Archive pour le Tag 'ploucs'

La 4G en retard chez les ploucs et la 5 G pour dans 30 ans

La 4G en retard chez les ploucs et la 5 G pour dans 30 ans

 

Au moment où on annonce à grand renfort de com.  Le développement généralisé de la 5g  -et par ailleurs du câble-, on s’aperçoit en fait que certaines zones ne sont pas couvertes par la 4G (certains ne reçoivent même pas la 3G dans des conditions satisfaisantes). Exemple quand on revoit un SMS le lendemenain de son émission ! Les opérateurs ne respectent pas leurs engagements . La couverture des zones blanches et des axes de transports, prévue dans le cadre de l’accord passé entre l’État et les opérateurs début 2018, ne va pas suffisamment vite et risque de ne pas être à la hauteur des engagements pris par les opérateurs en échange du renouvellement à titre gracieux de plusieurs fréquences accordées il y a 20 ans, selon l’ARCEP. Les mêmes retards seront constatés pour la 5G. Une 5G qui pourraiat même ne jamais atteindre les zones peu denses au profit dune technologie moins puissante ou d’une 4G améliorée ;

En effet y aura-t-il une technologie 5G  pour les villes et une autre pour les ploucs ? C’est la question qu’on peut se poser en raison du passé mais aussi du futur. Pour le passé, on sait que nombre de zones ne sont pas encore couvertes par la 3G, la 4G ou  ne sont pas couvertes du tout ou alors de temps en temps. Pour le futur, il n’est pas certain que la 5G couvre  rapidement l’ensemble du territoire. On pourrait se contenter pour certaines zones de la 4G améliorée. De toute manière la 5G à très, très  haut débit, celle des 26 GHz, sera réservé aux villes L’attribution va concerner la bande de fréquences des 3,4 à 3,6 GHz. qui permet d’offrir un bon débit couplé à une portée correcte pour couvrir le pays. Mais  autre bande, celle des 26 GHz, sera plus tard attribuée aux opérateurs. Ces fréquences seront essentiellement utilisées dans les villes, car si elles permettent des débits très puissants, leur portée, elle, s’avère faible. Lors de l’attribution de cette bande « cœur », 310 MHz seront proposés aux opérateurs. Une quantité jugée « significative » par l’Arcep.  Pour cette attribution, l’Arcep propose une procédure en deux temps. Le premier permettra aux quatre opérateurs nationaux (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free) d’acquérir chacun un bloc d’une taille de 40 à 60 MHz, à prix fixe, lequel sera déterminé par le gouvernement. Des engagements spécifiques seront liés à ces blocs. Les opérateurs devront notamment répondre aux demandes jugées « raisonnables » des industriels désireux de bénéficier de la 5G à certains endroits. Ou encore lancer des offres 5G à usage fixe dans certains territoires peu peuplés. Dans un second temps, les fréquences restantes seront mises aux enchères. Les opérateurs pourront cette fois acquérir plusieurs blocs de 10 MHz, avec un prix de réserve fixé ici aussi par le gouvernement. Tous les opérateurs qui remporteront des fréquences seront soumis à des obligations. Chacun devra notamment déployer 12.000 sites en 5G d’ici à la fin 2025 – ce qui correspond, selon l’Arcep, à une couverture des deux tiers de la population. Pour ne pas réserver la 5G aux grandes villes et éviter une nouvelle fracture numérique, des obligations concernent les territoires ruraux. Ainsi, en 2025, 90% des sites mobiles d’un opérateur devront proposer un débit au moins égal à 240 mégabits par seconde – lequel pourra être atteint soit via la 5G, soit par le biais d’une 4G boostée.  Il faudra au final attendre 2030 pour que tous les sites mobiles des opérateurs proposent a minima un débit de 240 mégabits par seconde.

 

Développement Technologie 5G : une norme pour la ville, une autre pour les ploucs

Développement  Technologie 5G : une norme pour la ville, une autre pour les ploucs  

