Archive pour le Tag 'Placé'

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Compétitivité : la France à la 32e place mondiale

Compétitivité : la France à la 32e place mondiale

 

 

Selon l’Institut for Management Development, la France continue de figurer dans le bas du classement de la compétitivité. Seulement 32e avec en plus un recul depuis 2010. En cause bien sûr le poids de la fiscalité et de la bureaucratie. Il ne faut pas chercher ailleurs pourquoi la France connaît depuis longtemps une croissance aussi molle et l’explosion du chômage. En outre quand on constate les réticences de nombre de Français à toute réforme structurelle on peut évidemment être inquiet pour l’avenir. Si les classements internationaux sont rarement tendres avec la France, il en est un qui est peut-être encore plus impitoyable. Il s’agit du classement mondial de la compétitivité des pays qu’établit chaque année l’école de commerce suisse IMD (Institut for Management Development). Cette étude réalisée depuis 1989 est l’une des plus complètes sur le sujet. Elle prend en compte 340 critères parmi lesquelles les performances économiques, l’efficacité des politiques publiques menées, les infrastructures, le taux de chômage, etc.  Cette année, les grands gagnants du classement sont plutôt de petits pays. Champions du monde de la compétitivité en 2015, les Etats-Unis ont ainsi perdu deux places au profit de Hong-Kong et de la Suisse. Et si l’Europe est, cette année, à l’honneur avec des progressions spectaculaires dans le classement, c’est grâce aux performances d’Etats membres de l’UE comptant moins de 10 millions d’habitants: la Suède, qui passe du 9ème au 5ème rang, le Danemark (6ème, +2 places) et l’Irlande (7ème, +9 places). Les petits pays du nord de l’Europe sont présentés par l’IMD comme des exemples à suivre. « Le principal facteur des améliorations générales en Europe réside dans l’efficacité du secteur public, qui récupère maintenant sérieusement après la crise financière », commente Arturo Bris, économiste, sur le site Romandie.   La France reste, elle, très loin derrière le peloton de tête. Par rapport à 2014, l’Hexagone n’a ni perdu, ni gagné de place mais il occupe la guère reluisante 32ème place au classement. Depuis 2010, la France a ainsi perdu 8 places. Elle se situe derrière des nations bien moins puissantes sur le plan économique comme l’Estonie, la Lituanie, la République Tchèque ou la Belgique. Comme chaque année, l’IMD pointe les nombreux défis que la France peine toujours à relever comme « la réduction des formalités administratives, la baisse des coûts du travail et de la charge fiscale, l’encouragement à l’investissement privé ». Et l’entrée en application des différentes mesures économiques de la loi Macron n’ont semble-t-il pas convaincu les auteurs de l’étude. Les Français se distinguent néanmoins dans différentes catégories comme le niveau élevé d’éducation, la main-d’œuvre qualifiée, des infrastructures fiables, une forte culture recherche et développement et une stabilité politique.

 

(avec le Figaro)

Mise en place de l’étiquetage de l’origine des viandes « d’ici l’été ?

Mise en place de l’étiquetage de l’origine des viandes « d’ici l’été ?

Le ministre de l’Agriculture et porte-parole du gouvernement était au micro de BFM TV/RMC ce matin. L’occasion pour lui de revenir sur plusieurs sujets d’actualité.

  • Origine des viandes

Stéphane le Foll s’est félicité d’avoir obtenu l’étiquetage de l’origine des viandes et du lait : « Oui je l’ai obtenu. Maintenant on espère voir sa mise en place d’ici l’été. Mais cela prendra du temps car il va falloir réétiqueter une partie des produits déjà sortis d’usine [...] mais l’objectif est de mettre en place le décret le plus vite possible. »

  • Point d’indice des fonctionnaires

Sur ce sujet, le porte-parole du gouvernement est resté discret. Il a assuré que le geste sera « significatif » avant d’ajouter qu’ »il est normal de faire un geste vis-à-vis des fonctionnaires qui n’ont pas vu le point d’indice augmenter depuis 2010. »

  • Notre-Dame-des-Landes

Stéphane le Foll a reconnu que Jean-Vincent Placé, qui appelle a voter contre le projet, « a une position claire ». Pour sa part, le ministre de l’Agriculture affirme « être pour cet aéroport tout en ayant conscience des enjeux écologiques ».

