Archive pour le Tag 'plonge'

Popularité: Macron plonge encore

Popularité: Macron plonge encore

la popularité de macron perd 7 points en avril dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Sa plus forte baisse depuis son entrée à l’Elysée. Le président paie l’impopularité de la réforme des retraites et le recours au 49.3.

Jamais la baisse n’avait été aussi importante depuis son élection à la présidence de la République, en mai 2017. Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos », la cote d’Emmanuel Macron chute de 7 points en avril pour s’établir à 25 %.

C’est un plus bas depuis sa réélection il y a un an, mais ce n’en est pas un depuis qu’il occupe l’Elysée : en décembre 2018, au plus fort de la crise des « gilets jaunes », sa cote de confiance était tombée à 23 %. Il y a aujourd’hui 71 % (+8 points par rapport à mars) des Français qui déclarent « ne pas lui faire confiance », dont 43 % (+6 points) qui disent « ne pas lui faire confiance du tout ».

Croissance 2023 :La croissance chinoise plonge (FMI)

Croissance 2023 :La croissance chinoise plonge (FMI)

Les prévisions de croissance mondiale pour 2023 pourraient passer sous les 2%, a estimé la directrice générale du FMI Kristalina Georgieva. La baisse la plus significative concernerait la Chine qui pour la première aurait sa croissance inférieure à la croissance mondiale.

Lors de la publication de son rapport sur les prévisions économiques mondiales (WEO), le Fonds monétaire international (FMI) avait anticipé une croissance de 2,7% pour 2023, en soulignant qu’il existait 25% de chance de la voir passer sous la barre des 2%.

« Lorsque l’on regarde les récents indicateurs, nous nous inquiétons de voir cette probabilité augmenter, du fait du ralentissement simultané aux États-Unis, en Europe et en Chine », a déclaré Mme Georgieva lors d’une intervention en ligne dans le cadre du forum Reuters Next.

Le Fonds doit mettre à jour en janvier ses prévisions pour 2023, mais la situation économique « s’est récemment assombrie, sur la base de ce que nous voyons tant concernant le sentiment des consommateur que des investisseurs », a ajouté la patronne du FMI.

Une croissance mondiale inférieure à 2% serait une première depuis 2009 (-1,3%), si l’on excepte les conséquences de la pandémie en 2020, année où le PIB mondial a reculé de 3,3%.

Or le contexte mondial n’est toujours pas positif, a rappelé Mme Georgieva, notamment du fait de l’impact de la guerre en Ukraine sur l’économie européenne, mais également des effets de la politique « zéro Covid » de la Chine.

« Nous envisageons cette année une croissance chinoise à 3,2%, soit équivalente à la croissance mondiale. Ce n’est jamais arrivé au cours des 40 dernières années de voir la Chine au même niveau que la croissance mondiale. Jusqu’ici, 35% à 40% de la croissance mondiale dépendait de la croissance chinoise, mais ce n’est pas le cas cette année, et ce ne sera pas le cas l’année prochaine », a insisté Kristalina Georgieva.

Selon Kristalina Georgieva,, « pour la première fois en 40 ans, la croissance de la Chine en 2022 sera probablement égale ou inférieure à la croissance mondiale ».
Par ailleurs, la flambée épidémique attendue dans les mois à venir risque d’affecter davantage l’économie chinoise cette année et de freiner la croissance régionale et mondiale, a-t-elle ajouté.

Croissance Chine : l’activité manufacturière plonge

Croissance Chine : l’activité manufacturière plonge

Mauvais signe pour la croissance mondiale avec le plongeon de l’activité manufacturière en Chine. La Chine qui pèse pour environ 30 % à 40% sur l’ensemble de la croissance mondiale.L’activité manufacturière en Chine s’est fortement contractée en décembre pour le troisième mois consécutif.

Malgré la fin des restrictions Sanitaires, l’activité peine désormais à redémarrer en raison d’une explosion du nombre de malades. En décembre, l’indice des directeurs d’achat (PMI), reflet de la santé du monde industriel, s’est établi à 47 points contre 48 un mois plus tôt, a annoncé le Bureau national des statistiques (BNS). Cette performance est en deçà des attentes d’analystes interrogés par l’agence Bloomberg (47,8). Un nombre inférieur à 50 témoigne d’un repli de l’activité. L’indice n’a plus été en territoire positif depuis septembre.

«L’épidémie a eu un impact important sur la production et la demande des entreprises, la présence du personnel, la logistique ainsi que la distribution» et donc l’activité, a souligné dans un communiqué Zhao Qinghe, statisticien du BNS.

De son côté, le PMI non-manufacturier, qui englobe le secteur des services et de la construction, s’est lui aussi davantage contracté ce mois-ci, à 41,6 points, contre 46,7 en novembre. Le gouvernement a fixé cette année un objectif de croissance d’environ 5,5%, après une hausse de plus de 8% du Produit intérieur brut (PIB) en 2021. Mais nombre d’économistes jugent désormais irréaliste cet objectif. La Chine dévoilera courant janvier sa performance pour l’ensemble de l’année 2022.

Tesla plonge en raison de prévisions alarmistes

Tesla plonge en raison de prévisions alarmistes

 

En raison de prévisions alarmistes sur l’état de l’économie mondiale et des conséquences sur les activités du groupe,Tesla plonge en bourse.

Une information qui risque peut-être de remettre en cause le projet de rachat de Twitter par Elon Musk. Un objectif déjà manipulé par les informations contradictoires du patron de Tesla laissant entendre qu’il pourrait renoncer à cette achat d’un prix de leur de 50 milliards !

Dans un message envoyé jeudi à des cadres de Tesla et intitulé «suspendre toutes les embauches dans le monde», Elon Musk explique avoir «un super mauvais pressentiment sur l’économie», affirme l’agence Reuters qui a consulté le courriel. Selon son rapport annuel, Tesla et ses filiales employaient un peu plus de 100.000 personnes fin 2021. Une réduction de 10% correspondrait donc à la suppression d’environ 10.000 emplois. Le groupe n’avait pas, dans l’immédiat, répondu à une sollicitation de l’AFP.

Également secouée par la baisse plus généralisée du marché boursier, l’action du constructeur a perdu plus de 30% depuis début avril. Pour Dan Ives, du cabinet Wedbush, Elon Musk «essaie de devancer le fait que les livraisons n’augmenteront pas autant que prévu cette année et de préserver les marges du groupe avant un ralentissement économique». Plusieurs dirigeants de grandes entreprises ont récemment fait part de leurs inquiétudes sur la situation économique. Jamie Dimon, le PDG de JPMorgan Chase, a ainsi estimé mercredi que les investisseurs devraient se préparer à un «ouragan» économique, même s’il est encore difficile de prédire s’il s’agira d’un ouragan mineur ou d’une méga tempête.

Cryptomonnaie: Le bitcoin plonge

Cryptomonnaie: Le bitcoin plonge

Samedi, la devise virtuelle s’échangeait à 48.210 dollars, en baisse de 10% par rapport à vendredi soir. Vers 05H00 GMT, il avait soudainement chuté jusqu’à 42.296 dollars, sans explication particulière a priori autre que la spéculation habituelle. .

« Les cryptomonnaies ont été bousculées par les conditions de risque plus larges liées (au variant) Omicron et aux attentes d’une (politique monétaire aux Etats-Unis) plus agressive, mais ont vraiment commencé à piquer de nez vendredi, dans le sillage de la baisse sur les marchés des actions », a commenté Martha Reyes, qui dirige la recherche de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies Bequant.

Les principaux indices de Wall Street ont de fait terminé dans le rouge vendredi, tirés par la faiblesse des valeurs technologiques. Le repli du bitcoin, habitué aux mouvements violents, n’est pas complètement surprenant dans la mesure où la devise évolue depuis fin novembre dans une fourchette d’échanges limitée et que certains investisseurs ont pu vouloir dénouer certaines positions, estime Mme Reyes dans une note.

Reste que la question de la volatilité des cryptos inquiète de plus en plus les autorités financières, des banques centrales aux grands argentiers. En quelques heures, 2.120.000.000 de dollars ont été liquidés, écrit CryptoQuant. Le crash d’aujourd’hui est le deuxième en termes d’impact depuis le 11 mars 2020.

Même sentiment pour Anto Paroian, du fonds spécialisé dans les crytomonnaies ARK36. Après avoir atteint un record à 68.363 dollars le 10 novembre, la devise virtuelle est redescendue et « a plusieurs fois échoué à repasser le seuil des 60.000 dollars », souligne-t-il dans une note en rappelant que le bitcoin a régulièrement enregistré des chutes de 20% à 30% avant de se reprendre.

(avec AFP)

Le bitcoin plonge encore dimanche

Le bitcoin plonge encore dimanche

Nouvelle chute dimanche pour le bitcoin qui perd encore plus de 10%.

 

En cause l’intention de la Chine de s’attaquer aux cryptomonnaies indépendantes et à la volonté de la banque centrale américaine de mieux les réguler. Le bitcoin cède ainsi 10,54 %, à 33.548,35 dollars à 17h40. Il a perdu autour de 48 % depuis son record du 14 avril à 64.895,22 dollars. La Chine a annoncé tour à tour ces derniers jours qu’elle allait interdire aux institutions financières de proposer des services liés aux cryptomonnaies et renforcer la réglementation sur le « minage » et les échanges de bitcoin. Les régulateurs chinois ont publiquement mis en garde les investisseurs contre le caractère spéculatif de cette catégorie d’actifs financiers.

Le bitcoin est dénoncé par ses adversaires pour son extrême volatilité et son caractère spéculatif. Dans son sillage, son principal concurrent, l’ether, perd dimanche 15,83 %,  à 1.932,91 dollars.

Vaccin AstraZeneca : la confiance européenne plonge

Vaccin AstraZeneca : la confiance européenne plonge

 

Le sondage de YouGov – qui a concerné environ 8000 personnes interrogées dans sept pays européens entre le 12 et le 18 mars – a révélé qu’en France, en Allemagne, en Espagne et en Italie, les gens étaient désormais plus susceptibles de considérer le vaccin AstraZeneca comme dangereux que comme sûr.

Quelque 55% des Allemands disent que c’est dangereux, tandis que moins d’un tiers pensent que c’est sûr, selon le sondage. En France, où le vaccin COVID d’AstraZeneca était déjà impopulaire, 61% des personnes interrogées déclarent désormais le considérer comme dangereux.

En Italie et en Espagne, la plupart des gens pensaient auparavant que le vaccin AstraZeneca était sûr – à 54% et 59% respectivement – mais ces taux sont tombés à 36% et 38% respectivement, dans le dernier sondage.

L’enquête a montré que ce n’est qu’en Grande-Bretagne, où le vaccin AstraZeneca COVID-19 a été utilisé dans un déploiement national depuis janvier, que les problèmes de caillot sanguin ont eu peu ou pas d’impact sur la confiance du public. La majorité des personnes interrogées au Royaume-Uni – 77% – disent toujours que le coup est sûr. Leur confiance est à égalité avec la cote de sécurité perçue de Pfizer de 79%.

YouGov a également déclaré qu’il ne semblait y avoir aucun problème de contagion dans les sept pays européens interrogés pour les vaccins Pfizer et Moderna COVID-19, qui étaient tous deux considérés comme aussi sûrs que dans un sondage il y a trois semaines.

La compétitivité française plonge

La compétitivité française plonge

D’après avec Rexocode,  les indicateurs de compétitivité de la France se sont encore dégradés en 2020. Témoin surtout la situation de la balance commerciale particulièrement déséquilibrée. A comparer à la balance commerciale allemande dégage en moyenne un profit de 200 milliards par an alors que la France enregistre un déficit de leur de 50 milliards. Mais pour 2020, la situation est devenue encore plus catastrophique pour la France

En 2020, les exportations françaises se contractent (baisse de 15,9 %, après 3,5 % de croissance en 2019), dans le contexte de la crise sanitaire Covid-19. Les importations diminuent également, mais de façon légèrement moins marquée (baisse de 13,0 %, après 2,2 % de croissance en 2019). Le déficit commercial FAB/FAB se détériore ainsi de 7,3 milliards d’euros et s’établit à 65,2 milliards, après 57,9 milliards en 2019. C’est le déficit le plus élevé depuis 2012.

Le solde manufacturier se détériore de 22,3 milliards, poursuivant de façon accélérée la dégradation tendancielle observée depuis deux décennies. Cette année se caractérise par une diminution généralisée des exportations qui surpasse la baisse des achats à l’étranger, en particulier dans les secteurs aéronautique et automobile. Les importations de masques de protection pèsent nettement (5,9 milliards). Seuls les achats et les ventes de produits pharmaceutiques restent dynamiques.

La baisse des prix du pétrole et la diminution de l’activité en lien avec les mesures restrictives globales réduisent le déficit énergétique de 19,0 milliards (25,7 milliards en 2020, après 44,8 milliards). L’excédent agricole diminue légèrement, de 0,4 milliard.

Le bouleversement des équilibres engendré par l’épidémie de Covid-19 a touché tous les pays européens mais la France a particulièrement souffert, selon l’institut Rexecode.

Le bouleversement des équilibres engendré par l’épidémie de Covid-19 a touché tous les pays européens mais la France a particulièrement souffert, avec des exportations de biens et de services qui se sont «contractées plus fortement que ne l’ont fait les exportations totales des pays de la zone euro», a relevé RexecodeLa part de la France dans les exportations de biens et de services de la zone euro est ainsi passée de 14,5% à 13,5%, «son plus bas niveau depuis 20 ans», selon l’institut, réputé proche du patronat.

 

SONDAGE popularité: Castex , déjà usé, plonge !

SONDAGE popularité: Castex , déjà usé, plonge !

Castex, sans doute déjà usé par la répétition de voyages qui n’apportent rien sur le fond, voit sa cote de popularité dégringoler dans le baromètre mensuel réalisé par l’IFOP pour le JDD. Celui qui s’est autoproclamé « l’homme des territoires » ne cesse de multiplier- comme tous les autres membres du gouvernement- les voyages « sur le terrain ». En réalité des voyages qui se limitent le plus souvent à des rencontres dans une préfecture ou dans un lieu très protégé. Surtout des déplacements qui n’apportent strictement rien sur le fond et qui se limitent à des généralités. Preuve d’ailleurs, l’absence de direction très claire concernant le plan de relance qui vient  d’être repoussé d’une bonne semaine. Alors qu’il a multiplié les déplacements pour incarner la mobilisation de l’exécutif sur tous les sujets, il passe sous la barre des 50% de satisfaits et 46% des Français désapprouvent son action, un chiffre en hausse de 6 points en un mois. « C’est le retour dans l’atmosphère », diagnostique Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’IFOP. Alors que la rentrée – scolaire et sociale – se profile, le Premier ministre paie selon lui « le retour de l’inquiétude sur la crise sanitaire ».

Alors qu’Édouard ­Philippe était à son départ de Matignon plébiscité par l’électorat de droite, c’est de ce côté que Castex enregistre les reculs les plus importants : – 9 points parmi les sympathisants des Républicains, – 26 chez les électeurs de François Fillon en 2017 (et – 15 chez les retraités).

La déception se mesure aussi parmi les cadres (-17) les ­commerçants, artisans et chefs d’entreprise (– 16) et même les sympathisants macronistes (-6) et les partisans du Modem (-11). Après la réautorisation des néonicotinoïdes pour les betteraviers, il chute en outre chez les écologistes (- 14 ). En revanche, sa cote progresse chez les ouvriers (+ 9) et les employés (+ 4).

De son côté, la cote d’Emmanuel ­Macron reste stable, à 36 % de satisfaits (–  1). Pour le chef de l’État, qui avait dévissé à la même période en 2017 et souffert de l’affaire Benalla en 2018, l’été 2020 n’aura pas été meurtrier.

Renault plonge en bourse

Renault plonge en bourse

Depuis l’affaire Ghosn ,  les pertes financières et boursières de Renault ne cessent de s’amplifier. Du coup, l’agence de notation Moody’s a encore diminué la note de Renault.

Moody’s a basculé son appréciation sur le titre en catégorie spéculative, la note passant de Baa3 à Ba1, perspective stable. Mercredi, S&P n’a pas changé sa note de BBB- mais a néanmoins changé sa perspective en la plaçant sous surveillance. La première agence financière du monde pourrait ainsi également baisser d’un cran à court terme et basculer elle aussi en catégorie spéculative.

En une semaine, l’action du constructeur tricolore a encore perdu 7% de sa valeur, portant sa perte à 23% depuis le 1er janvier. Mais la chute du titre ne date pas d’hier, les marchés sanctionnent le titre depuis mars 2018 alors que le titre atteignait un plus haut à 97 euros. L’action est déjà tombée à 65 euros quelques jours avant la chute de Carlos Ghosn. Elle est désormais valorisée 32 euros. La capitalisation boursière du constructeur a ainsi perdu les deux tiers de sa valeur depuis son plus haut de mars 2018.

De son coté l’autre agence de cotation  S&P juge ainsi que la marge opérationnelle devrait continuer à baisser entre 3 et 4% en 2020, soit plus de moitié moins par rapport à la performance enregistrée en 2017. L’agence financière pointe notamment des coûts structurels extrêmement lourds. En 2019 déjà, les lancements de Clio et Captur, deux modèles phares, rentables et à forts volumes, avaient pesé sur les coûts. En outre, plus personne ne s’attend à ce que Nissan, dont Renault possède 43%, verse des dividendes compte tenu de ses propres difficultés financières.

En réalité le groupe est encore en convalescence d’une année très agitée après la chute de leur patron jusqu’au brutal remerciement de Thierry Bolloré en novembre dernier. Le groupe tente de remobiliser les troupes, mais en attendant, difficile d’attendre une nouvelle impulsion stratégique forte avant l’arrivée ( en juillet seulement !)  de son nouveau directeur général, l’ancien patron de Seat, Luca de Meo.

Croissance France : la Production industrielle plonge de 2.3% en décembre

Croissance France : la Production  industrielle plonge de 2.3% en décembre

 

D’après l’INSEE, cette chute de la production industrielle serait en grande partie imputable aux grèves et aux difficultés d’approvisionnement. Une manière de servir la soupe au gouvernement. En effet la même tendance a été enregistrée dans les autres pays européens. la production industrielle a donc chuté de 2,8% en décembre par rapport au mois précédent, après avoir été stable en novembre.

Ce recul, le plus fort depuis janvier 2018, s’avère nettement supérieur aux prévisions des économistes interrogés par Reuters, qui tablaient en moyenne sur une baisse de 0,3%.

Le ralentissement de la production en fin d’année a largement contribué à la contraction de 0,1% de l’économie française au quatrième trimestre.

D’autres facteurs que les mouvements sociaux nationaux pourraient avoir pesé sur la production industrielle française en décembre, car un fléchissement marqué a aussi été constaté dans d’autres pays européens.

La production de l’industrie allemande a par exemple reculé de 3,5% en décembre, enregistrant son repli le plus marqué depuis plus d’une décennie.

Plus encourageant pour l’économie française, d’autres données préliminaires publiées vendredi par l’Insee suggèrent que l’amélioration du marché du travail s’est poursuivie en fin d’année dernière malgré la contraction du produit intérieur brut (PIB).

Au cours du quatrième trimestre 2019, l’emploi salarié dans le secteur privé a progressé de 0,2%, avec 40.700 postes créés, ce qui porte à 201.000 les créations nettes de postes sur l’ensemble de l’année écoulée (+1,1%).

Les Douanes ont quant à elles fait état d’une légère réduction du déficit commercial de la France en 2019. A 58,91 milliards d’euros (après 62,84 milliards en 2018), il a connu sa première amélioration depuis 2015.

Croissance Japon: l’ industrie manufacturière plonge encore

Croissance Japon: l’ industrie manufacturière plonge encore

 

C’est le huitième mois consécutif que le secteur de l’industrie japonais plonge ,victime tout autant du ralentissement chinois que de la crise interne dans laquelle s’englue le pays du faite notamment de son endettement. L’activité du secteur manufacturier au Japon s’est en effet contractée en décembre pour un huitième mois consécutif, montrent les résultats publiés lundi de l’enquête réalisée par Markit/Jibun Bank auprès des directeurs d’achats.

L’indice PMI manufacturier calculé par Markit/Jibun Bank a chuté à 48,4 en décembre en données corrigées des variations saisonnières, ce qui correspond au niveau enregistré en octobre, lorsque l’indice avait atteint un plus bas de trois ans.

Il reste pour le huitième mois d’affilée sous le seuil de 50 qui sépare contraction et expansion de l’activité. Il s’agit de la plus longue période de contraction du secteur manufacturier depuis celle de neuf mois entre juin 2012 et février 2013.

D’après les résultats de l’enquête, les nouvelles commandes et la production industrielle dans leur ensemble ont ralenti pour un 12e mois de rang.

Allemagne: la croissance plonge

Allemagne: la croissance plonge

 

 

Les principaux instituts économiques  d’Allemagne confirment que la perspective d’une croissance de 0,8 % prévus en avril est illusoire. Comme on s’y attendait la croissance aura du mal à atteindre 0,5 % en 2019. De la même manière, on a révisé nettement à la baisse les perspectives pour 2020 avec une prévision autour de 1 %. C’est une très mauvaise nouvelle pour la zone euro quand on fait que l’Allemagne constitue le moteur de la dynamique européenne. Les facteurs explicatifs sont nombreux. Il y a sans doute d’abord le fait que l’économie mondiale s’inscrit dans un cycle baissier dont on ne sortira sans doute pas avant plusieurs années. Il faudra se contenter dans les pays développés d’une croissance entre 1et 1.5 % pour les meilleurs. Ensuite cette évolution de l’activité allemande tient à la structure de l’économie qui est essentiellement fondée sur la très forte capacité de l’Allemagne à exporter notamment des machines-outils et des automobiles. Parmi les principaux clients de l’Allemagne, il y a les États-Unis et la Chine. Or la Chine a enregistré la cinquième baisse consécutive ce mois-ci de son activité manufacturière.

D’une façon générale, son industrie a moins besoin de machines. Par ailleurs, le pouvoir des d’achat des chinois est  en berne et affecte  la vente de voitures d’origine allemande. L’Allemagne est aussi affrontée à de graves menaces commerciales de la part des États-Unis vis-à-vis des exportations automobiles. L’orthodoxie financière de l’Allemagne est aussi en cause. Certes on ne peut reprocher un pays une rigueur de gestion mais cette rigueur devient excessive quand elle tue l’économie. Depuis des années l’Allemagne se refuse en effet à utiliser ses excellents budgétaires pour un vrai plan de relance notamment en direction d’infrastructures devenues de plus en plus vétuste. C’est le modèle économique de l’Allemagne qui est en cause et qui devra, comme d’autres sans doute en raison des modifications du commerce international, recentrer une partie de son économie sur la consommation. Cette situation de l’Allemagne principal partenaire de la France ne sera pas sans conséquences sur l’activité générale en France. Comme l’Allemagne la France pourrait bien se contenter d’une croissance de 1 % en 2020

En Allemagne, les instituts tablent donc  pour 2020 sur une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,1%, contre 1,8% prévu il y a six mois.

Pour 2021, ils prédisent une expansion de 1,4%.

Le nombre d’emplois aidés des plus défavorisés plonge

Le nombre d’emplois aidés des plus défavorisés plonge

Baisse des  aides à l’embauche ciblées (-38,5%). Les principaux concernés seraient les moins de 26 ans et les plus de 55 ans, des populations souvent frappées par un chômage bien plus important que la moyenne nationale. Le chômage de longue durée est particulièrement visible chez les plus âgés. Un exemple, celui de société d’insertion dont l’activité est le nettoyage de logements et de bâtiments. Un public surtout de femmes souvent seules et d’un certain âge qui remettent le pied à l’étrier de l’emploi via un ou plusieurs CDD. Un travail plus ingrat et fatigant rémunéré mois de 1100 euro pour 35 heures et autours de 800 euros pour 30 heures. Avec en plus parfois es horaires compliqués. Le gouvernement justifie ces baisses drastiques par le remplacement des contrats en alternance. Mais de type de contrat qui n’ont strictement rien à voir. En outre, sur le plan quantitatif les contrats en alternance sont loin de compenser la baisse des contrats aidés. . Lors de la présentation du budget 2019, le ministre des comptes publics Gerald Darmanin a confirmé que 130.000 emplois aidés seraient financés l’année prochaine contre 200.000 en 2018.

 

Sondage Européennes : La République en marche plonge avec Macron

Sondage Européennes : La République en marche plonge avec Macron

Selon un  sondage Ifop commandé par Paris Match, Sud Radio et CNews, la liste république en marche pour les européennes perd trois points auprès des électeurs, en moins de deux mois. En juin 2018, 23% des sondés étaient prêts à donner leur voix au parti présidentiel, associé au MoDem pour ce scrutin. À la fin du mois d’août, comme l’indique le nouveau sondage, ils ne sont plus que 20% à se prononcer en faveur de la liste LaREM-MoDem. En seconde position, le Rassemblement National (ex-FN) connaît lui aussi une baisse des intentions de vote. La liste, qui ne sera manifestement pas emmenée par Marine Le Pen, perd deux points, et plafonne à 17%. La droite républicaine, dont la tête de liste est encore inconnue, suit les frontistes de près, avec 15% des intentions. Un chiffre stable depuis le premier sondage réalisé en juin.

Du côté des Insoumis, on note en revanche une progression. Le parti créé par Jean-Luc Mélenchon a déjà fait savoir qu’il enverrait le tandem Charlotte Girard et Manuel Bompard devant les urnes. La liste insoumise est créditée de 14% d’intention de vote, soit une progression de 3 points depuis juin 2018. La liste Europe Ecologie-Les Verts emmenée par Yannick Jadot gagne 1,5 point et se place en cinquième position avec 7.5% des intentions de vote. Le PS, quant à lui, reste stable avec 6%, mais demeure devancé par la liste Debout la France, créditée de 6.5% des intentions de vote. Les communistes, représentés par Ian Brossat, ne mobilisent que 2% des sondés. Enfin, Les Patriotes de Florian Philippot n’engrangent que 1% des intentions de vote.

Sondage réalisé par questionnaire auto-administré en ligne du 25 au 27 juin 2018, puis du 30 au 31 août 2018, auprès d’un échantillon de 1 374 électeurs, extrait d’un échantillon de 1 504 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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