Archive pour le Tag 'PME'

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Gallois : il faut des stages dans les PME pour les patrons du CAC 40 !

Gallois : il faut des stages dans les PME pour les patrons du CAC 40 !

 

Bonne idée de Gallois, des stages dans les PME pour les patrons du CAC afin qu’ils se rendent compte des réalités économiques et sociales. « J’ai l’honneur de vous proposer d’effectuer un stage dans notre société, pour la durée de votre choix, aux dates de votre choix ». C’est ainsi que commence l’offre de stage de ce patron de PME breton, Christophe Angus, qui dirige une petite entreprise spécialisée dans le développement d’outil internet, Sopixi. Une offre qui s’adresse aux grands décideurs français, dirigeants de grands groupes ou politiciens. Ce patron de 11 employés dit avoir été inspiré dans cette démarche par Louis Gallois. « Ce serait une excellente thérapie pour les patrons de grandes entreprises que d’affronter la vie concrète d’une PME, la vraie vie sans doute », a déclaré le commissaire général à l’investissement, que Christophe Angus cite dans son offre de stage, publiée le 11 avril.  Louis Gallois s’exprime ainsi dans le dernier ouvrage d’Hervé Hamon, « Ceux d’en haut », dans lequel l’auteur interviewe les décideurs. L’ex-patron du géant de l’aéronautique EADS explique que « le patron de PME est en première ligne sur tous les sujets il est directeur financier, il est DRH, il est évidemment directeur de la stratégie, il est tout, et c’est son patrimoine qu’il a engagé. Moi, je les admire, ces gens-là, je suis dans une position infiniment plus confortable, j’ai des amortisseurs dans tous les coins. » Le petit patron breton rappelle que « les petites entreprises représentent 37 % de l’emploi en France. Plus que les grandes entreprises ». Un coup de comm’ destiné à donner plus de visibilité aux PME françaises, à parler de leurs contraintes et de leur manière de travailler « sur un mode gagnant-gagnant, car aucun de nous n’a les moyens de perdre, pas même un euro », explique Christophe Angus.

 

Nucléaire: fonds de modernisation pour les PME

Nucléaire: fonds de modernisation pour les PME

Ce Fonds de modernisation des entreprises nucléaires (FMEN), doté de 153 millions d’euros, aura vocation à prendre des participations dans les petites et moyennes entreprises du secteur, selon le ministère du Redressement productif, qui confirmait une information parue dans le quotidien Le Monde de samedi-dimanche.  Le fonds sera abondé par des poids lourds du secteur, à savoir Vinci, Eiffage, Alstom, Areva et EDF mais aussi par le Fonds stratégique d’investissement (FSI), a précisé le ministère, sans dévoiler quelle part du financement assurera chacun d’entre eux.  Le fonctionnement du FMEN sera donc largement inspiré de celui du fonds mis en place pour soutenir la filière automobile en 2009 en plein coeur de la crise. Ce fonds est lui détenu à parité par l’Etat via le FSI et les constructeurs Renault et PSA Peugeot Citroën.  A l’occasion de ce comité stratégique, une prévision de 110.000 embauches à l’horizon 2020 pour le secteur sera également annoncée, a-t-on appris de même source, le gouvernement souhaitant « mettre un coup d’accélérateur sur les questions de sûreté nucléaire ».  Il ne s’agira cependant pas de 110.000 créations nettes de postes, dans une filière qui en compte actuellement 200.000, mais de recrutements pour pallier par exemple des départs à la retraite.  Selon des chiffres de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) de 2011, il y aurait près de 30.000 sous-traitants dans le secteur, oeuvrant souvent dans des conditions précaires.  L’Etat souhaite aussi rassembler les PME de la filière pour les aider à exporter leur savoir-faire, en les fédérant notamment autour d’une marque. Ce regroupement pourra aussi financer des salons à l’étranger pour faire connaître ces entreprises.   »Aujourd’hui, ce sont Areva et EDF qui exportent la technologie nucléaire française. C’est pour cela que nous voulons fédérer les PME, pour qu’elles puissent aussi exporter leur savoir-faire », a-t-on souligné au ministère du Redressement productif.  Malgré sa volonté d’abaisser la part du nucléaire dans la production d’électricité, de 75% à 50% d’ici 2025, le gouvernement semble donc vouloir rassurer la filière.  Mme Batho s’y était déjà employée l’été dernier en affirmant que tous les emplois du secteur seraient « maintenus ».  Seule la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin), doyenne du parc nucléaire hexagonal, doit fermer au cours du quinquennat, a priori fin 2016, a confirmé le président François Hollande vendredi.  A l’étranger, la France reste encore un acteur de tout premier plan, à l’image du gigantesque chantier des deux réacteurs nucléaires EPR de Taishan en Chine, visité cette semaine par la ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq.  Dans ce domaine, les transferts de technologie nucléaire vers la Chine ont néanmoins fait naître des  interrogations, alors que la deuxième puissance économique mondiale concurrence les pays industrialisés dans un nombre croissant de secteurs.  Dans un communiqué, l’Observatoire du nucléaire, une association opposée à l’atome, critique la création d’un fonds pour le secteur du nucléaire, jugeant qu’elle témoigne du fait que la filière « n’a d’avenir que si elle est une fois de plus lourdement subventionnée par l’argent public ».

