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Sondage popularité : , Manuel Valls plonge encore

Sondage  popularité : , Manuel Valls plonge encore

 

Valls plonge encore et se retrouve presque à son plus bas niveau. Hollande lui est toujours aussi impopulaire à) 21%. En faiat Valls paye surtout son implication médiatique excessive  dans tous les dossiers. Sa sur médiatisation devient intolérable à nombre de Français. Sans parler de cet posture caricaturale de l’homme qui ne faiblit jamais, qui assume , sorte de Donquichotte davantage que Clémenceau d’opérette. François Hollande reste au plus bas. La cote de popularité du Président est restée stable en mai, à 21%. Un constat différent pour Manuel Valls alors que le Premier ministre a perdu trois points, selon le baromètre IFOP pour le Journal du Dimanche, tombant à 37%.  Alors que 77% des Français ne souhaite pas voir François Hollande comme candidat en 2017, le chef de l’État est donc resté en mai à son score le plus bas de l’année 2015, huit points en dessous de son pic de janvier après les attentats, huit points au-dessus du plancher historique à 13 % atteint en septembre et novembre 2014, selon le sondage.  2% des personnes interrogées se déclarent « très satisfaites » et 19% « plutôt satisfaites » de François Hollande. Mais elle sont 40% « plutôt mécontentes » et 38% « très mécontentes » tandis que 1% ne se prononcent pas, des chiffres exactement semblables au mois d’avril. Le Premier ministre se rapproche de son plus bas niveau, à 35 %, qu’il avait atteint en septembre et décembre 2014. Même s’il demeure mieux perçu par l’opinion que François Hollande, le chef du gouvernement accuse une glissade plus sévère depuis le début de l’année : il se situe 16 points au-dessous de son pic de janvier, note le JDD.  En mai, 4% (+1%) des Français se déclarent « très satisfaits » du Premier ministre, 33% (-3%) « plutôt satisfaits », 40% (+3%) « plutôt mécontents » et 22% (=) « très mécontents ». 

Sondage Popularité : Valls plonge de dix points

Sondage Popularité : Valls plonge  de dix points

En même temps que ses nerfs Valls perd 10 point de popularité. Les cris, les colères , la politisation de tout l’ont donc largement desservi. Valls est surtout victime de lui-même et de sa recherche effrénée de posture autoritaire. Il confond autorité et autoritarisme, détermination et entêtement, parole publique et verbiage.  La cote de popularité de Manuel Valls dégringole donc de dix points, à 42% d’avis favorables, François Hollande perdant quant à lui quatre points, à 26%, dans le baromètre Ipsos-Le Point publié ce lundi. En un mois, la tendance s’est totalement inversée pour le Premier ministre : en février, il recueillait 52% d’opinions positives pour 43% d’opinions négatives. Ce mois-ci, les proportions sont respectivement de 42% et 52% (+9). Le chef du gouvernement reste toutefois six points au-dessus de son niveau de décembre 2014 (36% seulement d’avis positifs), avant les attentats de janvier. 6% des personnes interrogées ne se prononcent pas (5% en février). Entre les deux enquêtes, Manuel Valls a contraint sa majorité parlementaire à adopter la loi Macron en recourant au 49-3 (engagement de responsabilité) et s’est posé en premier adversaire du Front national, qu’il veut « stigmatiser » selon ses propres mots. Le président François Hollande, lui, tombe de 30 à 26% d’opinions favorables, se situant à son niveau de juillet 2013. Les jugements négatifs augmentent de deux points (de 67 à 69%). 5% ne se prononcent pas (3% en février).  Au palmarès des personnalités, Alain Juppé reste en tête avec 52% d’avis favorables, en baisse toutefois de quatre points. Derrière Jack Lang et Christine Lagarde, le ministre de l’Economie Emmanuel Macron se hisse au 4e rang avec 43% de jugements positifs. Au 13e rang, Nicolas Sarkozy recule de trois points à 35%, et Marine Le Pen de deux, à 29% (21e rang). Auprès des seuls sympathisants de l’UMP, Nicolas Sarkozy reste devant Alain Juppé (74% d’avis favorables contre 70%). Ce sondage a été réalisé par téléphone les 13 et 14 mars auprès d’un échantillon de 968 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Sondage confiance : Hollande (25%) et Valls (37%) et ça plonge et ça plonge !

Sondage Confiance : Hollande (25%) et Valls (37%) et ça plonge et ça plonge !

