Archive pour le Tag 'plonge'

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Croissance France : la Production industrielle plonge de 2.3% en décembre

Croissance France : la Production  industrielle plonge de 2.3% en décembre

 

D’après l’INSEE, cette chute de la production industrielle serait en grande partie imputable aux grèves et aux difficultés d’approvisionnement. Une manière de servir la soupe au gouvernement. En effet la même tendance a été enregistrée dans les autres pays européens. la production industrielle a donc chuté de 2,8% en décembre par rapport au mois précédent, après avoir été stable en novembre.

Ce recul, le plus fort depuis janvier 2018, s’avère nettement supérieur aux prévisions des économistes interrogés par Reuters, qui tablaient en moyenne sur une baisse de 0,3%.

Le ralentissement de la production en fin d’année a largement contribué à la contraction de 0,1% de l’économie française au quatrième trimestre.

D’autres facteurs que les mouvements sociaux nationaux pourraient avoir pesé sur la production industrielle française en décembre, car un fléchissement marqué a aussi été constaté dans d’autres pays européens.

La production de l’industrie allemande a par exemple reculé de 3,5% en décembre, enregistrant son repli le plus marqué depuis plus d’une décennie.

Plus encourageant pour l’économie française, d’autres données préliminaires publiées vendredi par l’Insee suggèrent que l’amélioration du marché du travail s’est poursuivie en fin d’année dernière malgré la contraction du produit intérieur brut (PIB).

Au cours du quatrième trimestre 2019, l’emploi salarié dans le secteur privé a progressé de 0,2%, avec 40.700 postes créés, ce qui porte à 201.000 les créations nettes de postes sur l’ensemble de l’année écoulée (+1,1%).

Les Douanes ont quant à elles fait état d’une légère réduction du déficit commercial de la France en 2019. A 58,91 milliards d’euros (après 62,84 milliards en 2018), il a connu sa première amélioration depuis 2015.

Croissance Japon: l’ industrie manufacturière plonge encore

Croissance Japon: l’ industrie manufacturière plonge encore

 

C’est le huitième mois consécutif que le secteur de l’industrie japonais plonge ,victime tout autant du ralentissement chinois que de la crise interne dans laquelle s’englue le pays du faite notamment de son endettement. L’activité du secteur manufacturier au Japon s’est en effet contractée en décembre pour un huitième mois consécutif, montrent les résultats publiés lundi de l’enquête réalisée par Markit/Jibun Bank auprès des directeurs d’achats.

L’indice PMI manufacturier calculé par Markit/Jibun Bank a chuté à 48,4 en décembre en données corrigées des variations saisonnières, ce qui correspond au niveau enregistré en octobre, lorsque l’indice avait atteint un plus bas de trois ans.

Il reste pour le huitième mois d’affilée sous le seuil de 50 qui sépare contraction et expansion de l’activité. Il s’agit de la plus longue période de contraction du secteur manufacturier depuis celle de neuf mois entre juin 2012 et février 2013.

D’après les résultats de l’enquête, les nouvelles commandes et la production industrielle dans leur ensemble ont ralenti pour un 12e mois de rang.

Allemagne: la croissance plonge

Allemagne: la croissance plonge

 

 

Les principaux instituts économiques  d’Allemagne confirment que la perspective d’une croissance de 0,8 % prévus en avril est illusoire. Comme on s’y attendait la croissance aura du mal à atteindre 0,5 % en 2019. De la même manière, on a révisé nettement à la baisse les perspectives pour 2020 avec une prévision autour de 1 %. C’est une très mauvaise nouvelle pour la zone euro quand on fait que l’Allemagne constitue le moteur de la dynamique européenne. Les facteurs explicatifs sont nombreux. Il y a sans doute d’abord le fait que l’économie mondiale s’inscrit dans un cycle baissier dont on ne sortira sans doute pas avant plusieurs années. Il faudra se contenter dans les pays développés d’une croissance entre 1et 1.5 % pour les meilleurs. Ensuite cette évolution de l’activité allemande tient à la structure de l’économie qui est essentiellement fondée sur la très forte capacité de l’Allemagne à exporter notamment des machines-outils et des automobiles. Parmi les principaux clients de l’Allemagne, il y a les États-Unis et la Chine. Or la Chine a enregistré la cinquième baisse consécutive ce mois-ci de son activité manufacturière.

