Archive pour le Tag 'plus bas'

Popularité: Macron au plus bas

Popularité: Macron au plus bas

Encore un écroulement de cinq points en un mois pour atteindre son plus bas niveau depuis sa réélection.

D’après baromètre Kantar en un mois, la cote de confiance d’Emmanuel Macron perd 5 points. Mais c’est surtout le nombre des mécontents qui doit inquiéter le chef de l’État. 64% des Français ne lui font pas confiance, le point le plus haut depuis sa réélection, dont 41% (+6) ne lui font pas du tout confiance.

Autre élément inquiétant, la cote de confiance de sa première ministre suit la même pente et ne le protège donc pas. Ceux qui ne font pas confiance en Élisabeth Borne sont passés de 48% en juin dernier à 64% ce mois-ci. Enfin, tous les ¬ministres testés sont en forte baisse, ¬notamment ceux qui sont montés au créneau pour défendre la réforme des retraites, Gabriel Attal, Olivier Véran ou Bruno Le Maire. Le défi pour Emmanuel Macron est de taille pour la suite de son mandat.

Sondage Kantar Public – Epoka effectué par Le Figaro Magazine. Dates de réalisation: 26 et 27 février 2023. Échantillon national de 1000 personnes, représentatif de l’ensemble de la population âgée de 18 ans et plus, interrogées en ligne.
À retrouver dans Le Figaro Magazine, en kiosque dès vendredi.

Sondage-popularité Macron : au plus bas

Sondage-popularité Macron : au plus bas

D’après le  baromètre Ifop/JDD, 39% seulement des personnes se disent satisfaites « satisfaites » de Macron qui perd un point par rapport au mois précédent. Il bat ainsi ses scores les plus bas, mesurés à 40% en juin dernier et en août 2017. Dans le détail, c’est un vrai coup de tabac : le Président perd des plumes surtout auprès des 35 – 49 ans et des 50 – 64 ans. Il perd 7 points chez les commerçants et artisans, 4 au sein des professions intermédiaires, 2 chez les ouvriers… Il perd également 6 points chez les sympathisants socialistes et 8 chez ceux des Républicains. Surtout, il voit s’évaporer 12 points chez les sympathisants MoDem, passant de 58 à 46% entre juin et juillet. Ce n’est pas encore la catastrophe pour autant : au même moment dans leur quinquennat, les côtes de popularité de Nicolas Sarkozy et de François Hollande étaient plus basses : 38% pour le premier, et 27% pour le second. Pour autant, ce n’était donc pas une simple tempête dans un verre d’eau indique le JDD.

 

 

Mur Mexique : moins, plus bas …..ou pas du tout (Trump)

Mur Mexique : moins, plus bas …..ou pas du tout (Trump)

 

Il aura sans doute fallu du temps à Trump pour prendre conscience du caractère difficilement réalisable d’un mur entre les États-Unis et le Mexique. Le mur pourrait être plus bas, moins long selon  la conseillère de  Trump,  Kellyanne Conway, interrogée par CNN. À en croire cette très proche du président américain, ce dernier serait désormais en faveur « d’autres technologies » ainsi que de « clôtures » par endroits, notamment depuis qu’il a consulté auprès d’un panel de spécialistes. Sur la chaîne d’information en continu, Kellyanne Conway a ajouté qu’il y avait « également des rivières, des montagnes, des terrains pas forcément avantageux pour la construction d’une structure physique » sur toute la longueur de la frontière entre les États-Unis et leur voisin méridional. Après des mois passés à promettre la construction du fameux « mur » il était sans doute temps que l’administration de la première puissance mondiale se renseigne un tant soit peu, comme l’ont ironiquement noté de nombreux internautes.