Un sondage qui vient confirme relui d’hier de TNT SOFRES. François Hollande perd quatre points de confiance, à 25%, en mars par rapport à février, tandis que Manuel Valls fait une chute de sept points, à 37%, selon un sondage CSA/Les Echos/Radio classique publié aujourd’hui. Un sondage qui surtout met en valeur la perte de crédibilité de Valls qui se grille chaque jour un peu plus avec ses crises d’autoritarisme et ses colères simulées. L’overdose fausse de  autorité ne passe plus, le comédien a trop surjoué !   Dans le baromètre CSA de février, le chef de l’Etat avait gagné dix points de confiance par rapport à décembre, le chef du gouvernement gagnant 11 points. L’enquête de janvier, qui coïncidait avec les attentats à Paris, n’avait, en effet, pas été publiée. Les Français sont 69% à ne pas faire confiance au président de la République « pour affronter les principaux problèmes qui se posent au pays ». 6% n’ont pas d’opinion. 57% ne font pas confiance à Manuel Valls, au lieu de 51% en février. 6% ne se prononcent pas.

Sondage :Valls plonge encore, la chute de Don Quichotte !

Sondage :Valls plonge encore, la chute de Don Quichotte  !

 

Dans un sondage TNS le Figaro, Valls perd encore 6 point pour atteindre 42% tandis que que Hollande perd aussi 1 point à 22%. Dans l’opposition Juppé toujours nettement en tête à 42% et Sarko à 33%. Le plus significatif est cette chute de 6 points de Valls qui prouve d’une  part que l’esprit du 11 janvier a bien disparu surtout fusillé par les micro réformes du gouvernement et les polémiques. Pourtant Valls n’a jamais autant parlé, ne s’est jamais autant agité, n’a jamais autant proclamé «  son autorité ». Mais  l’homme de fer qu’il se prétend commence à rouiller sous la pluie des critiques concernant en réalité son immobilisme caché par son activisme de façade. Il apparait de pus en plus clairement au Français que Valls est davantage préoccupé par sa posture de Clemenceau  d’opérette que par les résultats politiques. Cette posture de faux dur, cette arrogance, ces colères de comédien commencent  à lasser de plus en plus de français. Car son action se résume surtout à des commentaires autoritaristes  sur la situation du pays , pour le reste c’est l’inaction. L’utilisation du 49-3 pour la mini Loi Macron n’a trompé personne ;C’était une  fois encore l’occasion de monter sa pseudo-fermeté pour écraser des frondeurs qui font la guerre avec des sabres de bois au gouvernement. Un marteau pilon pour écraser une  mouche.  Du coup le peu de positif dans la loi Macron risque de disparaitre. Après la débâcle au départementales, il sera encore plus difficile à Valls de trouver uen majorité pour une  loi qui n’est pas vraiment celle du siècle et qui n’est pas à la hauteur des enjeux des la modernisation économique souhaitable. Valls fatigue tout le monde. il joue et surjoue Don Quichotte monté sur âne gouvernemental. Il attaque des moulins à vent, enfonce des portes ouvertes,  se gave de banalités en drapant sa nullité politique dans le voile des valeurs de la république. Le pire ses personnages dont la république a besoin, celui qui parle ,parle , saoule mais n’agit pas et ne se préoccupe que de sa posture.

Croissance: l’Allemagne plonge aussi

 

A limage de la croissance mondiale, l’activité de l’Allemagne se tasse sérieusement. La production industrielle allemande de décembre a légèrement déçu avec une hausse minime de 0,1% sur un mois, plus faible que prévu. Les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset misaient eux sur une progression plus marquée, de 0,5%. L’industrie est un secteur très important en Allemagne, première économie de la zone euro. Sa production avait faibli lors de l’été 2014 puis repris de la vigueur à l’automne, mais elle a quasiment stagné sur les deux derniers mois de 2014. En Chine , éprès celui de l’activité manufacturière c’est l’indicateur des services qui est décevant. - Le secteur des services a progressé en janvier au rythme le plus lent de ces six derniers mois, selon l’indice PMI/HSBC des services publié mercredi. L’indice s’établit à 51,8, bien en deçà des 53,4 enregistré en décembre. Un indice supérieur à 50 témoigne d’une croissance de l’activité; sous ce seuil, on entre dans une phase de contraction  L’usine du monde tourne au ralenti du fait de l’atonie de la demande mondiale. Le ralentissement se fait même sentir aux Etats-Unis Après deux trimestres très dynamiques, la croissance américaine a déçu sur les trois derniers mois de 2014. Le Produit Intérieur Brut (PIB) a progressé sur un rythme annualisé de 2,6 % (soit une croissance réelle de 0,65 %) entre octobre et décembre, selon les statistiques publiées, vendredi 30 janvier, par le Département du commerce. La production manufacturière chinoise, elle,  s’est contractée en janvier, selon HSBC qui a publié aujourd’hui son indice PMI des directeurs d’achat pour la Chine, un jour après que le gouvernement eut aussi annoncé une contraction. L’activité de la deuxième économie mondiale reste confrontée à une « détérioration », a souligné la banque en commentant ce chiffre morose. L’indice PMI calculé par HSBC s’établit à 49,7, contre 49,6 en décembre. Avant décembre, il fallait remonter à mai pour trouver un niveau plus mauvais, à 49,4. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière, tandis qu’un indice inférieur à ce seuil signale une contraction.  Hier, le gouvernement avait déjà annoncé un indice PMI des directeurs d’achat de 49,8, contre 50,1 en décembre. Il s’agit de la première contraction en 27 mois rapportée par le Bureau national des statistiques (BNS).  »Nous estimons que la demande dans le secteur manufacturier reste faible », a souligné Qu Hongbin, économiste chez HSBC. La Chine a vu sa croissance économique ralentir fortement en 2014, à 7,4%, glissant à un niveau plus vu depuis près d’un quart de siècle, selon des chiffres gouvernementaux.

