Archive pour le Tag 'plonge'

Avec la censure du gouvernement, l’euro plonge

Avec la censure du gouvernement, l’euro plonge

Le recours à l’article 49–3 pour valider le budget de la sécurité sociale et la motion de censure qui en découle provoque déjà des remous dans les milieux financiers. Première conséquence un tassement de l’euro.

En fin d’après-midi, la monnaie européenne tombait de 1,00% face au billet vert, à 1,0470 dollar, et perdait 0,16% par rapport à la devise britannique, à 82,91 pence pour un euro. Si la baisse n’est pas significative par contre la tendance, elle, est inquiétante

 

Elections législatives : Le moral des Français plonge

Elections législatives :  Le moral des Français plonge
Si les Français sont pessimistes sur les conséquences pour le pays, ils le sont également pour leur situation économique personnelle d’après un sondage Odoxa pour BFM. 

63% des sondés pensent qu’une victoire du NFP sera négative pour eux, contre 58% pour la majorité présidentielle et 55% pour le Rassemblement national. 41% pensent au contraire qu’une victoire de l’extrême droit aura des conséquences économiques personnelles positives (36% pour la majorité et 34% pour le NFP).

« Le RN, qui est le grand favori de ces législatives, est le parti qui fait finalement le moins peur sur chacune de ces dimensions », peut-on lire.
Au final, ce contexte très incertain et anxiogène fait plonger le moral des Français. Il s’effondre en juillet: 78% des Français se disent défiants vis-à-vis de l’avenir de la situation économique de leur pays contre 75% en juin.

*Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet les 26 et 27 juin 2024. Échantillon de 1.005 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas.

 

Législatives : Le moral des Français plonge

Législatives : Le moral des Français plonge

 
Si les Français sont pessimistes sur les conséquences pour le pays, ils le sont également pour leur situation économique personnelle d’après un sondage Odoxa pour BFM. 

63% des sondés pensent qu’une victoire du NFP sera négative pour eux, contre 58% pour la majorité présidentielle et 55% pour le Rassemblement national. 41% pensent au contraire qu’une victoire de l’extrême droit aura des conséquences économiques personnelles positives (36% pour la majorité et 34% pour le NFP).

« Le RN, qui est le grand favori de ces législatives, est le parti qui fait finalement le moins peur sur chacune de ces dimensions », peut-on lire.
Au final, ce contexte très incertain et anxiogène fait plonger le moral des Français. Il s’effondre en juillet: 78% des Français se disent défiants vis-à-vis de l’avenir de la situation économique de leur pays contre 75% en juin.

*Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet les 26 et 27 juin 2024. Échantillon de 1.005 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas.

Olivier Chicheportiche

L’économie allemande plonge

L’économie allemande plonge

D’une certaine manière l’Allemagne est victime de deux grands phénomènes qui ont plombé son économie au point de la faire entrer en récession en 2023. Il y a d’abord la crise énergétique avec la rupture des fournitures de gaz bon marché fourni par les Russes qui devaient constituer encore l’un des atouts de la compétitivité allemande. Plus globalement il y a les suites de la crise sanitaire dûe au Covid qui ont conduit à des relocalisations et déstructuration d des appareils de production. Ainsi la Chine ancienne première usine du monde a été grandement affectée dans ses exportations. Et le phénomène s’amplifie avec le contexte inflationniste. Dans de nombreux secteurs la Chine n’est plus assez compétitive. Le dynamisme industriel chinois est un peu gelé et se trouvent moins demandeurs d’outils industriels que lui fournissait l’Allemagne. L’Allemagne est tombée en récession en 2023. La situation pourrait être redressée en 2024 comptes tenus du caractère dépressif de la conjoncture internationale

L’économie allemande est entrée en récession en 2023, avec une chute de 0,3% du produit intérieur brut (PIB), a indiqué lundi l’institut Destatis. Ce recul attendu du PIB de la première économie européenne succède à une croissance de 1,8% en 2022, selon des données corrigées des variables de prix.