Y aura-t-il une technologie 5G  pour les villes et une autre pour les ploucs ? C’est la question qu’on peut se poser en raison du passé mais aussi du futur. Pour le passé, on sait que nombre de zones ne sont pas encore couvertes par la 3G, la 4G ou  ne sont pas couvertes du tout ou alors de temps en temps. Pour le futur, il n’est pas certain que la 5G couvre  rapidement l’ensemble du territoire. On pourrait se contenter pour certaines zones de la 4G améliorée. De toute manière la 5G à très, très  haut débit, celle des 26 GHz, sera réservé aux villes L’attribution va concerner la bande de fréquences des 3,4 à 3,6 GHz. qui permet d’offrir un bon débit couplé à une portée correcte pour couvrir le pays. Mais  autre bande, celle des 26 GHz, sera plus tard attribuée aux opérateurs. Ces fréquences seront essentiellement utilisées dans les villes, car si elles permettent des débits très puissants, leur portée, elle, s’avère faible. Lors de l’attribution de cette bande « cœur », 310 MHz seront proposés aux opérateurs. Une quantité jugée « significative » par l’Arcep.  Pour cette attribution, l’Arcep propose une procédure en deux temps. Le premier permettra aux quatre opérateurs nationaux (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free) d’acquérir chacun un bloc d’une taille de 40 à 60 MHz, à prix fixe, lequel sera déterminé par le gouvernement. Des engagements spécifiques seront liés à ces blocs. Les opérateurs devront notamment répondre aux demandes jugées « raisonnables » des industriels désireux de bénéficier de la 5G à certains endroits. Ou encore lancer des offres 5G à usage fixe dans certains territoires peu peuplés. Dans un second temps, les fréquences restantes seront mises aux enchères. Les opérateurs pourront cette fois acquérir plusieurs blocs de 10 MHz, avec un prix de réserve fixé ici aussi par le gouvernement. Tous les opérateurs qui remporteront des fréquences seront soumis à des obligations. Chacun devra notamment déployer 12.000 sites en 5G d’ici à la fin 2025 – ce qui correspond, selon l’Arcep, à une couverture des deux tiers de la population. Pour ne pas réserver la 5G aux grandes villes et éviter une nouvelle fracture numérique, des obligations concernent les territoires ruraux. Ainsi, en 2025, 90% des sites mobiles d’un opérateur devront proposer un débit au moins égal à 240 mégabits par seconde – lequel pourra être atteint soit via la 5G, soit par le biais d’une 4G boostée.  Il faudra au final attendre 2030 pour que tous les sites mobiles des opérateurs proposent a minima un débit de 240 mégabits par seconde.

 

Technologie 5G : une norme pour la ville, une autre pour les ploucs

Technologie 5G : une norme pour la ville, une autre pour les ploucs  

 

Y aura-t-il une technologie 5G  pour les villes et une autre pour les ploucs ? C’est la question qu’on peut se poser en raison du passé mais aussi du futur. Pour le passé, on sait que nombre de zones ne sont pas encore couvertes par la 3G, la 4G ou  ne sont pas couvertes du tout ou alors de temps en temps. Pour le futur, il n’est pas certain que la 5G couvre  rapidement l’ensemble du territoire. On pourrait se contenter pour certaines zones de la 4G améliorée. De toute manière la 5G à très, très  débit, celle des 26 GHz, sera réservé aux villes L’attribution va concerner la bande de fréquences des 3,4 à 3,6 GHz. qui permet d’offrir un bon débit couplé à une portée correcte pour couvrir le pays. Mais  autre bande, celle des 26 GHz, sera plus tard attribuée aux opérateurs. Ces fréquences seront essentiellement utilisées dans les villes, car si elles permettent des débits très puissants, leur portée, elle, s’avère faible. Lors de l’attribution de cette bande « cœur », 310 MHz seront proposés aux opérateurs. Une quantité jugée « significative » par l’Arcep.  Pour cette attribution, l’Arcep propose une procédure en deux temps. Le premier permettra aux quatre opérateurs nationaux (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free) d’acquérir chacun un bloc d’une taille de 40 à 60 MHz, à prix fixe, lequel sera déterminé par le gouvernement. Des engagements spécifiques seront liés à ces blocs. Les opérateurs devront notamment répondre aux demandes jugées « raisonnables » des industriels désireux de bénéficier de la 5G à certains endroits. Ou encore lancer des offres 5G à usage fixe dans certains territoires peu peuplés. Dans un second temps, les fréquences restantes seront mises aux enchères. Les opérateurs pourront cette fois acquérir plusieurs blocs de 10 MHz, avec un prix de réserve fixé ici aussi par le gouvernement. Tous les opérateurs qui remporteront des fréquences seront soumis à des obligations. Chacun devra notamment déployer 12.000 sites en 5G d’ici à la fin 2025 – ce qui correspond, selon l’Arcep, à une couverture des deux tiers de la population. Pour ne pas réserver la 5G aux grandes villes et éviter une nouvelle fracture numérique, des obligations concernent les territoires ruraux. Ainsi, en 2025, 90% des sites mobiles d’un opérateur devront proposer un débit au moins égal à 240 mégabits par seconde – lequel pourra être atteint soit via la 5G, soit par le biais d’une 4G boostée.  Il faudra au final attendre 2030 pour que tous les sites mobiles des opérateurs proposent a minima un débit de 240 mégabits par seconde.