 

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Sondage popularité : Hollande baisse, Sarkozy plonge

Sondage popularité : Hollande baisse, Sarkozy plonge

 

Dans ce sondage, c’est la dégringolade des « grandes gueules » (Hollande, Sarkozy, Lepen) au profit des plus sobres et des plus discrets (Juppé, Le Drian, Fabius, Lemaire) Hollande perd encore  deux points en un mois, à 18%, tandis que Nicolas Sarkozy cède 6 points, dans une enquête réalisé par Opinionway et publiée ce dimanche 12 octobre. Le chef de l’Etat est crédité de 18% de satisfaction contre 20% en septembre. Le nombre de mécontents, lui, augmente de 1 point à 81%. Manuel Valls, pour sa part, reste stable, à 32% de satisfaits, et 67% de mécontents.  En face, Nicolas Sarkozy voit son taux de satisfaction fondre de 6 points, à 33%, par rapport à septembre, mois au cours duquel il est entré en piste pour la présidence de l’UMP. Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, et Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, gardent la tête du palmarès de l’action gouvernementale, à 52% de satisfaits. Ils ont perdu 1 point chacun. Tous les ministres testés perdent du terrain, mais le ministre de l’Agriculture et porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll, abandonne 9 points, à 38% de satisfaction. Chute équivalente pour le ministre de l’Economie Emmanuel Macron, qui tombe lui, à 31%. En haut du palmarès des autres leaders politiques, Alain Juppé est tout seul avec 54% de Français satisfaits. Il a gagné un point.  Il devance ainsi le président du MoDem François Bayrou de 11 points, puisque celui-ci perd un point, et tombe à 43%. Bayrou, pour sa part, est talonné par l’UMP Bruno Le Maire, qui a gagné un point, et se retrouve à 41%. Quant à Marine Le Pen, elle perd cinq points à 30%.

 

Bourses : ça plonge

Bourses : ça plonge

 

C’est connu les cours ne peuvent monter jusqu’au ciel surtout dans un contexte de déprime mondiale ; or ce contexte a été sous-estimé depuis le début de l’année. Pour résumer la croissance mondiale est moins forte que prévue affectée par les résultats décevants en Europe, en Chine et dans nombre de pays émergents (la Russie par exemple). La situation géopolitique instable du proche et moyen orient, la crise qui perdure en Ukraine pèse sur la confiance et les échanges. Du coup la bourse tombe  à son niveau de début d’année et cela va se maintenir sans doute pendant plusieurs mois ( surtout avec la baisse de l’euro).  Les principales Bourses européennes ont terminé vendredi à leurs plus bas de l’année, Francfort revenant même à son niveau d’octobre 2013, toujours plombés par les inquiétudes grandissantes des marchés sur la croissance allemande et plus généralement sur l’économie mondiale. Le CAC 40 a reculé de 1,64% à 4.073,71 points. L’indice est tombé en séance à son plus bas niveau depuis mi-décembre 2013 et enregistre sur la semaine sa plus mauvaise performance depuis fin septembre 2012 avec une baisse de 4,86%.  Le Footsie britannique a cédé 1,43% et le Dax allemand a lâché 2,4%, terminant non loin d’un plus bas d’octobre 2013 touché en séance. Les indices EuroStoxx 50 et FTSEurofirst 300 ont respectivement abandonné 1,67% et 1,47%. Sur la semaine, le FTSEurofirst 300 a reculé de 3,9%. Après une ouverture hésitante, Wall Street était orientée en baisse au moment de la clôture en Europe. Le récent mouvement baissier a incité les investisseurs basés aux Etats-Unis à réduire leur exposition à l’Europe, selon les données Thomson Reuters Lipper, qui font état d’importantes sorties sur les cinq jours se terminant le 8 octobre. La correction plus marquée du Dax s’explique en partie par une récente série noire d’indicateurs, la chute de 5,8% des exportations allemandes en août étant la dernière en date. Les opérateurs citent également parmi les facteurs négatifs la révision à la baisse des prévisions de croissance de l’économie mondiale par le FMI () et les craintes de propagation accrue du virus Ebola, qui pénalisent les valeurs liées au transport et au tourisme. « Je ne pense pas qu’il y aura un effondrement complet, mais je pense que le marché sera baissier pendant plusieurs semaines », estime Darren Courtney-Cook, à la tête du trading chez Central Markets Investment Management. Les craintes sur la santé de l’économie mondiale font remonter le dollar pour la deuxième journée consécutive. L’indice dollar prend 0,38% vers 15h35 GMT, tandis que l’euro baisse de 0,46% à 1,2632. Sur le marché du pétrole, le reflux des cours se poursuit avec un Brent qui se maintient sous les 90 dollars.