(le Figaro)

Migrants Calais : Macron remis à sa place par Cazeneuve

Migrants Calais : Macron remis à sa place par Cazeneuve

 

Le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve a sèchement remis à sa place Macron à propos des migrants de Calais. Emmanuel Macron s’était exprimé sur le sujet en indiquant que dans le cas de la sortie du Royaume-Uni de l’Europe, il n’y aurait plus de raison de retenir les migrants à Calais. Bernard Cazeneuve s’étonne que le ministre de l’économie s’aventure sur des terrains qui ne sont pas de sa compétence. Pourtant Bernard Cazeneuve devrait bien savoir qu’il existe désormais un conflit ouvert entre Emmanuel Macron et Manuel Valls. On sait en effet qu’Emmanuel Macron a été écarté de la gestion du débat relatif à la modernisation économique et sociale au profit d’une part de Sapin d’autre part d’El Khomri. En outre la posture de réformateur  a été volé dans l’opinion publique par Emmanuel Macron. Se joue aussi la question d’un éventuel remplacement de Manuel Valls en cas d’échec de la loi travail. Au-delà la lutte concerne le positionnement de chacun des deux responsables pour 2017 et 2022. Sur le fond Macron n’a pas tort ; en cas de Brexit, il n’y aurait plus aucune raison d’empêcher les migrants de rejoindre le Royaume-Uni. Il n’y a pas que Manuel Valls qui est agacé par Emmanuel Macron au sein du gouvernement. Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve s’est exaspéré vendredi du « buzz » de son collègue de l’Economie Emmanuel Macron sur une ouverture de la frontière à Calais en cas de Brexit. « Sur ce sujet-là, ce ne sont pas des déclarations qui font le buzz dont on a besoin, c’est d’une action sur la durée (…) qui donne des résultats », a déclaré Bernard Cazeneuve sur BFMTV/RMC. « Comme vous le savez, c’est moi qui suis en charge de ce sujet au sein de ce gouvernement ». Jeudi, le ministre de l’Economie avait mis en garde contre les conséquences d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, prévenant que la France cesserait de retenir les migrants à Calais : « Le jour où cette relation sera rompue, les migrants ne seront plus à Calais ». Quelques heures plus tard, François Hollande avait renchéri : « il y aura des conséquences si le Royaume-Uni quitte l’UE (…) y compris sur la manière de gérer les situations en matière de migrations ». « Je pense tout simplement que le ministre de l’Economie, qui fait un travail absolument remarquable dans son domaine de compétences, qui a beaucoup à faire pour la croissance et relever le pays (…), se consacre entièrement à sa tâche comme moi je me consacre entièrement à la mienne », a ajouté Bernard Cazeneuve. »Ces sujets sont d’une extraordinaire complexité. Sur les sujets compliqués, il faut travailler beaucoup et parler peu », a-t-il insisté.

Un nouveau parti écolo ou une micro organisation pour Placé et deRugy

Un nouveau parti écolo ou une micro organisation pour Placé et deRugy

Jean Vincent placé et François de Rugy, sitôt après leur départ d’Europe écologie les Verts, ont décidé de créer un nouveau parti « l’union des démocrates et écologistes». La question de savoir s’il s’agira véritablement d’un parti ou d’une micro organisation comme il en existe déjà chez les écolos. Tout dépendra aussi de la philosophie de ce parti et du contenu programmatique. La question est aussi de savoir s’il existe encore un espace  politique pour uen telle formation car si les citoyens sont de plus en plus sensibles aux questions environnementales ils n’adhèrent  pas forcément à la politisation de la problématique environnementale. Comme   d’habitude Daniel Cohn-Bendit a bien résumé la situation.  Interrogé par LibérationDaniel Cohn-Bendit est sceptique : « Est-ce que ramasser des morceaux cassés refait un vase ? Je ne crois pas », juge l’ex-dirigeant d’Europe écologie.  Les démissionnaires d’Europe écologie – Les Verts (EELV) ont vite rebondi. Jean-Vincent Placé et François de Rugy s’apprêtent à fonder leur propre parti, selon les informations de Libération.  Le sénateur de l’Essonne et le député de Loire-Atlantique, ainsi que « les anciens du Modem (mais aussi ex-Verts) et dirigeants du Front démocrate, Jean-Luc Bennahmias et Christophe Madrolle, se réunissent ce mercredi soir au Sénat pour créer l’Union des démocrates et écologistes« , affirme le quotidien ce 2 septembre. « Le sigle UDE (…) avait été déposé mi-août par le député François-Michel Lambert, suspendu d’EELV. » Cette future structure abritera aussi Génération écologie, précise Libé.  « On veut très vite y faire venir des gens », explique au journal Jean-Luc Bennhamias. L’UDE « prévoit de tenir une ‘convention’ en octobre avec élaboration d’un ‘pacte fondateur’ », précise Libération. « Son principe : positionnement au centre gauche, écologie positive, partenariat avec le PS. » Objectif : attirer les déçus du Modem, comme les écologistes insatisfaits du rapprochement avec le Front de gauche.