D’une façon générale, son industrie a moins besoin de machines. Par ailleurs, le pouvoir des d’achat des chinois est  en berne et affecte  la vente de voitures d’origine allemande. L’Allemagne est aussi affrontée à de graves menaces commerciales de la part des États-Unis vis-à-vis des exportations automobiles. L’orthodoxie financière de l’Allemagne est aussi en cause. Certes on ne peut reprocher un pays une rigueur de gestion mais cette rigueur devient excessive quand elle tue l’économie. Depuis des années l’Allemagne se refuse en effet à utiliser ses excellents budgétaires pour un vrai plan de relance notamment en direction d’infrastructures devenues de plus en plus vétuste. C’est le modèle économique de l’Allemagne qui est en cause et qui devra, comme d’autres sans doute en raison des modifications du commerce international, recentrer une partie de son économie sur la consommation. Cette situation de l’Allemagne principal partenaire de la France ne sera pas sans conséquences sur l’activité générale en France. Comme l’Allemagne la France pourrait bien se contenter d’une croissance de 1 % en 2020

En Allemagne, les instituts tablent donc  pour 2020 sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, contre 1,8% prévu il y a six mois.

Pour 2021, ils prédisent une expansion de 1,4%.

Le nombre d’emplois aidés des plus défavorisés plonge

Le nombre d’emplois aidés des plus défavorisés plonge

Baisse des  aides à l’embauche ciblées (-38,5%). Les principaux concernés seraient les moins de 26 ans et les plus de 55 ans, des populations souvent frappées par un chômage bien plus important que la moyenne nationale. Le chômage de longue durée est particulièrement visible chez les plus âgés. Un exemple, celui de société d’insertion dont l’activité est le nettoyage de logements et de bâtiments. Un public surtout de femmes souvent seules et d’un certain âge qui remettent le pied à l’étrier de l’emploi via un ou plusieurs CDD. Un travail plus ingrat et fatigant rémunéré mois de 1100 euro pour 35 heures et autours de 800 euros pour 30 heures. Avec en plus parfois es horaires compliqués. Le gouvernement justifie ces baisses drastiques par le remplacement des contrats en alternance. Mais de type de contrat qui n’ont strictement rien à voir. En outre, sur le plan quantitatif les contrats en alternance sont loin de compenser la baisse des contrats aidés. . Lors de la présentation du budget 2019, le ministre des comptes publics Gerald Darmanin a confirmé que 130.000 emplois aidés seraient financés l’année prochaine contre 200.000 en 2018.

 

Sondage Européennes : La République en marche plonge avec Macron

Sondage Européennes : La République en marche plonge avec Macron

Selon un  sondage Ifop commandé par Paris Match, Sud Radio et CNews, la liste république en marche pour les européennes perd trois points auprès des électeurs, en moins de deux mois. En juin 2018, 23% des sondés étaient prêts à donner leur voix au parti présidentiel, associé au MoDem pour ce scrutin. À la fin du mois d’août, comme l’indique le nouveau sondage, ils ne sont plus que 20% à se prononcer en faveur de la liste LaREM-MoDem. En seconde position, le Rassemblement National (ex-FN) connaît lui aussi une baisse des intentions de vote. La liste, qui ne sera manifestement pas emmenée par Marine Le Pen, perd deux points, et plafonne à 17%. La droite républicaine, dont la tête de liste est encore inconnue, suit les frontistes de près, avec 15% des intentions. Un chiffre stable depuis le premier sondage réalisé en juin.