Immobilier : taux au plus bas mais demande credit aussi au plus bas

Immobilier : taux au plus bas mais demande credit aussi au plus bas  

C’est le paradoxe les taux n’ont jamais été auusi bas depuis plus de 70 ans et dans le même temps les demandes de crédit ne cessent de reculer. En cause le prix des logements beaucoup trop chers et inaccessibles (en particulier le foncier mais pas seulement.)à nombre de ménages  .). Du coup les candidats à la propriété notamment les primo-accédants n’atteignent pas les seuils de solvabilité. Il faudrait donc agir sur le niveau des prix et étaler davantage dans le temps les remboursements dont les échéances mensuelles sont trop lourdes. Comme en Allemagne par exemple où les crédits sont étalés jusqu’à 40 ou 50 ans contre au maximum 20 ans en France. En outre les organismes de crédit ont notoirement resserré les conditions de délivrance de ces crédit non seulement concernant le niveau de revenus mais aussi leur stabilité dans le temps. (Candidats avec un CDD s’abstenir !). Lentement mais sûrement, les taux des crédits immobiliers continuent de baisser. En août, les Français se sont endettés à 2,68 % en moyenne (hors assurance), contre 2,7 % en juillet, constate l’Observatoire Crédit Logement/CSA, souligne l’étude. Un niveau auquel personne ne croyait en début d’année.  La quasi-totalité des crédits (97 %) ont été accordés à un taux inférieur à 3,5 % (contre 85,2 % en 2013). Les particuliers ont emprunté sur 17,4 ans en moyenne (209 mois). Ceux qui accèdent pour la première fois à la propriété se sont endettés sur une durée plus longue: 19,9 ans pour un achat dans le neuf et 18,4 ans pour un logement ancien. Mais il faut un apport personnel de plus en plus conséquent pour pouvoir emprunter: il progresse de 0,9 % sur un an fin août, après un repli de 5,5 % en 2013. Depuis le début de l’année, les taux ont déjà perdu 0,4 %. «En août, la baisse s’est ralentie, sur un marché très tranquille durant cette période estivale», souligne toutefois, l’étude, précisant tout de même que «le mouvement de recul, qui dure depuis plusieurs mois, est inédit depuis les années 1940. Les raisons? Le taux de l’OAT, l’obligation d’Etat à 10 ans sur lequel sont indexés les prêts à taux fixe a fortement baissé depuis le début de l’année. Cette tendance s’est même amplifiée pendant l’été, l’OAT atteignant des niveaux historiquement bas (1,31 % le 3 septembre). Paradoxalement, malgré ces conditions d’emprunt exceptionnelles, le nombre de crédits accordés a reculé en août de 5,6 % sur un an. Le ralentissement constaté depuis le printemps laisse attendre une année 2014 médiocre», prévoit l’Observatoire Crédit Logement/CSA…

 

Sondage popularité : Hollande toujours plus bas à 16%

Sondage popularité : Hollande toujours plus bas à 16%

 

Pas de chance pour Hollande, son derbier coup sur la réforme territoriale a été condamnée par les français, encore un coup de com. qui foire. . François Hollande atteint un niveau de 16% au bout de seulement un peu plus de deux ans de mandat. Aucun président avant lui n’avait plongé aussi bas en si peu de temps. En juin 1983, François Mitterrand atteignait 46 %, en juin 2004, Jacques Chirac était à 35 % et en juin 2009, Nicolas Sarkozy était remonté à 41 %.  Avec une cote aussi basse, le président de la République se retrouve sans soutien clair. Même dans son propre camp. Les sympathisants socialistes ne sont plus que 46 % à lui faire confiance. Les jeunes, qui constituaient sa cible principale pendant la campagne présidentielle, ceux sur qui il misait, se sont totalement détournés de lui. Ils ne sont plus que 9 %, dans la tranche 18-24 ans, à lui faire confiance.  Autre inquiétude pour François Hollande, le retour de Dominique Strauss-Kahn dans le baromètre. Compte tenu de sa situation, de son silence, son résultat n’est pas si mauvais: avec 22 % de cote de confiance pour l’avenir, il peut jouer les trouble-fêtes.  D’autant que le Premier ministre est entraîné dans la chute présidentielle. Au bout de trois mois à Matignon, Manuel Valls est désormais impopulaire auprès des Français. À l’inverse du chef de l’État, il conserve une cote élevée auprès des sympathisants socialistes (68 %, + 2). Mais, au PS, certains interprètent cette baisse de la cote de confiance du chef du gouvernement comme étant la conséquence de son positionnement politique, trop proche du chef de l’État. Mardi matin sur BFM TV, Manuel Valls l’a revendiqué: «Il m’a nommé. Et la relation avec lui, c’est la confiance et c’est la loyauté.» Hors de question pour le chef du gouvernement, dans l’immédiat, de prendre ses distances avec le chef de l’État. Pour le moment. Car le Premier ministre se retrouve aujourd’hui au même niveau que Dominique de Villepin en 2005, juste devant Edith Cresson en 1991…

 