 

Sondage popularité : Valls plonge

Sondage popularité : Valls plonge

Manuel Valls chute de six points dans notre baromètre Ifop-JDD de juillet. Le Premier ministre passe de 51% à 45% de Français satisfaits, tombant donc sous la barre des 50%. Trois mois et demi après son installation à Matignon, le responsable politique préféré de la gauche reste certes crédité d’un capital important, 27 points au-dessus du président de la République. Mais l’impression positive donnée à son arrivée à Matignon (il culminait à 58% de satisfaits) s’est érodée. « Il a connu un état de grâce, les Français estimant qu’il avait le bon profil pour ce poste. Ils apprécient son volontarisme et le gouvernement ne souffre plus de couacs. Mais ils attendent toujours des résultats et aucune éclaircie ne se dessine à l’horizon », commente Jérôme Fourquet, directeur du département Opinions à l’Ifop. La baisse du Premier ministre se constate dans toutes les catégories de la population, ce qui traduit de l’ »impatience », selon le sondeur. Pour sa part, François Hollande reste stable à son niveau le plus faible, avec 18% de satisfaits. Son intervention télévisée du 14-Juillet a donc été sans effet sur l’opinion. Reste que la cote du chef de l’Etat ne baisse plus depuis quatre mois. Il a enraillé la chute de l’hiver, et connait même un regain de popularité chez les sympathisants socialistes (56% de satisfaits en juillet contre 46% en juin). C’est la seule catégorie de l’électorat où il dépasse les 50%.

Sondage popularité: Valls plonge

Sondage popularité: Valls plonge

 

Valls plonge, il subit l’érosion générale du gouvernement mais est surtout victime de sa suffisance et de son inefficacité ; jusque là son discours paraissait rassurant, le ton ferme, l’allure quasi martiale, il donner l’impression d’un ministre responsable ; En fait il a dévissé parce que ses résultats sur l’insécurité sont en réalité décevants, la criminalité augmente, les cambriolages ne cessent de progresser. Il y a un véritable fossé entre le discours et la politique ; en outre il s’est planté sur le Dossier Dieudonné en en faisant des tonnes et s’attaquant au passage à la liberté d’expression. (Ce qui n’excuse pas évidemment Dieudonné sur ses outrances antisémites). Enfin Valls apparait aujourd’hui tel qu’il est, trop sûr de lui, perso et arriviste. Il s’est même exprimé sur la PMA, la GPA (aujourd’hui sur es taxis qui relèvent du ministère des transports). Manuel Valls a donc vu sa cote de satisfaction dévisser de 12 points en février sur un mois dans le baromètre Clai-Metronews-LCI, réalisé par l’institut OpinionWay avant une grande émission télévisée du ministre de l’Intérieur et publié dimanche. Le ministre de l’Intérieur, habitué à la première marche du podium gouvernemental, s’y retrouve à la cinquième place, sa cote étant passée de 57 points en janvier à 45 en février.  Il est devancé par Najat Vallaud-Belkacem, (Porte-parole, Femmes) en tête avec 49% de satisfaction (-1), Laurent Fabius (Affaires étrangères), inchangé à 48%, Jean-Yves Le Drian (Défense), qui abandonne 6 points à 45%, et Aurélie Filippetti (Culture, 45%, -2).  Populaire depuis sa prise de fonction place Beauvau au vu des enquêtes d’opinion, Manuel Valls a enregistré début 2014 une chute mesurée par plusieurs instituts de sondages: -9 points à 48% d’opinions positives chez Harris Interactive, -6 points à 49% dans le baromètre mensuel BVA, -7 pts à 31% pour l’institut YouGov.  Il avait aussi cédé la tête du tableau de bord mensuel des personnalités (-7 pts, 61%) Ifop pour Paris-Match, publié le 14 janvier.