Ecologie politique : Jean-Vincent Placé quitte aussi EELV

Ecologie politique : Jean-Vincent Placé quitte aussi EELV

Une nouvelle démission à EELV, celle de Jean Vincent Placé qui crée dès maintenant une crise ouverte dans le parti de l’écologie politique. Une crise qui était attendue pour les des élections régionales alors que certains verres soutiennent le gouvernement et que d’autres ont rejoint Mélenchon. En fait le processus de décomposition d’Europe écologie les Verts s’accélère alors que ce parti ne représente déjà plus que quelques pour cent. Le président du groupe écologiste au Sénat, Jean-Vincent Placé, annonce ce vendredi 28 août qu’il quitte le parti, au lendemain de la décision similaire annoncée par le coprésident du groupe à l’Assemblée, François de Rugy.  Europe Écologie-Les Verts, « c’est un astre mort, une structure morte qui donne aujourd’hui une vision caricaturale et politicienne de l’écologie », dénonce Jean-Vincent Placé, qui était opposé, avec François de Rugy, à la décision de Cécile Duflot de quitter le gouvernement lors de la nomination de Manuel Valls à Matignon en 2014.  Il assure ne pas prendre cette décision de « gaieté de cœur », sur Europe 1. « Je suis écologiste convaincu depuis plus d’une dizaine d’années. Je ne suis pas né écologiste, je suis devenu écologiste, je suis un républicain de gauche« , ajouté-t-il. Le président du groupe écologiste au Sénat explique qu’ »après 15 ans de vie, ce n’est pas facile. Mais il faut se tourner vers l’avenir pour l’écologie, pour la France et pour l’Europe », a-t-il ajouté. Lors des journées du Front démocrate et Génération Écologie à La Rochelle, Jean-Vincent Placé avait qualifié le parti de « structure morte » : « j’ai trop cru moi à la force des partis, j’ai longtemps cru à ça, aux accords intermédiaires, aux protocoles. Je crois que c’est totalement fini tout ça. EELV, on y est ou on y est pas ».

 

EELV : « une structure morte »( Placé)

EELV : « une structure morte »( Placé)

Encore une prise de position sans ambiguïté qui va accélérer le processus de décomposition d’Europe écologie les Verts. Le sénateur a qualifié jeudi EELV de « structure morte », tout en refusant de dire avant vendredi matin s’il quitterait la formation. En début de mois, il avait toutefois déjà menacé de quitter Europe Écologie les Verts, furieux du rapprochement de son parti avec le Front de gauche pour les élections régionales. Dans une longue charge contre cette stratégie menée notamment par l’ex-ministre Cécile Duflot, l’élu écologiste s’est dit « sidéré » du manque de soutien d’EELV à François Hollande, sur les questions de climat notamment. Il a multiplié les appels au rassemblement de la gauche modérée.  « Il y a urgence et il y a le feu à la maison de la gauche et des écologistes. Il est encore temps de rassembler, il faut le faire sur le fond, sur les projets », a-t-il dit lors des journées du Front démocrate et Génération Écologie à La Rochelle.    »J’ai trop cru à la force des partis, j’ai longtemps cru à ça, aux accords intermédiaires, aux protocoles. Je crois que c’est totalement fini tout ça. EELV, on y est ou on y est pas, ça c’est un débat qui sera évidemment là, mais au fond c’est déjà une structure morte« , a-t-il dit.  Pressé par la presse de dire s’il resterait membre d’EELV, Jean-Vincent Placé a réservé sa réponse à vendredi matin.  »Je suis sidéré que le parti écologiste dont je suis encore membre fasse aussi peu de cas, de ce que fait, oui, et ce n’est pas du cirage de pompes, de ce que fait le président de la République, ce que font le gouvernement et le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius sur la question du climat », « un sujet qui est fondamental pour les écologistes », a-t-il lancé.  Le sénateur a également critiqué la constitution de listes communes EELV-Front de gauche dans plusieurs régions. »En Nord-Pas-de-Calais-Picardie (…) on va fracturer la gauche dans un endroit où Marine Le Pen peut l’emporter ?  François de Rugy, quant à lui, jusqu’alors l’une des principales figures d’Europe Écologie-Les Verts, a quitté le parti en l’accusant de « dérive gauchiste« . Sa décision aggrave la crise qui touche le mouvement écologiste profondément divisé sur la participation au gouvernement et l’alliance avec le Front de gauche aux régionales.