Sondage-popularité :toujours plus bas, plus que 16% pour Hollande

Sondage-popularité :toujours plus bas,  plus que 16% pour Hollande

La popularité de François Hollande tend vers zéro comme le contenu de sa politique.  Hollande fléchit de un point en février, avec 16% seulement des Français approuvant son action, selon le baromètre mensuel  de YouGov pour Le Huffington Post et i<Télé publié ce jeudi 13 février. En revanche, la proportion des personnes interrogées qui portent un jugement défavorable sur le chef de l’Etat monte de quatre points, à 77%. 7% ne savent quel jugement porter. Jean-Marc Ayrault gagne un point, avec 15% d’avis favorables à son action, le pourcentage des opinions défavorables restant stable à 74%. 11% sont sans opinion. En revanche, la proportion de ceux qui portent un jugement défavorable à l’action de son gouvernement grimpe de quatre points, à 80%. 15% ont un avis favorable, 5% n’ont pas d’avis du tout. D’autre part, le chômage, cité par 31% des personnes interrogées, est le principal sujet de préoccupation pour les élections municipales, devant les impôts (18%) puis la dette et les finances publiques (10%). 63% des sondés déclarent avoir l’intention de voter en fonction « des enjeux de la politique locale », et 22% en fonction « des enjeux de la politique nationale ». 14% ne savent pas.

Sondage – Hollande : toujours plus bas

Sondage – Hollande : toujours plus bas

Hollande à 21% d’opinions favorables dans le dernier baromètre Ipsos-Le Point*, publié ce lundi. Une nouvelle dégringolade de trois points entre début octobre et début novembre, et un nouveau record d’impopularité pour François Hollandeencore conspué ce lundi lors des cérémonies du 11 novembre.  Il est accompagné dans les tréfonds des études d’opinion par Jean-Marc Ayrault, qui tombe également à 21% de bonnes opinions, le plus bas score pour un Premier ministre dans l’histoire de ce baromètre, qui n’épargne pas grand monde au gouvernement. En octobre, la cote de popularité du chef de l’Etat avait déjà atteint un bas historique dans un autre baromètre, réalisé par BVA-Orange pour l’Express, France Inter et la presse régionale (*), avec 26% de popularité. Seulement un Français sur cinq semble satisfait de l’action du président, tandis que 75% des sondés ont une opinion «défavorable» du chef de l’Etat. Pis, 40% en ont même une opinion «très défavorable», soit cinq points de plus en un mois. Et quel mois ! Ras-le-bol fiscal, affaire Leonarda, fronde des bonnets rouges, et, pour finir, dégradation de la France par Standard & Poor’s : les dernières semaines ont été extrêmement délicates pour l’exécutif….au point de faire douter le noyau dur des «Hollandais». 50% de ceux qui avaient voté pour lui en 2012 ont désormais une opinion défavorable de son action (+ 13 points) selon ce sondage Ipsos.  Jean-Marc Ayrault perd également 5 points et tombe à 21% d’opinions favorables, soit un point de moins qu’Alain Juppé en novembre 1996, précédent record d’impopularité pour un chef de gouvernement. L’étude met également en lumière deux victimes collatérales de cette fronde : Michel Sapin, tombé à 22 % de popularité, et Pierre Moscovici  à 25 %. Quelques ministres résistent toutefois : Manuel Valls demeure, avec 56% de bonnes opinions, le plus populaires des hommes politiques, Christiane Taubira remonte à 37% de popularité (+ 5 points) et Laurent Fabius (40%) fait son entrée dans le top 10.  Dans l’opposition, la cote de popularité de Nicolas Sarkozy progresse (+2 points en un mois à 42% d’opinions positives), tandis que celle de François Fillon reste stable à 38% .Chez les centristes, François Bayrou a progressé de 4 points (42% de jugements favorables), boosté par son alliance avec Jean-Louis Borloo. La présidente du FN Marine Le Pen a elle accusé un nouveau recul (-3 points en un mois à 31% d’opinions positives). Le leader du Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon a également vu sa cote baisser (-2 points à 31% de jugements favorables).

Sondage popularité Hollande : encore plus bas !

Sondage popularité  Hollande :  encore  plus bas !