Du côté des Insoumis, on note en revanche une progression. Le parti créé par Jean-Luc Mélenchon a déjà fait savoir qu’il enverrait le tandem Charlotte Girard et Manuel Bompard devant les urnes. La liste insoumise est créditée de 14% d’intention de vote, soit une progression de 3 points depuis juin 2018. La liste Europe Ecologie-Les Verts emmenée par Yannick Jadot gagne 1,5 point et se place en cinquième position avec 7.5% des intentions de vote. Le PS, quant à lui, reste stable avec 6%, mais demeure devancé par la liste Debout la France, créditée de 6.5% des intentions de vote. Les communistes, représentés par Ian Brossat, ne mobilisent que 2% des sondés. Enfin, Les Patriotes de Florian Philippot n’engrangent que 1% des intentions de vote.

Sondage réalisé par questionnaire auto-administré en ligne du 25 au 27 juin 2018, puis du 30 au 31 août 2018, auprès d’un échantillon de 1 374 électeurs, extrait d’un échantillon de 1 504 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

La monnaie iranienne plonge

La monnaie iranienne plonge

 

  

Conséquence des sanctions  américaines, la monnaie iranienne commence à plonger sérieusement. En cause, les restrictions imposées par les États-Unis sur le commerce de l’Iran notamment le pétrole. Or on sait que le pétrole est une ressource fondamentale- le pétrole selon les années représente environ 50 % des ressources publiques. Il y aura également d’autres conséquences avec des désengagements de certaines grandes firmes internationales qui se retirent de l’Iran et qui refusent désormais de faire du commerce avec ce pays, exemple en France Total ou PSA. Le plus grave ce sont les incertitudes de la politique américaine qui évoluent entre la perspective d’un blocus total la renégociation d’un accord comme l’a annoncé avec beaucoup de contradictions Trump  récemment. Le décrochage de la monnaie iranienne s’est poursuivi dimanche, le rial touchant un nouveau point bas historique et franchissant le seuil des 100.000 pour un dollar alors que le pays s’apprête à subir à partir du 7 août la restauration de sanctions économiques américaines.

La présidence américaine a dénoncé au mois de mai l’accord conclu à l’été 2015 entre la république islamique et les grandes puissances et qui avait permis la levée de sanctions en contrepartie d’un encadrement strict de ses activités nucléaires.

Accusant Téhéran de constituer une menace globale, les Etats-Unis ont averti les autres pays de la planète qu’ils devraient cesser d’importer du pétrole brut iranien à partir du 4 novembre sous peine d’être à leur tour visés par des sanctions financières américaines.

Popularité : Mélenchon plonge

·         Popularité : Mélenchon plonge

  • Selon le sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour  Franceinfo Mélenchon plonge.  Avec 36 % de bonnes opinions, le député des Bouches-du-Rhône chute de six points par rapport à septembre. L’ancien candidat à l’élection présidentielle est désormais rejeté par une majorité de jeunes (53 %), d’ouvriers (54 %) et de Français aux revenus les plus modestes (61 %)», détaille le sondeur. Ces catégories sont pourtant celles qui ont le plus voté Mélenchon en avril dernier.  S’il conserve une bonne base de popularité chez les sympathisants de la gauche du PS (82 %), le parlementaire est mal perçu par les socialistes (54 % ont une mauvaise image de lui). La raison de ce creux se trouve évidemment dans son incapacité à fédérer autour de lui un front social contre l’exécutif. 79 % des Français jugent que sa mobilisation contre les réformes du gouvernement a été «un échec ». Un avis partagé par 54 % des sympathisants de la gauche radicale et 77 % des sympathisants socialistes. Confortant une critique déjà exprimée par les syndicats, Jean-Luc Mélenchon est perçu comme «jouant trop perso » par 68 % des Français, soit cinq points de plus qu’en septembre, au moment de sa grande marche «contre le coup d’État social ». Il n’est jugé «compétent » que par 43 % des Français (- 3 points) et «sympathique » par 40 % (- 4). Le lien avec les Français semble altéré : 48 % le trouvent «proche des gens ». C’est… huit points de moins que lors de la précédente enquête. Les différentes controverses autour des personnalités de La France insoumise (Raquel GarridoAlexis CorbièreDanielle Simonnet…) ont, elles aussi, eu un impact négatif : 58 % des Français estiment qu’elles sont particulièrement choquantes

