du PS

Primaire: : Benoit Hamon le dernier des poètes du PS

 

Benoît Hamon est sans doute l’un des derniers poètes du parti socialiste. Celui qui s’est fait le chantre de la souffrance au travail, de sa disparition et de son remplacement par le revenu universel parle d’autant mieux d’économie et de travail que sa connaissance du sujet est évasive. En fait le poète est un oligarque qui n’a jamais travaillé en dehors de la politique et dont il a fait son métier (comme Valls d’ailleurs). Après une licence d’histoire, il est aussitôt entré en politique comme on entre en religion pour ne pas en ressortir et pour tenter de coiffer la mitre d’évêque et aujourd’hui la tiare papale. Proche de Rocard au début, il s’est progressivement gauchisé pour devenir ensuite un crypto marxiste altermondialiste teinté de vert. Évidemment, il n’a jamais  eu l’occasion de fréquenter de près ou de loin le monde de la production (comme  beaucoup d’autres). ,  ce qui ne l’empêche nullement de théoriser sur sa disparition proche. En réalité il est bien incapable d’analyser les mutations technologiques des modes de production et de distribution qui effectivement seront affectées par la numérisation mais remplacés par d’autres emplois. Hamon comme beaucoup d’autres oublient que la moitié des produits et services qui existeront dans 30 ans sont aujourd’hui inconnus et que nécessairement les conditions de production et les modes de consommation vont évoluer. Sa proposition de revenu universel relève de l’exercice poétique et témoigne de l’incompétence et de la paresse. Elle témoigne surtout de son simplisme. La première question qui ne se pose est de savoir qui va payer. ? Les robots dit son inspiratrice une parlementaire européenne socialiste belge qui vient de faire un rapport surréaliste sur la question. Surréaliste parce qu’en outre elle propose d’instaurer une responsabilité civile des robots eux-mêmes ! Évidemment le coût de ce fameux revenu universel est minimisé alors que selon les hypothèses il s’agit de 300 à 700 milliards par an. Un chiffre que relativise Hamon. : « C’est seulement 15 % du PIB ». Comme si le PIB pouvait être distribué. Il confond sans doute le PIB avec le budget de l’État car c’est évidemment l’État qui paierait ce revenu. Reste que Benoît Hamon a trouvé un truc pour se distinguer des autres. D’ailleurs, il affirme comme pour se défendre mais ce n’est pas pour demain. C’est une proposition à très long terme. Bref pas de quoi répondre pour les 10 ou 15 ans qui viennent à la question centrale du chômage. Dernière observation, des usines pratiquement entièrement robotisées seront d’autant plus faciles à délocaliser pour éviter des fiscalités trop fortes. Se pose alors  la question des ressources pour financer cette solution miracle qui vise à supprimer le travail pour supprimer en même temps le chômage. Pas vraiment de la poésie, peut-être de l’humour et de l’humour noir. Mais Benoît Hamon persiste, ce qui lui a permis d’apparaitre comme le plus à gauche et de se placer en favori pour la primaire.   »J’assume, je suis convaincu que la révolution numérique va avoir comme impact la raréfaction du travail. Ces algorithmes, ces robots, ces machines se déploient dans tous les secteurs », a plaidé l’ancien ministre de l’Education de François Hollande. « Face à cette révolution numérique, je défends aujourd’hui le revenu universel d’existence. Je ne crois plus du tout aux petites solutions de court terme. A mes yeux, le revenu universel d’existence sera le nouveau pilier de la protection sociale. « A pleine charge, il représentera 15% du PIB. Cela n’a rien d’irréalisable. C’est un choix que nous voulons faire ou pas », a-t-il affirmé au cours de sa campagne. Sans doute pas pour concourir aux présidentielles mais pour prendre la tête de ce qui restera du PS !