 

 

5G : une technologie pour la ville, une autre pour les ploucs

5G : une technologie pour la ville, une autre pour les ploucs  

Y aura-t-il une technologie 5G  pour les villes et une autre pour les ploucs ? C’est la question qu’on peut se poser en raison du passé mais aussi du futur. Pour le passé, on sait que nombre de zones ne sont pas encore couvertes par la 3G, la 4G ou  ne sont pas couvertes du tout ou alors de temps en temps. Pour le futur, il n’est pas certain que la 5G couvre  rapidement l’ensemble du territoire. On pourrait se contenter pour certaines zones de la 4G améliorée. De toute manière la 5G à très, très  débit, celle des 26 GHz, sera réservé aux villes L’attribution va concerner la bande de fréquences des 3,4 à 3,6 GHz. qui permet d’offrir un bon débit couplé à une portée correcte pour couvrir le pays. Mais  autre bande, celle des 26 GHz, sera plus tard attribuée aux opérateurs. Ces fréquences seront essentiellement utilisées dans les villes, car si elles permettent des débits très puissants, leur portée, elle, s’avère faible. Lors de l’attribution de cette bande « cœur », 310 MHz seront proposés aux opérateurs. Une quantité jugée « significative » par l’Arcep.  Pour cette attribution, l’Arcep propose une procédure en deux temps. Le premier permettra aux quatre opérateurs nationaux (Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free) d’acquérir chacun un bloc d’une taille de 40 à 60 MHz, à prix fixe, lequel sera déterminé par le gouvernement. Des engagements spécifiques seront liés à ces blocs. Les opérateurs devront notamment répondre aux demandes jugées « raisonnables » des industriels désireux de bénéficier de la 5G à certains endroits. Ou encore lancer des offres 5G à usage fixe dans certains territoires peu peuplés. Dans un second temps, les fréquences restantes seront mises aux enchères. Les opérateurs pourront cette fois acquérir plusieurs blocs de 10 MHz, avec un prix de réserve fixé ici aussi par le gouvernement. Tous les opérateurs qui remporteront des fréquences seront soumis à des obligations. Chacun devra notamment déployer 12.000 sites en 5G d’ici à la fin 2025 – ce qui correspond, selon l’Arcep, à une couverture des deux tiers de la population. Pour ne pas réserver la 5G aux grandes villes et éviter une nouvelle fracture numérique, des obligations concernent les territoires ruraux. Ainsi, en 2025, 90% des sites mobiles d’un opérateur devront proposer un débit au moins égal à 240 mégabits par seconde – lequel pourra être atteint soit via la 5G, soit par le biais d’une 4G boostée.  Il faudra au final attendre 2030 pour que tous les sites mobiles des opérateurs proposent a minima un débit de 240 mégabits par seconde.

« Merci les ploucs » « (Macron)

« Merci les ploucs » « (Macron)

 

C’est ce qu’on pourrait retenir de l’intervention de Macron. On attendait évidemment avec une  certaine impatience cette intervention de Macron qui a avait  consenti à parler depuis une école dans la France profonde. On souhaitait évidemment qu’il parle de la ruralité, du désaménagement du territoire, qu’il réponde au sentiment d’abandon de cette France périphérique qui perd ses emplois, ses services publics et se transforme peu à peu en réserve de retraités. Rien de tout cela, la descente dans l’enfer des ploucs n’a donné lieu à aucun traitement de la part du chef de l’Etat: la désertification économique et sociale va continuer. Le président des villes a surtout parlé aux urbains sans annoncer grand-chose de nouveau. Il a confirmé ses orientations. Se contentant d’affirmer qu’il savait où il allait et qu’il faisait ce qu’il avait annoncé. Ce qui est faux par exemple sur la réforme de la SNCF dont il n’a pratiquement jamais parlé pendant sa campagne. Quant à savoir où il va, de nombreuses incertitudes demeurent car le projet n’est pas très clair, il appuie sur une sorte d’idéologie très libérale mais aussi très bureaucratique, très centralisée assez contradictoire. Ce qui est sûr c’est que Macron veut enfiler les réformes quitte à les effectuer à la va vite et sans  négociation. Ce sera le cas de la SNCF comme de beaucoup d’autres réformes (prison, justice, universités, hôpitaux, Ehpad).  Autre exemple  sur les Etats généraux de l’alimentation. « Je vous promets que je ferai ce qu’on a dit », a déclaré Macron sans autre précision alors quelques 30 % des agriculteurs sont en état de faillite annoncée faute de prix suffisants. . Sur la mesure très controversée des 80km-h, Voulue par le premier ministre, on verra dans 2 ans à précisé le chef de l’Etat. Pour l’hôpital et les Ehpad, « on va s’en occuper » a déclaré Macron.  Voilà de quoi donner la tonalité de son intervention.