Cigarettes : des paquets vides à la place des paquets neutres

Cigarettes : des paquets vides  à la place des paquets neutres

Touraine, la ministre de la santé veut un pays sans tabac. Le tabac est effectivement dangereux mais la question est de savoir comment gérer sa suppression, Pour l’instant on pense au paquet neutre, donc sans indication de marque mais cela ferait perdre des recettes à l’Etat du faat du transfert vers des cigarettes d’  importation illégales ou pas (environ 25% des cigarettes). Reste aussi une  solution, le paquet mais vide. On garde limage des marques mais sans rien à l’intérieur.  Tout en maintenant la fiscalité. De quoi satisfaire les buralistes, Bercy et Marisol Touraine. Pour les fumeurs on pourrait envisager un plan d’urgence comme pour les éleveurs, un plan fumeux quoi ! La mise en place du paquet neutre n’est pas anodine. Outre son efficacité largement débattue et la colère des buralistes, cela pourrait aussi faire perdre de l’argent à l’Etat. En effet, le paquet neutre pourrait faire perdre à court terme deux milliards d’euros par an de recettes fiscales à l’Etat, selon une étude commandée par Japan Tobacco International (JTI) au cabinet de conseil français MAPP, révélée mardi.   »Sur les 14 milliards d’euros annuels que représente la fiscalité du tabac, le manque à gagner pour le budget de la France serait de 2,015 milliards d’euros. Cette perte de recette fiscale serait la conséquence directe du profond bouleversement du marché du tabac que provoquerait en France l’impossibilité pour les marques de se différencier », souligne l’étude.  Selon le niveau de dégradation de l’image de marque qui résulterait de la mise en place du paquet neutre, les pertes de recettes fiscales seraient ainsi comprises entre 413 millions et 3,474 milliards d’euros par an, estime le cabinet spécialisé dans les questions de concurrence. Les trois quarts de ce manque à gagner proviendraient d’un report de la consommation vers des produits non taxés en France, à savoir des cigarettes d’importation légale, ou de contrebande, ou encore de contrefaçon.

 

Hollande met en place un micro service militaire

Hollande met en place un micro service militaire

Encore une  idée qui finit en eau de boudin : le service militaire. En fait les centres d’insertion concerneront 2000 jeunes partir de 2016 autant dire un chiffre ridicule . Il ne s’agit pas d’un vrai service militaire universel, ni d’un mini service mais d’un micro service.  Inspiré d’un modèle développé outre-mer, sept centres de service militaire volontaire (SMV) vont voir le jour d’ici à l’an prochain. « Il y aura trois centres de service militaire volontaire dès cette année qui accueilleront 1.000 jeunes », à Montigny-lès-Metz (Moselle), Brétigny-sur-Orge (Essonne) et « dans le sud de la France dès janvier 2016″, a déclaré François Hollande, précisant que quatre autres centres seront créés en 2016. Ces sept centres du SMV pourront accueillir au total « 2.000 jeunes », a-t-il précisé lors d’une visite d’un établissement public d’insertion de la Défense (Epide) à Alençon. Créés sur le modèle du service militaire adapté de l’outre-mer, ces centres, qui relèveront du ministère de la Défense, recevront des jeunes de 18 à 25 ans pour leur offrir des formations professionnelles liées aux besoins des bassins d’emplois locaux ou des « secteurs en tension » à l’échelle nationale, comme l’hôtellerie et le BTP. Nourris et blanchis, les jeunes porteront l’uniforme et seront encadrés par des militaires. François Hollande a par ailleurs confirmé sa décision de porter de 3.500 à 4.500 par an le nombre de jeunes accueillis dans les Epide, qui relèvent quant à eux du ministère de la Ville en dépit de leur nom. « Deux autres Epide seront créés dans le sud de la France car c’est là qu’il y a les besoins les plus grands », s’ajoutant aux 18 existants, a-t-il par ailleurs annoncé.