A noter, au dernier trimestre 2023, le PIB est estimé en recul de 0,3% par rapport au trimestre précédent, selon une estimation préliminaire de Destatis. En données corrigées des variables de calendrier et de prix, le PIB annuel chute de 0,1%. Des résultats toutefois un peu meilleurs que les prévisions du gouvernement et du FMI, qui prévoyaient respectivement une chute de 0,4% et de 0,5% durant l’année.

Le pays fait nettement moins bien que la moyenne de l’UE, qui devrait atteindre une croissance 0,6% en 2023, selon les dernières prévisions de la Commission européenne, avec des hausses marquées pour la France, l’Espagne ou l’Italie. La troisième économie mondiale est également à la traîne des autres grands pays industriels, comme les Etats-Unis ou le Royaume-Uni.

A l’origine de la contraction de la première économie européenne : la crise de son puissant secteur industriel, qui représente environ 20% de la richesse produite dans le pays. La production reste inférieure de plus de 9% à son niveau d’avant la pandémie, près de quatre ans après le début de la pandémie de Covid-19, en raison d’une conjonction de facteurs.

La branche a aussi été pénalisée par des exportations moins dynamiques, sur fond de tensions géopolitiques et de plus faibles demandes en produits allemands en Chine et aux Etats-Unis. Mais surtout, les prix de l’énergie restent relativement élevés pour l’industrie face à ses concurrents internationaux. Certaines activités les plus énergivores, comme la chimie, peinent à retrouver leur niveau de production d’avant la guerre en Ukraine. « L’année 2023 a été turbulente, avec une économie en mode crise permamente », résume Carsten Brzeski, analyste pour la banque ING.

Et les conséquences de la récession commencent déjà à se voir. En difficulté, les entreprises recrutent moins et le chômage remonte en Allemagne et se rapproche désormais des 6%. Son taux atteignait, en effet, 5,9% en décembre dernier, soit une hausse de 0,1 point par rapport au mois précédent (qui a été révisé à la baisse à 5,8%). Autrement dit, le nombre de chômeurs a augmenté de 5.000 sur un mois, en données corrigées des variations saisonnières (CVS). En données brutes, le nombre de chômeurs grimpe à 2,64 millions, en hausse d’environ 31.000 sur un mois et de 183.000 par rapport à décembre 2022, a détaillé l’Agence pour l’emploi début janvier.

Si 2023 a donc été particulièrement morose pour les Allemands 2024 pourrait ne pas être de meilleure facture si l’on en croit l’Institut économique IW. Ce dernier table en effet sur une baisse du produit intérieur brut (PIB) de 0,5% en 2024 pour la première puissance européenne. Les experts ont considérablement révisé à la baisse leur prévision puisqu’en septembre dernier, ils anticipaient encore une croissance de 0,9%.

« 2024 aurait pu être une année de reprise pour l’économie allemande. Mais les conditions générales restent mauvaises », justifie l’institut de Halle ce mercredi 13 décembre.

Les prévisions de l’IW sont en revanche plus pessimistes que celles du gouvernement allemand. Ce dernier prévoit une reprise de la croissance à +1,3% l’an prochain. De son côté, le Fonds monétaire international (FMI) présage un rebond de 0,9% pour la croissance allemande. La reprise à venir serait favorisée par un recul progressif de l’inflation – attendue à 2,6% en 2024, puis 2% en 2025, contre 6,1% en moyenne cette année – et un marché du travail robuste.

Bourse : le CAC 40 plonge et revient au niveau de 1999

Bourse : le CAC 40 plonge et revient au niveau de 1999

Le CAC 40 plonge et est tombé autour des 7.000 points


Sur la tendance à Paris et au plan mondial, le « malade économie » pourrait mourir mais guéri de l’inflation. En effet avec une hausse historique des taux, les banques centrales assomment la croissance qui pourrait plonger elle aussi en 2024. Non seulement le pouvoir d’achat des ménages est fortement impacté mais aussi les investissements devenus trop chers à amortir. Il faut évidemment lutter contre l’inflation mais pas au point d’affecter l’activité économique et c’est tout ce savant dosage qui est en cause.

Avec des taux obligataires de très haut niveau les capitaux vont s’orienter vers les placements prudents et déserter la bourse. Une bourse qui pourra aussi être affectée justement par la baisse de croissance et donc de profit. Bref comme les taux vont se maintenir à ce niveau pendant toute l’année 2024, la bourse risque d’être malade pendant au moins la nouvelle année. Le CAC 40 est passé ce mardi sous la barre des 7.000, à 6.997,05 points (-1,01 %). A l’ouverture de la journée, l’indice phare de la Bourse de Paris avait démarré à 7 031,59 points.

Marché plombé par la hausse des taux obligataires
En cause, un marché plombé depuis une dizaine de jours par la montée des taux d’intérêt sur le marché obligataire, qui atteignent des plus hauts depuis 2007 pour les échéances à deux, dix et trente ans. Lors de sa dernière réunion de septembre, la Réserve fédérale américaine s’est, en effet, montrée plus ferme que ce qu’anticipaient les investisseurs. Elle a laissé présager que ses taux directeurs resteraient à des niveaux élevés en 2024, tandis que les marchés les voyaient descendre dans un avenir proche.

De même, la Banque centrale européenne (BCE) a relevé ses taux pour la dixième fois consécutive le 14 septembre dernier pour continuer à baisser les prix. Poursuivant son resserrement monétaire, l’institution a augmenté son taux de référence de 25 points de base. Désormais à 4%, il se situe au plus haut niveau de son histoire. Le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal se situent, eux, à 4,50% et 4,75%.

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La Bourse de Paris est devenue la « première capitalisation en Europe », selon le gouverneur de la Banque de France

Au total, ce dernier relèvement porte à 450 points de base la hausse des taux dans la zone euro depuis plus d’un an. De quoi peser sur l’activité économique. D’autant plus qu’en juin dernier, la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique) se trouvait techniquement en récession avec le recul du produit intérieur brut (PIB) sur deux trimestres consécutifs, de -0,1% d’octobre à décembre et à nouveau de -0,1% entre janvier et mars, d’après les données d’Eurostat, révisées et publiées ce jeudi 8 juin.

Même tendance observée chez d’autres places boursières ces derniers mois
Depuis le 20 septembre, le CAC 40 a perdu plus de 4,5%, tandis que dans le même temps le taux d’intérêt de la dette de l’Etat français à dix ans est passé de 3,23% à 3,48% et a signé un nouveau plus haut depuis novembre 2011. Le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans ne cesse de grimper également et évolue au plus haut depuis près de 16 ans, à 4,74%.

Les investisseurs craignent que les taux élevés pèsent sur l’activité économique.

Popularité: Macron plonge encore

Popularité: Macron plonge encore

la popularité de macron perd 7 points en avril dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Sa plus forte baisse depuis son entrée à l’Elysée. Le président paie l’impopularité de la réforme des retraites et le recours au 49.3.

Jamais la baisse n’avait été aussi importante depuis son élection à la présidence de la République, en mai 2017. Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos », la cote d’Emmanuel Macron chute de 7 points en avril pour s’établir à 25 %.

C’est un plus bas depuis sa réélection il y a un an, mais ce n’en est pas un depuis qu’il occupe l’Elysée : en décembre 2018, au plus fort de la crise des « gilets jaunes », sa cote de confiance était tombée à 23 %. Il y a aujourd’hui 71 % (+8 points par rapport à mars) des Français qui déclarent « ne pas lui faire confiance », dont 43 % (+6 points) qui disent « ne pas lui faire confiance du tout ».

Croissance 2023 :La croissance chinoise plonge (FMI)

Croissance 2023 :La croissance chinoise plonge (FMI)

Les prévisions de croissance mondiale pour 2023 pourraient passer sous les 2%, a estimé la directrice générale du FMI Kristalina Georgieva. La baisse la plus significative concernerait la Chine qui pour la première aurait sa croissance inférieure à la croissance mondiale.

Lors de la publication de son rapport sur les prévisions économiques mondiales (WEO), le Fonds monétaire international (FMI) avait anticipé une croissance de 2,7% pour 2023, en soulignant qu’il existait 25% de chance de la voir passer sous la barre des 2%.

« Lorsque l’on regarde les récents indicateurs, nous nous inquiétons de voir cette probabilité augmenter, du fait du ralentissement simultané aux États-Unis, en Europe et en Chine », a déclaré Mme Georgieva lors d’une intervention en ligne dans le cadre du forum Reuters Next.

Le Fonds doit mettre à jour en janvier ses prévisions pour 2023, mais la situation économique « s’est récemment assombrie, sur la base de ce que nous voyons tant concernant le sentiment des consommateur que des investisseurs », a ajouté la patronne du FMI.

Une croissance mondiale inférieure à 2% serait une première depuis 2009 (-1,3%), si l’on excepte les conséquences de la pandémie en 2020, année où le PIB mondial a reculé de 3,3%.

Or le contexte mondial n’est toujours pas positif, a rappelé Mme Georgieva, notamment du fait de l’impact de la guerre en Ukraine sur l’économie européenne, mais également des effets de la politique « zéro Covid » de la Chine.

« Nous envisageons cette année une croissance chinoise à 3,2%, soit équivalente à la croissance mondiale. Ce n’est jamais arrivé au cours des 40 dernières années de voir la Chine au même niveau que la croissance mondiale. Jusqu’ici, 35% à 40% de la croissance mondiale dépendait de la croissance chinoise, mais ce n’est pas le cas cette année, et ce ne sera pas le cas l’année prochaine », a insisté Kristalina Georgieva.

Selon Kristalina Georgieva,, « pour la première fois en 40 ans, la croissance de la Chine en 2022 sera probablement égale ou inférieure à la croissance mondiale ».
Par ailleurs, la flambée épidémique attendue dans les mois à venir risque d’affecter davantage l’économie chinoise cette année et de freiner la croissance régionale et mondiale, a-t-elle ajouté.

Croissance Chine : l’activité manufacturière plonge

Croissance Chine : l’activité manufacturière plonge

Mauvais signe pour la croissance mondiale avec le plongeon de l’activité manufacturière en Chine. La Chine qui pèse pour environ 30 % à 40% sur l’ensemble de la croissance mondiale.L’activité manufacturière en Chine s’est fortement contractée en décembre pour le troisième mois consécutif.

Malgré la fin des restrictions Sanitaires, l’activité peine désormais à redémarrer en raison d’une explosion du nombre de malades. En décembre, l’indice des directeurs d’achat (PMI), reflet de la santé du monde industriel, s’est établi à 47 points contre 48 un mois plus tôt, a annoncé le Bureau national des statistiques (BNS). Cette performance est en deçà des attentes d’analystes interrogés par l’agence Bloomberg (47,8). Un nombre inférieur à 50 témoigne d’un repli de l’activité. L’indice n’a plus été en territoire positif depuis septembre.

«L’épidémie a eu un impact important sur la production et la demande des entreprises, la présence du personnel, la logistique ainsi que la distribution» et donc l’activité, a souligné dans un communiqué Zhao Qinghe, statisticien du BNS.

De son côté, le PMI non-manufacturier, qui englobe le secteur des services et de la construction, s’est lui aussi davantage contracté ce mois-ci, à 41,6 points, contre 46,7 en novembre. Le gouvernement a fixé cette année un objectif de croissance d’environ 5,5%, après une hausse de plus de 8% du Produit intérieur brut (PIB) en 2021. Mais nombre d’économistes jugent désormais irréaliste cet objectif. La Chine dévoilera courant janvier sa performance pour l’ensemble de l’année 2022.

Tesla plonge en raison de prévisions alarmistes

Tesla plonge en raison de prévisions alarmistes

 

En raison de prévisions alarmistes sur l’état de l’économie mondiale et des conséquences sur les activités du groupe,Tesla plonge en bourse.

Une information qui risque peut-être de remettre en cause le projet de rachat de Twitter par Elon Musk. Un objectif déjà manipulé par les informations contradictoires du patron de Tesla laissant entendre qu’il pourrait renoncer à cette achat d’un prix de leur de 50 milliards !

Dans un message envoyé jeudi à des cadres de Tesla et intitulé «suspendre toutes les embauches dans le monde», Elon Musk explique avoir «un super mauvais pressentiment sur l’économie», affirme l’agence Reuters qui a consulté le courriel. Selon son rapport annuel, Tesla et ses filiales employaient un peu plus de 100.000 personnes fin 2021. Une réduction de 10% correspondrait donc à la suppression d’environ 10.000 emplois. Le groupe n’avait pas, dans l’immédiat, répondu à une sollicitation de l’AFP.

Également secouée par la baisse plus généralisée du marché boursier, l’action du constructeur a perdu plus de 30% depuis début avril. Pour Dan Ives, du cabinet Wedbush, Elon Musk «essaie de devancer le fait que les livraisons n’augmenteront pas autant que prévu cette année et de préserver les marges du groupe avant un ralentissement économique». Plusieurs dirigeants de grandes entreprises ont récemment fait part de leurs inquiétudes sur la situation économique. Jamie Dimon, le PDG de JPMorgan Chase, a ainsi estimé mercredi que les investisseurs devraient se préparer à un «ouragan» économique, même s’il est encore difficile de prédire s’il s’agira d’un ouragan mineur ou d’une méga tempête.

Cryptomonnaie: Le bitcoin plonge

Cryptomonnaie: Le bitcoin plonge

Samedi, la devise virtuelle s’échangeait à 48.210 dollars, en baisse de 10% par rapport à vendredi soir. Vers 05H00 GMT, il avait soudainement chuté jusqu’à 42.296 dollars, sans explication particulière a priori autre que la spéculation habituelle. .

« Les cryptomonnaies ont été bousculées par les conditions de risque plus larges liées (au variant) Omicron et aux attentes d’une (politique monétaire aux Etats-Unis) plus agressive, mais ont vraiment commencé à piquer de nez vendredi, dans le sillage de la baisse sur les marchés des actions », a commenté Martha Reyes, qui dirige la recherche de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies Bequant.

Les principaux indices de Wall Street ont de fait terminé dans le rouge vendredi, tirés par la faiblesse des valeurs technologiques. Le repli du bitcoin, habitué aux mouvements violents, n’est pas complètement surprenant dans la mesure où la devise évolue depuis fin novembre dans une fourchette d’échanges limitée et que certains investisseurs ont pu vouloir dénouer certaines positions, estime Mme Reyes dans une note.

Reste que la question de la volatilité des cryptos inquiète de plus en plus les autorités financières, des banques centrales aux grands argentiers. En quelques heures, 2.120.000.000 de dollars ont été liquidés, écrit CryptoQuant. Le crash d’aujourd’hui est le deuxième en termes d’impact depuis le 11 mars 2020.

Même sentiment pour Anto Paroian, du fonds spécialisé dans les crytomonnaies ARK36. Après avoir atteint un record à 68.363 dollars le 10 novembre, la devise virtuelle est redescendue et « a plusieurs fois échoué à repasser le seuil des 60.000 dollars », souligne-t-il dans une note en rappelant que le bitcoin a régulièrement enregistré des chutes de 20% à 30% avant de se reprendre.

(avec AFP)

Le bitcoin plonge encore dimanche

Le bitcoin plonge encore dimanche

Nouvelle chute dimanche pour le bitcoin qui perd encore plus de 10%.

 

En cause l’intention de la Chine de s’attaquer aux cryptomonnaies indépendantes et à la volonté de la banque centrale américaine de mieux les réguler. Le bitcoin cède ainsi 10,54 %, à 33.548,35 dollars à 17h40. Il a perdu autour de 48 % depuis son record du 14 avril à 64.895,22 dollars. La Chine a annoncé tour à tour ces derniers jours qu’elle allait interdire aux institutions financières de proposer des services liés aux cryptomonnaies et renforcer la réglementation sur le « minage » et les échanges de bitcoin. Les régulateurs chinois ont publiquement mis en garde les investisseurs contre le caractère spéculatif de cette catégorie d’actifs financiers.

Le bitcoin est dénoncé par ses adversaires pour son extrême volatilité et son caractère spéculatif. Dans son sillage, son principal concurrent, l’ether, perd dimanche 15,83 %,  à 1.932,91 dollars.

Vaccin AstraZeneca : la confiance européenne plonge

Vaccin AstraZeneca : la confiance européenne plonge

 

Le sondage de YouGov – qui a concerné environ 8000 personnes interrogées dans sept pays européens entre le 12 et le 18 mars – a révélé qu’en France, en Allemagne, en Espagne et en Italie, les gens étaient désormais plus susceptibles de considérer le vaccin AstraZeneca comme dangereux que comme sûr.

Quelque 55% des Allemands disent que c’est dangereux, tandis que moins d’un tiers pensent que c’est sûr, selon le sondage. En France, où le vaccin COVID d’AstraZeneca était déjà impopulaire, 61% des personnes interrogées déclarent désormais le considérer comme dangereux.

En Italie et en Espagne, la plupart des gens pensaient auparavant que le vaccin AstraZeneca était sûr – à 54% et 59% respectivement – mais ces taux sont tombés à 36% et 38% respectivement, dans le dernier sondage.

L’enquête a montré que ce n’est qu’en Grande-Bretagne, où le vaccin AstraZeneca COVID-19 a été utilisé dans un déploiement national depuis janvier, que les problèmes de caillot sanguin ont eu peu ou pas d’impact sur la confiance du public. La majorité des personnes interrogées au Royaume-Uni – 77% – disent toujours que le coup est sûr. Leur confiance est à égalité avec la cote de sécurité perçue de Pfizer de 79%.

YouGov a également déclaré qu’il ne semblait y avoir aucun problème de contagion dans les sept pays européens interrogés pour les vaccins Pfizer et Moderna COVID-19, qui étaient tous deux considérés comme aussi sûrs que dans un sondage il y a trois semaines.

La compétitivité française plonge

La compétitivité française plonge

D’après avec Rexocode,  les indicateurs de compétitivité de la France se sont encore dégradés en 2020. Témoin surtout la situation de la balance commerciale particulièrement déséquilibrée. A comparer à la balance commerciale allemande dégage en moyenne un profit de 200 milliards par an alors que la France enregistre un déficit de leur de 50 milliards. Mais pour 2020, la situation est devenue encore plus catastrophique pour la France

En 2020, les exportations françaises se contractent (baisse de 15,9 %, après 3,5 % de croissance en 2019), dans le contexte de la crise sanitaire Covid-19. Les importations diminuent également, mais de façon légèrement moins marquée (baisse de 13,0 %, après 2,2 % de croissance en 2019). Le déficit commercial FAB/FAB se détériore ainsi de 7,3 milliards d’euros et s’établit à 65,2 milliards, après 57,9 milliards en 2019. C’est le déficit le plus élevé depuis 2012.

Le solde manufacturier se détériore de 22,3 milliards, poursuivant de façon accélérée la dégradation tendancielle observée depuis deux décennies. Cette année se caractérise par une diminution généralisée des exportations qui surpasse la baisse des achats à l’étranger, en particulier dans les secteurs aéronautique et automobile. Les importations de masques de protection pèsent nettement (5,9 milliards). Seuls les achats et les ventes de produits pharmaceutiques restent dynamiques.

La baisse des prix du pétrole et la diminution de l’activité en lien avec les mesures restrictives globales réduisent le déficit énergétique de 19,0 milliards (25,7 milliards en 2020, après 44,8 milliards). L’excédent agricole diminue légèrement, de 0,4 milliard.

Le bouleversement des équilibres engendré par l’épidémie de Covid-19 a touché tous les pays européens mais la France a particulièrement souffert, selon l’institut Rexecode.

Le bouleversement des équilibres engendré par l’épidémie de Covid-19 a touché tous les pays européens mais la France a particulièrement souffert, avec des exportations de biens et de services qui se sont «contractées plus fortement que ne l’ont fait les exportations totales des pays de la zone euro», a relevé RexecodeLa part de la France dans les exportations de biens et de services de la zone euro est ainsi passée de 14,5% à 13,5%, «son plus bas niveau depuis 20 ans», selon l’institut, réputé proche du patronat.

 

SONDAGE popularité: Castex , déjà usé, plonge !

SONDAGE popularité: Castex , déjà usé, plonge !

Castex, sans doute déjà usé par la répétition de voyages qui n’apportent rien sur le fond, voit sa cote de popularité dégringoler dans le baromètre mensuel réalisé par l’IFOP pour le JDD. Celui qui s’est autoproclamé « l’homme des territoires » ne cesse de multiplier- comme tous les autres membres du gouvernement- les voyages « sur le terrain ». En réalité des voyages qui se limitent le plus souvent à des rencontres dans une préfecture ou dans un lieu très protégé. Surtout des déplacements qui n’apportent strictement rien sur le fond et qui se limitent à des généralités. Preuve d’ailleurs, l’absence de direction très claire concernant le plan de relance qui vient  d’être repoussé d’une bonne semaine. Alors qu’il a multiplié les déplacements pour incarner la mobilisation de l’exécutif sur tous les sujets, il passe sous la barre des 50% de satisfaits et 46% des Français désapprouvent son action, un chiffre en hausse de 6 points en un mois. « C’est le retour dans l’atmosphère », diagnostique Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’IFOP. Alors que la rentrée – scolaire et sociale – se profile, le Premier ministre paie selon lui « le retour de l’inquiétude sur la crise sanitaire ».

Alors qu’Édouard ­Philippe était à son départ de Matignon plébiscité par l’électorat de droite, c’est de ce côté que Castex enregistre les reculs les plus importants : – 9 points parmi les sympathisants des Républicains, – 26 chez les électeurs de François Fillon en 2017 (et – 15 chez les retraités).

La déception se mesure aussi parmi les cadres (-17) les ­commerçants, artisans et chefs d’entreprise (– 16) et même les sympathisants macronistes (-6) et les partisans du Modem (-11). Après la réautorisation des néonicotinoïdes pour les betteraviers, il chute en outre chez les écologistes (- 14 ). En revanche, sa cote progresse chez les ouvriers (+ 9) et les employés (+ 4).

De son côté, la cote d’Emmanuel ­Macron reste stable, à 36 % de satisfaits (–  1). Pour le chef de l’État, qui avait dévissé à la même période en 2017 et souffert de l’affaire Benalla en 2018, l’été 2020 n’aura pas été meurtrier.

Renault plonge en bourse

Renault plonge en bourse

Depuis l’affaire Ghosn ,  les pertes financières et boursières de Renault ne cessent de s’amplifier. Du coup, l’agence de notation Moody’s a encore diminué la note de Renault.

Moody’s a basculé son appréciation sur le titre en catégorie spéculative, la note passant de Baa3 à Ba1, perspective stable. Mercredi, S&P n’a pas changé sa note de BBB- mais a néanmoins changé sa perspective en la plaçant sous surveillance. La première agence financière du monde pourrait ainsi également baisser d’un cran à court terme et basculer elle aussi en catégorie spéculative.

En une semaine, l’action du constructeur tricolore a encore perdu 7% de sa valeur, portant sa perte à 23% depuis le 1er janvier. Mais la chute du titre ne date pas d’hier, les marchés sanctionnent le titre depuis mars 2018 alors que le titre atteignait un plus haut à 97 euros. L’action est déjà tombée à 65 euros quelques jours avant la chute de Carlos Ghosn. Elle est désormais valorisée 32 euros. La capitalisation boursière du constructeur a ainsi perdu les deux tiers de sa valeur depuis son plus haut de mars 2018.

De son coté l’autre agence de cotation  S&P juge ainsi que la marge opérationnelle devrait continuer à baisser entre 3 et 4% en 2020, soit plus de moitié moins par rapport à la performance enregistrée en 2017. L’agence financière pointe notamment des coûts structurels extrêmement lourds. En 2019 déjà, les lancements de Clio et Captur, deux modèles phares, rentables et à forts volumes, avaient pesé sur les coûts. En outre, plus personne ne s’attend à ce que Nissan, dont Renault possède 43%, verse des dividendes compte tenu de ses propres difficultés financières.

En réalité le groupe est encore en convalescence d’une année très agitée après la chute de leur patron jusqu’au brutal remerciement de Thierry Bolloré en novembre dernier. Le groupe tente de remobiliser les troupes, mais en attendant, difficile d’attendre une nouvelle impulsion stratégique forte avant l’arrivée ( en juillet seulement !)  de son nouveau directeur général, l’ancien patron de Seat, Luca de Meo.

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