« Macron chez les ploucs » sur TF1

« Macron chez les ploucs » sur TF1:

Pour tenter d’atténuer son image de président des riches et des viles, Macron s’invite dans une émission peu habituée à traiter de front les grands enjeux politiques. On y traite davantage des rillettes de Ste Maure ou du dernier fabricant de sabots en Auvergne que des problématiques sociétales. Bref de l’anecdotique, intéressant parfois, mais qui brosse dans le sens du poil la ruralité sans jamais traiter réellement la question fondamentale de l’aménagement du territoire ou plutôt de la désertification organisée des territoires. Ou alors de manière allusive  et déconnectée des enjeux politiques. Macron dans cette émission, c’est un peu « le président chez les ploucs ». Emmanuel Macron va parler de ce sentiment d’abandon des zones périphériques mais li ne pourra apporter des réponses car la désindustrialisation a été encouragée au profit des ZI des grandes villes, les services publics progressivement supprimés (poste, services médicaux, gares SNCF, écoles, couverture mobiles et internet). Ces zones à la démographie vieillissante faute d’emplois sont composées de plus en plus de retraités. Des retraités qu’il faudra rassurer sur la hausse de la CSG en avançant l’argument de la future baisse de la taxe d’habitation. Pas vraiment le problème car les taxes d’habitation dans ces zones sont relativement faibles. Macron finira par parler de l’autorité de l‘Etat à laquelle les habitués de TFI à 13 heures sont sensibles. Il évoquera donc sans doute Notre dame des Landes, peut-être même la Syrie (on se demande bien dans quel guêpier il risque de se fourrer là !). Enfin il ya aussi les fameux 80 km heures décidés unilatéralement par le Premier ministre qui cherche à se faire une image dans l’ombre de Macron. (80 c’est trop sur certaines portions, pas assez sur d’autres davantage sécurisées)  Macron aura qui mal à expliquer que cette limitation, ne  favorisera pas les bouchons (et les amendes), on fait comment pour doubler les camions et les engins agricoles ?  Bref, » Macron chez les ploucs », pas vraiment un rôle pour lui ! Emmanuel Macron sera jeudi l’invité du 13H de TF1. 

 

Les électeurs de Sarkozy : des ploucs

  Les électeurs de Sarkozy : des ploucs

 

  • D’après l’AFP Sarkozy considérerait lui-même que son électorat populaire est surtout composé de ploucs. Une expression qu’il aurait employée lors d’un déjeuner mais qu’il conteste. Au-delà de la question sémantique finalement secondaire, c’est le problème de la sociologie des sélecteurs de Sarkozy qui est en cause et qui explique largement la nullité des propos tenus par Sarkozy en meeting. Des propos populistes souvent même d’une grande vulgarité mais qui plaisent à son électorat. Sarkozy sait  bien qu’il ne peut mordre sur les couches supérieures encore moins sur les intellos, ils visent donc  les couches très moyenne culturellement. Un électorat finalement assez proche de celui du front national. Sarkozy n’a peut-être pas utilisé exactement l’expression des ploucs mais il a bien analysé la nature de ses soutiens. Du coup il ne faut pas s’étonner du simplisme de ses analyses et de ses propositions souvent proches de la caricature.  Selon L’Obs, le candidat à la primaire de la droite aurait donc  qualifié son électorat de «ploucs» lors d’un déjeuner organisé par l’AFP. Son entourage oppose un démenti formel. La phrase aurait été prononcée lors d’un déjeuner au siège de l’Agence France Presse, mardi. Selon L’Obs, qui cite plusieurs sources concordantes, Nicolas Sarkozy aurait assuré devant les journalistes de la rédaction: «Mon électorat est populaire, ce sont des ploucs.» Contacté par Le Scan, l’entourage de l’ancien chef de l’Etat oppose un démenti formel. «Qu’il ait eu un propos sur son électorat populaire, c’est possible. Mais en aucun cas il n’a prononcé des mots dégradants comme ceux-ci», assure-t-on. «À l’AFP, ils savent qu’il n’a jamais dit ça comme ça», ajoute-t-on au sujet de l’ancien chef de l’État, qui se présente régulièrement comme le candidat du «peuple» contre les «élites». Le camp Sarkozy, qui évoque une «manipulation», entend attaquer en diffamation L’Obs et l’AFP, si l’agence ne fait pas de démenti. Une menace qui a peu de chances d’être suivie d’effet.



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