EELV : Vite un ministère pour Placé

EELV :  Vite un ministère pour Placé

Vite un ministère pour Placé qui sent bien qu’il va finir au chômage. Entré en politique à une vingtaine d ‘années comme assistant parlementaire , cet oligarque n’a pratiquement jamais travaillé. Il a d’abord été  chez les radicaux de gauche avant d’aller chez les verts et se prépare à rejoindre le gouvernement contre l’avis d’EELV ( et il rejoindra le  PS ensuite). Bref le parcours habituels des apparatchiks qui slaloment entre les sensibilités politiques.. Placé connaît bien les arcanes de la politique, il sait qu’EELV c’est pratiquement fini, que la gauche n’en a plus pour longtemps, alors devenir ministre pour lui, c’est maintenant. Très critique avant sur ceux qui courraient pour devenir ministres, il a pris cette fois son permis de chasse aux maroquins. «Effectivement, nous nous sommes un peu cornerisés en donnant une image de chasse aux maroquins.» Mais ça c’était avant –(Vincent Placé en mai 2012), au lendemain de l’élection de François Hollande à la présidence de la République.sa nomination  avec tous le avantages y afférent) est effectivement un enjeu central, il deviendrait sans doute alors sécrétoire d’Etat aux anciens combattants. De quoi influencer de manière significative une politique économique et environnementale du gouvernement très défaillante.  Raillé pour avoir montré son envie d’entrer au gouvernement avec un peu trop d’empressement, le chef de file des sénateurs écologistes avait concédé ce «mea culpa». Trois ans ont passé et Placé veut toujours en être. Il le redit, ce vendredi, dans une interview à liberation.fr. Mais à la différence du printemps 2012, lorsque les cadres d’EELV s’accordaient sur la participation gouvernementale, cette question divise le parti comme jamais. D’un côté, Cécile Duflot, qui a claqué la porte après l’arrivée de Manuel Valls à Matignon, ne retient plus ses coups contre le duo exécutif, et se tourne vers le Front de gauche et les frondeurs PS. De l’autre, les présidents des groupes EELV à l’Assemblée et au Sénat, Barbara Pompili, François de Rugy et Jean-Vincent Placé, partisans d’un retour dans ce gouvernement comme… 92% des sympathisants écologistes, selon un récent sondage Odoxa pour l’émission CQFD d’i-Télé et «Le Parisien» – «Aujourd’hui en France». Placé  a franchi  un pas supplémentaire : «Ceux qui souhaitent participer au gouvernement sont majoritaires parmi les parlementaires (EELV). Si les dirigeants d’EELV décident l’inverse de ce que souhaitent nos électeurs et leurs élus, c’est de leur responsabilité. Nous prendrons les nôtres.» Il va plus loin encore, lorsqu’on lui demande s’il «pourrait passer outre une décision du parti». Le chef de file des sénateurs écolos lâche alors : «Face aux enjeux actuels et compte tenu de la morale et l’éthique de responsabilité qui sont les nôtres, ce n’est pas une contrainte qui s’impose.» Quant à la députée Cécile Duflot, très critique envers l’exécutif, le sénateur «note chez elle une inflexion : Cécile se recentre sur une posture classique d’écologie autonome». «Elle est dans un ni-ni: ni gouvernement, ni opposition de gauche. A équidistance entre Hollande et Mélenchon. Notre débat se recentre sur la ligne politique et la participation au gouvernement», jure-t-il.
 

EELV : les Verts dans le rouge (Placé)

EELV : les Verts glissent vers le rouge (Placé)