Revenu universel : Benoit Hamon le dernier des poètes du PS

Revenu universel : Benoit Hamon le dernier des poètes du PS

 

Benoît Hamon est sans doute l’un des derniers poètes du parti socialiste. Celui qui s’est fait le chantre de la souffrance au travail, de sa disparition et de son remplacement par le revenu universel parle d’autant mieux d’économie et de travail que sa connaissance du sujet est évasive. En fait le poète est un oligarque qui n’a jamais travaillé en dehors de la politique et dont il a fait son métier. Après une licence d’histoire, il est aussitôt entré en politique comme on entre en religion pour ne pas en ressortir et pour tenter de coiffer la mitre d’évêque et aujourd’hui la tiare papale. Proche de Rocard au début, il s’est progressivement gauchisé pour devenir ensuite un crypto marxiste teinté de vert. Évidemment, il n’a jamais comme beaucoup d’autres oligarques du PS eu l’occasion de fréquenter de près ou de loin le monde de la production ;  ce qui ne l’empêche nullement de théoriser sur sa disparition proche. En réalité il est bien incapable d’analyser les mutations technologiques des modes de production et de distribution qui effectivement seront affectées par la numérisation mais relacés par d’autres emplois. Hamon comme beaucoup d’autres oublient que la moitié des produits et services qui existeront dans 30 ans sont aujourd’hui inconnus et que nécessairement les conditions de production et les modes de consommation vont évoluer. Sa proposition de revenu universel relève de l’exercice poétique et témoigne de l’incompétence et de la paresse. Elle Témoigne surtout de son simplisme. La première question qui ne se pose est de savoir qui va payer. ? Les robots dit son inspiratrice une parlementaire européenne socialiste qui vient de faire un rapport surréaliste sur la question. Surréaliste parce qu’en outre elle propose d’instaurer une responsabilité civile des robots eux-mêmes ! Évidemment le coût de ce fameux revenu universel est minimisé alors que selon les hypothèses il s’agit de 300 à 700 milliards par an. Un chiffre que relativise Hamon. : « C’est seulement 15 % du PIB ». Comme si le PIB pouvait être distribué. Il confond sans doute le PIB avec le budget de l’État car c’est évidemment l’État qui paierait ce revenu. Reste que Benoît Hamon a trouvé un truc pour se distinguer des autres. D’ailleurs, il affirme comme pour se défendre mais ce n’est pas pour demain. C’est une proposition à très long terme. Bref pas de quoi répondre pour les 10 ou 15 ans qui viennent à la question centrale du chômage. Dernière observation, des usines pratiquement entièrement robotisées seront d’autant plus faciles à délocaliser pour éviter des fiscalités trop fortes. Se pose alors  la question des ressources pour financer cette solution miracle qui vise à supprimer le travail pour supprimer en même temps le chômage. Pas vraiment de la poésie, peut-être de l’humour et de l’humour noir. Mais Benoît Hamon persiste et dit « assumer » pleinement son projet de revenu universel d’existence et l’a longuement expliqué vendredi lors d’un meeting à Marseille, au lendemain du premier débat télévisé des candidats à la primaire de la gauche, alors que certains sondages le donnent en tête du premier tour. »J’assume, je suis convaincu que la révolution numérique va avoir comme impact la raréfaction du travail. Ces algorithmes, ces robots, ces machines se déploient dans tous les secteurs », a plaidé l’ancien ministre de l’Education de François Hollande. « Face à cette révolution numérique, je défends aujourd’hui le revenu universel d’existence. Je ne crois plus du tout aux petites solutions de court terme. A mes yeux, le revenu universel d’existence sera le nouveau pilier de la protection sociale. « A pleine charge, il représentera 15% du PIB. Cela n’a rien d’irréalisable. C’est un choix que nous voulons faire ou pas », a-t-il poursuivi dans un discours de plus d’une heure prononcé devant 600 personnes réunies dans une salle habituellement dédiée aux concerts situé sur le cours Julien, le quartier alternatif de Marseille. Avec à mon l’existence du travail seraient posées mais s’il est élu candidat du PS c’est plus vraisemblablement l’existence des socialistes qui sera en cause Selon un sondage Harris Interactive effectué après le débat télévisé et publié vendredi par Atlantico, 27% des Français certains d’aller voter souhaitent sa victoire alors que 23% se prononcent pour Manuel Valls et autant pour Arnaud Montebourg.




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