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Enseignement , la ,France, plonge, encore

Enseignement  : la France plonge encore

 

Nouvelle chute de la France dans le classement mondial de l’édication. Pas étonnat, puisque le coeur de lenseignement ( lecture, ecriture, calclul, français, math) est noyé dans un fatras de disciplines plus ou moins ésotériques. Pas étonnat quand on s’occupe d’abord de la forme comme les rytmes scolaires au lieu de traiter en priorité du contenu des programmes, pas étonnat quand les pédagogies frisent le surraélisme.Peilleon, lui, commence par les activités péri scolaires , normal pour un prof de philo très éloigné des réalités économiques, socailes et même sociétales.  Réalisée tous les trois ans, l’étude Pisa, évaluation des systèmes éducatifs de 65 pays de l’OCDE, vient d’être publiée mardi. En France, sa livraison était attendue avec inquiétude par la communauté éducative. A juste titre. Avec la 25e place, la France perd deux rangs dans le nouveau classement établi par l’OCDE. Dévoilés mardi matin, après un long suspense, les résultats de l’enquête de l’OCDE qui évalue tous les trois ans les systèmes éducatifs de 65 pays depuis 2000, lève le voile sur une France inefficace et inégalitaire. « Ce sont des résultats préoccupants et inacceptables », a vivement réagi le ministre de l’Education Vincent Peillon lors d’une conférence de presse. Pisa tombe à point nommé pour permettre à Vincent Peillon de justifier les réformes qu’il a engagées comme la priorité au primaire, les rythmes scolaires, le retour de la formation des enseignants, le « plus de maîtres que de classes » dans certaines écoles difficiles ou faire évoluer, notamment, le très délicat sujet des conditions du métier d’enseignant, actuellement en discussion. En mathématiques, thème majeur de Pisa 2012, la France a vu son score diminuer de 16 points entre 2003 (dernière année comparable) et 2012. Elle fait partie des 14 pays qui voient leur score reculer. Avec 495 points, les résultats obtenus sont loin du numéro 1, Shanghai, qui caracole à 613 points. De plus, les 10% d’élèves les moins performants en maths ont vu leurs résultats chuter entre 2003 et 2012. L’écart avec les bons élèves s’est sensiblement creusé. Pour les deux autres domaines étudiés par Pisa, culture scientifique et compréhension de l’écrit, en revanche, les résultats sont restés stables. Le score, en compréhension de l’écrit, est même au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE. La France apparaît comme l’un des pays où le système éducatif est le plus inégalitaire! Ainsi, la corrélation entre milieu socio-économique et performance y est bien plus forte qu’ailleurs au sein de l’OCDE. Pis, au fil des ans, l’école française est devenue de plus en plus inégalitaire. Aujourd’hui, un enfant issu de milieu défavorisé y a beaucoup moins de chance de réussir. De même, d’ailleurs, souligne Pisa, qu’un enfant issu de l’immigration. Démonstration : en Australie ou au Canada, 16% seulement des élèves issus de l’immigration n’atteignent pas le niveau 2 en maths. En France… c’est 43% qui n’y parviennent pas! Enfin, l’enquête Pisa constate le manque de confiance des élèves français en mathématiques. Peu sûrs d’eux, nos élèves sont devenus, aussi, moins persévérants. Ainsi, un sur deux abandonne facilement face à un problème (contre un sur trois aux Etats-Unis ou en Pologne). Parmi les premiers de la classe, l’Asie truste les sept premières places, la Finlande perd dix places. Ce qui chamboule le classement de tête :  Shanghaï, Singapour, Hong Kong arrivent en tête suivie de Taipei (Chine), Corée, Macao (Chine), Japon. Le premier pays occidental du classement étant le Liechtenstein, suivi de la Suisse et des Pays-Bas. Quant au fameux modèle finlandais, tant vanté pour son évaluation par compétences et son recours très limité aux notes – il tombe, de fait, à la 12e position. Parmi les chutes record : l’Australie qui passe de la 9e à la 19e place et les États-Unis qui tombent du 17e au 36e rang! L’Allemagne qui, après le « choc Pisa » de 2000, a engagé des réformes d’envergure, progresse de la 20e à la 16e place. La France saura-t-elle tirer les leçons de son premier « choc Pisa »? « L’école de la République, ce n’est pas finie! Nous allons la refondre! » a clamé Vincent Peillon. Rendez-vous en 2015.