Placé ne peut que constater les dégâts , les verts s’enfoncent dans le rouge ; Non pas le gros  rouge qui tâche , le rouge révolutionnaire. E ça n’arrange ses affaires. Placé sait bien que la gauche n’est pas prête de revenir au pouvoir après 2017 , surtout les verts qui risquent de disparaitre. Lui qui rêve de devenir ministre au moins une  fois dans sa vie n’a pas de mots trop dur pour stigmatiser le changement de couleur des verts. Il n’est pas vieux Placé mais c’est déjà un vieux routiers des manouvres politiciennes ( c’est un peu grâce à lui s’il y a eu des députés verts). Il emploie uen dialectique très sénatoriale et finira  au PS au parti radical socialiste.  Le président du groupe écologiste au Sénat Jean-Vincent Placé, favorable à un retour d’EELV au gouvernement, a dénoncé ce dimanche 15 février un « déplacement vers l’extrême gauche des Verts » et a prôné l’union avec les socialistes pour les élections départementales face au danger FN. Je suis inquiet de cette orientation que je combat.  « Il y a tout à la fois un déplacement vers l’extrême gauche des Verts et, de facto, une marginalisation des questions d’écologie ( il aurait pu sen apercevoir plus tôt !NDLR). Je suis inquiet de cette orientation que je combat », a-t-il déclaré lors du Forum Radio J.  « Je note qu’un porte-parole du mouvement, Julien Bayou, a indiqué qu’il était pour la primaire de l’autre gauche à l’exclusive du PS. (…) Je ne sais pas si ce jeune homme comprend bien dans quel état est le pays », a poursuivi le député de l’Essonne, qui a vu dans cette démarche un « repli identitaire ». Pour celles et ceux qui pensent que la priorité de l’année à venir est de casser du socialiste et de fracturer la majorité, je dis que cela n’a aucun sens.   »Pour celles et ceux qui pensent que la priorité de l’année à venir est de casser du socialiste et de fracturer la majorité, je dis que cela n’a aucun sens. Les Français rejettent ces comportements politiciens, et de plus en plus », a insisté Jean-Vincent Placé. Après le départ « tout simplement incompréhensible » des Verts du gouvernement, orchestré par Cécile Duflot, Placé veut les voir revenir.  »Les trois sondages que nous avons faits depuis sur les sympathisants, pas seulement les 5.000 militants qui restent dans le parti », ont indiqué qu’ »entre 85 et 90% pensent que nous devrions être aux responsabilités gouvernementales pour peser pour plus d’écologie », a-t-il justifié. Il n’y aura pas de Podemos, pas de Syriza en France, En revanche, il peut y avoir le Front National Jean-Vincent Placé Facebook Twitter Linkedin  Cécile Duflot « dit ce qu’elle veut, c’est une écologiste sincère, je n’ai pas de leçon à lui donner ». Mais sa présence au meeting de soutien à Syriza aux cotés de Jean-Luc Mélenchon fut « une erreur ». « Il n’y aura pas de Podemos, pas de Syriza en France, En revanche, il peut y avoir le Front National » dont il craint la présence massive au second tour des élections départementales. « Je recommande à mes amis très clairement, comme on l’a fait trop peu, dans une vingtaine de départements comme le mien dans l’Essonne (…), un accord de premier tour » avec le PS. « On est rationnel et on s’allie avec celles et ceux qui sont les plus efficaces pour battre la droite et l’extrême droite », a-t-il prôné.

 

Economie mondiale : la France perd une place

Economie mondiale : la France perd une place

 

 

Un argument de moins pour Hollande qui ne cesse de rappeler, face au déclin français, que la France est quand même la 5 éme puissance mondiale. Ce n’est plus vrai du fait d’une activité et d’une inflation  nettement plus soutenues accompagnées d’une réévaluation de la livre.  Pénalisée par une faible croissance et la baisse de l’euro, la France a perdu en 2014 sa place de cinquième économie mondiale au profit du Royaume-Uni, écrit mercredi le Figaro en citant des estimations du produit intérieur brut (PIB) de la Commission européenne. Le PIB britannique se serait élevé l’an dernier à 2.232 milliards d’euros, selon ces estimations, et celui de la France à 2.134 milliards d’euros, contre respectivement 2.017 et 2.114 milliards d’euros en 2013. Les bilans définitifs seront publiés dans quelques semaines. L’inversion des places entre les deux pays était attendue, le Royaume-Uni ayant bénéficié l’an dernier d’une croissance bien plus rapide que celle de la France (+3% contre +0,4%), d’une inflation plus soutenue (+1,5%) et de la réappréciation de la livre sterling (+5,4% par rapport à la monnaie unique), rappelle le Figaro.  L’économie française était passée devant sa voisine britannique en 2008, au début de la crise financière, une place qu’elle n’avait plus quittée depuis. Les quatre premières puissances économiques mondiales sont toujours les Etats-Unis, la Chine, le Japon et l’Allemagne.

 

 

 

Un argument de moins pour Hollande qui ne cesse de rappeler, face au déclin français, que la France est quand même la 5 éme puissance mondiale. Ce n’est plus vrai du fait d’une activité et d’une inflation  nettement plus soutenues accompagnées d’une réévaluation de la livre.  Pénalisée par une faible croissance et la baisse de l’euro, la France a perdu en 2014 sa place de cinquième économie mondiale au profit du Royaume-Uni, écrit mercredi le Figaro en citant des estimations du produit intérieur brut (PIB) de la Commission européenne. Le PIB britannique se serait élevé l’an dernier à 2.232 milliards d’euros, selon ces estimations, et celui de la France à 2.134 milliards d’euros, contre respectivement 2.017 et 2.114 milliards d’euros en 2013. Les bilans définitifs seront publiés dans quelques semaines. L’inversion des places entre les deux pays était attendue, le Royaume-Uni ayant bénéficié l’an dernier d’une croissance bien plus rapide que celle de la France (+3% contre +0,4%), d’une inflation plus soutenue (+1,5%) et de la réappréciation de la livre sterling (+5,4% par rapport à la monnaie unique), rappelle le Figaro.  L’économie française était passée devant sa voisine britannique en 2008, au début de la crise financière, une place qu’elle n’avait plus quittée depuis. Les quatre premières puissances économiques mondiales sont toujours les Etats-Unis, la Chine, le Japon et l’Allemagne.