 

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Les PME françaises invendables

Les PME françaises invendables

Selon une étude d’Epsilon Research, un bureau d’analyse financière ­spécialisé dans les acquisitions de sociétés non cotées en Europe – qui a passé à la loupe toutes les opérations ayant touché ces deux dernières années les PME françaises valant entre 1 et 50 millions d’euros -, les sociétés hexagonales auraient de plus en plus de mal à trouver preneurs.  «La crise non résolue de la zone euro, les perspectives de récession, un contexte réglementaire et fiscal difficile pour les fonds d’investissement et l’instabilité fiscale pour les cessions transmissions expliquent la baisse du marché des ventes», analyse Grégoire Buisson, son président. Tous les indicateurs sont passés dans le rouge. Le nombre de transactions a ainsi continué sa chute cette année. De 698 en 2010, il est en effet passé à 581 cette année, soit un recul de 16,8 % en deux ans! Pis, après deux années de hausse continue, et ce en dépit de la persistance de la crise, la valeur des entreprises de taille moyenne en vente a reculé de 18 % sur les seuls neufs premiers mois de 2012. Les perspectives, quant à elles, sont loin d’être roses à en croire une majorité de professionnels des fusions-acquisitions qui prévoit un marché encore en repli l’année prochaine. Sept sur dix estiment même que les prix vont poursuivre leur baisse. La raison? Le ralentissement économique et les difficultés des repreneurs et des investisseurs à trouver des ­financements essentiellement mais aussi les mesures fiscales ­prises par le gouvernement qui ont «un impact négatif» sur le marché. Pour eux, la politique ­fiscale menée depuis six mois ­serait même «la principale entrave à son bon fonctionnement». Et l’attitude des chefs d’entreprise leur donne raison. Les patrons de PME ont en effet anticipé dès 2011 un possible changement du régime fiscal des donations lié à la probable ­élection de François Hollande en mai dernier. En un an, les cessions à titre gratuit pour transmettre leur société à un enfant ou à un membre de leur famille ont littéralement chuté. Ce repli est d’autant plus inquiétant que les transmissions familiales sont déjà deux fois moins nombreuses en France qu’en Allemagne, et trois qu’en Autriche et en Italie. Bref, une mauvaise nouvelle de plus pour la croissance des PME qui n’avait vraiment pas besoin de cela. Les chefs d’entreprise français ne sont enfin pas les seuls à afficher leur défiance à l’égard de la politique du nouvel exécutif. Selon le dernier pointage, les investisseurs étrangers ne représentent plus que 24 % des acquéreurs en 2012, contre 35 % en moyenne annuelle sur la période 2002-2008. Avec, en tête, les Européens de la zone euro, et notamment les Britanniques, tandis que le nombre d’investisseurs nord-américains demeure stable. Seule note positive au final: les Asiatiques, notamment les Chinois, sont les seuls étrangers à augmenter leurs emplettes d’année en année. Ils représentent désormais 18 % des investisseurs étrangers en France, contre 7 % en 2010. Une irrésistible ascension liée au dynamisme économique de leur pays que la politique nationale

 

Sondage-patrons : les grands impopulaires; les PME appréciées

 

 

Sondage-patrons : les grands impopulaires, les PME appréciées

Les grands patrons sont quatre fois plus impopulaires en France que les dirigeants de petites et moyennes entreprises, selon un sondage* Ifop publié par le Journal du Dimanche, qui révèle aussi qu’un Français sur quatre a envie de créer ou de reprendre une entreprise. Seuls 12% des Français ont une « plutôt mauvaise » ou « très mauvaise » opinion des dirigeants de PME, une proportion qui grimpe à 50% pour les dirigeants de grandes entreprises, selon cette enquête d’opinion. Quand les sondés sont interrogés sur leur propre patron, 25% d’entre eux en ont une « plutôt » ou « très » mauvaise opinion. Si l’on se place cette fois du côté des opinions favorables, les dirigeants de PME sont plébiscités (87% d’opinion « très bonne » ou « assez bonne »), devant le patron de sa propre entreprise (74%) et très loin devant les grands patrons (49%). La proportion d’opinion « très » favorables reste néanmoins globalement faible : 15% pour les dirigeants de PME, 21% pour son propre patron et 5% pour les chefs de grandes entreprises, selon l’étude Ifop publiée par le JDD.

 

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