 

 

Sondage popularité : Hollande plonge à 23%

Sondage  popularité : Hollande plonge  à 23%

Conséquence principale  de son enfumage sur la fiscalité, Hollande plonge.  En septembre, la cote de popularité de François Hollande a atteint son niveau le plus bas dans le baromètre mensuel Ifop depuis son élection. Sa popularité enregistre une chute de cinq points à 23%, celle de Jean-Marc Ayrault restant stable par rapport au mois dernier, à 30%, selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche. Jusqu’alors le taux minimal de satisfaction était de 25%, atteint en avril. Dans l’enquête réalisée ce mois-ci, seuls 23% des Français se disent satisfaits de François Hollande comme président de la République (2% « très satisfaits », 21% « plutôt satisfaits »), 76% s’affirmant mécontents (39% « plutôt mécontents », 37% « très mécontents »). Le rapport était de 28/71 en août. 1% ne se prononcent pas comme le mois dernier.  De son côté le Premier ministre Jean-Marc Ayrault recueille 30% d’avis favorables (2% sont « très satisfaits », 28% « plutôt satisfaits », comme en août). 66% des sondés se disent mécontents du chef du gouvernement (42% « plutôt mécontents », 24% « très mécontents »), soit deux points de plus qu’en août. 4% NSP (-2 points).

 

Etats-Unis : la croissance de la consommation plonge

Etats-Unis : la croissance de la consommation plonge

 

Contrairement à l’idée répandue, les Etats Unis ne sont pas sortis de la crise car faute d’augmentation du pouvoir d’achat, la consommation, principal moteur de la croissance, commence à stagner. Une mauvaise nouvelle pour l’économie mondiale. Les dépenses de consommation des ménages ont grignoté seulement 0,1% en juillet, en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières, marquant une brutale décélération par rapport à l’avancée de 0,6% en juin, selon des données publiées vendredi par le département du Commerce.  Les analystes ont dans l’ensemble été surpris par cette baisse d’intensité et s’attendaient à une meilleure résistance des dépenses, à +0,3%.  En tenant compte de l’inflation, le tableau est encore plus maussade et affiche une stagnation de la consommation par rapport à juin.   »Il y a eu une perte d’élan évidente », résume Peter Newland, de Barclays Ressearch.  Les chiffres de la croissance américaine publiés jeudi témoignaient déjà d’un tassement des dépenses des ménages. Au deuxième trimestre, elles n’avaient augmenté que de 1,8% contre 2,3% pendant les trois premiers mois de l’année.  En juillet, le repli est particulièrement marqué pour la consommation des biens durables qui se replient de 0,2%, mettant fin à quatre mois de progression successifs.   »Cela reflète très probablement l’impact sur les ventes de voitures de l’augmentation des taux de financement » qui sont récemment repartis à la hausse aux Etats-Unis, avance Chris Low de FTN Financial.  Les ménages auraient pu être encouragés par une faible inflation en juillet (+0,1% sur un mois) mais leurs ardeurs consommatrices ont été refroidies par l’évolution de leurs revenus: ils ont décéléré en juillet pour ne progresser que de 0,1% contre 0,3% le mois précédent, selon les données du département du Commerce.  Les salaires et rémunérations ont été les plus affectés et ont même reculé en juillet (-0,3%) pour la première fois depuis janvier.   »Les revenus n’ont augmenté en juillet que grâce aux dividendes (versées aux actionnaires, ndlr). Si vous gagnez votre argent non pas en investissant mais en travaillant, c’est une tout autre histoire. La rémunération des travailleurs a brutalement chuté », souligne Joel Naroff.   »Avec des salaires qui stagnent, comment peut-on s’étonner que les dépenses de consommation soient là où elles sont? », a-t-il poursuivi.  Il n’est visiblement pas le seul à se poser la question. Jeudi, des milliers d’employés de chaîne de restauration rapide se sont mis en grève aux Etats-Unis pour réclamer le doublement de leur rémunération actuelle, souvent calquée sur le salaire minimum (7,25 dollars de l’heure).  Le projet du président Barack Obama de faire porter ce chiffre à 9 dollars se heurte à l’opposition du Congrès.  D’autres ménages disposent certes de revenus mais préfèrent, semble-t-il, l’épargner face aux incertitudes qui guettent l’activité aux Etats-Unis. Le taux d’épargne s’est ainsi maintenu à un taux élevé en juillet (4,4%).  Au delà-de ses implications sociales, le coup de froid sur la consommation pourrait bien, dans les mois à venir, peser sur la croissance américaine dont elle est le principal moteur.   »Les faibles dépenses de consommation en juillet marquent un mauvais départ pour le (troisième, ndr) trimestre tandis que la faible progression des revenus suggère qu’il ne faut pas s’attendre à une amélioration prochaine », souligne Chris Low.  Comment la Banque centrale américaine va-t-elle interpréter ces données? La Fed scrute la conjoncture pour décider du moment opportun d’alléger son soutien à l’économie américaine en réduisant ses injections de liquidités, qui s’élèvent actuellement à 85 milliards de dollars par mois.  Son comité de politique monétaire se réunit les 17 et 18 septembre mais il devrait, selon les experts, opter pour le statu quo face aux mauvaises nouvelles sur le front de la consommation.   »La Fed devrait prendre en compte la consommation des ménages au moment de prendre sa décision sur une réduction. Après tout, elle a lancé une nouvelle phase d’assouplissement monétaire (en septembre 2012, ndlr) notamment pour contrebalancer l’impact de la cure d’austérité budgétaire » sur les ménages, indique Chris Low.

