Chômage : « plus loin, plus vite, plus fort » (Ayrault) ; Où ? Dans le mur ?

Chômage : « plus loin, plus vite, plus fort » (Ayrault) ; Où ? Dans le mur ?

Ayrault n’est pas antipathique, ni très drôle, non il ferait plutôt pitié. Constatant l’échec du gouvernement il propose donc d’accélérer le rythme mais vers ou ? Vers quoi ? Comment ? Il n’en sait rien le pauvre petit prof d’allemand. Il l répète bêtement ce que dit Hollande ; maintenant c’est le pacte de responsabilité qui va sauver la France, la croissance, le chômage, les déficits. Un pacte de responsabilité d’une part très flou sur les contraintes mais qui se résume à un allégements de 10 milliards sur la fiscalité du travail ; Pour les autres mesures fiscales sur les entreprises et les ménages , on verra plus tard en 2016, 2017 ou à la St Glinglin ; Quel est l’enjeu : environ 1000 milliards par an de fiscalité , (47% de prélèvement par rapport au PIB mais 57% de dépenses), soit la moitie de la richesse nationale ; pour sauver la France du déclin, on compte donc sur une réduction de 1% de la fiscalité. Autant dire qu’il faudrait des réductions d’une autre ampleur sur les entreprises mais aussi sur les manages pour relancer croissance et emploi.  Pour le Premier ministre, « les chiffres du chômage montrent à l’évidence une stabilisation et une nette diminution du chômage des jeunes». Jean-Marc Ayrault a appelé lundi 27 janvier à aller « plus loin, plus vite, plus fort » contre le chômage, qui a augmenté en décembre, et à engager au plus vite le Pacte de responsabilité avec les entreprises. « Les chiffres du chômage montrent à l’évidence une stabilisation et une nette diminution du chômage des jeunes, mais la stabilisation du chômage et la diminution du chômage des jeunes ne sont pas suffisants », a déclaré à la presse le Premier ministre.

Plus haut, plus vite, plus nul : Félix, un parachutiste va franchir le mur du con

Plus haut, plus vite, plus nul : Félix, un parachutiste va franchir le mur du con

D’exploits pseudo sportifs en exploits encore moins sportifs, on va franchir le mur du con avec ce parachutiste qui se lance dans le vide. Pas facile de montrer son cul quand c’est devenu à la mode devant la télé. A 36 000m d’altitude, c’est original et complètement débile. Plus haut, plus vite, plus con ; une manière de combler le vide existentiel. Après plusieurs reports, l’Autrichien Felix Baumgartner espère pouvoir tenter ce dimanche de battre le record du monde du saut en chute libre et franchir le mur du son dans le ciel du Nouveau-Mexique. Des conditions météorologiques défavorables à Roswell, où se tient l’expérience, ont forcé l’aventurier à repousser trois fois sa tentative cette semaine.  Mardi, le départ avait été annulé à la toute dernière minute à cause du vent. «J’aime ce que je vois pour dimanche matin… mais une fois encore, tout dépendra du vent», a déclaré vendredi Don Day, le météorologue de la mission Red Bull Stratos.  Si tout reste au vert, le parachutiste s’installera dans une capsule attachée à un ballon géant gonflé à hélium qui doit le transporter à 36 000 mètres d’altitude, trois fois plus haut qu’un avion de ligne. «Nous devons nous préparer à un décollage juste après le lever du soleil», vers 14h45 heure française (06H45 heure locale), a expliqué Don Day précisant que la fenêtre de décollage restera ouverte jusqu’à 17h00. Samedi, Félix Baumgartner s’est entrainé pour la dernière fois, espère-t-il.