 

Hollande aux archives nationales… sa vraie place !

Hollande aux archives nationales… sa vraie place !

Une visite non prévue et discret de Hollande aux archives nationales ; là où devrait être sa vraie  place. Il serait temps de tourner la page Hollande qui aura contribué largement à mettre le pays à genoux, sans perspective, sans ressort avec une économie atone et un chômage record. La visite de Hollande se voulait discrète mais la com. de l’Elysée n’a pas manque de prévenir quand même les journalistes de Radio -France pour prendre des photos. Peut-être être auusi une tentative pour faire penser que Hollande est un intello, lui comme certains  de ses prédécesseurs ne lit jamais un livre. François Hollande s’est donc rendu, hors caméras ce samedi, au Musée des archives nationales, à Paris. Pendant un peu plus d’une heure, le chef de l’Etat a notamment visité l’exposition La Collaboration (1940-1945). France info y était. Bizarre pour une visite qui se voulait presque incognito ! C’était une visite discrète, sans caméras. François Hollande s’est rendu ce samedi au Musée des archives nationales, à Paris. Pendant un peu plus d’une heure, il a visité l’exposition La Collaboration (1940-1945).  Organisée dans le cadre des commémorations du 70e anniversaire de la libération de la France et de la victoire contre le nazisme, l’exposition propose « une relecture de ce complexe héritage à travers de nombreux documents, pour la plupart inédits, provenant d’institutions patrimoniales françaises et étrangères prestigieuses ainsi que de collections privées », précise ses organisateurs. Le chef de l’Etat a ensuite poursuivi sa visite par les archives nationales jusqu’au coffre fort de la Révolution française qui renferme les originaux du nouveau régime et premier exemplaire de la déclaration des Droits de l’homme. Comme sur l’économie ou sur le chômage Hollande se recherche  sur le terrain des valeurs !

CGT : qui à la place de Lepaon ?

CGT : qui à la place de Lepaon ?

 

Si Thierry Lepaon  a pu encore sauver sa place lors de la dernière commission exécutive, il le doit sans doute aux difficultés à lui trouver en éventuel successeur car les clivages qi existaient lors du départ de Bernard Thibault se reposent de la même manière. En outre c’est maintenant tout la direction qui est contestée ; Du coup ne n’est plus tellement le départ de Lepaon qui est en jeu mais la question de son remplaçant potentiel. En attendant, ce climat délétère porte un coup à limage de la CGT et à l’ensemble d’un syndicalisme déjà bien fragilisé par la crise.  Lors d’une assemblée générale de ses organisations, lundi, des dirigeants de fédérations et d’unions départementales ont ouvertement souhaité le départ de Thierry Lepaon. D’autres ont critiqué les « dysfonctionnements » du bureau confédéral et mis en doute sa légitimité, a raconté à Reuters une source interne. Mais la Commission exécutive, le gouvernement de la CGT, qui a poursuivi mardi les débats, n’a pas émis de vote. Une note faisant le point des discussions sera transmise mercredi aux organisations de la CGT, a-t-on précisé de même source. Il a notamment été question de l’ordre du jour de la session extraordinaire du Comité confédéral national (CCN), prévu le 13 janvier. Le CCN est seul habilité à révoquer Thierry Lepaon, qui peut aussi décider de partir de lui-même avant la fin de son mandat, en 2016. « On continuera à faire la transparence sur un certain nombre d’éléments et on discutera de préconisations sur nos règles de vie », explique un responsable. « Se posera évidemment la question de la direction de la CGT. »  Entretemps, il est prévu une nouvelle réunion des 56 membres de la Commission exécutive confédérale le 6 janvier. Un autre CCN est prévu en février. Les dirigeants de la CGT étudient la possibilité d’actions revendicatives sur l’emploi, les salaires, le pouvoir d’achat, la politique industrielle. Les appels à la démission de Thierry Lepaon se multiplient, de la base aux instances dirigeantes de la confédération, depuis les révélations sur les frais engagés pour la rénovation de son domicile de fonction et de son bureau, et sur l’indemnité qu’il a perçue quand il a quitté ses responsabilités en Normandie.  Dans un texte diffusé le week-end dernier, la fédération des services publics, première de la CGT, a jugé « inéluctable » son départ et l’a invité à démissionner dans les plus brefs délais.  Dans L’Humanité, Georges Séguy, ancien secrétaire général de la CGT de 1967 à 1982, a estimé lundi qu’une solution s’imposait « d’urgence » pour préserver la cohésion de la première centrale syndicale française. Des cadres de la CGT ont demandé dans une pétition la démission en bloc de la direction de la centrale syndicale, et pas seulement du secrétaire général.