 

Sondage popularité : Hollande plonge en juillet

Sondage popularité : Hollande plonge  en juillet

 

 

Un sondage réalisé juste avant la conférence de presse qui confirme le nouveau recul de Hollande. Après la conférence de presse du 14 juillet particulièrement terne et peu suivie, la popularité n’est certainement pas en hausse. François Hollande et Jean-Marc Ayrault enregistrent en juillet un reflux de popularité, de 4 points pour atteindre 40% de bonnes opinions pour le président et de 3 points à 45% pour le Premier ministre, selon le baromètre mensuel Ifop-Paris Match, publié mardi. Ce reflux intervient après une embellie constatée le mois dernier où François Hollande et Jean-Marc Ayrault avaient enregistré une hausse de six points, respectivement à 44% et 48%, rappelle l’Ifop.  Dans le classement des personnalités, Manuel Valls continue à faire la course en tête avec 69% d’opinions favorables (-1) devant Bertrand Delanoë et Jean-Louis Borloo 63% (-3 et +1).  Arnaud Montebourg (54%, +2) et Najat Vallaud-Belkacem (50%, =) demeurent les ministres les plus appréciés derrière le ministre de l’Intérieur, alors que Michel Sapin (47%, – 6) et Pierre Moscovici (44%, -5) subissent les baisses les plus significatives.  A droite, le retour sur la scène politique de Nicolas Sarkozy n’a eu que des effets mineurs sur son image. Avec 42% (+2) d’opinions favorables, l’ancien président de la République est largement devancé dans le coeur des Français par son ex-Premier ministre François Fillon (53%, -3). Mais l’ex-chef de l?État reste en revanche plébiscité par les sympathisants de l’UMP qui, avec 74% (+4) d’opinions favorables, le placent très au-dessus de François Fillon, crédité de seulement 26% (-3) de bonnes opinions.  Chez les centristes enfin, François Bayrou inverse le rapport de force qui l’oppose à Jean-Louis Borloo. Le patron du MoDem est préféré par 51% (+7) des Français au président de l’UDI 45% (-9).  Sondage réalisé par téléphone du 12 au 13 juillet 2013 sur un échantillon de 1.007 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Sondage : Hollande plonge encore à 24%

Sondage : Hollande plonge encore à 24%

 

 Le séisme politique se rapproche car Hollande n’est plus soutenu que par 24% de Français qui se déclarent « plutôt satisfaits » de la première année de mandat de François Hollande à la présidence, selon un sondage BVA publié dimanche dans Le Parisien.A la question « Globalement, diriez-vous que vous êtes plutôt satisfait ou plutôt mécontent de la première année de mandat de François Hollande en tant que président de la République ? », 24% répondent donc positivement et 62% par la négative. « François Hollande est certes très bas, mais il peut encore tenir et même rebondir », estime Gaël Sliman, directeur de l’institut BVA. « Par le passé, on a connu d’autres présidents restés longtemps impopulaires et qui se sont pourtant maintenus », rappelle le politologue. « Certains, comme Jacques Chirac, ont même réussi à se faire réélire. D’autres sont passés tout près, comme Nicolas Sarkozy. Pour ce dernier, on oublie que ses niveaux d’insatisfaction étaient voisins de ce qu’on observe aujourd’hui pour Hollande », ajoute-t-il. Dans une seconde question sur l’évaluation des présidents de la Vème République, M. Hollande fait trois fois moins bien que Charles de Gaulle: 89% des sondés pensent que de Gaulle était un « bon président contre 29% en ce qui concerne Hollande. Georges Pompidou recueille 83% d’opinions positives, Valéry Giscard d’Estaing 57%, François Mitterrand 55%, Jacques Chirac 58% et Nicolas Sarkozy 48%. Par ailleurs, 54% des sondés pensent que le président ne doit pas dissoudre l’Assemblée nationale mais 61% sont favorables à un remaniement ministériel et notamment un changement de Premier ministre dans les semaines et les mois qui viennent. Cependant, les Français sont 68% à estimer que ce remaniement ne permettrait pas d’améliorer la situation du pays, face à la crise.

La croissance allemande plonge aussi ; une bonne nouvelle ?

La croissance allemande plonge aussi ; une bonne nouvelle ?  

Une bonne nouvelle peut-être pour l’Europe, la croissance de l’Allemagne plonge. De quoi faire réfléchir Merkel sur les effets de l’austérité en Europe. L’Allemagne est certes rigoureuse et  compétitive mais elle subit logiquement les conséquences de la crise en Europe (qui absorbe 60% de ses exportations). En fait l’Allemagne ( et les autorité européennes qui la suivent docilement ) sont victimes de leur aveuglement en imposant trop brutalement  des critères budgétaires qui tuent la croissance à l’inverse de ce qui se passe notamment aux Etats-Unis ou au japon qui font de la croissance objectif numéro 1 . Le Produit intérieur brut (PIB) du pays a progressé de 0,7% en données ajustées des variations calendaires, selon des chiffres provisoires annoncés mardi par l’office fédéral des statistiques Destatis lors d’une conférence de presse à Wiesbaden (ouest).  C’est bien moins qu’en 2011 (+3%) et 2010 (+4,2%) et moins aussi que la dernière prévision du gouvernement allemand qui attendait +0,8%.  L’économie allemande a été graduellement rattrapée par la crise qui frappe durement certains de ses partenaires comme l’Italie et l’Espagne au sein de l’Union monétaire. Au premier trimestre, elle avait enregistré une croissance de 0,5%, puis de 0,3% au deuxième et de 0,2% au troisième.  Au quatrième trimestre, le PIB s’est sans surprise contracté, de 0,5% par rapport au troisième trimestre. Mais au regard des derniers indicateurs d’activité et de confiance, les économistes s’attendent à ce qu’il progresse à nouveau au cours du premier trimestre 2013, évitant au pays une récession technique (deux mois d’affilée de recul du PIB).  Prudent, le gouvernement allemand a préféré abaisser sa prévision de croissance pour 2013, tablant désormais sur une progression de seulement 0,4% contre 1% jusqu’ici, a-t-on appris mardi de source ministérielle.  Pour 2014 un rebond de la croissance est en revanche attendu, avec une hausse du PIB de 1,6%, a-t-on indiqué de même source.  Le ministère de l’Economie doit révéler officiellement mercredi les nouvelles prévisions de croissance de Berlin à l’occasion de la publication de son rapport annuel.  Côté économistes, Christian Ott de Natixis a prédit une « croissance poussive » en Allemagne en 2013, tandis que Carsten Brzeski d’ING, plus optimiste, a estimé que le pays avait les « fondamentaux économiques pour signer une nouvelle année de croissance solide en 2013″ et qu’il devrait être « l’un des premiers bénéficiaires de la reprise de l’économie mondiale ».  Selon Andreas Rees d’UniCredit « la performance de l’économie allemande l’an dernier a été remarquable » vu le contexte actuel de récession en zone euro et la faiblesse du quatrième trimestre.  C’est aussi l’avis du directeur de Destatis Roderich Egeler, qui a estimé que l’économie allemande s’était montrée « résistante en 2012, en dépit d’un environnement difficile », même si la conjoncture dans le pays s’est « nettement rafraîchie » au deuxième semestre.  Les exportations, fer de lance de l’économie allemande, ont progressé de 4,1% l’an passé, davantage que les importations (+2,3%), selon Destatis, qui note que « le recul des exportations vers les pays de l’Union européenne a été plus que compensé par la hausse des exportations hors d’Europe ».  Le tableau est plus contrasté du côté de la demande intérieure. La consommation privée, soutenue notamment par la bonne santé du marché de l’emploi, a augmenté de 0,8% l’an dernier, mais devant la montée des incertitudes les investissements ont fortement reculé, en particulier dans les biens d’équipement (-4,4%).  Bonne nouvelle pour la chancelière allemande Angela Merkel, chantre de l’assainissement des finances publiques en zone euro: pour la première fois depuis 2007, l’Allemagne a dégagé l’an dernier un excédent public de 2,2 milliards d’euros, soit 0,1% du PIB, contre un déficit de 0,8% en 2011 et de 4,1% en 2010, selon Destatis.  Ce résultat s’explique par la bonne tenue du marché du travail allemand, qui a profité aux recettes fiscales, mais également par les efforts de consolidation budgétaire menés par « toutes les collectivités territoriales », s’est félicité le ministère des Finances à Berlin.  Le déficit budgétaire de l’Etat fédéral, l’une des composantes des finances publiques du pays avec les Etats régionaux, les communes et les caisses de sécurité sociale, est par ailleurs ressorti inférieur de 5,6 milliards d’euros aux prévisions en 2012, à 22,5 milliards , selon le ministère des Finances.  La dette publique du pays a en revanche augmenté, atteignant 81,7% du PIB contre 80,5% en 2011, soit bien au-delà de la limite de 60% fixée par le Traité de Maastricht.

 

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