Dans le baromètre politique mensuel TNS Sofres pour le Figaro Magazine publié jeudi. Vingt et un pour cent des Français ont encore confiance dans le chef de l’Etat, soit deux points de moins que dans la précédente enquête. Les mécontents sont même devenus majoritaires chez les partisans de la gauche dans son ensemble, dont seulement 48% (-3 points) disent faire confiance à François Hollande, contre 51% (+5 points) qui n’ont pas confiance en lui. Dans le sillage de François Hollande, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault recule également de deux points, avec une cote de confiance qui s’établit à 22%, un plus bas depuis son arrivée à Matignon. Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls reste nettement en tête du palmarès des personnalités politiques dont les Français souhaitent qu’ils jouent un rôle important dans les mois ou les années qui viennent avec 44% (+1 point), devant l’ancien président Nicolas Sarkozy (33%, -2 points). Suivent les anciens Premiers ministres François Fillon et Alain Juppé (-2 points chacun à 31%) et la présidente du Front national Marine Le Pen (-3 points à 30%). Le sondage a été réalisé du 23 au 26 octobre .

 

Sondage moral des patrons : plus bas que la moyenne mondiale

Moral des patrons : plus bas que la moyenne mondiale

 

Les dirigeants d’entreprises français « affichent un manque de confiance dans l’économie nationale avec un indice à 35,17, un chiffre qui contraste avec la moyenne mondiale qui est de 48,85″, indique le groupe Sage dans un baromètre conduit cet été auprès de 11.000 entreprises dans 17 pays. La confiance affichée la plus élevée est celle de Singapour (61,63). La France présente ainsi le taux de confiance le plus bas avec le Portugal (37,36) et l’Afrique de Sud (39,92). « L’Espagne, pourtant davantage touchée par la crise, se montre plus confiante (43,19) », commente Sage, qui est l’un des principaux fournisseurs mondiaux de logiciels de gestion pour les entreprises de taille petite et moyenne. De plus, cet indice de confiance dans l’économie française est quasiment identique à celui de l’été 2012 (33,36). « C’est un phénomène assez spécifique à la France, un manque de confiance des Français dans l’économie de leur pays », a commenté Antoine Henry, directeur de Sage France, dans un entretien accordé à l’AFP. « A mon avis, les raisons sont moins réelles et économiques que psychologiques », a-t-il ajouté. « Quand un chef d’entreprise n’a pas confiance dans la santé de son pays pour des raisons plutôt psychologiques, on a un risque qu’il investisse moins », a-t-il ajouté. En revanche, concernant leur propre activité, les chefs d’entreprise de l’Hexagone se montrent bien plus optimistes qu’il y a un an, avec un indice de confiance dans leur activité de 55,16 points, soit une augmentation de 9,61. Ce chiffre reste néanmoins le plus bas de tous les pays étudiés à l’exception du Portugal. 23% des patrons français considèrent que la lourdeur des procédures administratives et des réglementations est le principal obstacle à l’entrepreneuriat en France, indique l’étude tandis que 19% citent le niveau d’imposition comme étant un problème majeur et 15% l’attitude du gouvernement envers l’entreprise, un taux parmi les plus élevés. Au niveau mondial, la bureaucratie est également citée en premier, avec un taux moyen un peu supérieur (25%). A titre de comparaison les Etats-Unis affichent 27% et le record revient à la Pologne avec cet obstacle cité en premier par 36% des chefs d’entreprises. « On voit bien que la bureaucratie est un phénomène mondial et pas uniquement français », souligne M. Henry. Quant au niveau d’imposition, il souligne que ses clients français évoquent surtout le besoin de « stabilité fiscale ». « Ils ont besoin de visibilité pour savoir exactement quelles pressions fiscales ils vont subir et cela me semble particulier à la France », dit-il. L’enquête a été réalisée sur un échantillon de 11.734 entreprises dans 17 pays (États-Unis, Canada, Allemagne, Autriche, France, Royaume-Uni, Espagne, Afrique du Sud, Malaisie, Singapour, Irlande, Pologne, Suisse, Portugal, Brésil, Maroc et Tunisie), par courrier électronique entre le 31 juillet et le 28 août. Le nombre de répondants en France a été de 862.

 

Sondage : Copé plus bas que Marine Le Pen

Sondage : Copé plus bas que Marine Le Pen

Dans le baromètre CSA pour Les Echos publié vendredi, le député-maire de Meaux perd sept points de popularité auprès de l’ensemble des Français. Seulement 24% des sondés ont une image positive de lui. La sanction est encore plus lourde quand elle est prononcée par les sympathisants de droite : il perd 21 points ! Mais il est certainement un autre constat qui lui fera plus mal encore : Marine Le Pen est désormais plus populaire que lui auprès des Français. « Un doute très fort demeure sur son élection, Sa victoire proclamée ne lui a pas conféré pour le moment la légitimité qu’il devait espérer », analyse dans le quotidien économique Jérôme Sainte-Marie, le directeur du département Politique-Opinion de CSA.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol