Archive pour le Tag 'pleine'

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Rafle Vel d’Hiv : Mélenchon en pleine contradiction

Rafle Vel d’Hiv : Mélenchon en pleine contradiction

  • Tout est bon dans le cochon , c’est comme en politique tout est bon pour discréditer même en se contredisant complètement En avril Mélenchon condamner le révisionnisme du FN qui ne voulait pas reconnaître la responsabilité de la France dans la rafle du Vel’ d’Hiv’.  Réagissant aux propos de Marine Le Pen, il avait estimé que ce qu’elle avait dit « déclench[ait] des polémiques absolument inutiles. L’Histoire de France a fait que les présidents successifs ont fait évolué la question et le regard que l’on portait dessus. »  »Pourquoi rallume-t-elle cette querelle? Pour blesser? », se demandait alors Jean-Luc Mélenchon. « Le président Chirac a dit une fois une chose. Tâchons de nous tenir à une continuité dans notre regard sur l’histoire. »"La République française n’est pas coupable mais la France l’est », notait-il. Changement de ton juillet après les propos du président de la république reconnaissant la responsabilité de l’État français.  Jean-Luc Mélenchon a condamné les propos de macro «  qui constitue un franchissement de seuil d’une intensité maximale », estime le leader de la France insoumise. « La France n’est rien d’autre que sa République. À cette époque, la République avait été abolie par la révolution nationale du maréchal Pétain.[...] Par sa résistance, ses combats contre l’envahisseur et par le rétablissement de la République dès que celui-ci a été chassé du territoire, le peuple français a prouvé de quel côté il était réellement. Il n’est pas au pouvoir de Monsieur Macron d’assigner tous les Français à une identité de bourreau qui n’est pas la leur! ». À peu près la même position que le front national dont il ce rapproche de plus en plus dans sa posture de numéro un de l’opposition.

Venezuela : le modèle de Mélenchon en pleine décomposition

Venezuela : le modèle de Mélenchon en pleine décomposition

 

Nouvelle manifestation cette fois pour protester contre la censure du gouvernement, une  vague de protestation ayant déjà fait 66 morts depuis début avril. « Ils ont arrêté la diffusion de certains médias parce qu’ils ne reproduisent pas l’opinion du gouvernement. Nous venons demander la fin de la persécution contre les journalistes », a déclaré à l’AFP Santiago Acosta, étudiant et membre du conseil universitaire de l’Université catholique Andrés Bello (UCAB). Le président Nicolas Maduro, confronté à une vague de manifestations réclamant son départ depuis plus de deux mois, accuse une partie de la presse de mener campagne contre lui pour le faire chuter. En réalité le pays est confronté à une crise sans précédent, une crise économique, une crise sociale et une crise politique. Le pays dirigé par Chavez puis par Maduro est  en pleine décomposition. Un pays qui  pourtant pour Mélenchon représentait « l’inépuisable idéal de l’espérance humaniste de la révolution ». Aujourd’hui il représente surtout la misère et la dictature. . L’ONG Espacio Publico critique la « politique de censure » du gouvernement contre les médias critiques, tandis que le Syndicat national des journalistes (SNTP) a dénoncé plus de 200 agressions contre des reporters durant les manifestations. Dans le cortège vendredi, beaucoup continuaient de réclamer l’organisation d’élections anticipées, le leitmotiv des adversaires du président Maduro, qui rejettent aussi son projet de réforme de la Constitution, une manoeuvre pour s’accrocher au pouvoir selon eux. « Le pays est ruiné, avec des problèmes comme s’il était en guerre. Nous voulons un changement, des élections maintenant et ce que veut Maduro, c’est une Constitution sur mesure », a déclaré à l’AFP Rosalba Venegas, 40 ans, venue manifester. D’autres manifestations et des blocages de rue ont eu lieu dans la soirée dans différentes parties de l’est de la capitale, dispersés à coup de gaz lacrymogènes par les forces de sécurité. L’opposition a appelé à sortir une nouvelle fois dans la rue samedi, alors que les manifestations sont quasi-quotidiennes.

Le FMI affirme sa « pleine confiance » à Lagarde

Le FMI affirme sa « pleine confiance » à Lagarde

 

Le FMI est en bonne main et Christine Lagarde est confirmée en dépit de la décision de la cour de justice de la république qui a acté la négligence coupable de 400 millions dans l’affaire Tapie. De quoi quand même s’inquiéter quant aux  compétences du FMI en charge notamment de la gestion financière mondiale. Le Fonds monétaire international (FMI) a renouvelé sa « pleine confiance » à sa directrice générale, Christine Lagarde, malgré le jugement de Paris l’ayant reconnu coupable de « négligence » dans l’affaire Tapie-Crédit Lyonnais. Le conseil d’administration du FMI, qui représente ses 189 Etats membres, « réaffirme sa pleine confiance dans la capacité de la directrice générale de continuer d’assumer ses fonctions efficacement », indique un communiqué. Arrivée à la tête du Fonds en 2011, Mme Lagarde a été reconduite en juillet pour un second mandat de 5 ans. L’ancienne ministre française de l’Economie (2007-2011) a été jugée coupable de négligences ce lundi pour son rôle dans l’arbitrage rendu en 2008 en faveur de l’homme d’affaires Bernard Tapie dans son litige avec le Crédit Lyonnais. Elle a toutefois été dispensée de peine. Le conseil d’administration du FMI, qui avait apporté son soutien à Mme Lagarde tout au long de la procédure, a assuré avoir pris en compte « tous les éléments pertinents » pour prendre sa décision, notamment « le fantastique leadership de la directrice générale et l’important et respect et confiance qu’elle inspire sur le globe ». L’organe de direction du FMI, qui a nommé Mme Lagarde à son poste et avait la possibilité de la destituer, se dit par ailleurs prêt « à continuer à travailler (avec elle) pour s’attaquer aux difficiles défis auxquels l’économie mondiale fait face ». Christine pourra conserver son poste, elle a en outre reçu le soutien des Etats-Unis.

Attentat à Nice : Sarkozy en pleine démagogie

Attentat à Nice : Sarkozy en pleine démagogie

Après avoir rabroué Juppé qui avait maladroitement déclaré que la catastrophe de Nice aurait pu être évitée sous si tous les moyens avaient été mis en œuvre,  Sarkozy dès le lendemain s’est montré encore beaucoup plus démagogique. Il a notamment proposé qu’on mette un bracelet électronique à tous les fichés S. Or le fiché S vise précisément à assurer un suivi en toute discrétion des personnes qui ne sont pas nécessairement dangereuses  mais susceptibles de fournir des informations sur les réseaux radicalisés et djihadistes. Quant à la possibilité de mettre les fichés S en centre de détention encore faudrait-il identifier ce qui a l’intérieur du fichier qui comprend 12 000 personnes sont effectivement potentiellement dangereux. Nicolas Sarkozy se plaint également qu’aucun centre de déradicalisation n’ait été ouvert depuis 18 mois. Le premier d’entre eux ouvrira en septembre. Au total, 13 centres de ce type sont prévus d’ici à 2017. 
 Le patron des Républicains préconise également des mesures pour les lieux de culte à tendance salafiste. « Je souhaite que les préfets soient autorisés à fermer immédiatement tout lieu de culte qui aurait des rapports de près ou de loin avec des salafistes et à expulser immédiatement tout imam qui y prêcherait », a-t-il déclaré. Là encore, la phrase étonne. La loi permet déjà aux préfets d’expulser les imams, à condition qu’ils soient étrangers. Le gouvernement revendique 80 expulsions de ce type. La fermeture des lieux de culte est également permise ; depuis 2012, dix mosquées et lieux de prière ont été fermés. Il est évident que Sarkozy a saisi l’opportunité du terrible attentat Denise pour tenter d’incarner le responsable politique le plus déterminé en matière de sécurité quitte à dire n’importe quoi. Concernant la tuerie Denise les mesures préconisées par que ce que Sarkozy n’aurait été aucune utilité puisque le coupable n’était ni fiché S et était même sans lien avec le mouvement salafiste.

(Avec AFP et RTL)

 

Diesel : Ségolène Royal en pleine contradiction.

Diesel : Ségolène  Royal en pleine contradiction.

‘L’inénarrable Ségolène est encore prise en pleine contradiction. D’un coté elle ne souhaite pas qu’on avantage le diesel, par la fiscalité évidemment, d’un autre, elle ne veut pas non plus d’une évolution de cette fiscalité sur le carburant et ne veut pas envisager même dans dix ans le diesel au nom des intérêts franaçis. On ne peut nier que le diesel notamment chez PSA représente uen activité significative et concoure à l’emploi pour autant li seraiat temps de concilier intérêts environnementaux et intérêts industriels. En 15 ou 20 ans (le temps d’amortir le parc diesel existant), on peut facilement prévoir la suppression du diesel et prévoir la reconversion industrielle. Ne pas prévoir déchéance c’est s’exposer aux normes extérieures au pays. Voir par exemple l’affaire Volkswagen qui avait mis en place uen tricherie pour échapper aux normes américaines plus contraignantes. L’appel d’Europe Ecologie-Les Verts à interdire le diesel d’ici dix ans, en plein scandale provoqué par le scandale Volkswagen, n’est « pas sérieux », a estimé vendredi la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal, qui juge plus pertinent d’aider les véhicules propres. Lors de son premier meeting de campagne pour les régionales en Ile-de-France, mercredi, la secrétaire nationale d’EELV, Emmanuelle Cosse, a appelé à supprimer les aides au diesel en cinq ans et à l’interdire « dans l’ensemble du pays d’ici 2025″. Le diesel est régulièrement combattu par les écologistes mais ces propos ont trouvé une résonance particulière après la révélation d’une manipulation des tests sur les émissions polluantes des véhicules du groupe Volkswagen. Des tests aléatoire seront menés sur une centaine de véhicules en France afin d’apporter des garanties aux acheteurs et commenceront la semaine prochaine.  Invitée à réagir à la proposition des écologistes, Ségolène Royal a répondu : « Ce n’est pas sérieux ».  En utilisant sa dialectique approximative habituelle «On ne peut pas traiter des problèmes de cette gravité-là en lançant des slogans idéologiques au dépens des intérêts français », a-t-elle ajouté sur Europe 1, rappelant que le diesel comptait pour plus de la moitié des ventes en France. « Ce qu’il faut, c’est ne plus avantager le diesel, ça c’est évident », a-t-elle ajouté. Alors que les écologistes réclament la suppression de la « niche diesel », référence au taux réduit de la taxe intérieure sur la consommation dont il bénéficie, Ségolène Royal avait prévenu durant l’été qu’elle ne souhaitait pas d’alignement à court terme de la fiscalité de l’essence et du diesel. Elle avait dit exclure l’idée soumise par des parlementaires d’un alignement progressif d’ici 2020. Un débat est en cours sur le sujet au sein du gouvernement, comme l’a dit sur RMC le secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert, mais il n’est « pas nouveau » et fait plutôt l’objet d’une discussion qu’il n’est une option pour l’heure.

Fiscalité locale : les Français aussi en pleine contradiction

Fiscalité locale : les Français aussi en pleine contradiction

Curieusement une majorité de Français se dégage pour considérer que le mécontentement des maires à l’égard de la baisse de la dotation globale et justifiée. On regrette sans doute la perspective inévitable sur la tendance actuelle d’une forte hausse de la fiscalité locale. Mais se pose la question des leurs de savoir comment concilier une baisse de la fiscalité incontournable pour améliorer la compétitivité de l’économie et la baisse des dépenses publiques locales. Là où les Français sont un peu plus cohérent c’est lorsque une courte majorité considère qu’il est possible de gérer la baisse de la dotation globale sans avoir à augmenter les impôts locaux. Selon un sondage Odoxa (réalisé auprès de 1.009 personnes) pour Les Echos, FTI consulting, Radio classique : plus de 60% des Français considèrent « justifiée » la journée d’action des maires de France pour dénoncer la baisse des dotations de l’Etat aux collectivités locales. A la question « personnellement estimez-vous que ce mouvement des maires est justifié ou pas ? », 62% des personnes interrogées répondent par l’affirmative, contre 37% qui ne le jugent « pas justifié » (1% sans opinion). Si 70% des sympathisants de droite estiment le mouvement « justifié », c’est aussi le cas de 54% des sympathisants de gauche. Une courte majorité des personnes interrogées, 52%, estiment cependant que les communes pourraient faire face à ces baisses de dotations « sans avoir à augmenter leurs tarifs ou leurs impôts, en faisant des économies ». 46% sont d’un avis contraire. Elles sont également 79%, contre 20%, à penser que les communes « font trop de dépenses inutiles ». C’est d’ailleurs également la position du ministre des Finances Michel Sapin qui estiment que les collectivités locales en général et les communes en particulier doivent pouvoir parvenir à des économies dans leurs dépenses de fonctionnement.  Les maires, eux,  sont en colère contre la baisse des dotations de l’Etat décidée dans le cadre du plan de réduction de 50 milliards d’euros des dépenses publiques. La quasi totalité des associations d’élus du bloc communal appelle d’ailleurs samedi 19 septembre les citoyens à se regrouper devant les mairies pour interpeller l’Etat. Les élus veulent ainsi peser sur les choix du gouvernement et rappellent que la baisse programmée de la Dotation globale de fonctionnement (DGF) représente une perte cumulée de 28 milliards d’euros pour les collectivités d’ici 2017, dont 15,8 milliards pour les communes et intercommunalités. Actuellement, le budget total des communes de France dépasse les 100 milliards d’euros Selon eux, la baisse des crédits de l’Etat a déjà entraîné en 2014 une baisse de l’investissement des communes de 12,4%.

 

Dotations de l’Etat : les maires en pleine contradiction

Dotations de l’Etat : les maires en pleine contradiction

D’un côté les maires se plaignent de la baisse de la dotation de l’État, d’un autre il regrette le manque de compétitivité de l’économie dans leur région et la baisse de l’emploi. Il s’agit pourtant bien d’un seul et même problème. Problème qui malheureusement n’a pas été anticipé par les élus dont beaucoup ont au contraire favorisé les dérives financières locales. Certes la baisse des dotations aux communes est réelle  (de l’ordre de 15 milliards sur quatre ans pour les 36 000 communes)  pour autant comment améliorer la compétitivité de l’économie sans réduire la fiscalité ? On voit bien de ce point de vue que les stratégies de gouvernance des élus  locaux sont assez différentes puisque certains choisissent de réduire les dépenses de fonctionnement quand d’autres se contentent simplement d’augmenter la fiscalité. Une fiscalité qui globalement va progresser au plan local en moyenne d’environ 2 % mais avec des écarts importants. Le pire est cependant à venir en effet plus de la moitié des collectivités sur la tendance risque de se trouver dans le rouge à partir de 2017. À moins évidemment d’une hausse très substantielle de la pression fiscale locale ce qui est vraisemblable compte tenu de l’inertie de certaines dépenses. Or on sait que pour l’ensemble des Français la fiscalité locale représente le principal impôt (de l’ordre  de 2000 € en moyenne). Davantage de fiscalité locale c’est  de pouvoir d’achat, moins de consommation moins de dynamisme de l’économie locale, donc moins d’emplois aussi davantage de dépenses à caractère social. . Un rapport sénatorial sur l’évolution des finances locales, publié le 9 juillet, note que près de la moitié des collectivités territoriales ont choisi de diminuer leurs investissements dans leur budget 2015 pour compenser la baisse de leurs ressources. Un tiers a ainsi choisi de réduire les dépenses de fonctionnement, alors que 13% ont opté pour une hausse de la fiscalité. A l’instar de Toulouse, Bordeaux, Clermont-Ferrand ou encore Lille, comme le note le Figaro ce samedi 19 septembre. Le journal précise que plus d’un tiers des grandes villes françaises ont augmenté leurs impôts en 2015, en moyenne de 1,8%, selon une étude du Forum de gestion des villes et des collectivités territoriales. Les rapporteurs, eux, ne remettent pas en cause la nécessité de réduire la dépense publique, mais s’inquiètent de « l’absence de visibilité » des élus locaux.   »Les deux tiers des collectivités locales vont se trouver structurellement dans le mur en 2017« , résumait  alors le sénateur, Philippe Dallier (Les Républicains), à l’origine du rapport.

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