UMP: à la place de Morano, Sarkozy nomme une secrétaire nationale d’extrême droite

 

UMP: à la place de Morano, Sarkozy nomme une secrétaire nationale d’extrême droite

 

Au moins une qui ne cache ses ambitions  « elle veut être élue ». C’est pour cela qu’elle avait rejoint le FN (via un micro parti extrême droite affilié au rassemblement bleu marine de Marine Lepen). Du coup elle revient au bercail à la place que Morano a refusée.  Nicolas Sarkozy avait promis à sa famille politique le rassemblement, il avait visiblement vu très large. Dans son équipe, le nouveau président de l’UMP a ainsi nommé vendredi Fatima Allaoui, une conseillère régionale du Languedoc-Roussillon transfuge… d’un micro-parti d’extrême droite, révèle Libération. L’élue a hérité du poste de secrétaire nationale à la formation professionnelle, raconte le quotidien ce dimanche. A l’origine, ce poste devait revenir à Nadine Morano, à qui Nicolas Sarkozy l’avait proposé. Devant le refus de l’ancienne ministre, l’ancien chef de l’Etat s’est tourné vers Nathalie Kosciusko-Morizet, qui lui a suggéré un nom: celui de Fatima Allaoui, jusqu’alors membre du Siel (Souveraineté, indépendance et liberté), affilié au Rassemblement Bleu Marine, une sous-formation politique liée au Front national. Ancienne de l’UMP, Allaoui avait claqué la porte du parti il y a quelques mois, déçue de ne pas obtenir l’investiture aux élections départementales. Après avoir rejoint le Siel, elle s’était alors tournée vers Robert Ménard, le maire de Béziers, pour qu’il la soutienne. En vain. Interrogée par Libération, la nouvelle sarkozyste explique avoir «fait une crise d’adolescence politique» et avoir sollicité l’extrême droite «par désespoir de cause et pour augmenter (ses) chances d’être élue». Proche de NKM, elle assure qu’elle a quitté le Siel et qu’elle a repris sa carte à l’UMP.

 

Chômage : que les ministres arrêtent de se contenter d’être des commentateurs ( Placé)

Chômage : que les ministres arrêtent de se contenter d’être des commentateurs ( Placé)

 

Placé (EELV)  recadre sérieusement Rebsamen qui récemment s’est encore contenté de commenter l’actualité du chômage (après sa sortie malheureuse sur le contrôle renforcé des chômeurs). Rebsamen a notamment déclaré qu’il n’y avait pas assez de croissance pour créer des emplois (une découverte !). Placé  invite à l’action et non à se laisser aller pour étaler ses sentiments sur les médias.  Jean-Vincent Placé, président du groupe écologiste au Sénat, a joué les maîtres d’écoles, ce dimanche, et a invité les ministres à «ne pas débiter» leurs «avis et sentiments» dans les médias, mais au contraire à «se concentrer» sur leur action, lors du grand entretien de RCJ, la radio de la Communauté Juive.  «J’appelle à la responsabilité toutes celles et tous ceux au gouvernement qui, matin, midi et soir, passent sur les antennes des radios et télévisions, sur les chaines info notamment, et débitent un peu leurs avis, leurs sentiments ! Le ministre, vraiment, qu’il évite de raconter avis et sentiments et qu’il se concentre sur son action», a plaidé le sénateur. Le dirigeant du parti écologiste a notamment évoqué les récentes déclarations au Parisien de François Rebsamen, ministre du Travail, sur «l’échec» du gouvernement sur le chômage. Rebsamen, «c’est vraiment un très bon ami. Il était président du groupe socialiste au Sénat et on a travaillé très très bien» mais «ses sorties sur les chômeurs, ses sorties sur les réformes du droit du travail, faut vraiment qu’il arrête !». «Si le droit du travail c’était ça le problème dans ce pays, peut être que la droite l’aurait reformée pendant 10 ans. On n’est pas obligé de faire ce que la droite n’a pas fait pendant 10 ans. On est quand même une majorité de gauche ! Emmanuel Macron a lancé lui aussi des idées ! Eh bien, qu’il se concentre sur l’économie, qu’il se concentre sur l’action. Quand je vois les difficultés qu’on a eu lors des discussions sur l’Europe, encore tout récemment !», les ministres, «qu’ils se concentrent tous», a-t-il insisté.   Jean-Vincent Placé à a plusieurs reprises refuser de participer à un gouvernement de François Hollande.

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