Présidentielle américaine: Trump plonge

Présidentielle américaine: Trump plonge

Même si le résultat d’une élection n’est jamais joué il se pourrait que les carottes soient presque cuites pour Trump  qui s’effondre dans les sondages. Ce n’est pas la décision du président républicain à la chambre des représentants des États-Unis qui refuse de faire campagne pour Trump  qui va améliorer la popularité du candidat républicain  Selon le sondage pour le Wall Street Journal et NBC, Donald Trump compte désormais 14 points de retard sur Hillary Clinton. C’est 7 % de moins que le mois dernier. Dans un match à quatre avec Garry Johnson et Jill Klein, l’écart est de 11 %. Un sondage de Rasmussen réalisé avant la diffusion de l’enregistrement – mais après les deux semaines difficiles de Trump – donne un écart de 7 % entre les deux candidats. Trump perd gros chez l’électorat féminin. Alors qu’il est stable chez les hommes, il compte désormais un déficit de 21 % chez les femmes dans l’étude pour NBC, un plongeon de 9 % en un mois. A l’heure actuelle, la question n’est plus de savoir si Hillary Clinton va devenir présidente – Sam Wang, l’expert sondages de Stanford lui donne 95 % de chances. L’enjeu du 8 novembre concerne surtout le Congrès. Et l’écart national entre les deux partis atteint désormais 7 %. Cela pourrait permettre aux démocrates d’obtenir la majorité au Sénat mais également d’avoir une chance de reconquérir la Chambre, ce qui semblait impensable il y a deux semaines. Avec tout ça, on comprend mieux la position du Speaker Paul Ryan, qui aurait indiqué en privé qu’il allait arrêter de soutenir Donald Trump pour tenter de protéger le maximum de républicains. Et alors que des rumeurs circulent sur l’existence d’autres enregistrements encore plus catastrophiques, le parti conservateur peut se préparer au pire.

Sondage 2017 : Sarkozy plonge

Sondage 2017 : Sarkozy plonge

Sarkozy plonge de  13 points chez les sympathisants Républicains (55%) d’après u sondage du Point.  Il n’est plus que 6e dans le classement des personnalités politiques préférées des sympathisants LR. En juillet, il était 2e, à deux points seulement d’Alain Juppé, toujours en tête. Celui-ci, dont la discrétion a pu faire douter sa propre équipe, gagne finalement trois points (73%). C’est François Fillon qui prend la deuxième position (66%; +1). Bruno Le Maire, qui a été en retrait pendant l’été, chute de six points, se classant 7e avec 51% d’opinions positives. Nathalie Kosciusko-Morizet, qui s’est concentrée sur la recherche de ses parrainages, perd deux points (47%). Quant à Jean-François Copé, qui connaît une rentrée compliquée qu’il qualifie lui-même de «rude», il abandonne six points (36%), à la quinzième place. A l’échelle de l’ensemble des Français, c’est toujours Alain Juppé qui est le responsable politique le plus populaire du pays avec 48% d’opinions favorables, et ce malgré une baisse d’un point. Il devance Emmanuel Macron, cinquième (39%; +1 point). Martine Aubry, qui a indiqué qu’elle ne participerait pas à la primaire de la gauche, gagne quatre points (36%). Arnaud Montebourg est 14e du classement, avec 28% d’opinions positives (-1) alors que l’enquête a été réalisée la veille de son entrée en campagne. Chez les seuls sympathisants PS, il gagne 4 points (37%). Il y devance Benoît Hamon, qui s’est déclaré candidat avant la réalisation du sondage (32%; +3 points). L’action du président de la République est saluée par 18% des Français, soit deux points de plus que lors de la dernière vague de juin. 45% des sympathisants socialistes approuvent son action (+2). Quant au premier ministre qui a fait une déclaration remarquée contre le burkini, il gagne six points (26%) chez l’ensemble des Français. Mais il perd deux points chez les sympathisants socialistes (41%), alors qu’il bondit de huit points chez les Républicains et de neuf points au Front national.

 

Présidentielles États-Unis : Donald Trump plonge

Présidentielles États-Unis : Donald Trump plonge

 

 

Depuis juillet,  les tendances se sont nettement inversées et Hillary Clinton est nettement passée devant Donald Trump. Il faut dire que ce dernier à accumulé  les bavures et les écarts de langage. Certains se sont même demandés si Donald 30 ne souffrait pas de troubles psychologiques. «Donald Trump est-il carrément fou?», s’interroge ainsi Eugene Robinson dans sa chronique du Washington Post. Il y énumère les derniers mensonges du candidat, si grossiers qu’ils ont été dévoilés en cinq minutes: celui d’une prétendue rencontre avec Vladimir Poutine qui n’a jamais eu lieu, celui d’une lettre soi-disant envoyée par la Ligue de football (NFL) pour décaler les débats, etc., dans le même journal, Robert Kagan, figure des néoconservateurs, proclame «Quelque chose ne tourne pas rond chez Donald Trump», c’est potentiellement plus embarrassant pour le candidat républicain. D’autant que l’auteur n’y va pas de main morte: «Le vrai problème, écrit-il, est que cet homme ne peut pas se contrôler. (…) Certaines de ses insultes sont politiquement incorrectes, d’autres sont juste puériles. Il se peut que le politiquement incorrect soit un effet secondaire de sa maladie.» S’il était élu, estime Kagan, «les déficiences de sa personnalité seraient le facteur dominant de sa présidence». Un sondage CBS publié lundi 1er août indique que l’ancienne première dame jouirait d’une confortable avance sur le milliardaire, avec entre 7 et 9 points d’avance. Un écart creusé grâce à un rebond de 4 point pour l’ancienne secrétaire d’État et une progression de seulement 2 points pour Donald Trump. Selon ce sondage, 46 % des sondés auraient l’intention de voter pour la première femme candidate du parti démocrate, contre 39 % qui sont acquis à la cause du magnat de l’immobilier.  Une enquête de CNN-ORC apporte des chiffres allant dans le même sens que la précédente enquête d’opinion. 52 % des votants sont dans le camp de l’ex-First Lady, contre 43 % pour Trump. Donald Trump est en proie à une polémique virulente en ce moment suite à une sortie sur un soldat américain de confession musulmane tué pendant la guerre en Irak.

Sondage popularité Valls plonge : chute historique

 

Une popularité encore  inférieure à celle d’Ayrault, le Premier Ministre plonge encore victime surtout de sa posture autoritariste qui agace de plus en plus. Valls est victime surtout de lui-même en surjouant l’incarnation de l’autorité et du courage. La forme est sans doute encore davantage condamnée que le fond.  Sur 1.348 personnes interrogées les 23 et 24 mai, seules 24% disent avoir une bonne opinion du Premier ministre, alors que son prédécesseur, Jean-Marc Ayrault, n’était jamais descendu sous la barre des 25%. Seuls trois chefs de gouvernement de la Ve République sont descendus sous ce seuil et cela a toujours précédé de peu leur démission, rappelle Christelle Craplet, de BVA : la socialiste Edith Cresson, en mars 1992 (23%), le RPR Alain Juppé, en décembre 1996 (20%) et l’UMP Jean-Pierre Raffarin, en mai 2005 (21%). La cote de popularité du chef de l’Etat, François Hollande, reste stable mais très faible, à 19%. Dans le classement des personnalités politiques, le maire de Bordeaux, Alain Juppé, candidat à l’investiture de la droite pour l’élection présidentielle de 2017, reste en tête, avec 46% de sondés qui souhaitent le voir jouer un rôle politique accru. Il perd quatre points mais devance d’un point le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, qui a lancé samedi sa « Grande Marche », l’envoi de milliers de membres de son mouvement « En Marche » auprès des Français pour faire un diagnostic de l’Etat du pays et de ses aspirations.  Emmanuel Macron (45%) perd trois points par rapport à la précédente enquête. Auprès des seuls sympathisants de gauche, sa cote tombe à 37% (-4 points).

Attractivité économique : la France plonge

Attractivité économique : la France plonge

 

La France dégringole en matière d’attractivité. En cause surtout  la fiscalité qui plombe la compétitivité,  le marché du travail trop rigide. Conséquences les sièges sociaux déménagent et les sociétés s’implantent dans d’autres pays notamment l’Allemagne et le Royaume-Uni. Bref ça ne va pas mieux comme le déclare Hollande. Alors que  les 42 pays de l’Europe économique ont accueilli un nombre record de 5 089 implantations internationales en 2015 ; seule la France n’a pas bénéficié de la dynamique! Avec un nombre de projets d’implantations en retrait de 2 % (soit 598 projets), l’Hexagone est désormais «évincé de la compétition Royaume-Uni / Allemagne», relève l’étude EY . Aujourd’hui, moins d’un quart des investisseurs envisagent des projets en France en 2016. Mais pourquoi la France suscite-t-elle «plus d’affection que d’adhésion?», interroge EY. Une grande partie de la réponse est la même depuis des années: la perception de notre compétitivité-prix reste très dégradée. Quelque 72 % des décideurs internationaux jugent la fiscalité française «peu ou pas du tout attractive» ; le niveau de charges sociales est cité par 73 % d’entre eux. Son défaut de compétitivité continue donc de pénaliser la France, malgré le Crédit d’impôt compétitivité et emploi (Cice), l’assouplissement relatif du régime fiscal des impatriés ou encore le «tax4business», l’interlocuteur unique pour toutes les questions fiscales des investisseurs étrangers en France. L’autre point noir, c’est «l’inflexibilité du marché du travail». 83 % des décideurs sont sévères avec le pays sur ce point. Enfin, et c’est aussi un problème récurrent, la France souffre de son instabilité réglementaire et sociale. Si un chiffre de l’étude EY doit traduire la faiblesse française, c’est celui de l’attractivité pour les sièges sociaux: l’an dernier, 150 nouveaux sièges sociaux se sont installés au Royaume-Uni, trois fois plus que l’année précédente. La France en a attiré… 11! «Quel meilleur symbole du rayonnement mondial de la métropole britannique que le choix du New York Times d’y implanter son nouveau centre de décision en Europe», souligne l’étude. L’actualité récente montre que cette tendance s’ancre: la semaine dernière, le français Technip et l’américain FMC ont annoncé leur mariage et l’installation de leur siège à… Londres.

 

(avec le Figaro)

 

La Bourse plonge encore

La Bourse  plonge encore

On ne peut encore qualifier de minikrach ce qui se passe sur les marchés financiers cependant cela y ressemble beaucoup. La Bourse de Paris continue de plonger aujourd’hui après son mauvais départ en perdant plus de 3%. A l’ouverture, l’indice CAC 40 était déjà passé sous la barre des 4.000 points, ne parvenant pas à maintenir son rebond de la veille.  A 9 heures, l’indice CAC 40 perdait 70,87 points à 3.990,33 points. La veille, il avait terminé en hausse de 1,59%.  Le CAC  40 avait  perdu dans les premiers jours de 2016 toutes les progressions qu’il avait enregistrées en 2015. Du coup il paraît bien difficile de dire jusqu’où ira cette chute certains estimant qu’on pourrait retomber vers les 3500 à 3600 points. Ce qui caractérise actuellement les marchés boursiers c’est une succession de mouvements de yo-yo très prononcés mais qui s’inscrit structurellement à la baisse. En cause évidemment les incertitudes sur la croissance mondiale de 2016 dont les prévisions ont déjà été revues à la baisse par le FMI et la Banque mondiale. Aussi les dangers que présente la situation géo politique. Le principal facteur explicatif vient du tassement économique prononcé enregistré en Chine et dans les pays émergents. Au ralentissement économique s’ajoute en Chine des risques de krach nourri par la crise généralisée d’endettement

Sondage popularité : Hollande plonge à 22 % mais Sarkozy ne profite pas

Sondage popularité : Hollande plonge à 22 % mais Sarkozy ne profite pas

D’après Le sondage Elabe que publient « Les Echos » et Radio classique,  La cote de « confiance » du chef de l’Etat, plombé par l’absence de résultats tangibles, n’est que de 22%, soit son plus bas niveau de l’année. Mais ce plongeon de cinq points en un mois ne profite pas beaucoup à Sarkozy qui reste scotché autour de 26 % d’opinions favorables. Certes il y a des fortes chances pour que l’un des deux l’emporte en 2017 car le réservoir des voix de Marine Le Pen au second tour est relativement faible comparé à ses deux concurrents. Mais ils auraient tort de minimiser l’ampleur du rejet qu’ils suscitent : 44 % des Français n’ont « pas confiance du tout » dans le chef de l’Etat et 43 % ont du patron des Républicains une image « très négative ». A l’inverse, ils ne sont que 3 % à avoir « tout à fait confiance » en François Hollande et 5 % à avoir une image « très positive » de Nicolas Sarkozy. Le jeu de miroirs ne s’arrête pas là. Le chef de l’Etat a l’approbation de 76% des sympathisants socialistes quand son prédécesseur est à 79% parmi ceux de son parti. Le premier est rejeté par la gauche de la gauche (il ne dépasse pas 31% de confiance au Front de gauche) ; le second, par les centristes (36% de bonnes opinions à l’UDI et 12% au Modem). Leur image est particulièrement dégradée dans le camp opposé. François Hollande est à 7 % seulement parmi les sympathisants de droite, et 4 % parmi ceux des Républicains. Contre 6 % et 5 % pour Nicolas Sarkozy chez les sympathisants de gauche et chez ceux du PS. La route est parsemée d’embûches pour le premier, qui doit encore obtenir pour des résultats et faire en sorte qu’ils lui soient crédités, et pour le second, qui doit remporter la primaire à droite . Marine Le Pen est en embuscade. La présidente du Front national ne recueille que 27 % de bonnes opinions dans notre baromètre. Même si, souligne Bernard Sananès, « ce qu’elle représente et ce qu’elle dit est plus structurant que son image personnelle ».

Croissance Chine : la production manufacturière plonge encore

Croissance Chine : la production manufacturière plonge encore

Une très mauvaise nouvelle pour l’économie mondiale avec ce nouveau plongeon de la production manufacturière en Chine. Une baisse qui provient aussi bien de la consommation intérieure que des commandes extérieures. De quoi nourrir l’expectative de nombre d’experts sur les perspectives d’avenir de l’économie mondiale. En Chine s’ajoutent  à cette nette baisse économique de sérieux problèmes financiers qui affectent les entreprises, les collectivités et même les banques. Un krach financier ne pouvant plus être désormais totalement exclu. Le secteur manufacturier chinois s’est contracté en août à un rythme jamais vu depuis près de six ans et demi sur fond de baisse des commandes intérieures et à l’exportation, selon les résultats préliminaires de l’indice PMI Caixin/Markit auprès des directeurs d’achat. L’indice en mode « flash » ressort à 47,1 en août, bien en dessous de la projection médiane des analystes interrogés par Reuters (47,7) et en net recul par rapport à l’indice définitif de juillet (47,8). Ce résultat est le plus mauvais depuis mars 2009, lorsque la crise financière mondiale battait son plein. Pour le sixième mois consécutif, l’indice reste sous le seuil des 50 qui marque la bascule entre contraction et croissance de l’activité. Dans toutes les composantes de l’indice, la tendance est négative. La production tombe à un plus bas de quatre ans, les commandes domestiques et à l’exportation reculent plus rapidement qu’en juillet et les compagnies ont continué de licencier des salariés.

 

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